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TTriI ^TB^MmiirJifflnfflni irll
"fart--.- , *
LE VÉRITABLE
PETIT ALBERT
Dépoté, conformément « 1 Acte du Parlement Prormckl, fu1861, par 1 kpb-N'ohbert Diui/it, au BoreM du
RégistrmU'ur de la Province cl
fLE VERITABLE
PETIT ALBERT
LETRKSOK DO PEUPLE
Suivi d'un recueil àm merveilleux secret» Je la nature, de Urie. de* -cieuce*. des arts,
pcaaeM et boa» muta-
l [IVATEURS
JOSEPH-NORBERT DU^UET
if**?
D?fr
)?8/
PRÉFACE
Vingt ans après.— En 1860,—après nos longues
journées de travail comme chef des ateliers de
l'imp: <lu Journal de Québec,—nous con-
ire un ouvrage pour combattre
les erreurs pernicieuse* répandues <m milieu du
peuple {' - qui obtiennent malheu-
icore de nos jours, on crédit
regrettai - d'un trop grand nombre de
[ui abandonnent le vrai pour le faux,
-ant à la - misères, tout en
cherc. sors ca< la prétendent
être gardés par des esprits malfaisants.
VI PRÉFACE
Une foif notre trav.nl terminé, ou a peu prêt,
nous crûmes prudent de consulter des hommes
éininents, dans le clergé comme parmi les laïques,
avant de le livrer à la publicité. Or, cène fut
qu'après avoir obtenu l'approbation et les f<
tations de plusieurs amis de l'éducation que nous
fîmes imprimer la première édition de
sous le titre : Le Véritable Petit Albert^ ou
secret pour acquérir un trésor.
Au nombre des hommes éminents qui
engagèrent à • DOtre humble ouvrage nous
nommerons, avec honneur, les Ferlaud, les La-
verdière, les Morin, les Crémaxie, les de Fenouil-
Plus que cela, Sa Grandeur, le regretté Mgr.
de faire exaii u* son se ttévd.
M. Langevin, la dernière revise de notre ouvrage
afin de s'assurer q ilenu ne
en contradiction avec les doctrines et l'esj.-
l'Eg.i
onage aussi
Petit Albert obtint un succès qui nous causa une
agréable surprise : puisque, en moins de six mois,
PRÉFACE VII
toute l'édition (trois mille exemplaires) futépuisée.
A l'apparition de l'ouvrage il s'éleva quelque
part certains doutes, non pas sur la partie essen-
tielle du livre, mai-, sur la véracité de quelques
uns des secrets que nous devions au Trésor du
Peuple, parle professer Doublet, de l'Aca-
démie des Sciences d Or, dans cette
nouvelle édition nous avons cru faire disparaître
ces secrets en question, aûn d'empêcher ko
-, qui, toutefois, ne furent jamais
expril bliquement-
îgmenté de beau-
qui traite des questions agricoles.
trouver i ents conseils
sur le l'agriculture, car nous
perles les
I des
sur l'art agricole au Ca-
man-
:. tous
les b
- de M. E, A B -ige, M. le
: abbé Provancher, le H P
icasse et autres écrivains distingués.
puéfacr
Les classes ouvrières ne sont pi
*. Biles tro
la p.« laeils qui
itéresseroui au plus
point dire davantage.
••» dans ce proverbe :
ise espén-:
nous ren 1861. le
parti' "lit de la part des classes laborieuses
de la Province de Québec, auxquelles nous dé.
dions notre humble ouvrage.
J. N. Duquel.
Janvier, 1881.
"ERTISSEMKNT
DE L ÉDITION (l86l)
m «iaus on temps
hé» par la' et an moment
uièm» I» est à la Teille de perdre 90a
plus beau tr
Quant a M tr< rrait imu-
:s le décla-
rons de suite, uooi ne pou
conserver, - loquérir un tel trésor. C'est .1
brxtannujut \\ v.ill.r MU M pfériMU dépdl <•< »u ri«* I
garde
à la curiosité* do public, cet
ouvrage que nous «vous m ibU Petit Albert
ou ttertt pour acquérir un trémrr, notre but est de
au lecteur. aperça fidèle de* principaux
h -..i.t- Mrveilleux qui ont (ah t.mt ém vieilmea et qui
ilhrureusemenl uo si gr>
presque tooe lee peuplée. Qnelqnea peraunoee <|
mal <|in ettra de eee livrée au
.<• uous avons eu tort de
1er U «os abominable* que reofenoeot
sea livret trompeara ; et que imtn- publication |*>urr*it
;«eu pie. A
..il.--la. I...MS leordlroM le .!.••*•. i.n. .... . (l |,. peu lea
degré* de l'éohel
pente, parmi ui
AlUn ntnrt.
.lors elles seront d'aoc
la néeeeaité qu'il y a de mettre ànn les mensonge -
siers ri rnli,iiU-« *sj| rvJOsWiaeai ces livras
toute l'ai» que nom
rupent à le* dé
teruiinona par un Mf U cause qui a (ait se propa-
|sj .-.•« ha***! eroyaaoei jaeq V.i no* jour*.
us offrons au x elasees ...
sjeyeai très ptuytei i aifllorer leur eossfMM Ma*ti*|
avec le véritable êecret pour aequénr mm stator, etc.
AVERTISSEMENT XI
& plu- lant à différente corps de
- été très-satisfaits. Nous espérons
<•» classes ouvrières en général s'iu-
re surtout oe tr
iiatrième est dédié à la classe ai:
;•• lf.-» cultivateurs ue liront pal
rout de quoi les
Misi <|Uo les H.
il du
ou sans égale pour l'industrie
agrieo - misères et
ra un-
le ces secrets .s sd'uu
professeur
v rages
es, de
-
eugageons fortement
. is le cas de s'en servir, de lire
Albert aux classes labo-
rieuses des H campagnes du Bas-Canada,— que
nous avous soumis à des personnes compétentes,
osons espérer qu'elles accueilleront avec plaisir et satis-
14e et qu'elles nous aideront efficacement
à en propager la lecture.
J. N. Duquet.Décembre 1861.
LE VERITABLE
PETIT-ALBERT
R DU reupu
LIVRE PREMIER
| t>rt
EkaraM M • .\ : . IVut-AllM-rt.— !>• Drajfon-
r les
. . P
mm% weroo <>n ;..;•:--; bittoirM •!«• ravwMtej le
type de-» Irmi- S
IPITRE I.
INTRODUCTIOH.
au longun su
|
ué que l'est celui des difflfc-
14 rfefTAflU
renli ouvrages d« merveilleux dont
les titn»* ci lison
en est bien simavantage, sous toutes tes phases si multiples.
le ce gvn
lissances nécessaires; d'un a c'est
qu'il I Taire pour en tracer
il d«î fournir «!*•> i
uses des villes et des campagnes, sous la
«l'uni'
• à la port»'
tre certa.
1e au
I
serait très à propos «1
ause prei
qui ont fait tant d dans le
B de nos jours un
nombre, en dépit des progrès et des lumrantés du 19e siècle.
consultant l'Histoire de la Sorcellerie, nous
y lisons :" L'ign
des connaissances, l'attrait du mystère et de lin-
PETIT-ALBERT. 15
connu, l'ambi . les raal-
saus cesse exposée
-, telles sont les causes qui con-
tribua Jerie
sa Age, •
•res du monde info
et la i• *'?«l uni
.1 de
••s se
uirait in-
-
les detccndanta de Gain s'y seraient adonnés les
a du déluge, en
l'An-
»ns donc
16 Ll VÉRITABLE
pas à taléficet'
\ou.s lai trouvons hhj.i mi>>ei (Uni det In r«-> i:.
la propagation .!.-> et
i iar*
Cou
CHAPITRE II.
Le» Admirable» Secrets du Grand-Albert
\
sur le Danul
A la suite d'u
Vierge, qu'il ser\ il l**?
yeux et l'e*i -es biographes, il
III
PKTlT-ALB'nT. 17
devint l'un des plus grands doet on siècle.
Albert le Grand fut ixmne et
mour il . Ses
ouvrages. lurent publiés qu'en
I n les
parcourant, ditColhn d i Diction-
naire i i* détails,
on admire an sa van 1 ; on ne trouve
jamaii le sorceK-
Il dit for - ces
:fad-
lui attril
ie on
l'in-
i ouvrage
. «lu Coll.
•graphes
: t !<• Grand est com-
18 LB VÉRITABLE
nent étranger i a
Mais, ce qui •lut nous étonner beaucoup, c'est
de vu
• plus avance'
unpagn. •
milliers d'exemplaires du >nob-
staut les absurdités dont il est :
• par met ce livi
\
NOUS te
beau-
de ao
dans son
i, à la grande
PETIT-ALBERT. 1
9
surprise de la cour, la riante parure du prin-
ijoute-t-on, les fleurs se flétrirent à
la fin du ! ipas. A une époque où l'on ne con-
élégant»
lu bon et savant religieux dut sur-
qu'il appelait lui m^me ses opéra-
nt ainsi que de la magie
blancl
lisait toute la sorcelle-
LVailleurs, U -'-t prouvé
s livres de secrets
;om de ce
il doinin rie et
qu'il:
- à qui on voulait les
1';
WM1HK III.
Secrets Merveilleux du Petit Albert.
que con-Ibreie panoanea, »'î cela avec la forme conviction
le de c<'
ir de
LE VéRITABLK
qu'on dVvra épouser un jour
choses a peu près semblables •
aussi al>-
Or, il e est,
presq bout à
i
•
-;or à cet
autre recueil
ukix qu
qu'on ii y trou :ie les pa\
rset philtres, l'aride u-ira, des
pour
hàlon <l tulité, la
-
remè pour
les trou;
te le
I
trésor :
.'•ord, à l'endroit où l'on prétend qu'il existe
a
PETIT-ALBERT. -I
sor, il faut commencer par y faire brûler
. orables les esprits
a un
la semaine. Enapose le par-
. on se I
Petit-
Albert, le parfum <ln " composé de
re de
. des becs d'aigle car-
ias cosse» im"i
>. Il faut réduire le
tout en p >ii lit lin
i cervelle de liou,
ge. De cette pâte
lier avant
il plus fa
il allum rec le
ii •l'un
ii bougie
oemeat d
Petit Albert^
Le dit.
Maintenant, à :
trouve i t planter
u droite une branche de laurier vert, et à
tf Ll VÉRITABLE
gaucho u he de ver .-user en
ta terre, de hauteur d'homme, enlre ce» deux
» une couronne de ce» brai
et en entourer son chapeau
r unmoi• représentant la fort a, ce»
paroles en gros caractères : Amolzin Albomatatos.
Le voilà donc ce se. pour dé-
couvrir les trésors ! A
: l'ils se hâtent de se
glanda, de la sciure de bois, des ongles cbecs d'aigles, des plumes de p«
sang de condor, g
un peu lo - qu'importe la d
il s'agit d'un trésor on peut bien .1
du sang de cet oiseau au IV
tout, il fout encore de
he, tout en ai
sang de Olire un
cervelle de lion. I>Un auir- odH, it pas
oubli' i non plus les
couronne et le talisman do la for-
avec les paroles m <j/6o-
maiatot.
Knfln, ! son chapitre sur
les trésors, par la remarq
PETIT-ALBERT '23
"Quand on a <1 n solides pour croire
que ce sont des hommes défunts qui gardent les
trésors, il est bon d'avoir des cierges bénits au
lieu de chandelles communes, et les conjurer de
la part de D; irèr si l'on peut faire
quelij pour les mettre en lieu de bon
repos, et il n<> faudraj
: inquer d'exà
ce qu'ils auront <':•
p la mes mfiance que l'on
il nous
tnt auteur
formu!
livre et
.ut, dit-il, c'est que les gens
pu-
qu'il pût : :nme qui
«cilles .1 \lbcrt loi -
n et men-
GHAPrnm iv.
Le Dragon Rouge et la Poule Noire.
Le Dragon-Rouge traite pr- irt de
commander les esprits célestes, aériens, terrestres,
24 Ll VÉRITABLE
s du vrai secret de fa .et les
ts, de gagner toutes les fois i : aux: les trésors cachés, etc
,
ne, ou la ,ix œuf*
« et des
la cabale
pour les espr \, les sylphes,
les ondins, les gnomes, de
issance des sciences s<
••s sont I ries toutes i
l ce volu ié encore
si souvc! lout les i qui
l'acti ,<es.
La - la plus gé
-
\ à la f« engage le
te se
• retourner, faire H r ré-
vient
nie autre poule noire qui
est une poule aux œufs d'or.
\m doctes, dit un auteur < ces
sortes de poules, données par
vrais démons. Le juif Samuel Bernard, ban-
WriT-ALBEAT Î5
-nf ta cour de France, mort à quatre-vingt-
it on voyait La maison à la
'.-on, une
ment ; il mou-
poule, laissant trente-
l otite, que la for-
: homme, durant
lit de
y fut
pra-
: il se i peu
ible poule aux
tant uned on se sert spéciale-
it par
trouvons
r, dit
l jour
i quelles sont
lues tou*
s et comment on les
! >osse, onmontagnes, et qu'ils
htRlTABLE
sont gardés par des g
lagn<
• 'S.
rofon-
soyez is ait été
Di - saillit uiges sur c«>
,je vous en . \m abîmes
\ esprits et
iôs, au i roui est préparé et
à tous vos Compaq is m'êtes rebelles et
désobéissants, je vous contrains et condamne par
PETIT-ALBERT. 7
toutes les puissances ipérietm démons,
de venir,
je tous ordonnerai au nom di '•."
mt inutili
avoir rapporté «le semblables bl
simple bon sens 1 lier
.t.
CHAPITRE V.
Les trois fameux Grimoires.
Noi trois
!
lition, q
fuit quel-
un ch•'
volume connu SOUS le nom
it les trois grimenvs qui ont
M plus célèbres d .La\cr est connu sous le nom du Grimoire du
Pape //onorita, avec un " recueil des plus rares
?8 Ll V*ntTA«Lt
secrets," onn's de figures et
partie de ce vol um I que des ronjn ra-
ie rev»>rs <1 n tr .« de
B
un " i'
i
magie
-
les ar
-
autor
som ii issauces
•oser son cac;
•• et scel
t»hoana««d«K>:• >t mon àOnaobl. • IftU. »pr*i un» cmnUn m«|hn II
, oar on grand »orc «r Je *>n *poqu«,«t *.>flu»« ay»al 4m
P5T1T-ALBERT. 2$
soumis aux volontés de celui qui s'en servait, et
lit point de diable qui ne se fit un pi
et uu honneur d'ol
peut il pie l'im-
|
humain
A I
pro-
: (on
re et
Je
,Ado*
30 LE VÉRITABLE
I
I
tu des
me* déM
•s ; ou b
tout. la coq.
Il a
.••s tout lou loi} tans »n, les obi
PBTIT-ASBERT. 31
des temps barbai i plupart des peuples
complète de
tout pn .
re en rappor
plai-
les et des
village l'em-
prunt [g livre du Grimoire, arec
orcer le diable à
voir le diable,
mit à lire les
tires à se
i il prononçait, avec
i puissantes, la porte qui
le diable
le ses long t tout couvert
i con-
lur le car-
II resta
vmt la relever.
ibles,
: ,m
vint dil
bouc;>rit devant la
elle meine pièce où il avait si bien re-
ptétc i.
semblable à .lui •• la glace en•
foui.- : mires app-
rêt!mle son bot
CHAPITRE M.
Les Eléments de Chiromancie.
Ce livre coi
fort an
désignées d'après ce Irai le >o..> ;*• doib de La
I
i
porti
belle» et grandes cho.v ] va de
PETIT-ALBERT. *S
Qui aurait cru que chaque individu
i main, la Montagne de
piter ; la Montagne de
Lagne du 8 la Montagne
de la Lune ; et enfin
in !
I faits parlent
le dire la bonne aventure par
un. Un Grec pré-
U -. duc dt •, suri\n, qu'il mourrait d'une
il fut - tssassinô par
ur répond :~ De tels faits ne
tords
- ou deux,
A quel h
16 le soleil se
I
ie as-
doigt T Q li ! J piter est
millions
quvglobe que
e des
s'occupe
34 li v*nr
.-al absn
. r*t ri. Il
qui otfl \ -18 davau-
Uge sur ce chapitre.
Vil.
Petit Traité de la Baguette Divinatoire.
i
découvrit
:
baguciti- divin
I
Ce fut I
I
I
...
i ba-
i ma-
**tuivi un meu luarant*
PETIT-ALBERT. 3">
île sur l'eau."
de dire que ce paysan devint le
v luijouis-
Le réputation, avec sa baguette
divin l un jour que
bruit d<'
m de
le sa fameuse ba-
ie Cond»'. \. -H- parcou-
ait tourner la
1CCU-
!
:
il fut
lie prit d
où il
perdit son renom.
;mmobile
peu con-
: qu'un impo-
baguett' aucun pouvoir, et
; à gagner de l'argent par ce
ne. (')
(1) biotioonair* loftrofcl
3»;
Cependant la bagu<
vants fatal Imprimer dei
pour lex; U
pour r !«•> to
-
avec
: pas tou-
plutùt «]
u
• luir.' à
! impuissance de la I
un voleur, un
cl on béion ci.
gin-tic to
quelle
s'échappent d
MT-AUlHlT. 37
ou du corps d'un meurtrier, tordent-elles une
l'un homme robuste tient
pourquoi
-, des
land il est
nid il
a ba-
un peu
li ne
; rora-
r les
UAPITRE VIII.
Le Grand Ettei lia, ou li bonne aventure.
t les ca:
dire I ihode au
, ap-
la bonne
re* choses encore, tou-
; t avec les cartes.
nu
les, serait
i
icore
à table devant les plats vides, elle avait l'estomac
PETIT-ALBERT. 39
bien garni ; toutefois Les cartes lui apprirent
qu'elle eu -site ne put avoir
Qu. lies qui sont
it plus dire, comp-
l venir, sur l'exacti-
LAPITRE IX*
La Prescience, ou interprétation des songes.
Lation
tuteur de cet ou-
: son-
ugle,
il y en a de
tons ces songes,
simples, qui :
loutre si
la journée et du tempéran.
40 LE VERITABLI
•mpérament sanguin so
is, les danses, les divertissein
is et les fleurs. Les tempéra-
songent les d
••s songent i
les spectres el >*s. Le*
pesants, e
les bili
^relation
'.
un m <iin
— <jii
••s impressions . réc«-
tiennent plutôt aux d
du passé qu'à 1
choses de l'avenir.
PETIT-ALBERT. 41
CHAI'ITHK \.
De quelques antres livres de secrets merveilleux.
jus cou 1' chapitre, de
signa
trop
- diffé-
rarde
tnce à
tutienneoL
Ce :>ar Tant i «mi-
uatu:
pour
un.
j/», pour iode du fi
.
ut au
. explique
• t de
deux.
42 Lt véritable
vCTftRES OU PRÉSERVATIF CONTRE LU MALADIES-
s maléfices el le» enchan-
tements, ensemble les s et les croyances
popul ùres ta lof il est
accompagné d'un- >usur
!
pas l'ami de re au
mo ige absui
t. ni j»l
moii;
dévo as île
diable à qu itrv 80 un
pour
scèn
De» Sorcier* et des Magicien».
spécialeu. innombrable des
PETIT-ALBERT.
re dans tons le* temps, et
i comm.i
à l'a.
:-it leur h
la plupart ',' npos-
lu, le
I
'*» les » lonté
>it le
•ut le
.l'un
roi des (i m orage,
44 Ut VtMITAllLE
•ta d'un I
.
nœud lui douna un d
besoin. I
sans
Les
ives el <i ?ers
un auti- M
• '. dit uoe légende écoesai*
I
fruits passa*»» tes dans la grange des
PLTJT-ALBERT. 45
et qu'il t au pr re que
i jes à dire
non-
s gé-
sor-
ville
l\. plm ite Mille
du roi,
III.
I\. on
lença à diminue:
i \ . I. \
Lé I pu l'-nr
iiitre eux•-' a
4C Ll VERITABLE
Des écrivains très-bien rens
a été bt
perso Mise dés-
ires, c«- nombre a
sur
lesquels un juge se fo
(il n
trous
qui fussent b
si, nous pou i en toute sûreté
PETIT-ALBEHT 4'
tribunaux j
contribué
pour :
— a
.
!Qle* scienc»
ous, d'ea dire q
48 II: Vt'.HITAliI.K
La croy ^taé-
dans I
de su
înpri-
;' ...
sa s<
papes, des éi a de
es.
PAt'ST LK MAGICIEN.
avec Faust, l'asso
iit-albert. 49
de i'unpi
.om-
tout savoir, il
il pour
<:e
..n,
rit •
a
,0 L* VÉRITAM.B
I
1
un ton
•1" il no miD
s'aban
itur k la
ce i
mapour
tor i
harct .iv. .1 m/ > OU qttintfl ha vcurs qai avaient
ent de set prestiges. s U•tète éch ils lui d»*
qu ur une i irgée de rai-
PBTIT-ASBERT. 51
-. Ils pensaient que comme on était alors
il ne pourrait pi i tt*l pro-
leur annonça qu'à L'instant,
e, ils al. telle
tous
étendraient, pour
com-
luiconque dé*
il promis
X de
qu'il Ici;
. tout
l'une
•tsme
anus,
ABLB
S
I) i:
3
a
du 11
|
pagn>
classe ta mon,
PoTlT-XLBFRT 53
[u'tU
leno
A
•
fmseut v. toni fut inutile, et la
oeiir de son amUL
51 Ll TgRITABLI
h ii procès qui M ondamna.
•r à l'an mois de
tous
qui se
de soi
H
M
lai*»»-
de ces i
M
tes les infirmi-
pi:tit-albert. 55
tés humaines, cora par lui faire cora-
re qu'il me affection
il an malheur
ir lui. Pourcoujii! M .. onlon liaient
le la
six et de
;>ieds,
>uter
lix clous
tire bouil-
i Liquida.
il pas
lùr.
une
un bâton
B por-
lroite deson
;.rte de sa
nain ces douze
coupés dans leur
mtous en
Bédésîles étaient assez chèrement payés
heurs pour lesquels on l««s consultait,
bouillir, après le> ; i:mm mar-mite remplie . ti du malade.
jnefois l'un . M s«-
iguait de se rendre à la Louvesc pour inter-
auprès de Saint-François-Rôgis afin d'obte-
l guôrison du malade.
îfln lorsque tous ces moyens avaient été
nus inutiles, on faisait lu -^cordes
>ras du mal a lui pres-
-
• >iii t eances a esprits et
retend que V
désemplissait pas de gens qui
suit-
LB TYPK DBS BONS S0RCIBB8.
'Oiis ce ' léjà long, par
a îecdote assez récents qui nous fera admettre
PETIT-ASBERT. 57
exemple
les se I reconu iont
Cette dame,
l'âge
mprimeurqui fo Débats, av. m- M. 1*.
m-«
i ii i
>:nmerce de librairie
•normand eut
- poliliqiK
nies »» donnèrent rend- Plus
propriété le mêmequart ud, la
mille
nproquos.
un qui : mentionn
u jour, une jeune tille troublée, éper
enti
— M lisez dit-
juge
à so peut
avoir tes vagues iuterro-
Htu qui la !: tu se* soupçons, elle
—Vous avez abandonné la maison paiera*
—Oui!
— Vous cédez à un amour passion
—Oui!
— // vous a décidé à k suivre 7
—
O
- '
'
—1. ... I. ve-
nu l.t
inouï : Le désespo
air !
•l'effroi* le la
parents.
— \
avo.
- ;•
PETIT-ALBERT 59
i conna.
assez biei de la nature
•lude
)ur pouvoir,
it, surtout
pable
r au mo-
ijour-
-
[I.
Les Revenants de la pe-
-tion
ils. Au i
* les
- supposés, ou par la supercherie, ou par
00 Ll VÉRITABLI
i.isard, ou par la;
peuvent :
sonti
ivec
un••
I.
: se dessi-
•
Auprès du lit était u
d'un
\\
le ses amis ; nous répétâmes toutes
PETIT-ALBERT. 61
que l'on répète à propos de tout
l'instant
de trois
; corapa. Miner
-,'noa
pour la forme.
il a peut-
nal pour
bien
rai -je
lormir. Maie
:ninée, le
ir les
noi.
vieo-
corps*
.. Qui
noi la d- îuit ?
t plut
.ge et la grêle fouettaient toujours Lee
61 Ll VÉRITABLE
-, le vent m
les pieds i isson
glace les v. 1e les
vre au 1»
je re.
I;
je n'a •$ ne sont
pas
• [)
'. on il ra ressus-
à épier tous les mouv i memettre en gar
venu
C'en est fait, me ver. T&voulu crier, appeler mon compas
perlait sur mon front. ie autour
de moi, cherchant une issue pour sortir. La
porte me semblait cent fois trop loin ; tout auprès
de moi était uue fenêtre, .lait le temps
pour l'ouvrir si je pouvais passer à travers l
PETIT-ALBBRT.
" Enûn, redoublement d
;.. 13. •'
sur i m mains,
u mort
uil
CHAPITRE \lll.
Les revenants de la supercherie.
une qtiinzain i d'ann •••*, la ville
ii mt que des
l'une
ni de not faubourgs,
ilques-un des »'.\|iloiis eommirent la terreur par tout le voi-
Cl LK VÊRITAI1I.I
Cet revenant* prenaient plaisir tantôt à enlever
les tapis en tes roulant dans un
séries meuble» 'ssus
dessous. Un i
sortaient le i i tiroirs d'ui
pour lesjeter péle-méte
foi», les ••
1rs fois répétée»,
tonjo ues reve-
cteus < "••tait trop fort !
Alors, il«'s mopour i i et les forcer à décam.
per i
resse d«
» avant
vée des esprits. C
croin 'depersonn'
tous ces désordre»
.
des a des fourchettes
\
Hrlel ;a'à parfaite évap
notre homme à esprit fort dit que le
PETIT-ALB'RT. 65
allait faire son apparition pour demander grâce, et
qu'il : ir les re-
: devait naturellement
ridicule qu ; condain-
irition du mandiant, puis con-
ioil inan;
!in ilemeal au digne oaté de I
ses pou\
^ m ilice
:i de
n. -ut
•s Si ridi-
ir conjurer ce
. tOUS 1rs
suggéra à la
une
Av.-.- ion dép i:
Plua tard,
mai fa mort,
il ces dé-
nit qu'elle avait 6pi
ùlle.
sortilège,
u raconte encore
les pays même les plus civilisés du monde.
LIVRE DEUX I KM H
Les Tin—
..
ra J«
de
. M. Per-
^ iiioa
-'.ouce dostrécora caché- ira.
CHAPITRE I.
Loi Trésors cachés.
lieu
i par
un sei
un c
18 Ll VERITABLI
peut t'en saisir qu'à l'aide de certai
iijurations qui se trouvent dans les
rents ouvrages de sortilèges, maléfices
nous avons fait connaître d i re préc<*
I persom
tiennent des idées aus> les. D'abord, parce
[ni nous - ;adè-
couv
: c'est à •! s par de-
ix ou es;
monde. I
peut qu
-
peut se trou.
bonlt
««•m de La terre un dans tout autre lieu sûr, avec
i
i
il arrive assez so le ces personnes aban-
éMMM{ère. il peut se Etire alor-
PBTIT-ALBBRT. 65
-lent cachet?» dans les
•cou*
vrir,—€e qui est arrii i'»i »
uttes
Ique
in livre ma-
e s.-ra plutôt le fait d'une
du hasard,
nt mômeavoir
mon, ser-
lle ou vieillard, y compris
ion peut intr<
: toujours
pii se livre à ces
ritable
i na la
n
In de
ice ac-
r, on
mi la
beaaootsf
70 Ll VàRITABLI
.
•*l ta
fatale
tout,
i RE II.
Les Chercheurs de Trésors.
•'6 est
-
trésors, ne pou
pour!«• .
que c'est
.
ni partout que des dupes et 4es
malheur*
PETIT-ALBERT. 71
s la seconde classe, nous placerons tous
i du travail, et les désœu-
uit rejeté tout principe qui carac-
>ii père de famille
nuit quelque
i. »nés
-
sur
i la
roui parlez à l'un
• ses devoirs
re et comme citoyen,
i souri li frappe set
contraire, p
. dites-lui que vous avez le Petit-
', ou tout auti : veilleux,
. ibrer chez cet
homme la corde sensible de toutes ses ce
lises. Vous \ bon-
, ses yeux s'entlammer;puis, de sa poitrine
LE YtRlTAlILB
haletante, s'échappera un long so
cette su
—Ah ' lies asses bou
ou b
le ces
livres, je pour iser les e<
|
i
pas qu'il con-
nu livre «in i
tous :
par i
>i Yhonn La solti*-
i
:
pas (1 »
i
sans|
rance et d'une Crédulité . uinables qui
osent croire encore à de pareilles absurdités.
PETIT-ALBÏRT. 73
le ces faussas croyances,
sont;
traînent
et malh ilont
orable coiuli-
l qui
• rimoire ou le Dru
trait
mt :
qu'il fut
I
Itôt à l'impri-
1
infortui r de
•
-
vers un seul but :
Ll VtniTABLB
(, il trouver rétor.
i. il lui arnv ra la connais
sanc ible à In plut heu-
car ce d ! «tiré.
Il avait ti le Drag< trou-
. notre
m • s.- mil
et a g
I » \ tonéei piua tard , en I fl
le en:
la foi tsée et la nudité corap
I | II
eux que re des misères a
plus de la moitié de sa vie à la te
it précisé me; a tu
tantôt s'a possesse
Dragon Rouge
Un artiste humanitaire a pei te part le
triste spectacle du convoi du paui
seul ami fidèle : son eu onvoi de
(\ ) li io»tio« poor Mt't impor »nt« m< itutioo dMM ^«'«ll*
powldi siiotiDiai no oorbiliari trèj oonr«»»bt».
PETIT-ALBERT.
cet infortuné ne se compo 'ment pas de
cet ami fidèle de l'homme
•ommen-
alors l'imprimeur et 1
tenr trois
i ira plus
76 LE VÉRITABLE
car on nous a .1 il fort ce
gardent les trésors caché-
Le :
i misérable étn1 le son
ignoraâge
endr
qu'il
fut II I
-
ils étaient dans l'ei
tous ces li vi
tiom
ooas
d'hui,
ileurs sont arrives d-
I, a acqu une
vent très
à Taise avec leurs nombreuses familles.
L'été de: la même de la
\ position <le la Puissance, à Montréal, où
PETIT-ALBERT.
nous agis- nts, nous
r >i> rencontrer un de ces colons,
ut passée
ms reconnaissant
ce b:
—, de
»r vous dire
iours
tr comp; NUlt votre Véri-
>rs à
:»ours
pro!
colon ne se
mple
i des
Voilà
tous
unes à suivre le
mlé et
•jue
T8 LE TÉAITARLI
CH \ PJ PB I III.
Histoire de six Chercheurs de Trésors, Québec.
si se
que» respectif,
i mt om i les
nres :
Litre - -sons
i
— I
-ix de
il au porl as-
PBTIT-ASBERT. 79
inimités de marche, nous nous trou-
vâmes au bas d'un champ, servant de pâturage
à un ti à cornes, tout près de la
oit du trésor,
lit tous les secrets duin d'aul: eux,
connu re un grand cercle avec une
nous mettre en
mus qui
.
Minuit venait de sonner :
;>pro-
iis il
une
(l) Voir tu chipilr* 4m Qrimoir*i, poar ojU« coajuntio*.
80 LE VÉRITABLE
nouvelle formule de prière que nous répétons
tous Mail iu
No à la
jmmi> Le voir apparaître le diable arec toute -
1
oubli. M qu'il
— M
la fo i
le coffre- fort - pro
fondeur.
d'il-
Connut' lui.
mais ut dli"
réfléchi''
-ors s'éta
allant pro
ir un p*» il les-
quelles se tro révol-
tants.
Maintenant, disons que leur coffre fort n
PETIT-ALBERT. 81
pris pour un coffra, ainsi que œla fui 1
lieux mêmes. Quant aux
hurle ' bsuglei
r per-
.
irler et d
que la fou Ira éclate
it un forl
e soit to
rent,
qu'il o'a
jaunit pouvoirs qui tiennent qu'à
en \iMTm-: iv.
Histoire de trois Chercheurs de Trésor*, Montréal.
. une
Tau-
N LE VénrTADLI
M de 1843 près «1
le la
Montagn al.
r ce
vulgaiiv
l'aiitr
pu y
ie nuit, .
encore, en disparaissant, un
Chartrand, l'u
r lui. I
PETIT-ALBERT 83
Quelque commères ne manquèrent point d'at-
tribuer ce fatal accident aux esprits et fantômes,
qu'on leur enlevait ainsi leur
Tro il au faubourg St-
dt un
it-ils, il . [liait les
\a qui le gar-
•]ui nous
nt qu'elle
.'ils «/oui
iffirmativement ; musi conjura-
une journée, et
roit où se trouvait Le trésor, le sacrifice de
anl d'un couteau dont
(I). Inutile de dire
itèrent tous. De suit- il sur
une feuille de une foule de mots qui ne
(1) D»ni (oat ••enfire < a l'o 1 réptnd le tinf, il faut oue Ueoutevj, ou eutrei iit ruinent», dont on »e Mit à cet effet toit
euf. Loi lirre» 4e ooajar»ti)n« l'exigent toui. Quelle mbiurditél
H Lt V6HITART.I
16 langii'
jiii se passa
> cavité,
se pré
\ >s de
:lt l«'S gr
avec un :
durant un fort o.
. à ce concert nocturu
si pu force
il de rapidité vers la I
en grondant et en se tortu
lien decaillo
Alors le tac :
-tant, la victime couvrit '.
PETIT-ALBIRT. I»
de ses sinistres miaulements. Alors son caraa-
îprtnant de suite le sort qui l'atlen-
i ter «les dents et des
. qu'il fait lâcher prise à l'homme
•pu 1'
. dit l'un d'eux, et
chat donne l'é-
,t il prononcé ces mots que
tlMll,
ii\ minutes,
morts
m habit, :
tout le
qui nos trois individus
tut appris
Sri LB VÉRITABLE
se rendre à la Montagne, a i pré.
or, commun m tôt cette farce à
plusieurs de ses \ au
soir-là, ù dis-
l'un
•l en
géné-
. r, et
qu'on >lii _
Cl! IPITRE V.
Histoire de cinq Chercheurs de Trésors, Québec.
Assez souvent il «irrive que le vurs d'ar-
i x trésors dan» leurs
1 1 les espèces :
renfo: '.t liquides et cou-
fcutssf, q t sonnantes ; Mcroyons trè* à propos de rapporter ici un fait de
ee genre qui se pissa, au printemps de 1851, à
Québec, entre les det; listaient
alors, sur le terrain de l'ancienne résidence de
PETIT-ALBERT. ^7
ki Perrault 1), rue et faubourg Saint-Louis.
Ce fut près de la •Uerne qui se trouve à l'ouest
M JoMph Prançoi» Perrault, n- à Québ' c le 1er jui-
fit le cotmnerc ; 'le» pelleterie* durant placeurs années p>>
; ni «mit été s'"'ta
par le* irni'e* br Rerenu • ra-il:
•he ter le nomma (trcfli
r;e ec-j 1erle 5 »«ril
année, à l'a/ rèe de 91 an-, ;»i.rè< a
premju-
fàpni àt $- ,l1 " 1 r-"ir l'éreetlon »l l'entretien •!<• Ami aval
l'ane «
i«i »» Iib6-
ralité jaiqu'i p»rer *4 M Iw <• t nt«. trop in i
» école, f- .nue. par lui II
dépen-.mit il eut la d
étab i.«e:i.
I gea et fit - » te*
i notaire* a
de* rorabulair?' : ic< n .1 i•- k • n« i r ur- et Ici in--
», ete.
il bieo-élr
i beau-i être oblige 'le >tgo« •
la même ingratitude, la m•'m*
mpoeé tant de ta
en Un «lui de lu
Je- cbamp*.
' npécberait dono lo j-ou»*ri me i ou quelque* nt' yen*
*W KB.T4BL1
m duQùsd
Le
i bon
Uqu*ll<- «ut ;r vlr „ 4 p«.„ |, r<k»
:
-
« M»tmmr>
; u>fm. ta«nt t.itu » iar l#^url
One mptetn Ufned-• JU'fUlUl
par l« fMttmaMt
:r» I* rtUf It plw «a danger
PETIT-ALBERT.
bon résultat, car toujours il avait été trompé damses espérances.
•tait plus que j iin.ns convaincu,
de trouver un lans un eertaia lieu à
partager
der-
nous
une*
." le J'j;.l.'kuos ce
lit dans le mois de
une niiil plu rie naturelle*
lard,
ml minuit, i
i\ fort ;
iche une
H, la
pour
ni au
•
ilors, on fit
fu m co "Celte
—
M
il, «lit noir.- vi.'ill.ir; >ute«
cesi
.is u>> etprlti malin*, gardient dutréso ront point nuisibles; et, si moi
>at
Sur ce, on se mel à creuser activement la terre,
i h •« de tl de vei
. par ii
LOU*
i, (111
..
I
à qui
- P. u
3 vous a>
PETIT-ALBERT. 91
dernier, et je me trouvai transporté sur la rue
r comment et par où j'y
1 si rapidement.
enu un peu de ma première frayeur, je
:n'iii|tu- le sort de mes as-
laitre ; la cu-
ti t pu leur arriver meretourner sur mai pas, eu ayant
I téiîèb:
uit cons-
tu.x coins des
trois
l'eau
ireux
npli de s : - plus
vou-
I ter-
pou r le
un bourgeois
ut au
it nos r»
16 son
•o ses se ileux, se
branches de laurier et de verveine, y compris ses
'-' Ll vIritabli
p.irfuma, non» avail fait découvrtréior liquéfié duquel s'é il des odeur»
ii bien Loin demotirû rote ; alors, je le»
il de nuire mésaventure, et euIon bien entendu de nu part
e, derappo notre
Mtiair tout ce qu'il y a àla fois de dé] le dégradantchez riiomiiu* qui m liv:
8 à de telles
IlJ ras à rai
i rs d'arj»-
nous croyons le» avoir to
quelques vai » qui préo
nous nous en tiendrons là pour ne nominainU'ii.nit que «le la CAUM principale qui a fait
se propag à nous de pareilles croyance»,
l'absurdil
PBTIT-ASBERT. 93
CHAPITRE VI.
Cause de la propagation de ces fausses croyances
iusaa'à nos iours.jusqu'à nos jours.
i venue de Jérni
•sfuU de mq B ute la
terre, le connaissent et le e in nre in-
nés les an-
ciens juif-, les abus < t n'ont putOO- ( Ot-US Dr
:>ord no
>Ut eu
ne po multiplier a que
et, cho*e déplorable, ce* tille»
k une gr
- ces
•i vit
ia de créatnt - elop-
- l'influence de
it pour nnci-
. l'orgueil, le et la
;ssé de combattre, c liqoe
lient,— la an aatoai
î établi que c'est l'E^
le plus pour extirper les supersti-
Mais, eu dépit des efforts constants qu'Elle ait
>4 LB VÉRITABLE
i re, dans
••s super-
trésor
chats noirs, etc., m * très ré-
ippé
I
a
lipale
renc-
PETIT-ALBBRT. 95
tion de ces rêveries absurdes, puisqu'on y vendencore, chaque année, aux habitante des cam-
: Grand Albert.
! >nde,
E Allemagne et ail-
1 M les
les temps
issez p»1
:
le, et
i, par
tbles,
~;>nts
; v secrets merveii-
jue l'occasion
are souf-
cessé de contre ces livres
qui était en son pouvoir
-es croyances que oes ou-vrages ont semées chez tous les peuples chrétiens.
Comme catholique, nous l'applaudissons de tout
notre cœ se la
.1 vs livrvs d.'i
italo ah
I nos
il, puis |U royon« que le
- absurdib . .-es si
des gens par t:
lai, :
toute son étendue le sujet
ourd'hui d'u''
irs popu-
ngagent dan-
c une certi it au
*euvre que nous
avons commencée dans l'uniqae but de servir la
PETIT-ALBERT. 97
-cause des cl
campagi
Nous passerons maintenant des trésors éphé-mères aux trésors véritables que peuvent acquérirles cultivateurs et les ciass3s ouvières.
LIVRE TROISIEME
Aux. Ih-s-., -, t Cigale et la Fourmi.
— Lo désir
[Mitivoir.- 3
— !,>>«
CHAPITRE l
Aux Classes Ouvrières.
• »nt
I
,au point do vue «Je leur bien
100 LE VÉRITABLE
tériel, et cela •
ions allons leur suggérer
àoel
t gré
ne pourn
le poàséi
qui v
LUX.
:2RT lOt
CHAPITRE II.
Etre riche ! La Cigale et la Fourmi.
revenu, c'est Ift-
«•«• «>n revenu. e'e-t im >ni-u>nc. - qu« iod revenu, c'est
rt peo«Je r cbt< sonl beurïux."
presque
! -lit
blement,
ne se co
IM LE VgntTIBl.E
i pro;w>« U 9*&prév<>
l'on
un <1»' ceuxi
:
gît m d
Pjm» un Mttl |" •'*
Jusqu'à la mu-
PBTIT-A.LBBr\T.
Je vous p lîr w, lui
AvIn' •
*°;
if :
Qm
inni ; n nuiii-
tllait
'toi (Tafia-
CHAPITRE III.
Posséder des Richesses.
> pu trop 4*HlbtW, «t qui n« •ouff • }>im de la p»u-
" Pierre qui roule a'tUIM pM d«BOUM "
La soif de l'or est le
Lrt de» homm • de
posséder un t: Ht généralement pour les
104 LB VSR.T4BLB
engager à ton
leur faire braver toutes sortes fers.
Cependant, on peut l -ee* avec
beaucoup plus de pour
cela de sa pat :
Yoyons OÙttUD
—
M
nn p< pour
i soit
.
— I
dei
cela,
toute
dépens** innti r sur
serait (v qu'
•-
èco
petit
cmde jour eu jour.
Lors-ju'un ouvrier «•-
si pet
à ton
lOOQOmitt no ivellai;Ul placements le r .1- .- -ut
PETIT-ALBIRT. 105
(l'ouvrier) contre les infirmités de la vieillesse,
contre lesacci la vie et contre les chances
ni i{1
1
l n'est pas, dans tous les temps,
vner qui n'épargne pas
.révoyance de
ms tendresse pour
CHAPITRE IV.
De la Persévérance.
" Petit à petit, l'otoau fait «on nid."
—
C
parfaitement
nées,
e pour faire ces
verte
nce et
frôle
LE VÊHIl aB:.«
: au bei i>a.s fin Ile et
plus p
i| nel|
-•es, le* :»
dan» cel
encfa
panétéraace'
le la
-
«il VI II
>ur un grand nomb:e d'h"
PETIT- \LRERT. 107
CHAPITRE V.
Le Désir et la Volonté.
" Il n'y a qoe le premier pu qui coûte."
volonté. Or,
(iiénr un trésor,
une dit le
qui
-:éné-
nme $e b qu'il
o'est-
t plupart
parmi i
ce et
r démo supériorité de la volonté
tison suivante,
tout» se être :
posons par ex»«m;)le un jeune homme qui,
brûlant du désir de se marier, ne ferait aucune
108 LB VÊAIT>
démarche pour réalis<
a présen
<iiruit-on avec raison.
et mourra ce!
>»n défaut,, une
elle, mie
«l'un.
• it DM d
exceptii) >ches !
chose loi désir n •mpagné,
n'est
le désir ei
ne on le dit Jes chA-
.
PETIT-ALBFRT. 109
CHAPITRE VI.
Vonloir c'eit Pouvoir.
m homme ne Mit pi« épargner à me«urequ'il r»k ru «an* avoir on «ou, après
avoir i outrage."
riche n'apprenes paa
feulement ? inm-nt on gagne, taches ou si
comment on ménage."
Vouloir c'est pour ' là un principe ad
pour I -.mi harin
on.
Cependant,
-.
Bique
[u'on
liant
jour, ou beau-
proporlio L'ou-
iribué, peut aisément
!|U Ll VÊMTABLB
jour !
et, àl usieurs années, il
sein de s
le po
t ie* dépenses :
ir sub-
c.H 1PITR1 vu.
Secret poir acquérir un Trésor.
faut j l'éoua—
U
Pour ar i. pro-
poserons i
nous voulons : éten*
due, e )i le
•
(I) "La Saiaaaa 4a ttonaeram* Motard on «aaaia da U for-
laaa," par la célébra Banjaava PraakUa.
PETIT-ALBERT. 1 1 t
Ce moyen, ou plutôt ce secret infaillible pour
nr un tr usant «l'un peu d'écono-
le qu'il est efficace : il suffit,
pour l'employ e tableau sui-
• r que l'on veut
possé années;
tULIBR i .1- poser, chaquejour ie, le montant
Ain piivrir un
tous
Dra-
ts et mer-
ceux
fortune a
•
trou-
juels
ir do
s
PETIT-ALBERT. 113
CHAPITRE vill.
Les Caisses ou Banques d'Epargne.
'ne c»i»« d'épargne est une i .«titution
aattOt tellement ne i-rrc-tlulùjUAairt "
t que lui
- nue
indu,
les g (*),
al heu-
cnaAanoe de la
le ooucert «Ttc l'habile Ma*lina, notre financier m
114 LE vIritabli
Par exemple, toute somme d'argent, dépotée
dans une I ... que5 pour 100, se double à ans,
seulei utéréts composé* . petit
qn uite i
>rtance d
i
bou-
••I.
sous
tune, son À
:
Set mœurs t'ai
plus affec-
tée et plus h devenant pi
taire, ii plu» actif de la
société ; il possè<l cotiser
v
PKTIT-ALBERT. 115
goût-- iffec-
lionne e
lltlOl
; de vue,
l'ouvrier doit
adopt >e mettre
i ii fortunes ou des
iniiri il par un âge•
omettront
ir, au sein
qui lui p
toujours
le recou-
- ou bien
•|)ital.
Lui,
ation
lie le
de quel-
.i de ses bons frui
11G Lt VERITABLE
IV
Sociétés de Secouri mutuel» et de Protection,
dans chaque corps de Métier.
" U bit Uittnct t«t le bonhtar lt I» •
il a'jr «n • point a* plu grand tur
" Il ftat étrt util» >ui b»inmt. pou-grand Jaa« l\»
(.inion du honmc-
• des 80<
pi t'-it lit.
irltiMili
DES BONS BT OBS RAPPORTS EWTRB LES
IIBS BT LB8 01
-illlailt i
P'iip tous les
i des bons rap-
.
te progrès des différents corps de mé-
dire moral et matériel doni
s*ent l'un et l'autre.
:;T. 117
qu'il
telli-
i
c
lotit à »•
: l'ouvrier se voit to
litiou du
-, lui
son
tarait
et cléplor i
•;-. et que
>uccomber loi-
118 li wÉm
plus de p i
à grande
> ?
nous repu
bord, par to
rapp" | son
pairo
er qu'il •
ses heures de loisir, à IVlml»' »1«? rliosrs propres
M !
tage du latset
pi'nii ii
t
\
•
-
.
fain- ippelt?
i rlrre au milieu de races * 1 1 il •:•:!:••- .-t ,i,» leur
s associ a
peuvent seules relever la les arts <
PETIT-ALBERT. 1 1 9
en Canada, el ir efficacement la
condition sociale des c
il ut qui reste aux
oiivii Ikdiis rapports
protéger commrttique
tou-
jours
non d'ar-
ler à
ut pour la plupart
il état de
illercher-
tribution plu-
80!) : <ll.
MWB LA R\C] MAL,
DR MET 1 Lit ?
Nous ne voyons pas de
nous le répéta lui des sociét
secours n élection comme e
resp- i posées d'hommes ayant si n
à cœur . et le progrès des arts et
métiers, et dont le but serait aussi d'arriver à une
entente corJiale entre les maîtres el les ouvriers,
Ll VÉRITABLE
|U6 pOSM
l'atantaga de tous,— la «j motion àm gag«a
m métier<i
;
D'un .'iut:
16 un
t à la
itouré de
il est un :
ira de
vous se produire ces grands dé-
: es : les vuses ci
tort ou la
PETIT-ALBERT. 121
mine corn tonte une villa Milheu--
• pareils
i uiu-
tactui
; ie patro
'
I
klin,— lui (jui
t mi-
. il r
—
i
cette
on, elles (luiront certainement par
IH LK VÉRITABLE
de leur perséré-
CV .,» le«
eur» sur l'ur-
d'uoe loi
pour
' >téger ces
- par un
lenrt coram ,• p*.
ransent p
jour» avant I i
hommes re de belles
promesses : ri- i mers et mondes '
•ans •
|| mo4l cl-- prospérité 1 de
PETIT-ALBERT 123
libert ;>euple-roi ! !!
: qui, mie fois aloi .oquent de ce
. pie-roi'
i n'oubl -wistence
• ut noua irïer, le i
.it-î, qui tiennent
x promesses, devra finir, et le peuple ne
ut.
ir lermii ngageons
oeltra
au milieu
i plus grandi-
plut,
i du
\a sont i is ce
vt-rs leuri daatinéeai Si noua ?ou-
ar la
Ml, 4mm an
p«r l'honorebl* M| goararMur
é» U Pruv.nce dj M initob».
LIVR] ATRIKME
Aux « .»n.
—
•
Industrie
- aarenr et
i
l'Huître
I.
L'Agriculture et la Colonisation.
Ami
couvr
M t>RIT4BLB
de L'agrioaltui xnprise •
est la ur laquelle repose to
tence n nu-, h les peuples ci
ses.
L'agn.Miltnr un pays ; elle
fort sans ces*
ses milliers d'h il
liasse
Dite M uice)
le la
plus gra
M H
relie s'ap*
it de ses
PBTIT-AXBERT. 127
mains ! Honneur aux hommes qui, la compre-
sa dignité et ses ser-
, se dévouent et l'encouragent, lui apportent
soit leurs bras, soit leurs capitaux, soit leur
le glorieux en-
couragement dt>. lfiirs prix et de leurs récom-
•oncours qui
mmlent, qui assurent les pro-
position des pro-
nistrumeiils, par
iiiin si noble »'t si chrétienne
e de chacun-. Ah : qu'il Qearise parmi nous, cet art
e de richesses
le de robutes
lié des ci-
contre le dé-
tout l'en-
tout en provoque la
on, nous
lques
de nouv
possr m pays 1
.
tre sur;
ies et vigoureux colons tous
le haches, de pioches et de
Mi Ll VIRITABU
w, et les envoyer prendre d'assaut cet
n» un sol fer-
•* seul»
belle
: du no
or.
QHAPITRI II
Le Clergé et ls Colonisation.
piaul
à IV
de ta nota I la fois
l'apotre de la civilisation et delà colonisation.
r.
:. pour une bonne part, sont dus tous
itde l'agriculture
ombreuses pages à
1 nombre de nos
et se vouent
ition, un
h ouailles et de notre
tu la moyen 1$
eultu ition. Chateaubi
• icrt HUÉ
plaisons à repro-
. 'lit cet
• renomnous
les hôpi-
des
ix et des
unmerce intérieur et exté-
i fin nous
Nos pères
-me était
r jusqu'à l'art de se nourri:
130 l.B VÉHITABI.K
Après avoir énumôré l'él tas terres in-
onisées et cultivées à celte époque par
des religieux, Chateaubriand ajoute :
qui »»*t
«nos >arce qui o dé-
ut les bo
iriel de la
il 1.1
irnt le*
mes. I res, à
trésors plus ce qu'il se
par tas armes. Le-
les pères de 1 reurs
; es de nos
labor
niser cl à culti
oomuira.
missta
La clergé eau
concert a
PBTIT-ALBBRT. 131
de la colonisation des townships de l'Est, de la
Vallée d ;
lu dévouement et de Pi-
I laï-
icultur 1 1 li souffre
tou-
• ut. Où se trouve donc
>ppe-
• riser
notre lé-
v ap-
la plaie
m finiront un jon;
l'agriculture.
pldisir, c'est une excel-
fiveur.
III.
Le Gouvernement doit accorder une protection
ans égale à l'Industrie Agricole.
• u des monarques, et des
empereurs s'attacher uniquement à conquérir de
132 LE VERITABLE
t de sang
des mil.
sujets pour la seule gloriole d
i
accoi:
agesse et le n ils
••
it leur se
- la plupart de ces
..
rangs
de la société.
Or, si les grands de la terre peuvent lo
is, au> us les s d'argent et de sang
is faire nn gouvpour développer avantageusement l'agri.
PETIT-ALBERT. 133
collai lion de la grand*;
le autour
oloa
_:ueir
-
!
- affli-
-
: ce et
- une
lie, et
- l'état le plus dé-
; n portait un
lture, — ajoute le môme
LB VÉRITABLE
ir,—pensa avec r>
ver la 1
liiiiir.ii. liions, |>oir •• publii
et la richesse >' \
ites les dépense» îtrole sévère,
cette
oura^e • ;rage so:
que doit
public t-t la richesse
tu moins
ce qi lé une protection sans
cgale à l'industrie agricole, - >nsable I
veloppi-in ire et de la co-
Ltioo, surtout d'un nôtre
dont le sol est d'une si g rai
\ | »us réussir dans le gouvernement
des Etats, a d i le génie
des peuples : pour tu . favorises ce
génie."
Bfl t'ien : quel est le génie dominant du peuple
Canadien ? N'est ce pas l'industrie agricole ?
N'est-il pas doué généralement de dispositions de
ordre pour exercer cette première des
industries ? Oui I mais ce qui lui manque pour
PETIT-ALBIRT. 135
obtenir de meilleurs résultas dans la culture,
surtout dans la colonisation des nouvelles terres,
n'en doutons pas, cette protection
égale, à la Henri IV, delà part du gouverne-
ment.
notre g \ l'a-
•rotection pour L'indue*
qu'il faTOi
i Si Mauri
m : qu'il fournit!
:»our
leur;
lier t'y nue
qu'il f.i-
quil ado
. il faut •
plus ment de
colonisation d i, qu'il ne I
fait par le passé, et qu'il parait <1 îjour-
H-, LE tCmtahlk
d'Iim I a
Ton'
promet -
qu'il lui faut enoore i
.
I
-
• Uni
pacifiques et ses tradition
UrttiM *wr l Afnemàmr* Om<iw«, m f>
•I du bien H.t m»i*n«l. par " l'a ami 1«
ridttftlloa." (1S41)
PBTtT-ALBERT. 137
\ PITRE IV.
Les Cultivateurs et leurs Députés au Parlement.
[a'on le
sou-
I
lui.
l ou
I
I
I
>it sa
l.'JS KRITABU
I. • •
est ai et, à
des rois d
blason
r noble
Dieu ton pain à la u
de ton front
Kn obligeant n père, ei
toute la race
sueur de sou front,
fond;» m étant 1 1
Bt la plu
tout ••litière.
I1 lavanlage la
fondation de l 'in
dire que la culture remonte
qu'à la chute d'Adam, et nous sommes ap
de 11 i dit an I i Genèse:M Le Sei^-
dans le paradis de délices, afin
i le gan!
Ainsi donc le cultivateur p i\
légitime orgueil, que la profession qu'il exerce
PETIT-ALBERT. 13f
fou, tandis que toutes
-litu-
>ii huma;
il ;qu'il
plus
>ir il
i il-appris,
irner en
lie et
tvsan
m toujours d'une étoffe
plutôt que 'l'un
: lquefoiâ
ivant ui' ileur
>ute
ion i ii il 1
1
c'est afin l'un
lasse
isse agi i-
Or,
r sérieuse
> agricole doit
140 LI TÉftmBLK
1er les mesures nécessaires
à eetle fin.
r .ut. mi: . ut. il »-,t un
l'infuilli
leeciiltiv i
posen £sen-
gou-
on
Voici le mulOSJffl :
d'un ibordd'un hom|KMII
favor mt ie
l'engagen lidat,
PBTIT-Ar.BBRT. 141
usé dans cha-
nteurs de
: l fois
ta des
i li ï*arle-
pour
> lu
I ut lit;ii, à
puté.
>'iitt» ;
•ut à
[Mltéi
imeU.uiU
rir de
li'iir
•
lassa
ir qu'elle
de cette
nt i la iin'Ure
142 Ll VgHITAliLt
M pratique *«l Ul ivsi île toute
son efficacité.
Mais il va san» dire la réali-
sation d'il
plu-*
base
i
ijours
en harmodroit
i litton i
boohea ibon-
<:n kPITRl v
La Culture constante ; le Laboureur et tei enfant»
m lt ptmmt dort,III à r«Mdr« et à pH"
•
' r ' l» f*im rrgird* à la port*i
• LlMtivU<• «fa»« rien »u tr»> .
I quenous venons de suggérer ne sont que la base
oser le grand pr
4e l !«.
PETIT-ALBERT. t *3
De môme que tout édifice public peut avoi:
proportion* plus ou motus grandioses, et réunir
richesses
ire, selon le plus ou moins de ta-
L'architectS aura apport»
^e beaucoup
ii part da cultivateur qui
: tir toutes les beautés et t"
les r;
atique et
nous n'entre-
outes ses
1res cette
pour nous trop difficile lans tous
les cas, n i cultivateurs commebien propre à obteuir
ts, le conseil donné par unses enfants, quelques moments
fable, il est vrai, mais c'est unefable pleine d . comme savait en faire le
itai ne, et contre laquelle l'expérience
les temps et de tous les peuples civi-
lisés du monde n'a pu encore donner un seul
Sérigné d riant un jour des
FabUs de Lafonlaine :" C'est un panier de cerises
141 Lt VBMTABLB
M plut belle» et le
Lb h\; kt ses ExrAXTS.
Trav.iillf/.. prenez de U peine :
CV»t le fa
II» riche l >
Vit v.'iiir m* enfoui
ible poui
déco: ul Ain
gravée dam la m M les cultivateurs
\jmr4mlUe.
PETIT-ALBERT. 145
se trouver au sein de ch
encadrée et
ut de la
belle leçon et
surtout aux
l les
:nent
CHAPITRE VI.
L'Education Agricole, suivie de sages conseils.
iivre« «ont à l'âme ce que I* nourriture•Ht ni
r«. pour Mger el pour »• .
Un» le savoir, préférer l'utile au
1
it lui
muer
LE vftniTAJU*
igoon* fortemen
is les moyenspropres \
peu-
no peut pis se |>
sir 1 «le l'agri-
c.iltui iilica-
oulx
il existe raal-
u nous :
il pour la lecture de choses
propres à
i doit 00 sont donc le» lec-
ible à l'égard de l'instruction agricole,
>i> les ouvrais sur cet I
Chose bien déplorable, hélas
PETIT-ALBERT. 1 47
empêche donc le cultivateur canadien à
suivre l'exemple du cultivateur >ssais
et ir la plupart de ces derniers sous-
•ut aux meil û traitent
les q -comm»de g: I
favoi
: «meures. L.
culture et
i
que•
recev
pour
ricul-
tiva-
i que
il du
*rmml et V»/6*. S dot
H^ le rinv
1C1 mneedu>ou» par-
idée* ré
ner li AuIture ci
il appar-
ia cou?»-
nille dan-
ipprécial'
part,
qne U •: plutôt
à lin vers son
ir le
non*
les y< vote des
livre- têts de loute nature qui
PET1T-ALBF.RT.
•t de l'honneur de ce pre-
mier -i on le lui présente, cet art, à
{u'il COmpOl '
-dire
au point : tUionai et du bien-être
matériel, on fl >', plus tôt qu'on ne
:\ moins clairvo\
litre
les p
qui pitable patriote et
1111,1: UI1SI.
géïK lasse ag:
Loi go 1861,
: mile
- \ U) :
. qui
a obt
ice sur 1
Ians
laqu- :ion« un îltat
150 LB VÉRITABLE
de cet m, dû à U libéralité :
véritable i ien et de
tude agricu'. . M 1 Fiset, dont 1
devrait être su ni* ceux que la 1
favorisés.
LatilHHH parl.T il.ibor.i M Baroard :
: nous I . ;i-il, à I
risé Tenseign*': . les élèves à la re*
droot Qombn Q itter
pas dans la régéo
i.la géin
-
îgri-
Cultai ; irons pt
lés en pui
coin*
tcipal
la ii"
de
issez pou; nbien est im-
portante la tâche que l'honorable M. Ouin
été le premier à r: il un-
PBTIT-ALBBRT. 151
porte de l'aider à mener à bonne un les réfo:
qu'il s'efforce d'introduire. Je dirai ici qu'un
ublent de nature à po;
rail la distribu-
îollè-
'Hrir
a ar-
ile et
dont
lient
lin."
A l a i
s : (,)
•
-nUitéd* M ot.quiaratt-ntu- Je f
y «ut d«ui ooaourrenU : M. K A. B*ra»rJ. directeur d'aiçrioul-
livre» et
16 poisit
h
a paroi*.-.
comiii
M ne uum
un m.i'i
cœur et le person
•I. mit de ce» I
de pp il Irait |
I
ou li
de» v
." '
tara posr la Prurine* d« Québac. «t M l'abb* ProranUfi r*4«<-
n«r du 1*1 im«.i» (b, <-o«paa*it 4« l'bva. M.Je4y, de M - mtni*»»ir«> <Ht Travail P .
«»« i agriculture, r URua U pr*n.
**MM< à M Baraarti. «t ta M«oad. J« I;). à X. l'abt »
PETIT-ALBERT.v
son p
it du jti
si sou ju.
paroi»-
151 LE vftHITAHt.1
s'il a
: car, av avec
ioes, c'est
jour le jour, n
ibeurs est pe
• I.
derrière la g
•I
d'autres
i de-
PETIT-ALBERT. 1 55
oq vous répond : " Mon père a bien
même I
"
M Le iltivateur
: tir le plus \>r<>
i plus g
et en b
lier beaucoup de foin
ir un
fum. loute
bon n
le f • le capital du cuiticateur.
trois ou cette cull
intelligence, le jeune a^
se trouve, comme on d
Kt a; il doit i
ee la plus naturelle du m\, dans sa pa-
célibataires, jeunes et vieux, quis'unaguient que le mariage est une espèce de ré-
vol uuon daus l'édifice social, une sorte de cata-
IM Ll VÉRITABLE
ta dans le cours ri
! 1 1 mariage est chose to
i a été marié, 01
lis de
lu plus, -
ils de la •<
jour. D
les pays
•; et
il avons besc
De otl
10 de-
nit point
léeeapérer, car les gouvernement'», l»- fédéral
espei
protection sans égala à l'indu
Alors le petit tableau des mœurs douces etpai-
ITT-ALBKHT.
I cultiva-
-
iit :
I vigueur
sou
3
I
D
no'u-
:
lois
I> Ll ViKITAK.1
«lins ait l'aspect tous lequel se
présente "«prit le
Commj corn
ei ligne»
• h côté il i'om-
I
' I'" ir v de.
ippa-
; un Ci.
le premier citoyen
de 8o
le rendre léga fsdanslesau lores,
il pe igesde;
ordre
qui ii propre. N'est-
ce pa~
I <>stce pas lui
qui forme ce peuple qui, avant t -tituo
ms la société
p»ut afhVh.»r coma i dépendance ?
Au méd" il dire : pour les provisions quemes bru savent tirer <iu sol, ne puis je pas vous
PETIT-ALB»HT. 159
mon égard d'otî
i ces
S
:i bonne
;>onr
|u*il
liabi-
nos
de
•» grand intérêt. A
Ml Lt VERITABLE
>ré ftfic niasse de
il intérêt. \
i
:ie pas davantage,
posées h
portance, et ta
le huit du pâté
' aussi, <
tout comme mon savant collèg
tit programme à développer pour
i la prospent-
possible de nos compatriotes. Le con»«-
doen- -eursseï >*sdu
iftlej (lu bon beu: beau-
réponds du reste, vous éte-
\ i pas
1ère c'es
pour no' ' :«e général, !•
les m nts, révolutionnaires, si
m la culture de la betterave à s
i engrais chimiques, du superphos-
phate, par exemple,
j'en >
PETIT-ALBERT 161
et 1»? jour où)
: ii introduits ment
»us pouvons
1 agricole, et
:aire ou-
vrir • ! ni ; car alors
il d'y aurait plus assea pour tous
fine s'il :
;>orter le prix
'lu'ur; ilors
pour leur moyen de faire
progresv
honorons
.Intaut commei|ue
proligu
l
cam-
-
I vou-
il traite de
oie.
r nous dit, dans son introduction :
ïm LE VERITABLE
i po-
. sans éf:
nions politiques d<
Noi
it pour !
1» h* t ses
COl<>
bornes
tout i
tout des i : l'on MnécesMt'' qu'il y a •!»' se procurer le (<
Peuj
sur
PETIT-ALBERT. 1 63
le agricole par quelques observations au.'ration et de l'immigration, dont
ortancem : tirer toute l'attention de
ira et du pays en entier.
emprun-
tons à l'un eoie,
IL ! a :
' !. le notre population aux Etats-
principtles : 1" amour
du cl nt parmi un certain nombrelisse-
! ins nos
tuvreté occasionnées par
• !ms nos
m de
proportion
nlion spéciale de
los curés de ;>agne
ip d'immigration par le
• irt.
des agents e: pour inviter
les étrangers à venir partager notn r; on
Iftl LE TtlUTABLB
a des agent» m i chargé* de prier lea
ious.
" Mai-, il y a moyen, à mon avis, de si
la besogne de ces agents, tout en as*
DDflOOl notre agricult ela,
ma nos cultivateurs, ei
«•uses qui
les mettrai an ,0 * 200
de bénéAce pa eurs pro-
duit- . .<!• ne :
Mors, l'é: voyant le* rives du Saint-
Laur - villes habitée t par des
culiivaiev rau U
Mont les nôtres, q
liront : Ii fait ni' tëUU-
!
our.
et meure eu pratique tous ce» bons conseils. Sto«
PETIT-ALBERT. 165
!onté et mte épre
qu'une ;
CH U'îTHK VII.
Défions-nous du superflu
iHn oe qui ett fupcrllu poar toi»
tanetirlrrupu àrr t>-t le plu«
toujoar* »\»nt de profi er d'unb m m :(é de gent ruin^-
im boni tnareb**. C'est aaergeqt à acheter no re-
irl.)
ivantage
l'or et i ;
lltlliTUllt point «i
intitulé :'* Ddi ir un
nivrage,
l't'tre, à pro-
i il fut|
I trop cher un
;> isser, serait-il adjugé pour.
IM LB VERITABLE
Le superflu est donc toujours la cause première
des embarras i ;
sans égard à plus ou levée
blions jamais que le super!
ment à la ruine et à la dernière des misères.
Le H I' Laça—e unis pardonnera sans d<
si nous n
pour Desgrel" >lon."'
Tout le ! jurra en
Il comme Loi p-'tits : les pr>
que les derniers, ne s» ier le
bon exem mires classes de la sociét-
malti . se sent* idées, comrn-
nalgi
\
DBS GRBLOT8
nage/
boni
téea, les récoltes sont
bonmpas de s*ei
forg»
dont on pourrait se passer; chez le car».
•i
" comme il n'y en a pas dans la paroisse ;" chea
voir des chaussures
PETIT-ALBERT. 167
craquent ;" chez le sellier, on ira peut-être à
cheval une ou deux fois par année, et on ne se
us de co uns le pays ; chez le mar-
ie marchand, il faut avoir
te par la tête, chape, i
ntures, capot, veste, panta-
mises, ool, collets, collier, har-
mx, robes, châles,
nuage Ml Htug* rouge, h
llières, beaux
ne lampe pour la
ipe u pour quand il vient
marchand
sut q terre, il ne craint rien, il
m prochain ; monl'année qui vient, et quinze
cette année n'est pas
enco: voir défriché
I gaspiller ce beau
It !
ous avez cinquante minois de blé à vendre,
i pour pi -sus;
: ndence, tout ira bien ;si
ous rvelles, ces chiquant-
; car vous calculerez
: l'an prochain j'en aurai cin juante de plus,
je puis donc m'endetter pour quatre-vingt pias-
tres. L'année suivante, vous tombez malade, ou
la récolte manque, vous vous endettez encore.
K>- K VÉRITABLE
t piastres ou cent
dessou*
tout»» 3 vous aviez conservé un peu
*eriei p**
obligé d'à
.mm de gr-
b colon é: d'espérancee.
Dr, a h h beau
qu'il paya comptant. Q tand il i la porte
. non
-on chev : il me
ir le
-.yen t.
Le colon
islrea.
r son
colon chercha d t
PETIT-ALBBRT. 169
Il trouva u/i ami prêt ;t l'as t pas
intér?sst'? ; tu pu
•r ton avare.
it «lit, fui n lit
son a I) i
^ lui pour rencon-
:)rit la go
mourut
i•> et
1 lui
Ll vkmtmu.k
• endette fil un jour un vefage" de \ «néant lequel sa :
PÊt le dos de de* clo
Qui la»,
Il i ttee.
traits, tirés d ta 6o»Aomfn* /Mrfcinf,
lecteur sa^ee et
re en garde faire
dea extravagi Lea sages, dit Franklin,
par les mr leur propre
m il h >ais tel q r ses épi
son ventre, et a presque réd m:
famille à se p > » deaoïe,
les sa M elles velours 6tei rr
nx de la cuisui bai enfants et las foin
imaginent que vingt francs et vingt an
peuvent jamais unir. Mais a force de toujours
'.sans y , on vient
">t à trouver le fonds, et alors quand la paita
est sec, on connaît La valeur de l'eau.
vous avos acheté une jolie chose, il vous
PETIT-ALBIRT. 171
en faudra dix au »re, afin
i il l'était
iflff po : le bœuf eu
i rivage."
pour d
Tune
Ira s'ass»
ignée de cette ;
que bien des têtes couronnées paieraient bieo
cher pour les obtenir.
KFUTAHH
Cil IP1TRE \ III.
Craignons le» Procèa : l 'Huître et les Plaideur!
• ur p oeèi r.e vaut p*t U pluMl•»!• * o..|irii) lrujcnt. "
Il paraîtra p
rappo
—itogoufl
les bi
a a»>e/.
Drocèa Dour des chotftt
•ersottue qui pn-
PETIT-ALBERT. 173
que sou v
son
nentepetit
pouraller
ses
re ce
171 LB VélMTABLE
à le i
Justi
il cause :
'
I
- i
t vocal.
M
la loi
du plus fort, i
N'oublions
les é i passage
la m le* procès
et les Cours d
que r re à ces
•ropos daus celle voie tortueuse et
PBTIT-ALBKRT.
l'une
tt ou
pourrait
it Us
}
mie
M I il fal
I
ilin
il i avocats i
I causes. l'tr
I.B VKHITaHI.K
* arrêtées I car il est
l
pour
.•le* se
foula
11.11 :
Ho
\ I adresser
U' m ,rvtl à$
PKTIT-ALBBRT. 17T
•osés à épouser cette
pensée lu" 1er, pour le biea-
: i réglée,
si jan x reconnaître
produire
se rap-
re et Us plaideurs,
sous ci-
L Hl
• ontrent
!s se la montrent;
•»ter.
I iiinwer 1» proie ;
MIMJI
ra faire.
i tuerai.
-
IN I.K VKRITAfU.K
i ce bel i>
< HxifiiiM le reganLint.
Ce repanf.il t. il dit, d'oi
in une écaille
S.'hik il aille.
/ cv qu'il
; il in tr«t«' U-iill. -•• :
Ilui.
Et ne laiiiae aux plaideurs que le sac <
CHAPITRE IV
L'Intempérance amène la Folie et la Mort.
it«nper*ar« • ttii |.lu,i«ur»
l'homme »bf* prwioaf* mt
se, ce en i
c'eau
ligue
re» 1
Rumi drton:. effet, de voir un ivrogne
PBTIT-AL8BRT. 179
finir par perdre totalement l'intelligence, lors-
qu'il l'avait iéjà perdue momentanément tant de
-•s libations sans f l'une
il arrive à une folie complète et
appui de ce que
ilc chrétienne, pu-
-, (l
) qu
dans IV-
l'in
mises
milles i
t à affirmer q tous
aitribu-
M)U.
• fi l'on fait gi ;e de ge-
re et d'e.i >rtion est encore
On ajoute la feuille à laquelle nous
(I) L* •(•tltttaa« qa mai donnoi» ihnf ch«pi'.r» MatnIIm )u<« '•' «a 1841, lui U première édition de eet
oarrAfe. Sillinifuc .r.:, iiou rejrr lion» d'é-re obligé dedire mj a* cm terrible» • • »l «ta née au li»n d »roir di-
minuée* »e Mat «a contraire é.evéee de l* 4 30 pour oeot t*plu C'est là * lur^me it mo b.e . trttte profré*.
ItQ I.R VfcRITAlILB
empr i isson
mille en
• sur
480 aliéné* al mis à 1
ice.
- et di\ mon ]
m: ii vreue. Q
m<i
-son :
les 30,000 personnes tué»'
PBTIT-ALBRRT. 181
I fatales con-
nu s aim
I.
- qui
t l'hydro-
uorte
* à celui qui
BC ex-
ce petit cha-
•>met-
\
Conclusion.
livre en trè^-peu de
isses ou-
le plu
le* h
l'art a
i* les
>out -
se d<
le se
rappelle i<
>ans cesse,
Voir le* ouvrage» du ' l.»R«ic de I «fabé P.
l.inqw, d< Lkimt, do Dr XH ..)mih-, «••<•
.•• màÊÊÊ Al «mvrr )••• nr< oonpriit du
Jtmmtà cfÀfnculturf et de la ihutttt ém Cwyyw
PETIT-ALBERT. 183
la fana I i P> P. opos des
grelot iblement elle
\Wt au Parlement, que des
hornin nt attichésà nol na-
tional it nos
rminatio
toute lpur in fl
lion sans • ir fin-
l
illure. Ofl
I
Jour-
l
ilî
la
184 LK VÉRITABLE PtTIT-ALBKAT.
i sein
desqn
• peser vingt
. .iv.uit «t se
pour
M Oil-
lui pas le
plus m m .
rages par-*
- m luxtri
sobre et
i, sur
il vers le
encore à son ces gra
cipes i, assur*' plus
rich*) i de rec • Ha pourra
léguer à Ml i fanls !
LIVRE CINQUIEME
PPENDICE
Recueil dei Merveilleux Secret» de la Nature.
de la Médecine, de l'Industrie, de*
Sciencet et des Arts.
PREMIERE PARTIS.
auu-
l t/ert
>«'• LI VBMTARI.K
ddvra lun 'le secret de te
•r par ce
à la seu.
un par.
Srrft pour sr f itrr d\,i\rr - léê ftMll, l'nnHinf, le réri
r m faire
paMr aree dot barbe* m «ub-
lui -ti '
•iiT»il.
|;,, .:]. t.. m'. - 1 - !••;- ijil'oii |....in.i r|in> •l'un i«»un.-
Il fil lier i
S'frrt poir MuMNT /*" RMM — I *r . tu-/ un I>1 > •• l'«r .!,
<'lfi-j deu« jrr l "«^ '"'
t mm i ft <\% . Le lendemain
i liiverei avec «ie l'eau de funUiae, et rou«
nurei le ruaire très-blanc et tree-bhllaot.
PETIT-ALBERT. 1 87
les mains d'une éclatante blan-cheur et d'une douceur agréable. — F.tit.-> ma I
;hea 'I»
nphra et a
I«j suite le
m» et
>-i*agc. — 1
1
i cheveux noirs et très-long*. - I
ter la chute des cheveux. — i
ia la tnèteres avec do l'eau et vuu» vou*
I |Q I.K VÉRITABLE
*.—OU M
NU lM »ur.-* l.|..n«i* :
la le*eiv<
i un p*u
sa la li'Us toiifl lei» «in» p»-
l'mir liwrr tnttn i' • 'rmrni ta >mrf>' rt U* mou<-
fort&er la mm.M.
-
Sfiirt i„,<u' /'" 1/ 'i 'tiblf-i<' <Ull rut M«-l t«-Z i.lll»
un linimoiii
HH •! ftfÊÊÊ en •,
i"- '• - j"in - • • > MM .-ii MMuni \t» |uiiipirn-i». (Ce rwnr ir un*
omnamlMilr. )
Pour rendre les dente d'une Hanékemr éclatante et don-
ner à la bouche une euave odt w mie
z «nié et tien* lr<jqel vou»
»up • frnlU'rei loti'
PKTIT-AI.BERT.
la maux ou raye de dénia.
Kiee et l'iu-
tl aux(Ce secret
xlla.— lasi
i'uii «'iifau'
m ùre cuite
•t un u
Cm insecte* qui «'y loi
uj suite de I huile chaude ;
i!»'l LE VÉBITAMI.tt
tmitt la mtgraine. — Prt»n*i dm m»rI
.
/'i'«r i/'inif /,, nuoUmrnt Ir rhmiu <U rrrrsau l'rt t.. |
f!iiu»i funilre «tir
I
I
tnt RU
PBTIT-U.nERT. 191
•ecothl soir c\ :
. *nt.
•>mac. — I.
>-e aitière le matin, le
et la soi'
île de
ans les siégvs des villes, p»
;•...<, t
- convulsions occasionnée» par Ut vers.—[»luinc,
m* t'aspaee
Srir promptenent Us coliques. — Preoei une•••* appelées mi. herbf
nouée, env is-eo les pieds, et U oollique cesser»
Pour guérir Ui constipation è rinstamt m/me. — Quant la
ooastipatioa est opiniâtre, il faut appliquer un sinapisme
1S2 L» VÉBITAiLI
I* eoioone épieière à I» région loi
• évacuer.. r*a après •
•MM <i«- iM-irn- fi i -. iv.-.- no demi-rem de \ il- Ma -«]<••
i cnnaite a\ «alenr
;re guén* •• laissera pa*
âecrsf jNNir ft^nr ta paraiutie en quelque* heure* —iver ; fait**
bien le* « » et la
ivec do s* i et que U
•tes et
mmp>..\. i, / r. .:. K|.p' ir.ttioii mu boni .i«> déni limrr*.
mnir prompt rt
.tppli-
•latne, U (Mtrlir befj-
i tràa-graves que de*
<r)t« <>u «v
>
uppli'i '• moitiés en fonse de calotte, eur la têt*
PETIT-ALBERT. 193
is laisserai ce pain jusqu'à ce qu'il soit
' * entorses des pieds ou de» mains.—Enve-
pres-
I
. I avec
pâte
itrv «les q
! lis MM ' H" re, «lie •!«•-
Lave/
\?l LE VéRIT v
rkêtê, UM UUM <!«• f«'
M»'ti|i*n t« »'t | if < t\ . m|
i j f m «**t « if fr i i-t|« >i. }. it .* 1 1 • <1 *
Wnrw». Hnr.^ ;
Lui- MM pi •• "i - irli-f ii' |... ir i|tn> l'.nlfir et li- j».. m
inéa ; »pi>
plèti .1 a «litJiTitr :;- |> m\ « il |>!»l« ;il..r« n.jj.p .rt.T IV4 -m in MHon-< i
•• i|i.'»»u,« ••(•: i iv. r un pr..f.iii.|
ipinati.lth à un
4e U1
N
•r penn«Ct< >
OTVOatie.— ^
J««'.l* .i-- V .,. .il Tf. r .•i t - v..n |. •»).;.• « l'iinnil^ rt htl
* Il y <i *»<>•*• l
• bout de la via, comme un fautoin* a I •xireinite d
PETIT-ALBERT 195
• dans l'éloigne-
mnis h n eu approchez elle grandit :
vous so!< iimius
froid
•I
» énorme anr t.'lle,
métier,
j\. riioiiiiui- <!•• pi*
lui «le
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1
iiiblet,
I
- «lfVi>ir il
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•mi gas*U<
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l>i.|i»|..-t|..tlu.-> |..m.i MHUIM •-.i it gr»l
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DBUXIÈMB PARTIE.
nuira l mc
cèuiouV; et «lnj» un autrt" }>l»t .i,.-..i ««mm
ION
de oeodres craveb»** «ver nuesi
M M fr« »i ' •
Îro* •!• 14 otieea et 4waîe
léifèreiiH'iii I
S.,1,1 jrllll Ifllfl I l'iil'l, l> PI III ri' l l•.' JNMM
Jeieo
née A*
TIT-ALBEBT. 199
Pour préserver le fer de la rouille.— Faites-le < liauffer
jusqu'à r, i uia
lui fitir
Ifl serge, et j»uij»i> il Dfl M ruuiUera.
«i brtUant que
fer à la
Ifl lui doo-
l cuivre et
H nrmrs. -
LE VrtM I I
Pour apvUquri I but U l«
Ml <iinl>ri'( WNÊÊÊ nu |
MMM Mtfa^M titu-.Uir-.
nioontit il
. r verte
l'alun
l'on i,iiifrl> hots ft\ >i',i, poli. |lr<iyt-z »nr Ir iiurl-r.-
le «lan* cm vaitvu'au tle terre, conclu •/ bois avec'in pin /. «vw 1.4
mT -le* do
«>li»»e*.
•*«ir le
on pot•
Vnur tmêultr h '•»••> rJ« Mytr >»* il ftérim —Bit%« /
•le In rhnin vivo 1U11»
laquelle voue fer» x lee on
S M
Pot»r contrefaire la racine de noyer.— Pa*».
boUaept <>u Mil coucbe» «Je eoll»
ievieoue luimuit, puia «louoe/ » .•..ut uni u. avec U brueee,
•iea «oaps de Unir* bien
I1T-ALBERT.
Pour marbrer le bois. -I>.»nn.-z aux bu» deux couches:•• «lissez, ess ajez
-erver .tu 1
• le marbre blanc fur le bois.— !
plot U-Hii que v..us pourrez
,>; au feu ;
polisses ; maïs past»-- lessns avaut île
m tur U bois.— Filoierez
le ooir
al» fii
•nt.
: . i
• e blanchir la
:is on puéluti, on |ir<
bi»is <,-isMju'à I «
J«|J I.t vkKITABLI
Kor en .i^Uclier la cm. QmmkI on a fait poaaar ainsi pari rociM-ill. harba
«•v jfiaqn'é ae qa'ella aoit Manche, «t oo la fait
unit aiséiiK
tembltront
MME MMH II NTOMl «'«•"•» <l'irnhle* -fir li nrr J.-'.t. .!*•
la chu
trlr |«^n I »
ei ti«r la peau
•a «lu
7\„<r NMMM A,,m/.— !.
BOJ
Aê
I
* 203
'ux et
-lui iimoger
le jug-
j trop•
>n lui
-
d'uu tuyau de
plumei llll H
-••* de Paaimal, <>n lm
il iiit-i guligtHiitiulIeg
!
le lait
daim ]•
• l'on m-!
l'on iimiul
r guérir prompt* mrnt et infailliblement le piétin desmoutons.- Nettoyez ;
204 LE VÉRITABLE
driMM U o<>rw. IMTM l'abcea ; il n'indique par
de lu curiii». Ou puie an* oo deuv
on d'en
«rati |iénétrar U' « heure» aprè* U léne et oe
eWalede iri'.ti--M. à ttrii'i • - i .'réjMnttiii'. , ,.. . .
.{••tiré .!«• la «t aprèa !•
l orrei vwrriii'i.i Itl WÊÊk El MBipt M t
*1
1
; j •—
-mtOetâ^m les mtf»
•'«lin
/a lerrt t:
lut» et elle eem Atroce dejurrrr «r
I (MM cow
•• avec
Pomt eoneerrr* >* eoWOn.—Os k»
lune uu Lm
PETIT ALBERT. 205
-*er un œuj par le gou
M Ift ca*ser.—
M
i
lima-
-
-
•J.n; Lt \ »
Seer. I -a «oie de chemine*
<»hii rliargoo d
yer, renée dans \a f<
< r preeerver le» semences de» insecte» et de» tneeemxlojuqu'on le» a mite* en uer vm au-
(«mpc avant dr
<-» des dégât» que mutent U*
Pour conserver le blé pendant innée*.— 1
tex|*«é«à (nus l««» veuta, de
l'ul ne n
le ans rayons du ni '• c» uaeut
plu» de cinquante nui.
\t.thi-U},r<>m
t.t. rt fèêtik pour convertir t ,utr rsyct
d'herbe en fumier. -YA« *<> rrsltm à décotnpnaar o
dootfoD végétale rëceute à l'aide de la i
I
-
;
-
«vre et ém ver-
eMÉtrtem
908 LI vgRlTABLK
trw, UilcA-y l.-iillu l.i vi DQlMM
0MMMMt ./ ff ffêêm Ou Ittiti! rci.io» KM nuir
H VKM'.
i «rwri le*
c'tul-u • la to;ir
PK i.T.
nertti ii on <li.ii l«.if
quoi '.u |i
i ruits,
I
• MX lU'
LU VKHITAK
tarbe* de cire qui m trouvent sur le
détache la cire qui n'eulève eu-
Pour enlever des lâche» <fl
l' ulerer le» loche* de rouill sur >
a la pi
Vous le» BM i>l «UC Je g
sans T.»u» brûler les tuai
Secret pour »)
le» m<r net deux oncss de
«'•le* le tout en-
atttt oonpotJtioBi les trwapet «i.tn» i : y -m ! ; i . -*.« «
im/i MNJ
'< WWestampe. M IWn
P »« /-#• mu i h h manwterH Irt h
daot du i nés une •
passe/ très eftaoées rsparalsroat.
1 -\I.IIKHT. L'il
OPINION DE LA PRESSE.
I M *t,
I \ a.* à 1r
témoigner notre
B tr.'«<>r, |«r
i la préwe rient de r«r
ttir Iji un de ce*
il t'*K
i o*x il enseigne, non à trourer cet triton qui n'ei»tenl
que <Un« I inuMT»»Uon (TeepriU malade*, ma» il enaelf* àtonner le* moyen* d' arriver i une honnête alaance et mbh boafcit t" ",t 1 '"
i'1 "" ^ ll '" 1 """'»r >
ri,lu » "»*• ,,r u"'* !"
tr«-«nrt
i" surtout à dém< rtance pour noua,
«'»n.ulirii«.rrun-.i»i- )• ;••-• no* mtoorcet **ncole« rt île
défricher mm tenr* inculte*. <"e«t aux dan» labortrnww de*
•t de* raupafrne* que ce livre e*t d.
I «il\ r:i r '!r- ' !•- ir ... i I"- MM| >1 ;im«'ll«>rvi «» |»»«it;«.T
-t U idua noble.
•vu' aC-
-. dan* cet opu
litM ! hfllVÉ i.: -i i l.i î-tr' 1 !!!* I .ti.T.< Ai 1 1 'trv !»* ' iv ... i*t
t l'agr
iquanterfc. m].pu:
l«r»Jirir 1,1 [in l!l , 1v i
' i'tl» >ll r I . ». ' l > • I. t
r M.funr. 213
Z'iytde Montri-al ibrr 1861.)
Vous «roos reçu ce petit rolume,
• (le U lectu
janvier !*•
v|ioirr»pb«
-
!• ncienee» et «to «n
[ U <;,wtu J» &wW du 3! déewii*
mil Ar <,>»**!' «t
n»ui iivi.ru» pu • / i !/' - ! r> uf. rw <»«• MVMM
• .un «ceuson* ii'wptfc» d'un |«un
an trénor <
«In H
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ps avi* m! .
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"•or de o» pi
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I pu
TABLE DES MAI' IKK
LIVRE l'i-i
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19
1 ragm-Rongv <t b\ l'un.
I .« trou fameux • <
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41
I
ire de troia Chercheur» de Triton,
81
>cun de Triton,
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croyance» juaqu'àoo» jour» . 99
i.K DKS MATIK
LIVRE TROISII
BJ Duquet, Joseph Norbert
U98 Le véritable petit AlbertD861881
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