schema de developpement commercial
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SCHEMA DE DEVELOPPEMENT COMMERCIAL
Elaboration des matrices Accompagnement Janvier 2006
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
SOMMAIRE
PARTIE I AVANT PROPOS MÉTHODOLOGIQUE 3
PARTIE II L’ANALYSE DES PÔLES 20
I. POLE RÉGIONAL : BMO* 25 BREST METROPOLE OCEANE 26
II. POLE DEPARTEMENTAL : QUIMPER 34 QUIMPER 35
III. PÔLE MAJEUR : MORLAIX 40 MORLAIX 41
IV. PÔLES RELAIS 45 CARHAIX 46 QUIMPERLE/MELLAC 49 CONCARNEAU CORNOUAILLE 53 LANDERNEAU-DAOULAS 58 PONT L’ABBÉ 62 DOUARNENEZ 66 LESNEVEN 70
V. PÔLES SECONDAIRES 74 SAINT RENAN 75 LANDIVISIAU 78 SAINT POL DE LEON 82 CHATEAULIN 86
VI. PÔLES DE PROXIMITE 90 AUDIERNE/PLOUHINEC 91 FOUESNANT 95 PLABENNEC ET LANNILIS/PLOUGUERNEAU (PAYS DES ABERS) 99 CROZON 102 CHATEAUNEUF-DU-FAOU 106 PLOUESCAT 109 PLOUDALMEZEAU 112 SYNTHÈSE DES INDICATEURS PAR POLE 115
PARTIE III L’ANALYSE DU SECTEUR HOTELIER 117 I. LA DESSERTE HOTELIÈRE EN FINISTERE 118 II. LE POIDS D’HÔTELLERIE DANS L’HÉBERGEMENT MARCHAND 120 III. OPPORTUNITÉS DE DÉVELOPPEMENT DE L’OFFRE HÔTELIÈRE 121
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
PARTIE I AVANT PROPOS MÉTHODOLOGIQUE
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I. LES OBJECTIFS DE L'ETUDE
Le cadre de la réflexion
Dans le cadre de l’ODEC, la réflexion que nous vous proposons vise à visualiser les potentialités et les besoins de croissance du tissu commercial du Finistère. Après une analyse fine des données fournies par la DDCCRF (Tissu commercial de plus de 300 m²), les Chambres de Commerce et d’Industrie (Observatoire de la consommation) et l’intégration des potentiels de marché, nous vous proposons de bâtir pour chaque pôle commercial finistérien une matrice synoptique de lecture et d’analyse des projets. Il s’agit ici de décliner sur l’ensemble des territoires, la méthode conceptualisée sur le territoire de la CCI de Quimper Cornouaille. Cette méthode permet de définir l’armature commerciale optimale à 5 ans en respectant quatre principes :
Améliorer le service commercial de proximité et mieux
répondre aux besoins des consommateurs.
Maîtriser les équilibres entre le développement des périphéries et le maintien de cœur de ville attractifs sur les pôles structurants du territoire.
Maîtriser les équilibres entre les pôles majeurs, les pôles importants ou intermédiaires, les pôles relais et les pôles de proximité.
Conforter les entreprises commerciales du territoire dans leur développement en leur donnant une vraie lisibilité quant aux mutations commerciales du territoire.
Le territoire d’analyse
A l’image du travail mené en Cornouaille, l’étude va concerner d’abord les pôles commerciaux structurants du Finistère et par extension leur territoire communautaire. Notre analyse portera ainsi les pôles majeurs, les pôles importants ou intermédiaires, les pôles relais et les pôles de proximité finistériens tels qu’ils peuvent être envisagés ci-après :
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Pour l’arrondissement de Brest
− Pôle régional "Unité urbaine de Brest",
− Pôles intermédiaires de Lesneven et Landerneau,
− Pôles secondaires de Châteaulin, Saint Renan et Crozon,
− Pôles de proximité de Plabennec, Lannilis-Plouguerneau et Ploudalmézeau.
Pour l’arrondissement de Morlaix
− Pôle majeur de "Morlaix-Saint Martin des Champs-Plourin les Morlaix",
− Pôle important de Carhaix,
− Pôles relais de Landivisiau et Saint Pol de Léon,
− Pôles de proximité de Châteauneuf du Faou, Plougasnou et Plouescat.
Pour l’arrondissement de Quimper
− Pôle majeur de Quimper,
− Pôles relais de Quimperlé, Concarneau, Pont l’Abbé, Douarnenez,
− Pôles de proximité de Audierne-Plouhinec et Fouesnant.
A ce titre, la démarche permettra aussi d’uniformiser l’appellation des pôles entre les arrondissement en fonction de leur vocation commerciale.
Les objectifs de l’étude
Pour chacun de ces pôles et leur territoire communautaire, nous renseignerons une série d’indicateurs permettant d’apprécier les marges de croissance de l’offre commerciale de plus de 300 m² et les équilibres à préserver au regard d’une réflexion prospective.
Pour les pôles du Pays de Cornouaille, notre mission consistera
en une mise à jour simple des matrices déjà renseignées en 2003 afin de tenir compte des autorisations récemment accordées en CDEC.
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Pour les pôles du Nord faisant l’objet d’une charte actuelle ou en cours de signature (CU de Brest, Morlaix, Carhaix, Lesneven, Landerneau, Saint Renan, Ploudalmézeau, Plabennec, Lannilis-Plouguerneau), notre intervention visera à s’intégrer dans cette logique tout en complétant les informations disponibles par des investigation complémentaires.
Pour les pôles ne disposant pas de charte et ayant fait l’objet d’une analyse dans le cadre de l’Odesca (Plouescat, Saint Pol de Léon, Landivisiau, Châteauneuf du Faou) permettant de ressortir les indicateurs-clé nécessaires, notre mission consistera à un travail de synthèse et d’agrégation des informations.
Pour le pôle de Crozon (n’entrant dans aucune des catégories précédentes), nous proposerons une analyse plus approfondie afin de cerner précisément la situation commerciale du pôle et du territoire communautaire environnant.
L’objectif final réside dans la proposition d’axes de développement permettant l’adaptation quantitative de l’offre au potentiel de consommation et de mesures de rééquilibrage nécessaires entre les pôles.
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II. SOURCES D’INFORMATION Les données statistiques utilisées pour l'analyse préalable et la constitution des matrices sont issues :
Pour l'analyse de l'offre commerciale de plus de 300 m²
− Du recensement DDCCRF 29 en date de mai 2004 et validé par l'ODEC le 218 mai 2004 pour les surfaces ouvertes.
− D'un complément d'informations fourni par la DDCCRF 29
concernant les surfaces autorisées par la CDEC et non réalisées arrêté entre novembre 2002 et novembre 2004 (chiffres arrêtés au 8 novembre 2004).
Pour l'analyse de l'offre commerciale de moins de 300 m²
− Fichiers consulaires fournis par les Chambres de Commerce et d'Industrie de Brest, Morlaix, Quimper-Cornouaille et la Chambre de Métiers du Finistère.
Pour l'analyse de l'hôtellerie
− Statistiques issues du recensement DDCCRF 29 pour les hôtels de 30 chambres et plus complétés par le recensement CDT Finistère et Syndicat de l'hôtellerie (saison 2004).
Pour l'analyse des flux de consommation
− Résultats de l'Observatoire du Commerce et de la consommation de la Chambre de Commerce et d'Industrie 29 - édition 2001. Il est à noter que l'influence des points de vente ouverts depuis le printemps 2001 sur la consommation n'a pas pu être mesurée. C'est pourquoi les commentaires accompagnant les matrices d'analyses soulignent, le cas échéant, les précautions d'usage.
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III. METHODOLOGIE DE LECTURE DES MATRICES
L’analyse de la structuration commerciale actuelle de chaque pôle en GMS ainsi que les perspectives d’évolutions sont synthétisées dans une matrice qu’il conviendra de lire en tenant compte des préalables suivants :
1. Les secteurs de consommation (en colonne)
Les GMS sont étudiées en fonctions de 8 grands secteurs de consommation regroupant les activités suivantes :
L’alimentaire : l’ensemble des grandes surfaces alimentaires (hypermarché, supermarché, supérette, hard discount, cave à vin, produits surgelés, produits biologiques, produits spécialisés alimentaires). Par souci d’objectivité, toutes les surfaces au seuil des 299 m² (principalement présentes dans le secteur du discount alimentaire) ont été intégrées dans l’analyse.
L’équipement de la personne : vêtements, chaussures,
puériculture, dépôt vente de vêtement, grands magasins (Printemps, Galerie Lafayette…).
Sport : équipements et vêtements de sport.
Bricolage : magasins de bricolage, bricolage lourds,
revêtements murs et sols, quincailleries.
Jardinage : jardineries, libre service agricole.
Electroménager : magasins spécialisés en électroménager, hifi, vidéo.
Meubles décoration : magasins de l’équipement du foyer,
luminaires, meubles, dépôt vente, biens d’occasion, équipement ménager, décoration.
Culture-loisirs : magasins de jeux, jouets, livres, disques, DVD,
informatique, articles de bureaux, nautisme-pêche, chasse, animalerie, instruments de musique, motoculture de plaisance, motos, caravanes, camping-cars.
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2. Les zones de chalandise
Elles sont définies à partir des résultats de l'Observatoire du Commerce et de la Consommation réalisés par la Chambre de Commerce et d'Industrie 29. Le poids en population de la zone de chalandise indiquée en haut à gauche de chaque matrice est calculé sur les zones primaire, secondaire et tertiaire (voire quaternaire dans certains cas). Nous avons retenu ici les zones de chalandise tous produits selon le principe suivant :
Zone primaire Toute commune dont les habitants réalisent plus de 74% des achats sur le pôle analysé
Zone secondaire
Toute commune dont les habitants réalisent entre plus de 34% et moins de 74% de leurs achats sur le pôle analysé
Zone tertiaire
Toute commune dont les habitants réalisent entre 5% et moins de 34% de leurs achats sur le pôle analysé
3. Evolutions de population et consommation
La réflexion conduisant à l'élaboration du schéma départemental porte sur la vision prospective de l'avenir du tissu commercial à 3, voire 5 ans. Sur cette période, les scénarii INSEE sur les évolutions de population tablent sur une croissance maximale sur le département de moins de 2% sur la période de référence pour l'analyse prospective. Cette évolution démographique ne représente pas les caractéristiques d'un phénomène structurant pouvant modifier lourdement l'état de la demande locale. De ce fait, l'analyse porte sur un équivalent-population constant. Par contre, quatre mutations durables de consommation sont intégrées à la réflexion et influent sur la structure commerciale :
La tendance à la rurbanisation de l'habitat des ménages finistériens. Elle se traduit par la croissance forte des potentiels de marché des pôles secondaires et de proximité situés à moins de 20 minutes d'un pôle régional ou départemental (Plabennec, Saint Renan… pour Brest, Fouesnant pour Quimper, Landivisiau pour Morlaix). Cette tendance se traduit par une nécessaire adaptation quantitative (surface et diversité) et qualitative de l'offre commerciale sur ces pôles.
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La croissance des dépenses liées à l'habitat. A ce titre même si la demande quantitative reste stable (nombre de ménages), la propension à consommer croit (dépenses moyennes par foyer) se traduisant par des besoins de structuration accrues de l'offre commerciale. Les secteurs du bricolage, du jardin et à un degré moindre meubles-décorations nécessitent ainsi des marges de développement plus larges. Dans le même temps, une nouvelle segmentation apparaît entre bricolage-jardinage de proximité (petits travaux) et le bricolage-jardinage impliquant (gros travaux et décoration). Cette nouvelle tendance fait apparaître des opportunités de développement d'offre de proximité sur les pôles les moins structurés en complément d'une offre d'enseigne plus innovante sur les pôles relais, majeurs, départementaux et régionaux. Cette croissance est aussi stimulée par l'augmentation, à population constante, du nombre de foyers liée à la fois à la mono-parentalité, à l'allongement de la durée de vie… A population constante les dépenses d'équipement augmentent en rapport avec le nombre de foyers ou unité de consommation.
Le renforcement du commerce de flux stimulé par la mobilité forte des ménages (accélération des migrations journalières) qui accélère la tendance à la périphérisation des activités en plaçant le triptyque "visibilité-accessibilité-stationnement" comme clé de la réussite commerciale. Cette tendance naturelle souligne l'importance d'une démarche volontariste pour continuer à positionner les pôles de centralité comme lieux commerciaux incontournables.
Les mutations de l'offre pour soutenir des développements sur des marchés à maturité. L'ensemble des marchés étudiés dans ce schéma se situent dans une phase de maturité, c'est à dire avec des croissances réduites. Aujourd'hui, penser le commerce de demain ne réside pas uniquement dans la proposition de nouvelles offres ou de nouveaux produits mais plus dans la proposition de nouveaux concepts marchands. Des concepts conçus pour associer shopping-plaisir, détente-découverte. Cette nouvelle tendance va faire évoluer les besoins d'espace des enseignes et nécessiter de repenser les zones commerciales dans une dynamique qualitative plus marquée (confort d'achat, intégration environnementale). Les pôles régionaux et départementaux sont aujourd'hui directement concernés par cette mutation.
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L'efficacité de la spécialisation sur les évasions Si les hypermarchés ont un rôle important sur les flux de consommateurs, ils ne constituent pas, pour un pôle, les seuls remparts contre les évasions. La stratégie de généraliste représentée par les hypermarchés trouve aujourd'hui ses limites. Ainsi pour un pôle, la structuration d'une enseigne spécialisée sur les secteurs des biens culturels, de l'électroménager, de la décoration ou du prêt-à-porter aura toujours plus d'effet sur les évasions que la même surface intégrée à un hypermarché. Les raisons : légitimité de l'enseigne, puissance de marque. Outre cet effet sur les consommateurs, la stratégie de spécialiste permet une meilleure connaissance et maîtrise des mètres carrés accordés.
4. Les densités en GMS Les densités en GMS pour chaque secteur d’activité sont calculées sur la population présente sur les zones primaire et secondaire du pôle en intégrant l’offre de toutes les communes appartenant à la zone étudiée. L’objectif suivi est ici de rapporter l’offre présente à la population la plus captive à l’offre du pôle en limitant les phénomènes de superposition des zones de chalandises. Ainsi la population des zones primaire et secondaire peut variée de la population totale de la zone de chalandise (indiquée en haut du tableau de la matrice) lorsque le pôle dispose d’une troisième zone de chalandise (cas plus rare pour les pôles de proximité).
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5. Achats et évasions Les données des comportements d’achat sont extraites de l’Observatoire du Commerce de la CCI réalisé en mars 2001 auprès de 4 200 ménages. L’objectif pour chaque pôle commercial étudié est d’apprécier l’adéquation de l’offre commerciale avec les comportements d’achat de la clientèle locale et de définir les potentiels de croissance des GMS en fonction du poids des évasions. Trois indicateurs sont ainsi présentés :
• Achats sur le pôle : part des achats des habitants de la
zone de chalandise effectués auprès des commerces du pôle étudié.
• Achats sur la zone de chalandise : part des achats des habitants de la zone de chalandise effectués auprès des commerces des communes de la zone de chalandise.
• Achats hors zone de chalandise : part des achats des habitants de la zone de chalandise effectués auprès de commerces situés sur des communes en dehors de la zone de chalandise.
6. Marché touristique L’objectif est d’ici d’analyser l’incidence de la fréquentation touristique de la zone de chalandise étudiée sur l’offre commerciale. Pour cela nous rapportons le marché touristique de la clientèle en hébergement marchand et non marchand (résidences saisonnières), sur le marché de la population permanente. Le poids exprimé en pourcentage peut s'appliquer sur la densité commerciale calculée sur la population permanente pour évaluer la véritable adaptation quantitative de l'offre. Les étapes suivantes ont été respectées :
Calcul du marché théorique Le marché théorique a été évalué en fonction du nombre de ménages en 1999, des dépenses commercialisables de 2002 et des indices de consommation 2002.
| Dépenses commercialisables Ces données sont fournies par l'ACFCI (Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d'Industrie) à partir des données de l'INSEE sur la consommation des ménages en 2002. Huit principaux postes sont ici étudiés.
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| Les indices de disparité de consommation L'application des indices de disparité de consommation (IDC) permet d'affiner les dépenses nationales aux particularités locales. Ils sont définis selon l'habitat, le degré d'urbanisation, la catégorie socioprofessionnelle et la région d'appartenance.
Calcul du marché touristique L'objectif est ici d'analyser l'incidence de la fréquentation touristique du Pays de Cornouaille sur l'offre commerciale. Pour cela, nous vous proposons une méthode de calcul permettant d'évaluer le marché touristique en distinguant :
− La consommation des touristes en hébergement marchand (hôtels, meublés, campings, auberges de jeunesse, centres de vacances)
− La consommation des ménages des résidences secondaires
| Consommation des touristes en hébergement marchand Le calcul du marché des touristes en hébergement marchand est issu de trois sources d'information :
− Le nombre de nuitées sur le territoire (source : CDT
du Finistère)
− La capacité d'accueil en hébergement marchand (source : inventaire communal, INSEE 1998)
− Les dépenses moyennes par personne et par jour (sources : enquêtes Cordon 1997)
Pour répartir les achats de biens durables, nous sommes partis de l'hypothèse qu'ils se répartissaient de façon équitable entre :
− L'équipement de la personne (vêtements, chaussures…) : 33%
− La décoration (souvenirs, bibelots…) intégrée en équipement de la maison : 33%
− Le secteur culture loisirs (équipements sportifs, presse, livres…) : 33%
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| Marché des ménages en résidences secondaires A la différence d'un touriste dont les achats se limitent principalement à l'hébergement et à la nourriture, les dépenses d'un ménage en résidence secondaire se rapprochent de ceux d'un résident permanent. La principale différence se limite à sa durée de présence sur le territoire. Nous avons ainsi repris les dépenses commercialisables définies par l'ACFCI auxquelles nous avons appliqué un ratio représentant la durée moyenne de séjour annuel d'un résident secondaire. Ce ratio a été fixé à 1/12 en faisant l'hypothèse que toutes les résidences secondaires étaient occupées en moyenne un mois par an. Seules les dépenses en bricolage et en jardinage ont été calculées en fonction de données spécifiques (Promojardin pour le jardinage et Unibal pour le bricolage). En effet, les ménages possédant une résidence secondaire ont une dépense deux fois plus importante qu'un ménage habituel, en ayant des achats pratiquement équivalents pour leur résidence principale et pour leur résidence secondaire.
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IV. LES INDICATEURS DE DÉVELOPPEMENT Chaque matrice fait apparaître une ligne « indicateur » quantitatif de développement. Elle a pour objectif de fournir à l’ODEC un outil d’appréciation des besoins en structuration commerciale de chaque pôle dans un contexte de complémentarité. Les indicateurs doivent se lire de la façon suivante :
Adaptation quantitative suffisante du tissu actuel aux potentiels de marché. Pas de besoin de structuration prioritaire au risque de déstabilisation de l’offre existante traditionnelle (commerces de moins de 300 m²) ou des pôles environnants. Développement possible pour conforter le pôle dans ses vocations légitimes (cf. vocation des pôles p 16), dans la limite des potentiels de la zone de chalandise et des densités moyennes constatées. Développement possible en respectant des conditions précises détaillées dans le tableau accompagnant chaque matrice (conditions pouvant concerner un lieu d’implantation, un type de commerce ou un positionnement de gamme pour compléter idéalement l’offre existante).
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V. LA CLASSIFICATION DES POLES
1. Référentiel de vocation des pôles L’analyse des perspectives de développement des pôles commerciaux a été menée dans l’objectif d’offrir à chacun des pôles des perspectives de croissances concertées. A ce titre la classification des pôles selon leur vocation commerciale est un préalable primordial. Elle permet de faire en sorte que chaque pôle joue son rôle dans un esprit de complémentarité et sans volonté hégémonique sur les pôles voisins. Cette classification devra permettre de maintenir l’équilibre et de favoriser l’adaptation du tissu aux besoins des consommateurs. A ce titre les matrices suivantes portent prioritairement sur l’adaptation commerciale au potentiel des zones de chalandise primaire ou secondaire.
Classification Pôle Vocation Taille de zone de
chalandise Pôle Régional Brest Pôle référent multi activités
avec un rayonnement régional pour des achats impliquants.
400 000 habitants et plus
Pôle Départemental
Quimper
Pôle référent multi activités avec un rayonnement à caractère départemental privilégié pour des achats impliquants.
Entre 250 000 habitants et 400 000 habitants
Pôle Majeur
Morlaix
Pôle multi activités à rayonnement multi cantonal pour des achats impliquant
Entre 100 000 et 250 000 habitants
Pôles Relais Carhaix Quimperlé Concarneau Landerneau Pont-l'Abbé Douarnenez Lesneven
Pôle multi activités avec un rayonnement multi cantonal
Entre 40 000 habitants et 100 000 habitants
Pôles Secondaires
Saint Renan Landivisiau Saint Pol-de-Léon
Châteaulin
Pôle multi activités alimentaire et non alimentaire de proximité avec un rayonnement cantonal
30 à 40 000 habitants
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Pôle de Proximité
Fouesnant Plabennec Audierne-Plouhinec Crozon Lannilis-Plouguerneau PloudalmézeauChâteauneuf-du-Faou Plouescat
Pôle avec un rayonnement cantonal privilégié pour l’alimentaire et le non alimentaire de proximité (bricolage, jardinage, électroménager).
Entre 10 000 et 30 000 habitants
2. Les objectifs de couverture des besoins Chacun de ces pôles dispose d’une vocation commerciale spécifique favorisant la présence d’une diversité commerciale plus ou moins importante. En fonction des comportements d’achat, nous préconisons pour chacun d’entre eux une emprise « maximum ». En effet, quelle que soit l’évolution de l’offre sur le pôle, plusieurs facteurs maintiendront une part d’évasion incompressible (présence de pôles plus attractifs, migrations quotidiennes domicile-travail, habitude de consommation…). Objectifs de couverture en fonction des pôles commerciaux
Alim. Pers. Sport Brico-lage
Jardi-nage
Electro Meuble déco
CultureLoisirs
Pôle régional 95% 95% 95% 95% 95% 95% 95% 95% Pôle départemental
95% 90% 90% 95% 95% 90% 90% 90%
Pôle majeur 90% 80% 80% 90% 90% 80% 80% 80% Pôles relais 85% 60% 60% 80% 80% 50% 70% 50% Pôles secondaires
80% 50% 50% 60% 60% 40% 40% 40%
Pôles de proximité
80% 40% 40% 60% 60% 30% 30% 30%
La réalité de ces objectifs de couverture des besoins a été validée depuis 1986 régulièrement par notre cabinet. Un travail d'observation de 18 ans a permis de fixer ces objectifs au regard de situations réellement analysées.
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
Potentiels des principaux pôles commerciaux
Marché potentiel sur la zone primaire et secondaire
Marché potentiel sur l’ensemble de la zone de chalandise
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Classification des principaux pôles commerciaux
Pôles de proximité
Pôle départemental
Pôle régional
Pôles secondaires
Pôles relais
Pôle majeur
Nota :BMO composée de trois pôles d’agglomération, d'un pôlerelais (Plougastel), de pôles de proximité (Guilers,Plouzané, Le Relecq-Kerhuon, Guipavas) et de pôles dequartier (ne faisant pas partie du champ contractueld'analyse).
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
PARTIE II L’ANALYSE DES PÔLES
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II. DONNÉES DE CADRAGE
Avant l’analyse territoriale, des données de cadrage sont à prendre en compte pour comprendre la structuration commerciale du territoire finistérien. Deux indicateurs sont ici analysés :
− La desserte commerciale de première nécessité
− La densité moyenne en grandes et moyennes surfaces sur le Finistère comparativement à d’autres départements.
1. Le tissu commercial de base Cette carte permet de visualiser la capacité de chaque commune à proposer une offre alimentaire de première nécessité et d’analyser le niveau de la desserte commerciale de proximité. On distingue quatre types de communes :
• Les communes disposant d’un supermarché ou de 3 commerces de base (boucherie-charcuterie, boulangerie-pâtisserie, alimentation générale),
• Les communes disposant d’un ou de deux commerces de base,
• Les communes sans commerce de base, mais disposant d’un café ou d’un restaurant,
• Les communes sans aucun commerce de base, ni café ou restaurant.
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
Etat du tissu commercial de première nécessité
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
Ce travail cartographique met aussi en évidence la capacité ou non de l’offre commerciale à répondre aux besoins « premiers » de la population communale.
Une desserte commerciale de base équilibrée et dense :
40% des communes finistériennes disposent d’un tissu commercial de première nécessité complet. Cette situation est particulièrement favorable par rapport à celle observée sur d’autres territoires où ce taux ne passe pas généralement les 34% à 35%. La part des communes disposant d’un tissu incomplet (39%) est en revanche comparable à d’autres territoires. Seules 8 communes ne disposent d’aucun commerce.
8 habitants sur 10 bénéficient d’un tissu complet Cette analyse met en évidence un tissu commercial de base très bien représenté avec 81% des habitants du département disposant d’un tissu complet. La structuration de l’ensemble du Pays est assez homogène malgré une situation plus délicate sur le centre du département. Le maintien de cet excellent niveau de desserte en offre alimentaire de proximité doit s’établir comme un objectif prioritaire en terme de développement commercial.
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
2. Densité en grandes et moyennes surfaces
190
146
197
95
35
88
298
84
138
8152
70
411
189216
83 7248
332
155
77
174
0
57
382
147
193
41
176
89 79
384
192183
84
0
50
100
150
200
250
300
350
400
450
Alimentation Bricolage Jardinage Meubles/électro-
ménager
Textile/chaussures
Solderie Culture-loisirs
FinistèreMorbihanIlle et Vilaine
Côtes d'ArmorFrance hors Paris RP
Une structuration spécifique à la configuration de l’habitat breton Avec 1106 m² pour 1000 habitants, la densité totale de GMS sur le département est supérieur aux département d’Ille et Vilaine (914 m²) mais juste en dessous du Morbihan (1135 m²) et des Côtes d’Armor (1 202 m²) Toutes ces densités bretonnes se positionnent très au dessus de la situation nationale (879 m²). Cette situation s’explique par la spécificité bretonne disposant d’un habitats diffus avec la présence importante de villes moyennes qui bénéficient d’un positionnement commercial fort. Cette structuration se différencie de nombreuses autres régions françaises qui fonctionnent davantage autour d’un pôle ultra structuré avec un tissu rural avec un peu de niveau intermédiaire d’offre. S’ajoute à cela l’influence touristique majeure (2e région touristique française) qui justifie une offre commerciale capable de répondre à la clientèle saisonnière. Cette situation s’observe ainsi sur le Finistère avec un maillage particulièrement important des GMS. 91 communes sur 283 disposent ainsi d’un supermarché, signe d’un aménagement cohérent sans effet de sur-concentration.
Nombre de m² pour 1 000 habitants
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I. POLE RÉGIONAL : BMO*
Vocation apporter un service commercial complet (offre large et profonde) par : − Une offre diversifiée en équipement de la personne et de la maison,
décoration, sport et culture-loisirs.
− Une proposition d’enseignes à notoriété nationale avec des concepts innovants (image métropolitaine).
− Une offre en bricolage, jardinage et électroménager basée sur les enseignes à notoriété forte dont le dimensionnement respecte la légitimité des pôles relais et secondaires sur ces thématiques.
− Une offre alimentaire en lien avec son potentiel d’agglomération en prenant appui sur des grands hypermarchés (10 000 m²) complétée par une offre de proximité (pôles communes ou pôles quartiers)
Objectif de couverture (explication page 16)
Alim. Pers. Sport Bricolage Jardinage Electro. Meubles déco
Culture/Loisirs
95% 95% 95% 95% 95% 95% 95% 95% * Brest Métropole Océane
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Schém
BREST METROPOLE OCEANE
1. Ev de vente Brestsecteen éqloisirs
olution récente des surfaces
a départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
Métropole Océane compte 203 magasins de plus de 300 m² représentant, tous urs confondus, 279 656 m² soit 27% des GMS du département et jusqu’à 30% uipement de la maison, 37% en équipement de la personne et 38% en culture-. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes :
Litrimarché (Brest) Création de 550 m² (mars 2003) Super (Brest) Création de 2000 m² par transfert de 1300 m²
(mars 2003) Antiquité Chinoise (Plougastel Daoulas)
Création de 855 m² (mai 2003)
Joueclub (Brest) Création de 757 m² (juin 2003) Monsieur Meuble (Brest) Extension de 900 m² à 1332 m² (juin 2003) Leclerc (Le Relecq Kerhuon) Extension de 2489 m² à 3200 m² (septembre
2003) Bureau Vallée (Brest) Création de 1200 m² (juin 2003) Kerbio Bio Coop (Brest) Création de 400 m² (octobre 2003) Intermarché (Guipavas) Extension de 2300 m² à 3200 m² (octobre
2003) Rue de Siam (Plougastel-Daoulas)
Extension de 1020 m² à 1875 m² (novembre 2003)
Baobab (Brest) Extension de 4167 m ² à 5987 m² (mars 2004)
Cuisine Schmidt (Brest) Extension de 296 m² à 529 m² (mars 2004) Intersport (Brest) Extension de 500 m² à 1 605 m² (mai 2004) Maxauto (Brest) Création de 390 m² (juin 2004) Auto 3000 (Guilers) Création de 363 m² (août 2004) Darty (Brest) Extension de 1135 m² à 1581 m² (octobre
2004) Jardinerie Stervinou (Gouesnou)
Extension de 4 199 m² à 5932 m² (octobre 2004)
27
Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
3. Répartition de l’offre par pôle
Surfaces de vente en alimentaire et en non alimentaire par pôle de la CU de Brest
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34% de l’offre non alimentaire concentrée sur le pôle
Kergaradec/l’Hermitage L’offre en GMS de BMO reste majoritairement concentrée sur la route de Gouesnou (zone de Kergaradec/l’Hermitage) avec 27% des surfaces de vente et jusqu’à 34% en non alimentaire. Le centre-ville représente le second pôle avec 17% des surfaces de vente dont seulement 16% en alimentaire. La ville de Plougastel-Daoulas se positionne en troisième position juste devant les quartiers de Brest. Ces derniers ont davantage une vocation de proximité et sont constitués à 80% des surfaces de vente alimentaire. Au-delà de l’influence globale de l’agglomération, il est possible de dégager 5 niveaux de pôles :
− Le centre-ville − 3 pôles d’agglomération : Kergadarec/Hermitage, CC Géant,
CC Iroise, − Un pôle relais : Plougastel-Daoulas − 4 pôles de proximité : Guipavas, Le Relecq-Kerhuon,
Plouzané et Guilers. − Les pôles de quartiers
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
II. POLE DEPARTEMENTAL : QUIMPER
Vocation : apporter un service commercial complet (offre large et moyennement profonde) par :
− Une attractivité complémentaire aux pôles relais sur les activités
culturelles, prêt à porter, mobilier et décoration par une politique d’enseigne à forte image.
− Une offre en bricolage, jardinage et électroménager basée sur les enseignes à notoriété forte dont le dimensionnement respecte la légitimité des pôles relais et secondaires sur ces thématiques.
− Une offre alimentaire dimensionnée prioritairement pour ses zones primaire et secondaire
Objectif de couverture (explication page 16)
Alim. Pers. Sport Bricolage Jardinage Electro. Meubles déco
Culture/Loisirs
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
QUIMPER
1. Evolution récente des surfaces de vente Quimper Communauté compte 140 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 183 909 m² soit 18% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Magasin Iroise – remorque
(Quimper) Création de 950 m² (janvier 2002)
Décathlon (Quimper) Création de 2990 m² (janvier 2002) Feu Vert (Quimper) Extension de 350 m² à 412 m² (avril 2002) Joueclub (Quimper) Création de 990 m² (juin 2002) Myrtille –Tissus (Quimper) Création de 575 m² (décembre 2002) A Chacun sa Détente
(Quimper) Extension de 220 m² à 350 m² (Septembre 2002)
Aquafaune (Quimper) Extension de 600 m² à 990 m² (Octobre 2002)
L’Aiglon (Quimper) Extension de 242 m² à 400 m² (décembre 2002)
Espace Mag (Quimper) Création de 900 m² (septembre 2003) Armor Lux (Quimper) Création de 1 500 m² (juin 2003) Netto (Quimper) Création de 900 m² (septembre 2003) Lidl (Quimper) Création de 900 m² (octobre 2003) Logimarché (Pluguffan) Création de 600 m² (octobre 2003) Carrefour (Quimper) Extension de 8 193 m² à 9393 m² (mars
2004) Auto Performance (Quimper) Extension de 1920 m² à 2 850 m² (avril 2004) But (Quimper) Création par transfert de 4000 m² (juin 2004) Biocop (Quimper) Création de 400 m² (juin 2004) Espace Emeraude (Briec) Extension de 600 m² à 2 250 m² (août 2004) Espace Auto (Quimper) Extension de 3837 m² à 5 937 m² (octobre
2004)
36
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
III. PÔLE MAJEUR : MORLAIX
Vocation : apporter un service commercial diversifié (offre large et peu profonde) avec :
− Des activités culturelles, prêt à porter, mobilier et décoration avec ou non une politique d’enseigne à notoriété nationale.
− Une offre en bricolage, jardinage et électroménager basée sur les enseignes à notoriété forte dont le dimensionnement respecte la légitimité des pôles relais et secondaires sur ces thématiques.
− Une offre alimentaire dimensionnée prioritairement pour ses zones primaire et secondaire.
Objectif de couverture (explication page 16)
Alim. Pers. Sport Bricolage Jardinage Electro. Meubles déco
Culture/Loisirs
90% 80% 80% 90% 90% 80% 80% 80%
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
MORLAIX
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté d’Agglomération du Pays de Morlaix compte 80 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 97 974 m² soit 9,5% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : La jardinerie Le Bot (Saint
Martin-des-Champs) Création de 4 152,5 m²
Décathlon (Saint Martin-des-Champs)
Extension de 1200 m² à 2084 m² (octobre 2003)
Intermarché (Plourin les Morlaix)
Extension de 1 484 à 2 282 m² par transfert du magasin de Saint Martin des Champs (novembre 2003).
Espace Revêtement (Saint Martin des Champs)
Extension de 675 m² à 967 m² (juin 2004)
Magasin Vert (Saint Martin des Champs)
Extension de 1700 m² à 2200 m² (juin 2004)
Cash Affaires (Plourin-les-Morlaix)
Création de 900 m² (juin 2004)
Troc de l’Ile (Saint Martin des Champs)
Création de 1110 m² (août 2004)
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45
Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
IV. PÔLES RELAIS
Vocation :
Affirmer une offre diversifiée (dans le respect de sa zone de chalandise et des densités couramment constatées) sur l’alimentaire, le non alimentaire de proximité et une offre intermédiaire sur l’équipement de la personne, l’équipement de la maison et culture-loisirs Objectif de couverture (explication page 16)
Alim. Pers. Sport Bricolage Jardinage Electro. Meubles déco
Culture/Loisirs
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46
Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
CARHAIX
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté du Pays du Poher compte 24 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 31 511 m² soit 3,1% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Espace Bébé 9 et Bébé Cash
(Carhaix Plouguer) Création de 400 m² (janvier 2004)
Distri Center (Carhaix Plouguer)
Création par transfert de 1173 m² à 1450 m² (avril 2004)
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
QUIMPERLE/MELLAC
1. Evolution récente des surfaces de vente Le Pays de Quimperlé compte 55 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 57 835 m², soit 5,6% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Centre Leclerc (Quimperlé) Extension de 2570 m² à 3700 m² (mai 2002
en CNEC) Twinner (Mellac) Création de 814 m² (Septembre 2002) Aldi (Quimperlé) Création de 759,45 m² (Novembre 2002) Brico Décor (Moëlan sur Mer) Extension de 999 m² à 1 742 m² (mars 2003) JoueClub (Quimperlé) Création de 387 m² (mai 2003) Les Briconautes (Quimperlé) Création de 1 500 m² (décembre 2003) La Faillitaire (Quimperlé) Extension de 699 m² à 990 m² (janvier 2004) Intermarché (Mellac) Extension de 2 490 m² à 3 390 m² (mai
2004) Gédimat (Bannalec) Extension de 300 m² à 675 m² (octobre 2004) Expert (Quimperlé) Création de 500 m² (octobre 2004)
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
CONCARNEAU CORNOUAILLE
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté de Communes de Concarneau Cornouaille compte 51 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 51108 m², soit 5% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Joueclub (Concarneau) Extension de 110 à 400 m² (avril 2002) Ecomarché (Nevez) Extension de 710 m² à 1008 m² (Juin 2002) Super U (Rosporden) Extension de 2 056 m² à 2 786 m² (mai 2003) Les Caves du Moros
(Concarneau) Extension de 250 m² à 710 m² (mai 2003)
Ecomarché (Névez) Extension de 1 008 m² à 1 72 m² (juin 2003) Comptoir de la Mer
(Concarneau) Création et extension de 979 m² (novembre 2003)
Bureau Diffusion (Concarneau) Extension de moins de 300 m² à 700 m² (avril 2004)
Espace Culturel (Concarneau) Création de 650 m² (avril 2004) Shopi (Melgven) Extension à 400 m² (mai 2004) Super Caténa (Rosporden) Création de 1 350 m² (juin 2004) Point Vert (Rosporden) Extension de 485 m² à 1 446 m² (septembre
2004)
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58
Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
LANDERNEAU-DAOULAS
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté de Communes Landerneau Daoulas compte 31 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus 42259 m², soit 4,1% des GMS du départements. Les décisions les plus récentes sont les suivantes : Chauss Expo (Landerneau) Création de 800 m² (2004) Gifi (Landerneau) Création de 3 420 m² (avril 2004) Magasin de sport (Landerneau) Création de 800 m² (2004) Intermarché (Landerneau) Extension de 2494 m² à 3173 m² (mars
2004) Centre Leclerc (Landerneau) Extension de 3515 m² à 4515 m² + création
de 120 m² de boutiques (mars 2003) Vétimarché (Landerneau) Création de 980 m² (janvier 2003) Twinner (Landerneau) Création de 800 m² (avril 2002)
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62
Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
PONT L’ABBÉ
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté de Communes du Pays Bigouden compte 35 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 41 516 m², soit 4% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Centre Leclerc (Pont L’Abbé) Extension de 2 797 m² à 3 747 m² (CNEC
décembre 2003). Picard (Plonéour Lanvern) Création de 298 m² (juin 2003) Casino (Plonéour Lanvern) Extension de 1200 à 1720 m² (janvier 2004) Chauss Expo (Plonéour
Lanvern) Création de 585 m² (avril 2004)
Champion (Loctudy) Extension de 1546 m² à 1882 m² (avril 2004) Les Briconautes (Pont l’Abbé) Extension de 3407 m² à 4 407 m² (juin 2004) Gifi (Plonéour Lanvern) Création de 999 m² (juin 2004) Jardi Leclerc (Pont l’Abbé) Création de 3 589 m² (septembre 2004) Magasin Vert (Plonéour
Lanvern) Création par transfert de 1190 m² à 3330 m² (novembre 2004).
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Schéma de développement commercial Finistère
DOUARNENEZ
1. Evolution récente des surfaces de vente Le Pays de Douarnenez compte 23 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 23 999 m², soit 2,3% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Weldom (Douarnenez) Transfert avec extension de 1190 m² à 2 910
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70
Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
LESNEVEN
1. Evolution récente des surfaces de vente Le Pays de Lesneven et de la Côte des Légendes compte 26 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 29400 m², soit 2,8% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Meubles Le Gad (Lesneven) Extension de 1700 m² à 2 205 m² (juin 2003) Casino (Kerlouan) Extension de 1179 m² à 1381 m² (octobre
2003) Chauss Expo (Lesneven) Création de 586 m² (avril 2004) Styléco (Lesneven) Création de 864 m² (avril 2004) Cash Affaires (Lesneven) Création de 636 m² (août 2004)
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
V. PÔLES SECONDAIRES
Vocation :
− Proposer une offre attractive en alimentaire et en non alimentaire de proximité : bricolage, jardinage, électroménager, sport (surtout lors d’une influence touristique).
− Offre de proximité peu profonde. Objectif de couverture (explication page 16)
Alim. Pers. Sport Bricolage Jardinage Electro. Meubles déco
Culture/Loisirs
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
SAINT RENAN
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté de Communes du Pays d’Iroise compte 24 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus 29 824 m² soit 2,9% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Mr Bricolage La Jardinerie
(Saint Renan) Agrandissement de 3 600 m² à 4400 (avril 2002) la précédente autorisation de 3600 m² date de juin 2001.
Meubles Thomas (Saint Renan)
Agrandissement de 938 m² à 1 204 m² (mars 2002)
Intermarché (Plougonvelin) Agrandissement de 1065 m² à 1 466 m² (avril 2002)
Twinner (Saint Renan) Création de 800 m² (octobre 2003) Gitem (Saint Renan Création de 450 m² avec transfert de 300 m²
(octobre 2003) Mil’Chose (Saint Renan) Création de 500 m² avec transfert de 500 m²
(octobre 2003)
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
LANDIVISIAU
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté de Communes de Landivisiau compte 24 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus 23248 m² soit 2,3% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Intersport (Landivisiau) Création de 970 m² (juin 2003) Les Briconautes (Landivisiau) Création de 1 190 m² (juin 2004)
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
SAINT POL DE LEON
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté de Communes du Pays Léonard compte 11 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus 12844 m² soit 1,2% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Bricomarché (Saint Pol de
Léon) Extension de 1900 m² à 3 317 m² (avril 2004)
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
CHATEAULIN
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté de Communes du Pays de Châteaulin et du Porzay compte 15 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 17481 m² soit 1,7% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Leclerc (Châteaulin) Création d'une jardinerie Intermarché (Pleyben) Extension de 1000 m² à 1726 m² Sport 2000 (Châteaulin) Création de 999 m² (juin 2004) Intermarché (Châteaulin) Extension de 1600 m² à 2 096 m² (octobre
2004)
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90
Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
VI. PÔLES DE PROXIMITE
Vocation :
− Proposer une offre attractive en alimentaire et en non alimentaire de proximité : bricolage, jardinage, électroménager, sport (surtout lors d’une influence touristique).
− Privilégier une offre de proximité peu profonde avec 1 seul
opérateur par secteur non alimentaire précisé ci dessus.
Objectif de couverture (explication page 16)
Alim. Pers. Sport Bricolage Jardinage Electro. Meubles déco
Culture/Loisirs
80% 40% 40% 60% 60% 30% 30% 30%
91
Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
AUDIERNE/PLOUHINEC
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté de Communes du Cap Sizun compte 16 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 21442 m² soit 2,1% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Centre Leclerc (Audierne) Extension de 1 600 m² à 2300 m² (janvier
2002) Intermarché (Plouhinec) Extension de 2034 m² à 2499 m² (juin 2002) Chauss Expo (Plouhinec) Création de 571 m² (janvier 2003) Point Vert (Pont Croix) Extension de 1160 m² à 1 498 m² (juin 2003) Moan-Frères (Audierne) Extension à 344 m² (mai 2004)
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
FOUESNANT
1. Evolution récente des surfaces de vente Le Pays Fouesnantais compte 10 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 11190 m² soit 1,1% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Ecomarché (Saint Evarzec) Extension de 325 m² à 700 m² (janvier 2003) Champion (Bénodet) Extension de 1500 m² à 2400 m² (juin 2004) Twinner (Pleuven) Création de 800 m² (septembre 2004) Netto (Fouesnant) Création de 650 m² (octobre 2004)
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
PLABENNEC ET LANNILIS/PLOUGUERNEAU (PAYS DES ABERS)
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté de Plabennec et des Abers compte 18 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 22439 m² soit 2,2% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Super U (Plabennec) Extension de 1825 à 2200 m² (avril 2004) Centre Leclerc (Lannilis) Extension de 1799 à 2200 m² (juin 2004) Kiriel (Lannilis) Extension de 300 à 639 m² (octobre 2004)
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
CROZON
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté de la Presqu’île de Crozon compte 16 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 15681 m² soit 1,5% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Super U (Camaret) Extension de 1020 m² à 1578 m² (mai 2004)
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106
Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
CHATEAUNEUF-DU-FAOU
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté de Communes du Pays de Châteauneuf compte 9 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 7601 m² soit 0,7% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Gédimat (Châteauneuf-du-
Faou) Extension de 820 m ² à 1481 m² (octobre 2004)
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109
Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
PLOUESCAT
1. Evolution récente des surfaces de vente La Communauté de Communes de la Baie du Kernic compte 5 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 5911 m² soit 0,6% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Intermarché (Plouescat) Extension de 1200 m² à 1637 m² (mars 2004)
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Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
PLOUDALMEZEAU
1. Evolution récente des surfaces de vente Ploudalmézeau compte 6 magasins de plus de 300 m² représentant, tous secteurs confondus, 8454 m² soit 0,7% des GMS du département. Les décisions CDEC les plus récentes sont les suivantes : Centre Leclerc
(Ploudalmézeau) Transfert avec agrandissement de 2000 m² à 2580 m² (août 2002)
B3 (Ploudalmézeau) Transfert avec agrandissement de 550 m² à 1 400 m² (février 2002)
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117
Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
PARTIE III L’ANALYSE DU SECTEUR HOTELIER
118
Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
I. LA DESSERTE HOTELIÈRE EN FINISTERE
1. L’offre globale
Le département du Finistère compte 290 hôtels représentant environ 23 000 lits. L’offre se caractérise par des établissements de taille moyenne équivalent) 26,6 lits. On dénombre néanmoins 92 établissements de plus de 30 chambres qui s’adaptent aux évolutions du marché touristique pour ce qui concerne l’accueil de groupe ou les allotements Tour-opérator, particulièrement en hors saison. 40% de ces hôtels de plus de 30 chambres sont implantés sur le Pays de Brest qui représente en globalité 30% des lits hôteliers. Ce résultat met en évidence un certain sous-équipement des autres territoires (en particulier le Pays de Cornouaille) en équipement de taille importante.
2. Le niveau de gamme Si le nord du département et en particulier le Pays de Brest présente une structuration équilibrée de l’offre hôtelière entre les différents niveaux de gamme, les territoires de la Cornouaille, en particulier le Pays Bigouden Sud et le Pays de Quimperlé présentent un certain déficit sur le niveau d’entrée de gamme. Ce déficit pourrait être corrigé pour étendre l’attraction de ces territoires à une typologie de clientèle en fonction des stratégies recherchées.
3. Les lieux de passage et carrefours routiers La cartographie suivante met en évidence une structuration relativement concentrée de l’offre hôtelière autour de trois pôles : BMO, Quimper/Fouesnant et Morlaix/Roscoff. Malgré les flux routiers importants entre ces pôles, l’offre hôtelière reste particulièrement restreinte. A ce titre des pôles à proximité d’axes routiers pourraient bénéficier d’une réelle légitimité :
− Châteaulin : axe Brest-Quimper et entrée de la presqu’île de Crozon et du Cap Sizun.
− Landerneau : axe Brest-Morlaix et accès aux côtes des Abers.
− Carhaix : RN164
119
Schéma départemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère
Répartition de l’offre hôtelière en Finistère en fonction de la classification
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121
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III. OPPORTUNITÉS DE DÉVELOPPEMENT DE L’OFFRE HÔTELIÈRE
Le diagnostic succinct met en évidence des hypothèses de structuration de l’offre hôtelière. Elle reste néanmoins indicative. A la différence du tissu commercial, le tissu hôtelier ne peut s’analyser en matière de flux de consommation pour conclure précisément à l’opportunité ou non de créations. D’autres indicateurs rentrent en compte pour analyser la pertinence de projets qui ne peuvent être développés ici, dépassant le cadre de la mission. Néanmoins, 4 hypothèses peuvent être retenues pour orienter, pour les 5 années à venir, l’évolution hôtelière.
Le renforcement de l’offre en établissement de plus de trente chambres sur la Cornouaille et le Pays de Morlaix pour s’adapter aux évolutions des clientèles de groupes et Tour Operators.
La croissance de l’offre hôtelière sur les pôles situés à des carrefours routiers (Carhaix, Châteaulin, Landerneau).
La diversification de l’offre en matière de niveau de gamme sur le Sud Cornouaille avec la réduction de la part de l’offre saisonnière pour renforcer l’offre hors saison.
Le renforcement du poids de l’offre hôtelière dans l’hébergement touristique sur la Cornouaille Est et le Pays de Brest (hors BMO) pour améliorer l’attractivité de ces territoires.
partemental d’urbanisme et de développement commercial Finistère