LECORBUSIER

PLUS GRAND

SITE EN EUROPE

FIRMIN

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T-ÉTIE

NNE MÉTROPOLE

Programmation IN

9 MARS › 9 AVRIL

2017

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LE SITE EN UN CLIN D’ŒIL

PROGRAMME IN

À la Maison de la Culture

Performance / Exposition « IN » « LOOPING » Le projetLes intervenantsLes partenaires Le programme

Working Interior DesignBureau Témoin Pierre GuaricheMobilier Design « La Table » de Féri Novak

À l'Église Saint-Pierre

Exposition "IN " « Rituals and Routines » Parcours d’exposition PartenairesAutour de l’exposition

Concert "IN" « POÈMES ETOILÉS »

Au cinéma le Majestic

Cinéma "IN"

INFORMATIONS PRATIQUES ET CONTACT PRESSE

SOMMAIRE

CONTACT PRESSEGéraldine DABRIGEON Directrice Conservatrice du Site Le Corbusier

g.dabrigeon@saint-etiennetourisme.com

+ 33 (0)6 13 71 65 19

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C’est à Firminy, à proximité de Saint-Étienne, sur le territoire de Saint-Étienne Métropole, et au cœur de la nouvelle région Auvergne-Rhône-Alpes, que Le Corbusier a conçu son plus important ensemble architectural en France et en Europe. Le Site construit par l’architecte à Firminy-Vert est unique. Il abrite le plus grand nombre d’œuvres modernistes du maître en Europe. Avec une Maison de la Culture, une Unité d’Habitation, un stade et une église, Firminy est l’exemple même de l’utopie Corbuséenne.

La Maison de la Culture est inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis juillet 2016 pour son influence sur

l’architecture moderne au même titre que 16 autres sites construits par Le

Corbusier en France, Suisse, Belgique, Allemagne, Inde, Argentine et au

Japon.

Le Site résulte d’une rencontre forte entre la

volonté d’Eugène Claudius-Petit, maire de Firminy et ministre

de la reconstruction et de l’urbanisme d’après-guerre, et l’ambition de

Charles-Edouard Jeanneret dit Le Corbusier. Ensemble, ils veulent redonner

dès 1953 à la ville un nouveau souffle et mettre en pratique les principes de l’architecture moderne.

L’ensemble, réalisé sur les plans originels de Le Corbusier, regroupe à Firminy :

La Maison de la Culture, érigée entre 1961 et 1965.

Le stade, construit entre 1966 et 1969, seul stade classé Monument Historique en France.

L’Unité d’Habitation, inaugurée en 1967, dont la maîtrise d’œuvre est assurée par André Wogenscky, exécuteur testamentaire à la mort soudaine de l’architecte en 1965.

L’église a été inaugurée en novembre 2006. Le projet architectural est l’œuvre de Le Corbusier, assisté de José Oubrerie qui est l’auteur du projet d’exécution et en a achevé le chantier.

La piscine, intégrée au plan initial, construite par André Wogenscky.

L’aménagement avant-gardiste et novateur du quartier Firminy-Vert lui vaut en 1961 le Grand Prix d’Urbanisme. Construit selon les principes de la Charte d’Athènes (1933), le Site prône un urbanisme répondant aux besoins du corps, de l’âme et de l’esprit, dans un cadre où soleil, espace et verdure dominent.

Saint-Étienne Métropole et la Ville de Firminy mènent une politique active de préservation du Site ; la mise en valeur touristique est assurée par l’Office de Tourisme et des Congrès de Saint-Étienne Métropole, permettant ainsi aux habitants et à tout visiteur de profiter pleinement de cet héritage architectural hors normes.

LE SITE EN UN CLIN D’OEIL

LE CORBUSIER À FIRMINY : HABITER,

TRAVAILLER, SE RECRÉER,

CIRCULER

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Programme IN du Site Le CorbusierDans le cadre de la 10e Biennale Internationale Design Saint-Étienne, les deux bâtiments emblématiques du Site Le Corbusier que sont la Maison de la Culture et l’église Saint-Pierre accueillentà partir du 9 mars 2017 une "Programmation IN" autour du mouvement, du geste et du travail dans l’espace architecturé.

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PERFORMANCE / EXPOSITION IN

À la Maison de la Culture

« LOOPING »LE TRAVAIL EN QUESTION : DIALOGUE ENTRE UNE CHORÉGRAPHE ET UN DESIGNER

JULIE DESPRAIRIES & DAVID ENON

Au centre, le travail et ses mutations.

Autour, des objets qui génèrent des gestes qui produisent des objets ou des gestes qui produisent des objets qui génèrent des gestes.

Une chorégraphe et un designer s'emparent de ce Looping.

Un designer qui rencontre une chorégraphe, à priori ça produit un spectacle et des objets.

Mais ce qui rapproche Julie Desprairies et David Enon, c’est une même attention portée au contexte de production des pièces ; de danse, de design. Et une même obsession de nécessité : ne peuplons pas le monde d’objets, de danses superflues, pratiquons l’économie de gestes et de matière, puisons dans ce qui est déjà là pour être utiles aux personnes oncernées. Mouvements et objets infra-ordinaires ; danse et design in situ.

Le Site Le Corbusier accueille leur présence régulière ; ils collectent auprès des personnes qui y travaillent des attitudes de danseur et de designer ; ils fabriquent à partir de cette matière un projet hybride mi-chorégraphique, mi-designé ; ils partagent enfin avec le public de la Biennale Internationale Design Saint-Étienne 2017 une expérience de design dansé ou de danse designée.

Outre les travailleurs des lieux, ils associent à ce projet des étudiants de l’École Supérieure des Beaux-Arts d’Angers (ESBA-TALM) et du Centre National de Danse Contemporaine d’Angers.

LES INTERVENANTS

Depuis bientôt vingt ans, je réalise des projets chorégraphiques in situ. Mes pièces s’appuient sur les caractéristiques plastiques, architecturales, topographiques, naturelles des lieux, mais également leurs usages, impliquant régulièrement les personnes qui y habitent, travaillent, étudient. Je prétends faire une danse appliquée. Appliquée à l’architecture, aux paysages. Une danse dépendante du contexte de son élaboration.

Pour certains1, ma démarche est celle d’un designer. Je l’accepte volontiers quand design s’entend comme processus radical qui ne s’attache pas seulement à la forme, qui n’ajoute pas forcément d’objets au monde qui en est déjà saturé, mais qui s’efface au profit de la relation à l’autre, à l’environnement. Un design activiste qui élargit sa propre acception, lutte contre la notion de progrès, décélère, s’autorise un ralentissement et des décadrages dans la construction collective des modes de vie.

Dans ma pratique de la chorégraphie, j’utilise l’espace autrement, je transgresse l’usage, j’opère des rapprochements plastiques, je décontextualise les gestes du travail, je prélève dans le lieu mes accessoires et ma scénographie ; le corps devient mobilier et outils ; le paysage, partition à danser.

À Firminy, avec David Enon, nous rencontrons des personnes qui, dans l’exercice de leur métier, entretiennent une relation au Site Le Corbusier. Nous les interrogeons sur leurs rapports aux gestes et aux objets2 . Nous observons des situations qui relèvent autant de questions de danse que de design. À partir de cette investigation, nous écrivons notre "Looping".

Julie Desprairies

Julie Desprairies, chorégraphe,

est née en 1975.

Elle vit à Paris, sa compagnie

est basée à Lyon (Auvergne - Rhône-Alpes).

Elle crée des projets chorégraphiques contextuels.

S’appuyant sur une étude détaillée des sites et de la commande, elle

écrit une « danse appliquée » qui implique souvent usagers et habitants.

Ses créations sont d’envergures variables, pour un bâtiment, un quartier, une ville, un paysage. Il s’agit pour elle de rendre visible le mouvement des lieux.

Elle a réalisé une création radiophonique pour France Culture et trois films (Autour du parc à la Villeneuve de Grenoble, Cinq points de vue autorisés sur les Courtillières et L’Architecte de Saint-Gaudens). Elle a écrit un Manuel d’entraînement régulier du danseur urbain et prépare actuellement « Danser l’architecture », à paraître en 2017.

www.compagniedesprairies.com

La Compagnie des prairies est accompagnée par La Magnanerie.

1. Olivier Peyricot, Design : « décadrage et ralentissement à l’œuvre dans et autour », revue Cree n°373, oct-nov 2015.2. Quels sont vos gestes au travail ? Y a-t-il des mouvements spécifiquement liés à cette architecture ? Quelles solutions, astuces, aménagements pour réduire la pénibilité des tâches ? Pour les simplifier, rationnaliser, accélérer ? Pour se reposer ? Voulez-vous nous montrer le contenu personnel de votre équipement professionnel ? Votre corps existe-t-il dans votre travail ? Quand et comment ? Y a-t-il des changements dans entre hier et aujourd’hui, du point de vue des actions, mouvements, outils, mobiliers ?

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David Enon, designer indépendant, est né en 1973. Il est diplômé de l’École Nationale Supérieure de Création Industrielle de Paris (Ensci/Les Ateliers).

Il navigue entre :

- projets de commandes : scénographies d'expositions, créations de mobilier pour

l'industrie, aménagements pour des particuliers et bons conseils.

- recherche : il travaille actuellement à la production de

mobilier en récifs artificiels avec les fonds marins

comme usine nouvelle.

- enseignement : professeur

à l'École supérieure

des beaux-arts d'Angers (Esba TALM)

et workshops réguliers.

Son intervention consiste à :

- être dans une économie de gestes et de moyens, laisser les choses

exister, parfois à contre-courant, à contretemps, avec exigence.

- dessiner beaucoup pour dessiner le moins possible ; dessiner à un autre endroit.

- déplacer, rejouer, agencer, chercher là où l’on pense plutôt ne rien trouver, mais chercher.

David Enon est édité par la Tools Galerie à Paris et la Galerie MICA à Rennes.

Il fait partie des collections du FNAC (Fond National d’Art Contemporain).

www.davidenon.net

Intéressé par le design (que l'on en soit acteur, amateur, ou usager) on regarde l'objet, son dessin, sa matière, ses lignes et on apprécie ce qu'il nous dit. On sous-estime souvent l'autour de l'objet : comment il dialogue, interagit avec les autres objets qui l'entourent jusqu'à faire système ; comment il influe sur l'espace dans lequel il se situe, sur les corps avec lesquels il entre en contact.

L'utilisation de ces objets génère des gestes. Gestes d'usage, de scénario d'usages plus ou moins prédéterminés. La question du geste est donc une affaire de design. C'est d'autant plus vrai que ce sont des gestes qui ont façonné nos objets. Le potier tourne, le ferronnier martèle, le boulanger pétrit… Les gestes des "faiseurs" ont été reproduits, amplifiés et démultipliés par l'industrie, dans le but d'apporter confort et progrès pour le plus grand nombre.

Mais aujourd'hui notre environnement est saturé d'objets ; trop de trop.

En tant que designer, mon premier "geste" est de dé-designer, de penser à rebours. De réfléchir au geste nécessaire, juste, celui qui permet de répondre précisément au besoin, ou au problème qui m'est posé. J'applique cette exigence aussi bien dans le geste créatif (le dessin) que dans le geste productif (l'exécution). Je tente d'appréhender notre environnement avec malice et fais l'hypothèse que l'on peut parfois remplacer un objet par un geste, privilégier à la mise en œuvre matérielle humaine, individuelle, collective, concertée.

David Enon

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LES PARTENAIRES

Production Compagnie des prairies – accompagnement La Magnanerie.

Coproduction Office de Tourisme et des Congrèsde Saint-Étienne, Biennale Internationale Design Saint-Étienne en partenariat avec l’École Supérieure des Beaux-Arts TALM - Site d’Angers et la Ville de Firminy. Les artistes remercient tous les Appelous participants.

PROGRAMME

Vernissage

12 mars, de 12h à 15h30

Dans l'esprit voulu par Firminy-Vert, qui proposait des services collectifs au pied des immeubles (laverie, commerces, écoles...), LOOPING propose une série de SERVICES : entrainement d'athlétisme indoor, créations sonores des pans ondulatoires, aérobic des médiateurs, visites physiques des salles d'expo, pâtés de sable Corbu, danse des maçons, test de la PPEPF (planche à plier ensemble des plans de Firminy), etc.

WEEK-END D'ACTIVATION

31 mars, de 18h à 22h

1er avril, de 14h à 18h

Deux jours pendant lesquels LOOPING proposera une série de SERVICES aux visiteurs de l'exposition : dégustation de biscuits Le Corbusier, aérobic des médiateurs, apprentissage de la Sweep-dance, entrainement d'athlétisme indoor, test de la PPEPF (planche à plier ensemble des plans de Firminy), pans ondulatoires joués en direct par le groupe électro-percussif Humbros (Charles Dubois et Simon Puiroux), pâtés de sable église Saint-Pierre, visites physiques des salles d'expo, danse des maçons, fabrique du 1er modulor articulé...

Partez en visite guidée en compagnie d’un médiateur culturel qui vous dévoilera les secrets des différents édifices du Site Le Corbusier à Firminy.

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WORKING INTERIOR DESIGN

À la Maison de la Culture

BUREAU TÉMOIN PIERRE GUARICHE (1926-1985)

À l’intérieur de cet espace bureau, l’ensemble du mobilier a été dessiné par l’architecte d’intérieur Pierre Guariche (1926-1995), créateur de premier plan dans les années 50 – 60. L’ensemble est représentatif du souci du designer d’intégrer à l’aménagement intérieur le mobilier conçu aux proportions du Modulor.

PRÉSENTATION DU MOBILIER DESIGN « LA TABLE » DE FERI NOVAK (1906-1959)

EN PARTENARIAT AVEC LE CONSULAT DE SLOVÉNIE

En écho au bureau Pierre Guariche, sera exposée « La Table », mobilier design d’exception dessiné par l’architecte slovène, Feri Novak, collaborateur de Le Corbusier en 1938 à Paris.

Conférence « Le Corbusier et ses émules, l’exemple de Feri Novak et Marko Zupancic, architectes slovènes » animée par Matej Fisher, architecte enseignant, expert Le Corbusier à la Commission Européenne.

RDV LE 10 MARS À 18H30 - Auditorium de la Maison de la Culture

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EXPOSITION "IN"

À L'Église Saint-Pierre

« RITUALS AND ROUTINES » HISTOIRE DE GESTE[S]

Commissariat scientifique assuré par Géraldine Dabrigeon, Directrice Conservatrice du Site Le Corbusier

Montage/Scénographie/Logistique : Site Le Corbusier

Transport : Bovis Fine Art

Muséographisme : Anastasia Margie

Communication : Kaksi Design

Au centre, le travail et ses mutations.

Autour, le geste comme mouvement du corps visant à exécuter quelque chose. Geste appris, répété, perdu, intériorisé, devenu familier et naturel comme un rituel, une routine.

« Évoquer le geste c’est évoquer la vie » puisque c’est bien lui qui distingue l’animé de l’inanimé, le vivant du mort. Le travail est l’un des aspects de la vie auxquels homme ou femme consacre le plus de son temps depuis l’origine du monde.

Envisager les gestes du travail peut conduire dès lors à regarder tous les aspects de la vie ou presque, depuis le geste du quotidien de la femme au geste technique de l’ouvrier, du geste de conception de l’architecte au geste

créatif de l’artiste.

Une trentaine d’œuvres modernes et contemporaines révèlent les gestes

du travail, simples gestes de la vie, productifs ou non, transformant

le réel ou répondant à un simple besoin.

LE PARCOURS D’EXPOSITION

Le parcours d’exposition s’articule autour du geste et de sa représentation ou évocation dans l’art depuis le néolithique jusqu’à nos jours. Ce geste fonctionnel vise à exécuter quelque chose ; il peut être efficace, utile, voué à la production d’un objet, d’un discours, d’un ordre ou participe à la transformation de la réalité.

LE GRAND AUDITORIUM est consacré à la définition du geste comme mouvement extérieur du corps perçu comme exprimant une manière de faire ou d’être de quelqu’un. Il est essentiellement visible et lisible à travers les mains, le visage, le regard et la posture, l’attitude générale du corps.

LE PETIT AUDITORIUM évoque les premiers gestes du travail, qu’il soit productif ou artistique. L’homme a pu les oublier, ne plus les pratiquer, les transmettre ou chercher à les comprendre pour les retrouver ou s’en inspirer encore aujourd’hui.

Le Corbusier, Les mains Tapisserie en laine, 1951,

Coll. de la Cité Internationale de la tapisserie d’Aubusson.

Armand Bloch, Le mineurBronze, 1905

Coll. Puits Couriot / Parc-Musée de la Mine /

Saint-Étienne Métropole.

LES ESPACES DE TRANSITION mettent en avant le geste productif en l’ancrant dans l’histoire agricole et industrielle territoriale depuis la Révolution industrielle à l’ère des Trente glorieuses jusqu’à la fermeture de ses usines considérées aujourd’hui comme un patrimoine industriel.

David Philippon,

Empreinte pariétale

Coll. particulière

LES PARTENAIRES

AVEC LE SOUTIEN

AUTOUR DE L’EXPOSITION

Visites guidées

Visiter les expositions Biennale accompagné d’un médiateur du Site Le Corbusier

RDV les mercredis 15, 22, 29 mars et 5 avril à 15h. 3€ / 4€.

LA SALLE DU POÈME DE L’ANGLE DROIT aborde le geste de la femme dans son quotidien ; geste technique, rituel conduisant les designers à la création d’objets puis au développement d’une industrie des arts ménagers.

André Fougeron,

Femme épluchant des légumes

1948-1949 Coll. du Musée d'Art Moderne

et Contemporain de Saint-Etienne Métropole

LA SALLE PANURGE ET LA SALLE DES MAQUETTES clôturent ce parcours avec l’évocation du geste de l’artiste et de l’architecte-designer, oscillant entre savoir-faire technique et artisanal, entre dessin et technologie, entre concept et production.

Gabriele di Matteo, Il Giardino della pittura,

1993-1994 Huile sur Toile

Collection IAC Rhône-Alpes

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CONCERT "IN" « POÈMES ÉTOILÉS »En partenariat avec FESTYVOCAL

À L'Église Saint-Pierre

Évoquer le geste d’un chef de chœur dans un lieu à l’acoustique unique réalisé par l’architecte international Le Corbusier, tel sera le cadre du prochain concert du chœur d’application FestyVocal, qui vous fera découvrir la création de Pascal Deschamps, « Poèmes Etoilées ».

RDV le 25 mars 2017 à 17h (Ouverture des portes à 16h30)

Billetterie auprès de l’Association FestyVocal : reservation.festyvocal@gmail.com ou 06 11 81 69 29

Entrée : 13€ En prévente : 10€ Gratuit au moins de 12 ans.

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Au cinéma le Majestic

CINEMA "IN"En partenariat avec LE CINÉMA LE MAJESTIC DE FIRMINY,

Un cycle de projections en lien avec la thématique « Les mutations du travail » est proposé par le Cinéma le Majestic de Firminy, tous les lundis durant un mois au prix de 4€ (tarif unique).

Ressources Humaines de Laurent Cantet Drame franco-anglais (sortie 15 janvier 2000)

Franck, jeune étudiant dans une grande école de commerce, revient chez ses parents le temps d’un stage qu’il doit faire dans l’usine où son père est ouvrier depuis trente ans. Affecté au service Ressources Humaines, il se croit de taille à bousculer le conservatisme de la direction qui a du mal à mener les négociations sur la réduction du temps de travail. Jusqu’au jour où il découvre que son travail sert de paravent à un plan de restructuration prévoyant le licenciement de douze personnes dont son père…

RDV le 13 mars à 20h30

Merci Patron ! de Francois Ruffin Film documentaire (sortie 24 février 2016)

Pour Jocelyne et serge Klur, rien ne va plus : leur usine fabriquait des costumes Kenzo (groupe LVMH), à Poix-du-Nord, près de Valenciennes, mais elle a été délocalisée en Pologne. Voilà un couple au chômage, criblé de dettes, risquant désormais de perdre sa maison. C’est alors que François Ruffin, fondateur du Journal Fakir, frappe à leur porte. Il est confiant : il va les sauver. Entouré d’un inspecteur des impôts belge, d’une bonne sœur rouge, de la déléguée CGT, et des ex-vendeurs de la Samaritaine, il ira porter le cas Klur à l’assemblée.

RDV le 20 mars à 20h30

Violence des échanges en milieu tempéré de Jean-Marc Moutout Comédie dramatique (sortie 14 janvier 2004)

À 25 ans, Philippe arrive de province pour intégrer à Paris un grand cabinet de consultants en entreprise. Le matin de son premier jour de travail, il rencontre Éva, jeune mère célibataire dont il s’éprend. Sa première mission, qu’il aborde avec enthousiasme, est de préparer le rachat encore confidentiel d’une usine par un grand groupe. Ses premiers rapports sont convaincants. Il gagne la confiance de son chef qui lui confie une nouvelle responsabilité : sélectionner le personnel apte à travailler dans la nouvelle organisation de l’entreprise. Dès lors, Philippe doit se convaincre et convaincre Eva du bien-fondé de sa tâche et faire face aux hommes et aux femmes dont il prépare le licenciement.

RDV le 27 mars à 20h30

Ils ne mourraient pas tous, mais tous étaient frappés de Marc Roudil et Sophie Bruneau Film documentaire (sortie le 8 février 2006)

Chaque semaine, dans trois hôpitaux publics de la région parisienne, une psychologue et deux médecins reçoivent des hommes et des femmes malades de leur travail. Ouvrière à la chaîne, directeur d'agence, aide-soignante, gérante de magasin... Tour à tour, quatre personnes racontent leur souffrance au travail dans le cadre d'un entretien unique. Les trois professionnels spécialisés écoutent et établissent peu à peu la relation entre la souffrance individuelle du patient et les nouvelles formes d'organisation du travail. A travers l'intimité, l'intensité et la vérité de tous ces drames ordinaires pris sur le vif, le film témoigne de la banalisation du mal dans le monde du travail. Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés est un huis clos cinématographique où prend corps et sens une réalité invisible et silencieuse : la souffrance au travail.

RDV le 3 avril à 20h30

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INFORMATIONS PRATIQUES

CONTACT PRESSE

Géraldine DABRIGEON Directrice Conservatrice du Site Le Corbusier

g.dabrigeon@saint-etiennetourisme.com

+33 (0)4 77 61 61 03 +33 (0)6 13 71 65 19

HORAIRES

Site ouvert tous les jours De 10h00 à 12h30 et de 13h30 à 18h00

CONDITIONS D’ACCÈS AU SITE

En train : gare SNCF de FirminyEn bus : ligne 1 Firminy / Saint-Étienne, arrêt « église Le Corbusier »En voiture : N88, sortie Firminy-Centre, 2 parkings

Accès handicapé accompagné.

Adresse GPS : Boulevard Périphérique du Stade 42 700 Firminy

Coordonnées GPS :Latitude : 45.38239414073881Longitude : 4.288389269836443

D201

N88

D1082

TARIFS

Entrée du Site : de 5,50€ à 6,50€PASS Biennale temporaire : de 8€ à 12€ PASS Biennale permanent : 22€PASS Biennale « Visite Guidée Exposition » : de 11€ à 15€ *Les Pass Biennale sont vendus sur place

VISITE GUIDÉE

Visite guidée : de 4€ à 10€ + entrée du SiteVisite de l’Unité d’Habitation tous les samedis à 14h00 et à 15h30 sur réservationVisite du Centre Civique tous les samedis à 10h30

Pour les Groupes :Contacter le Service RéservationsRéservations « Adultes et Étudiants » : e.cahingt@saint-etiennetourisme.comRéservations « Scolaires » : m.braquet@saint-etiennetourisme.com

NAVETTES GRATUITES

LES SAMEDIS 11, 18, 25 mars / 1, 8 avrilLES DIMANCHES 12, 19, 26 mars / 2, 9 avril

Départ 14h - Arrêt TIL rue Javelin Pagnon - Saint-Étienne

Retour à 16h30 - devant l’église Saint-Pierre - Firminy