sncc et capteurs

94
OCP AVANT PROPPOT………………………………………………………………2 DEDICACE………………………………………………………………………..3 REMERCIEMENTS………………………………………………………………4 INTRODUCTION………………………………………………………………....5 I -.................................HISTORIQUE DU GROUPE 6 II -PRÉSENTATION DU COMPLEXE MAROC PHOSPHORE III &IV....7 II.1 STRUCTURE………………......................................... .............................7 II.2 DESCRIPTION DU COMPLEXE: .............................................. .....................9 II.2.1. L’USINE……………………………………………………………………9 III.SUJET DE STAGE……………………………………………...................16 III-1 LATELIER SULFURIQUE…………………....................................... ....17 LES DEFFERENTS CAPTEURS EXISTANTS A LATELIER SULFURIQUE…………………………………………………………………22 III .2.1 Capteur de préssion……………………………………………….22 III.2.2 Capteur de niveau………………….............................................26 III .2.3 Capteur de température :………………………………………….31 III.2.4 :Capteur de débit…..………………………………………………..39

Upload: faradi-fatima

Post on 26-Jun-2015

420 views

Category:

Documents


13 download

TRANSCRIPT

Page 1: SNCC ET CAPTEURS

OCP

AVANT PROPPOT………………………………………………………………2

DEDICACE………………………………………………………………………..3

REMERCIEMENTS………………………………………………………………4

INTRODUCTION………………………………………………………………....5

I - HISTORIQUE DU GROUPE...................................................................6

II - PRÉSENTATION DU COMPLEXE MAROC PHOSPHORE III &IV....7

II.1 STRUCTURE………………......................................................................7II.2 DESCRIPTION DU COMPLEXE: ...................................................................9II.2.1. L’USINE……………………………………………………………………9

III.SUJET DE STAGE……………………………………………...................16

III-1 LATELIER SULFURIQUE…………………...........................................17LES DEFFERENTS CAPTEURS EXISTANTS A LATELIER SULFURIQUE…………………………………………………………………22

III .2.1 Capteur de préssion……………………………………………….22III.2.2 Capteur de niveau………………….............................................26III .2.3 Capteur de température :………………………………………….31III.2.4 :Capteur de débit…..………………………………………………..39

III- LES DIFFERENTS CONSTITUANTS DU S.N .C.C DE LATELIER

SULFURIQUE ………………………………………………………………….

III.1. ARCHITECTUR DU SNCC...............................................51

III. 1.1.Introduction…………………………………………………51

III-1.2.Discription ……………………………………………………………55

III.1.3.Les types de communications utilisées par le système………….62

III.1.4.LES AVANTAGES DE LA S.N.C.C………………………………..63

III.2.LES PRINCIPEAUX ELEMENT DE LA SNCC………………………64

Page 2: SNCC ET CAPTEURS

OCP

CONCLUSION………………………………………………………………..69

En ce qui concerne ma formation à la fac des sciences et technique qui organise à la fin d’année un stage pratique pour ses étudiants dont l’objectif est de compléter leurs connaissances professionnelles.

Au cours de cette période, j’ai constaté que les stages sont nécessaires, car grâce à eux que le stagiaire devient de plus en plus capable de maîtriser son geste opérationnel ses capacités et de mettre en pratique ses connaissances théoriques.

Dans ce but que j’effectue un stage au sein au service -PCJ/PI/MR qui m’a permis de confronter le monde de travail qui était jusqu'à présent abstrait pour moi.Je dois perfectionner et approfondir mes connaissances théoriques et assimiler des applications pratiques

2

Page 3: SNCC ET CAPTEURS

OCP

J'ai le plaisir de dédier l'ensemble de ce modeste J'ai le plaisir de dédier l'ensemble de ce modeste

travail à:travail à:

Mes adorables parents pour leur sens de sacrifice, Mes adorables parents pour leur sens de sacrifice,

de tolérance et de courage.de tolérance et de courage.

Mes frères.Mes frères.

Mes professeurs.Mes professeurs.

A tous mes amis de FST DE SETTATA tous mes amis de FST DE SETTAT

Tous les responsables de l’OCPTous les responsables de l’OCP

3

Page 4: SNCC ET CAPTEURS

OCP

׃

4

Page 5: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Le groupe Office Chérifien des Phosphates a décidé de réaliser le complexe industriel de JORF LASFAR pour doubler la capacité de valorisation des

phosphates.

Le site de JORF LASFAR a été retenu pour l’implantation de cet important ensemble industriel, compte tenu des avantages suivants :

Proximité des zones minières permettant son alimentation en

phosphate (Khouribga).

Existence d’un port à tirant d’eau important.

Disponibilité de l’eau de mer et de l’eau douce à proximité.

Capacité du site à recevoir d’importantes installations industrielles.

Ce complexe a démarré en 1986 et dénommé Maroc Phosphorique III et IV, s’étend sur une superficie de 17 km², et son activité principale est, jusqu’à aujourd’hui, la production de l’acide phosphorique et des engrais destinés essentiellement à l’exportation.

Le présent document fait l’objet du rapport de stage que j’ai l’occasion d’effectuer au sein de ce complexe et plus précisément à division des produits intermédiaires, au lot sulfurique.

Il traite deux grandes parties :

La première présente une description générale des différents ateliers

d’entretient et de production du pôle chimique de JORF, et du réseau

électrique du complexe.

La deuxième partie est consacrée à l’étude du sujet proposé au stage

5

Page 6: SNCC ET CAPTEURS

OCP

I. HISTORIQUE DU GROUPE

Vers l’année 1917, la présence du phosphate a été confirmée dans la région du

OUED ZEM (zone de Khouribga).

Le dahir du 27/01/1920 réserve à l’état marocain le droit exclusif de la richesse et de

l’exploitation du phosphate dans tout le territoire. Le dahir du 07/08/1920 porte sur la

création de l’office chérifien des phosphates (OCP), établissement public devant fonctionner

dans les mêmes conditions qu’une entreprise privée à caractère industriel et commercial et

soumis par conséquent aux même obligations telles que : impôts taxes –droits de douane.

Ce statut avantageux par rapport aux autres établissements publics devra permettre

à l’office d’agir avec la même dynamique et la même souplesse que les entreprises privées.

Février 1921, ouverture de l’exploitation des gisements OULED ABDOUNE (zone

de Khouribga) et évacuation des gisements de minerai vers le port de CASABLANCA. En

1928 découverte des gisements de GANTOUR (zone de YOUSSOUFIA).

En 1931, ouverture de l’exploitation des gisements de YOUSSOUFIA. En 1979 au

moment de la récupération du Sahara occidentale, l’OCP pris possession des gisements

OUED EDAHAB .

6

Page 7: SNCC ET CAPTEURS

OCP

En 1979, l’ouverture de l’exploitation des gisements de BENGUERIR, actuellement

le groupe OCP prépare l’exploitation prochaine des gisements MESKALA (zone de

ESSAOUIRA) et SIDI HAJJAJ.

Le groupe OCP contribue dans l’amélioration socio-économique du MAROC avec

un personnel de 27400 agents dont 710 ingénieurs et assimilée.

Grâce à ses ¾ des réserves mondiales de phosphate, élément n’ayant pas de

substitut dans la fertilisation, le MAROC est dans le marché mondial:

Le premier exportateur mondial de phosphate brut.

Le premier exportateur mondial d’acide phosphorique.

Le premier exportateur mondial de phosphate sous toutes forme

I I . P R E S E N T A T I O N D U C O M P L E X E M A R O C

P H O S P H O R E

I I . 1 - S t r u c t u r e :

Les organigrammes qui suivent présentent la structure du Pôle Chimie de JORF LASFAR : PCJ

ORGANIGRAMME DU POLE CHIMIE JORF – LASFAR

7

Page 8: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Organigramme du service   :

: Service régulation :

Le service régulation est une partie intégrante de la section utilité. Il a pour but l’entretien de toutes les installations de l’usine : Les machines et les appareils de régulation soient électroniques soient pneumatiques, Ainsi il est chargé de la réparation du montage et remontage de toutes les installations de production, il comprend :

Un atelier pneumatique   :

Il est destiné pour réparer les vannes pneumatiques, les appareils tels que dosimètre, moteur électrique, bascules,….

Dans cet atelier on trouve une équipe qui assure le bon fonctionnement

des appareils de régulations installés. Ainsi qu’une équipe d’intervention

qui fait le roulement pour assurer la marche des appareils de la

régulation au chantier.

Responsable du service :

Adil BENZIDIYA

SECRETARIAT

SECTIONSULFURIQUE

SECTION UTILITE

SECTIONPREPARATION

8

Page 9: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Son but est de réparer les appareils électroniques (régulateur,

convertisseur,…)

La régulation est nécessaire lorsqu’on désire   :

● Avoir une quantité ou une qualité bien déterminer. ● Economiser de l’énergie.

● Maintenir une grandeur physique à une valeur bien déterminée.

● Assurer la bonne marche des installations en tient compte des

Sécurité et asservi.

Principe de fonctionnement d’une chaîne de régulation   :

Une chaîne de régulation doit effectuer les fonctions suivantes :

- Le capteur.

- La transmission.

- La détection de l’écart entre la valeur réelle et la consigne.

- La commande.

II .2. Description du complexe   :

L’usine

9

Page 10: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Atelier sulfurique

Il produit l’acide sulfurique et il est constitué de: 6 lignes (A, B, C, X, Y et Z) de production d’une

capacité de 2700t/J d’acide sulfurique. Une unité de stockage et de transfert de soufre liquide.

(unité 11) Une unité de stockage et de transfert d’acide sulfurique.

(unité 12)

L’alimentation du lot sulfurique se fait à l’aide de :

10

Page 11: SNCC ET CAPTEURS

OCP

5 Transformateurs de 2500 KVA (10KV / 380 – 220V) pour la force motrice.

1 Transformateur de 630 KVA (10KV / 380 – 220V) pour l’éclairage.

Une salle basse tension qui constitue des tableaux 660V et de tableau 380V destiné à l’alimentation des moteurs de différente puissance, ainsi qu’à l’éclairage et la climatisation.

2 chargeurs 220V CC alimentant la commande des commutateurs d’échange et l’éclairage d’urgence.

2 Chargeurs 24V CC pour la signalisation et les enregistreurs de la salle de contrôle.

1 Onduleur 15 KVA alimentant la commande des pompes de lubrification des turbines, les pompes d’acide (1, 2, 3) et les vannes motorisées 601, 608 des 3 lignes (B, C, Z) et quelques enregistreurs.

Atelier phosphorique   :

L’atelier phosphorique est composé de 8 lignes de production d’acide phosphorique (P2O5 à 29% et à 54%) Dont :

4 lignes de capacité 700t/J. 4 lignes de capacité 500t/J.

Les postes de distribution 10KV de l’atelier phosphorique sont

Équipés de :

26 cellules MT. 16 Transformateurs MT/BT pour la force motrice. 4 Transformateurs d’éclairage.

Lot utilités

Il alimente les unités de production citées ci-dessus en énergie et en

fluides nécessaires à leur fonctionnement. Cet atelier est composé de :

11

Page 12: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Unité de traitement d’eau douce et air comprimé TED (Unité 25).

Station de reprise eau de mer REM (Unité 26).

Centrale thermoélectrique de production d’énergie (lieu de

stage).

La station de pompage d'eau de mer   :

Cette station est conçue pour pomper l'eau de mer et l'envoyer

vers le bassin de reprise dans le but de produire l'eau de mer filtrée et

décantée qui va servir au :

- Refroidissement de l'acide sulfurique.

- Condensation de la vapeur d'eau.

Elle est constituée:

02 Tableaux 10KV avec 16 cellules MT.

02 Tableaux 660V pour la force motrice.

03 Tableaux 380V et 220V de commande, éclairage et automatisme

etc.

02 Transformateurs MT/BT 400KVA.

01 Transformateur 160 KVA.

01 Station de chloration avec vannes motorisées.

01 salle des pompes est composée de 6 moteurs 10KV-3650KW pour

chaque moteur et 3 moteurs 10KV.

03 Tableaux pour les filtres.

L'arrêt de la station risque de provoquer l'arrêt général de l'usine.

La station de reprise d'eau de mer :

12

Page 13: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Cette station est reliée à la station de pompage pour un de forme

trapézoïdale vers l'eau de mer dans un grand bassin dit bassin de

reprise.

Elle est composée de:

02 Tableaux 10 KV composés de 17 cellules moyenne tension

alimentant 7 moteurs 700KW, 2 moteurs 1200 KW et 2 moteurs 2100

KW.

04 Tableaux 380/220V alternatif pour l'automatisme, le contrôle, la

commande et les protections.

04 Chargeurs 220et 24V pour la commande et le secours de la

station en cas de panne.

02 Transformateurs MT/BT de 500 KVA et 1 transformateur de 100

KVA.

02 Tableaux 660V alimentant les auxiliaires de la station de reprise

d'eau de mer et de la station de chloration.

La station de traitement d'eau douce (TED)

La station TED joue un rôle très important dans plusieurs activités

industrielles dans le complexe. L'eau qui provient de l'ONE est

Rassemblée dans un grand bassin, puis elle subit deux opérations

consécutives: la filtration et la désiliciage.

La centrale thermoélectriq

Elle est constituée de :

13

Page 14: SNCC ET CAPTEURS

OCP

03 Groupes turboalternateurs de 36,5 MW/11 KV chacun.

02 Chaudières auxiliaires qui produisent de la vapeur à 58 bars et

490°c pour le démarrage des alternateurs.

01 Groupe électrogène de secours.

01 Poste 60 KV composé de 130 cellules équipées du matériel HT.

01 Poste 10 KV composé de 90 cellules MT.

Les postes basses tensions courant alternatif destinés à alimenter

la force motrice de la centrale.

Une salle pour redresseur et onduleur.

Une salle des batteries 24 V, 48V, 127V et 220V.

Une salle de reliage.

Atelier engrais :

L’atelier des engrais est composé de 4 lignes de production ayant une

capacité de 60 T/h de DAP ou ASP. Deux lignes sont destinées à produire

le TSP à une capacité de 48 T/h chacune. Les installations nécessitent une

quantité très faible en eau de mer en cas de lavage de TSP.

La production des engrais se fait suivant la réaction suivante :

Acide phosphorique à 54 % + Ammoniac DAP ou ASP.

Acide phosphorique à 54 % + Ammoniac MAP ou TSP. Ceci réacteur

espace tubulaire.

Stock principal

L’installation de stockage se représente ainsi :

14

Page 15: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Phosphate  :

Une nef de déchargement de phosphate et à bulles de stockage

d’une capacité unitaire de 50 000 T.

Souffre liquide :

12 Bacs calorifugés d’une capacité de 18000 tonnes chacun le

souffre est maintenu chaud dans ces bacs.

Acide phosphorique :

16 Bacs d’acide phosphorique 54 % clarifié d’une capacité unitaire de

9000 T de P2O5.

Engrais :

07 Hangars de 60 000 tonnes chacun et d’une installation pouvant ensacher

jusqu’à 40 % de la production destinés à l’exploitation. Une station de chargement

pour le marché national.

15

Page 16: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Une tourner d’information dans l’Atelier sulfurique

Les différents capteurs existant à l’atelier SULFURIQUE

1. Pression

2. Température

3. Niveau

4. Débit

Les différents constituants du S.N.C.C de l’atelier sulfurique.

16

Page 17: SNCC ET CAPTEURS

OCP

I. L’ATELIER SULURIQUE

L’atelier sulfurique est compose de trois unités : l’unité 01j,

L’unité 11 et l’unité 12.Il est destiné a la production de l’acide sulfurique

H2SO4 à 98.5% à partir du souffre emmagasiné dans l’unité 11

L’UNITE 11

Le souffre liquide est achemine de l’unité 51 vers l’unité 11.

Cette unité comporte 

- 2 bacs à souffre liquide - 9pompes dont 6principales et 3pompes de réserve

- chacune pour 2 ligne

- 2 fosses

- 2 vannes régulatrices au niveau des fosses

- Les utilités et divers

L’UNITE 0J

Cette unité est compose de 6 lignes identiques au point de vue matériel

et production : *ligne A *ligne X *ligne B *ligne Y

17

Page 18: SNCC ET CAPTEURS

OCP

*ligne C *ligne Z

Chaque ligne produit 2650 t /j d’acide sulfurique et comprend :

- 1 turbine - 1 soufflante - 1 four à souffre - 1 chaudière de récupération- 1 ballon de purge- 1 filtre à aire - 1filtre à gaze chaude 1 tour de séchage - 1toure d’absorption intermédiaire - 1 tour d’absorption finale - Les pompes - 5 refroidisseurs d’acide - 1 échangeur - 1 économiseur surchauffeur- 2bacs de l’acide- 1 convertisseur

Un système numérique de contrôle commande (SNCC) permet de commander chaque ligne.

Les trois principaux circuits d’une même ligne sont :

circuit gaze circuit acide circuit vapeur

L’UNITE 12

L’unité 12 permet le stockage de l’acide sulfurique et

Comprend principalement :

18

Page 19: SNCC ET CAPTEURS

OCP

- 6 bacs de stockage d’acide

- 6 bacs de transfert 1 pour chaque bac d’acide

- 6 pompes

Les utilités et divers…

I. 1 PROCESSUS DE PRODUCTION DE L’ACIDE SULFIRIQUE

I. 1.1. CIRCUIT GAZE

La combustion   :

Le souffre liquide est achemine de l’unité 11 vers le four à travers des tubes ou circule de la vapeur à fin d’éviter la solidification du souffre .dans ce four qui contient de l’air filtre et sèche (l’aire est

Aspire par une turbosoufflante puis il est à travers un filtre a air pour éliminer les poussier, puis il est arrose par l’acide dans la tour séchage

Pour éliminer l’humidité), on injecte le souffre qui est brûle suivant la réaction : S+O2 SO2+Energie

Cette énergie est récupérée au niveau de la chaudière pour, d’une part, abaisse la température du gaze à 420°C (car la conversion de so2 en so3

19

Page 20: SNCC ET CAPTEURS

OCP

doit se faire aune température qui est au voisinage de 420°C) et d’autre part pour transformer l’eau decilisse en vapeur.

.La conversion   :

A la sortie de la chaudière de récupération, le gaz traverse le convertisseur qui contient 4 couches et le pentoxyde de vanadium v2o2 comme catalyseur pour accélérer la réaction : SO2 +O2 SO3 +Energie

A la sortie de chaque couche, la température du gaz augmente puis ce gaz est fait passe dans des échangeurs pour rabaisser la température aux

Environs de 420C pour augmenter la conception de SO3 et diminuer celle du SO2.

L’absorption   :

A la sortie de la 3eme couche le gaz est achemine vers la tour intermédiaire ou il est arrose de l’eau contenant de l’acide suivant la réaction :

SO3 +H2O H2SO4

Pour éliminer ce qui reste de SO2 et SO3 le gaz est achemine vers le convertisseur passent tout d’abord par les échangeurs gaz gaz pour passe de 71° à 380°C puis il passe à la tour d’absorption finale là aussi il est arrose par la cheminée.

I. 1.2. CIRCUIT ACIDE   :

Ce circuit est compos de 2 bacs :

20

Page 21: SNCC ET CAPTEURS

OCP

R01 : bac de circulation des tours de séchage et d’absorption intermédiaire qui contiennent 2 pompes, il permet l’alimentation de ces deux tours à travers 4 refroidisseurs

R02 : bac de circulation de la tour d’absorption finale qui contient 1 pompes et permet d’alimenter cette tour à travers 1 refroidisseur

I. 1.3. CIRCUIT VAPEUR   :

Ce circuit permet la production de 3 types de vapeur (HP, MP et BP)

vapeur haute pression   :

L’eau vient de la centrale a 78 bar et 120°C avec un débit de 145m3/h, on le

surchauffe par le gaz il sort alors à 165° C du économiseur/ surchauffeur

puis il passe par une autre surchauffeur. Puis elle passe par le ballon purge

de la chaudière ou il récupère l’énergie dégagée lors

de la combustion de SO2 ou elle se transforme en vapeur. Cette vapeur

subit une élévation de température au niveau d’économiseur/surchauffeur

est en sort à 500°C et à60 bar.

Une partie de cette vapeur est soutirée pour faire tourner la turbosoufflante

à 4150tr/min et le majeur partie est envoyé à la centrale qui sert

essentiellement à faire tourner les 3 groupes turboalternateurs.

I. 3.2. vapeur moyen pression   :

21

Page 22: SNCC ET CAPTEURS

OCP

A la sortie de la turbosoufflante on récupère la vapeur MP à 8,5bars et à

300°C

Vapeur basse pression   :

Cette vapeur est obtenue au niveau du ballon de détente qui permet la

transformation de la vapeur sortante du ballon de la chaudière en vapeur

BP à une température de 150°C et une pression de 405 bar . Cette vapeur

est d’une part utilisée pour maintenir à chaud la tuyauterie du souffre a

l’intérieure des conduites et d’autre part elle est utilisée pour les travaux

d’entretien.

II. LES CAPTEURS

II - .1. Mesure de la pression

II .1.1. Définitions

C'est la force exercée par un corps solide, liquide ou gazeux

sur une surface. Il en existe plusieurs types, dont (la pression

atmosphérique, relative, absolue, vide

La pression est souvent exprimée en bar ( 1 bar = 105 Pa) :

La pression atmosphérique

22

Page 23: SNCC ET CAPTEURS

OCP

La pression atmosphérique moyenne au niveau de la mer, à

15 °C, est de 1013 mbar. Elle peut varier, de ± 25 mbar, avec la

pluie ou le beau

Temps. Elle est fonction de l’altitude (hydrostatique)

La pression relative

C’est la différence de pression par rapport à la pression

atmosphérique. C’est la plus souvent utilisée, car la plupart des

capteurs, soumis à la pression atmosphérique, mesurent en

relatif. Pour mesurer en absolu, il leur faut un vide poussé dans

une chambre xdite de référence.

Exemple : La pression de gonflage d’un pneu de voiture.

La pression absolue

C’est la pression réelle, dont on tient compte dans les calculs sur

les gaz.

Le vide

Il correspond théoriquement à une pression absolue nulle. Il

ne peut être atteint, ni dépassé. Quand on s’en approche, on parle

alors de vide poussé.

II .1.2. Mesure de la pression

Il existe plusieurs méthodes pour mesurer la pression. Ci-

dessous, nous décrivons les principales techniques de mesure

utilisées :

23

Page 24: SNCC ET CAPTEURS

OCP

II. 1.2.1. Manomètres hydrostatiques

La mesure de la pression peut se faire par des manomètres

hydrostatiques. La sensibilité de ces derniers dépend

essentiellement de la masse volumique  du liquide utilisé dans

ces appareils. La figure 11 de

Gauche ci-dessous montre le cas d'un manomètre à tube en U

placé verticalement où la sensibilité S s'exprime par la relation :

Où 

 

Manomètres hydrostatiques : à gauche tube en U ; à droite tube incliné

24

Page 25: SNCC ET CAPTEURS

OCP

I I . 1 . 2 . 2 . M a n o m è t r e d i f f é r e n t i e l l e à m e m b r a n e .

La pression peut être mesurée à l'aide de capteurs de

pression différentielle. Le principe de fonctionnement de ce

capteur est basé sur la différence de pression appliquée de part et

d'autre d'une membrane. Ce gradient de pression induit une

déformation de la membrane qui est

proportionnelle à une tension donnée par le capteur.

Généralement, cette tension est comprise entre 0 et 10 volts. Les

membranes sont interchangeables, et chacune est destinée à une

gamme de pression bien précise.

La différence de pression mesurée est alors exprimée en fonction

de la tension délivrée par

où  est la masse volumique du liquide,  « g » l'accélération de la

pesanteur, « k » une constante déterminée par étalonnage

et « U » la tension en volts.

25

Page 26: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Exemples de capteurs de pression

I I . 1 . 2 . 3 . M a n o m è t r e à t u b e d e t o r s i o n

Principe de la mesure: une pression appliquée sur l'ouverture

d'un tube dont l'autre extrémité est fermée tend à déformer ce

tube recourbé. On mesure le déplacement de la déformation à

l'aide d'un ensemble

Mécanique. L'étalonnage se fait en déplaçant les différents

points de levier.Ces appareils peuvent mesurer les pressions des

gaz ou des liquides.

MANOMÈTRE À TUBE DE BOURDON

I I . 1 . 2 . 4 . C a p t e u r d e p r e s s i o n à j a u g e

Le capteur telle la jauge de contrainte utilisé pour mesurer

des grandeurs variées. La déformation d'un élément résistif (jauge

26

Page 27: SNCC ET CAPTEURS

OCP

de contrainte) nous informe électriquement de la pression

exercée.

On organise quatre jauges de contrainte en pont pour

mesurer la déformation. Il suffit d'obtenir un déplacement de

quelques micromètres pour que cette déformation puisse être

convertie en signal électrique.

Les jauges de contrainte sont des éléments résistifs qui,

subissant une déformation, font varier la valeur de leur résistivité.

CAPTEUR DE PRESSION À JAUGES

Ces appareils peuvent mesurer les pressions des gaz ou des liquides.

II 2. Mesure de niveau

27

Page 28: SNCC ET CAPTEURS

OCP

C'est la mesure de la hauteur d'une enceinte comme (bac, bassin, réservoir…)

II.2 . 1. Mesure de niveau par flotteur

Un flotteur est un corps, de densité apparente inférieure à

celle du liquide, et dont le poids apparent est nul lorsqu'il

s'immerge partiellement dans le liquide. Le poids Pr du flotteur

s'exerce au centre de gravité; la poussée du liquide s'exerce au

centre de poussée. La stabilité du flotteur est assurée malgré les

oscillation de surface, lorsque le Centre de gravité est en dessous

du centre de la poussée; le choix de la forme du flotteur

dépend de la tension superficielle du liquide: sphérique ou

cylindrique avec des calottes sphériques; dans le cas ou le liquide

peut être sujet à des variations de masse volumique, on atténue

leurs effets par l'immersion minimale du flotteur, obtenue par un

volume de large section et une faible hauteur pour une masse

réelle donné

28

Page 29: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Mesure de niveau par flotteur

I I . 2 . 2 . M e s u r e d e n i v e a u p a r p l o n g e u r : Le flotteur est ici trop lourd pour que son poids soit

entièrement équilibré par la poussée d'Archimède quand le

réservoir est plein. Le plongeur est articulé sur un levier dont

l'extrémité est obturée et soudée à un tube de torsion. Le tube est

fixé à la paroi du réservoir et à l'intérieur

de celui-ci, lorsque le niveau baisse, la poussée d'Archimède

diminue et par la suite, le poids apparent augmente. Il en résulte

une torsion du tube. Cette torsion est transmise à l'intérieur par la

rotation de l'axe à l'extrémité

obturée du tube. Les rotations étant très faible, un système

amplificateur est nécessaire.

29

Page 30: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Mesure de niveau par plongeur

II 2.3. Mesure de niveau par radar

ce système est basé sur la réflexion d'ondes électromagnétique ,

pour déterminer le niveau d'un matériau (liquide ou solide), dans

un bassin, à

condition que la surface soit réfléchissante. Un train d'ondes

périodiques est envoyé par un émetteur, elles sont réfléchies par

la substance, et l'écho est détecté par un récepteur. La vitesse de

propagation étant connue , on mesure le temps écoulé entre

30

Niveau à plongeur

Page 31: SNCC ET CAPTEURS

OCP

l'émission et la réception pour déterminer la distance séparant la

substance réfléchissante et l'ensemble émetteur-récepteur.

Cette méthode fournit une précision de l'ordre de 1% ou mieux.

Toutefois, les caractéristiques environnantes (température,

humidité, poussière) influencent le résultat de la mesure.

Mesure de niveau par radar

II 2.4. Mesure du niveau par bulle à bulle

La mesure de niveau par le bulle à bulle est relativement

précise, soit de l'ordre de 1%, et permet la mesure de colonnes

31

Page 32: SNCC ET CAPTEURS

OCP

très hautes. En effet, pour des barrages par exemple, des

colonnes d'au delà de 200 mètres peuvent être mesurées.

Le principe est assez simple. La variation de la pression d'un

gaz injecté, à débit constant, dans un liquide est proportionnelle à

la variation du niveau de ce liquide

On pousse de l'air dans un tube qui descend tout au fond du

bassin. Lorsque le bassin est au niveau maximal, la pression d'air

doit être telle que les bulles qui sortent par l'extrémité inférieur

du bassin et qui sont visibles en surface. La pression exercée par

la colonne sur la sortie en air du tube sera mesurée par un

capteur de pression qui indique la pression d'air requise pour

vaincre la pression exercée par la colonne. Les variations de

pression sont directement proportionnelles aux variations de

niveau et convertie en signal électrique par le transducteur. La

Figure ci-dessous illustre un exemple complet.

32

Page 33: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Mesure du niveau par bulle à bulle

II 2.3 Mesure de température

II . 3.1. GENERALITE   :

La température a origine des variations de sensibilité de froid

et de chaud, dont la mesure de température nous informe sur la

quantité de chaleur environnement.

Cette mesure peut être lue à l’aide de la dilatation d’un

liquide par thermomètre, thermocouple ou par un thermomètre à

résistance (pt100)

UNITE DE MESURE   :

33

Page 34: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Echelles T° la plus basse

Glace fondant Vapeur d’eau bouillante

Celsius -273°C 0°C 100°C

Kelvin 0 273°K 373°K

Fahrenheit -459°F -32°F 212°F

II .3.2. Thermomètre à dilatation   :

Dilatation de gaze : une variation de température entraîne

une variation de volume et de pression P*V = n*R*T (Q= V/T)

Dilatation de liquide : la variation de température entraîne la

variation de volume.

Dilatation de solide : si le détecteur est une tige la variation de

température entraîne une variation de la longueur, si le détecteur

bilame la variation de la température entraîne un comblement.

Thermomètre à résistance (PT100)

On utilise le thermomètre à résistance a fin d’obtenir une très

bonne précision dans les mesures des équilibre thermique.

La résistance d’un conducteur varie en fonction de la température

selon la relation R= f(t) .

Il existe une relation liant la résistance R et la longueur « l », la

section « s » et la résistivité « p » qui est :

R= p*l/s

La variation de R dépend de la température, selon la relation

R=R0 (1+At+ Bt²)

Avec A=3090784.10k

B=0.578408.10k

34

Page 35: SNCC ET CAPTEURS

OCP

On trouve trois types de thermomètres à résistance

platine

Nickel

Cuivre

Le plus utilisé est le platine pour les raisons suivantes  :

L'utilisation d’une longue durée de vie

Entendue de mesure de –190°c à 550°c parfois a 1000°c

Sensibilité : un thermomètre a résistance de platine

100° c à 0° présente une variation de 0.4°c par degré

Précision : dépend pour la plus grand part des appareils

récepteurs

Thermomètre à bulbe

II 3.3. Les thermocouples

35

Page 36: SNCC ET CAPTEURS

OCP

En 1826 Thomas, J. Seebeck observe que, lorsque deux

conducteurs de matériaux différents, sont reliés ensemble et que

leurs points de jonction sont maintenus à des températures

différentes, une force

Électromotrice est développée. Le thermocouple est constitué par

deux fils de métaux différents réunis à une extrémité. Cette

jonction est appelée « soudure chaude ». L'autre extrémité,

appelée « soudure froide », est utilisée comme référence. Lorsque

chauffée, une tension proportionnelle à la différence de

température entre la soudure chaude et la soudure froide est

générée).

Les tensions disponibles à la sortie du thermocouple sont de

l'ordre du millivolt.

Si la température de référence (jonction froide) est

maintenue constante, la variation de la tension de sortie dépendra

uniquement de la température à la jonction chaude.

36

Page 37: SNCC ET CAPTEURS

OCP

LE THERMOCOUPLE: SYMBOLES ET PRINCIPES

Pour obtenir une tension de sortie exempte des fluctuations

de la température ambiante, la jonction froide (référence) est

maintenue

Artificiellement stable. Plusieurs techniques sont utilisées par

les manufacturiers pour compenser la variation de la température

ambiante. Citons quelques exemples:

maintien de la température de référence (jonction

froide) à 0C;

37

Page 38: SNCC ET CAPTEURS

OCP

maintien de la température de référence (jonction

froide) à la température ambiante;

compensation thermique de la tension de sortie en

fonction des fluctuations de la température ambiante.

Toutes ces techniques donnent la même conclusion: obtenir

une tension de sortie proportionnelle à la température mesurée à

la jonction chaude.

Le thermocouple est souvent enfermé dans un tube

protecteur. La FIGURE

Ci-dessous, illustre quelques boîtiers protecteurs.

38

Page 39: SNCC ET CAPTEURS

OCP

EXEMPLE DE BOÎTIER PROTECTEUR DE THERMOCOUPLE

II 3.4. Les thermomètres à résistances RTD

Sous l'action de la chaleur, la résistance de métaux tels le

cuivre, le platine et le nickel varie de sorte que l'on peut avoir une

indication de la valeur de la température en mesurant cette

résistance. Quoique travaillant sur le même principe, les

manufacturiers ont développé des thermomètres à résistances de

bien meilleure précision que les thermistances: il s'agit des RTD, «

résistance température detector ». Ce capteur comporte des fils

de platine, de cuivre ou de nickel, enfermés dans un boîtier

39

Page 40: SNCC ET CAPTEURS

OCP

étanche en matériau non corrosif (figure ci-dessous). De tous les

métaux utilisés, on

Retrouve surtout des thermomètres à fil de platine. Ces

thermomètres sont habituellement plongés dans les liquides dont

on veut connaître la température.

Le RTD platine 100 normalisé est devenu une norme en

instrumentation. Celui-ci offre une résistance de 100 pour une

température de 0,0C et il peut mesurer des températures allant

de (-180C jusqu'à +650C).

40

Page 41: SNCC ET CAPTEURS

OCP

THERMOMÈTRE À RÉSISTANCE RTD

.Le RTD est placé dans un pont de résistance de précision. Pour

compenser la longueur des fils de cuivre dont le coefficient de

température est

supérieur au platine et qui influencerait la mesure, on utilise un

RTD trois fils.

Pour éviter l'imprécision de la fonction de transfert du pont résistif

et rendre l'influence des longueurs de fil négligeable, on utilise

aussi le RTD à quatre fils alimentés par une source de courant. (La

Figure ci-dessous) illustre divers circuits de branchement du RTD.

41

Page 42: SNCC ET CAPTEURS

OCP

BRANCHEMENT DU RTD

a) RTD 2 fils

b) RTD 3 fils

c) RTD 4 fils

La valeur de la résistance équivalente du RTD peut être calculée

approximativement à l'aide de la formule empirique suivante

(Équation 0-1):

ÉQUATION 0-1 : CALCUL DE LA VALEUR RÉSISTIVE À UNE

TEMPÉRATURE DONNÉE

Où Rtx = la valeur de la résistance pour une température tx

donnée;

R0C = la valeur de référence du RTD à 0C;

= la valeur du coefficient de température du matériau (/C).

42

Page 43: SNCC ET CAPTEURS

OCP

II 4. Mesure de débit

I I 4 . 1 . G E N E R A L I T E S . : On appelle débit d'un fluide (liquide ou gaz) s'écoulant dans

une canalisation, la quantité de fluide traversant une section

droite de l'écoulement pendant l'unité de temps. Cette quantité

peut s'exprimer soit par le volume soit par la masse, on obtient

donc suivant le cas:

L e d é b i t m è t r e v o l u m i q u e :

C'est le volume de fluide écoulé dans l'unité de temps, il se

mesure en mètre cube par heure ou par seconde

Qv= m/s

Le débit massique

C'est la masse de fluide écoulé dans l'unité de temps et se

mesure généralement en kilogramme par seconde

Qm= Kg/s

En désignant par ρ la masse volumique du fluide, il est

évident que Qm= ρQv

II. 4 .2. Systèmes déprimogènes :

Dans ces systèmes, on applique le théorème de Bernoulli

entre deux sections de la conduite. En effet, on pratique

43

Page 44: SNCC ET CAPTEURS

OCP

localement dans cette conduite une réduction de la section de

passage de l'écoulement; ce qui provoque une perte de charge

singulière. Ainsi, un resserrement de la

Conduire ou un changement de direction créent entre amont

et aval une différence de pression P liée au débit par une relation

de la forme :

Où K est un coefficient qui s'obtient par étalonnage et  la

masse volumique du fluide.

Cette équation est vérifiée dans une certaine gamme du nombre

de Reynolds.

Cette équation est vérifiée dans une certaine gamme du nombre

de Reynolds.

La figure ci-dessous donne les principaux organes

déprimogènes utilisés en débitmètre. En effet, le diaphragme est

l'organe déprimogènes le plus utilisé.

44

Page 45: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Exemple de systèmes déprimogènes

II 4.3. Rota mètres :

C'est un système déprimogènes à flotteur monté

verticalement. Sa section est continûment variable et l'équilibre

est atteint pour un débit donné lorsque le poids apparent du

flotteur équilibre les forces tangentielles de frottement et de

pression.

a figure ci-dessous représente un rota mètre menu de son

petit flotteur placé dans un conduit vertical conique :

45

Page 46: SNCC ET CAPTEURS

OCP

:A gauche, le schéma d'un rota mètre ; à droite, une photo en illustration

Caractéristiques techniques

La gamme de mesure va :

de 0,5 litre/h à 200 000 litres/h pour les

gaz ;

de 0,2 litre/h à 20 000 litres/h pour les

liquides.

La précision est de 3 à 10% de l'étendue de la mesure. La

température du fluide peut approcher 400°C sous 25 bars. Le

rotamètre introduit une perte de charge.

II. 4.4. Débitmètre électromagnétique

46

Page 47: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Le principe de fonctionnement de cet appareil est fondé sur

la loi d'induction de Faraday. Le liquide qui traverse le débitmètre

constitue un

élément conducteur qui génère une tension induite par le

champ magnétique créé par les bobines d'induction de cet

appareil

électromagnétique. Cette tension: est

linéairement proportionnelle à la vitesse de passage du liquide

Où :

: Le facteur de proportionnalité du capteur,

: L’intensité du champ magnétique,

: Le diamètre du tube,

: La vitesse débitante de l'écoulement dans le tube.

La tension ainsi générée est recueillie par les deux électrodes

du débitmètre qui la transmettent à un convertisseur approprié.

L'intensité du champ magnétique et la distance entre les

électrodes étant constantes, la tension induite est donc fonction

de la vitesse du liquide seulement et indépendante des variations

de température (viscosité), de pression ou de conductivité.

47

Page 48: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Si on considère un conducteur  se déplaçant dans un

champ magnétique uniforme  , on peut alors relier linéairement

la tension  à la vitesse débitante  .

Principe de fonctionnement du débitmètre électromagnétique

48

Page 49: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Schéma électrique du capteur du débitmètre électromagnétique

L'induction magnétique, de l'ordre de 10-3 à 10-2 T, est

produite par deux bobines placées de part et d'autre de la

conduite de mesure. La conduite est en matériaux amagnétique

et est revêtue sur sa surface

intérieure d'une couche isolante. Deux électrodes de mesure

sont placées aux extrémités du diamètre perpendiculaire au

champ B. Les bobines sont

alimentées par une tension alternative (30 Hz par exemple),

afin d'éviter une polarisation des électrodes.

49

Page 50: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Exemples de débitmètres électromagnétiques

II . 4.5. Systèmes rotatifs

Le débit peut être mesuré par un système rotatif. Cette

technique est utilisée dans la plupart des compteurs industriels.

Le volume total qui transite dans ce système est directement

proportionnel au nombre de tours effectué par le rotor de la

turbine. Si l'étanchéité entre l'hélice et le tube est correct et la

mécanique est de qualité, alors la vitesse de rotation de la turbine

donne directement le débit sans avoir recours à un étalonnage

préalable. En effet, une turbine à pales profilées, placée

axialement dans un écoulement, tourne à une fréquence liée à la

vitesse de l'écoulement. En général, cette correspondance est

obtenue par un étalonnage. La fréquence ainsi obtenue est

recueillie par un capteur, puis envoyée vers un

50

Page 51: SNCC ET CAPTEURS

OCP

préamplificateur qui transforme les impulsions en tension (ou

en courant). La tension U ainsi recueillie, varie linéairement avec

le débit volumique :

où K et b sont des constantes déterminées par un étalonnage

approprié.

Exemples de débitmètres à système rotatif (ou à turbine).

II .4.6. Débitmètre ultrasonique

Un émetteur ultrasonique émet des trains d'ondes, la mesure

du temps mis par le signal pour parcourir la distance D nous

permet de connaître la vitesse du fluide.

51

Page 52: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Principe de fonctionnement du débitmètre ultrasonique

Le temps mis par l'onde ultrasonore pour aller de l'émetteur

vers le récepteur est :

Avec :

: vitesse de propagation du son dans le

fluide

: vitesse débitante du fluide ;

: angle entre  et la direction définie par

le couple émetteur / récepteur.  

52

Page 53: SNCC ET CAPTEURS

OCP

III- LES DIFFERENTS CONSTITUANTS DU S.N   .C.C DE

LATELIER SULFURIQUE

III-1. ARCHITECTUR DU SNCC

III 1.1.INTRODUCTION

Acculement, la technologie analogique se trouve de plus en plus

abandonnée à cause de plusieurs inconvénients :

- manque de précision

- temps de réponse longue

- intégration limite

- la maintenance accrue …ext.

Pour la rénovation de l’atelier sulfurique, on a adapte un système

numérique de contrôle commande (SNCC) de constructeur YOKOGAWA et

de modèle CENTUM CS3000 .ce système de supervision au niveau des

lignes d’acide sulfurique a permis la remise en état du tableau droit de la

salle de contrôle en présence de plusieurs fonctionnalité :

la supervision des différents paramètres de marche par la possibilité

d’affichage des différentes vues :

- vue générale de l’unité

- vue de groupe

- vue d’alarme

- et

53

Page 54: SNCC ET CAPTEURS

OCP

la gestion des alarmes

l’affichage des synoptique en dimension 3, anime en temps réel

l’enregistrement et la consultation d’historique

l’édition sur imprimante de plusieurs donne :

- alarmes.

- Evénement

- Historique

- Vues d’écrans

- Rapport, bilan et journaux d’exploitation

Le command des différents paramètres de marche

54

Page 55: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Schéma

55

Page 56: SNCC ET CAPTEURS

OCP

56

Page 57: SNCC ET CAPTEURS

OCP

III-1.2. DISCRIPTION

Interface homme machine (HIS)   :

Compose de essentiellement d’un écran et d’un clavier .le HIS regroupe

toutes les fonctions d’exploitation et de control, avec la possibilité d’afficher

tous les paramètre et les alarmes en cas d’anomalie.

Clavier opérateur   :

C’est un clavier à membrane flexible, il est muni des touches programmable

.il est associe au HIS

Station de configuration   :

C’est une station qui dispose d’une fonction de programmation de 

l’ensemble des équipements du SNCC

Station de contrôle   :

Elle gère des fonctions de régulation et de contrôle. Elle est composée

de :

- Des cartes d’alimentation

- Des unités de traitement

- Une interface de communication avec le réseau V-Net

- Une interface de communication Avec le bus E /Set les nœuds

Passerelle micro   Z (ACZ)   :

Elle raccorde un système CENTUM CS à un système Micro Z.

57

Page 58: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Convertisseur de bus (ABC)   :

Elle raccorde un système CENTUM CS à un autre système du même

type.

Bus Rio   :

C’est la liaison entre l’unité centrale la station de contrôle et les nœuds

NTU   :

L’Unité d’entrée sortie est compose d’une carte de communication et

d’une carte d’alimentation

IOU   :

L’unité d’entrée sortie constitue de racks d’entre sortie contenant des

modules d’E /S raccordes au procède

Les réseaux de communication   :

- V-Net : c’est un réseau de contrôle en temps réel qui relie une station

de contrôle à une autre station. Il utilise un système de communication

point par point et par message.

58

Page 59: SNCC ET CAPTEURS

OCP

-

- Ethernet : c’est un réseau local d’information. Il assure la

communication entre la station d’information et de conduite et une

station de travail ou entre ICS et un calculateur de supervision.

- Enet : il relie une station ICS et les stations et les stations ICS pour

assurer l’affichage de données, l’impression et le chargement sur

d’autres stations de données d’ingénierie .les caractéristiques d’Enet

sont identiques à celles du Ethernet

LA REDONDANCE   :

Pour éviter toute défaillance et augmente la disponibilité du CS3000, une

redondance est assurée à tous les niveaux afin de garantir une

performance et une fiabilité :

- Station opérateur ICS :

Chaque ICS est indépendante de l’autre, ainsi la défaillance de l’une

n’altère pas les autres.

- V-Net :

La redondance comprend les câbles, les cartes de communication et

les coupleurs

59

Page 60: SNCC ET CAPTEURS

OCP

- CPU :

2CPU chacune effectue ses calculs les résultat sont identifies, ils sont

transmet à la mémoire si non la CPU qui était en attente devient

active.

- RIO :

Les bus RIO double redondant sont utilise alternativement, en cas

d’anomalie sur un bus, c’est l’autre qui est active.

- Nœuds d’E/S :

Ils sont composes à des cartes qui peuvent être doubles.

- Alimentation :

Il y a 2 sources, une partie des cartes est alimentée par une source et

les cartes redondantes sont alimentées par l’autre source.

60

Page 61: SNCC ET CAPTEURS

OCP

PARTIE LOGICIELLEDU SYSTEME

Programmes d’exploitation

Le système CENTUM CS3000 tourne sous Windows NT s’intègre ans un

environnement informatique standard à savoir :

- SGBD  : ACCESS, ORACLE

- TABLEUR  ; EXCEL, LOTUS

- FORMAT GRAPHIQUE  : DXF, GES, BMP

- FORMAT TEXTE : CODE ASCII

Au niveau de l’unité centrale , il est nécessaire d’utilise un système

d’exploitation en temps réel multitâches pour réaliser les différents

traitements de plus décharger l’unité centrale d’un certain nombre de

traitement , les modules d’E /Set de communication peuvent être équipes

de leurs propres microprocesseurs

Les taches élémentaires à réaliser par le CPU :

- acquisition

- traitement

- command

- communication

61

Page 62: SNCC ET CAPTEURS

OCP

- autoteste

Ces taches sont reparties entre les modules d’acquisition de command et

de communication qui seront considères comme des périphériques de

l’unité centrale cette dernière conservant à sa charge le traitement des

fonction de régulation et d’automatisme séquentiel et la fonction

d’autoteste

Le programme correspondant aux fonctions associées par les modules

d’E/S et de communication est stocke sur chaque module en mémoire

EEPROM.

Le programme correspondant aux fonctions de régulation et

d’automatisme séquentiel sont conçus sur une console de programmation

spécifique et télécharges dans la RAM de l’unité centrale, les programmes

d’autoteste sont généralement charges en ROM

INTERFACE UTILISATEUR

L’interface utilisateur répond à l’exigence ci-après :

- Environnement graphique

- Meilleure convivialité

- Assistance interactive

- Fenêtre des messages système

62

Page 63: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Cette fenêtre best toujours présente en haut de l’écran et ne peut être

recouverte une fenêtre.

SECURITE

La gestion de la sécurité d’accès au système est fondée sur la notion et

mots de passes hiérarchises

De même la définition de différents types de profil limitent les accès aux

fonctions du système à la gestion de certaines parties des installations, est

indispensable.

ADMINISTRATION

Les principales fonctions demandées pour l’administration du système

peuvent se résumer comme suit :

configuration du système

gestion des profils et des mots de passes

initialisation des taches

archivage

Devoloppement

La solution CENTUM CS3000 dispose d’un ensemble d’outils de

développement d’application (optimisation, simulation, élaboration de

schémas etc.)

63

Page 64: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Les outils répondent aux contraintes suivantes :

facilite d’utilisation

disponibilité d’une riche bibliothèque graphique adaptée aux

industries chimiques Maroc phosphore III et IV

possibilité de simulation d déroulement des applications

disponibilité des bibliothèques des fonctions programmes touchant

tous les aspects nécessaires à une conduite, configuration et

développement aie

Elle contient au minimum :

Les fonctions de calcule.

Les fonctions de calcule.

Les fonctions de régulation les identifications du procédée.

Outils de développement des synoptiques.

III.1.3. Les types de communications utilisées par le système

Communication point à point

C’est un système de correspondance point à point, la station HIS

demande la station FCS de lui communiquer certains données et la station

FCS les renvoie en retour , ce système est utilise dans l’ écriture des

données générales ou des procédées

Communication par message

64

Page 65: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Système de communication par lequel des donnes sont envoyées

simultanément à un ensemble de stations.

Emission en diffusion sur le réseau V NET

Système de communication par lequel une station envoi des données à

toutes les autres stations FCS simultanément, le temps de communication

peut être fixe entre 100ms et 2s selon l’application , il est particulièrement

adapte aux applications suivantes :

basculement électrique nécessitant une transmission de donnes très

rapide

communication de signaux de synchronisation entre de contrôle FCS

dans le cadre d’un contrôle séquentiel

III.1.4. LES AVANTAGE DE LA S.N.C.C

Respect continu des consignes de qualités :

Vu la grande précision du SNCC, toute consigne programme est automatiquement respecte, ceci est du à la performance éminente des processeurs et à l’homogénéité entre les composants du système

Stabilité de la marche et réduction du coût, des délais d’intervention et du matériel

Souplesse d’adaptation à des nouvelles conditions :

Dans le cas ou on veut modifier une boucle de régulation, la SNCC peut réaliser facilement, il suffit de changer les repères des instruments

65

Page 66: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Archivage fiable :

L’opération d’archivage est très importante pour un contrôle permettent des paramètres de marche

Augmentation de la sécurité de l’installation :

Dans le cas de présence d’une anomalie, le système signale une alarme pour permettre à l’utilisateur de prendre les mesures nécessaires

Optimisation du personnel

III.1 . LES PRINCIPEAUX ELEMENT DE LA SNCC

Le système CS3000 de YOKOGAWA France est composé de :

Unité DESIGNATIONQté

U11

Armoire FCS0101 réf : AFS20D-H4221 1Nœud avant réf : /NDF4 1Terminaison bus RIO réf :YCB 128 2Câble bus RIO de 2 m réf : YCB121-M002 2Boîtier E/S logiques réf : AMN 32 1Boîtier E/S analogiques réf : AMN 11 2Boîtier E/S multiplexées réf : AMN 31 1Carte de 16 entrées logiques réf : ADM11C 2Carte de 32 sorties logiques réf : ADM52C 2Carte d’entrée analogique réf : AAM10 10Carte de sortie analogique réf : AAM50 6Carte d’entrées analogiques PT100 réf : AAM21/RJ 8Carte de 16 entrées multiplexées réf : AMM12C 1

U01A Armoire EXT0101A réf : ACB21 1

66

Page 67: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Nœud arrière réf : /NDR4 3Câble bus RIO de 2 m réf : YCB121-M002 2Boîtier E/S logiques réf : AMN 32 2Boîtier E/S analogiques réf : AMN 11 3Boîtier E/S multiplexées réf : AMN 31 8Carte de 16 entrées logiques réf : ADM11C 3Carte de 32 sorties logiques réf : ADM52C 3Carte d’entrée analogique réf : AAM10 12Carte de sortie analogique réf : AAM50 17Carte d’entrée analogique PT100 réf : AAM21/RJ 5Carte de 16 entrées multiplexées réf : AMM12C 5Carte de 16 entrées multiplexées thermocouple réf : AMM22T

6

Carte de 16 entrées multiplexéesPT100 réf : AMM32T 2

U01B

Armoire EXT0101B réf : ACB21 1Nœud arrière réf: /NDR4 3Terminaison bus RIO réf : YCB128 2Boîtier E/S logiques réf : AMN 32 2Boîtier E/S analogiques réf : AMN 11 3Boîtier E/S multiplexées réf : AMN 31 8Carte de 16 entrées logiques réf : ADM11C 3Carte de 32 sorties logiques réf : ADM52C 3Carte d’entrée analogique réf : AAM10 12Carte de sortie analogique réf : AAM50 17Carte d’entrée analogique PT100 réf : AAM21/RJ 5Carte de 16 entrées multiplexées réf : AMM12C 5Carte de 16 entrées multiplexées thermocouple réf : AMM22T

6

Carte de 16 entrées multiplexées réf : AMM32T 2

Unité DESIGNATIONQté

U01C Armoire FCS0102 réf : AFS20D-H4221 1Câble bus RIO de 2 m réf : YCB121-M002 2Terminaison bus RIO réf : YCB128 2Armoire EXT0102A réf : ACB21 1Nœud arrière réf : /NDR4 3

67

Page 68: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Câble bus RIO de 2 m réf : YCB121-M002 2Boîtier E/S logiques réf : AMN 32 2Boîtier E/S analogiques réf : AMN 11 3Boîtier E/S multiplexées réf : AMN 31 8Carte de 16 entrées logiques réf : ADM11C 3Carte de 32 sorties logiques réf : ADM52C 3Carte d’entrée analogique réf : AAM10 12Carte de sortie analogique réf : AAM50 17Carte d’entrée analogique PT100 réf : AAM21/RJ 5Carte de 16 entrées multiplexées réf : AMM12C 5Carte de 16 entrées multiplexées thermocouple réf : AMM22T

6

Carte de 16 entrées multiplexées réf : AMM32T 2

U01X

Armoire EXT0102B réf : ACB21 1

Nœud arrière réf : /NDR43

Terminaison bus RIO réf : YCB1282

Boîtier E/S logiques réf : AMN 32 2Boîtier E/S analogiques réf : AMN 11 3Boîtier E/S multiplexées réf : AMN 31 8Carte de 16 entrées logiques réf : ADM11C 3Carte de 32 sorties logiques réf : ADM52C 3Carte d’entrée analogique réf : AAM10 12Carte de sortie analogique réf : AAM50 17Carte d’entrée analogique PT100 réf : AAM21/RJ 5Carte de 16 entrées multiplexées réf : AMM12C 5Carte de 16 entrées multiplexées thermocouple réf : AMM22T

6

Carte de 16 entrées multiplexéesPT100 réf : AMM32T 2U12 Armoire FCS0103 réf : AFS20D-H4221 1

Nœud avant réf : /NDF4 2

Terminaison bus RIO réf : YCB1282

Câble bus RIO de 2 m réf : YCB121-M002 2Boîtier E/S logiques réf : AMN 32 2Boîtier E/S analogiques réf : AMN 11 2Boîtier E/S multiplexées réf : AMN 31 1

68

Page 69: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Carte de 16 entrées logiques réf : ADM11C 3Carte de 32 sorties logiques réf : ADM52C 2Carte d’entrée analogique réf : AAM10 16Carte de sortie analogique réf : AAM50 8Carte de 16 entrées multiplexées réf : AMM12C 1Terminaison V-NET réf : YCB118 2

Unité DESIGNATIONQté

U01Y

Armoire EXT0103A réf : ACB21 1

Nœud arrière réf : /NDR43

Câble bus RIO de 2 m réf : YCB121-M002 2Boîtier E/S logiques réf : AMN 32 2Boîtier E/S analogiques réf : AMN 11 3Boîtier E/S multiplexées réf : AMN 31 8Carte de 16 entrées logiques réf : ADM11C 3Carte de 32 sorties logiques réf : ADM52C 3Carte d’entrée analogique réf : AAM10 12Carte de sortie analogique réf : AAM50 17Carte d’entrée analogique PT100 réf : AAM21/RJ 5Carte de 16 entrées multiplexées réf : AMM12C 5Carte de 16 entrées multiplexées thermocouple réf : AMM22T

6

Carte de 16 entrées multiplexéesPT100 réf : AMM32T 2

U01Z Armoire EXT0103B réf : ACB21 1

Nœud arrière réf : /NDR43

Terminaison bus RIO réf : YCB1282

Boîtier E/S logiques réf : AMN 32 2Boîtier E/S analogiques réf : AMN 11 3

Boîtier E/S multiplexées réf : AMN 31 8

69

Page 70: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Carte de 16 entrées logiques réf : ADM11C 3Carte de 32 sorties logiques réf : ADM52C 3Carte d’entrée analogique réf : AAM10 12Carte de sortie analogique réf : AAM50 17Carte d’entrée analogique PT100 réf : AAM21/RJ 5Carte de 16 entrées multiplexées réf : AMM12C 5Carte de 16 entrées multiplexées thermocouple réf : AMM22T

6

Carte de 16 entrées multiplexées PT100 réf : AMM32T 2

Salle de contrôle

Pupitre 1(gauche) 1Pupitre 2 (gauche central) 1Pupitre 3 (central) 1Pupitre 4 (droit central) 1Pupitre 5 (droit) 1

Rehausse2

Adaptateur V-NET/VL-NET réf : YCB147-2 1Câble KS10de 10 m pour E/S logiques 22Câble KS3 de 10 m pour E/S analogiques 55Câble Z986 de 10 m pour AMN11 22Câble Z817 de 10 m pour AMM32T 12Câble V-NET de 15 m réf YCB111-M015 4

Câble V-NET de 40 m réf YCB111-M0402

Câble ETHERNET de 40 m réf YCB 141-M0404

Câble ETHERNET de 5 m réf YCB 141-M00514

Ferrite pour V-NET36

70

Page 71: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Unité DESIGNATIONOté

Salle de contrôle

Ecran 21’’ pour HIS 6

Imprimante couleur HP895Cxi 4

Unité centrale HIS + claviers + TrackBall + dongle + souris

6

Graveur CD interne RICOH 5 (monté dans HIS) 2Unité de sauvegarde IOMEGA (monté dans HIS) 2Carte V-NET réf : VF701 (monté dans HIS) 6Clavier à membrane réf : AIP 826-2 6Imprimante Laserjet HP 2100 1Terminaison Ethernet réf YCB 148 4Carte SCSI 2Carte Ethernet PCI 3 COM + Té 6

Bornier pour 16 E/S analogique réf : D16A Entrelec 22Bornier pour 16 E/S multiplixées réf : D16V Entrelec 32Bornier pour 16 E/S 16 EL réf : D16L Entrelec 23Bornier pour 32 SL réf : D32SR/L Phoenix contact 22Bornier pour 16 PT 100 multiplixées réf : FLKD50 Phoenix

12

71

Page 72: SNCC ET CAPTEURS

OCP

Au terme de ce stage, je constate que la formation académique seule

n’est pas suffisante et que les stages dans les sociétés, de façon générale,

aide à évaluer ses connaissances et d’en acquérir d’autres plus

intéressantes.

Le stage au sein du groupe OCP guidé par les encadrants m’a permis

d’avoir d’avantage confiance en moi-même, j’ai pu aussi m’exprimer et

dialoguer plus facilement pour avoir des explications plus concrètes

concernant ma formation professionnelle ainsi que le monde du travail.

72

Page 73: SNCC ET CAPTEURS

OCP

73