souvenir des soldats de la grande guerre...croix de guerre est collée au dos. ii – le soldat...

Mallette Souvenir des Soldats de la Grande Guerre 1/17

SOUVENIR DES SOLDATS DE LA GRANDE GUERRE

Contenu de la mallette pédagogique : fac-similés de documents et objets d’époque.

A l’occasion du 90ème anniversaire de la Première Guerre mondiale, il nous est apparu nécessaire de nous associer à ces célébrations par un travail pédagogique destiné aux élèves du primaire et du secondaire. En effet, les derniers combattants disparaissent peu à peu ; la mémoire familiale s’éteint : une mallette pédagogique pouvait remplacer ces éléments du souvenir et mener les élèves à étudier cette guerre de façon concrète en retrouvant d’abord l’itinéraire de deux soldats, Henri Brion et M.A. Valentini. Grâce à des reproductions de documents originaux et à des sites Internet, les élèves peuvent voir la vie, les combats et la mort de ces deux hommes tués en 1916-1917. Des objets originaux provenant du Musée de l’histoire du fer à Jarville, près de Nancy, complètent cette étude humaine en permettant aux élèves de comprendre, en les touchant, la vie quotidienne du combattant et ses souffrances. Cette mallette, qui pourra s’enrichir, peut aussi amener les élèves à retrouver une histoire familiale, des objets ayant appartenu à leurs aïeux et à perpétuer le souvenir de ces combattants. Enfin, cette mallette peut sensibiliser les élèves, originaires d’une région meurtrie par cette guerre, aux dangers représentés par les obus non éclatés, explosifs ou à gaz, qui continuent à faire des victimes.

SERVICE EDUCATIF

MUSEE DE L’HISTOIRE DU FER


Présentation des partenaires

Jérôme JANCZUKIEWICZ : Agrégé d’Histoire, docteur en Histoire moderne (Université Paris IV – Sorbonne). Passionné par la Première Guerre Mondiale, aimant à visiter les champs de bataille de la Marne, le Chemin des Dames et la Somme pour retrouver les conditions de vie des soldats et étudier de visu les sites de la Grande Guerre. Collectionneur d’objets (photos, médailles, diplômes) de cette période. Le Musée de l’histoire du fer : présente de manière chronologique l’évolution des techniques de production du fer, de la fonte et de l’acier dans leurs contextes économiques, sociaux et culturels. Ses collections contiennent plusieurs souvenirs de la Grande Guerre : canons dont un modèle 75, obus, etc. Jean-Luc REMY : directeur du Musée de l’histoire du fer, historien de formation. Officier de réserve diplômé d’état-major (Orsem) ; officier traitant à l’état-major de la 4e brigade aéromobile – Essey-lès-Nancy (54). A assuré les fonctions de conservateur de la Salle d’Honneur du 26ème régiment d’infanterie, le Régiment de Nancy entre 1996 et 2004. Les collections de cette Salle d’Honneur sont désormais conservées au Musée de l’Infanterie, à Montpellier, qui a mis en dépôt auprès de la Ville de Nancy les éléments de ce patrimoine se rapportant directement à l’histoire nancéienne, au profit du Musée lorrain. Son grand-père paternel, Charles Gabriel Remy, dit Albert, originaire de Frolois (54), caporal de réserve au 39e régiment d’artillerie (20e corps d’armée, Nancy) est mort pour la France le 4 septembre 1914 à l’hôpital du camp de Mailly (10). Il est inhumé au cimetière national de La Fère Champenoise (51). Le Service éducatif du Musée de l’histoire du fer : composé de François LEMOINE et Jean-Marc MAUCOTEL, professeurs chargés de Mission par le Rectorat de l’Académie de Nancy-Metz. Le service remplit des missions d’animation pour les scolaires au sein du musée, de pilotage de projets et de formation des enseignants (formation initiale et continue). Il est, à ce titre, un partenaire important de l’IUFM de Lorraine et particulièrement bien implanté en tant que centre de ressources pédagogiques dans les écoles primaires. Kadriye LEMOINE : Professeur des Ecoles, engagée dans les P.A.R.I. Musées (Projet Académique de Recherche et d’Innovation) pour l’utilisation pédagogique des ressources muséales.


DOCUMENTS DE LA MALLETTE (Repris en plus grande taille en annexe du présent document)

Photo du Caporal Clairon Henri BRION (Collection particulière)

Carte commémorative d’Henri BRION – Recto (Collection particulière)

Carte commémorative d’Henri BRION – Verso avec Croix de Guerre à trois citations

Photo aérienne du secteur de BOUCHAVESNES Prise le 27 septembre 1916 par le 5ème Corps aérien, deux jours après la mort d’Henri BRION (Collection particulière)


Carte postale : le cimetière militaire français de BOUCHAVESNES 1920 (Collection particulière).

Diplôme du 152ème RI avec la citation du soldat (n° 200) faite par le colonel en décembre 1917, et les deux médailles : à droite la médaille militaire, à gauche la croix de guerre avec une étoile de bronze (Collection particulière)


MISE EN ŒUVRE DE LA MALLETTE

Document de référence, progression pour l’enseignement secondaire (classe de première)

Jérôme JANCZUKIEWICZ

Les élèves peuvent étudier deux soldats français de la guerre de 1914-1918 grâce à la reproduction de documents originaux et trois sites Internet : www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (recherche de la fiche du soldat) www.association14-18.org (historique des régiments d’infanterie) http://perso.wanadoo.fr/chtimiste/regiments/cavalerie.htm (historique des régiments de cavalerie) . http://perso.wanadoo.fr/vauquois.sno (sur la butte de Vauquois) I – Le caporal Henri Brion a- L’identification Avec la carte commémorative et la recherche sur Internet où figurent 5 Henri Brion. La sélection se fera grâce :

- au grade : caporal, - au régiment : 46ème RI (garnison de Paris et Fontainebleau), - à la date de la mort : 25 septembre 1916.

Voir la fiche de Henri Alexis Brion, né le 02/11/1891 à Charbuy (Yonne), classe 1911 (il a été appelé à 20 ans et a subi la loi des 3 ans, son service étant prolongé d’un an, jusqu’en 1914). b- La guerre Avec la photo du caporal et la carte commémorative. La photo, certainement prise entre 1911 et 1914 (uniforme bleu et rouge, képi) montre Brion avec son clairon, l’air décidé, avec ses camarades (mais la photo a été coupée). Il était sans doute de petite taille (veste d’uniforme large, le fusil Lebel d’1m30 semble bien long …). Son premier engagement est mentionné en 1915. Son régiment est en Argonne. Il fait partie de la 19ème brigade, de la 10ème DI, présente à Vauquois du 14/02/1915 au 01/08/1916, appartenant au 5ème CA de la IIIème armée, commandée par le général Sarrail jusqu’au 21/07/1915 puis par le général Humbert. Brion sert d’agent de liaison (porteur de messages) et de clairon. Il se signale par sa bravoure et son caractère volontaire notamment lors d’une charge contre un village fortement défendu les 28/02 et 01/03/1915 (village de Vauquois dans la Meuse). Il obtient une citation au régiment, suivie de la croix de guerre créée en avril 1915, (voir la date au revers de la médaille), avec une étoile de bronze. Deuxième citation le 29 mai 1916. Toujours décidé et plein d’entrain, le caporal, sous un bombardement allemand, sauve des camarades enterrés vivants dans leur abri par des torpilles (charges souterraines ?), d’où sa 2ème citation et sa 2ème étoile de bronze. Son régiment se trouve encore à Vauquois et combat sur la butte soumise à des tirs de mines.


La troisième citation est posthume. Brion est tué le 25 septembre 1916, à son poste de combat à Bouchavesnes (Somme). 3ème citation qui loue son courage et 3ème étoile. c- La mort et le souvenir Henri Brion est mort lors de la bataille de la Somme, une grande offensive franco-britannique (1er juillet – 15 novembre 1916), à 25 ans. Bouchavesnes est le point extrême de l’avancée française, non loin de Péronne, dans le secteur de la VIème armée française (dirigée par le général Fayolle). Le village a été pris le 12 septembre par le 7ème CA et a fait l’objet de violentes contre-attaques allemandes. Description de la photo aérienne : le village est anéanti (ruines de l’église, celles des habitations ne se voient presque plus, un bâtiment intact au milieu), sol lunaire avec nombreux trous d’obus, nombreuses tranchées en zigzags ou en créneaux. La photo a été prise le 27/09/1916, deux jours après la mort du caporal et montre le secteur français qui forme un saillant (voir carte d’état-major). La carte postale (datée de 1929) montre le cimetière militaire de Bouchavesnes : nombreuses croix blanches avec identité du mort, très serrées, et récentes (tertres de terre). Chapelle à l’arrière avec maison du gardien. La famille de Brion (l’oncle a fait une mention manuscrite) a fait éditer une carte commémorative, bordée des 3 couleurs, et de deux drapeaux, reprenant ses citations. Sa croix de guerre est collée au dos. II – Le soldat Valentini a- L’identification Même méthode plus lecture du diplôme. Soldat de 2ème classe, d’origine italienne (Marie-Angèle = Angelo Maria), né le 27/03/1896 à Cornimont dans les Vosges. Mort à Vauclerc (Aisne) le 22/05/1917 à 21 ans. b- Les combats Diplôme et cartes d’état-major. Fait partie du 152ème RI (garnison Langres-Gérardmer). Soldat brave et courageux, il combat à Cléry (sur Somme), village de la Somme pris le 3 septembre 1916 par le 7ème CA et à Sailly (- Saillisel) pris par le 32ème CA, où se déroulèrent de violents combats du 07/10/16 au 01/11/1916. Il a donc, lui aussi, combattu sur la Somme dans la VIème armée comme Brion, mais au nord et au sud de Bouchavesnes. En avril/mai 1917, la VIème armée se trouve dans l’Aisne pour l’offensive du Chemin des Dames (avec une 1ère grande attaque les 16-17/04/1917 et une 2ème les 04-05/05/1917). Marie-Angèle Valentini est tué le 22/05/1917 sur le plateau de Vauclerc, point chaud de la bataille, à l’ouest de Craonne, en montant à l’assaut des lignes allemandes, au moment où éclatent les premières mutineries. c- Le souvenir Sa famille obtient, le 17/04/1919, un diplôme du 152ème RI avec la citation du soldat (n° 200) faite par le colonel en décembre 1917, et deux médailles : à droite la médaille militaire, à gauche la croix de guerre (date invisible, figure au dos) avec une étoile de bronze. Valentini repose (sans doute) à Vauclerc.


MISE EN ŒUVRE DE LA MALLETTE

Fiche de préparation du cours pour l’école primaire (cycle III, CM2)

Kadriye LEMOINE

La Première Guerre mondiale :

Souvenir des soldats de la Grande Guerre CM Les élèves vont étudier l’itinéraire d’un soldat français de la guerre de 1914-1918 grâce à la reproduction de documents originaux et trois sites Internet. Un travail de recherche et d’investigation leur permettra de comprendre les phases de la guerre, connaître les armes utilisées et surtout ils seront sensibilisés à la vie difficile des soldats et aux énormes pertes humaines. Points du programme d’histoire : la planète en guerre : l’extrême violence du siècle.

Déroulement :

Séance 1 Durée : 40 min.

Organisation : collective, classe entière

Matériel : -la photographie du caporal Henri Brion x 12 -la carte de citations x 12 -un casque français modèle Adrian 1915 -un casque britannique ou casque allemand Bier-Marx modèle 1916 -éventuellement, une gourde de soldat français -éventuellement se procurer le livre : Les habits de l’Histoire, encyclopédie visuelle bilingue Gallimard (ISBN 2-07-057516-0) pour étude des uniformes page 42-43 et des décorations page 30-31

Objectifs : Participer à l’examen collectif d’un document historique en justifiant son point de vue. Avec l’aide du maître, raconter un évènement ou l’histoire d’un personnage. Trouver sur la toile des informations historiques simples, les apprécier de manière critique et les comprendre. Comprendre un document historique simple en relation au programme, en lui donnant son statut de document. Noter des informations historiques dégagées pendant l’examen d’un document. Rédiger une courte synthèse. Comprendre les différentes phases de la guerre. Acquisition de vocabulaire.


Point de départ : Présenter la photographie du caporal Henri Brion. Dans un premier temps, laisser les élèves s’exprimer : -observation du document : nature (photographie jaunie, ancienne, souvenir de famille…) -observation de l’homme : soldat (barbe, costume, armes, époque…)

La photo, certainement prise entre 1911 et 1914 (uniforme bleu et rouge, képi) montre Brion avec son clairon, l’air décidé, avec ses camarades (mais la photo a été coupée). Il était sans doute de petite taille (veste d’uniforme large, le fusil Lebel d’1,30 m semble bien long…)

Poser le problème : Qui est cet homme ? Quand cette photo a-t-elle été prise ? Où ? Qu’est devenu cet homme ? Recherche documentaire : Les élèves recevront la citation. Après une brève explication de la nature et la fonction de ce document, demander aux élèves de procéder à l’identification :

L’identification : avec la carte commémorative et la recherche sur Internet où figurent 5 Henri Brion . La sélection se fera grâce :

- au grade : caporal ; - au régiment : 46ème RI (garnison de Paris et Fontainebleau) ; - la date de la mort : 25 septembre 1916.

Etude des citations : les deux phases de la guerre : guerre de mouvement, guerre de position Première citation :

Son régiment est en Argonne, Brion sert d’agent de liaison (porteur de messages) et de clairon. Il se signale par sa bravoure et son caractère volontaire notamment lors d’une charge contre un village fortement défendu les 28/02/1915 et 01/03/1915 (village de Vauquois dans la Meuse). Il obtient une citation au régiment, suivie de la croix de guerre créée en avril 1915, (voir la date au revers de la médaille), avec une étoile de bronze.

Deuxième citation :

Le 29 mai 1916. Toujours décidé et plein d’entrain, le caporal, sous un bombardement allemand, sauve des camarades enterrés vivants dans leur abri par des torpilles, d’où sa 2ème citation et sa 2ème étoile de bronze. Son régiment se trouve encore à Vauquois et combat sur la butte soumise à des tirs de mines.

Laisser les élèves imaginer successivement les deux scènes. Insister sur la différence entre les deux phases. Proposer des photographies tirées des manuels scolaires d’histoire sur lesquelles des tranchées et des éléments d’artillerie sont présentés. Introduire le vocabulaire : artillerie, obusiers, canons, tranchées, gaz de combat… Présentation et description des différents casques.


Organisation : collective, classe entière

Matériel : -la carte de citations x 12 -la photo aérienne de Bouchavesnes x 12 -la carte postale montrant le cimetière de Bouchavesnes x 12

Objectifs : Participer à l’examen collectif d’un document historique en justifiant son point de vue.


Avec l’aide du maître, raconter un évènement ou l’histoire d’un personnage. Trouver sur la toile des informations historiques simples, les apprécier de manière critique et les comprendre. Comprendre un document historique simple en relation au programme, en lui donnant son statut de document. Noter des informations historiques dégagées pendant l’examen d’un document. Rédiger une courte synthèse. Placer des villes sur une carte. Connaître les conséquences géopolitiques, économiques et humaines de la guerre. Citoyenneté : s’inscrire dans l’histoire d’une région. Se sentir concerné. Troisième citation :

Elle est posthume et loue le courage de Brion. Il est tué le 25 septembre 1916, à son poste de combat.

Poser le problème Les élèves devront à présent répondre a cette question : Comment et où ce soldat est-il mort ? Recherche documentaire Une recherche sur Internet, sur le site www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr permettra aux élèves de trouver le lieu de décès, mais aussi la date de naissance de Brion.

Voir la fiche de Henri Alexis Brion, né le 02/11/1891 à Charbuy (Yonne), classe 1911 (il a été appelé à 20 ans et a subi la loi des 3 ans , son service étant prolongé d’un an , jusqu’en 1914) Ce soldat est mort à Bouchavesnes (Somme).

(en annexe la fiche outil qui permet de retrouver ces informations sur le site) Lecture de photographies : la photographie aérienne de Bouchavesnes et la photographie d’un cimetière militaire.

Description de la photo aérienne : le village est anéanti (ruines de l’église, celles des habitations ne se voient presque plus, un bâtiment intact au milieu), sol lunaire avec nombreux trous d’obus, nombreuses tranchées en zig-zag ou en créneaux. La photo a été prise le 27/09/1916, deux jours après la mort du caporal et montre le secteur français qui forme un saillant. La carte postale (datée de 1929) montre le cimetière militaire de Bouchavesnes : nombreuses croix blanches avec identité du mort, très serrées, et récentes (tertres de terre). Chapelle à l’arrière avec maison du gardien. La famille de Brion (l’oncle a fait une mention manuscrite) a fait éditer une carte commémorative, bordée des 3 couleurs et de deux drapeaux, reprenant ses citations. Sa croix de guerre est collée au dos.

Description de la photographie d’un cimetière militaire : faire constater que les croix sont très rapprochées, ce qui signifie qu’il y a un nombre important de soldats enterrés à cet endroit.

Un travail de repérage de ces noms de villes et villages et d’autres villes comme notamment Verdun, sur une carte de notre région peut se faire.


La mort et le souvenir C’est le moment d’évoquer le bilan humain de la guerre. On peut aussi étudier des pyramides des âges qui montrent le déficit humain de certaines classes d’âges entre 1914 et 1918. Ne pas oublier l’une des conséquences de ces décès : le travail et l’émancipation des femmes. Rappeler également les cérémonies commémoratives qui ont lieu le 11 novembre, la présence de monuments aux morts dans les villes et villages… Il sera aussi intéressant de demander aux élèves si leurs arrières grands-parents ou leurs grands-parents ont connu la guerre, s’ils leur en ont parlé… Certains élèves peuvent préparer des exposés sur leurs ancêtres. Il est aussi important de souligner le danger des armes et de mettre les enfants en garde : Danger des obus non explosés très présents dans certaines forêts de notre région : possibilité d’explosion, obus à gaz. Danger pris par certains collectionneurs inconscients du danger, conduite à tenir dans le cas d’une découverte de munitions. Danger à se promener ou à jouer dans d’anciennes casemates ou ouvrages militaires en ruine.


Organisation : Matériel : -le document de citations du soldat Valentini x 12

Objectifs :

Réinvestissement : Le soldat Valentini.


RECHERCHE DE LA FICHE DU CAPORAL BRION

Utilisation du site «mémoire des hommes» (document de référence pour l’enseignant ou fiche outil)

Aller sur le site : www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr

Choisir le menu «Morts pour la France 1914-1918». Cliquer sur [Recherche] ce qui permet d’accéder au moteur de recherche.


Remplir les champs «nom» et «prénom» pour Brion Henri et lancer la recherche.

Tous les Henri Brion morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale apparaissent. En cliquant sur chaque nom, on visualise la fiche de «Morts pour la France» scannée. Ce sont les renseignements présents sur ces fiches qui vont permettre l’identification.

Le deuxième nom de cette liste, (BRION Henri Alexis 02-11-1891) correspond à la fiche ci-contre. On retrouve le grade de caporal, le numéro de régiment, 46ème RI, la date de sa mort, le 25 septembre 1916. Il s’agit bien du BRION de la carte commémorative, aucune autre fiche dans la liste ne correspond. On apprend qu’il est mort à Bouchavesnes dans la Somme.


PREMIERE UTILISATION DE LA MALLETTE (enseignement secondaire)

Article de L’EST REPUBLICAIN


ANNEXES : DETAIL DES DOCUMENTS :

souvenir des soldats de la grande guerre...croix de guerre est collée au dos. ii – le soldat...

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