supplément la libre du 18 octobre 2012

ENERGIE, L’ERE DE L’ECO SAPIENSD o s s i e r ré a l i s é p a r I P M I M M O - O c to b re 2 0 1 2

Photo : Whispergen

«Il est hélas devenu évident aujourd’hui

que notre technologie a dépassé notre

humanité» Albert Einstein - Conscience

E N E RG I E L’ERE DE L’ECO SAPIENS

ENERGIE2012 LLB 235x335_V3.indd 1 16/10/12 12:05

Dossier réalisé par I P M I M M OCommercialisation : Véronique Le Clercq, Daphné Mertens et Didier Winnepenninckx - Rédaction : Thierry Laffineur - Mise en page : Ligne Claire s.a. 02 374 99 99

Imprimerie : Sodimco IPM IMMO a division of SA IPM gROUP NV. : Rue des Francs, 79 à 1040 Bruxelles - www.ipmimmo.be

L’énergie de la nature et du bon sens.

Importé en Belgique par:

Faites entrer chez vous la chaleur naturelle qui vous entoure. Grâce aux pompes à chaleur aérothermiques ou géothermiques de Waterkotte, vous pouvez vous chauffer toute l’année. A moindre frais et plus proprement. Ces pompes peuvent également chauffer votre eau sanitaire ou votre piscine. De plus, elles s’adaptent sans problème à une installation de radiateurs ou de convecteurs déjà en place. Et peuvent ainsi, remplacer une ancienne chaudière. Particulièrement adaptées aux nouvelles constructions basse énergie et couplées à une installation photovoltaïque Elsingor, elles vous amèneront à coup sûr, vers l’autonomie énergétique.Pour plus d’informations, contactez-nous au 02/367 86 40.

www.elsingor.com/waterkotte

La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.La chaleur vit dans la nature.

Pourquoi le fou dépense-t-il son orpour la trouver ailleurs?

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CURTIS Annone A4.indd 1 15/10/12 14:20ENERGIE2012 LLB 235x335_V3.indd 2 16/10/12 12:05

Dossier réalisé par I P M I M M OCommercialisation : Véronique Le Clercq, Daphné Mertens et Didier Winnepenninckx - Rédaction : Thierry Laffineur - Mise en page : Ligne Claire s.a. 02 374 99 99

Imprimerie : Sodimco IPM IMMO a division of SA IPM gROUP NV. : Rue des Francs, 79 à 1040 Bruxelles - www.ipmimmo.be

3

ENERGIE, L’ERE DE L’ECO SAPIENS

SOMMAIRE :

Edito : Cela suffit ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .3

Energies renouvelables : L’eco efficience . . .4

Energies : Sources, ressources et usages . . .5

PEB : Principe et fonctionnement . . . . . . . .10

SDRB : Eco Dynamisme . . . . . . . . . . . . . . . . .12

Trainrebuild : l’Efficacité Energétique en Copropriété . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .14

«Les moulins de Daudet ou de la baie du mont St Michel

s’appellent désormais des éoliennes... parce qu’entre

temps on a inventé l’électricité». (Anonyme)

nCELA SUFFIT !

Alors que l’utilisation des énergies renouve-lables constitue la seule alternative crédible

capable de répondre à nos futurs besoins énergé-tiques, il est pour le moins surprenant que d’au-cuns - volontairement ou non - instillent le doute dans l’esprit du public.

Cette attitude dommageable est notamment dénoncée par Pierre Verhoogen (CEO - Elsingor) pour qui «Cela Suffi t ! Il est temps de rétablir un certain nombres de vérités. En Wallonie, nos hommes politiques (souci électoraliste ?) et nos médias semblent se délecter d’informations pas ou peu vérifi ées.»

nCOMMUNIqUONS jUSTE !

«Le soleil brille et brillera encore un certain temps pour tout le monde.L’énergie produite par le soleil n’est certes pas la moins chère à convertir pour nos usages, mais elle est quasi illimitée;Le photovoltaïque n’est certes ni une fi n en soi ni la seule issue à nos interrogations énergétiques (il doit être combiné avec d’autres ressources re-nouvelables au sein d’un mix énergétique) mais il contribue au développement du double éco (éco-nomique et écologique):

- Le photovoltaïque (PV) est créateur d’emplois directs et indirects. En Wallonie la filière compte 1.500 entreprises (chiffre 2012) employant ± 2500 collaborateurs équivalent temps plein. Parallèlement, elle génère une activité éco-nomique et des emplois indirects (logistique, foires, salons,...)

- Le PV est générateur de revenus pour l’Etat (TVA et impôts). Ces revenus sont en outre non dé-localisables (les installations demeurent en Belgique !);

- Le PV est et reste rentable. Il permet à tout un chacun de se prémunir contre les futures hausses inévitables des coûts des ressources fossiles.

nMIEUX qUE DES VERITES : DES EVIDENCES !Il est donc faux d’affi rmer à tout venant que les certifi cats verts ne sont plus garantis en Région wallonne, alors qu’aucun amendement ou mo-difi cation de l’actuelle législation ne l’atteste. A contrario, la Wallonie se pose toujours comme l’une des régions privilégiées d’Europe en termes de valorisation des énergies produites par le PV.(*)»

«Cela suffi t également d’affi rmer que les certifi -cats verts sont fi nancés par le gouvernement. Les certifi cats verts sont fi nancés par chacun, au prora-ta de sa consommation via sa facture d’énergie…Il est donc normal de récompenser ceux qui prennent le risque de l’investissement PV, aux fi ns notamment de diminuer l’empreinte écologique globale. Cela suffi t encore de soutenir le mythe d’une énergie bon marché. Aujourd’hui, nous devons admettre que l’énergie est et restera sur une courbe haussière. En conséquence il nous faut, avant toute chose, l’économiser. Le PV constitue une solution pour minimiser l’impact énergétique sur le pouvoir d’achat des ménages .

Nous ne détenons aucune vérité absolue mais il est des évidences auxquelles on n’échappe pas : l’utilisation des énergies renouvelables, quelles qu’elles soient, se fera toujours au bénéfi cie du plus grand nombre… Cela suffi t également à en défendre le développement !»

(*) En Wallonie, la politique des certifi cats verts a été gérée de façon intelligente. Malgré les modifi cations de leur modalité d’octroi, le programme de certifi -cats verts actuel permet toujours l’accès à une auto-nomie électrique rapide via le PV.

(Photo : John Foxx)

L’énergie de la nature et du bon sens.

Importé en Belgique par:

Faites entrer chez vous la chaleur naturelle qui vous entoure. Grâce aux pompes à chaleur aérothermiques ou géothermiques de Waterkotte, vous pouvez vous chauffer toute l’année. A moindre frais et plus proprement. Ces pompes peuvent également chauffer votre eau sanitaire ou votre piscine. De plus, elles s’adaptent sans problème à une installation de radiateurs ou de convecteurs déjà en place. Et peuvent ainsi, remplacer une ancienne chaudière. Particulièrement adaptées aux nouvelles constructions basse énergie et couplées à une installation photovoltaïque Elsingor, elles vous amèneront à coup sûr, vers l’autonomie énergétique.Pour plus d’informations, contactez-nous au 02/367 86 40.

www.elsingor.com/waterkotte

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CURTIS Annone A4.indd 1 15/10/12 14:20 ENERGIE2012 LLB 235x335_V3.indd 3 16/10/12 12:05


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Dans son dernier rapport (2011), Eurobserver (www.eurobserv-er.org) souligne que le sec-

teur des énergies renouvelables affiche des signes de croissance encourageants dans l'ensemble de l'Europe. Selon les données officielles, publiées en novembre 2011 par Eurostat, la part des renouve-lables (autre que l'hydraulique) dans l’Union eu-ropéenne devrait approcher les 15% en 2012, soit près de 200 Mtep (Mégatonnes équivalent pé-trole). Par ailleurs, le développement des filières permet d'évaluer le poids européen de ce secteur qui vaut désormais plus d'un million d'emplois pour un CA de près de 150 milliards €.

Plus en détails, on relève que la contribution de chaque énergie renouvelable dansla consommation d'énergie primaire est très va-riable. Les graphiques ci-dessous (2010) montrent que la biomasse (comprenant la biomasse so-lide, le biogaz, la biomasse liquide et les déchets urbains renouvelables) reste de loin la principale source énergie renouvelable avec 117,7 Mtep, de-vant l’hydraulique (31 Mtep), l’éolien (12,8 Mtep), la géothermie (pompes à chaleur géothermiques incluses) qui apporte 7,6 Mtep, et le solaire (ther-mique, photovoltaïque ou thermodynamique) avec 3,4 Mtep.

nENERGIES RENOUVELABLES SOCIETE DURABLE ?

Dans sa Charte pour une énergie durable, l'APERe (Association pour la Promotion des Energies Re-nouvelables ) définit plusieurs notions quant aux choix nécessaires à atteindre une société durable. Elle stipule notamment que l’énergie durable implique de consommer moins (comportement judicieux) et mieux (efficience dans les techno-logies, les infrastructures et les matériaux) et de produire mieux (énergies renouvelables).

n Utilisation rationnelle de l'énergie

L’utilisation rationnelle de l’énergie fait le choix des solutions individuelles ou collectives qui in-duisent la plus petite dépense énergétique. Il s’agit de poser des choix au niveau:

- de la technologie : utiliser des équipements énergétiquement efficients;

- de l’infrastructure : utiliser des infrastructures énergétiquement efficientes : objets, bâtiments, aménagement du territoire . Pour ce dernier il est clair qu' un habitat dispersé augmente les besoins en déplacement des habitants tout en rendant inefficaces les transports en commun. D’autre part, il augmente les infrastructures et leur frais de fonctionnement ;

- des matériaux et services : préférer les maté-riaux et services ayant un faible contenu éner-gétique et garantissant la plus longue durée de vie. La dépense énergétique comprend l’énergie

nENERGIES RENOUVELABLES : L’ECO-EFFICIENCE

eurobserv’er – the state of renewable energies in europe – 2011 edition

Indicateurs énergétiques – Energy indicators

107

eurobserv ’er – état des énergies renouvelables en europe – édition 2011

106

filières électrique, éolienne puis solaire et par une

bonne année hydraulique.

La croissance en France (+ 0,7 point, à 12,4 %) s’ex-

plique par une augmentation sensible de la consom-

mation de chaleur issue de la biomasse solide et une

nette reprise de la production hydroélectrique, asso-

ciée à la montée en puissance de sa filière éolienne.

Dans les pays de l’Est de l’Union européenne, les

hausses les plus remarquables sont à mettre à l’actif

de la Bulgarie (1,3 point, à 12,9 %), de la République

tchèque (+ 1,2 point, à 9,7 %) et de la Pologne (+ 1 point

à 9,9 %).

Dans l’Union européenne, la dynamique actuelle sur

le plan de la consommation brute d’énergie finale est

encourageante, avec une part qui est passée de 9 %

en 2006 à 12,4 % en 2010. Afin de mesurer la trajectoire

énergétique de chaque pays membre et les progrès

réalisés année après année , la directive impose à

chaque pays membre la planification des étapes de

progression dans un plan d’action national énergies

renouvelables (NREAP), plan qui peut être modifié tous

les deux ans. Ces plans sont très utiles car ils détail-

lent, année par année, comment chaque pays compte

atteindre ses objectifs et quelles filières le pays

compte solliciter. ECN (Energy research centre of the

Netherlands), membre du consortium EurObserv’ER,

s’est vu attribuer la mission de réaliser une synthèse

des 27 plans d’actions nationaux énergies renouvela-

bles.

Sans surprise, la filière qui sera mise le plus à contri-

bution est la biomasse. À l’horizon 2020, la produc-

tion de chaleur biomasse devrait ainsi atteindre 90,4

49 %

40 %

38 %

34 %

31 %

25 %

30 %

25 %

24 %

23 %

20 %

16 %

23 %

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46,9

%

34,3

%

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%

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%

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%

23 %

21,7

%

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13 %

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27

5Part de l'énergie produite à partir de sources renouvelables dans la consommation brute d'énergie finale en 2010 et objectifs en 2020Share of energy from renewable sources in gross final consumption of energy in 2010 and national overall targets in 2020

2010

2020 target from the 2009/28/EC Directive

There is encouragement to be drawn from gross final

energy consumption’s current momentum in Euro-

pean Union. Its share has risen from 9% in 2006 to

12.4% in 2010. The new directive commits each Mem-

ber State to plan its own staged progress in a National

Renewable Energy Action Plan (NREAP) that can be

modified every two years so that the progress made

on the energy trajectory of each Member State can be

measured year-by-year. These plans are very useful

because they detail how each Member State intends

to achieve its targets for each year, and which sectors

the country intends to call on. ECN (Energy research

centre of the Netherlands), which is a EurObserv’ER

Consortium member, has been commissioned to pro-

duce a summary report of the 27 NREAPs.

As expected, it is the biomass sector that will be cal-

led upon to contribute most. Accordingly, biomass

heat production should reach 90.4 Mtoe by the 2020

timeline, while the figure for biomass electricity pro-

duction should be 232 TWh (equating to 20 Mtoe final

energy) and for biofuel production should be 29.7

Mtoe (7.3 Mtoe of bioethanol, 21.6 Mtoe of biodiesel

and 0.8 Mtoe of other biofuel types). Furthermore,

wind energy should become the principal source of

renewable electricity with a contribution of 494.8 TWh

(or 42.5 Mtoe final energy). Hydropower will follow with

a 369.3-TWh target excluding pumped storage (equa-

ting to 31.8 Mtoe final energy). The other renewable

sectors will also make a significant contribution. Solar

power production (photovoltaic and concentrated solar

power) should provide 103.3 TWh (or 8.9 Mtoe final

energy) and solar thermal production, 6.3 Mtoe. Geo-

thermal electricity production should provide 10.9 TWh

(0.9 Mtoe) and geothermal heat, 2.6 Mtoe. Heat pump

technology should contribute 12.1 Mtoe and marine

35,9 %36,3 %

35,4 %36,4 %

27,6 %27,9 %

26,6 %

22,2 %

20,3 %

16,1 %

15,2 %

15,1 %

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10 %

9,6 %

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23,8 %

19,2 %

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12,6 %

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13,9 %

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9,4 %

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7,6 %

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3,7 %

3,7 %

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2,8 %

9,9 %9,1 %

0,1 %

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3,9 %

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Sweden

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Austria

Finland

Denmark

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Lithuania

Germany

Italy

Spain

France

Greece

Slovakia

Poland

Bulgaria

Hungary

Czech Rep.

Ireland

Netherlands

Luxembourg

Belgium

UnitedKingdom

Cyprus

Malta

Total EU 27



101

17.5 Mtoe increase). That is not to detract from the

significant contribution increments of the other sec-

tors, namely 2.9 Mtoe by hydropower, 1.4 Mtoe by wind

power, 0.9 Mtoe by solar power and 0.3 Mtoe by geo-

thermal power.

renewable electricity productionsurges aheadPart of the growth in renewable primary energy

consumption is due to the significant step-up in rene-

wably-sourced electricity production. EurObserv’ER

reckons this rose by 12.7% in a single year to give

total renewable electricity output of 661.4 TWh

(586.6 TWh in 2009). The renewable energy share of

gross electricity consumption in the European Union

thus climbed from 18.2% in 2009 to 19.8% in 2010,

which is just a little over one percentage point short

of the earlier renewable electricity directive target

(2001/77/EC) (graph 4).

Most of this huge increase of almost 74.8 TWh of rene-

wable electricity in just twelve months can be ascri-

bed to the expansion of four major renewable elec-

tricity production sectors. Firstly, hydropower’s

con tribution bounced back after a very mediocre year

in 2009 to gain more than 33.7 TWh in 2010, equating

to a total of 360.3 TWh in the European Union (exclu-

ding pumped storage output). The second-placed sec-

tor is biomass which generated 16.1 TWh more than in

2009 (with a total of 122.9 TWh) enabling it to overtake

wind power, which generated 15.9 TWh more in 2010

than in 2009 (with a total of 149 TWh) despite a year of

particularly low winds in Germany (the lowest recor-

ded for 17 years). Solar power production also grew

strongly, generating almost 9 TWh more (with a total

of 23.1 TWh in 2010), carried by a significant increase

in Germany, Spain and Italy. The slashing of photovol-

taic plant installation costs, particularly for high-capa-

city ground-based plants prompted an installation race

between 2009 and 2010, which in some instances

exploited the inappropriate incentive systems in force.

Graph 3 shows each sector’s share in renewable elec-

tricity production. Hydropower is still the main source

of renewable electricity, yet despite its sharp rise in

production, its share in the renewable electricity mix

slipped from 55.7% in 2009 to 54.5% in 2010 (a loss of

1.2 percentage points). The same goes for wind power,

which lost 0.2 of a percentage point slipping to 22.5%

2Part de chaque énergie dans la consommation d’énergie primaire renouvelable de l’Union européenne(en %)Share of each resource in renewable primary energy consumption of the European Union (in %)

2009

2010

18 %Hydraulique

Hydraulic power

4,4 %Géothermie

Geothermal power

2 %SolaireSolar power

7,4 %Éolien

Wind power

68,2 %BiomasseBiomass

0,03 %Énergies marinesOcean energies

18,1 %Hydraulique

Hydraulic power

4,7 %Géothermie

Geothermal power

1,6 %SolaireSolar power

7,4 %Éolien

Wind power

68,2 %BiomasseBiomass


2009 Total : 155,0 Mtep/Mtoe 2010 Total : 172,5 Mtep/Mtoe

Part des sources d’énergies renouvelables dans le total de la consommation intérieure brute d’énergie de l’Union européenne en 2010 (en %)

Part de l’énergie produite à partir de sources renouvelables dans la consommation brute d’énergie finale en 2010 et objectifs en 2020



103

eurobserv ’er – état des énergies renouvelables en europe – édition 2011

102

Mtep pour l’hydraulique, + 1,4 Mtep pour l’éolien, + 0,9

Mtep pour le solaire et + 0,3 Mtep pour la géothermie.

une production d’électricité renouvelable en forte augmentationL’augmentation de la consommation d’énergie pri-

maire renouvelable s’explique en partie par une

hausse sensible de la production d’électricité d’ori-

gine renouvelable. Selon EurObserv’ER, cette der-

nière a augmenté de 12,7 % en une seule année, soit

une production d’électricité totale renouvelable de

661,4 TWh (586,6 TWh en 2009). La part des énergies

renouvelables dans la consommation brute d’élec-

tricité des pays de l’Union européenne passe ainsi

de 18,2 % en 2009 à 19,8 % en 2010, soit à un peu plus

d’un point seulement des objectifs de l’ancienne

directive sur l’électricité renouvelable (2001/77/CE)

(graphique 4).

Cette augmentation, remarquable de près de

74,8 TWh d’électricité renouvelable en une seule

année, s’explique essentiellement par la croissance

de quatre grandes filières de production d’électricité

renouvelable. Premièrement, la contribution de la

filière hydroélectrique est de nouveau en forte aug-

mentation après une année 2009 très moyenne. Elle

gagne ainsi à elle seule plus de 33,7 TWh en 2010, soit

un total de 360,3 TWh dans l’Union européenne (hors

pompage-turbinage).

La deuxième filière contributrice est la biomasse

avec un gain de 16,1 TWh par rapport à 2009 (pour

un total de 122,9 TWh). Ceci la place devant l’éolien,

qui a produit en 2010, 15,9 TWh de plus qu’en 2009

(pour un total de 149 TWh) malgré une année peu ven-

teuse en Allemagne (le plus bas niveau depuis 17 ans).

On notera l’augmentation de la production d’élec-

tricité solaire qui atteint près de 9 TWh (pour un

total de 23,1 TWh en 2010), portée par une augmen-

tation sensible de la production en Allemagne, en

Espagne et en Italie. La baisse importante des coûts

d’installation des centrales photovoltaïques, en par-

ticulier ceux des centrales terrestres de forte puis-

sance, a conduit à une véritable course à l’installa-

tion entre 2009 et 2010, profitant, dans certains cas,

du manque d’adaptabilité des systèmes d’incitation

en vigueur.

La part de chaque filière dans la production d’élec-

tricité renouvelable est présentée dans le gra-

phique 3. L’hydraulique est toujours la première

Sweden

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Austria

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Lithuania

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Italy

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France

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Poland

Bulgaria

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Ireland

Netherlands

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Belgium

UnitedKingdom

Cyprus

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Total EU 27

60,6 %

54,7 %

50,9 %

48,4 %

34,4 %

33,3 %

33,1 %

28,4 %

26,6 %

22,5 %

21,2 %

17 %

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14,4 %

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6%

5%

4Part des énergies renouvelables dans la consommation brute d'électricité des pays de l'Unioneuropéenne en 2010* (en %)Share of renewable energies in gross electricity consumption of EU countries in 2010* (in %)

* Estimation. Estimate.

2009

2010

2010 target from the 2001/77/ECDirective

22,7 %Éolien

Wind power

2,4 %Solaire

Solar power

0,9 %GéothermieGeothermal power

18,2 %Biomasse

Biomass

55,7 %HydrauliqueHydraulic power


22,5 %Éolien

Wind power

3,5 %Solaire

Solar power

0,8 %GéothermieGeothermal power

18,6 %Biomasse

Biomass

54,5 %HydrauliqueHydraulic power


2009 Total : 586,6 TWh 2010 Total : 661,4 TWh

Part de chaque énergie dans la production d’électricité renouvelable (en %)

consommée pour le service voulu (se chauffer, se déplacer, mener ses diverses activités), mais également celle contenue dans les objets, maté-riaux ou services utilisés pour leur mise en oeuvre, ainsi que les dépenses induites pour le futur. Il s’agit donc de l’énergie qui a été consommée tout au long de leur cycle de vie (notion d’énergie grise).

- du comportement : faire la chasse aux gaspil-lages, entretenir les biens et limiter les achats/dépenses inutiles.

nENERGIES RENOUVELABLES : DE QUOI PARLE-T-ON ? n Les énergies renouvelables sont les formes

utiles d’énergie (travail, électricité, chaleur, froid) issues de sources renouvelables.

n Les énergies de sources renouvelables sont des énergies de flux (par opposition aux éner-gies fossiles et fissiles qui sont des énergies de stock.), qui se régénèrent en permanence au rythme du soleil et de ses dérivés (le vent, les cours d’eau, les vagues, les courants marins, la chaleur naturelle , les marées, la chaleur natu-relle de la terre, la biomasse). Cette dernière se définit comme « la fraction biodégradable des produits, des déchets et résidus d’origine biologique provenant de l'agriculture (y com-pris les substances végétales et animales), de la sylviculture et des industries connexes, y compris la pêche et l’aquaculture, ainsi que la fraction biodégradable des déchets industriels et municipaux » (Directive 2009/28/CE du

Source graphiques : Eurobserver



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Parlement européen et du Conseil européen du 23 avril 2009). Cela signifie de veiller à ce que la forêt, les surfaces agricoles ou les déchets organiques soient gérés de façon durable et responsable. Par exemple, il ne faut pas prélever plus de bois que la forêt ne pour-rait produire, ni utiliser de manière incons-idérée des intrants agricoles énergivores et

Système de conversionSource renouvelable d’énergie

Forme utile d’énergie

Vent

Cours d’eau

Marée - Vague - Courant marin

Soleil

Biomasse

Chaleur « naturelle » (géothermique, océanique

ou solaire indirect)

Electricité

Travail

Travail ou électricité

Chaleur

Electricité

Froid

Chaleur

Travail ou électricité

Chaleur et électricité

Chaleur, éclairage

Confort thermique

Chaleur

Chaleur (électricité)

Eolienne (parc, isolée, urbaine)

Eolienne de pompage, Voile

Moulin à eau, Centrale hydroélectrique

Centrale marémotrice, Centrale marine

Chauffe-eau solaire, Séchoir et four solaire

Syst. photovoltaïque, Centrale thermodynamique

Réfrigération solaire

CombustibleBiogazBiocarburant

Aliment

Équipement combustion

Moteur

Cogénération

Métabolisme

Architecture bioclimatique, Eclairage naturel,

Ventilation naturelle, Puits canadien

Pompe à chaleur

Puits géothermique

Travail et chaleur

polluants, ni brûler des matières organiques humides (voir encadré : La conversion de la biomasse).

n Les systèmes permettant leur transformation diffèrent selon la source d’énergie valorisée et la forme d’énergie obtenue (voir schéma ci-dessous).

nRESSOURCES BELGES

La quantité d’énergie renouvelable disponible localement dépend des surfaces dédiées à l’ex-ploitation des sources renouvelables, des caracté-ristiques énergétiques locales des sources et de la performance des systèmes de conversion.Le tableau à gauche ci-dessous permet de calcu-ler les ressources énergétiques primaires brutes disponibles à l’échelle locale en Belgique, ainsi que les quantités d’énergie fi nale (formes utiles) potentiellement disponibles, sur base des techno-logies actuelles.Le potentiel énergétique belge des énergies re-nouvelables est une question d’aménagement du territoire et de conditions d’importation pour les ressources produites hors de nos frontières. Les seules sources d’énergies transportables sont l’électricité d’origine renouvelable et la biomasse transformées (carburants ou combustibles) et non transformées.

nUNE UTILISATION LARGEMENT MOTIVéE

Naturelles et de proximité, basées sur des tech-nologies éprouvées, les énergies renouvelables répondent à un besoin d’énergie tout en agissant à diff érents niveaux :

n enVironneMent Contribuer à la réduction des émissions de gaz

à effet de serre Réduire la pollution de l’air, de l’eau, du sol et

de la biosphère, mais aussi limitant le risque (impacts d’éventuels accidents)

Préserver les stocks de ressources naturellesn eConoMie garantir un prix stable de l’énergie, moins

sensible aux fluctuations du marché des com-bustibles fossiles

Assurer l’autonomie énergétique et la sécurité d’approvisionnement

Renforcer l’économie locale par le développe-ment de petites et moyennes entreprises

Permettre des circuits économiques courts entre les consommateurs et les producteurs

n soCial Créer des emplois durables et non

délocalisables Permettre l’appropriation locale de la res-

source et des moyens de production d’énergie par des projets participatifs

Réduire les tensions internationales et permet-tant la solidarité entre les peuples

Rendre l’énergie visible et constituer par là un excellent vecteur d’éducation à l’utilisation rationnelle de l’énergie.

Photo Source : Wikipédia - Source graphiques : APERe

Photo Source : Wikipédia



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nENERGIE 2012 : 10.000 M² DE SOLUTIONS INNOVANTES

Premier salon national, avec plus de 140 exposants spécialement sélectionnés

parmi les leaders de leur secteur, energie 2012 (organisé du 19 au 21 octobre à tours et taxis - Bruxelles) présente sur 10 000 m² des solutions (produits et services) inno-vantes centrées sur les énergies renouve-lables et leurs utilisations. le salon energie 2012 rassemblera les acteurs suivants :

n Producteurs d’énergien Fabricants et importateurs de panneaux

solairesn Fabricants et importateurs de pompes à

chaleurn Fabricants d’isolation performanten Fabricants et négoces de matériaux favori-

sant les économies d’énergien Constructeurs de maisons passives, à basse

consommation, bio climatiquen Fabricants de châssis performantsn Fabricants de vitrages performantsn Auditeurs énergétiquesn Systèmes de ventilationn Fabricants et producteurs de systèmes liés

à la biomassen Le secteur bancaire et des assurancesn Institutions et Régions offrant des primes

et informations. Info.: www.energie2012.be

nLES CONVERSIONS DE LA BIOMASSE

Dans un communiqué récent - Edora (Fédération des énergies renouvelables - edora.be), la Mi-nistre bruxelloise de l’Energie a entériné une nou-velle adaptation du coefficient multiplicateur du nombre de certificats verts pour les installations photovoltaïques pour l’année 2013. Le nouvel ar-rêté (voir ci-dessous) a été publié le 20 juillet 2012 et, comme le veut la règle, entrera en vigueur le 20 octobre 2012.Le nombre de certificats verts passe ainsi à 4 CV/MWh pour toutes les installations réceptionnées après le 20 octobre 2012. Et ce pendant 10 ans.Pour rappel, la valeur des paramètres écono-miques qui servent à déterminer le nombre de certificats verts sont communiqués à la Ministre par la Commission pour le 1er septembre de l’an-née en cours. Si la variation des paramètres en cours d’année conduit à une variation du nombre de certificats verts à octroyer (selon la formule de l’arrêté supérieure ou égale à 20 % par rapport au nombre actuel de CV octroyés), la Ministre adapte le coefficient multiplicateur du nombre de CV

octroyés avant l’échéance du 1er octobre et avec effet au minimum 3 mois après publication au Moniteur belge

Arrêté :Article 1er. § 1. Pour toutes les installations photo-voltaïques mises en service trois mois après l’entrée en vigueur du présent arrêté, le coefficient multipli-cateur du nombre de certificats verts octroyés est égal à 2,2 § 2. Pour les personnes morales et pour les pouvoirs publics, le coefficient multiplicateur du nombre de certificats verts octroyés est aussi égal à 2,2 lorsque la puissance électrique de l’installation photovol-taïque est inférieure ou égale à 5 kWc.Art. 2. Le coefficient multiplicateur de 2,2 concerne également les installations photovoltaïques mises en service à partir du 1er janvier 2013.Art. 3. Le présent arrêté entre en vigueur le jour de sa publication au Moniteur belge.

Bruxelles, le 12 juillet 2012. E. HUYTEBROECK

L’accord de la coalition gouvernementale Di Rupo I contient une liste de mesures et de réformes. Nombreuses sont celles qui concernent les aides aux économies d’énergie des bâtiments. Ainsi, les déductions fiscales liées à différentes catégories de mesures permettant d’épargner l’énergie dispa-raissent. Il s’agit notamment de :

1. Entretien et remplacement d’une chaudière. 2. Installation de vannes thermostatiques ou thermostat d’ambiance programmable. 3. Installation de vitrages à haut rendement. 4. Audit énergétique de la maison. 5. Installation d’une pompe à chaleur ou d’un système d’énergie géothermique. 6. Installation d’un chauffe-eau solaire. 7. Installation de panneaux photovoltaïques. (Attention : le règlement concernant les

certificats verts énergétiques est toujours d’application.)

nAVANTAGES FISCAUX : LES DISPARUS DE 2012

nBRUXELLES, NOUVEL ARRÊTÉ MINISTÉRIEL : adaptation du coefficient multiplicateur du nombre de certificats verts.

La biomasse peut être valorisée de diffé- rentes manières : industrielle (bois de construction, menuiserie, emballage, papier, panneau, chimie végétale…), énergétique (bois de chauffage, carburants, …), alimen-taire et esthétique ou « simplement « partici-per à l’équilibre écologique.

La valorisation énergétique de la biomasse se fait essentiellement par combustion. Une par-tie de la chaleur produite peut être transfor-mée en une énergie mécanique (travail) par un moteur. Si le moteur est couplé à une généra-trice électrique, il y a production d’électricité.

Pour les fins énergétiques, la biomasse est conditionnée sous la forme d’un combustible solide (bûches, plaquettes, granulés, charbon de bois, biomasse torréfiée), un carburant gazeux soit par biométhanisation (biogaz ou

biométhane), soit par gazéification (gaz de synthèse) ou en un carburant liquide (biocar-burant ou agrocarburant).La biomasse peut être préparée comme un ali-ment. Elle constitue la ressource énergétique indispensable à la vie des êtres vivants hété-rotrophes. D’une certaine manière, l’agricultu-re est une activité de production énergétique à des fins métaboliques. Aujourd’hui avec le débat sur les biocarburants, alimentaire et in-dustrie énergétique sont directement en com-pétition. Plus fondamentalement, toutes les activités sont en compétition dès qu’elles né-cessitent de l’espace. Les systèmes de conver-sion de la biomasse sont des équipements de combustion (poêles, chaudières), des moteurs à combustion interne et des moteurs à com-bustion externe avec ou sans récupération de la chaleur. Si la chaleur est récupérée le sys-tème rentre dans la famille de la cogénération.

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Livré sous forme de panneaux de laine de verre roulés et non revêtus, le TI 132 U de Knauf Insulation a été conçu pour l’isolation thermique et acoustique des toitures inclinées, en rénovation ou en construction neuve. Doté d’une va-leur lambda très basse (0,032 W/m.K), il présente, alors qu’il est moins épais, la même résistance thermique (valeur R) qu’un produit plus épais présentant une valeur lambda plus élevée.

nMise en œuvre L’isolant est posé entre les chevrons et les fermes composant l’ossature de la toiture. Fort d’une densité et d’une rigidité accrues qui augmentent l’élasticité latérale, le TI 132 U se cale entre des chevrons très espacés sans fixations supplémen-taires. Conséquences : Une surface de coupe plus droite et une mise à dimension simplifiée grâce aux repères de coupe imprimés tous les 10 cm.

nUn produit naturel et écoénergétique

Un toit non isolé est responsable de 30 % des

déperditions calorifiques d’une habitation. Pour-tant, en Belgique, environ une toiture sur cinq ne dispose d’aucune forme d’isolation. Outre les di-verses primes régionales, l’isolation d’une toiture donne droit à une déduction fiscale de 30 %, avec un plafond fixé à 2 930 €.

nCaractéristiques techniquesEpaisseurs : 60, 80, 100, 110, 120, 130, 140, 150, 160 mm Valeur lambda : 0,032 W/m.K Réaction au feu Euroclasse : A1

nKNAUF : ISOLATION POUR TOITURES ET gRENIERS nECOSE®

TEChNOLOGy : LAINE DE VERRE ‘PROPRE’Knauf insulation est la première en-treprise à avoir commercialisé un liant unique, basé sur des matières premières naturelles rapidement renouvelables. sa couleur marron caractéristique, sans co-lorants artificiels, permet à l’utilisateur d’identifier clairement l’authentique laine de verre dotée de la technologie eCose® technology. dépourvue de for-maldéhyde, de phénol, d’acrylates et de produits de blanchiment, la laine de verre non revêtue avec eCose techno-logy contribue à améliorer la qualité de l’air à l’intérieur de l’habitation, en té-moigne la certification eurofins indoor air Comfort.



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Dans le but de préserver l’environnement, les Régions ont mis en place un processus de

certification qui découle de la directive euro-péenne 2002/91/CE. Les certificats énergétiques, plus connus comme Certificats PEB (Performance Energétique du Bâtiment) sont désormais obli-gatoires pour toute vente ou location d’un bien immeuble ou d’habitation individuelle, il s’agit de la certification résidentielle (appartements et mai-sons unifamiliales). Il existe aussi une certification des bâtiments tertiaires (commerces, restaurants, hôtels, bureaux, banques,…) et bâtiments publics (hôpitaux, écoles,…) .

nOBjECTIFSL’objectif initial de la certification PEB a été de ré-pondre aux exigences du protocole de Kyoto qui vise à réduire l’impact du réchauffement clima-tique auquel l’Union Européenne s’efforce de ré-pondre. Le certificat permet de repérer les pertes d’énergies et de pouvoir y remédier pour optimi-ser sa consommation et contribuer ainsi à la ré-duction de CO2. Ceci découle aussi des directives Européennes 2002/91/CE et 2010/31/UE du par-lement européen et du conseil du 16 décembre 2002 et du 19 mai 2010.L’objectif concret est de donner à tout propriétaire ou futur acquéreur, ainsi qu’aux locataires, une vi-sibilité détaillée sur la consommation énergétique de leurs biens ou du bien qu’ils habitent. C’est une carte d’identité énergétique du bâtiment et de la consommation qu’il génère. Ce certificat permet-tra à des futurs acquéreurs de pouvoir comparer des bâtiments en fonction de leur consommation d’énergie et de comparer ainsi leur label (comme sur les appareils électroménagers).En bref, un acheteur sera plus intéressé à acqué-rir un bien avec un bon certificat PEB car il aura moins de frais à faire pour rénover ce bien, et un locataire sera intéressé par un bien où il aura moins de charges de gaz et électricité.

Lors des dernières négociations de notre gouver-nement, nous apprenions que le propriétaire d’un bien avec un bon résultat aura des avantages fis-caux et à l’inverse, ceux disposant d’un bien mal isolé, devront payer des impôts plus élevés.

nLéGISLATIONPour les trois Régions, le certificat PEB est devenu obligatoire pour tous les bâtiments résidentiels depuis le 1er juin 2011, voici l’historique :

nA BRUXELLES CApITALELe certificat PEB est obligatoire depuis le 1er mai 2011 pour toute vente de bien d’habitation (mai-sons, appartements, immeubles à appartements). Et depuis le 1er novembre 2011 pour toute location.

nEN FLANDRESLe certificat PEB est obligatoire depuis le 1er

novembre 2008 pour toute vente et location de maisons, appartements et immeubles à apparte-ments.

nEN WALLONIELe certificat PEB est obligatoire pour les ventes de maisons résidentielles depuis le 1 juin 2010, et un an plus tard, en juin 2011, il est devenu obligatoire pour les ventes d’appartements ainsi que pour toute location de bien.

nLE CONTRôLE EN pRATIqUE Pour vous délivrer un certificat PEB, un Certifica-teur viendra mesurer votre volume protégé et les superficies de déperdition de votre bien : murs, toitures, planchers, vitrages (simples ou doubles). Il prendra note de la présence ou absence d’iso-lants, et identifiera les systèmes de chauffage et production d’eau chaude. Il prendra note aussi des systèmes existants de refroidissement, ven-tilation, co-génération et auxiliaires. Pour finir il

nCERTIFICATION pEB : PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT enregistrera également la présence de panneaux solaires ou photovoltaïques.Toutes les données récoltées sont ensuite intro-duites par une méthodologie stricte, dans des logiciels pourvus par l’Institut Bruxellois pour la gestion de l’Environnement (IBgE) ou la Région Wallonne ou Région Flamande pour élaborer un certificat basé sur des mesures standard qui visent la reproductibilité d’un même certificat.

Le Certificat PEB vous indique un résultat sur base d’indices qui représentent le rapport entre la consommation annuelle d’énergie et la super-ficie du plancher chauffé du bâtiment. C’est une consommation théorique annuelle calculée par mètre carré de superficie brute de votre bien. (‘A’ = logement économe ; jusque ‘g’ = logement énergivore).

Afin de faciliter et accélérer la visite des contrô-leurs, les documents et preuves suivantes peuvent vous garantir un meilleur résultat PEB et, accessoi-rement, un meilleur tarif aussi :- Plan d’architecte de la maison ou l’appartement- Factures de matériaux isolants qui ont été placés- Photos chronologiques des travaux/rénovations

servant de preuve que des isolants ont été placés

- Demandes de subsides- Cahier de charges- Factures d’entrepreneurs- Rapports de chantier- Fiches Techniques des chaudières et rapports

d’entretienSi vous n’avez pas ces données, ceci n’influence en rien la visite, mais ce qui n’est pas visible pour le certificateur devra être noté comme valeur par dé-faut dans le logiciel. Les contrôleurs n’effectuent pas d’analyse destructive (les contrôleurs n’ont pas besoin de faire des percées dans les murs ou les toitures pour vérifier le matériel isolant).

nGREENWATCh, SOLUTIONS PHOTOVOLTAÏQUES COMPLÈTES Développé et proposé par SunSwitch, le système de monitoring greenWatch , issu d’une techno-logie de pointe; récolte et envoie les données de production de l’installation photovoltaïque aux clients afin de suivre leur production au jour le jour. Ce service est prévu par défaut sur toutes les installations SunSwitch pour les deux premières

années de production. Il peut être prolongé par la suite. En pratique, les données de production du sys-tème photovoltaïque sont envoyées chaque soir via gPRS sur un serveur informatique. Les don-nées sont ensuite affichées de façon sécurisée sur le site de l’installateur photovoltaïque et chaque client peut ainsi accéder en toute sécurité à ses propres données de production.

GREEN WATCh TRADING : 72 € gARANTIS PAR CERTIFICATS VERTS EN WALLONIE !Egalement destiné aux clients de la marque, un service supplémentaire de gestion, le greenWatch Trading, assure la gestion automatisée des Certifi-cats Verts et l’achat trimestriel de ceux-ci à un prix supérieur à la valeur réelle du marché. En effet, si produire son énergie est une chose, gé-rer la revente des Certificats Verts en est une autre sur un marché où le prix minimum garanti devient le seul recours.

Dans les premières années de la commercialisa-tion de la technologie photovoltaïque, revendre ses Certificats Verts était assez facile. Le gou-vernement wallon avait mandaté une ASBL, les Compagnon d’Eole, pour venir en aide aux pro-priétaires des Certificats en jouant le rôle d’agré-gateur. Le marché s’étant développé, les acteurs se sont multipliés et la dotation de l’ASBL n’a pas été prolongée. Véritable marché de l’offre et de la demande, la revente des Certificats Verts est de-venue aujourd’hui pour beaucoup la clé de voûte de la rentabilité. Le prix minimum garanti des Certificats Verts est toujours de 65€. Ce mécanisme de soutien à la production d’énergie verte est un élément non-négligeable pour une rentabilité rapide de son installation. Au plus le prix de revente est éle-vé, au plus la rentabilité de son système est inté-ressante. SunSwitch a donc développé un service de rachat des Certificats Verts de ses clients à un prix supérieur à la valeur du marché : 72€ garantis jusqu’au 31 décembre 2018.

Info : sunwitch.be

ALLEUR Rue de Wallonie 16, 4432 Alleur · ANDERLECHT Boulevard Industriel 198, 1070 Bruxelles · ARLON Route de Neufchâteau 173, 6700 Arlon · CHARLEROI Chaussée de Fleurus 157, 6041 Gosselies · DIEST Leuvensesteenweg 202, 3290 Diest · NAMUR Rue d’Enhaive 188, 5100 Jambes · WONDELGEM Industrieweg 12, 9032 Wondelgem · ZAVENTEM Leuvensesteenweg 536, 1930 Zaventem

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nSDRB – ExPANSION ÉCONOMIQUEnSDRB : UNE ENTREpRISE éCO-DyNAMIqUEEn tant qu’entreprise éco-dynamique trois étoiles, la SDRB a développé au fil des années une stratégie d’éco-gestion pour son siège social, avec une at-tention particulière à la question des économies d’énergie par une meilleure gestion des installations techniques et une sensibilisation du personnel.

Dans les projets immobiliers qu’elle développe pour l’accueil des entreprises, la SDRB a adopté depuis quelques années une démarche volontariste pour dépasser les normes PEB et anticiper l’avenir.Le bâtiment Lavoisier à Molenbeek, dont le permis d’urbanisme avait été in-troduit avant l’entrée en vigueur de la législation PEB, est une parfaite illustra-tion de cette attitude proactive. grâce à une rénovation intelligente achevée en 2011, ce bâtiment de 6.663 m2 est passé de la passoire thermique à un bâtiment basse énergie, avec un score B+ sur le certificat énergétique !

nSDRB : SOUTENIR CONCRèTEMENT LES ENTRE-pRISES FACE à LA qUESTION DE L’éNERGIE

Forte de ses propres expériences de ‘promoteur public’, la SDRB soutient éga-lement les entreprises qui s’installent sur ses sites d’activité économique dans leurs démarches d’éco-conception de leurs bâtiments.Dès 2009, deux exemples remarquables ont permis de montrer qu’une autre manière de concevoir les bâtiments tertiaires était possible.Le magasin Caméléon, la plus grande surface commerciale en Europe sans air conditionné, s’est construit sur le site Vésalius.Renove-Electric, entreprise de pose de panneaux phot ovoltaïques im-plantée sur le site Martin, a construit un bâtiment passif et exploite l’énergie solaire pour arriver à un bilan CO2 neutre ! Cette démarche d’efficacité éner-gétique a depuis fait des émules et d’autres bâtiments exemplaires voient le jour de manière régulière sur les sites de la SDRB.Dernière action en date, en septembre de cette année, la SDRB a décidé de soutenir 5 entreprises locataires de bâtiments dont elle est propriétaire, en

permettant à celles-ci de contracter avec un tiers investisseur pour l’installa-tion de panneaux photovoltaïques sur les toitures plates des bâtiments qui les accueillent. Les entreprises pourront tirer un profit direct de la production d’électricité verte pour diminuer leur facture.

La SDRB agit donc à plusieurs niveaux pour susciter le changement des pra-tiques liées à nos consommations d’énergie : diminuer nos consommation et engager la transition vers des modes de production renouvelables et non polluants.

nSDRB : 2 NOUVEAUX pROjETS DE LOGEMENTS

1. Piers sCHMitZ• Bâtimentélucomme«BâtimentExemplaire»parl’IBGE• 10logementset1commerce,tous«passifs»• Production d’eau chaude sanitaire centralisée pour les 10 logements

(puissance nominale chaudière : seulement 28 KW, soit la puissance d’une chaudière murale dans un petit appartement, pour fabriquer l’eau chaude de 10 logements !!!)

• Cette chaudière est assistée par des panneaux solaires thermiques entoiture.

• Graceauxprimes«BATEX»,uneinstallationdepanneauxphotovoltaïquesera prévue en toiture. Celle-ci devrait pourvoir à une grande partie de la consommation des communs de l’immeuble, au bénéfice des occupants.

• Ventilationdoublefluxcentralisée• Miseenplaced’unparkingvélo(1vélo/chambre)• Toitureverteextensive,participantauxréductionsd’émissionsdeCO2.

2. dUCUroir• Immeuble construit en partenariat public / privé, la part de logements

SDRB seront « passifs », la part de logement privés seront « Basse Energie » • Récupérationettraitementdeseauxgrisespourutilisationdansleschasses

d’eau.• Toitureverteextensive,participantauxréductionsd’émissionsdeCO2.• Ventilationdoublefluxcentralisée• Miseenplaced’unparkingvélo(1vélo/chambre)• Création de potagers participatifs et d’une zone de jardin paysagé en

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Elsingor est depuis peu importateur exclusif sur la Belgique des pompes à chaleur Waterkotte.La pompe à chaleur (= PAC) est un système qui transporte l’énergie captée à l’extérieur pour la restituer à l’intérieur de la maison. Il existe des solutions qui vont chercher les calories dans l’air, nous parlons alors d’aérothermie et des solutions qui vont chercher les calories dans le sol, nous parlerons cette fois de géothermie.La performance énergétique d’une pompe à chaleur se traduit par le rapport entre la quantité de chaleur produite par celle-ci et l’énergie élec-trique consommée pour la produire. Ce rapport s’appelle « Coefficient de performance » (COP). Plus il est élevé, plus le système est performant. Les pompes à chaleur Waterkotte ont un fonc-tionnement qui respecte les ressources naturelles et renouvelables (l’air, l’eau et la terre) et qui pré-serve l’habitat des pollutions (pas de résidus de combustion).

nTRAINREBUILD : l’Efficacité Energétique en CopropriétéSoutenu par le programme Energy Intelligent Europe, le projet Trainrebuild rassemble des as-sociations de six pays de l’Union Européenne. Le but est de favoriser et d’amplifier la rénovation énergétique des bâtiments existants, aujourd’hui trop faible pour atteindre les objectifs européens en matière d’économie d’énergie.Pour y arriver, il convient d’agir sur la demande, donc sur les propriétaires et sur les différentes parties prenantes représentant les copropriétés. (Syndics, conseil de Copropriétés etc.. ). Le projet européen Trainrebuild vise à concevoir une straté-gie qui permettra de générer un changement du mode de pensée des propriétaires de bâtiments résidentiels quant au lien entre efficacité énergé-tique et valeur patrimoniale du logement.Il s’agit d’un véritable partenariat avec pour ob-jectif le développement d’une formation et de modèles de communication visant à augmenter le niveau de l’efficacité énergétique et favoriser l’intégration des énergies renouvelables dans les bâtiments résidentiels européens. La problématique de la copropriété en cette ma-tière est encore plus délicate et plus compliquée car souvent méconnue.Il y a en Belgique plus d’un million d’apparte-ments placés sous le statut de la copropriété ; le phénomène copropriété permet de répondre

pleinement à la problématique liée au dévelop-pement durable. En effet, face au développement démographique mondial, au vieillissement de la population (une fille qui nait aujourd’hui aura une chance sur deux de devenir centenaire), au coût des énergies grandissant, imposant une rationa-lisation de leur usage, le « produit copropriété » peut être considéré comme une des solutions à mettre en évidence.• par l’économie des besoins générés par les

habitants• unemeilleureexploitationdesénergiess’inscri-

vant dans une protection environnementale et de durabilité.

• par une socialisation des relations entre leshabitants et le voisinage.

La Copropriété présente toutefois fréquemment une image négative, perception résultant de cette notion de communauté, génératrice de conflits.Mais au-delà, la lenteur décisionnelle, les dis-positions légales relatives aux majorités et le formalisme inhérent aux assemblées générales associées à la complexité de la mise en œuvre des projets ( souvent en raison de l’absence de moyens financiers suffisants au sein de certains bâtiments), constituent les obstacles majeurs pour générer une véritable politique énergétique au sein des copropriétés.Alors qu’il est assez fréquent de constater que le budget affecté à l’énergie au sein des coproprié-tés est de plus de 50% du budget total de celle-ci, le risque de précarité énergétique devient im-portant, avec pour conséquence de générer des situations sociales graves, de détériorer le tissu

urbain en ruinant les initiatives des autorités locales et en mettant en péril un patrimoine im-mobilier social ou privé.L’Association Belge des Syndics et Administrateurs de Biens (ABSA), en collaboration avec le Syndicat National des Copropriétaires, participe à la réali-sation de cet objectif par son adhésion au projet Trainrebuild.

nEvénements :

Deux colloques sur ce thème se dérouleront le 11 Octobre 2012 à Bruxelles et le 26 octobre 2012 à namur.Ils permettront de donner la parole à la Région de Bruxelles Capitale et à l’Institut Bruxellois de gestion de l’Environnement, qui traiteront de la problématique particulière que constituent les copropriétés et parallèlement de proposer une véritable formation dispensée aux syndics, co-propriétaires, architectes , et certificateurs éner-gétiques, de manière à présenter l’outil de sen-sibilisation mis au point et de déjà recevoir les commentaires les plus pertinents en vue d’opti-maliser cet outil.Conscient qu’il convenait d’apporter encore des outils complémentaires à l’initiative, un site in-ternet a été créé ( www.coproverte.eu). Il a pour objectif de devenir une véritable bibliothèque des réflexions et des bonnes pratiques sur le sujet. Des initiatives portant sur des formations complé-mentaires pour des thèmes associés sont d’ores et déjà prévues.Info .: Association Belge des Syndics et Administrateurs de Biens (ABSA) - www.absa.be et www.coproverte.eu

nAvantages : • Chauffage, eau chaude sanitaire (ECS), ballon

d’eau chaude de 250 litres, chauffage piscine…• 3 à 6 foismoins énergivores que le chauffage

électrique.• Solutions idéales pour le chauffage des nou-

velles constructions.• Rénovation, relève ou remplacement de votre

chaudière actuelle.• Fonctionnementsurradiateur,ventilosconvec-

teurs et chauffage sol.• Centrale de chauffe pompes à chaleur Air-Eau

en cascade jusqu’à 56kW par module.• Régulation performante avec modulation de

puissance sur la pompe extérieure et variation de la température de l’eau en fonction de la température extérieure avec courbe de chauffe.

• Contrôle de la machine par interface web :Androïd, PC, iPhone, tablettes.

• Avec lessolutionsgéothermiques,c’est jusqu’à73% plus économique que le mazout, jusqu’à 61% que le gaz et enfin jusqu’à 58% que les granulés de bois.

• ChauffageetECSà60°jusqu’à-25°Cextérieur.• Coefficientdeperformance(COP)stabledeplus

de 5 (selon la norme TUV).• Fiabilitégermano-nipponne.• Réduction globale de la pollution (diminution

du CO2).• Nenécessitenicuveniconduitesdegaz.

Info.: www.elsingor.be

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