scrutin dans les s1 du lundi 4 mai au mardi 26 mai...
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V ous trouverez dans ce bulletin : . le rapport d’activité et le rapport financier du S3
pour les deux années écoulées ainsi que les appels des
différents courants de pensée à se prononcer sur ces
rapports ;
. les listes des candidats et les déclarations
d’orientation à la CA du S3 et aux bureaux du S2 ainsi
qu’un exemplaire du bulletin de vote.
PRENNENT PART AU VOTE TOUS LES SYNDIQUES A JOUR DE LEUR COTISATION (les trésoriers de S1 doivent donc
transmettre au S3 le plus rapidement possible les dernières co-tisations (et peuvent faire la demande au S3 d’une liste d’émar-
gement actualisée) en tout état de cause, avant le 26 mai, der-nier jour du scrutin). CHAQUE ELECTEUR EMET QUATRE VO-
TES : sur le Rapport d’Activité, sur le Rapport Financier, à la CA du S3 et au Bureau de son S2. Les votes se font sur liste en-
tière, sans panachage, et sous double enveloppe (enveloppe inté-rieure sans signe distinctif, enveloppe extérieure portant le nom
et la signature du votant).
POUR LES ISOLES, LES RETRAITES (OU LES S1 DE MOINS
DE 5 ADHERENTS) les votes sont transmis directement au S3 (au plus tard le 26 MAI en indiquant sur l’enveloppe extérieure :
nom - établissement d’exercice et (ou) de syndicalisation - adresse personnelle - signature). Dans chaque S1 LE DEPOUIL-
LEMENT SERA ORGANISE LE DERNIER JOUR DU SCRUTIN ET LES RESULTATS TRANSMIS IMMEDIATEMENT AU S3
EN LES ACCOMPAGNANT OBLIGATOIREMENT D’UNE LISTE D’EMARGEMENT (ou des enveloppes extérieures signées).
LA COMMISSION ACADEMIQUE DE
DEPOUILLEMENT SE TIENDRA
LE MARDI 2 JUIN A 17 h 30.
21 avril 2009
Bulletin n° 143
Page 1 : Modalités de vote Page 2 : bilan financier Page 3 : Rapport financier Pages 4, 5, 6 : Rapport d’activité du secrétariat académique Page 7 : U et A : Voter sur le rapport d’activité Page 8 : E.E. : Pour un SNES plus offensif Page 9 : F.U. Pour le retrait Page 10 : Texte d’orientation UA et sans tendance Page 11 : Liste à la CA UA et sans tendance Page 12 : Texte d’orientation EE Page 13 : Liste à la CA EE Page 14 : Texte d’orientation FU Page 15 : Liste à la CA Front Unique Page 16 : Liste S2 63 Page 17 : Liste S2 15, 03, 43 Page 18 : Bulletin de vote
SCRUTIN DANS LES S1
DU LUNDI 4 MAI AU
MARDI 26 MAI INCLUS
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2005/2006 Euros 2006/2007 Euros 2007/2008 Euros
(1+2-3) = (1+2-3) = (1+2-3) =
Avoirs disponibles en début d'exercice 45 707,60 € 49 210,86 € 57 587,76 €
1-Sommes sur les comptes au 01/09/**** 47 180,71 € 63 680,75 € 57 665,16 €
2-Créances constatées au 01/09/**** 4 690,42 € 4 537,83 € 2 734,76 €
3-Charges constatées au 01/09/**** 6 163,53 € 19 007,72 € 2 812,16 €
RECETTES
13 - Produits divers, dons 1 984,22 € 2 017,10 € 3 575,17 €
14 - Participation au fonctionnement 4 656,05 € 4 166,45 € 3 808,00 €
15 - Action 800,00 € 4 900,20 € 4 245,00 €
16 - Cotisations (part académique) 73 217,54 € 75 463,91 € 75 679,56 €
18 - Subventions (petits S3 - et autres) 5 000,00 € 5 000,00 € 6 500,00 €
TOTAL RECETTES HORS CONGRES 85 657,81 € 91 547,66 € 93 807,73 € 13a - Produits exceptionnels Cong 2007 12 138,55 €
TOTAL RECETTES 103 686,21 €
DEPENSES
21 - Salaires, charges sociales 38 231,78 € 38 441,19 € 38 945,17 €
22 - Vie du S3, trésoreries S2 15 761,60 € 22 077,40 € 21 404,93 €
23 - Affranchissement, téléphone 10 042,02 € 10 119,20 € 9 743,21 €
24 - Achat papier, fournitures 6 726,06 € 5 084,73 € 5 005,88 €
25 - Entretien matériels, abonnements 5 757,40 € 3 731,59 € 8 095,68 €
26 - Equipements S2-S3 (amortissement immo info) 2 055,19 € 2 701,76 € 1 899,76 €
27- Versements FSU 2 182,00 € 1 316,00 € 1 174,00 €
27b - Charges financières 1 398,50 € 1 392,62 € 1 256,09 €
TOTAL DEPENSES hors congrès 82 154,55 € 84 864,49 € 87 524,72 € 28 - Charges exceptionnelles Cong 2007 10 444,82 €
TOTAL DEPENSES 95 309,31 €
Résultat de l'exercice 3 503,26 € 6 683,17
€
6 283,01
€
Avoirs disponibles en fin d'exercice 49 210,86 € 55 894,03 € 63 870,77 €
BIL
AN F
INANCIE
R
Exercice
s 2006/2
007 -
2007/2
008
2005/2
006 pour m
émoire
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Exercices 2006-2007 et 2007-2008
C es 2 exercices présentent un solde positif de 14 659, 91 €
par rapport au solde de l’exercice 2005-2006, malgré une baisse
du nombre de syndiqués (81 syndiqués en moins dont la moitié
est justifiée par un solde négatif des mutations interacadémi-
ques).
RECETTES :
Hors recettes exceptionnelles du congrès national de mars 2007 à Clermont, elles ont augmen-
té de 5 889,85 € la première année et de 2 260,07 € la deuxième année. Cela est dû à une aug-
mentation des cotisations (diminution de la sous-cotisation) et à un soutien financier aux mani-
festations et actions en augmentation.
DEPENSES : Hors dépenses exceptionnelles du congrès national de mars 2007 à Clermont, elles ont aug-
menté de 2 709,94 € la première année et de et de 2 260,23 € la deuxième année. Cela est dû à
une augmentation des frais de manifestation principalement, compensée en partie par une
baisse de l’achat de fournitures et une meilleure gestion des impayés.
La forte augmentation de la rubrique «vie du S3, trésoreries S2» entre les exercices 2005-2006
et 2006-2007 est liée à un coût important des actions (manifestations…) engagée cette année là
(6 150 €).
L’augmentation subite de la ligne entretien matériel correspond à une facture tardive du SNES
national pour le matériel de reprographie et qui aurait du être facturée en 2006-2007.
Les finances académiques sont saines. Nous arrivons à constituer un fonds de réserve qui per-
met de faire face à des dépenses imprévues ou ponctuelles (manifestations nationales, équipe-
ments des S2 à leur demande…)
Pour chaque exercice comptable, une commission de comptes, composée d’un membre de cha-
que tendance s’est réunie et a contrôlé l’exactitude des comptes. Pour chacun des exercices, la
commission des comptes a proposé de donner quitus aux trésoriers académiques
Michel FLORIOT - Olivier RALUY
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RAPPORT D’ACTIVITE SNES CLERMONTRAPPORT D’ACTIVITE SNES CLERMONT
FEVRIER 2007 FEVRIER 2007 -- JANVIER 2009 JANVIER 2009
D eux ans viennent de s’écouler depuis que vous nous avez largement renouvelé votre confiance lors du renouvelle-ment de la CA académique et des bureaux de S2. Le renouvellement de nos instances académiques va avoir lieu en même temps que celui de nos instances nationales. C’est un moment important de la vie démocratique de notre syndicat. Le présent rapport d’activité couvre la période de février 2007 à janvier 2009, et donc celle depuis l’élection de Nicolas Sarkozy.
LE CONTEXTE GENERAL, LA CONSTRUCTION DE LA LUTTE Depuis son arrivée au pouvoir, toutes les mesures prononcées par le gouvernement Sarkozy sont allées dans le
sens d’une société de moins en moins solidaire et de plus en plus inégalitaire : salaires, retraites, code du travail, assu-rance maladie, droit de grève, libertés… Dans le cadre de cette politique ultra-libérale et réactionnaire, la fonction publique et notamment l’éducation ont été les cibles du gouvernement.
La fonction publique a subi de graves attaques : réduction du maillage territorial, du périmètre de la responsa-bilité de l’Etat et tentatives de privatisations de certaines missions, principe du non remplacement d’un départ à la re-traite sur deux, saignées budgétaires, suppressions de postes dans le cadre de la RGPP, non revalorisation du point d’in-dice…
Dans l’éducation nationale, cette période a été marquée par des attaques incessantes contre le second degré, accusé de coûter trop cher, d’être inefficace. Ce discours répété sur toutes les ondes par le ministre Darcos donne le ton de sa politique éducative : aucune ambition pour notre système, casse du service public d’éducation, suppressions de postes.
Le SNES Clermont a pris toute sa part, avec la FSU, dans la construction d’actions de grèves et de mani-
festations, académiques et nationales importantes, dans la recherche de l’unité avec les autres organi-
sations syndicales. Le SNES a lutté en 2006-2007 avec toute la profession pour obtenir l’abrogation des décrets Robien et le réta-
blissement des décrets de 1950. Les mouvements de grève unitaires des 18 mars 2007 (SNES SNEP SNUEP), et la mani-festation nationale du 18 mai à l’appel de la FSU ont permis de contraindre le ministère à renoncer à appliquer le rap-port Pochard. Il s’agit d’une victoire importante.
Malgré les mouvements de grève unitaires des 20 novembre 2007 et 24 janvier 2008, le gouvernement n’a pas cédé sur la question des augmentations de salaires, mais le SNES a obtenu une prime de 1500 Euros pour les néo-titulaires, ce qui n’est pas négligeable. Les suppressions de postes annoncées nous ont conduit à organiser la manifestation nationale du 19 octobre 2008, la grève du 20 novembre, majoritaires dans l’académie et au niveau national, soutenues par une majorité de l’opinion publique.
Face à la détermination des personnels rejoints par les lycéens, le ministre a reculé sur la réforme des lycées, celle-ci a finalement été reportée d’un an. Le SNES Clermont a contribué à l’information des collègues (stage, heures d’information syndicale), a relayé l’appel national d’organisation de « réveillons revendicatifs » dans chaque lycée le lundi 15 décembre..
Malgré les difficultés d’organisation du mouvement lycéen, le SNES Clermont a soutenu les lycéens en étant présent à leur côté dans les manifestations et dans la diffusion de leurs informations (tirage de tracts notamment). Il a appelé seul, alors que l’intersyndicale Education ne se prononçait pas, chaque fois qu’il l’a estimé nécessaire à l’amplifi-cation du mouvement, les personnels des établissements dont les lycéens étaient en grève à participer aux mouvements lycéens.
En lien avec la section syndicale de l’établissement et à l’écoute de ses attentes, le SNES Clermont est intervenu lors de la mise en garde à vue de lycéens (communiqué de presse, courrier au recteur, participation à l’intersyndicale, appel à signature de pétition etc…)
Le SNES Clermont s’oppose à toute expérimentation qui viserait à tester des éléments de la réforme contestée des lycées dans certains établissements.
Le SNES Clermont a également participé à la construction ou a été à l’origine d’autres actions locales : action contre le calendrier de l’EAF et des épreuves de Philo, rassemblements TZR, rassemblements lors des CTPA et CTPD pour protester contre les suppressions de postes par exemple, assemblées générales, etc… Il a toujours essayé de construire des actions communes malgré les difficultés de maintenir l’union syndicale avec nos partenaires, pas toujours soucieux de rechercher des convergences. La manifestation départementale du 29 novembre pour la défense de l’Ecole Publique et Laïque, avec la participation des associations complémentaires en est une preuve. De même pour la grève départementale du 30 janvier, jour du CTPD 63, que nous avons boycotté unitaire-ment, où notre souci de mener une action unitaire a primé sur la difficulté à remobiliser dans le département les collè-gues le lendemain d’une grève nationale très suivie.
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Jeudi 29 janvier 2009, la mobilisation a été exceptionnelle dans l’académie comme au niveau national. Il faut remonter loin pour retrouver des taux de grévistes de ce niveau : plus de 60 % en collège et en lycée, dans l’académie de Clermont. Cette mobilisation confirme l’attachement des salariés à l’existence de services publics forts, répondant aux be-soins sociaux. Il faut maintenant construire les suites avec l’ensemble des personnels et dans l’unité avec les autres organi-sations syndicales.
LA DEFENSE QUOTIDIENNE DES SYNDIQUES Pour la section académique, cette défense passe par la construction des revendications et de la lutte avec l’ensemble des collègues. Dans les départements et l’académie, les militants ont travaillé pour informer, débattre et défendre les établis-sements, les personnels, le service public. Cette défense est toujours passée par une information claire et rapide, des dé-bats ouverts à tous et l’organisation des actions dans l’unité la plus large possible.
Pour tous les titulaires et stagiaires, avec les commissaires paritaires, nous avons veillé à l’équité de traitement dans toutes les opérations de gestion de leur carrière. Au moment des mutations et affectations, nous vérifions chaque proposition de l’Administration et nous cherchons systématiquement à améliorer le sort de tous dans le respect des règles et du barème. A chaque fois que ces conditions n’ont pas été réunies, nous l’avons dénoncé soit dans des déclarations d’ouverture en CAPA soit en boycottant la CAPA.
Nous avons continué à organiser des stages disciplinaires : notamment en enseignements technologiques, langues vivantes, dans le cadre des observatoires du SNES. Nous en avons aussi organisé en direction des TZR, CPE, AED, stagiai-res IUFM et néo-titulaires, … ainsi que des réunions ou stages à destination des collègues de collège et de lycée : réunions dans les établissements censés expérimenter les livrets de compétences, participation à des réunions de bassin sur le sujet, stage lycée sur la réforme Darcos, heures d’information syndicale dans des lycées et des collèges... Nous avons tenu les collègues informés par tous les moyens : bulletins, circulaires, courriers, réunions diverses au SNES ou dans les établissements, site Internet, mails, « actu du SNES », SMS à l’occasion des mutations… Dans les instances paritaires (CTP académique et départementaux, CAEN et CDEN), les représentants du SNES, au sein de la FSU, en liaison avec les secrétaires d’établissement et en tenant compte de leurs observations et arguments, se sont opposés à la réduction des moyens, aux redéploiements, aux suppressions de postes et d’options ils ont dénoncé les nou-velles mesures en faveur de l’éducation prioritaire et l’anticipation dans l’application du décret modifiant les obligations de service que nous rejetons. Il a également porté ses revendications dans les Conseils académiques de la formation conti-nue et des langues vivantes, et a travaillé sur la question du handicap.
En ce qui concerne les TZR, le SNES Clermont, conscient de la forte dégradation de leurs conditions de travail, en a fait une priorité. Il a porté les revendications des TZR dans toutes les instances, obtenu plusieurs audiences auprès de l’administration pour demander des améliorations, tenu des réunions dans chaque département pour faciliter la ren-contre avec les collègues, organisé des stages, appelé à des rassemblements, lancé une pétition qui a recueilli plus de 500 signatures en trois semaines, créé une liste de diffusion TZR… Il a également rencontré plusieurs fois le collectif TZR Auver-gne et a mené des actions communes avec lui. En outre, le SNES a poursuivi son travail d’aide individuelle au quotidien chaque fois qu’un abus lui a été signalé. Il a également mis à disposition des TZR plusieurs outils sur son site académique (trousse d’urgence, fiches TZR, bilan des af-fectations, répartition des TZR par zones…). Le SNES a largement contribué au retour de bonifications spécifiques qui compteront pour le mouvement 2009. Il a contraint le rectorat à accorder dorénavant un rattachement administratif fixe à tous les TZR. Enfin, il a sollicité le secteur juridique du SNES national qui suit actuellement plusieurs dossiers. Intervenant depuis plusieurs années auprès du rectorat sur la question de l’avenir professionnel des TZR d’enseignements technologiques industriels, le SNES Clermont a obtenu que les TZR volontaires pour une reconversion aient une formation d’un an à mi-temps dans un établissement avec une formation disciplinaire (contenus et didactique).
Il a également travaillé sur la question de la prise en charge du handicap (enquête UPI, suivi de la mis en œuvre de la Loi sur le handicap, défense des AVS…)
A l’IUFM, le SNES a obtenu que la prise en charge des classes par les stagiaires à la rentrée soit postérieure à une première journée de formation en son sein. Des militants ont été présents régulièrement afin d’informer et d’accompa-gner les stagiaires dans leurs nouvelles fonctions. Plusieurs réunions ont eu lieu pour parler de la formation, de la carrière, des mutations... Le SNES a également pris part aux différentes actions menées ces derniers mois contre les dangers de la réforme des recrutements et des concours. Une réunion d’information sur l’avenir de la formation des maîtres est prévue en avril à l’attention des étudiants, stagiaires et non-titulaires. Quant aux stagiaires en situation, nos interventions auprès de la direction de l’IUFM ont permis de mettre fin à certains abus en terme de formation. Enfin, le SNES s’est beaucoup investi dans les élections au conseil d’école que la liste FSU vient de remporter.
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D'une année à l'autre, les attaques contre nos collègues non-titulaires aggravent encore plus leur précarité. Nous assu-rons quotidiennement notre devoir d'information, d'aide et de soutien auprès d'eux. Encore plus que les titulaires ils sont soumis à des pressions de plus en plus grandes et à des conditions de travail particulièrement difficiles quand ils obtien-nent un réemploi ! Les militants chargés du suivi des questions ont organisé des réunions qui permettent de confronter des situations, échan-ger des expériences et faire connaître nos propositions. Lors des groupes de travail, le SNES a veillé à l'équité et à la transparence des affectations des ex-MA et contractuels en CDI. Il a été particulièrement attentif au maintien de leurs droits. Pour la première fois, grâce au SNES, les précaires de l'Education Nationale ont pu élire, en Décembre, leurs représen-tants aux Commissions Consultatives Paritaires (CPC).
Les conditions pour être électeur ont été plus que restrictives et le vote par correspondance imposé contre l'avis du SNES, n'a pas favorisé la participation malgré nos informations et incitations. Cependant le SNES a obtenu 1 siège sur 2 chez les non-titulaires enseignants, Copsy et CPE et 2 sur 4 chez les personnels de surveillance. Le SNES sera vigilant pour que ces nouveaux élus puissent exercer leur mandat dans les meilleures conditions pour la défense de tous les personnels qu'ils représentent. Il faut poursuivre et intensifier notre travail avec et en direction des personnels précaires de l’académie.
Au travers de la fédération beaucoup de militants du SNES participent à la vie du Réseau Education Sans Frontière en particulier en parrainant des familles de sans papiers. Ainsi des militants du SNES les accompagnent jour après jour dans leurs démarches administratives et dans leurs difficultés quotidiennes qu’elles soient d’ordres juridiques, matérielless, fi-nancières ou tout simplement pour vaincre leur isolement et les aider à vivre comme tout citoyen en a le droit. Le SNES Clermont a soutenu financièrement RESF, a appelé les collègues à participer aux parrainages organisés dans le Puy de Dôme et à se joindre aux manifestations dans l’académie pour la défense des sans-papiers Le SNES Clermont s’élève contre la multiplication des poursuites judiciaires et des tentatives d’intimidation à l’encontre des personnes ayant manifesté leur solidarité avec les étrangers victimes de l’application de la politique actuelle. Il exige des autorités françaises de respecter les droits fondamentaux et la dignité humaine en matière d’immigration et d’a-sile. De manière plus large il s’oppose à toute criminalisation de l’activité syndicale.
Il a développé ses réseaux d’information des collègues au travers des bulletins, des listes de diffusion, des mails régulière-ment envoyés aux syndiqués, de l’« actu du SNES Clermont », de son site académique. Nous avons également multiplié les travaux d’analyse des résultats d’affectation, de notations, de promotions pour informer les collègues mais aussi mieux argumenter face à l’administration. Dans tous les secteurs, le SNES a été présent, à l’écoute de l’ensemble des syndiqués, conformément à sa conception d’un syndicat majoritaire. Il a recherché toutes les fois qu’il le fallait, l’Unité d’Action la plus large possible pour mettre en place les luttes. Lors des CA académiques ou d’autres réunions, le secrétariat a toujours été attentif aux débats et aux différences d’ap-préciation sur l’actualité et les modalités d’action dans le souci d’arriver à une orientation académique la plus largement partagée. Nous avons été porteurs de toutes les préoccupations de notre Académie dans toutes les instances nationales apportant notre contribution à la construction des revendications et des modalités d’action avec l’ensemble des représentants des autres Académies et des militants nationaux.
ELECTIONS PROFESSIONNELLES : LE SNES MAJORITAIRE
Malgré un léger tassement (- 0,28% des suffrages exprimés), le SNES est toujours largement majoritaire dans l’académie (45,5 % des voix), la deuxième organisation, le SNALC, ayant obtenu 13,22% des voix. Les résultats montrent une certaine stabilité des organisations qui présentaient des listes académiques. Les personnels ont donc ainsi largement renouvelé leur confiance dans le SNES en collège comme en lycée et dans toutes les catégories de personnels.
ACTION MILITANTE : RAJEUNISSEMENT DE LA SECTION
Pour faire face à ses multiples tâches syndicales, la section académique dispose de 6,3 décharges de service, réparties sur 29 militantes et militants entre le S3 et les sections départementales. Personne ne dispose de décharge complète. Tous les collègues ont un service d’enseignement ou d’éducation. Nous avons accueilli de nouvelles et nouveaux collègues militants depuis le dernier congrès, ce qui est très positif. De nou-veaux collègues prendront des responsabilités l’an prochain. Ce travail collectif, que nous entendons poursuivre, doit être amplifié avec tous ceux qui sont prêts à s’engager dans une démarche collective, solidaire et unificatrice pour un SNES toujours plus efficace, déterminé et à l’écoute de ceux qui lui accordent leur confiance.
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Appel Unité et Action et sans tendance à voter Appel Unité et Action et sans tendance à voter pour le rapport d'activité et pour le rapport financierpour le rapport d'activité et pour le rapport financier
L ’Education Nationale a dû faire face, ces dernières années, à une avalanche de
« réformes » guidées non seulement par l’obsession de supprimer des postes, mais aussi
par une conception rétrograde de l’Ecole. L’autoritarisme et le mépris du ministre et du
président pour les personnels de l’Education ont été une constante de cette période.
Dans ce contexte, le SNES a su mobiliser la profession, ce qui a obligé le gouvernement
à reculer, en particulier sur la réforme des lycées et sur celle des concours de recrute-
ment. Le SNES a puissamment contribué à construire un rapport de force en initiant un
front syndical unitaire sans exclusive, en renforçant les liens avec les syndicats lycéens et
étudiants, en organisant et proposant des actions dans un cadre unitaire élargi (lycéens,
étudiants, parents, associations complémentaires et disciplinaires…). Avec la FSU, il a
été force de propositions dans les intersyndicales éducation, fonction publique, interpro-
fessionnelles notamment en participant aux actions de défense et de développement des
Services Publics.
Dans les départements de l’académie, les militants du SNES ont continué leur travail de
défense des personnels et du Service Public d’éducation, en allant à la rencontre des col-
lègues dans les établissements et aussi en intervenant dans les instances paritaires. Le se-
crétariat académique a toujours privilégié une information claire et rapide, a organisé des
réunions et des débats ouverts à tous et recherché l’organisation des actions et de la lutte
dans l’unité la plus large.
Nous comptons bien poursuivre et amplifier ce travail en améliorant le rapport de force
dans le cadre d’un syndicalisme de défense des personnels et de transformation sociale,
unitaire et indépendant, à la fois combatif et porteur de propositions que les militants
d’Unité et Action élaborent au quotidien.
Nous vous appelons à nous renouveler votre confiance en votant Nous vous appelons à nous renouveler votre confiance en votant et faisant voter pour les rapports d’activité et financieret faisant voter pour les rapports d’activité et financier !!
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Pour un SNES plus offensif et plus fédéral
pour gagner TOUS ENSEMBLE !
A la lecture du rapport d’activité académique d’UetA, on est frappé par le décalage entre l’ampleur de l’activité syndi-
cale et le peu de victoires déterminantes face à la politique de destruction de l’école publique. On est frappé aussi de
l’absence totale de jugement critique sur l'orientation et l’activité conduites au plan national par UetA.
La stratégie de la direction nationale d'UetA s'est pourtant avérée perdante sur pratiquement tous les tableaux :
perte de représentativité aux élections professionnelles, détérioration des salaires et des conditions d'emploi et de tra-
vail, arrogance accrue de l'administration et des petits chefs, mépris affiché vis à vis des personnels, baisse du nom-
bre de syndiqués. La question qui se pose est donc simple : faut-il continuer dans cette voie et subir ou faut-il repren-
dre l'offensive et construire ensemble une autre stratégie, plus ouverte aux critiques et propositions de la base et sur-
tout plus déterminée ?
Sans remettre en cause l’activité des militants, à laquelle nous apportons une contribution déterminante dans
plusieurs secteurs, nous constatons que ce rapport élude en fait les problèmes et ne met à aucun moment l'accent sur
les vraies priorités : la construction d'un large mouvement dans l'éducation Nationale et dans la Fonction Publi-que, un mouvement déterminé avec des mots d'ordre clairs, le tout dans un cadre qui permette un réel débat sur les
formes d'action à envisager pour gagner.
La direction UetA du SNES a au contraire, soit favorisé des actions parcellisées sans gain pour la profession,
soit privilégié la succession des journées de grève de 24 h diluées dans le temps et laissant penser que, face à ce gou-
vernement, une seule grève réussie permettrait de participer au « fameux dialogue » social.
Pendant ces deux années, le SNES est donc entré de plain pied dans ce « dialogue social », et un double lan-
gage confus et coupable, donnant le sentiment d'un grand écart permanent entre des dénonciations générales et une
pratique de négociations sous le manteau. Il a trop souvent préféré être un partenaire « fréquentable » qu'un instru-
ment de lutte au service des collègues : ce fut le cas avec la réforme des lycées pour laquelle UetA expliquait qu'il
fallait mieux sauver quelques miettes que d'appeler les collègues, pourtant engagés dans les mobilisations du mois de
mai et juin, à étendre le mouvement pour rejeter ce projet. Pire, au lieu de concentrer l'énergie des militants sur la
construction du rapport de force, au côté des lycéens, le SNES signait avec le Ministre les 16 points de convergence,
et ce sans débat avec la profession, sifflant de fait le coup d'arrêt des mobilisations enseignantes refusant les suppres-
sions massives des postes. Sans mettre aucun préalable sur le rétablissement des postes supprimés ou sur la titularisa-
tion des personnels précaires, la direction UetA du SNES laissait croire à la possibilité d'une réforme progressiste
avec ce ministre et ce gouvernement. D'emblée l'Ecole Emancipée s'est opposée à cette signature. C'est ensuite très
tardivement, trop tardivement, et sous la pression des collègues que le SNES a quitté les « discussions » ouvrant enfin
la voie à une mobilisation qui rejoignant celle de la jeunesse a contribué au recul du ministre, mais pas encore à
l'abandon de sa réforme.
Avec la mastérisation, les UetA nous rejouent la même partition en misant tout sur un hypothétique dialogue
autour d'une non moins hypothétique « revalorisation » pour quelques uns: De fait, les directions nationale et acadé-
mique UetA du Snes empêchent la jonction de se faire entre les mobilisations du primaire, du secondaire et du supé-
rieur en lien avec les organisations de parents d'élèves. Aujourd'hui le supérieur se bat seul depuis plusieurs semaines
et les Snes est très en retrait des revendications portées par les AG des étudiants et des personnels du Supérieur se
contenant de demander le report et non le retrait d'une réforme aux effets dévastateurs.
Pourtant les collègues continuent à participer en masse aux grèves et manifestations, à descendre dans la rue
même si beaucoup doutent de l'efficacité de la technique de lutte des 24 h. C'est la preuve qu'il est possible d'engager
des actions plus vastes, plus offensives!
Il faut donc rompre avec la stratégie d'action de la majorité UetA soutenue par le secrétariat académique. L'outil
syndical ne peut se contenter d'accompagner en protestant les reculs et les défaites dans l'espoir bien vain de limiter
les dégâts. L'énergie des militants doit être utilisée à construire l'unité et la convergence des luttes de façon claire, à
se réinvestir dans les AG qui ces dernières années se sont développées bien souvent sans le Snes, bref à s'engager à
fond dans la construction d'un « tous ensemble » de la maternelle à l'université et avec l'ensemble des secteurs en
lutte.
Pour ces raisons, les militants d'Ecole Emancipée et sans tendance appellent à ne pas approuver ce rapport d'activité académique.
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FRONT UNIQUE Pour le retrait de la réforme des lycées Pour le retrait de la réforme des concours
Non au rapport d’activité
En décembre 2008, les enseignants, les lycéens ont lutté pour obtenir le retrait de la réforme Darcos des
lycées. Ce mouvement d’ampleur, qui a contraint le gouvernement à manœuvrer en recul, avait pu prendre appuis
sur le fait que la direction nationale du SNES avait dû quitter la commission Gaudemar, qui avait pour but de
mettre en place cette réforme. Le fait que la direction de notre syndicat ait exigé non pas le retrait, mais le report
de la réforme a permis au gouvernement de sauver l’essentiel. Mais il faut aller plus loin dans le passé.
En juin 2008, le gouvernement signe avec le SNES, le texte des « 16 points de convergence sur la ré-
forme des lycées ». Ce texte contient en germe toutes les attaques de la future réforme : autonomie des établisse-
ments, semestrialisation pouvant aller jusqu’à l’annualisation des services, modularité des enseignements. Cette
signature est un succès pour le gouvernement : la direction de notre organisation syndicale, l’organisation tradi-
tionnelle des enseignants, lui délivre un blanc-seing. C’est appuyé sur cette signature que Darcos peut lancer les
discussions sur sa réforme dont le but est clair : supprimer des milliers de postes, liquider l’enseignement se-
condaire public.
Hier Gaudemar, aujourd’hui Descoings, nul ne peut être naïf au point de penser que le fond de la réforme
sera différent : Descoings, en effet, entend repartir… des « 16 points de convergence » ! La concertation
« Darcos-Descoings » n’est donc qu’une manœuvre pour faire passer demain la même réforme que les ensei-
gnants et les lycéens ont massivement rejetée. La preuve en est que Darcos tente d’organiser actuellement des
« expérimentations » de sa réforme, expérimentations rejetées par les enseignants, comme par exemple au lycée
Virlogeux, à Riom, où 98 enseignants, s’appuyant sur la mobilisation de décembre, ont signé un texte indiquant
leur « refus de toute expérimentation même partielle de la réforme des lycées de Darcos ».
Aujourd’hui encore la direction du SNES fait des phrases sur l’expérimentation, mais ne s’adresse ni au
ministre, ni, localement, au recteur, pour exiger clairement l’annulation des expérimentations comme l’a deman-
dé en bureau académique la tendance Front Unique, laissant ainsi les enseignants seuls, lycée par lycée, s’en dé-
brouiller, avec pour résultat la mise en place de l’expérimentation dans plusieurs établissements à la rentrée.
Le mot d’ordre des enseignants c’est aujourd’hui : retrait définitif de la réforme des lycées, et non pas
son report, ni l’ouverture d’une nouvelle concertation !
Le gouvernement s’attaque à nos statuts aussi par la réforme des concours, qui transforme les oraux en
entretien d’embauche, où le candidat doit montrer sa « connaissance des valeurs du système éducatif » devant un
jury composé de membres de la direction de l’éducation nationale ! Ce projet supprime le stage pour les admis au
concours, et les envoie quasiment à temps complet devant les élèves dès la première année, permettant ainsi d’é-
conomiser 9000 postes !
Le mot d’ordre des enseignants c’est : retrait de la réforme des concours !
La direction académique a, sur tous les autres points, soutenu systématiquement la direction nationale. Et
depuis deux ans, cela s’est conjugué à une diminution des possibilités de débat dans l’organisation syndicale, au
niveau académique : diminution du nombre de CA académiques dans l’année, réduction du temps de discussion
dans ces CA à une demi-journée. Stopper la désyndicalisation, redonner vie aux sections d’établissement suppose un changement radical d’orientation. Cela suppose aussi le rétablissement d’une vie démocratique du syndicat (fonctionnement des CA, tribune de discussion dans le bulletin académique, etc.)
Pour toutes ces raisons, nous appelons à voter
contre le rapport d’activité.
Aujourd’hui encore, la direction du SNES refuse de dénoncer la signature des « points de conver-
gence ». A l’échelle académique, le secrétariat académique a soutenu les points de convergence à l’encontre
de la position de syndiqués de toute tendance y compris de la tendance majoritaire Unité et Action.
Nous nous étions certes félicités de la prise de position unanime du congrès académique à cet égard. Mais
nous ne pouvons que regretter que les délégués de la tendance majoritaire au congrès national aient renoncé
à défendre cette position.
10
Rassembler, débattre, proposer et lutter dans l’unité
UA et sans tendance sollicite de nouveau votre confiance. Elle exerce depuis plusieurs années, de par le choix large-
ment majoritaire des syndiqués, la responsabilité des directions académique et nationale du SNES.
Pour un SNES qui rassemble pour la défense de l’Ecole et la valorisation des métiers de l’Education, UA et sans ten-
dance entend continuer à construire la cohérence indispensable entre la défense de l’école et celle de ses personnels,
et construire des propositions dans tous les secteurs de l’Education et de la fonction publique.
La politique de démantèlement des services publics notamment de l’Ecole, s’est poursuivie avec une vigueur renou-
velée depuis l’élection présidentielle. Les batailles syndicales n’ont pas toujours été faciles à mener, dans un
contexte politique très défavorable, avec un gouvernement et un président déterminés. Dans ce contexte, beaucoup
de salariés semblent gagnés par un sentiment d’impuissance, de résignation ou de renoncement qui se traduit par un
degré de mobilisation très hétérogène entre ceux qui pensent que le syndicat « n’en fait pas assez » et ceux qui pen-
sent « qu’il en fait trop ».
Syndicalisme offensif : Pour UA et sans tendance, nous ne pouvons que nous opposer aux orientations actuel-
les et à leurs conséquences. Pour faire reculer ce gouvernement, il est nécessaire de construire des actions massives
dans l’Education et dans les autres secteurs, en recherchant l’unité dans l’action, condition indispensable à la réus-
site. Dans l’académie, le SNES a toujours agi en ce sens, malgré les divisions syndicales. Lorsque les circonstances
l’exigent nous prenons nos responsabilités avec le FSU. Les reculs successifs, certes insuffisants, sur la réforme des
lycées et sur le recrutement, nous engagent à poursuivre dans cette voie.
Syndicalisme qui ouvre des perspectives : Il ne s’agit pas seulement de s’opposer aux « réformes » des-
tructrices du gouvernement, mais aussi de porter nos projets pour améliorer la réussite scolaire des élèves et les
conditions de travail des personnels. La réforme des lycées en est un bon exemple, elle a été combattue par le SNES,
les personnels, les parents et les élèves, et en parallèle, nos propositions ont été débattues, amendées dans nos instan-
ces pour être défendues devant le ministère.
Syndicalisme qui écoute, informe et défend les personnels : pour UA et sans tendance, le SNES doit
rassembler les collègues dans leur diversité et construire les revendications avec eux dans un débat large et démocra-
tique, à partir de ce qu’ils vivent dans leur réalité quotidienne, être à l’écoute de leurs préoccupations et de leurs as-
pirations, redonner sens et espoir aux luttes :
1) stages de formation syndicale, ouverts à tous, qui permettent aux collègues de mieux se défendre au quotidien, de
mieux appréhender les différents projets de réformes et donc de construire des analyses communes dans les instan-
ces nationales du SNES. Ces stages, ainsi que notre présence dans les établissements nous permettent d’être en prise
directe avec la réalité du terrain pour construire avec l’ensemble de le profession des mobilisations qu’elle est prête à
investir.
2) Interventions auprès du rectorat pour défendre aussi bien les cas individuels que les différentes catégories de per-
sonnels : stagiaires, TZR, AED, non- titulaires...Par exemple, pour les TZR, nous avons obtenu une première amé-
lioration sur les bonifications d’ancienneté.
3) Mise en place de listes de diffusion pour une meilleure information et réactivité des collègues.
UA et sans tendance construit sa ligne politique dans la démocratie des débats à l’interne du syndicat, sans à priori ni
dogmatisme ou réponses toutes faites. Bien que majoritaires, nous travaillons sans exclusive et dans le respect des
propositions d’autres courants de pensée comme nous le faisons aussi avec les autres syndicats ou confédérations.
Voter pour la liste UA et sans tendance, c’est :Voter pour la liste UA et sans tendance, c’est :
- Accorder sa confiance à une équipe renouvelée qui restera animée du même esprit de dialogue et de rassemble-ment que l’équipe sortante par, notamment la volonté d’intégration de nouveaux militants - Défendre tous les personnels au quotidien (précaires et titulaires, enseignants, personnels de surveillance, CPE, CO-Psy, actifs et retraités), conjuguant syndicat de services et syndicat de lutte - Réfléchir et faire des propositions sur la conception et les conditions d’exercice de nos métiers - Faire le choix d’un syndicalisme responsable, qui fédère les opinions et les revendications, qui privilégie les ac-tions de masse tout en continuant à explorer, avec les personnels, des formes nouvelles de lutte - Participer à une orientation nationale qui lutte pour le maintien et le développement du service public d’Educa-tion, la démocratisation réelle de l’accès aux savoirs et aux qualifications, le reconquête des droits sociaux et statu-taires, contre les discriminations sociales, raciales et sexuelles -S’investir dans la FSU à tous les niveaux pour créer les dynamiques unitaires indispensables à la réussite des luttes
TEXTE D’ORIENTATION
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Liste UNITE ET ACTION et SANS TENDANCE
LEBRUN Patrick Certifié TZR Electrotechnique Clg Anatole France GERZAT (63)
CLAVEAU Fabien Certifié Espagnol Clg Le Stade COURNON (63)
CHARRIER Sandrine Certifiée Education Musicale Clg Gérard Philipe CLERMONT (63)
BARGOIN Françoise Certifiée Anglais Clg AUBIERE (63)
MORANDAT Camille Certifiée Lettres modernes Lyc de Presles CUSSET (03)
DALLET Danièle Certifiée SVT Clg L. Eynac LE MONASTIER (43)
MEYRONEINC J.Baptiste Agrégé Histoire Géographie Lyc de Hte Auvergne ST -FLOUR (15)
BOULARD Philippe Certifié Physique-Chimie Clg Blaise Pascal CLERMONT (63)
PRESUMEY Vincent Agrégé Histoire Géographie Lyc Banville MOULINS (03)
NEFLOT-BISSUEL J. Louis Certifié Génie mécanique Lyc Ch. et A. Dupuy LE PUY (43)
DELETANG Claude Agrégé Mathématiques Lyc Descartes COURNON (63)
MONTAGNAC Félicité Certifiée SVT Clg E. Guillaumin MOULINS (03)
RALUY Olivier CPE Clg Gérard Philipe CLERMONT (63)
MEYSSONNIER Thierry Certifié TZR Anglais Clg ALLANCHE (15)
VIDALIN Michèle Certifiée Espagnol Lyc Sidoine Apollinaire CLERMONT (63)
BOUTIN Jean-Luc Certifié Philo Lyc Sidoine Apollinaire CLERMONT (63)
BERTRAND Delphine Certifiée TZR Sciences Phys Clg St DIER D'AUVERGNE (63)
JACQUOT Michel Agrégé Génie Mécanique Lyc Jean ZAY THIERS (63)
COTTES Chantal Certifiée Lettres Modernes Lyc Descartes COURNON (63)
FLORIOT Michel Certifié Education Musicale Clg La Ribeyre COURNON (63)
ROBERT René Retraité HAUTE-LOIRE
MARCHAND Thibault Certifié TZR HG Clg CHATELGUYON (63)
PUERTO Michel Agrégé Maths Clg Oradou CLERMONT (63)
GUILLARD LEYS Danielle Agrégée Anglais Lyc Ambroise Brugière CLERMONT (63)
BELLAIGUE Marc Certifié TZR HG Clg St POURCAIN SUR SIOULE (03)
BARNOLA Emilie Certifiée TZR Lettres mod Clg E. Guillaumin MOULINS (03)
GOURC Xavier Certifié Hôtellerie Lyc CHAMALIERES (63)
CARBONI Gaëlle Certifiée TZR Anglais Clg AUBIERE (63)
AUCLAIR Marie-Andrée Agrégée Anglais Lyc Mme de Staël MONTLUCON (03)
MAVEL Jean-Paul Agrégé HG Lyc de Presles CUSSET (03)
CHATELIER-MONDAZ A. Cécile Certifiée Lettres classiques Clg BEAUMONT (63)
GRIGNON Madeleine Retraitée PUY DE DOME
FABIEN Laurent Agrégé Russe Lyc Jeanne d'Arc CLERMONT (63)
DEGOUTE Jean Retraité PUY DE DOME
TRENORAS Valérie Certifiée Espagnol Clg MARTRES DE VEYRE (63)
POURCHET Jean-Yves Certifié Physique-Chimie Lyc La Fayette CLERMONT (63)
LEPINARD Bernard Certifié Génie indus métaux Lyc Paul Contans MONTLUCON (03)
RE Michel Certifié TZR Maths Clg LEZOUX (63)
CHASTANG Michel Agrégé Lettres Classiques Lyc Blaise Pascal CLERMONT (63)
FOUNAUD Valérie Certifiée Documentation Lyc de Hte Auvergne ST-FLOUR (15)
DERVIEUX Isabelle Agrégée SVT Lyc Murat ISSOIRE (63)
HATAB Gérard Retraité ALLIER
FRYSZMAN Sophie Agrégée Economie Gestion Lyc Sidoine Apollinaire CLERMONT (63)
DECOUZON Cécile Directrice CIO CIO THIERS (63)
BARBECOT Solange CPE LP Camille Claudel CLERMONT (63)
VALLENET Claude Retraité PUY DE DOME
BATUT Paul Contractuel Doc Clg JALIGNY SUR BESBRE (03)
THIALLIER Bernard Retraité PUY DE DOME
NOUHEN Michel Certifié Maths Lyc Descartes COURNON (63)
HUBERT Roland Agrégé Maths Lyc Sidoine Apollinaire CLERMONT (63)
12
UNIS ET DETERMINES
POUR GAGNER TOUS ENSEMBLE avec
L'Ecole Emancipée et les sans tendance
Nous ne voulons plus d'un SNES qui perd son temps en discussions stériles dans les cabinets ministériels dans l'espoir, bien vain, d'amender des
textes et des lois inamendables. Nous avons besoin d'un SNES qui écoute et fait sienne la colère de toutes les professions du Second Degré qui
refusent la destruction de leurs statuts et de l'école publique comme la dégradation sans fin des salaires et des conditions de travail. Nous voulons
d'un SNES qui ouvre de réelles perspectives unitaires de lutte.
Ces perspectives existent: Jeudi 19 Mars nous étions trois millions dans la rue pour une mobilisation puissante et combattive qui a rassemblé le public et le privé contre une politique gouvernementale majoritairement rejetée. Les raisons ne manquent pas, de la chasse indigne aux
sans papiers à la casse du code du travail et la RGPP, en passant par la destruction des droits sociaux et du système de santé publique alors que dans
le même temps les milliards pleuvent pour renflouer banquiers profiteurs et grands patrons licencieurs.
Il est temps de reprendre la main. L'exemple récent de la grève générale victorieuse en Guadeloupe montre qu'il est parfaitement possible
de faire reculer le gouvernement à condition d'être unis et déterminés sur des objectifs revendicatifs clairs.
A l’Ecole Emancipée nous revendiquons une orientation du syndicat sans concession face à ce gouvernement:
La Réforme Darcos pour le Lycée, c'est clairement non !
Ajournée sous la pression la Réforme du lycée n'a pas été abandonnée par Darcos qui prévoit de l'expérimenter dés l'an prochain dans cer-
tains établissements. La logique néo libérale de cette réforme est de faire éclater les formations du second degré au profit d’une individualisation
des parcours et d'une mise en concurrence des établissements. La Réforme Darcos c'est la loi LRU des universités appliquée au secondaire. Pas
question de discuter de son application, il faut appeler à la combattre!
La revalo sauce Darcos c'est du vent !
La direction UetA du Snes semble prendre pour argent comptant les déclarations sur l'élévation du niveau de formation des enseignants
pour justifier sa demande de report (ce qui revient à une acceptation honteuse) de la réforme des recrutements alors que le SNES SUP-FSU, la
coordination des universités en lutte, «sauvons la Recherche», les organisations étudiantes et d'autres encore en demandent clairement le retrait.
La tendance majoritaire UetA justifie le maintien du dialogue avec Darcos au nom d'une possible revalorisation. Dans les faits la revalo de
Darcos c'est :
-- le non remplacement d'au moins un enseignant sur trois.
-- l'explosion sans précédent du nombre des précaires et des heures supplémentaires.
-- la division des personnels entre nouveaux recrutés et anciens mais aussi avec tous ceux qu'il prévoit des recruter niveau Master...sans le
concours, cela avec des salaires différenciés pour des personnels qui ont les mêmes missions!
-- un recrutement sur concours revu à la baisse (dans la bouche de Darcos-Pampers cela donne :
« des enseignants moins nombreux et mieux payés».), des modalités d'affectation sur poste à profil, l'obligation de taches administratives ou éduca-
tives supplémentaires.
-- La suppression de la formation professionnelle et un an de salaire gagné pour l'Etat et perdu pour les personnels.
-- POUR une augmentation générale des salaires à hauteur de ce que nous avons perdu en pouvoir d'achat depuis plusieurs décennies. Oui 300
euros pour tous c'est possible et l'argument des caisses vides tombe quand on voit ce qui a été accordé aux banques.
-- POUR le rétablissement de tous les postes supprimés au cours de ces dernières années, la titularisation de tous les personnels précaires, le
maintien et le développement de tous les métiers qu'ils veulent dénaturer ou supprimer (CPE, Co-Psy, Documentation, Assistants Sociaux etc...)
--POUR le retrait de l'ensemble des réformes réactionnaires qui cassent le service public d'éducation de la maternelle à l'université en passant
par le lycée.
--POUR le retrait de la réforme Darcos-Pecresse sur le recrutement et la formation des enseignants qui unit étudiants et personnels du supé-
rieurs et du secondaire.
Nous proposons de mettre ces priorités au centre de l'action syndicale dans notre secteur.
Elles entrent en convergence avec celles des salariés du public mais aussi du privé victimes des vagues sans précédent de licenciements.
L'action unie est possible et attendue. Construisons là sans attendre autrement qu'avec des journées d'action à répétition épuisant et décourageant
les bonnes volontés. C’est seulement par la construction déterminée du rapport de force que nous pourrons gagner et non par l’entrée dans un «
dialogue constructif » avec ce gouvernement de la casse sociale.
Votez et faites votez pour la liste
École Émancipée et sans tendance.
TEXTE D’ORIENTATION
13
AGIER Philippe Enseignant Lycée Jeanne d’Arc. Clermont-Ferrand (63)
ALLAH Alexis Enseignant non titulaire Collège de Saint-Dié (43)
ANDRIEU Christine Enseignante Collège La Ribeyre. Cournon (63)
ARTAUD Géraldine Enseignante Collège d’Audembron. Thiers (63)
BRUNEL Chantal Enseignante Collège d’Audembron. Thiers (63)
COUDERC Sylvie Enseignante Lycée Jeanne d’Arc. Clermont-Ferrand (63)
DADI Valérie Enseignante Collège Louise Michel. Maringues (63)
DESROCHES Bruno Enseignant documentaliste Lycée Jeanne d’Arc. Clermont-Ferrand (63)
ERHARD Catherine AED Collège les Prés. Issoire (63)
JOSSELIN Philippe Enseignant TZR 63
JOSSELIN Sophie Enseignante TZR 63
JOULIA Bruno Enseignant Collège de St-Mamet (15)
FRANCOIS Laurence Enseignante Collège L, Michel. Maringues (63)
LEYRAT Philippe CPE Collège Joliot Curie. Aubière (63)
LIVET Jean-Pierre Enseignant Collège d’Audembron. Thiers (63)
LUCAND Michèle Enseignante Collège M de l’Hospital Riom (63)
MALVAL Alain Enseignant Lycée Jean Zay. Thiers (63)
NELY Christian CPE Collège jules Ferry Aurillac (15)
NICOLAS Béatrice Enseignante Lycée Ambroise Brugière. Clermont-Ferrand
(63)
MOREDA Françoise Enseignante Collège Anatole France. Gerzat (63)
PONCHON Patrick Enseignant Collège d’Audembron. Thiers (63)
RAMADIER Martine Enseignante Collège d’Audembron. Thiers (63)
RIQUELME Francine Enseignante TZR 63
ROBERT Françoise Enseignante Collège la Ribeyre. Cournon (63)
VERGNE Francis Co-Psy CIO Clermont-Ferrand nord
LISTE PRESENTEE PAR L’ECOLE EMANCIPEE ET SANS TENDANCE
A LA CA ACADEMIQUE DE CLERMONT-FERRAND
14
Front Unique : POUR RASSEMBLER UNE FORCE QUI IMPOSE À LA DIRECTION DU SNES : - DE REPRENDRE LES REVENDICATIONS DES PERSONNELS, c'est -à -dire LE RETRAIT DÉFINITIF DES CONTRE- RÉFORMES (LYCÉES ET CONCOURS), - ET DE ROMPRE LES CONCERTATIONS AVEC LE GOUVERNEMENT SUR LEUR MISE EN OEUVRE.
Avec les contre-réformes des lycées et des concours, le gouvernement Sarkozy-Fillon-Darcos a engagé une of-
fensive d'une ampleur sans précédent contre l'enseignement public, ses maîtres et la jeunesse. Offensive qui a pour but
de liquider massivement les postes d'enseignement (9000 pour la seule réforme des concours), de déqualifier les en-
seignants et de casser leur statut en même temps que de détruire les diplômes nationaux, d'appauvrir les contenus en-
seignés pour livrer une jeunesse malléable à la surexploitation patronale. Elle s'inscrit dans un plan d'ensemble visant
à faire payer la crise du capitalisme par les salariés et les jeunes.
Alors que la volonté d'affronter et défaire ce gouvernement est manifeste dans l'ensemble des secteurs de travail
(voir la participation record aux manifestations du 29 janvier et du 19 mars) les directions des syndicats continuent
d'en appeler au dialogue social, l'arme par laquelle le gouvernement réussit dans toutes ses entreprises.
C'est ainsi qu'en juin, la direction du SNES, au nom des enseignants, a osé signer un texte établissant "16 points de convergence" avec le gouvernement sur une "nécessaire" réforme des lycées !!!
Le refus de retirer cette signature ouvre à la reprise du "dialogue" dans la "commission Descoings", qui sert à
Darcos à reprendre les travaux pour l'élaboration de cette réforme sur des bases inchangées. Dès septembre, elle est
mise en place à titre expérimental dans une centaine d'établissements, et de nouveaux programmes de maths (adaptés
aux nouveaux horaires et à la modularité) devraient être opérationnels partout.
De même, sur la réforme de la formation des maîtres, le mouvement des enseignants en Université a contraint le gou-
vernement à annoncer un "report", mais il n'en est rien : dans son courrier du 20 mars, Darcos annonce qu'il faudra
avoir le master pour accéder au concours, il confirme la suppression du stage pour les néo-titulaires, et le maintien des
stages 108 heures payés 3000 euros pour les étudiants en Master 2. .
Cela n'a pas empêché la direction du Snes, devant le congrès national, de prétendre qu'il y avait une avancée, et
d'en prétexter pour faire reculer les délégations des 11 académies qui avaient un mandat clair pour le retrait de la ré-
forme. Et, à peine le congrès avait-il voté "l'abandon" de la dite réforme que les dirigeants du SNES et de la FSU se précipitaient chez Darcos et Pécresse pour entamer une "discussion ouverte" (citation) sur les condi-tions de sa mise en œuvre.
Par le vote Front Unique, les élections académiques permettent d'envoyer un message clair : le combat contre le
gouvernement exige de définir des revendications précises, comme cela s'est fait en Guadeloupe avec les 200 euros
par mois. Pour notre secteur de syndicalisation, c'est l'exigence du retrait des contre- réformes, comme cela a été
formulé par les lycéens en décembre, et plus récemment dans les universités, ainsi que l'arrêt des suppressions de postes, et le rétablissement de ceux supprimés à la rentrée. Sur cette base il n'y a rien à discuter avec Descoings et
Darcos !
Cette orientation pourrait s'inscrire dans le combat pour que se réalise un pacte des organisations ouvrières (partis et syndicats), un véritable "front anti Sarkozy", du type de celui qui constituait le LKP, sur des revendica-
tions qui unissent l'ensemble de salariés : rétablissement du pouvoir d'achat perdu depuis 2000, rétablissement de tous
les postes supprimés dans la Fonction Publique, arrêt des licenciements, retrait des contre- réformes (enseignement,
hôpital, Fonction Publique ...).
VOTEZ, FAITES VOTER FRONT UNIQUE
TEXTE D’ORIENTATION
15
Nom Prénom catégorie discipline établissement FAUGIER Thierry Certifié Russe Lyc. Virlogeux, Riom
ROUGERIE Olivier Certifié Histoire Géo Clg La Charme Clermont
BARATHON Julien Agrégé Histoire Géo Lyc. Virlogeux, Riom
NEULLAS Hélène Certifiée STMS Lyc. Sidoine Apollinaire Clermont
MICHEL Claire Agrégée Philosophie Lyc. Jeanne d’Arc Clermont
GUILLOT Jean Pierre Agrégé Philosophie Lyc. Blaise Pascal Clermont
MICHEL Roland Agrégé Philosophie Lyc. Sidoine Apollinaire Clermont
SEROT Isabelle Certifiée Educ-Musicale Clg Trémonteix Clermont
VOLDOIRE Bernard Agrégé Eco - Gestion Lyc. Sidoine Apollinaire Clermont
HAFIDI SUBIRATS Nathalie Certifiée Espagnol Clg de l’Oradou, Clermont
FIGUE Richard Bi-admissible Lettres Mod.s Clg de Montmarault
GERMA Laurent Agrégé Math. Lyc. Blaise Pascal, Clermont
FESTAS Anne Retraitée Cantal
FAURE - LOISEAU Dominique Agrégée Allemand Lyc. Voie Romaine, Chamalières
SAINTE COLOMBE Claude Certifiée Math. Clg Jeanne d’Arc, Clermont
LAURENT Fabienne Certifiée Lettres Mod.s Lyc. Simone Weil, LE PUY
ROUSSELY Catherine Retraitée Puy de Dôme
HUGUENOT Julie Certifiée Lettres Mod.s Clg Onslow, Lezoux
DUPOUX Odile Agrégée Eco- Gestion Lyc. Sidoine Apollinaire, Clermont
ROUSSELY Jean Louis Retraité Puy de Dôme
PONT Monique Certifiée Philosophie Lyc. Jeanne d’Arc, Clermont
ROCHE Valérie Certifiée Physique Lyc. Sidoine Apollinaire, Clermont
SANS Jacques Certifié. Philosophie Lyc. Virlogeux, Riom
COUESMES Martine Retraitée Puy de Dôme
MEDJKOUNE Sarah Certifiée Lettres Mod.s Lyc. Sidoine Apollinaire, Clermont
BAGGIO Anne Marie Certifiée SVT Lyc. Virlogeux, Riom
GALTIER Isabelle Certifiée Lettres Mod.s Clg La Charme, Clermont
GUILLERMINET Marie Retraitée Puy de Dôme
BODEAU Jacqueline Certifiée Philosophie Lyc. Virlogeux, Riom
BOBY Yvette Certifiée STMS Lyc. Sidoine Apollinaire, Clermont
BERNARD Simone Agrégée Anglais Clg Trémonteix Clermont
TURPIN Catherine Certifiée Philosophie Lyc. Sidoine Apollinaire Clermont
MURET Gisèle Agrégée Anglais Lyc. Jeanne d’Arc Clermont
MITERAN Stéphanie Certifiée Lettres Mod.s Lyc. Virlogeux, Riom
SLAMA Bruno Agrégé Math. Lyc. Sidoine Apollinaire, Clermont
APOSTOLY Isabelle Certifiée Anglais Lyc. Jeanne d’Arc, Clermont
BARRET Marie Paule Certifiée STMS Lyc. Sidoine Apollinaire, Clermont
BUISSON Laurent Certifié. Physique Lyc. Jeanne d’Arc, Clermont
REINEKE Anne Sophie Agrégée Philosophie Lyc. Sidoine Apollinaire, Clermont
QUILLET Julien Certifié Espagnol Lyc. Jeanne d’Arc, Clermont
MERLE Anne Certifiée STMS Lyc. Sidoine Apollinaire, Clermont
CIERGE Claudine Certifiée Espagnol Lyc. Jeanne d’Arc, Clermont
BOBY Jean Michel Certifié STMS Lyc. Sidoine Apollinaire, Clermont
LISTE FRONT UNIQUE A LA C.A.
16
BOULARD Philippe Certifié Phy-Ch Clg Blaise Pascal CLERMONT
DELETANG Claude Agrégé Maths Lycée René Descartes COURNON
BARGOIN Françoise Certifiée Anglais Collège AUBIERE
RALUY Olivier CPE Collège Gérard Philipe CLERMONT
GUILLARD LEYS Danielle Agrégée Anglais Lycée Antoine Brugière CLERMONT
CARBONI Gaëlle Certifiée TZR Anglais Collège AUBIERE (63)
BRUNEL Bertille Retraitée
MARCHAND Thibault Certifié TZR HG Collège CHATELGUYON
DERVIEUX Isabelle Agrégée SVT Lycée Murat ISSOIRE
CHATELIER-MONDAZ Anne -Cécile Certifiée Lettres clas Clg BEAUMONT
RE Michel Certifié TZR Maths Clg LEZOUX
BERTRAND Delphine Certifiée TZR Sciences Phys Clg St DIER D'AUVERGNE (63)
POURCHET Jean-Yves Certifié Phy-Ch Lyc La Fayette CLERMONT
BAFFELEUF Michèle Certifiée Lettres Cl Clg Blaise Pascal CLERMONT
FLORIOT Michel Certifié Educ-Mus Clg La Ribeyre COURNON
TRENORAS Valérie Certifiée Espagnol Clg Martres de Veyre (63)
FRYSZMAN Sophie Agrégée Eco Gestion Lycée Sidoine Apollinaire CLERMONT
GONZALEZ Miguel Retraité
LISTE ECOLE EMANCIPEE ET SANS TENDANCE
AGIER Philippe Enseignant Lycée Jeanne d’Arc. Clermont-Ferrand (63)
ANDRIEU Christine Enseignante Collège La Ribeyre, Cournon
ARTAUD Géraldine Enseignante Collège Audembron, Thiers
COUDERC Sylvie Enseignante Lycée Jeanne d’Arc. Clermont-Ferrand (63)
DADI Valérie Enseignante Collège L Michel, Maringues
DESROCHES Bruno Enseignant documentaliste Lycée Jeanne d’Arc, Clermont-Ferrand
LEYRAT Philippe CPE Collège Joliot Curie, Aubière
LUCAND Michèle Enseignante Collège M de l’Hospital, Riom
MALVAL Alain Enseignante Lycée Jean Zay, Thiers
NICOLAS Béatrice Enseignante Lycée Ambroise Brugière, Clermont-Ferrand
RIQUELME Francine Enseignante TZR 63
ROBERT Françoise Enseignante Collège La Ribeyre, Cournon
VERGNE Francis Co-Psy CIO de Clermont-Ferrand nord
LISTE FRONT UNIQUE
ROUGERIE Olivier Certifié Histoire Géo Clg La Charme, Clermont
BARATHON Julien Agrégé Histoire Géo Lyc. Virlogeux, Riom
SEROT Isabelle Certifiée Education Musicale Clg Trémonteix Clermont
MICHEL Roland Agrégé Philosophie Lyc. Sidoine Apollinaire Clermont
HAFIDI SUBIRATS Nathalie Certifié Espagnol Clg Oradou Clermont
SAINTE COLOMBE Claude Certifié Mathématiques Clg Jeanne d’Arc Clermont
GUILLOT Jean Pierre Agrégé Philosophie Lyc. Blaise Pascal Clermont
FAURE-LOISEAU Dominique Agrégée Allemand Lyc. Voie Romaine Chamalières
ROUSSELY Catherine Retraitée Puy de Dôme
GERMA Laurent Agrégé Mathématiques Lyc. Blaise Pascal, Clermont
HUGUENOT Julie Certifiée Lettres Mod.s Clg Onslow, Lezoux
GALTIER Isabelle Certifiée Lettres Mod.s Clg La Charme, Clermont
VOLDOIRE Bernard Agrégé Economie - gestion Lyc. Sidoine Apollinaire, Clermont
BERNARD Simone Agrégée Anglais Clg Trémonteix, Clermont
FAUGIER Thierry Certifié Russe Lyc. Virlogeux, Riom
SANS Jacques Certifié Philosophie Lyc. Virlogeux, Riom
NEULLAS Hélène Certifiée STMS Lyc. Sidoine Apollinaire, Clermont
PONT Monique Certifiée Philosophie Lyc. Jeanne d’Arc, Clermont
LISTE UNITE ET ACTION ET SANS TENDANCE
ELECTIONS AU BUREAU DU S2 DU PUY-DE-DOME
17
ELECTIONS AU BUREAU DU S2 CANTAL : LISTE D’UNIONELECTIONS AU BUREAU DU S2 CANTAL : LISTE D’UNION
JOULIA Bruno Certifié Collège - SAINT MAMET
NELY Christian CPE Collège Jules Ferry - AURILLAC
LOUBIERE Denis Bi-Admissible Lycée Jean Monnet - AURILLAC
ACHARD Romain Certifié Collège Jeanne de la Treilhe - AURILLAC
MEYRONEINC Jean Baptiste Agrégé Lycée de Haute Auvergne - SAINT FLOUR
FOUNAUD Valérie Certifiée Lycée de Haute Auvergne - SAINT FLOUR
ELECTIONS AU BUREAU DU S2 ALLIER :
LISTE SYNDICALISTE D’UNION
JUGE Joël Agrégé Lycée de Presles CUSSET
MAVEL Jean Paul Agrégé Lycée de Presles CUSSET
MORANDAT Camille Certifiée Lycée de Presles CUSSET
ROUGERON Carmen Certifiée Lycée de Presles CUSSET
PRESUMEY Vincent Agrégé Lycée Banville MOULINS
BATUT Paul Contractuel Collège JALIGNY/BESBRE
AUCLAIR Marie Andrée Agrégée Lycée Mme de Staël – MONTLUCON
HATAB Gérard Retraité
MONTAGNAC Félicité Certifiée Collège E. Guillaumin - MOULIN
GENDRE Gérard Certifié Lycée Jean Monnet - YZEURE
CHANUDET Jacques Certifié Collège Jules Verne - MONTLUCON
CROVISIER Michèle Certifiée Collège Jean Jacques Soulier - MONTLUCON
BEAU Michel Retraité
BRUHAT Henri Retraité
MASSON Patricia Certifiée Lycée Mme de Staël - MONTLUCON
LAZARO Florine Certifiée Lycée Paul Constans - MONTLUCON
ELECTIONS AU BUREAU DU S2 HAUTE LOIRE :
LISTE D’UNION
NEFLOT-BISSUEL Jean Louis Certifié Lycée C. et A. Dupuy - Le Puy
DALLET Danièle Certifiée Collège le Monastier
ROBINET Isabelle Certifiée Collège Le Chambon
ROBERT René Retraité
BOUTON Lionel Certifié Collège Brives Charensac
LUCHETTA Claude Retraité
18
RAPPORT D’ACTIVITE, RAPPORT FINANCIER, CA ACADEMIQUE
���� (Pour les 3 votes sur le Rapport d’activité,
le rapport financier et la CA Académique,
entourez nettement les mentions de votre choix et barrez les autres)
BUREAUX DE S2
*(entourez nettement la liste de votre choix pour votre S2)
BULLETIN DE VOTE
Rapport d’activité
du S3
POUR
CONTRE
ABSTENTION
Rapport financier
du S3
POUR
CONTRE
ABSTENTION
C.A. Académique
Liste Unité et
Action et sans
tendance
Liste Ecole Eman-
cipée et sans ten-
dance
Liste
Front Unique
*PUY-DE-DOME
Liste U&A et
sans tendance
Liste E.E. et
sans tendance
Liste Front
Unique
*ALLIER Liste syndicaliste d’union
*CANTAL Liste d’union
*HAUTE-LOIRE Liste d’union