Sous le patronage du Ministère de l’éducation nationaleFrancine Disegni, Broadway Mad et le Centre d’Art et de Culture Espace Rachi - Guy de Rothschild présentent

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« Anne, le Musical » spectacle où se mêlent émotion et dignité.

Cette adaptation originale inspirée du Journal d’Anne Frank, écrite et composée par Jean-Pierre Hadida, mise en scène par Pierre-Yves Duchesne, assisté de Claire Jomard a déjà conquis le public parisien et la presse. Cette œuvre a été présentée par la région Basse-Normandie en 2010 dans le cadre de la Journée nationale du souvenir des victimes de la déportation à l’occasion du 65ème anniversaire de la libération des camps.

La force de cette œuvre musicale, qui touche toutes les générations, est de s’inscrire dans notre époque : le spectacle commence par la visite d’un groupe de jeunes à la Maison Anne Frank à Amsterdam. La modernité s’installe jusque dans la création musicale : Rap et Slam se mêlent à des accents lyriques et des ballades. La représentation est un moment unique, la musique mise au service de la Mémoire chante l’espérance.

Le spectacle « Anne, Le Musical » est un véritable hommage à cette jeune fille de treize ans qui voulait exister à tout prix, et qui nous apprend beaucoup de la vie. Les comédiens très impliqués parviennent à nous transmettre leur émouvant message avec sobriété.

39 rue Broca, 75005 Paris

Réservations : 01 42 17 10 36

Les Jeudis 6 et 27 Novembre 2014 à 14h30

François Zimeray Ambassadeur des Droits de l’Homme

« C’est la première fois qu’après un spectacle j’ai du mal à trouver mes mots. Peut-être parce que justement il n’y a plus rien à dire. »

Fodé Sylla Ancien président de SOS Racisme

« Anne, le Musical vaut plus qu’aucun discours contre le racisme fait aux jeunes. »

Eva Schloss Demi-soeur d’Anne Frank

« J’ai assisté à plusieurs spectacles où Anne était représentée, c’est la première fois que je la retrouve telle qu’elle était vraiment. »

Avec le soutien de la maison d’Anne Frank à Amsterdam et à Paris

Le 13 juillet 1942, la famille Van Pels composée d’Augusta, Herman et Peter rejoignent les Frank dans la cachette. En novembre ce sera le tour de Fritz Pfeffer, dentiste et ami de la famille.Quelques temps plus tard, après avoir d’abord écarté les avances timides et maladroites du jeune Peter, Anne s’aperçoit de ses sentiments naissants pour lui.

Le 4 août 1944, après deux ans de réclusion totale, les Frank sont dénoncés, arrêtés et déportés. Anne meurt du typhus à quinze ans, quelques semaines seulement avant la fin de la guerre. Seul Otto Frank survit au camp d’Auschwitz et est libéré en janvier 1945. Il retrouve alors Miep qui lui donne « le journal d’Anne Frank » qu’elle a réussi à sauver. Sachant la volonté de sa fille d’être écrivain, Otto décide de le publier.

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Le 6 juillet de la même année, alors que sa soeur Margot vient de recevoir une convocation pour se rendre dans un «camp de travail» en Allemagne, les Frank se réfugient dans l’annexe de l’entreprise paternelle. L’entrée est cachée par une bibliothèque pour éviter qu’elle soit découverte. Seuls quelques employés dont Miep Gies savent que les Frank sont cachés derrière cette porte secrète. Contact du monde extérieur, ces employés apportent des vivres et des nouvelles.

A quatre ans, Anne Frank et sa famille fuient l’Allemagne nazie pour les Pays-Bas. Adolescente, elle rêve de cinéma et de journalisme. Elle entreprend l’écriture d’un journal le 12 juin 1942 et livre au monde l’un des témoignages les plus émouvants de l’Histoire.

Qui était Anne?

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Pierre-Yves Duchesne (Mise en scène)Pierre-Yves Duchesne, personnage incontournable du théâtre musical, grand pédagogue, acteur, directeur vocal du Violon sur le toit, de Grease.Une carrière internationale le mène à Hambourg, Bonn, Paris, Avignon et Liège, sa ville natale, avec Les Misérables, Le Fantôme de l’Opéra, Jekyll and Hyde et Chicago. Sa rencontre avec Jean-Pierre Hadida, est déterminante pour Anne, Le Musical. C’est Pierre–Yves qui amènera toute son équipe de l’AICOM (Académie internationale de comédie musicale) pour faire exister le projet.

Claire Jomard (Assistante mise en scène)

Claire quitte sa Picardie natale pour aller vivre son rêve à Paris en rentrant en 2007 à l’Académie internationale de comédie musicale (AICOM).

On la voit dans Clémenceau et la tranchée des baïonnettes, Un Violon sur le toit,... Elle devient ensuite choriste dans Anne, Le Musical, c’est là que

Pierre-Yves Duchesne la prend sous son aile et en fait sa première assistante.

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Francine Disegni«Permettre à Anne de continuer à vivre»

Francine Disegni, femme de coeur et de paix, accompagne le projet dès ses premières heures pour rejoindre en 2008 l’équipe

de Anne, Le Musical en tant que productrice. Elle n’en garde pas moins un oeil artistique puisque Francine

est aussi artiste-peintre.

Contact production : Broadway Mad - 77 rue Dulong 75017 Paris - 01 40 54 09 18

Francine Disegni - 06 10 30 59 70 - fdisegni@hotmail.fr

Jean-Pierre Hadida L’Auteur-CompositeurJean-Pierre Hadida est né en 1960 à Oran. Il entre au Conservatoire de musique d’Antony pour y apprendre la guitare classique, mais très vite le piano lui offre des possibilités infinies pour s’adonner à ce qui va devenir sa passion : la composition musicale. Chanson française, répertoire yiddish et hébreu avec le groupe Eretz, habillage sonore pour la pub et la télé, Jean-Pierre «entre» en Comédie musicale avec son Odyssée Musicale, l’épopée d’Ulysse. En 2006, Claude-Michel Schönberg, le compositeur des Misérables l’encourage à poursuivre son « rêve d’enfant » celui d’écrire en mots et en musique l’histoire d’Anne Frank.

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Pourquoi un Musical ?« J’avais envie d’entendre le son de ces années troubles, la voix et les mélodies qu’auraient pu chanter Anne, sa famille et ses amis… l’espoir, la détresse, mais aussi les joies d’une enfant en passe de devenir une femme. Pour transmettre ce message de mémoire, pour donner envie de lire son journal, la musique est un langage universel qui permet d’explorer d’autres horizons, de nouvelles sonorités pour toucher les générations d’aujourd’hui et de demain...»

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Artiste aux textes travaillés, conscients et combatifs, S.M.O a grandi dans le 20ème arrondissement de Paris. À 15 ans, il est envoyé en internat. Il écrit alors ses premiers textes. S’inspirant de la mouvance Dirty South et loin du rap institution-nel ou misérabiliste, S.M.O propose un rap, un flow, des mots bien à lui… un genre inédit en France.Avec des mots justes, S.M.O explore différents sujets. Avec simplicité et humilité, S.M.O manipule le verbe en pro-cédant par images qui nous percutent, nous marquent, et qui s’incrustent en nous.

« Le rap, c’est un art, un défi, une thérapie… Ecrire, rapper, ça me permet de me comprendre moi-même. Je fais d’immenses introspections quand j’écris…

En fait, j’écris ce que je vis et je vis ce que j’écris… Je suis très cohérent.. Parfois trop peut-être...»

Avec la participation de Smoska S.M.OLe rappeur

Le spectacle commence en 2012 au musée d’Anne Frank quand un groupe d’étudiants entame un SLAM : «C’est un lieu chargéde tourments et d’espoirs C’est un lieu hantéoù l’on rêve de départ.»

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Encore sous le choc de ce que je viens de vivre, je voulais vous exprimer ma gratitude. Merci de m’avoir permis de participer, avec tous ces enfants, au spectacle de cet après-midi. Je dis bien participer, c’était vraiment cela !Je dois dire que je suis sidérée par la façon dont tous ces jeunes sont entrés totalement dans le spectacle : le silence, l’attention, la réactivité, le respect, l’humour puis l’enthousiasme! Ils ont été totalement pris, séduits, et moi aussi. Cela a été un privilège pour moi de découvrir Anne le Musical au milieu de cette foule de jeunes. Merci de la qualité de ce que vous nous avez offert. Le Journal d’Anne Frank a accompagné mon adolescence, merci de la suite que vous en offrez.Tous mes vœux vous accompagnent pour la suite de vos projets. Avec toute ma gratitude

Pascale ChambaudJuriste à Strasbourg 67000

Je suis enseignante dans une classe de CM2, et nous avons assisté à une représentation du spectacle musical d’Anne Frank. Je reviens vers vous pour vous dire à quel point les enfants et moi-même avons été sensibles à ce spectacle. Nous avions beaucoup travaillé auparavant sur toutes les formes que peut prendre le racisme, l’apartheid en Afrique du sud et l’importance d’accepter de respecter et de s’enrichir de nos différences. La place faite au rap était bien sûr une excellente idée pour faire passer un message dans un langage qui leur parle, mais ils ont aussi adoré et reconnu la qualité du pianiste. Les textes étaient clairs et porteurs, et les élèves ont été captivés tout au long du spectacle. Aucune longueur et une attention de leur part que l’on a pourtant du mal à obtenir de nos jours ! Félicitations donc, et n’hésitez pas à revenir à Nîmes avec des représentations de cette qualité pour l’offrir à nos jeunes. C’est si riche d’enseignement !

Anne PITRASEnseignante à l’école E.Tailhades à Nîmes 30900

Témoignages : Je tenais à vous remercier pour la grande qualité de ce spectacle, à la fois ambitieux artistiquement et pertinent pédagogiquement. J’ai une classe de CM1-CM2 et le spectacle a superbement conclu une séquence de travail importante sur le racisme et les discriminations. Je pense que mes élèves se souviendront longtemps de l’histoire d’Anne Frank et comprendront à travers elle la nécessité de refuser tout système qui est construit sur le rejet des différences.

S.VIOLINEnseignante à l’école E.Tailhades à Nîmes 30900

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« C’est une sensation très étrange, pour quelqu’un dans mon genre, d’écrire un journal. Non seulement je n’ai jamais écrit, mais il me semble que plus tard, ni moi ni personne ne s’intéressera aux confidences d’une écolière de treize ans. Mais à vrai dire, cela n’a pas d’importance, j’ai envie d’écrire et bien plus encore de dire vraiment ce que j’ai sur le coeur... »

« Moi, je veux continuer à vivre, même après ma mort... »

Extraits du Journal d’Anne Frank

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