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Sommaire……………………………………………………………1

L’origine du PixelArt………………………………………..…1

Mais alors qu’est ce qu’un

pixel ?...................................................1

Le Pixel Art : Une nouvelle expression del’art....…3

L’ateliercréation………………………………………………...4

La perspective isométrique :

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Le Pixel Art, nouvel El dorado desMedias ?..........5

Le Pixel Art dans la pub…………………………………..

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Le Pixel Art sur le Web………………………………..……….…………….

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Les artistes de ce néo-Mouvement…………………..….8

Le Pixel Art du collectif elBoy…………………..…….

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Le PIXELART de Rogerick…………………………….…………………….

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Conclusion……………………………………..………………….14

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MEmoire Histoire dE l’art

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L’origine du Pixel Art :

Le Pixel Art puise probablement sa source dans un art très ancien : la mosaïque, mais en informatique, il date tout simplement de la naissance du graphisme.La mosaïque est l’art de créer des images pièce par pièce.Le Pixel Art est l'art de créer

des images pixel par pixel.

L'infographie est l'application de l'informatique à la représentation graphique et au traitement de l'image. Mais contrairement aux graphistes en image de synthèse, qui recherchent à reproduire fidèlement la réalité à l'aide de logiciel très complexe, le Pixel Art (l’art du pixel) propose, lui, des images à l'aspect artificiel.

Le Pixel Art est donc l’art de jouer avec ces petits carrés, souvent un à un pour faire un ensemble graphique, en utilisant un nombre de couleurs limités. Il s’agit exactement du même procédé que pour les mosaïques. De près onne voit que des gros carrés, de loin la finesse peut surprendre par ses détails.

Mais alors qu’est ce qu’un pixel ?

« Pixel » est l’abréviation de « Picture Element » soit Elément d’Image en français.

Le pixel est tout simplement la plus petite entité visible sur votre écran auquel on peut affecter des attributs tels que la couleur ou la luminosité.. Suivant les écrans, il oscille entre 0.3 et 0.2 millimètres !

Si l'image est en noir et blanc, le pixel correspond à un point.Si elle est en couleur, elle est constituée de 3 points : vert, bleu et rouge dont les variations d'intensité produisent une multitude de couleurs.

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Avec cette particule, on affiche du texte, des photos ou des images ou même des films.

Le Pixel Art : Une nouvelle expression de l’art.

Bien que le Pixel Art soit un art à part entière, il est difficile de trouver desinformations concrètes sur ce mouvement artistique.

Ces origines remontent aux années 1970, ou les premiers jeux vidéo apparurent. Ils étaient composés de gros carrés qui étaient tout simplement des pixels. Un des tout premiers était le célèbre jeu Pong de chez Atari, il n'était en fait composé que de quelques pixels en mouvementmais les décors furent enrichis quelques années plus tard avecla sortie du célèbre plombier Mario sur Nintendo.

Mais le Pixel Art émanera vraiment dans les années 80, comme courant "underground" de l'infographie, avec les démomakers (créateur de démonstration informatique).

A l'époque, ces passionnés de l'informatique travaillaient sur des Amiga ou notre si cher Amstrad... La résolution ainsi que la gamme de couleurs étaient très réduites, les logiciels d'aide à la création n'existaient pas.

Avec les années, les technologies ont évoluées, avec la l’augmentation de puissance des cartes graphique, les logiciels sont eux aussi devenus de plus en plus performants ; le Pixel Art devenait petit à petit obsolète avec sa perspective isométrique. Néanmoins, il reste quelques irréductibles qui travaillent encore sur les machines de notre enfance.. (Autrement dit, l'èredes dinosaures de l'ordinateur).

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1. Jeu PONG sur Atari

L’atelier création.

Le pixel-artiste utilise fréquemment des logiciels de dessin simples (il est possiblede dessiner du bon Pixel Art avec Paint pour les utilisateurs de Windows par exemple), la création s’effectuant le plus souvent à partir de lignes droites et de retouches point par point. Ces techniques contrastent avec les autres courants de l'infographie qui utilisent deslogiciels de création de plus en plus puissants comme Photoshop ou d'autres

logiciels spécifiques comme PixelToolbox.

Cette position est même revendiquée par certains pixel-artistes qui n’apprécient pas le principe d’assistance à la création.

Pour les utilisateurs de Mac OS, un logiciel a été spécifiquement conçu pour la création et la retouche de pixel-art, Pixen.

Sous GNU/Linux, The GIMP est le logiciel le plus répandu (même si ses capacités sont comparables à des logiciels tel que Photoshop) mais il existe des logiciels plus simples tel que gnome-paint pour l'environnementde bureau GNOME et KolourPaint pour l'environnement de bureau KDE.

Ainsi le Pixel Artiste travaille avec Paint, Pixen pour Mac, ou The GIMP pour Linux, et crée manuellement les couleurs, les dégradés, les anticrènelages...

La perspective isométrique :

La majorité des créateurs en Pixel Art sont construites en perspective isométrique, une technique de dessin facile à exécuter qui donne la mêmeimportance aux trois directions de l'espace pour créer une perspective trèslisible.

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2. Ms PAINT

Cette perspective a l'avantage de permettre des représentations de toutestailles, et extensibles à l'infini. La perspective est différente de celle à point de fuite : si on compare deux objets de même taille, l'un placé au premier plan, et l'autre plus éloigné, tous deux conserveront sur la composition la même taille (ce qui est éloigné n'est ni plus petit ni moins visible).

Le Pixel Art, nouvel El dorado des Medias ?

Le Pixel Art dans la pub.

On le retrouve en effet de plus en plus dans des campagnes d’envergures nationales. Cette ligne graphique aurait plutôt tendance à viser des jeunestrentenaires ayant connu les livres « Où est Charlie » et les jeux d’arcades comme « Métal Slug » et qui gardent l’esprit fun. Mais, ce fouillis fouillé, même si génial car il retient le regard très longtemps doit s’accompagner d’une accroche relativement brève, s’il est utilisé lors de campagnes de communication.

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http://4.bp.blogspot.com/_oLr_8Jstvyo/STqN5HFPnfI/AAAAAAAAAOg/3rOus1yY1kM/s1600-h/cokedublinposter.jpg

Le Pixel Art sur le Web.

Naturellement, toute cette expérience et toute cette culture ont touché internet.

En dehors de son aspect général plutôt rétro, le Pixel Art est très apprécié d’un public assez jeune (entre 18 et 30 ans), il puise dans l’affectif qu’ont portés ou ont encore ces personnes pour de nombreux jeux vidéos d’il y a 10 ans et plus.

Ensuite, d’un point de vue technique, les à-plats de couleurs, ainsi que leur nombre optimisé, permet de réduire grandement le poids d’une charte graphique tout en gardant un style riche et détaillé. Sa mise en place est facilitée par son aspect carré, et les réglages au pixelprès sont eux aussi plus faciles. Sur le Web tout raisonnement se fait en pixel.

Sachez qu’il est possible aussi de ne réserver à ce style qu’une partie d’une interface, par exemple les icônes, ou les menus en texte.

Voici un exemple de site uniquement en Pixel Art : ChMORK.net

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http://www.chmork.net/home/

Pour finir en application web, le site du musée du Pixel sur Internet totalement conçu en Pixel Art : Pixel Museum

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http://www.pixelmuseum.com/

Les artistes de ce néo-Mouvement.

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Au sein de la mouvance Pixel Art se côtoient aujourd'hui deux style bien différents. Les tenants d'une esthétique à l'ancienne, où le graphisme est pixellisé à l'extrême et expose fièrement ses effets " d'escaliers" que nous allons voir ci-dessous, s'opposent aux "modernes" que nous verrons en deuxième exemple. Ces derniers emploient des palettes de couleurs riches, ainsi que des filtres pour adoucir les contours trop anguleux et gommer les crénelages.

Le Pixel Art du collectif elBoy

« Les écrans de nos ordinateurs sont devenus des fenêtres ouvertes sur une seconde réalité. Nous voyons tous des pixels toute la journée » elBoy.

elBoy est un collectif de quatre créatifs, qui s’imposent comme la référence du Pixel Art depuis quelques années maintenant.

Certainement le collectif de graphistes le plus talentueux de sa catégorie. La petite équipe ( 3 berlinois, 1 new yorkais )travaillent ensemble depuis la fin années 90. Ils racontent, dans une interview très intéressante, leurs méthodes detravail. Entre autre qu’ils ont pour habitude de travailler par visioconférence, qu’ils s’inspirent de ce qui leur passe par la tête pour les villes qu’ils imaginent.

« Comment travaillez-vous au quotidien ? Utilisez-vous Photoshop? Concevez- vous vous mêmes vos programmes ?

Notre matériau de construction, ce sont les pixels. Nous travaillons effectivement avec Photoshop mais aussi avec le Pen tool. C’est un outil simple qui fonctionne comme un crayon. Ainsi, nous nous constituons des éléments de bases sous forme d’arbres, de maisons, d’êtres humains que nous mémorisons dans une banque de données. Nous en extrayons ensuite de grandes images que nous triturons avant de les compresser dans notre bibliothèque pour les fusionner et les articuler entre elles.

Toutes les bases de montage sont traitées avec Photoshop, ce qui nous permet aussi de modifier l’aspect et les couleurs de nos images. Et puis, nous pouvons toujours revenir sur des détails afin de les transformer.

Combien de temps vous faut-il pour réaliser le portrait d’une ville ?

C’est variable. Mais, il faut au minimum compter un ou deux mois. Cela peut quand même durer une année parce qu’il y a toujours quelque chose de nouveau à ajouter. »

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Ils se démarquent notamment pour la finesse de leur trait, très ludique.

Leurs illustrations sont toujours pleines de références cinématographiques, musicales, et culturelles. Ce qui donne des créations riches, colorées et où chacun trouve un clin d’œil qui le fera sourire. Sans oublier les petites scènes drôles qui parcourent leurs posters :

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Le PIXELART de Rogerick

C’est un peu par hasard, en travaillant sur un support numérique pour le rendre plus exploitable et l’améliorer, que l’artiste Rogerick c’est investi dans ce procédé original de compositions abstraites, qu’il désignera lui-même sous le nom de « PIXEL ART ». Ses premiers travaux remontent au début des années 90. C’est à cette période qu’il cherchera par curiosité, à approfondir les possibilités d’applications liées à une erreur de manipulation sur un support numérique. Le premier ''rendu'' était vraiment original, tant par ses qualités en termes de colorimétrie que par le fondu et les caractéristiques des formes ainsi obtenues. Cependant, et à ses débuts, les variantes offertes à l’artiste, étaient récurrentes tant dans les formes, les effets, que les mixages colorimétriques. Traduire : les compositions avaient toutes un petit air de ressemblance, démontrant les limites d’application du procédé, et limitant le souhait d’expression de l’artiste compositeur.Depuis cette date et ses premiers pas dans le PIXEL ART, Rogerick n’a cessé d’améliorer ses procédés et de rechercher de nouveaux outils lui permettant de multiplier et de combiner les effets numériques typiques deses réalisations. Avec le temps, la patience et la recherche, l’outil d’exploitation s’est profondément améliorer, offrant une palette complète et variée de possibilités, élargissant ainsi le champ d’exploration et d’expression de l’artiste.

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Le plus complexe pour Rogerick, a été de trouver une technique pertinente, capable de traduire ses compositions artistiques sur des supports attractifs et de sortir des traditionnels formats A4 et/ou A3 qui sont couramment proposés par des imprimantes classiques.Pour la pérennité des œuvres, il a été indispensable de travailler d’une part sur la qualité du support, mais également sur celles des encres et desproduits de finition capables d’assurer la longévité et l’originalité des compositions PIXEL ART. Tout ne s’est pas fait en un jour, de nombreux essais ont été réalisés avantd’aboutir à un travail satisfaisant, dont l’effet final est saisissant de spontanéité dans l’expression des formes et les combinaisons de couleurs.Comme aime à le répéter l’artiste, « N’ayez pas peur de ce qui ne ressemble à rien, dans chaque œuvre, recherchez l’imaginaire, l’irréel et décomplexez-vous du conventionnel ou du cartésien qui est en vous ». En plus clair, libérez-vous !

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Combien faut-il de temps pour réaliser une composition PIXEL ART ? Il n’ya pas selon l’artiste, de réponse pertinente à cette question. La composition est travaillée, remodelée, recolorisée, morcelée puis recomposée selon les cas, jusqu’à l’obtention d’un résultat qui satisfasse le compositeur dans l’espace total de sa toile. En termes de temps cela peut être très rapide et de l’ordre de quelques heures ou beaucoup plus long et ainsi représenter plusieurs jours de recherche, jusqu’à l’atteinte d’un résultat qui soit agréable, curieusement vivant et plaisant à regarder.

Beaucoup de travaux n’aboutissent pas, car, pour l’artiste, la fusion des couleurs, la fluidité des formes, l’osmose de l’ensemble, ne répond pas à ses attentes.On notera que si la majorité des compositions réalisées par Rogerick, sont très abstraites, d’autres, moins fréquentes sont plus réalistes, en particulier certaines expressions marines, voire animales.

Compte tenu de ce qui a été dit plus haut, la technique adoptée par Rogerick permet la réalisation de tableaux de grandes dimensions, voire très grandes dimensions. Les formats privilégiés, sont dans les cotes 75cm/80cm x 120cm/180cm. Il est possible de faire encore plus grand, mais aussi plus réduit bien sûr.Les compositions sont réalisées sur toile de type « Canvas ». Il s’agit d’une toile tissée et pré enduite, à l’identique d’une toile de peintre. Les œuvres sur toile sont montées et tendue par l’artiste, selon des méthodes artisanales, sur un châssis bois, la liaison toile / Châssis est réalisée avec des ‘’semences’’ (pointes de tapissier).

Il est important de noter que chaque œuvre est signée recto verso par l’artiste Rogerick et chaque œuvre est unique et originale. Chaque

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tableau est daté et porte un titre, qui, selon l’inspiration de l’artiste trouve ou non ses racines dans notre vénérable dictionnaire (Fantariose, Flexum, Helicoïde, Iridium, etc.) L’artiste vend ses toiles, montées sur leur châssis, avec un certificat d’authenticité, mais sans cadre.

A ce jour, Rogerick a réalisé plus de 300 compositions PIXEL ART, toutesplus attrayantes et plus originales les unes que les autres.Régulièrement, à l’occasion d’expositions d’expression graphique, Rogerick expose ses « PIXEL ART » pour le plus grand plaisir des yeux. Les plus sceptiques sont généralement séduits et conquis par l’effervescence, le mouvement et la vivacité qui ressortent de l’ensemble des tableaux « PIXEL ART ».

Conclusion :

La notion esthétique des créations relevant du Pixel Art est récente. Au début de la micro-informatique, les machines n'étaient pas assez puissantes pour gérer de grand résolution et des palettes de couleur étendues : toutes les images produites à l'époque relevaient donc du Pixel Art, popularisé par les premiers jeux vidéo comme dit précédemment.

Certes, on aime ou pas le Pixel Art, mais force est de reconnaître que cettenouvelle forme d’art graphique est un style d’expression qui, dans la pure culture numérique d’aujourd’hui, est à prendre en considération et qui ne

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laisse pas indifférent.Posséder une œuvre de Pixel Art, c’est l’assurance pour son détenteur d’avoir une œuvre unique dont l’originalité n’est plus à prouver et qui en surprendra un bon nombre…

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