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S ection area title goes hereEn contact

Le magazine des anciens d’Ernst & Young au Canada

Juin 2013

Sarah DavisRégime équilibré, finances et famille

Ghislain ParentVoir le monde sous tous ses angles

Le Grand Prix de l’Entrepreneur 20 ans d’hommage à l’innovation

Un homme d’action Warren Beach

En contactLe magazine des anciens d’Ernst & Young au Canada

Juin 2013

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Vision 360 12Ghislain Parent, chef des finances de la Banque Nationale du Canada, fait un tour d’horizon de sa vie et des affaires

20 ans d’hommage à l’innovation 16Le Grand Prix de l’Entrepreneur fête son 20e anniversaire – et ce n’est qu’un début

Pleins feux sur les entreprises privées 18Les entreprises privées sont la locomotive de l’économie canadienne, et nous sommes présents en tout temps pour répondre à leurs besoins

Des nouvelles de nos anciens 4

Pleins feux sur un service : Services de soutien en matière de litiges 15

Au sujet d’Ernst & Young 21

Rétrospective des activités des anciens 25

Dans ce numéro

Un homme d’action 6Qu’il maintienne le rythme ou qu’il s’apprête à bouger, Warren Beach est toujours prêt à affronter une route semée d’embûches

Une question d’équilibre 9Sarah Davis, chef de la direction financière de Loblaw, suit un régime équilibré qui concilie finances et famille

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Rédactrice en chef : Maha Zabaneh

Directeur de la rédaction : David Johnston

Rédacteurs : Gordana Brkljaca, Julie Fournier, David Johnston, Marco Morelli, Maha Zabaneh

Directrice de la création : Natalie Coombs

Photographie : Sarah Borck, Glenn Brown, Martine Larose

Le magazine En Contact est imprimé au Canada par CONTAC Services

Je suis peut-être un optimiste incurable, mais je ne peux m’empêcher de croire que le monde s’est engagé sur la voie d’un avenir meilleur et plus prospère. Même si la reprise est décidément plus lente que souhaité et que l’austérité

et l’incertitude demeurent à l’ordre du jour dans bien des parties du monde, l’avenir est toujours prometteur, car il appartient à ceux qui voient grand et posent des gestes décisifs et audacieux. Et une multitude de gens ne font que cela chaque jour, dans chaque coin du monde.

Je constate la manière dont les sociétés canadiennes poursuivent leur croissance en adoptant des stratégies qui auraient été impensables il y a quelques années. Je réalise à quel point les entreprises privées du marché intermédiaire s’efforcent de créer les emplois si nécessaires et sont à l’affût de nouveaux débouchés sur les marchés proches et éloignés. Je suis témoin de l’innovation intense dont font preuve constamment les entrepreneurs canadiens, et je suis inspiré par le nombre croissant de femmes et de jeunes qui bâtissent et font croître de nouvelles entreprises. Cette année, nous célébrons le 20e anniversaire du Grand Prix de l’Entrepreneur d’Ernst & Young et, bien que nous soyons fiers de l’héritage durable légué par les lauréats et finalistes antérieurs, nous sommes encore plus excités par les entrepreneurs qu’il nous reste à découvrir, à applaudir et à soutenir.

Notre famille d’anciens est également pour moi une grande source d’inspiration. Le présent numéro d’En contact vous permettra de faire la connaissance de trois personnes qui sont ce qui se fait de mieux en matière de grande vision et de gestes audacieux. Ce sont des gens comme Warren Beach, Sarah Davis et Ghislain Parent — et les centaines d’autres membres de notre communauté d’anciens — qui ouvrent la voie vers un avenir meilleur pas si lointain.

J’ai été ravi de rencontrer bon nombre de nos anciens à des réunions l’an dernier, et je suis impatient de tisser des liens avec plusieurs d’entre vous au cours de la prochaine année. Entre-temps, j’espère que vous resterez en contact avec nous et avec les autres anciens, et que vous continuerez de saisir les possibilités et de vous tourner vers l’avenir prometteur que nous contribuons tous à bâtir.

Trent Henry Président et chef de la direction

M essage de Trent Henry, président et chef de la direction

Bienvenueaux anciens d’Ernst & Young

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Des nouvelles de nos anciens

Est• Réal Brunet (Ernst & Young

1973-2010, associé, Certification, Montréal) a été nommé membre invité du conseil d’administration et du comité d’audit de la coopérative laitière Agropur. M. Brunet est également administrateur indépendant du conseil de Rona Inc. et président du conseil de l’organisme sans but lucratif Dr Clown.

• Peter Cleveland (Ernst & Young 1972–2005, associé, Services consultatifs transactionnels, Ottawa) a reçu le Prix du Gouverneur général pour l’entraide en reconnaissance de son travail acharné pour la Fondation de l’Hôpital d’Ottawa et de ses autres contributions philanthropiques. M. Cleveland a été associé directeur de notre bureau d’Ottawa.

• Benoît La Salle (Ernst & Young 1976–1978, Fiscalité, Montréal) a été nommé président du conseil d’administration de CCAfrica, organisme qui fait la promotion du développement économique en Afrique. M. La Salle est le fondateur et le vice-président exécutif du conseil de SEMAFO, le président du conseil de la Fondation SEMAFO et le président et chef de la direction de SEMAFO Énergie.

• James Morrissey (Ernst & Young 1975–2012, associé, Fiscalité, Ottawa) a été nommé membre du Conseil ontarien de la qualité des services de santé, un conseil du gouvernement provincial qui surveille la qualité des soins de santé en Ontario.

Centre• Anthony Batchelor (Ernst & Young

2008–2012, directeur associé, Services de base à l’entreprise, Toronto) est devenu associé de la société de recherche de cadres Odgers Berndtson Canada.

• Sharon Driscoll (Ernst & Young 1984–1987, Certification) a été nommée vice-présidente directrice et chef des finances de Katz Group Canada Ltd./Rexall. Plus récemment, elle a été vice-présidente principale, Finances, et chef des finances chez Sears Canada.

• J. Michael Knowlton (Ernst & Young 1987–1990, Certification, Toronto) a été nommé membre du conseil d’administration de la société de Calgary Balboa Investments Inc. M. Knowlton est l’ancien président et chef de la direction de la Fiducie de placement immobilier Dundee.

• Jeff Lamothe (Ernst & Young 1987–1994, chef d’équipe, Certification, Winnipeg) a été nommé directeur des finances de la société biopharmaceutique Cangene Corporation.

• Bill Martin (Ernst & Young 1979–2003, associé, Certification, Toronto) a été nommé chef des services financiers de Discovery Air Inc.

• Doug McCuaig (Ernst & Young 1989–2000, associé, Consultation en gestion, Toronto) est devenu président de l’Association canadienne de la technologie de l’information. M. McCuaig est président de la société de services en technologies de l’information (TI) et en gestion des processus d’affaires, Groupe CGI Inc.

• Aaron Regent (Ernst & Young 1988–1991, chef d’équipe senior, Certification, Toronto) s’est joint au conseil d’administration de La Banque de Nouvelle-Écosse.

• Bruce Rothney (Ernst & Young 1986–1987, Certification, Toronto) a été nommé membre du conseil d’administration de la société d’assurance RSA Canada. M. Rothney est président, chef de la direction et directeur national de Barclays Canada.

Ouest• Shelley Brown (Ernst & Young

1978–2001, associée, Certification, Saskatoon) a été nommée présidente de l’Institut Canadien des Comptables Agréés.

• Shaun Heinrichs (Ernst & Young 1998–2005, chef d’équipe, Certification, Vancouver) a été nommé coprésident et chef de la direction de Yukon-Nevada Gold Corp., tout en continuant d’occuper le poste de chef des finances de la société.

• Larry Van Hatten (Ernst & Young 2005–2010, associé, Certification, Vancouver) a été nommé administrateur indépendant et président du comité d’audit de Vanoil Energy Ltd.

Des nouvelles de nos anciens

Tour du chapeau pour nos anciens!

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In memoriamC’est avec une profonde tristesse que nous annonçons le décès des anciens associés suivants.

• Vic Barnett est entré au service de Clarkson Gordon en 1961 et a occupé le poste de syndic de faillite et de juricomptable. Vétéran décoré de la Deuxième Guerre mondiale qui a été très actif au sein de sa collectivité, M. Barnett a travaillé pour le bureau de Toronto de la Société.

• Bruce Barraclough est entré au service de la Société en 1971 et est devenu associé en 1981. Il a été associé directeur du bureau de Mississauga jusqu’à sa fusion avec le bureau du centre-ville de Toronto, où il a travaillé jusqu’à sa retraite en 2008. M. Barraclough était reconnu pour son énergie et sa générosité ainsi que pour son engagement communautaire.

• Ron Osborne a été associé de 1979 à 1981, avant de quitter pour diriger Maclean Hunter. Il a par la suite dirigé BCE et Ontario Power Generation et a siégé à bon nombre des principaux conseils d’administration du pays. Plus récemment, M. Osborne a été président du conseil de Postmedia Inc. Il était reconnu pour son rire communicatif, pour l’amour qu’il proférait aux arts et pour son mécénat.

• Ian Strang est entré au service de la Société en 1963 et a été associé du groupe Insolvabilité à Winnipeg, Edmonton et Vancouver. Il a été membre agréé et président de l’Association canadienne des professionnels de l’insolvabilité et de la réorganisation (ACPIR) et président et membre fondateur d’INSOL international.

Nos gens et nos anciennes parmi les femmes les plus influentes En décembre, quatre anciennes et deux associées ont figuré au prestigieux palmarès des 100 Canadiennes les plus influentes de 2012 du Women’s Executive NetworkTM

(WNX). Félicitations!

Shelley Brown Ernst & Young 1978–2001, associée, Certification, Saskatoon Associée, Deloitte

Janice Charette Ernst & Young 1996–1997, chef d’équipe senior, Consultation, Ottawa Secrétaire associée du Cabinet et sous-ministre des Affaires intergouvernementales

Cynthia Devine Ernst & Young 1987–1989, personnel senior, Certification, Toronto Vice-présidente principale et chef de la direction financière, Tim Hortons

Anne-Marie Hubert Associée directrice, Services consultatifs, Ernst & Young s.r.l./s.e.n.c.r.l.

Fiona Macfarlane Associée directrice, Colombie-Britannique, et chef de l’inclusivité, Ernst & Young s.r.l./s.e.n.c.r.l.

Mary Ann Turcke Ernst & Young 2002, chef d’équipe senior, Services consultatifs transactionnels, Toronto Vice-présidente exécutive, Exploitation des services extérieurs, Bell Canada

Félicitations aux associés à la retraite Robert Couzin, Allan Lanthier et Tom Stack qui ont reçu la Médaille du jubilé de diamant de la Reine Élizabeth II. Reconnus pour leurs formidables contributions à la Fondation canadienne de fiscalité et pour les améliorations qu’ils ont apportées à notre système fiscal, ils ont été surnommés les «icones de la fiscalité canadienne».

Ce prix, qui n’est octroyé qu’une seule fois, célèbre le 60e anniversaire de l’accession au trône de la Reine Élizabeth II et n’a été remis qu’à 60 000 Canadiens en hommage à leur contribution et à leurs réalisations importantes.

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Warren Beach

Un homme d’action

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Texte : Marco Morelli Photos : Sara Borck Photography

N ous nous sommes entretenus avec M. Beach alors qu’il relevait son dernier défi, soit d’assumer le poste de chef des finances à TimberWest, la plus importante société fermée de gestion de bois d’œuvre et de terrains de l’Ouest canadien,

après avoir été directeur de l’exploitation de la société de capital d’investissement Golden Gate Capital.

À Golden Gate, M. Beach se consacrait à approfondir et à mettre au point des stratégies visant la rentabilité des placements de la société.

Il soutenait les entreprises récemment acquises, notamment des secteurs des technologies de l’information, des logiciels et de la technologie, et les aidait à atteindre leurs objectifs opérationnels et leur potentiel d’investissement.

Toujours au fait des dernières technologies, Warren Beach reconnaît l’importance de tisser des relations durables et de se maintenir à jour dans une conjoncture de marché évoluant rapidement.

«En travaillant au rapprochement de deux entreprises, j’ai compris qu’il est important de respecter les particularités de chaque entreprise afin de créer une stratégie commune solide, affirme M. Beach. Si deux entreprises sont menées par une équipe de direction solide, formée de dirigeants compétents, et sont farouchement indépendantes, il leur faut trouver des points communs et tendre vers un équilibre qui permettra aux gens, et à l’entreprise issue du regroupement, de prospérer.»

Gérer le changementLes changements de vitesse n’ont rien de nouveau pour Warren Beach.

Au début de l’année 2012, il s’est joint à Golden Gate Capital en qualité de directeur de l’exploitation, après avoir été vice-président directeur et chef des finances de la société de services de TI de Vancouver Sierra Systems Group Inc. durant six ans.

À titre de chef des finances à Sierra Systems, M. Beach a su profiter de l’élan provoqué par la révolution technologique et faciliter la transition de la société — qui emploie plus de 1 000 personnes et est implantée sur douze sites en Amérique du Nord — de société ouverte cotée à la Bourse de Toronto à son acquisition en 2007 par Golden Gate Capital.

Préalablement à l’acquisition de Sierra, M. Beach s’était attaqué à corriger la perception de la société par le marché, surtout auprès des investisseurs potentiels et des banques. Par ses interventions, il est parvenu à faire comprendre aux analystes financiers que la croissance à long terme était prioritaire pour l’entreprise, et que cette dernière ne visait pas uniquement des résultats à court terme.

Qu’il maintienne le rythme ou qu’il s’apprête à bouger, Warren Beach est toujours prêt à affronter une route semée d’embûches. Directeur de services des finances dévoué et grand amateur de cyclisme, il se lance dans des projets de longue haleine, prêt à chaque virage à relever de nouveaux défis.

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Demeure à Vancouver depuis toujoursS’échappe vers l’air frais de WhistlerÀ son dernier voyage, a passé sept semaines en Europe avec sa familleS’adonne à la natation, au ski, à l’aviron et au cyclisme

Plus sur Warren

Warren Beach

«Du moment qu’il était évident que le succès de la société passait par une vente privée, nous avons repensé l’image stratégique de Sierra, déclare M. Beach. Une entreprise doit toujours se soucier de l’opinion des intervenants externes, peu importe qu’elle soit cotée en Bourse ou privée. Mon travail de sensibilisation auprès des analystes financiers et des banques a vraiment porté ses fruits lorsqu’est venu le temps de renégocier nos ententes de financement et de vendre.»

Paver la voie vers la réussiteSelon le principal intéressé, son parcours au bureau de Vancouver d’Ernst & Young, où il a débuté en tant que stagiaire pour être promu finalement à l’échelon comptable senior, a jeté les bases de ses objectifs professionnels et personnels. Dans un environnement de travail offrant une gamme de services si vaste, il a acquis des connaissances précieuses, noué des relations durables avec plusieurs chefs d’entreprise et, surtout, établi des relations personnelles solides.

«Ernst & Young a bonifié ma compréhension du monde des affaires et m’a inculqué le sens de la discipline dont je suis si fier aujourd’hui, affirme-t-il. En fait, de manière générale, le titre de CA élargit considérablement les possibilités professionnelles et permet de faire une différence réelle. Son détenteur n’est pas confiné qu’à un seul secteur.»

M. Beach s’est engagé à former des équipes solides et diversifiées dans les entreprises où il travaille. «Les services

des finances peuvent faire bien plus que pondre des rapports et des états financiers, indique-t-il. J’impose des délais serrés à mes équipes, ce qui libère du temps qui est consacré au perfectionnement et à la croissance des gens au sein de l’entreprise. Cette stratégie est indispensable à la réussite professionnelle individuelle et à la réussite de l’entreprise dans son ensemble.»

Sans aucun doute, M. Beach privilégie un équilibre sain entre le travail et le répit. «Tout est une question d’équilibre — un environnement équilibré maximise la productivité des gens», souligne-t-il.

Apparemment, M. Beach suit son propre conseil. «Le bonheur est au centre de mes intérêts — non seulement dans ma vie professionnelle et dans mes activités sportives, mais aussi dans ma vie familiale.»

Son implication dans la communauté et au sein d’activités caritatives, dans le cadre du soutien de longue date de la société envers Centraide, est sans doute le souvenir le plus vif qu’il garde de son passage chez Ernst & Young.

Resserrer les liens avec la communautéPour M. Beach, l’implication communautaire est la plus belle des récompenses. Il a siégé au cabinet de la campagne de Centraide pour le Lower Mainland durant les cinq dernières années, dont une à titre de coprésident.

Il s’implique aussi dans le programme de recherche Human Early Learning Partnership de l’Université de la Colombie-Britannique et participe au cyclo-défi contre le cancer Enbridge Ride en tant que membre de l’équipe cycliste Wedgewood Cycling Team. Concrètement, dans le cadre de cet événement cycliste de deux jours, il a contribué à amasser plus d’un million de dollars au profit de la recherche sur le cancer en formant une équipe de professionnels diversifiée, roulant de Vancouver à Seattle au mois de juin dernier en compagnie de milliers de cyclistes.

Dans ses temps libres, M. Beach réserve du temps pour rouler à vélo, nager et skier, s’échappant régulièrement à Whistler avec son épouse Shara, son fils Ryan, 15 ans, et sa fille Alaina, 12 ans.

La philosophie de vie de M. Beach, tant personnelle que professionnelle, est bien simple. «Il faut trouver un équilibre sain entre le travail et la vie personnelle qui favorise le sens du devoir et l’engagement», confie-t-il.

«J’en tire une satisfaction double. D’une part, bien sûr, il y a la rémunération; de l’autre, j’aime prendre un risque calculé et sortir des sentiers battus de temps à autre. De cette manière, je dépasse mes limites et vois ma vie sous un autre angle.»

Et comme Warren Beach est toujours dans le feu de l’action, sa perspective est sans cesse renouvelée. r

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Une question d’équilibre

Concilier efficacement les responsabilités d’un poste de haute direction et celles du rôle de mère de trois adolescentes exige une gestion de temps rigoureuse et un travail d’équipe, des compétences que Sarah Davis, ancienne d’EY, déclare avoir acquises dès le début de sa carrière chez Ernst & Young.

Sarah Davis, chef de la direction financière, Loblaw

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Texte : Gordana Brkljaca

Sarah Davis, chef de la direction financière, Loblaw

«J’ai appris à être très efficace, dit-elle en se remémorant ses débuts en tant que comptable junior. Il fallait consigner ses heures, respecter des délais serrés et étudier en soirée.» Comme plusieurs autres jeunes comptables, Sarah Davis a obtenu le titre de comptable agréé tout en apprenant les rudiments du métier chez EY.

Aujourd’hui chef de la direction financière de Loblaw, la plus importante entreprise de distribution alimentaire au Canada et l’un des employeurs les plus importants du secteur privé du pays, Sarah Davis dirige une équipe d’environ 1 000 employés, regroupant les services des finances, de l’immobilier et des fonctions de la stratégie.

«À mes débuts, on m’a donné ce conseil précieux : personne ne réussit tout seul. Il faut être soutenu par ses collègues», évoque-t-elle. Mme Davis se fixe comme priorité de rester en contact avec son équipe quotidiennement afin d’être toujours bien informée, et recourt fréquemment à des rencontres au sommet et à des séances de discussion pour laisser les membres du personnel s’exprimer et discuter des stratégies gagnantes pour le succès de l’entreprise.

Maintenir son avance sur la concurrenceDonc, à quoi ressemble le travail à Loblaw?

«Chaque jour est différent, lance Mme Davis. Tant mieux, parce que j’aime la nouveauté!»

La concurrence dans le secteur de la vente des aliments au détail est féroce et les marges sont serrées. Comme la concurrence s’étend au-delà du cadre traditionnel — Walmart a agrandi la superficie de ses magasins pour y aménager des sections alimentaires et Target vient d’arriver au Canada —, la valorisation de la marque est essentielle. La qualité de la marque a une incidence sur le profit et la fidélisation de la clientèle.

«Qu’il s’agisse de nos bannières Loblaw, Real Canadian Superstore ou nofrills, nos clients savent à quoi s’attendre. Quant aux produits, nous estimons aussi que nos marques nous distinguent — le Choix du Président, Menu bleu, sans nom ou Joe Fresh — et que les gens nous choisissent à cause d’elles», soutient Mme Davis.

«La clientèle d’aujourd’hui cherche toujours le meilleur prix, ajoute-t-elle. Dans ce contexte, il nous faut axer

notre stratégie sur nos clients et améliorer notre offre, en offrant les meilleurs prix, le meilleur service et les meilleurs produits.»

Or, Loblaw est en bonne position pour se démarquer de la concurrence, grâce à ses bannières, ses marques et ses produits qui plaisent à un large éventail de consommateurs — des chasseurs de bonnes affaires aux amateurs de produits d’épicerie fine.

La culture entrepreneuriale de la société, inspirée par ses origines d’entreprise familiale, est cruciale pour son succès. «Nous gardons certaines de nos bannières séparées, telles que Joe Fresh, pour favoriser leur esprit entrepreneurial. Puisque nous considérons chaque magasin comme une entreprise distincte et que nous avons des franchisés, notre société est composée d’entrepreneurs.» Cette philosophie préserve la souplesse de la société et permet à cette dernière de répondre aux besoins changeants des consommateurs.

L’importance du mentoratSarah Davis a bâti sa carrière dans le secteur des télécommunications, occupant diverses positions stratégiques en finance à Rogers et Bell Canada avant de se joindre à Loblaw en 2007.

Plus sur

Sarah10

Lieu de naissance : Saint John, Nouveau-BrunswickA habité : Saint John, Montréal, Région du Grand TorontoProchain voyage planifié : Finlande, pour une compétition de patinage artistique de sa fille.Rêve de carrière de son enfance : Je voulais chanter dans un groupe

rock, ce qui fait bien rire ma famille — je ne suis pas une très bonne chanteuse.Produit Loblaw favori : Le Biscuit Décadent aux brisures de chocolat le Choix du Président — chez moi, on se les arrache.

Plus sur

Sarah

Elle souligne l’importance de ses mentors tout au long de sa carrière et prend à son tour le temps d’offrir du mentorat à Loblaw et au Réseau des femmes exécutives (RFE).

Un chef de la direction financière pour qui elle travaillait en tant qu’analyste financière a eu une influence majeure sur sa carrière. Il a vu son potentiel et lui a donné l’occasion de le prouver — en l’assignant à des mandats importants, en l’instruisant des différents aspects de l’entreprise et en la présentant aux hauts dirigeants.

«J’aimais surtout recevoir de la rétroaction», dit-elle, se rappelant que son mentor la rencontrait après chaque réunion du conseil pour lui fournir de la rétroaction directe sur son travail.

«Ça me plaisait beaucoup, résume Mme Davis. De cette expérience, je retiens l’importance de fournir régulièrement de la rétroaction aux gens qui travaillent pour nous, qu’elle soit positive ou non.»

Fine observatrice, Sarah Davis a très rapidement noté l’influence des comportements des dirigeants sur leurs employés et ces observations lui ont permis de façonner son propre style de gestion.

«Je notais mentalement ces constatations — si j’étais témoin de faits et gestes remarquables, je m’assurais de m’en rappeler pour pouvoir un jour les reproduire. D’autres fois, toutefois, lorsque je déplorais des agissements,

je me jurais de ne jamais les répéter. En somme, en s’inspirant des autres dirigeants, on découvre plusieurs petites astuces de gestion.»

Un modèle pour les femmesÀ titre de cadre responsable du programme Femmes@Loblaw, un réseau pour les employées de l’entreprise qui vise le développement professionnel, la rencontre de cadres supérieurs et le réseautage, Sarah Davis intervient pour encourager les femmes à accéder à des postes de direction.

«Nous souhaitons augmenter le nombre de directrices de magasin, affirme Sarah Davis. La composition de l’équipe de gestion devrait être à l’image de l’ensemble du personnel, où l’on trouve à peu près le même nombre d’hommes et de femmes.»

Actuellement, environ 22 % des directeurs de magasin sont des femmes, soit une augmentation de 12 % par rapport à 2008. Pour poursuivre cette tendance, une série d’initiatives ont été mises sur pied, notamment des événements de réseautage et de développement personnel.

«C’est un travail difficile, déclare-t-elle. Plusieurs de nos magasins sont ouverts jour et nuit, ce qui peut être éprouvant pour une mère, mais nous

devons nous assurer que les femmes ont des occasions d’avancement et des modèles féminins.»

Trouver l’équilibreMère dévouée, Sarah Davis ne voudrait manquer un souper en famille pour rien au monde. «Nous faisons tout en nos moyens pour partager un repas ensemble chaque soir», confie-t-elle. Les placards sont remplis de produits de Loblaw et il ne manque donc jamais de nourriture appétissante chez Sarah Davis!

Personnellement, elle recommande l’humus au chipotle et au poivron rouge le Choix du Président. «Sans compter que c’est bon pour la santé!», ajoute-t-elle en riant.

Dans une famille de neuf — Sarah Davis, son époux, trois adolescentes, deux chats et deux chiens, l’action ne manque jamais. «Dans nos temps libres, nous conduisons nos enfants à des activités diverses en toute hâte, comme du patinage artistique ou du hockey. Nous aimons aussi skier et regarder des films, puisque ces activités se pratiquent en famille.»

Quoiqu’elle admette qu’elle aimerait parfois dormir un peu plus, Sarah Davis se plaît dans sa vie équilibrée. «J’ai la chance d’avoir une carrière enrichissante et de passer de précieux moments en famille», conclut-elle. r

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Vision 360

G hislain Parent, chef des finances et premier vice-président à la direction, Finance et Trésorerie, Banque Nationale du Canada

Peu de leaders en finance ont la chance d’avoir

une carrière aussi riche, diversifiée et stimulante

que Ghislain Parent, un de nos anciens du bureau de

Montréal. Maintenant à la tête de la fonction finance

de la Banque Nationale du Canada, M. Parent a su se

distinguer grâce à sa façon particulière d’aborder

les défis et les occasions d’affaires : une approche

intégrée qu’il a surnommée la «vision 360». Il applique

ce concept non seulement dans son travail au

quotidien, mais aussi dans une perspective

à long terme.

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Texte : Julie Fournier Photos : Martine Larose Photographe

Un parcours 360 jusqu’au sommet de la fonction finance Auditeur externe et interne, chef comptable, inspecteur d’un organisme de réglementation, consultant au sein d’une institution financière internationale et aujourd’hui chef des finances, on peut dire que M. Parent connaît toutes les facettes de la fonction finance!

M. Parent a entrepris sa carrière il y a plus de 25 ans en tant qu’auditeur externe. Il se souvient des propos de Sylvain Vincent, maintenant associé directeur du bureau de Montréal, qui avait réussi à le convaincre de se joindre à Ernst & Young. Un premier emploi, une deuxième famille… une famille qui est toujours là pour lui, prête à l’aider à relever de nouveaux défis.

Ses premières responsabilités lui ont permis d’explorer le monde de la finance. Il aimait déjà la complexité des enjeux d’affaires et la stimulation intellectuelle qu’elle procure, et il savait qu’il ferait carrière en finance.

Après son passage chez Ernst & Young, il a exercé plusieurs rôles différents qui l’ont aidé à se façonner et dans lesquels il a pu observer des situations sous différents angles pour mieux aborder la gestion financière.

M. Parent a travaillé au Bureau du surintendant des institutions financières, principal organisme canadien de réglementation des institutions financières, des sociétés d’assurance et des régimes de retraite privés. Il a ensuite fait le saut en audit interne en tant que vice-président de la Banque Laurentienne, motivé par son désir d’améliorer les processus, les politiques et les opérations au sein d’une institution bancaire. Plus tard, il a été nommé premier vice-président, finances et opérations de la Caisse de dépôt et placement du Québec, l’un des plus importants gestionnaires de fonds institutionnels du pays.

Aujourd’hui, en qualité de chef des finances de la Banque Nationale du Canada, M. Parent assume les responsabilités les plus importantes de sa carrière. Entouré d’une équipe compétente et passionnée, il joue un rôle actif dans l’atteinte des objectifs financiers de la Banque, objectifs qu’il sait adapter aux nouveaux défis en matière de réglementation, notamment Bâle III. Améliorer sans cesse l’efficience de l’organisation, continuer à investir pour l’avenir et maintenir une intégrité financière sont en tête de liste de ses priorités.

Perspective d’affaires 360 : à la découverte des marchés émergents Lorsque M. Parent a commencé sa carrière, les effets de la mondialisation sur le secteur des services financiers étaient encore minimes. Cependant, il a toujours porté un intérêt particulier à la conjoncture financière mondiale, et plusieurs expériences de travail à l’étranger se sont avérées des plus enrichissantes, tant sur le plan personnel que professionnel.

À deux occasions, il a mis à profit son expérience et ses connaissances pointues en finance pour mettre sur pied un service de surveillance bancaire à l’étranger. Tout d’abord en Haïti au milieu des années 90, puis quelques années plus tard au Rwanda, pays de l’Afrique de l’Est dont l’économie est maintenant l’une des plus stables de la région.

Dans le cadre de ces deux missions très valorisantes, M. Parent a découvert et mis à profit des ressources insoupçonnées chez les professionnels en poste dans ces pays si durement frappés. Il a mené ces missions à terme avec enthousiasme et était fier de constater que ses réalisations étaient reconnues à son retour au Québec.

La mondialisation et la montée des marchés émergents ont depuis refaçonné le secteur des services financiers et l’ont forcé à redéfinir ses stratégies organisationnelles. Grâce à ses expériences à l’étranger, il a saisi de nouvelles occasions d’affaires dans les marchés émergents pendant son passage à la Caisse de dépôt et placement du Québec. En plus d’organiser des visites au Brésil, en Russie, en Inde et en Chine pour des équipes de placement, il a piloté des initiatives concrètes dont les retombées ont été très positives, notamment l’obtention du «statut d’investisseur étranger» à la Bourse de Shanghai et l’ouverture d’un bureau à Beijing.

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G hislain Parent, chef des finances et premier vice-président à la direction, Finance et Trésorerie, Banque Nationale du Canada

Lieu de naissance : Rouyn-Noranda, Québec

Devise : L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt!

Dernier lieu de vacances : Hawaï

Dernier livre lu : L’histoire de Pi

Plus surGhislain

Une vision sociale 360 : redonner aux collectivités Tout au long de ses voyages, M. Parent a eu la chance de mener la vie et la carrière de son choix. Et même si le travail à l’étranger le passionnait, son cœur était au Québec, et il a démontré à plusieurs reprises au cours des vingt-cinq dernières années combien il est bien ancré dans son milieu, en siégeant par exemple au conseil d’administration de diverses sociétés de la province.

Il est particulièrement fier de sa participation, à titre de président du conseil d’administration du Quartier international de Montréal, au projet de mise en valeur de la rue McGill, à Montréal, située à l’ouest du quartier du Vieux-Montréal et au centre de l’enceinte historique de la ville. Des travaux d’infrastructure et de réaménagement ont permis non seulement de rehausser l’apparence de ce quartier historique, mais aussi de dynamiser le secteur grâce à l’implantation de nouveaux commerces, ce qui est très apprécié des visiteurs.

Plus récemment, il a voulu pousser plus loin son engagement auprès de la collectivité en sollicitant le milieu des affaires pour financer une cause qui lui tient beaucoup à cœur : la réinsertion sociale des sans-abri et des personnes défavorisées.

En effet, M. Parent a accepté d’être président de la neuvième édition de la soirée Homard et Vin blanc visant à amasser des fonds au profit de l’Accueil Bonneau, organisme sans but lucratif et maison pour hommes offrant repas, toit, vêtements et bien plus aux sans-abri de Montréal. Il a aussi organisé, pour la première fois de l’histoire de cet organisme, une campagne de collecte de fonds auprès des sociétés, ce qui a permis à l’Accueil Bonneau d’amasser des milliers de dollars additionnels. r

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Les Services de soutien en matière de litiges sont peut-être l’un de nos services les moins bien connus;

cependant, notre équipe offrant ces services joue un rôle crucial auprès des clients en les aidant à régler leurs différends.

Se rattachant aux Services d’évaluation et de modélisation financière, les Services de soutien en matière de litiges peuvent aider de nombreux clients impliqués dans des situations qui exigent l’évaluation d’une entreprise ou d’un actif dans le cadre d’un litige juridique ou fiscal.

«Beaucoup d’entreprises se retrouvent dans des litiges juridiques imprévus où la valeur d’un actif ou de l’entreprise dans son ensemble est essentielle», déclare Barb Morton, leader du groupe, qui a récemment quitté la région Atlantique pour s’installer à Calgary et mettre l’équipe sur pied dans l’ouest du Canada.

«Comme c’est le cas pour tout litige juridique, les évaluations d’entreprises sont un sujet épineux et on nous demande parfois d’exprimer notre opinion sur un rapport d’évaluation existant. Cela est particulièrement vrai dans les cas où aucune méthode d’évaluation précise n’est détaillée dans le rapport. Nous examinons des éléments précis, comme les actifs excédentaires, les acheteurs ayant un intérêt particulier, et même une évaluation a posteriori pour déterminer une juste valeur marchande.»

Au Canada, ces services sont fournis par des experts en évaluation d’entreprises (EEE). C’est le seul titre professionnel dans la pratique de cette spécialité qui est reconnu par les tribunaux et par le secteur.

Cependant, la plupart des EEE possèdent d’autres titres professionnels dans le domaine de l’analyse financière, comme CPA ou CFA. Les EEE sont des experts qui sont habilités à déterminer la valeur d’une entreprise ou de ses actifs, ce qui peut inclure les actifs incorporels, comme la marque de commerce, et la valeur de la propriété intellectuelle.

Un grand nombre d’entreprises fermées ou familiales faisant face à des différends avec leurs membres ont recours aux Services de soutien en matière de litiges. Dans ces cas, les clients doivent établir la valeur de l’ensemble de leur entreprise. Ces entreprises peuvent aussi traverser des moments difficiles par suite d’événements dramatiques, comme des différends conjugaux, et constituer un actif dans le cadre d’un divorce, ou de réclamations en dommages-intérêts pour blessures ou décès.

«Nous aidons aussi les clients à résoudre leurs différends fiscaux avec l’Agence du revenu du Canada, fait remarquer M. Morton. Nous pouvons fournir les compétences et l’expérience nécessaires à tout chef d’entreprise qui déciderait de contester l’évaluation de son entreprise ou de ses actifs à des fins fiscales.»

De plus, l’équipe a aidé des entreprises qui faisaient face à des situations d’expropriation dans lesquelles une autorité gouvernementale a forcé la vente de propriétés pour avoir accès au terrain. Dans ces cas, une entreprise peut contester l’évaluation de la propriété, de même que la perte de revenu ou de valeur subie par l’entreprise en raison de l’interruption de ses activités.

«La communication efficace de preuves convaincantes peut être décisive pour parvenir à un règlement rapide» déclare Andrew Cochran, chef d’équipe senior de l’équipe de Toronto. Cela peut réduire les frais liés au litige et permettre aux propriétaires de reprendre leurs activités le plus rapidement possible.»

Pour en savoir plus sur la façon dont notre équipe peut vous aider — ainsi que sur nos autres Services consultatifs transactionnels et les dernières informations en matière de leadership éclairé — visitez le site ey.com/ca/Transactions.

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P leins feux sur un service

Reprendre lasituation en main : Services de soutien en matière de litiges

Restez informéSoyez au courant des dernières nouvelles et des documents de leadership éclairé d’Ernst & Young grâce à nos alertes par courriel.

Abonnez-vous à nos bulletins FiscAlerte, à notre bulletin mensuel Questionsfiscales@EY, à notre bulletin Alerte en matière d’information financière, à notre rapport Baromètre de la confiance des entreprises, à nos comptes rendus sur les transactions du secteur et à notre guide annuel populaire Comment gérer vos impôts personnels.

Vous pourrez vous abonner à tous ces bulletins et à d’autres sur le site ey.com/ca/EmailAlerts.

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Songeons à toutes les transformations que le monde a subies ces 20 dernières années. Internet en

était à ses balbutiements, le téléphone cellulaire avait la taille d’une brique et les tablettes et téléphones intelligents relevaient encore de la fiction. Le lecteur DVD n’était pas encore au point et les voitures électriques étaient à des kilomètres d’être commercialisées. Le mot «virus» n’appartenait encore qu’au monde de la médecine et seuls les oiseaux gazouillaient.

Le monde a beaucoup changé en si peu de temps, et c’est aux entrepreneurs que nous devons la grande majorité de ces innovations rapides.

«Nous sommes tellement fiers de célébrer notre 20e anniversaire», se réjouit Colleen McMorrow, directrice nationale du Grand Prix de l’Entrepreneur d’Ernst & Young.

«Nous disons des entrepreneurs qu’ils nous allument, et bien que cela puisse sembler un peu provocateur, nous n’exagérons pas. Ils nous allument, ainsi que tout le monde, à de nouvelles idées,

de nouvelles façons de faire, de nouvelles technologies, de nouvelles possibilités. Ces personnes exceptionnelles ont à cœur de repousser les frontières de ce qui a été fait et de ce qui est possible. Et lorsqu’elles ont un «éclair de génie», rien ne les arrête.»

Au cours de ses 20 premières années d’existence, le programme a évolué et grandi avec les sociétés lauréates. Aujourd’hui, il est célébré dans plus de 50 pays et il prend de plus en plus d’ampleur.

«Les histoires d’entreprises peuvent s’avérer un puissant outil de motivation, affirme Mme McMorrow. Nous mettons en lumière de grandes réussites entrepreneuriales pour en inspirer d’autres et montrer ce qu’il faut pour réaliser ses rêves.»

C’est pourquoi nous avons créé le Grand Prix de l’Entrepreneur. Et bien qu’il soit bon de revenir sur notre passé, nous sommes très enthousiastes, comme les innovateurs que nous célébrons, face à ce que l’avenir nous réserve.

Les yeux tournés vers l’avenir, passons donc en revue le programme de 2012 qui a connu un grand succès.

Transformer sa vision en réussite, littéralementLors du banquet national qui s’est tenu à Toronto en janvier dernier, nous avons nommé le Dr Alan Ulsifer de Calgary Entrepreneur de l’année 2012 du Canada. C’était en fait un retour pour le président et chef de la direction de FYidoctors, le plus grand prestataire indépendant de produits et services pour les soins de la vue au Canada, puisqu’en 2008, il a remporté le prix de l’Entrepreneur en émergence dans la région des Prairies.

«L’idée du Dr Ulsifer de vouloir réunir une gamme complète de services d’optométrie en une même entité – une première au pays – a transformé le secteur de l’optométrie au Canada, affirme Mme McMorrow. Ce genre de

L e Grand Prix de l’Entrepreneur

20ans d’hommage à l’innovation

Et ce n’est qu’un début

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solutions novatrices qui permet de parer à un contexte économique difficile nécessite un leadership fort et une équipe encore plus forte, une qualité que partagent les entrepreneurs de premier plan.»

Le Dr Ulsifer a également été nommé Entrepreneur de l’année 2012 pour la région des Prairies, aux côtés de Ashely Cooper, Paladin Security Group Ltd., pour le Pacifique; John A. McCluskey, Alamos Gold Inc., pour l’Ontario; Michel Gendreau, Garaga Inc., pour le Québec; et Patrick O’Callaghan, East Coast Catering Ltd., pour l’Atlantique.

Et pour la marque unique qu’elles laissent dans le paysage de l’entrepreneuriat, nous avons rendu hommage à trois personnes en leur remettant une mention spéciale à l’échelle nationale. Il s’agit de John Hantho, Maxxam Analytics, dans la catégorie Leadership entrepreneurial, de Robert Herjavec, The Herjavec Group, dans la catégorie Rendement financier, tous deux de la région de l’Ontario, et de Frederick Davidson, Energold Drilling Corp., de la région du Pacifique, dans la catégorie Croissance exceptionnelle.

Pour visionner les faits saillants du banquet national, en savoir plus sur les lauréats régionaux et beaucoup plus, visitez ey.com/ca/EOY.

Relations avec les anciensUn autre lauréat de la région des Prairies est un ancien d’Ernst & Young! Dan Balaban de Greengate Power Corporation a remporté le prix régional pour sa technologie propre. M. Balaban a fondé la société en 2007 à l’âge de 32 ans.

Et l’Entrepreneur mondial de l’année 2012 est un autre ancien, bien qu’il soit d’un autre pays. Le Dr James Mwangi, chef de la direction et directeur général d’Equity Bank au Kenya, a remporté le prestigieux prix à l’occasion d’une cérémonie qui a eu lieu à Monaco en juin.

Réunir innovateurs et grands penseurs«C’est le mandat des entrepreneurs de réinventer la façon de faire des affaires, soutient Mme McMorrow, et c’est le nôtre de les accompagner dans cette démarche.»

À cette fin, nous avons réuni à Palm Springs, en novembre dernier, plus de 2 000 des plus importants chefs de direction, entrepreneurs, conseillers, investisseurs et autres hauts dirigeants de 28 pays à l’occasion de l’édition annuelle de notre Strategic Growth Forum. Ils ont traité de divers sujets comme l’innovation, les transactions, la croissance et les facteurs qui façonnent l’avenir de l’économie mondiale, et ont partagé leurs points de vue et leurs expériences.

Le forum de 2013 se tiendra à nouveau à Palm Springs du 11 au 13 novembre prochains.

Célébrez avec nousQui connaît mieux que nos anciens le véritable sens des mots innovation et inspiration? Nous sollicitons votre appui au Grand Prix de l’Entrepreneur. Soumettez vos candidatures et n’hésitez pas à poser votre propre candidature si vous êtes un brillant entrepreneur!

Nous vous invitons à prendre part aux événements qui se tiendront dans votre région et demeurez au fait des dernières nouvelles en visitant ey.com/ca/EOY. Et suivez-nous sur Twitter @EYCanada.

«Vingt ans, c’est une étape marquante, se réjouit Mme McMorrow, mais nous gardons un œil ouvert sur l’avenir. L’innovation n’arrêtera jamais, pas plus que notre programme qui rend hommage chaque année à l’excellence entrepreneuriale.»

Pour en savoir davantage sur le 20e anniversaire, consultez le prochain numéro du bulletin En contact. r

20ans d’hommage à l’innovation

Et ce n’est qu’un début

Une vision gagnante : Le Dr Alan Ulsifer de FYidoctors, Entrepreneur de l’année 2012 du Canada (au centre), accepte son prix des mains de Mme Colleen McMorrow, directrice nationale du Grand Prix de l’Entrepreneur et de M. Trent Henry, président et chef de la direction d'Ernst & Young au Canada.

Pour consulter la liste complète des lauréats de 2012, visitez ey.com/ca/EOY.

Exploiter son plein potentiel Femmes Entrepreneures gagnantesMC

Les femmes entrepreneures réussissent mieux que jamais. Elles apportent des points de vue et expériences uniques, et sont souvent confrontées à des défis particuliers dans le développement et la croissance de leur entreprise. Dans le cadre des célébrations entourant notre 20e anniversaire, nous sommes fiers de lancer le programme Femmes Entrepreneures gagnantes au Canada. Ce programme est à la fois un concours et un programme de leadership visant à mettre à la disposition d’un groupe sélect de femmes entrepreneures à fort potentiel les conseillers, ressources et outils dont elles ont besoin pour devenir des leaders sur le marché.Un groupe choisi de femmes entrepreneures participeront à un programme personnalisé permanent visant à les aider à faire croître leur entreprise, à développer leur sens des affaires et à accroître leur visibilité.

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Elles n’attirent peut-être pas autant l’attention que les entreprises cotées en Bourse,

mais les 1,2 million d’entreprises privées canadiennes représentent et de loin le segment le plus important de l’économie du pays.

«Nous avons toujours cru au pouvoir des entreprises privées, et nous avons bâti avec bon nombre d’entre elles de solides relations au fil des ans, affirme Tom Kornya, associé directeur du groupe Certification. Nous développons sans cesse nos services auprès des entreprises privées partout au Canada, en investissant dans les gens, le savoir et les services pour aider ces entreprises à relever les défis uniques auxquels elles sont confrontées et à saisir de nouvelles occasions d’affaires.»

Notre groupe Marché intermédiaire privé de Toronto est l’une de nos forces dans l’espace des entreprises privées. Les associés David Fabian et David Steinberg, coleaders de l’équipe, ont, tout au long de leur carrière, mis leur énergie à aider les entreprises privées à réaliser leur potentiel.

«Il y a plus d’un million d’entreprises privées dans l’espace du marché intermédiaire, comparativement à seulement 6 000 sociétés ouvertes environ, dit M. Steinberg. Leur valeur varie de 1 million à 1 milliard de dollars, et il peut s’agir d’entreprises familiales léguées de génération en génération ou encore de partenariats ou de sociétés de capital privé. Mises ensemble, ce sont les plus grands employeurs au pays.

S ecteur des entreprises privées

Pleins feuxsur les entreprises privées

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M. Steinberg abonde dans le même sens : «Les propriétaires de petites et moyennes entreprises craignent souvent que les gros fournisseurs de services d’envergure internationale ne s’intéressent qu’à leur classement à Fortune 500, et qu’en raison de leur éloignement, ils soient lents à répondre à leurs besoins quotidiens. Bien au contraire, nous sommes constamment en contact avec nos clients et à leur disposition en tout temps.»

L’équipe compte 17 associés, et au moins deux associés sont affectés à chaque mandat, de sorte que l’un d’eux est toujours disponible pour le client.

«Nous voulons rassurer nos clients que nous nous occupons d’eux, poursuit M. Steinberg, et nous sommes en communication avec eux tous les jours, même si ce n’est que pour garder le contact et leur dire bonjour.»

Donc, sur quels enjeux les propriétaires d’entreprises privées devraient-ils se concentrer en 2013?

«L’économie se remet très lentement d’une période difficile, et la situation demeure très délicate, fait observer M. Fabian. Cela dit, il existe des possibilités de croissance pour les entreprises qui ont du flair et qui savent où mettre les priorités.»

Selon les deux associés, les entrepreneurs doivent examiner leur mode de fonctionnement interne. «Est-il possible de faire des changements en interne pour améliorer l’efficience, comme utiliser la technologie de manière plus efficace pour la gestion de l’effectif, dit M. Fabian. Beaucoup d’améliorations en ce sens ont été faites au début de la crise financière en 2009, et bien qu’il soit encore possible de réaliser des gains d’efficacité, les choses ne sont pas aussi faciles qu’il y a trois ans.»

Les entreprises doivent également déterminer si elles ont l’infrastructure et la clientèle pour assurer leur viabilité dans un contexte où la croissance économique est nulle.

«Si vous avez la structure de capital et les capitaux propres nécessaires, vous pouvez explorer les possibilités de croissance par l’acquisition, poursuit M. Steinberg, et devenir, qui sait, un joueur de premier plan. Il se pourrait aussi qu’en réduisant vos coûts et en améliorant votre efficacité vous ne soyez toujours pas compétitif, et que vous n’ayez pas les capitaux pour croître et éliminer vos concurrents, et que vous vous retrouviez dans l’impossibilité de poursuivre vos activités.»

M. Fabian partage ce sentiment. «Lorsqu’une croissance n’est pas réalisable et que vous avez épuisé tous les moyens de réduire vos coûts et d’améliorer vos processus, votre meilleure option pourrait être simplement de vendre votre entreprise.»

Les entreprises ne peuvent rester inertes dans l’économie incertaine d’aujourd’hui. «Il n’y a rien de pire que l’inertie dans une industrie en pleine croissance, dit M. Steinberg. Si vous considérez que vous vous éloignez de votre objectif ultime, communiquez avec un conseiller qui connaît bien votre marché et qui pourra vous aider. Peut-être vous mettra-t-il sur une voie que vous n’aviez pas envisagée. »

«Ensemble, nous comptons plus de 40 ans d’expérience au service d’entreprises privées du marché intermédiaire, dit M. Fabian. Nous en avons vu beaucoup jusqu’ici dans notre carrière et avons connu les soubresauts de l’économie. Nous sommes toujours heureux d’explorer des moyens d’aider les entrepreneurs à réaliser leur vision.»

Pour en savoir plus, visitez le site ey.com/ca/focusonprivatebusiness. r

«Certaines de ces entreprises finiront par faire leur entrée en Bourse, mais ce qui nous intéresse, ce sont les sociétés privées qui le restent.»

Ces entreprises représentent un potentiel énorme à exploiter, et la concurrence pour servir ce marché est vive. Notre groupe, toutefois, est unique.

«Cet espace regroupe de grandes entreprises comme de plus petites, explique M. Fabian. Mais nous offrons à ces entreprises le meilleur de deux mondes : le contact plus personnel des petites boutiques qu’elles recherchent, et le modèle de service intégré et les ressources du réseau national et mondial d’Ernst & Young. Et nous appliquons la méthode d’audit des sociétés fermées qui répond aux besoins précis de ces entreprises, ce que d’autres sociétés n’offrent pas.»

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MM. Steinberg et Fabian proposent les sept moyens suivants pour aider les entreprises privées à demeurer concurrentielles en période économique difficile :

1 Optimisez votre effectif. Discutez avec le personnel, la direction, les clients et les parties prenantes pour trouver de nouvelles façons d’accroître votre productivité.

2 Diversifiezvosfournisseurs. Évaluez vos relations et la possibilité d’élargir votre réseau pour tirer le maximum de valeur de vos fournisseurs.

3 Rationalisez vos entités juridiques. Assurez-vous que chaque entité juridique détient les actifs appropriés, que vous êtes le moins exposé possible aux risques de poursuite et que vos coûts sont bien gérés.

4 Évaluez votre structure de capital. Assurez-vous que votre ratio dette-capitaux propres correspond à votre degré de tolérance au risque.

5 Saisissez les occasions de croissance uniques. Déterminez si votre entreprise doit davantage axer ses efforts sur la croissance interne ou l’acquisition. Regardez au-delà des frontières — il pourrait bien y avoir des occasions à portée de main à l’extérieur du Canada.

6 Examinez votre gamme de produits. Assurez-vous que la marge brute réalisée correspond à vos attentes.

7 Regardez vers l’avenir. Vous devrez planifier dès maintenant la prochaine génération de dirigeants. Déterminez si votre entreprise est structurée de manière appropriée pour assurer la relève et répondre à vos besoins en matière de planification successorale.

Nous soutenons les entreprises privées de nombreuses façons

Nous offrons une grande variété de programmes aux entreprises privées du marché intermédiaire au Canada :

Le Grand Prix de l’Entrepreneur d’Ernst & Young

L’Entrepreneur mondial de l’année

Strategic Growth Forum®

Programme Femmes Entrepreneures gagnantes d’Ernst & Young

Et nous soutenons fièrement des organismes qui appuient les entrepreneurs canadiens :

The Next 36

Rotman School of Management

S ecteur des entreprises privées

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Nouvelles nominationsJohn Bethel s’est joint à nous à titre d’associé de notre groupe des Services consultatifs à Vancouver. John dirige notre groupe national des Services consultatifs au secteur des soins de santé, et travaille en étroite collaboration avec Charles-Antoine St-Jean, leader du groupe national Gouvernements et secteur public et Kirsten Tisdale, leader des Services consultatifs de la Colombie-Britannique. Il reçoit également l’appui de notre réseau de professionnels du secteur public au Canada.

Saskia Goedhart a joint nos rangs à titre d’associée du groupe Services financiers, où elle dirige le groupe Gestion des risques des services financiers à Toronto. En étroite collaboration avec les équipes du Canada et des États-Unis, elle oriente notre prochaine génération de services visant à répondre aux besoins des sociétés d’assurance en matière de gestion des risques.

Bernard Jones s’est joint à notre groupe des Services consultatifs à titre d’associé et de leader, Services consultatifs en TI à Calgary, où il soutient la croissance nationale du groupe Habilitation de la technologie.

Tim MacDonald s’est joint à titre d’associé au groupe Services consultatifs transactionnels de Toronto. Il se concentre sur la poursuite de la mise sur pied de l’offre de services des Services en transactions opérationnelles et conseille les clients en matière de planification de l’intégration et du morcellement avant la conclusion d’accords.

Martin McGrath s’est joint à titre d’associé à notre groupe Amélioration de la performance à Toronto, et s’occupe des groupes Gouvernements et secteur public, et gestion des actifs. Martin revient de Londres, R.-U., où il a joué un rôle de leadership au sein des groupes Services consultatifs et Restructuration d’un autre cabinet mondial d’experts-comptables.

David McQueen s’est joint à nous à titre d’associé du groupe Services consultatifs à Toronto. Il joue un rôle de leader à l’échelle nationale au sein des Services consultatifs en TI, plus précisément sur le plan des technologies habilitantes pour plusieurs secteurs, et met l’accent sur la croissance des services d’implantation de SAP et d’Oracle.

David Meadows s’est joint au groupe Certification de Toronto à titre d’associé. Il travaille de concert avec nos Services consultatifs, Enquêtes sur la fraude et différends afin d’accroître nos efforts en matière d’analyse des données en juricomptabilité à l’échelle du Canada.

Au sujet d’Ernst & Young

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Bien que les entreprises canadiennes aient repris confiance dans l’économie, leur appétit pour la conclusion de transactions a diminuéLe huitième numéro de l’édition canadienne de notre publication semestrielle intitulée Baromètre de la confiance des entreprises, qui est paru en mai, indique nettement que les entreprises canadiennes ont repris confiance dans l’économie. Toutefois, bien qu’elles aient été davantage disposées à conclure des transactions au cours de la dernière année que leurs homologues des États Unis et d’ailleurs dans le monde, ce regain de confiance ne s’est pas traduit par une intensification de l’activité sur le marché des transactions, et les cadres supérieurs canadiens s’attendent à ce que leur entreprise continue d’user de prudence à court terme.

Pour en apprendre davantage sur nos constatations, accédez au site ey.com/CA/fr/Services/Transactions/Barometre-de-la-confiance-des-entreprises-Canada.

Augmentation des risques fiscauxDans le cadre de l’édition 2012-2013 du sondage canadien sur la gouvernance fiscale, 120 dirigeants ont été sondés pour connaître la façon dont ils gèrent actuellement les risques fiscaux. Les résultats ont démontré non seulement que les risques fiscaux augmentent au Canada, mais aussi que ce type de risques préoccupe plus que jamais les entreprises. Notre rapport fait donc état de nos dix principales constatations et possibilités d’amélioration.

Pour en apprendre davantage, visitez ey.com/ca/fr.

Toujours l’un des meilleurs employeurs du Canada sur le plan de la diversitéPour la sixième année d’affilée, nous figurons au palmarès des meilleurs employeurs du Canada sur le plan de la diversité. Nous ne saurions être plus fiers. La grande diversité de nos équipes nous permet d’offrir des perspectives plus variées à nos clients. Notre succès repose avant tout sur de bonnes pratiques d’affaires et notre façon de travailler en interne. Nous espérons néanmoins qu’à l’avenir, la diversité n’aura plus besoin d’être récompensée!

Porter secours aux sinistrés et donner du soutien aux pays ayant besoin d’aide avec Plan CanadaNous avons une entente avec Plan International Canada Inc. dans le cadre de notre stratégie d’intervention en cas d’urgence pour soutenir les opérations de relèvement après une catastrophe n’importe où dans le monde. La Société versera un don de 150 000 $ sur trois ans à cette cause.

L’une des plus anciennes et des plus importantes organisations internationales de développement, Plan Canada est reconnue pour l’aide humanitaire qu’elle apporte dans plus de 45 pays.

«Nous sommes très fiers de joindre nos forces à celles de l’organisme, précise Trent Henry, président et chef de la direction. Nos gens au Canada ont fait preuve de compassion et de générosité dans les moments difficiles; notre soutien à Plan contribuera réellement à apporter de l’aide aux victimes de catastrophes partout dans le monde.»

A u sujet d'Ernst & Young

Programme Excellence in Finance L’automne dernier, nous avons lancé un nouveau programme très intéressant pour aider nos clients à atteindre une plus grande efficacité au sein de leur entreprise. Le programme Excellence in Finance offre plus de 40 cours destinés aux chefs des finances, à leur équipe des finances et à d’autres professionnels.

Ces cours, d’une durée de 90 à 120 minutes, abordent divers sujets portant sur l’efficacité des finances, l’exécution des transactions, les évaluations, les risques, la comptabilité générale et la fiscalité. Les participants sont admissibles à des crédits de FPC.

Pour en savoir plus, communiquez avec votre conseiller Ernst & Young.

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Inauguration à Ottawa!L’automne dernier, l’annonce de notre bureau d’Ottawa associant notre nom au plus grand site d’événements et d’expositions de l’est de l’Ontario a fait sensation dans la capitale nationale. Le Centre Ernst & Young accueille une grande variété d’événements, dont foires commerciales, concerts, spectacles pour enfants et autres.

Deanna Monaghan, associée directrice du bureau d’Ottawa, a mené la charge. «Nous sommes extrêmement fiers que le nom d’Ernst & Young soit associé à ce magnifique centre, dit-elle. Nous bénéficions d’une visibilité sans précédent qui témoignera éloquemment de l’importance d’Ottawa en tant que centre d’affaires clé au Canada.»

«En plus de rendre compte des liens réels qui unissent Ernst & Young et le milieu des affaires d’Ottawa, ce partenariat permettra à la Société de mieux s’acquitter, à l’échelle régionale, de ses responsabilités sociales en tant qu’entreprise, ajoute-t-elle. Grâce aux nombreuses activités de bienfaisance auxquelles participe le centre, nous serons en mesure de nous investir directement dans la collectivité d’Ottawa où nos gens vivent et travaillent. De plus, notre marque s’en trouvera considérablement renforcée!»

Situé près de l’Aéroport international Macdonald-Cartier, le centre devrait accueillir plus de un million de visiteurs chaque année. Aménagé spécifiquement pour accueillir des expositions et des foires commerciales, l’établissement, d’une superficie de quelque 220 000 pieds carrés, offre quatre salles d’exposition ultramodernes, des salles de réunion, des salles de réception et une grande aire de stationnement.

Notre bureau d’Ottawa a également déménagé en janvier au 99 Bank Street. Bien que le nouvel emplacement ne se trouve qu’à deux coins de rue du centre, il s’agit d’un grand bond en avant pour ce qui est de l’agencement et de la technologie. Conçue sur le modèle de «l’espace de travail du futur», la configuration ouverte permet à nos gens de choisir en tout temps l’espace de travail qui répond le mieux à leurs besoins. L’environnement dynamique est plus propice à la collaboration et à l’esprit d’équipe, et intègre une technologie améliorée pour les réunions.

Restez en contact dans le domaine numériqueNous sommes ravis d’annoncer l’arrivée de notre nouvelle application mobile pour En contact! Cette interface interactive et intuitive, que nous partageons avec nos homologues des États-Unis, est facile à télécharger. Rendez-vous à votre boutique App Store préférée, cherchez «Ernst & Young Connect» et téléchargez. Si vous recevez la version électronique En contact, vous verrez que nous avons amélioré la présentation pour rendre votre lecture encore plus agréable. Au lieu d’un PDF, vous visualiserez le magazine sur un nouveau microsite.

Grâce à ces développements numériques, il est encore plus facile de lire En contact où que vous soyez, quand vous voulez, avec toutes ses photos vives, graphiques et articles intéressants qui donnent vie à nos anciens.

En contact

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Bientôt : un tout nouveau Portail mondial des anciensNous sommes très heureux d’annoncer la conception d’un nouveau site Web pour accueillir le tout nouveau Portail mondial des anciens qui offrira des outils de carrière et de réseautage élaborés. Développé par Insala, un fournisseur de logiciels de premier plan voué aux solutions de gestion de talents, le site devrait être lancé cet été et sera mis en ligne au Canada avant tous les autres pays, en anglais et en français.

Voici les principales caractéristiques du nouveau site :

• Outils d’avancement professionnel, notamment des possibilités d’emploi chez Ernst & Young et ailleurs, outils de gestion et de suivi des possibilités d’emploi, aide à la rédaction du curriculum vitæ, conseils professionnels et plus encore

• Outils élaborés de réseautage permettant de se construire un profil professionnel dans un environnement sécurisé auquel sont intégrés les réseaux sociaux

• Accès direct et rapide au leadership éclairé d’Ernst & Young, aux possibilités d’apprentissage, aux événements et aux actualités

Ne ratez pas cette occasion! Pour recevoir une invitation au nouveau portail, voici ce que vous pouvez faire dès maintenant :

• Visiter ey.alumniprogram.com/ca-fra-alumni/

• Mettre à jour votre profil et vérifier votre adresse de courriel

• Sous «Email contact», sélectionner «Contactez-moi»

Si vous éprouvez des difficultés à accéder au site ou à réinitialiser votre mot de passe, veuillez communiquer avec nous par courriel à l’adresse suivante : alumni@ca.ey.com.

Équipe des relations avec les anciensÉchelle nationaleJohn Langhorne Associé responsable des relations avec les anciens, Canada +1 416 943 3290 john.langhorne@ca.ey.com

Maha Zabaneh Chef d’équipe des relations avec les anciens +1 416 943 2341 maha.zabaneh@ca.ey.com

Georgia Metcalfe Coordonnatrice des relations avec les anciens +1 416 943 2694 georgia.metcalfe@ca.ey.com

Champions des associés régionauxMontréal André Courville +1 514 874 4304 andre.courville@ca.ey.com

Vancouver Dan McDougall +1 604 891 8241 dan.n.mcdougall@ca.ey.com

Calgary Jaimie Dawson +1 403 206 5136 jaimie.r.dawson@ca.ey.com

St. John’s Lynn Healey +1 709 570 8266 lynn.healey@ca.ey.com

Communiquez avec nous à l’adresse suivante : alumni@ca.ey.com.

Gagnants du sondage des anciensMerci à nos 250 anciens qui ont répondu au sondage des anciens, comme il a été annoncé dans le dernier numéro d’En contact, et toutes nos félicitations aux trois gagnants du tirage :

• Yves Champagne de Repentigny, au Québec (retraité)

• Paul Murray de Pickering, en Ontario (propriétaire de Mission Possible Home Repair)

• Michelle Rothe de Calgary, en Alberta (conseillère en fiscalité pour Encana)

Votre honnêteté dans vos commentaires nous a permis d’évaluer nos activités et offres de services actuelles, et de planifier l’avenir. Nous sommes déterminés à faire de notre mieux pour que le Réseau des anciens d’Ernst & Young demeure actif, attrayant, pertinent et digne d’intérêt aux yeux de tous nos membres. Soyez à l’affût pour plus de détails!

A u sujet d’Ernst & Young

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Nous savons que vous appréciez les rencontres avec d’autres anciens et collègues d’autrefois et, de notre côté, nous prenons autant de plaisir à vous réunir. Au cours des derniers mois, trois réunions se sont tenues au Canada – et nous prévoyons en avoir plus au cours de l’année qui vient.

Pour être au courant des événements d’anciens organisés dans votre ville, visitez le site eyalumniprogram.com. Profitez de l’occasion pour vérifier l’exactitude de vos renseignements et vous assurer de recevoir les annonces, les invitations et les dernières nouvelles.

CalgaryLa réunion de Calgary a réuni plus de 300 invités dans le cadre historique de l’hôtel Fairmont Palliser.

«Nous entretenons nos relations avec nos anciens tout au long de l’année, a assuré Kent Kaufield, associé directeur de Calgary, mais c’est toujours un événement spécial d’en voir un si grand nombre réuni au même endroit. C’est extraordinaire de voir à quel point les gens apprécient ce genre d’événement.»

Droite : Deborah Sim, une ancienne d’EY, maintenant de Robert Half en compagnie de Leigh Anne Sturmy et de

Heather Chrisholm, respectivement chef d’équipe senior et chef d’équipe chez EY, lors de l’événement annuel de

Calgary réunissant clients et anciens en novembre 2012.

Jamie Dawson, associé champion des anciens d’EY, en compagnie de Chris Wing, un ancien d’EY, d’Alberta Health Services et d’Elshad Aliyev, associé d’EY en visite depuis le bureau du Kazakhstan.

Jeanie McKibbon, associée d’EY, en compagnie de Dwayne Vinck, un ancien d’EY, et d’un de nos clients, Bruce Petrie, lors de l’événement annuel de Calgary réunissant clients et anciens en novembre 2012.

Une agréable soirée entre clients et anciens réunis à l’occasion de l’événement annuel de Calgary à l’hôtel Palliser en novembre 2012.

Rétrospective des activités des anciens

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R étrospective des activités des anciens

Un coup d’éclat dans le Grand TorontoLa plus grande réunion d’anciens jamais tenue à ce jour s’est déroulée en octobre dernier. Plus de 1 500 participants, anciens, associés et membres du personnel actifs, étaient réunis au Fairmont Royal York, hôtel historique de Toronto.

«Nos anciens sont extrêmement importants pour nous, et nous avons été heureux de cette occasion de renouer des liens personnels et de les mettre en contact, a déclaré Trent Henry, président et chef de la direction d’Ernst & Young. Une réunion n’est pas tant un moment de réflexion sur le passé qu’une occasion propice de témoigner de notre démarche audacieuse et de regarder vers l’avenir. Notre entente de commandite de trois ans avec le Cirque du Soleil en est un exemple éloquent.»

L’ambiance festive de la réunion a été rehaussée par la présence d’artistes costumés qui circulaient parmi les invités.

Trent Henry souhaite la bienvenue aux participants.

De gauche à droite : Leslie Yuen (contrôleuse adjointe, Brookfield Asset Management), Shelly Wu (chef des finances, Action Cancer Ontario) et Jaezebel O (chef d’équipe, Ernst & Young s.r.l./s.e.n.c.r.l.).

De gauche à droite : Keith Bowman (ancien associé et chef de la direction, Conseil des experts-comptables de l’Ontario), Trevor Hicks (vice-président associé, Banque TD), Bill Rupert (associé à la retraite et membre du Comité de surveillance du marché de l’électricité) et Barbara McDonald (ancienne d’EY à la retraite).

De gauche à droite : anciens associés Farouk Ahamed, Marjorie Tang et Tom Goldspink et l’ancienne Jill McAlpine.

Ci-dessus : Plus de 1 500 anciens et gens d’Ernst & Young ont participé au rassemblement du Grand Toronto qui se tenait dans la Canadian Room à l’hôtel Fairmont Royal York de Toronto.

Droite : Des artistes vêtus d’authentiques costumes du Cirque du Soleil divertissent les participants.

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Des entrepreneurs qui nous allument.

De nouvelles idées, de nouvelles façons de penser, de nouvelles possibilités. Voilà pourquoi nous soulignons avec fierté leurs réalisations, tout comme vous. Joignez-vous à nous à l’occasion des célébrations du 20e anniversaire pour rencontrer les finalistes régionaux et les lauréats!

Atlantique Ontario Le 3 octobre à Halifax Le 24 octobre à Toronto

Pacifique Québec Le 4 octobre à Vancouver Le 30 octobre à Montréal

Prairies National Le 17 octobre à Calgary Le 27 novembre à Toronto

Pour en savoir plus, visitez ey.com/ca/GPE.Suivez-nous sur Twitter : @EYCanada; mot-clic : #GPE20.

20 ans d’innovation

20 ans d’innovation

Le Grand Prix del’EntrepreneurMD

d’Ernst & Young

Commanditaires nationaux

Ernst & Young est fière d’appuyer l’entrepreneuriat

À propos d'Ernst & YoungErnst & Young est un chef de file mondial des services de certification, services de fiscalité, services transactionnels et services consultatifs. À l’échelle mondiale, les 167 000 membres de notre personnel sont unis par nos valeurs partagées et un engagement indéfectible envers la qualité. Nous nous distinguons en aidant nos gens, nos clients et nos collectivités à réaliser leur potentiel.

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Ernst & Young désigne l’organisation mondiale des sociétés membres d’Ernst & Young Global Limited, lesquelles sont toutes des entités juridiques distinctes. Ernst & Young Global Limited, société à responsabilité limitée par garanties du Royaume-Uni, ne fournit aucun service aux clients.

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