sireal - ict meets wagralim - 20160412
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Michel JOSSA PhD
Un peu d’histoire … • 1984 : Imagerie radar à ouverture synthétique (SAR)
• 1987 : Imagerie satellite d’observation (LANDSAT, SPOT, CORINNE, POS,…)
• 1992 : digitalisation cadastrale sur fond scanné géo-référencé : – SIG image/vecteur
• 2004 : resampling haute précision (1/10 pixel)
• 1997 : stéréo restitution de façades
• 2007 : cartographie oblique
… Un peu d’histoire • 2009 : Densification : infrarouge vs couleurs naturelles
– Exploitation d’images multi-spectrales (SIG)
• 2012 : Exploitation du modèle numérique de terrain
• 2015 : génération de webServices (GeosWeb) et apps mobiles
• 2013 : accès aux webServices (type WalOnMap)
• 2016 : gestion des données Lidar
Les « nouvelles » sources d’information • L’imagerie (satellitaire) répétitive : Sentinel, …
• Les acquisitions basse altitude (Drones, hélicoptère, …)
• Les photos géo-localisées (gsm, tablettes, …)
• MNT, Lidar, …
• Images satellites (classées)
• Cartes scannées, IGN, … Versus
Spécificité des données historiques • P.e. : couverture aérienne de la Wallonie (PPNC)
• (Web)GIS : données matricielles ortho-rectifiées
• Nécessité d’une chaîne de prétraitement avant l’exploitation
– Délai avant utilisation
– Coût additionnel récurrent
• Perte de netteté intrinsèque
Spécificité des nouveaux inputs • Campagne multi-temporelle pour un site particulier (Sentinel, …)
• Recherche d’information ponctuelle (arbre malade, nouvelle implantation, …)
• Référencement approximatif (gps embarqué dans un drone, ….)
• Couverture discontinue
• Prise de vue oblique
-> Nécessité d’un préprocessing lourd avant toute utilisation ->Ré-échantillonnage (Satellite : UTM ‘sur pointe’ -> Lambert) -> Correction de relief (basse altitude)
Approches alternatives (Satellite) • SIG à référentiel flottant : type GoogleEarth vs GoogleMap
• Ajustement ‘trapézoïdal’ général sur base de 4 points – Transformation affine ‘centre / orientation / échelle’ toujours possible
• Visualisation dans le référentiel ‘image’
– Pas de perte de netteté
• Déplacement du calque de fond en cours de digitalisation ou d’analyse
– Ajustement local
Approches alternatives (Satellite) • Avantages
• Inconvénients
– Pas de possibilité d’analyse (statistique, …) automatique sur l’ensemble du pavé
– Pas de travail mosaïque (recouvrement latéral)
– Exploitation immédiate des données – Conservation de la netteté
Approches alternatives (Satellite) • Ré-échantillonnage automatisé
• Base de travail : mosaïque de même origine – Même caractéristiques globales
• Radiométriques (Corrélation) • Géométriques (Orientation) • Netteté (Résolution)
• Processus de calcul – Phase 1 : Ajustement primaire de type trapézoïdal ou affin – Phase 2 : Calcul d’ajustement par corrélation croisée avec le modèle – Phase 3 : Rééchantillonage dans la grille de destination (p.e.
Lambert) • Temps de calcul ~2 à 5 min / GB
– Extension du support SIG aux vues obliques – Digitalisation 3D à partir de deux vues
Approche alternative (Aérien proche ou vue oblique) • Problèmes
• Solutions
– Référentiel sphérique (faisceau) – Parallaxe due au relief, aux bâtiments, …) – Base de données vectorielles essentiellement 2D
– Nappage vectoriel sur MNT (2D- 3D)
Exploitation de photos géolocalisées (GeosSurveyor) • Gsm, tablettes, …
• Ajout de commentaires, dates, …
• Acquisition mobile et transfert d’images vers un serveur web
• Report automatique des images sur le poste de travail SIG
• Possibilité d’exploiter les images (p.e. vue panoramique) en réalité augmentée
Pour terminer … • Pistes de collaboration
• Environnement de recherche et/ou académique
• 100 % sources disponibles et maîtrisées
• Boîte à outils ‘image’, ‘vecteur’ ou mixtes
• Suite SIG : poste de travail -> Web -> Mobile
Merci pour votre attention !