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ZT Armé?. - N 8989 _____ rrem.ere_Ed.tloi. \ _ Vendredi, 19 Février 191^ JL_ S Imlt M"'|J El LU If. mt&m+3W''n& JOITRNAL RÉGIONAL QUOTIDIEN Dire*»* : Ren _ MERCIER "~ ^T^ENTÏ T TR0 "- M0, *| 8,X ^ 0!8 ! UN -" I] Jl Direction et AdmimstraHoîTr Bureaux de Paris IT^cS PUBLICITÉ 450 9 > » C C I^f 7. t o , , r ,, a J n- C La pslEdté e* reçse i fAgesee Haras. 8, place de !a Booree, à rAgeaee î<5_o F. îew% C V' _____& Même Vossses ...... 5 » I 10 » 20 » F*B_a_rg Saint-Jean et Boulevard Maz»gr« Fasesge des Francee, ""m 31 i 1 ».(esboirg Moa&w-tre. *u bci*_n_ de ÏEsi Tcée-Mec'n, p-».:*^ des Prises*.P«* ^^U«ft^ v -i 6 " 12 * ^ * çJJ NANCY 97, Ree RsA-îiî!!, et 5 bii, Eo-ewd dee h&m d__ toatn le* Agence», et a l'firf ftepaMea*-. a N_K-, Leurs accès de violence ] reçoivent quelques sévères leçons l* COMMUNIQUÉ OFFIGIEL Paris, 17 février, 15 h. 15. j Malgré une canonnade intense, ics avions français et anglais qui j i rivirîiX - d^ivU^ et d 3 C:ilende, i * ant pu rentrer indemnes dans nos I j lignes, à L'artillerie belge a exécute des « 'tirs très efficaces sut dm rassem- j blements et des abris. En Champagne, dix contre-atta- ques ennemies ont êii repoussêes i pendant la nuit, i En Argonne, activité assez grm- * de. Mous avens. pri~ de uux-Charrnes, détruit an block- haus, et une centaine de mètres de tranchées. Une attaque allemande, pronon- . cèe par trois bataillons au mains, < entre le Four-de-Paris et la cote , 263 (ouest de Boureuilles) a été \ trie !:•:<■> Aorrs fiîi- Wi tentent repomssêe, en infligeant à !{","'> p U . et «n faisant Plus à l'est, dans le bots de Ma» lancourt, nous avons enlevé une centaine de mètres de tranchées. 1 Dt '■ aux Vosges, rien à _.. . j SUCCES Sm TOUT LE FRONT Notre canon et note baïonnette ! ont bien travaillé | de la mer à l'Alsace ] :?' COMMUNIQUÉ OFrlG.EL Paris, 18 février, 0 h. 52. Voici ie communiqué officiel du 17 fé- j vrier, henve< : De la mer à VOisa, notre artille-1 rie a exécuté des tirs efficaces qui ont dispersé de nombreux rassem- ' blements, fait sauter des caissons et détruit des trains. Au nord d'Arras, nous avons enlevé deux lignes de tranchées et refoulé de violentes contre-atta- ques. Nous avons fait des prison- niers et infligé à l'ennemi de fortes pertes. De nombreux officiers al- lemands ont été tués. Bar/s le secteur de Reims. prèa : de Loivre, les progrès faits dans la journée du 16 février sur plusieurs centaine? de mètres ont été main- tenus et consolidés. En Champagne, nous avens poursuivi nos gains, au nord-ouest de Perthes et enlevé des positions ennemies mr- un front de huit cents mètres. Toutes les contre-attaques alle- mandes au nord de Ménil-les-Hur- ; hts et de Eeauséjour ont été re- i poussées. Nous avons pris un gros lance-bombes et plusieurs petits. ' Nous avons fait 200 prisonniers, j £e combat continue. En Argonne, nous avons pro- gressé dans le bois de la Grurie et maintenu notre gain malgré \ deux violentes contre-attaques et \ de très chaudes actions à l'arme Manche qui ont occasionné à l'en- I nemi de fortes pertes. Une forte attaque allemande a I e<e complètement repoussée au Four-de-Paris. Entre F Argonne et la Meuse, - nous avons progressé sur divers pomts. En Alsace, nous nous sommes 1 r endus maîtres des croupes domi- \ nant la ferme de Sadel et conservé tout le terrain conquis. Les avions français ont bombar- e « Sars de Eribourg-en-Brîsgau. *~~ Mavas. aJrL^É^* 0 ?* 11 651 qnestion dans h MTOgi uqué ri-iesaaë est un contrefort A (fc. d0 «"'"willer, «l'nnc altitude t r<v« J 0 ? eii < îpl «'éfëve ù trois UUoiUo- .vuftrtLï 0,m m nord-ouest- de Hartmans- BlKib-^K y a ^ èà( \ à l'est par la vallée de mmem* qui part de goûte. Le nouveau raid pour achever l'œuvre j avec 48 avions Paria, 17 février, 12 h. 5. LONTJFK (officiel}. Voici des détails sur le dernier raid aérien : » Des bombas ont été lancées sur les gras- [ t ses batteries élabties à l'est et a l'ouest du port d'Ostcnée. sur les positions d'artllle. n rie de MMdelkerke, sur des prolonges du train des équipages, sur la route d'Ostende * à QUistelle et sur la mole de Zeebrugge, en £ vue d'élargir la brèche pratiquée au cours des précédentes attaques des écluses de " Zeebrugge i sur des chalands en face de j Blankenberghe, sur les chantiers en face de Zeebrugge. « Les avions français qui coopéraient au . raid ont attaqué vigoureusement l'aéro- # drome de C^ûstelle, empêchant ainsi les avions allemands de couper la route aux avions britanniques. -—«»»•«»■ £ Un ParseYal en perdition j Paris, 18 février, 1 h. 18. i Av.su PTIVM. - Un dirigeable du type 1 Pareeval, désemparé, a survolé la ville, î ce matin, puis a disparu sur le Zuydersée. 1 I II a été ensuite aperçu, vers 10 h. fs du ' | matin, survolant Hoorn. Il avait alors | perdu sa nacelle. Kavas. 1 Les Taubes Paris, 17 février, 15 b. 35. REMIREMOOT. Deux Taubes ont survolé | j les forts voisins de Remiremont. Les pro- ( lecteurs ayant dévoilé leur pr: once, ils se . sont enfuis sans laneer de bombes, chassés par les canons du Sort de Longehamp. ' Havas. 4 Paris, 17 février, 18 h- 40. 1 i BELFORT. Lee feux des forts avancés de 1 j Belfort ont obligé un Taufte qui essayait 1 ! ce matin de survoler la ville à rebrousser i I chemin. Nos avions l'ont poursuivi jusque dans les lignes allemandes. Havas. _ --■»»■»■ ! I I ! Les inscrits maritimes de la classe 161 Paris, 17 février, 15 h. 35. \ - Un décret rendu sur la proposition de> [ i M. Augagneur, iuipistrc do la farine, au- 1 1 les hostilités, des inscrits maritimos a^bâ j '• do moins de 20 ans. En exécution de ce dé- j ccet, les inscrite défichais nés en 1896, ' sauf ceux emfiarqués sur des navires exer- j I Ciiiit la navigation actlv.)» seront uppeies j ' ;m service cte la flotta dans le délai d'un j les naturalisations Paris, 17 février, 17 h. SiO. S La conuntssioh de la naturalisation a approuvé Lp rapport Coljn, î'ovornble | i au principe de Sa loi .sur 1-e retrait de la dans le texte'voté par là* Chambré —lia- | i vas. v I .... . ^> <a~&~~— ,.\.,.«m ; * L'incident hispaiio-mexicain Paris, 18 févrif», 18 h. 15. ' j VEISA-CBUZ. Le ministre d'Espagne est j | pai-ti pour Cuba. Havas. j i i ; Le générai Garibaldi ! Parie, 17 février, 17 h. 20. I Le général Garibaîdi a quitté Londres j i pour Paris. A son départ, il a été ovation- i ' pur ses compatriotes. Havas. " Pai-is, 18 février, 1 h. 15. ' Le général Garibaldi, sa femme et sou [ . fils, k> capitaine Riciotti, sont arrivés, j ' dans Ta soirée, venant de Londres, à. 1$ j * gare du Nord lo eéitéral a été chaton» | ! tfcusement aedamé par les vovaaeurs et ' | par la fouie. - Bavai" * % ' j ,. -»e>» I . I Explosion dans mm usine j j Paris, 17 f évrier, 15 h. 30. ' Une explosion s'est produite â&na Puslno I f i de Chedde, *su cours d'expériences de ma- I îaxaffc. Un bfitiment a été ass^z sérieuse»- I ' i mtsît endommagé. Il y a plusieurs victi- i . mes. 1 La fabrication explosifs continue. j i j Ita ~.^ ' .■■■..» îifHIHfr1 « | Deux nouveaux complices I de Desclaux » I Paris, 1S février, 1 h. 10. On annonce quo deux noweltee aires- j talions ont été opérées dans l'<.'-ff&iro Dejs- j * claux. II. s'agirait de deux convoyeurs, qui j I auraient transporté les marchandises ué- 1 » robéos pur lo payeur aux armées Des- 8 ciaux. Iïavajs. La crue du Tibre Paris, 17 février, 1 h. 10. <) ROMK. - La crue du Tibrs augmente. T.^ i ] fleuve a débordé en plusiowrs endroits, ao- o tamment dans quartier Dorgo, Aux en» .- j virons de la busjikjUfi Saint-Pi,ul, toi eaux i- j otteignax'.t lo premier étage- des édiiiees, i- ] Dans filo Ban-Duriolomeo, oi'es ont pro- c j vogué des explosions dans un magasin da j carbure ae calcium. Havas. Les Bandits m la 1er Plus de navires neutres ( tous ennemis Paris, 17 février, Î5 h. 35. Rotterdam. Le consul d'Aile- i magne à Rotterdam vient d'aviser L la Chambre de commerce que les ' navires neutres naviguant dans la c zone de guerre maritime pouvant \ difficilement être reconnus par les 1 sous-marins allemands, ils seront ] détruits, sans autre forme de pro- ] ces. .^.ktl-JL. Réclamation ctsIlecVm i dss pays Scandinaves STOCKHOLM.Les gouvernements suédois, danois et norvégien ont décidé d'adresser 1 des représentations aux gouvernements an» glais et allemand, au sujot des dangers : qui menacent la navigation des pays scan- I : dinavas, tant h cause de la communication i latte par le ministre des affaires étrange- [ 1 re& de Grande-Bretagne, reiative à l'en»- i < ploi éventuel pour les navires de commer- I co anglais de pavillons neutres, qu'a la i suite do certaines mesures militaires que j l'Àllemagne a l'intontion de prendre dans j les eaux entourant les Ilos-Britauniques. ! Los notes des trois gouvernements seront identiques. Havas. Un vapeur français torpillé Paris, 17 février, 15 h- 3. Le sous-marin aHîmand c< u-l>; » a coulé ! hier, au nord du phare de Bas-fleur, le va» i peur français « Vîlle-de-Li!ie » allant de ; Cherbourg à Ounkerque. Il a donné dix ml- j nuies a l'équipage pour se sauver dans les embarcations du bord. Le « U-iG <> s'est dirigé ensuite vers un vapeur norvégien pour le couler, mats la division des torpi!» j leurs de Cherbourg étant arrivé®, Il a plon- et a disparu. Mutisme de coupables Paris, 18 février, 1 h. 18. LOKUKES. A la Chambre des Commu» | nés, le secrétaire d'Etat aux affaires étran- gères a annoncé q*ie l'Angleterre avait (ait de vives représentations auprès des f iEtat<>Unls concernant le fraitcn»eni des | \ prisonniers anglais en A'îcmegne et l'inofe- I eervation do (a convention de La Haye, j ! Les Etats-Unis communiquèrent ces repré- ! tentations à I Ailemagne qui n'a fait au- j eu ne réponse, - Havas. | A la Chambra américaine I Paris, 18 février, 1 h. 15. WAsaixirroN. La Chambre a voté, par 215 voix contre U'I, le compromis sur le, Ship-Purchase-Biîî. Havas. « ' - ■■—~—«#>•-♦■ s j Le vapeur " Laërtes M j AîiS'rcnDAM. Le vapeur « Lfîerfes « a quitté Ymuiden, anjourd'util, por*> Arns- I terdnm. Havas. Le capitaine du u Bllicîier " meurt d'nne pnetinionie l'aria, 17 février, 12 h. 5. LogBRES. Lo « Daily iMail » annonce ] I que- le capiiaint) du croiseur allemand ] j « Blûcher », récemment conlé dans la mer j du Nord, a guceoinbé à une Pneumonie, ! contractée pendant qu'il nageait après ta, | perto de son navire. j cri éu ventre Paris, 17 févriei-, 15 h. m. LA HAYK. Près de -OO.Of'Ki signataires, j ayant moins de mark de revenus, ont i ! demandé au gouverneur du Brandebourg i J la diminution du prix des vivres, f BÊKLIK. La « Gazette do Vose » ap- { prend que le gouvernement allemand pren- i dra des mesures pour empêcher la hausse < des viandes. Il a limité la production des i j brasseries. Havas. I Cela semblait un peu fort j Paris, 17 février, 15 h. 35. j Un journal du matin a annoncé que la [ grande-duchesse de Luxembourg avait ac- i [ compagné le kaiser à Longwy et s'était J même fait pliotograpuie.'- avec lui, après j le bombardement de cette villo. j La légation de Luxembourg en Francs I dément cetto information. Havas. Un beau geste i - 1 I Un habitant cto Bourç, célibataire a eu l'idée de reetercher, parmi lee &oldats da la garnison un jeune homme sans famille, à qui il servirait pour ainsi dire de père pendant la durée de la guerre. Il a décou- vert un jeune soldat, enfant de l'Assistance publique charmant jeune homme, qui ré- pondait bien ù ses désirs. ( Le jeune soldat, parti sur le front, sait . maintenant qu'une ûnio gr.norcu.se s'inté- . res&e à son sort. Il écrira, reoevra ri<\s Jet» i tras, de» mandata^ tout comme se« i-uuai*a» dss qui ont un père, une mère, due sœurs. L'idée est généreue et valait d'ôtro con- i une, pour qtie te g&ste du célibataire bros- stui trouve des imitateurs. La Conférence socialiste Ceux qui ne veulent pas d aller trop loin On sait que les représentants des partis WttSiTÏ«» bnÇmqllelm bu- bl (^lkn^ê\^% ^Zment à la con- A férence, qui fut présidée par M. Keir Har- À die. On remarquait pamii eux : MM. Mar- cel Sembat Jran Longuet, F.douard V'ail- a< fê^W^'S ^ntoT'dlpSé P' belge ; Roubanovltch, délégué russe ; Jou- haux, secrétaire de la Confédération géné- BaitisaY Macdouald H lloberts Hod^e « I* Cette conférence ne peut pas igno-1 Q I dantes et porte mi coup à la loi des trai- d « Dans ces conditions, L> victoire de ]ïm- g periansme aiiemand serait la défaite et la J ruine de la démocratie et de la liberté en a « Léo socialistes de Grande-Bretagne, de Belgique, de France et çte Russie, ne pour- j suî vu ÏI t p cis Foc î'u s-tMïîf 1 n t 1 a. nnl i nwf *J$J%L$$&$ qliC la Eel S i( ï^ so »t u- i ftôree et reçoive une compensation. Ils dé- 1 j sirent que la question de Pologne soit « lanais _ (pi us sont_ résolus inflexible- i i mt-nt a combattre jusqu'à ce que la victoire soit obtenue, et accomplir ce devoir de li- ! bcration, l«s socialistes ne sont pas moins 0^ r iama^Ia 8 ^ff^^* nSffi^lî Ë" 8 v luttes aux }*iiucipes du socialisme in- i j ternationai^ les membres de la conférence I j ijientot unies dans la. nute contre le niili» i tacisrn« et l imperiaiismo capitaliste. , être la victoire de la iiborté populaire pour fabricants d"armements et établir une au- I torité intan'a-tionalie pour régler les diver» | gencos entre nations au moyen de la con- ! ciliation et do l'arbitrage- obligatoire et forcer toutes les nations à maintenir la | Cette conférence proleste contre l'orres- | e^l^condamnation da k^» m^V^m j chef, ainsi que contre l'oppression des Fin- landais, des juifs russes et des Polonais Une protestation indignée j Paris, 17 février, 18 heures. 1 Lo Temps publie une protestation de I : MM. Chauvin et .'VUemara contre l'ordre : du jour adopté, dimanche, à Londres pnr los KQGio.Ustes des pays alliés, disant . qu'aussitôt, après la guerre, les travailleurs f « NOÏV 1 une pareille monstruosité n'aura [ I (c Dès aujourd'hui, nous mettons au défi J I les délégués à !a conférence do Londres de [ I tenir ep France, après la guerre, un con- grès international Budekum et les au- j trep espions de Guillaume assisteraient. Il I y a heureusement assez de socialistes pour j s opposer a un tel spectacle. » D'autres font des réserves I réuni cet après-midi. Plusieurs membres 5 volonté des socialistes des puissances al- 1 j La Presse anglaise et la Conférence * j LONURES. Le « Daily Chronicle » (radi- 1 les socialWKs lu tient non contre les peu- | Une seconde édition possible de leur défaite d'Augustow Paris, 17 février, 18 h. 40. Pétrograd. Les journaux pu- j blient une note officieuse disant \ que le mouvement tournant des ', ti Allemands contre les ailes russes, j g dans les forêts d'Augustow a été j n dévoilé à temps et sera aisément ! é paralysé. Havas. a _____ j, Paris, 17 février, 17 heures. ^ De Rome au « Temps « : \d ques,, que le pape, ému par le manque d'é- gard'des autorités allemandes envers le L Deux câbles avec l'Amérique I coupés î nie 17 4J irmidii- _J«i î- -.■■»■-. La compa^.nlo française des câbles télé- ll-Llit JpTSUXIGG (h i AîïlOfiQU.6 0_1I Lit?, COUpCS I ^ ! dctiis lu. nuit cic iuncii, à envirou -IOO milles , * de Brest. Il ne s'agit nullement do faits do | 1 guerre L'n câble a éié coupé par les glaces descendant du rsoru. La causa de i autre i . * * 1, » ! » <mm j < Espion fusillé Paris, 17 février, 15 h. 30. < BpiwE-as. L'Allemand Statller Vllly, | , condamné à mort par le conseil de guerre H de Bordeaux, pour espionnage, a été passé ! par les armes, ce matin. Havas. j Maigre chère,.. ; Les Allemands invités L à supprimer la " tartine 1 j « On lit dans la Tœgliche Rundschau : , « L'ordonnance du Conseil fédéral avait fixé à 100 Uilos la limite des stocks de fa- riae éeiiappnnt à la déclaration ; cette l limite vient d'être abaissée. Nous l'appre- ! nous avec satisfaction, car c'est la seule \ 1 façon de mener à bien dans l'Intérêt de ' i tous le plan d'utilisation des stocks. En abaissant de 100 kilos à cette limite, on ! uourra soustraire d importantes quantités i ! que cette mesure soit impost-e aux commu- j j nés et non point laissée à leur bon von- > I loir. « Bien lies choses restent _ faire pour i restreindre la consommation trop forte du ! pain. Il y a encore nius d'un abus à com- ! j Dattrc. 1 arnn ces anus, il taut citer le sou- : thfuc est la « butters tulle » (tartine de J paip beurrée) bien connue. Les gens sans i io >, tune se coupent le soir une tranche do ! \ mes de terre "chaudes, au lieu de pain/ seraient beaucoup moins chères et feraient j plus de bien. Sans doute, on ne peut re- j procher à celui qui a travaillé toute la "en trois minutes. Mais c'est wn véritable abus que les ménages plus aises tienneiit 1 encore, par raison de commodité, au sou- per avec du pain et du beurre. a Le conseil municipal de Berlin a expri- mé, dans son appel, l'espoir que les nabi- I tants auxquels une autre alimentation est j financièrement possible, mangeront encore j moins que la quantité de pain fixée par semaine. Or, c'est au souper que l'écono- mie peut se taire. n Dans l'Allemagne du Sud ou dars la province rhénane, T<M» prépare dans toute ! I Itx _-i._l--J.Lv.) ' - " - MHjl y ° 1/ ^ u -* i faire la cuisine. 11 en est tout différem- I ment à Berlin et dans le Nord. Là,, la cul- ' sinièro ou la fille de la maison protestent , déjà lorsqu'elles doivent préparer un thé I ou deux e:ui's. Elles préfèrent aller cher- j j cher quelques tranches froides chez le ! charcutier, couper un pain ou un demi- j , pain et le manger avec du beurre. Cela | , constitue le souper traditionnel du Berli- : j d,c Btriin, uui enseigne la phvsiologie de I l'alimentatt'-n, a souvent écrit contre le] j souper îroiii du Berlinois et recommandé . de servir chaud un plat de légumes ou de bouillon, C'est plus sain et c est meilleur . marché- Toute maîtresse de maison recon- I naîtra qu'il est plus économique de prépa- | rer un plat chaud que de servir ùn souper donc lo souper froid. » ( K_So55fJ_^ I * m ' « *M OUIB Qo * OT3 S O t% cil 6TÏ16 i) & < t Cl * * i v It-rO Cj U.Q si l'Allemagne n'est pas battue do telle sorte qu'elle puisse être désarniée l'Europo î no jouira pas d'une longue pais.' << Lo désir de l'Allemagne battue doit * être, après la guerre, de diviser les alliés à son profit, ded honhnes d'Etat dos na- * J .aient le DOUYÔi- de lo faire. » L'agression albanaise aujourd'hui punie par la déroute Paris, 17 février, 19 h. 10. Nisch. Notre armée est en- trée, hier, à Vraniche. Son avant' garde occupe Chainovotza. La gar- nison serbe a été délivrée. Elle était cernée dans les mosquées _f avait, lutté héroïquement contre les Albanais. Les troupes serbes arrivées ? à Prizzon ont réussi à refouler les Albanais qui s'étaient avancés dans la direction de Pakliche. Nous avons repris position dans un bois, : après un combat acharné. Les Albanais sont en déroute | vers Pachvatz, poursuivis par les nôtres. Un fort parti albanais en route vers Goura a été battu et obligé de reculer vers Korinik. Les pertes ennemies sont éle- vées. Hassan-Bey conduisait l'at^a- i que. Il s'est enfui avec peine -en traversant le Brin, accompagné ; par quelques cavaliers qui, eux, se j sont noyés. Les habitants affirment \ que ce seraient des étrangers. j Le territoire entre Hocha-Zàgê- \ nadmna et Vabnitz a été nettoyé ! de tous les ennemis au cours de la ; as I journée. Sur la ligne du département de ! Doctrid, nous avons réussi, hier, à i reprendre la position de Ragàtz, après un combat qui a duré jusqu'à i six heures du soir. Nos troupe» i ont passé la nuit sur la position conquise et ce matin, la lutté...a j commencé autour de Toneffre- Sam. Selon les derniers renseigne- ments, notre aile gauche a réussi à tourner la position des Albanais, dont la capture est imminente. - Salonique. On annonce que deux batteries de montagne et cinq bataillons d'infanterie ont été en» voyés contre les Albanais. La Ser- bie serait décidée à poursuivre les Albanais sur leur territoire et à occuper quelques villes. - Ha va*. J » » ♦» L'INCIDENT TURGO'GREG j Le ministre ie Grèce a quitté Constantinople ATB-ÏSES. Samedi dernier. M- Papas, ministre, de Grèce, avait discuté avec.Je I grand-vizir les détails d'exécution des satis- factions réclamées par ia Grèce (il s'agis- ' sait de l'injure faite à l'attaché naval grec j ùe Ccnsiaatinople, injurié à Péra, par; un agent de police), vers une heure du matin, le grand-visrtr . j annonça une fois encore à M. Panas'que ' la Porte acceptait d'accorder satisfaction ; ! mais, comme pour l'exécution de cette pro- messe, il demandait un nouveau délai et que M. Panas, de sa propre initiative, avait précédemment fixe ce délai à vingt-quatre ' heures, le ministre de Grèce ne pouvait .en ; i conséquence accepter une prolongation 'ej il ; quitta Constantinople dimanche. ' ' Néanmoins, le départ de M. Panas n*ê„- ! clut pas la "owKjbitité d'un arrangerfiênt I amical de l'incident, pourvu que la Porte ! s'empresse d'exécuter les mesrires de satis- ; faction promises par deux fois., verbale- Ai'HKNEs. M. Panas est arrivé,,, hier _ ! soir, de Conslantlnople. M. de Quadt de Mykradi, ministre d'Aï- L lemarnie a quité Athènes aujourd'hui poui " I Brindisi, à bord du navire de guère «*Hel- " I 1er ». Le comte Merbaet, son succes*8_r, * i était ai'ivé à bord du même naylre. l | Paris, 17 fçvriètf' î I A In légation de Grèce à Paris, on cqn- i ! firme; que, pour le moment, aucune niptùrf j j n'était envisagée et que l'incident serait i clos si la Turquie manifestait la bonne.-yo p j lonté qu'on étajt on droit d'attendre d'e>Hc. La même impression se marquait, hier, - | dans les milieux officiels français. ^ e j 4M»+i »M, ' I Le général Pau à Athènes 3 « ATHKN-ES. Le général Pau a été reçu*t>r, audience pai le roi. n a dîné à la léga- j tion. Les membres de la légation, M. 1 i Venizelos et les ministres d«s puissance? ! alliées y assistaient. I Le général a exprimé sa satisfaction^. Il s * constaté lui-mêm'3 combien le peupleTgr.e* aimo la France. Havas. 3 Le général Pau fetc à Salonique S Paris, 18 février, 1 h. î% SALOMQtt;. Le général Pau est axrivi t dans la soirée, venant d'Athènes. La c«lo s nie française et la population lui ont ta n une srrarirtiose réception. Un train spécial conduira lo génétu J Pau à Nisch, Havas.

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Leurs accès de violence ] reçoivent

quelques sévères leçons l* COMMUNIQUÉ OFFIGIEL

Paris, 17 février, 15 h. 15. j Malgré une canonnade intense,

ics avions français et anglais qui j i

rivirîiX - d^ivU^ et d3C:ilende, i * ant pu rentrer indemnes dans nos I j lignes, à

L'artillerie belge a exécute des « 'tirs très efficaces sut dm rassem- j

blements et des abris. En Champagne, dix contre-atta-

ques ennemies ont êii repoussêes i

pendant la nuit, i

En Argonne, activité assez grm- * de. Mous avens. pri~ de • uux-Charrnes, détruit an block-haus, et une centaine de mètres de tranchées.

Une attaque allemande, pronon- . cèe par trois bataillons au mains, < entre le Four-de-Paris et la cote , 263 (ouest de Boureuilles) a été \ trie !:•:<■> Aorrs fiîi- Wi

tentent repomssêe, en infligeant à !{","'> • ■ p • U . et «n faisant

Plus à l'est, dans le bots de Ma» lancourt, nous avons enlevé une centaine de mètres de tranchées. 1

Dt '■ aux Vosges, rien à

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SUCCES Sm TOUT LE FRONT

Notre canon et note baïonnette ! ont bien travaillé |

de la mer à l'Alsace ] :?' COMMUNIQUÉ OFrlG.EL

Paris, 18 février, 0 h. 52. Voici ie communiqué officiel du 17 fé- j

vrier, henve< :

De la mer à VOisa, notre artille-1 rie a exécuté des tirs efficaces qui ont dispersé de nombreux rassem- ' blements, fait sauter des caissons et détruit des trains.

Au nord d'Arras, nous avons enlevé deux lignes de tranchées et refoulé de violentes contre-atta-ques. Nous avons fait des prison-niers et infligé à l'ennemi de fortes pertes. De nombreux officiers al-lemands ont été tués.

Bar/s le secteur de Reims. prèa : de Loivre, les progrès faits dans la journée du 16 février sur plusieurs centaine? de mètres ont été main-tenus et consolidés.

En Champagne, nous avens poursuivi nos gains, au nord-ouest de Perthes et enlevé des positions ennemies mr- un front de huit cents mètres.

Toutes les contre-attaques alle-mandes au nord de Ménil-les-Hur- ; hts et de Eeauséjour ont été re- i poussées. Nous avons pris un gros lance-bombes et plusieurs petits. ' Nous avons fait 200 prisonniers, j £e combat continue.

En Argonne, nous avons pro-gressé dans le bois de la Grurie et maintenu notre gain malgré \ deux violentes contre-attaques et \ de très chaudes actions à l'arme Manche qui ont occasionné à l'en- I nemi de fortes pertes.

■ Une forte attaque allemande a I e<e complètement repoussée au Four-de-Paris.

Entre F Argonne et la Meuse, -nous avons progressé sur divers pomts.

En Alsace, nous nous sommes 1

rendus maîtres des croupes domi- \ nant la ferme de Sadel et conservé tout le terrain conquis.

Les avions français ont bombar-e « Sars de Eribourg-en-Brîsgau.

*~~ Mavas.

aJrL^É^*0?* 11 651 qnestion dans h MTOgi uqué ri-iesaaë est un contrefort A (fc.d0 «"'"willer, «l'nnc altitude t r<v« J 0 ?eii< îpl «'éfëve ù trois UUoiUo-.vuftrtLï0,m m nord-ouest- de Hartmans-

BlKib-^K y a^èà(\ à l'est par la vallée de mmem* qui part de goûte.

Le nouveau raid pour achever l'œuvre j

avec 48 avions Paria, 17 février, 12 h. 5.

LONTJFK (officiel}. — Voici des détails sur le dernier raid aérien : »

Des bombas ont été lancées sur les gras- [t ses batteries élabties à l'est et a l'ouest du port d'Ostcnée. sur les positions d'artllle. n rie de MMdelkerke, sur des prolonges du train des équipages, sur la route d'Ostende * à QUistelle et sur la mole de Zeebrugge, en £ vue d'élargir la brèche pratiquée au cours des précédentes attaques des écluses de " Zeebrugge i sur des chalands en face de j Blankenberghe, sur les chantiers en face de Zeebrugge. «

Les avions français qui coopéraient au . raid ont attaqué vigoureusement l'aéro- # drome de C^ûstelle, empêchant ainsi les avions allemands de couper la route aux avions britanniques.

— —-—«»»•«»■ • — £

Un ParseYal en perdition j Paris, 18 février, 1 h. 18. i

Av.su PTIVM. - ■ Un dirigeable du type 1

Pareeval, désemparé, a survolé la ville, î ce matin, puis a disparu sur le Zuydersée. 1

I II a été ensuite aperçu, vers 10 h. fs du ' | matin, survolant Hoorn. Il avait alors |

perdu sa nacelle. — Kavas. 1

Les Taubes Paris, 17 février, 15 b. 35.

REMIREMOOT. — Deux Taubes ont survolé | j les forts voisins de Remiremont. Les pro- (

lecteurs ayant dévoilé leur pr: once, ils se . sont enfuis sans laneer de bombes, chassés par les canons du Sort de Longehamp. — ' Havas. 4

Paris, 17 février, 18 h- 40. 1

i BELFORT. — Lee feux des forts avancés de 1

j Belfort ont obligé un Taufte qui essayait 1

! ce matin de survoler la ville à rebrousser i I chemin. Nos avions l'ont poursuivi jusque • dans les lignes allemandes. — Havas.

_ „ --■»»■»■ ! ■ I I I»

! Les inscrits maritimes de la classe 161

Paris, 17 février, 15 h. 35. \ - Un décret rendu sur la proposition de> [ i M. Augagneur, iuipistrc do la farine, au- 1

1 les hostilités, des inscrits maritimos a^bâ j '• do moins de 20 ans. En exécution de ce dé- j

ccet, les inscrite défichais nés en 1896, ' sauf ceux emfiarqués sur des navires exer- j I Ciiiit la navigation actlv.)» seront uppeies j ' ;m service cte la flotta dans le délai d'un j

les naturalisations

Paris, 17 février, 17 h. SiO. S La conuntssioh de la naturalisation a

approuvé Lp rapport dô Coljn, î'ovornble | i au principe de Sa loi .sur 1-e retrait de la

dans le texte'voté par là* Chambré —lia- | i vas. v I

.... . ^> <a~&~~— ,.\.,.«m

; * L'incident hispaiio-mexicain Paris, 18 févrif», 18 h. 15.

' j VEISA-CBUZ. — Le ministre d'Espagne est j | pai-ti pour Cuba. — Havas. j

—i i ■————

; Le générai Garibaldi ! Parie, 17 février, 17 h. 20.

I Le général Garibaîdi a quitté Londres j i pour Paris. A son départ, il a été ovation- i ' cé pur ses compatriotes. — Havas.

" Pai-is, 18 février, 1 h. 15. ' • Le général Garibaldi, sa femme et sou [ . fils, k> capitaine Riciotti, sont arrivés, j

' dans Ta soirée, venant de Londres, à. 1$ j * gare du Nord où lo eéitéral a été chaton» |

! tfcusement aedamé par les vovaaeurs et ' | par la fouie. - Bavai" *

%

' j ,. -»e>» — I

. I Explosion dans mm usine j j Paris, 17 f évrier, 15 h. 30.

' Une explosion s'est produite â&na Puslno I f i de Chedde, *su cours d'expériences de ma- I

îaxaffc. Un bfitiment a été ass^z sérieuse»- I ' i mtsît endommagé. Il y a plusieurs victi- i . mes. 1

La fabrication explosifs continue. — j

i j Ita~.^ ' .■■■..» îifHIHfr— 1

« | Deux nouveaux complices I

de Desclaux » I Paris, 1S février, 1 h. 10.

On annonce quo deux noweltee aires- j talions ont été opérées dans l'<.'-ff&iro Dejs- j

* claux. II. s'agirait de deux convoyeurs, qui j • I auraient transporté les marchandises ué- 1 » robéos pur lo payeur aux armées Des-8 ciaux. — Iïavajs.

La crue du Tibre Paris, 17 février, 1 h. 10.

<) ROMK. - La crue du Tibrs augmente. T.^ i ] fleuve a débordé en plusiowrs endroits, ao-o tamment dans 1« quartier Dorgo, Aux en» .- j virons de la busjikjUfi Saint-Pi,ul, toi eaux i- j otteignax'.t lo premier étage- des édiiiees, i- ] Dans filo Ban-Duriolomeo, oi'es ont pro-c j vogué des explosions dans un magasin da

j carbure ae calcium. — Havas.

Les Bandits m la 1er Plus de navires neutres (

tous ennemis

Paris, 17 février, Î5 h. 35. Rotterdam. — Le consul d'Aile- i

magne à Rotterdam vient d'aviser L

la Chambre de commerce que les ' navires neutres naviguant dans la c zone de guerre maritime pouvant \ difficilement être reconnus par les 1

sous-marins allemands, ils seront ] détruits, sans autre forme de pro- ] ces. .^.ktl-JL. Réclamation ctsIlecVm i

dss pays Scandinaves STOCKHOLM.—Les gouvernements suédois, •

danois et norvégien ont décidé d'adresser 1

des représentations aux gouvernements an» glais et allemand, au sujot des dangers : qui menacent la navigation des pays scan- I : dinavas, tant h cause de la communication i latte par le ministre des affaires étrange- [ 1

re& de Grande-Bretagne, reiative à l'en»- i < ploi éventuel pour les navires de commer- I co anglais de pavillons neutres, qu'a la i suite do certaines mesures militaires que j l'Àllemagne a l'intontion de prendre dans j les eaux entourant les Ilos-Britauniques. !

Los notes des trois gouvernements seront identiques. — Havas.

Un vapeur français torpillé Paris, 17 février, 15 h- 3.

Le sous-marin aHîmand c< u-l>; » a coulé ! hier, au nord du phare de Bas-fleur, le va» i peur français « Vîlle-de-Li!ie » allant de ; Cherbourg à Ounkerque. Il a donné dix ml-j nuies a l'équipage pour se sauver dans les

embarcations du bord. Le « U-iG <> s'est dirigé ensuite vers un vapeur norvégien pour le couler, mats la division des torpi!» j leurs de Cherbourg étant arrivé®, Il a plon-gé et a disparu.

Mutisme de coupables Paris, 18 février, 1 h. 18.

LOKUKES. A la Chambre des Commu» | nés, le secrétaire d'Etat aux affaires étran-

gères a annoncé q*ie l'Angleterre avait (ait de vives représentations auprès des

f iEtat<>Unls concernant le fraitcn»eni des | \ prisonniers anglais en A'îcmegne et l'inofe-I eervation do (a convention de La Haye, j ! Les Etats-Unis communiquèrent ces repré- !

tentations à I Ailemagne qui n'a fait au-j eu ne réponse, - Havas.

| A la Chambra américaine I Paris, 18 février, 1 h. 15.

WAsaixirroN. — La Chambre a voté, par 215 voix contre U'I, le compromis sur le, Ship-Purchase-Biîî. — Havas.

« ' ■ - ■■—~——«#>•-♦■ —— s

j Le vapeur " Laërtes M j

AîiS'rcnDAM. Le vapeur « Lfîerfes « a quitté Ymuiden, anjourd'util, por*> Arns-

I terdnm. — Havas.

Le capitaine du u Bllicîier " meurt d'nne pnetinionie l'aria, 17 février, 12 h. 5.

LogBRES. — Lo « Daily iMail » annonce ] I que- le capiiaint) du croiseur allemand ] j « Blûcher », récemment conlé dans la mer j

du Nord, a guceoinbé à une Pneumonie, ! contractée pendant qu'il nageait après ta, | perto de son navire.

j L© cri éu ventre

Paris, 17 févriei-, 15 h. m. LA HAYK. — Près de .î-OO.Of'Ki signataires, j

ayant moins de mark de revenus, ont i ! demandé au gouverneur du Brandebourg i J la diminution du prix des vivres, f BÊKLIK. — La « Gazette do Vose » ap- {

prend que le gouvernement allemand pren- i dra des mesures pour empêcher la hausse < des viandes. Il a limité la production des i

j brasseries. Havas.

I Cela semblait un peu fort j Paris, 17 février, 15 h. 35.

j Un journal du matin a annoncé que la [ grande-duchesse de Luxembourg avait ac-

i [ compagné le kaiser à Longwy et s'était J même fait pliotograpuie.'- avec lui, après j le bombardement de cette villo. j La légation de Luxembourg en Francs I dément cetto information. — Havas.

Un beau geste i —-1 I Un habitant cto Bourç, célibataire a eu

l'idée de reetercher, parmi lee &oldats da la garnison un jeune homme sans famille, à qui il servirait pour ainsi dire de père pendant la durée de la guerre. Il a décou-vert un jeune soldat, enfant de l'Assistance publique charmant jeune homme, qui ré-pondait bien ù ses désirs.

( Le jeune soldat, parti sur le front, sait . maintenant qu'une ûnio gr.norcu.se s'inté-. res&e à son sort. Il écrira, reoevra ri<\s Jet» i tras, de» mandata^ tout comme se« i-uuai*a»

dss qui ont un père, une mère, due sœurs. L'idée est généreue et valait d'ôtro con-

i une, pour qtie te g&ste du célibataire bros-stui trouve des imitateurs.

La Conférence socialiste Ceux qui ne veulent pas d

aller trop loin On sait que les représentants des partis

WttSiTÏ«» bnÇmqllelm bu- bl

(^lkn^ê\^% ^Zment à la con- A férence, qui fut présidée par M. Keir Har- À die. On remarquait pamii eux : MM. Mar-cel Sembat Jran Longuet, F.douard V'ail- a< fê^W^'S ̂ ntoT'dlpSé P' belge ; Roubanovltch, délégué russe ; Jou-haux, secrétaire de la Confédération géné-

BaitisaY Macdouald H lloberts Hod^e

« I* Cette conférence ne peut pas igno-1 Q

I dantes et porte mi coup à la loi des trai- d

« Dans ces conditions, L> victoire de ]ïm- g periansme aiiemand serait la défaite et la J ruine de la démocratie et de la liberté en a

« Léo socialistes de Grande-Bretagne, de Belgique, de France et çte Russie, ne pour-

j suî vu ÏI t p cis Foc î'u s-tMïîf1 n t dû 1 a. nnl i tî nwf

*J$J%L$$&$qliC la EelSi(ï^ so»t u- i ftôree et reçoive une compensation. Ils dé- 1

j sirent que la question de là Pologne soit

« lanais _ (pi us sont_ résolus inflexible- i i mt-nt a combattre jusqu'à ce que la victoire

soit obtenue, et accomplir ce devoir de li- ! bcration, l«s socialistes ne sont pas moins

0^riama^Ia8^ff^^* nSffi^lî Ë"8

tî v luttes aux }*iiucipes du socialisme in- i j ternationai^ les membres de la conférence I

j ijientot unies dans la. nute contre le niili» i tacisrn« et l imperiaiismo capitaliste.

, être la victoire de la iiborté populaire pour

fabricants d"armements et établir une au-I torité intan'a-tionalie pour régler les diver» | gencos entre nations au moyen de la con-! ciliation et do l'arbitrage- obligatoire et

forcer toutes les nations à maintenir la

| Cette conférence proleste contre l'orres- |

e^l^condamnation da k^» m^V^m j chef, ainsi que contre l'oppression des Fin-

landais, des juifs russes et des Polonais

Une protestation indignée j Paris, 17 février, 18 heures. 1

Lo Temps publie une protestation de I : MM. Chauvin et .'VUemara contre l'ordre : du jour adopté, dimanche, à Londres pnr

los KQGio.Ustes des pays alliés, disant . qu'aussitôt, après la guerre, les travailleurs

f « NOÏV 1 une pareille monstruosité n'aura

[ I (c Dès aujourd'hui, nous mettons au défi J I les délégués à !a conférence do Londres de [ I tenir ep France, après la guerre, un con-

grès international où Budekum et les au-j trep espions de Guillaume assisteraient. Il

I y a heureusement assez de socialistes pour j s opposer a un tel spectacle. »

D'autres font des réserves

I réuni cet après-midi. Plusieurs membres

5 volonté des socialistes des puissances al-

1 j La Presse anglaise et la Conférence

* j LONURES. — Le « Daily Chronicle » (radi-

1 les socialWKs lu tient non contre les peu- |

Une seconde édition possible

de leur défaite d'Augustow Paris, 17 février, 18 h. 40.

Pétrograd. — Les journaux pu- j blient une note officieuse disant \ que le mouvement tournant des ', ti Allemands contre les ailes russes, j g dans les forêts d'Augustow a été j n dévoilé à temps et sera aisément ! é paralysé. — Havas. a _____ j,

Paris, 17 février, 17 heures. ^ De Rome au « Temps « : \d

ques,, que le pape, ému par le manque d'é- • gard'des autorités allemandes envers le L

Deux câbles avec l'Amérique I coupés î

nie 17 4J irmidii- _J«i î- -.■■»■-.

La compa^.nlo française des câbles télé-

ll-Llit là JpTSUXIGG (h i AîïlOfiQU.6 0_1I Lit?, COUpCS I ^ ! dctiis lu. nuit cic iuncii, à envirou -IOO milles , *

de Brest. Il ne s'agit nullement do faits do |1

guerre L'n câble a éié coupé par les glaces descendant du rsoru. La causa de i autre i . * *

— 1—, » ! » <mm j <

Espion fusillé Paris, 17 février, 15 h. 30. <

BpiwE-as. — L'Allemand Statller Vllly, | , condamné à mort par le conseil de guerre H de Bordeaux, pour espionnage, a été passé ! par les armes, ce matin. — Havas. j

Maigre chère,.. ; Les Allemands invités L

à supprimer la " tartine 1 j « On lit dans la Tœgliche Rundschau : , « L'ordonnance du Conseil fédéral avait

fixé à 100 Uilos la limite des stocks de fa-riae éeiiappnnt à la déclaration ; cette l limite vient d'être abaissée. Nous l'appre- ! nous avec satisfaction, car c'est la seule \1

façon de mener à bien dans l'Intérêt de ' i tous le plan d'utilisation des stocks. En abaissant de 100 kilos à 2ô cette limite, on ! uourra soustraire d importantes quantités i

! que cette mesure soit impost-e aux commu- j j nés et non point laissée à leur bon von- > I loir.

« Bien lies choses restent _ faire pour i restreindre la consommation trop forte du ! pain. Il y a encore nius d'un abus à com- !

j Dattrc. 1 arnn ces anus, il taut citer le sou- :

thfuc est la « butters tulle » (tartine de J paip beurrée) bien connue. Les gens sans i io>,tune se coupent le soir une tranche do !

\ mes de terre "chaudes, au lieu de pain/ seraient beaucoup moins chères et feraient j plus de bien. Sans doute, on ne peut re- j procher à celui qui a travaillé toute la

"en trois minutes. Mais c'est wn véritable abus que les ménages plus aises tienneiit 1 encore, par raison de commodité, au sou-per avec du pain et du beurre.

a Le conseil municipal de Berlin a expri-mé, dans son appel, l'espoir que les nabi- I tants auxquels une autre alimentation est j financièrement possible, mangeront encore j moins que la quantité de pain fixée par semaine. Or, c'est au souper que l'écono-mie peut se taire.

n Dans l'Allemagne du Sud ou dars la province rhénane, T<M» prépare dans toute !

I Itx _-i._l--J.Lv.) ■ ' - " - MHjl y ° 1/ ^ u -* i

faire la cuisine. 11 en est tout différem- I ment à Berlin et dans le Nord. Là,, la cul- ' sinièro ou la fille de la maison protestent

, déjà lorsqu'elles doivent préparer un thé I ou deux e:ui's. Elles préfèrent aller cher- j j cher quelques tranches froides chez le !

charcutier, couper un pain ou un demi- j , pain et le manger avec du beurre. Cela | , constitue le souper traditionnel du Berli- :

j d,c Btriin, uui enseigne la phvsiologie de I l'alimentatt'-n, a souvent écrit contre le]

j souper îroiii du Berlinois et recommandé . de servir chaud un plat de légumes ou de ■

bouillon, C'est plus sain et c est meilleur . marché- Toute maîtresse de maison recon-I naîtra qu'il est plus économique de prépa- |

rer un plat chaud que de servir ùn souper

donc lo souper froid. »

( K_So55fJ_^

I * m '

« *M OUIB Qo * OT3 S O t% cil 6TÏ16 i) & < t Cl * * i v It-rO Cj U.Q si l'Allemagne n'est pas battue do telle sorte qu'elle puisse être désarniée l'Europo

î no jouira pas d'une longue pais.' << Lo désir de l'Allemagne battue doit

* être, après la guerre, de diviser les alliés à son profit, ded honhnes d'Etat dos na-

* J .aient le DOUYÔi- de lo faire. »

L'agression albanaise aujourd'hui punie

par la déroute Paris, 17 février, 19 h. 10.

Nisch. — Notre armée est en-trée, hier, à Vraniche. Son avant' garde occupe Chainovotza. La gar-nison serbe a été délivrée. Elle était cernée dans les mosquées _f avait, lutté héroïquement contre les Albanais.

Les troupes serbes arrivées ? à Prizzon ont réussi à refouler les Albanais qui s'étaient avancés dans la direction de Pakliche. Nous avons repris position dans un bois,

: après un combat acharné. Les Albanais sont en déroute

| vers Pachvatz, poursuivis par les nôtres.

Un fort parti albanais en route vers Goura a été battu et obligé de reculer vers Korinik.

Les pertes ennemies sont éle-vées.

Hassan-Bey conduisait l'at^a-i que. Il s'est enfui avec peine -en traversant le Brin, accompagné

; par quelques cavaliers qui, eux, se j sont noyés. Les habitants affirment \ que ce seraient des étrangers. j Le territoire entre Hocha-Zàgê-\ nadmna et Vabnitz a été nettoyé ! de tous les ennemis au cours de la

; as I journée.

Sur la ligne du département de ! Doctrid, nous avons réussi, hier, à i reprendre la position de Ragàtz, après un combat qui a duré jusqu'à

i six heures du soir. Nos troupe» i ont passé la nuit sur la position conquise et ce matin, la lutté...a

j commencé autour de Toneffre-Sam.

Selon les derniers renseigne-ments, notre aile gauche a réussi à tourner la position des Albanais, dont la capture est imminente. -

Salonique. — On annonce que deux batteries de montagne et cinq bataillons d'infanterie ont été en» voyés contre les Albanais. La Ser-bie serait décidée à poursuivre les Albanais sur leur territoire et à occuper quelques villes. —- Ha va*.

J » » ♦» L'INCIDENT TURGO'GREG

j Le ministre ie Grèce a quitté Constantinople

ATB-ÏSES. — Samedi dernier. M- Papas, ministre, de Grèce, avait discuté avec.Je

I grand-vizir les détails d'exécution des satis-factions réclamées par ia Grèce (il s'agis-

' sait de l'injure faite à l'attaché naval grec j ùe Ccnsiaatinople, injurié à Péra, par; un

agent de police), vers une heure du matin, le grand-visrtr

. j annonça une fois encore à M. Panas'que ' la Porte acceptait d'accorder satisfaction ; ! mais, comme pour l'exécution de cette pro-

messe, il demandait un nouveau délai et que M. Panas, de sa propre initiative, avait précédemment fixe ce délai à vingt-quatre

' heures, le ministre de Grèce ne pouvait .en ; i conséquence accepter une prolongation 'ej il

; quitta Constantinople dimanche. ' ' Néanmoins, le départ de M. Panas n*ê„-! clut pas la "owKjbitité d'un arrangerfiênt

I amical de l'incident, pourvu que la Porte ! s'empresse d'exécuter les mesrires de satis-; faction promises par deux fois., verbale-

Ai'HKNEs. — M. Panas est arrivé,,, hier _ ! soir, de Conslantlnople.

M. de Quadt de Mykradi, ministre d'Aï-L ■ lemarnie a quité Athènes aujourd'hui poui " I Brindisi, à bord du navire de guère «*Hel-" I 1er ». Le comte Merbaet, son succes*8_r, * i était ai'ivé à bord du même naylre. l | Paris, 17 fçvriètf' î I A In légation de Grèce à Paris, on cqn-i ! firme; que, pour le moment, aucune niptùrf j j n'était envisagée et que l'incident serait i clos si la Turquie manifestait la bonne.-yo p j lonté qu'on étajt on droit d'attendre d'e>Hc.

La même impression se marquait, hier, - | dans les milieux officiels français. ^ e j 4M»+i »M,

' I Le général Pau à Athènes 3 «

ATHKN-ES. — Le général Pau a été reçu*t>r, audience pai le roi. n a dîné à la léga-

j tion. Les membres de la légation, M. 1 i Venizelos et les ministres d«s puissance?

! alliées y assistaient. I Le général a exprimé sa satisfaction^. Il s

* constaté lui-mêm'3 combien le peupleTgr.e* aimo la France. — Havas.

3 Le général Pau fetc à Salonique S Paris, 18 février, 1 h. î%

SALOMQtt;. — Le général Pau est axrivi t dans la soirée, venant d'Athènes. La c«lo s nie française et la population lui ont ta n une srrarirtiose réception.

Un train spécial conduira lo génétu J Pau à Nisch, — Havas.

Page 2: S M'|J - Kiosque Lorrain m n ( S t ( » \ «j n< .' ( ! t % > £ ...";! ( ( (— ———— ((..,, ' ( ( b 19], ': • *] ,?'),.: >; "," ' ' '"" ^ ' », ^ '; ^ ^ '; ^ ?

VŒU !B nue de morts ! C'est le sort des armes : fis n'y pensent pas, nos héros-1 f_à terre qui prendra leurs os Nous aura coûté bien des larmes. I_ Nos chers compagnons du travail Où sont-iis, en quelle tranchée ! Toute cette élite fauchée cie Vaut mieux que leur sombre bétaf. les

"Ôu'importe. puisque notre France co Compte tes morts, avec orgueil . t>* Qu'importe, puisque le cercueil -fasse, lumineux d'espérance ; Mais qae du moins, sous notre ciel, 17 On vénère ces gloires pures ; re Oh ! que la pourpre des blessures pj] Etanche la boue et le fiel ! av Ceux qui, poor attester leur race, m; feont tombés, face à l'ennemi ; Ceux dont la grande àme a irémi , en Devant l'envaiiisseur vorace ; in Ceux qui, de Steinbaeh à Nicuport, £ Ont combattu pour la Patrie, Veulent que la France meurtrie Relève un front paisible et fort. «

Plus haut que la voix de la haine qr Parlent ces morts silencieux : Ils disent • « Allez sous les cieux, so Par la route large et sereine. » te Nous avons donné tout de nous ; tr Nous avons conquis la revanche ; ta Mais que la Paix en robe blanche ac «oit adorée à deux genoux. m Elle porte la douce palme Si chère aux hommes fraternels ; L'hymne des bonheurs éternels Enfle son sein suave et calme. tr Lorsque l'adversaire dompté Courbera la tête en silence ; « Ouand les hommes de violence Pleueront leur rêve avorté ; p: Français, partagez-vous à table, Pj Le sel et le pain, chaque jour , « Afin qu'elle serve à l'amour, Cette saignée épouvantable !

Marcel TOUSSAINT.' |;.

Les Boches paieront l'Addition p

M Georges Edward, le dessinateur n

connu, soumet, en vue de la Journée du _( m, cette amusante addition : g ' Sa puissance le fait admirer de chac ^

II a des ennemis mais il triomphe 2 CJ

11 les met en émoi tel lç. cheval de 3 P Celui qui lai résiste, en vain se met en 4 A peine en sa présence, il est coupe en 5 ^

En sept, en huit, en neuf, ou seulement en. . . ■ 6 _ Pulvérise, broyé, l'ennemi hic ja ■ ' c Conduit par Castelnau. par Jofire ou par Maud 8

d Quoique terne d'aspect, Tl semble encor tout ... 9

r Il a l'âme d'un preux, la valeur d'Ama 10 e Quel est-il î dites-vous : Je ne suis pas de . . . ._20

Additionnez. Total : Notre 75 f

■ ', j,, ,i ■—-~-*~miw^ d —— ~~ c

S Conseil Municipal [

Le Conseil municipal de Nancy se réù- t ♦lira en session ordinaire le vendredi 19 t lévrier 1915, à 10 heures du matin. c

Ordre du jour : 1° Projet de budget pn- t rniti.f pour l'exercice 1915 ; 2° Adoption de ( marchés de gré à gré. i

Comité privé. — u° Avis à donner sur i -une demande de service d'incorporation, i

Société Lorraine ' des Amis des Arbres .

La Société rappelle à ses adhérents que i l'Office de renseignements constitué par ses soins, qui a déjà rendu de signalés ser- .j

• vices aux membres du syndicat des pro- 1 priétaires forestiers de la région lorraine, < est prêt à fonctionner, dès que les cir- ] constances le permettront pour l'estima- 1 tion des dommages causés par les faits de guerre dans les départements envahis.

On sait que la loi du 16 décembre 1914 met la réparation de ces dommages à la ' charge de l'Etat. Le décret d'exécution de ' cette loi vient de paraître, et il importe aux propriétaires forestiers, si fortement éprou-vés dams notre région, d'user en temps 1

utile des moyens mis à leur disposition 1

pour obtenir l'indemnité qui leur est ainsi promise. Us trouveront à ce sujet tous les j 1

renseignements nécessaires auprès des j membres du bureau de la Société et de son syndicat.

Le Président de la Société : R. CLAUDE,

49, Avenue de la Garenne.

Remerciements Par la plume d'un de leurs chefs, un

gnoupe de trente-deux territoriaux, qui a reçu un certain nombre d'objets de lainage envoyés par Mme Mériam, de la part des petites filles de l'école de la rue Raugraff, nous prie d'être leur interprète pour remer-cier ces enfants et leur dévouée intermé-diaire.

« La plupart de mes hommes, lit-on dans cette lettre, sont partis dans les tranchées, et je vous assure qu'ils ne tremblent pas sous la canonnade. Eh bien, j'ai vu de ces braves retenir à grand'peine leurs larmes lorsque je leur ai annoncé qu'ils devaient ces dons à des fillettes qui, pendant plu-sieurs jours, s'étaient privées de leur goû-ter et de leur récréation pour leur appor-ter un peu de réconfort.

« Ils me chargent de les remercier, ainsi que Mme Mériam, dont la générosité est in'assab'e. »

Suivent un certain nombre de signatures.

Ecole de Préparation militaire Nancy-Grémillon

Emploi du temps du dimanche 21 février 1915. — Matin : 7 h. 45, rassemblement, caserne Thiry ; S heures, départ pour le tir ; 8 h. 30 à 10 h. 30, tir réel à 200 mètres, école du soldat, maniement d'armes ; gym-nastique d'assouplissement ; théorie sur le ' service de sûreté en marche.

Soir -. rassemblement caserne Thiry à 12 h. 30 ; départ pour la marche à 12 h." 45. Itinéraire : caserne Thiry, Saint-Mansuv. Champ-le-Bceuf, Maison Forestière, Belle-Fontaine, Vallée des Etangs, Champi-guculles, Maxéville, Nancy.

Au cours de la marche : 1»' pause, dis-positif d'avant-garde ; 2° pause, exécution d une tranchée-abri ; 3" pause, apprécia-tion des distances ;. 4» pause, lecture de la. carte

La <( Fraternelle » de la Maison Spire

La Société de secours mutuels « La Fra-ternelle » de la Maison Spire prévient ses sociétaires que les cotisations reprendront leur cours à la date du 1er janvier 1915. (De cette date partira, l'application de l'ar-ticle 11, paragraphe II des statuts.)

Quoiqu'ayant distribué les secours mala-dies pendant la période d'août 1914 au 1er

janvier 1915, le comité a décidé qu'il ne J sera pas fait rappel des cotisations des mois ci-dessus désignés.

BANQUE RENÀULD1» w \ Be:

Société anonyme. Capital : 40 millions \

Considérations financières i«j * ùU

Nous venons d'extraire de la cote offi-cielle une dizaine d'obligations industriel-les bien signées, parmi les plus souvent cotées et du type 4 %. Pour ne point allon-ger notre article, nous n'en donnerons pas la liste que nous tenons néanmoins à la disposition du lecteur. Or, .ces obligations dont le revenu moyen net d'impôts est d© • 17 fr. 93 ont, l'une dans l'autre, une moyen-, J,-r ne de cours de 433 fr. 80. Cela fait une ca-pitalisation de 4.13 % aux prix actuels, avec, il est vrai, une prime au rembourse- Vl

ment d^ T'> fr car titre se

11 faut bien admettre que si la baisse n'a entamé que si peu les bonnes obligations ,„ industrielles, si oetb comparativement aux fonds d'Etat, c'est principalement à cause rv

de l'étroitesse du marché. Les porteurs d'o- -bligations industrielles qui avaient besoin de faire de l'argent n'ont sans doute pas ^l

voulu vendre leurs obligations, craignant «*J que les offre.-, ne tombassent dans le vide.

Ce n'est là, toutefois, que l'une des rai- ?>E

sons. L'autre, que confirme la meilleure ie

tenue encore de nos grandes actions indus- n<

trielles, celles de la grande sidérurgie no-tamment, l'autre raison, c'est que la guerre te

accable les Etats bien plus que les indus- n.' tries privées et que finalement ce sont les Etats qui resteront endettés- ~

On s'explique alors que la baisse ait l£

exercé ses ravages surtout chez les fonds d'Etat et l'on conçoit les conditions at-trayantes que doivent consentir les gou-vernements [-our se procurer les immenses ressources dont ils ont tous besoin.

Verrons-nous momentanément les cm- 5 prants de la grande industrie se capitaliser c

plus bas, c'est-à-dire moins rapporter que les fonds des grands Etats ! Nous n'en se-rions pas surpris- g

EMPRUNT BE LA YiLLE DE NANCY -. f<

La presse locale ayant déjà parlé de l'em- ^ prunt de la Ville de Nancy, l'un des con- • cessionnaires peut bien en dire quelques mots à son tour. '

Les concessionnaires sont la Société Nan- g céienne et la Banque Renauid. C'est à leurs . guichets que s'effectuera la souscription. y

L'objet de l'emprunt, c'est notamment les , charges que la guerre impose aux munici-palités et qui sont d'environ 300.000 fr. par * mois pour la Ville de Nancy.

La mimicipalité, comme lui en ont tracé le chemin l'Ftat d'abord puis la Ville de Paris, recourt, au même mode d'emprunt, ° c'est-à-dire par voie de Bons permettant i d'attendre des temps meilleurs, plus favo- 1

rables pour consolider l'opération par un emprunt définitif. 1

Le montant de l'emprunt et de 4 mil- e lions, en coupures de 100 fr., 500 fr., 1.000 fr. et 10.000 iv., au gré des souscripteurs et délivrées, selon leur demande, au porteur ou nominatives.

Le rendement est de 5 i % nets de tous impôts, avec coupons semestriels les 1er

avril et 1er octobre. La Ville prend donc à sa charge les impôts présents et futurs, qui c

sont spéciaux au revenu des titres- Ces im- f

pôts sont plus lourds pour les titres au por- (

teur, on le sait, que pour les titres nomina-tifs. Mais comme la Ville n'entend pas re- •

1 tenir pour elle la différence, actuellement d© 0-30 %, mais qu'elle veut, au contraire,

■ en faire profiter les souscripteurs qui, en ! demandant leurs titres sous la forme nomi- ]

native, affirmant davantage la stabilité de < leur placement, il en résulte que le rende- 1 ment au nominatif sera de 5.80 %. La Ville limite, bien entendu, à ces 5.80 % son bon < mouvement. 1

L'amortissement s'effectuera au pair au 1 plus tard le 1er avril 1921, au plus tôt le

. 1er avril 1918. ] La priorité sera réservée aux porteurs de ■

. Bons et jusqu'à concurrence de leur mon- < - tant dans la souscription aux emprunts de- ' , consolidation, pour autant que ces em-- prunts aient lieu par voie d'appel au pu-- blic. :

L'opération devant être autorisée par les j. Pouvoirs publics, il s'écoulera sans doute t quelques semaines avant l'accomplissement 5 des formalités et les publications au Jour-\ nal officiel.

Entra temps nous engageons les sous-3 cripteurs à prendre dès maintenant (euro j dispositions i Répétons que le rendement est de 5 \ %

g ] au porteur et de 5.80 % nominatif, et nets ' 3 j des impôts présents et à venir.

a * Quant aux garanties, inutile de dire qu'a-vec ses 12 millions de dette actuelle qui vont être portés à 16 millions, Nancy sera encore une des villes les moins endettées ! proportionnellement à la population.

S Donc placement indiscutable.

Nous payons les'coupons régionaux ci-i après : a, ACTIONS e Ch. Fisson et Cie (janvier), s Cotonnière de Mirecourt, coupons n9* 10, !, 11, 12, 13 (Décembre). •- Raffineries ce Sermaize (15 janvier).

OBLIGATIONS Bons Haussman 5 % (15 janvier). Bons Emile Diebold 5 % (Janvier).

' Automobiles Peugeot 4 h % (Décembre). Brasserie de Champigneulies 4 J % (Fé-

s vrier).

t Brasserie de Nancy 4 A % (Janvier). Brasserie de Vézelise 4 i % (31 Décembre).

L" Brasserie de Saint-Nicolas de Port 4 J % (31 Décembre).

Brasserie La Renaissance 4 i. .j Société dos Annuités des Mines de Kali

Sainte-Thérèse 5 %. Mines d'Errouvillc 4 % (1" Janvier).

3 Mines de Joudreville 4 % (Janvier). Compagnie Lorraine d'Electricité 4 J %

(Janvier). Société des Boulonneries de Bognv-Braux

4 %et 4 * %. Forges de Champagne 3 % (Janvier).

T Aciéries de Micheville 4 % (Janvier). Hauts-Fourneaux-Forges-Aciéries du Chili

e 5 % (Janvier). Hauts-Fourneaux, Forges et Fonderies da

v Pont-à-Mousson 4 % (1" Janvier). e Energie Electrique de Meuse et Marne 4 J

(Février). a Union Gar.ière et Electrique 4 J % (mars). 5- Gaz de Villerupt 4 J % (Janvier). f> Hauts-Fourneaux et Fonderies de Brousse-?" val 4 % et 4 J %: x" Energie-Eclairage 5 % (Janvier).

Filature de Cbeniménil 4 J (Janvier). 3" Filature de l'Est (Marchai et Cie) 4 \ % n (Janvier). }' Cotonnière de Mirecourt 4 1/4 et 4 i % (15 lc Janvier).

Filature de la Vologne 4 % et 4 i % (Jan-vier).

Ernest Boigeol et Cie (Gircmagny) i \ % (janvier i

Cotonnière de Dedovo 5 % (Janvier). a- Tissage de Roville 4 J % (Décembre). 5S Marchéville, Dagnin et Cie 4 % (Janvier), it Vilgrain et Cie 4 J % (Janvier). 5. Imprimerie Berger-Levrault 4 J- % (Décem-r- bre). (Egalement payable à Paris, 5, rue

des Beaux-Arts), a- Majorelle frères i J %•< !" Jeux et Jouets Français 4 A (Février), le ! Glacières de l'Est 4 l et 5 % (Janvier). DS j Etablissements Gemmelaincourt ■ Giron-

Sté Lorraine de Diétrich et ('" 4 ^(Janvier). ; 1 Stein et Cie (D.irijoutin-Hell'ort) 4 .V (Dé- I J

cenibre). 3erne-Loetschbcrg-Simplon (Novembre) 4% i

l" hypothèque (payables en Suisse sous ! T défalcation de la perte du change). ! U Noi'is avons retranché de la liste les va-

leurs dont le coupon remome au delà du 30 novembrel914.

Banaue RENAULD. -*-«9-«!>

ETAT CIVIL Du 13 févrter 1913 ! J

Naissances j \[ Fernande-Pose-Lcontine Dautry, ru© du y

Cheval-Blanc, 1. — Jacques-Pol-Eugène ^ Grandbastien, rue Claudot, 21. — Marcelle g; Schrciner, rue des Quatrc-Eglises, 56. — j, Victor-Albert Dubery. rue des Quatre-Egli- <; ses, 56. I w

Publications ds mariages i cj Jacques Ponton, vannier, 69, rue de a

Tomblaine, et Catherine Secula, vannière, g rue de Tomblaine, 69. r

Décès v Louis-Georges-Emile Wentzel, 1 an 7 mois, r

rue Braconnot, 19. — Elisabeth Buzon, 83 (-ans, sans profession, veuve Dupuis, à Clé- ^' mery, — Marie-Ludivine Nonne, 36 ans, j sans profession, épouse Michel, rue Char- 4 les-IH, 35- — Antoinette-Félicienne-Joséphi-ne Renault, 16 ans, célibataire, sans pro- p fession, rue de Saverne, 9- — Jeanne Peti- p tétienne, 6 mois 4 jours, à Toul. — Suzan-ne Mathis, 70 ans, domestique, veuve Mes- ^ sié, rue Charles-Martel, 20. — Elise-Marie-Constance Casella, 72 ans, rentière, céliba- T taire, rue des Jardiniers, 71. r

1 mort-né.

Du 14 février 1915 g Naissances

Jean-Louis-Pi erre Richard, rue Notre-Da- , me, 62. — Charles-Pierre Evcn, rue Saint- Ê Charles, 27.

Décès j Catherine-Henriette Wibrotte, 62 ans, pi-

queuse en chaussures, épouse divorcée Ur-bain, ru© de Santifonta'ne, 9. — Eugène-Pierre Bernard, 3 ans, rue du Crosne, 57. — Marie-Elisabeth Thiéry,66 ans, sans pro- £ fession, veuve Gibcrt, rue Raugraff, 25. — Elise Bonnefcix, 71 ans, sans profession, ( épouse Husson, Port-sur-Seille .— Ray- . mond-Rcné Durand, 1 mois, ru© de la Cha- c rité, 10 bis. -- Stéphanie Gérôme, 56 ans, j sans profession, veuve Voirin, Hoëville. — François Hcnriot, 77 ans,'propriétaire, rue -du Tapis-Vert, 18. — Anne-Marie-Louisc Bontout, 53 ans, rentière, célibataire, rue ] du Faubourg-Stanislas, 10. ;

AVIS MORTUAIRE \

Madame veuve Auguste FLÉVEAU ; Ma- 1

demoiselle Simonne FLEVEAU; les familles FLÉVEAU, B1RK, MONNET et leurs en- ; fants, I

Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelles qu'elles viennent d'éprouver en la personne de

Monsieur Auguste FLÉVEAU I Caporal réserviste

au 79' régiment d'infanterie Employé

à la Maison des Magasins-Réunis

décédé pieusement à la suite de ses bles- j sures, à l'ambulance de '' , -, à l'âge de 28 ans, le 23 janvier 1915.

Priez DÏCM pour lui.

AVIS MORTUAIRE

Le Comte Georges COLLINET de la SAL-LE, capitaine de réserve au 146e régiment d'infanterie, et la. Comtesse Georges COL-LTNET de la SALLE ;

Messieurs André et Jacques COLLINET de la SALLE ; Mesdemoiselles Antoinette Geneviève, Hélène, Anne-Marie et Made-leine COLLINET de la SALLE,

Ont la douleur de vovs faire part de la | perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en 1 la personne de

Monsieur Pierre COLLIUEÏde la SM LE j Chasseur au 20° bataillon

leur fils et frère, décédé le 11 février, à l'hôpital militaire des. Sœurs Dominicaines de Beaune (Côte-d'Or), à l'âge de 19 ans, muni des Sacrements de l'Eglise.

L'Inhumation provisoire a eu lieu à Beaune.

Priez Dieu pour lui !

En raison des circonstances actuelles, il j ne sera pas envoyé de lettres de faire-part, ! le présent avis en tenant lieu.

AVIS MORTUAIRE

Monsieur Louis POTU, sous-lieutenant des sapeurs-pompiers ; Monsieur Edouard POTU, caporal au ..." en campagne ; Ma-

| dame Edouard POTU ; Messieurs Pierre, Albert et Roger POTU,

Ont la douleur de vous faire part de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de

Madame Louis POTU née Marie GEHL

décédée à Nancy, le 17 février 1915, dans sa 53e année

Et vous prient d'assister aux Convoi fu-nèbre et Enterrement qui auront lieu le jeudi 18 février, à trois heures un quart de l'après-midi, en l'église Saint-Sébastien, I et de là au cimetière de Préville où aura j lieu l'Inhumation.

Maison mortuaire : 35, rue Gambette.

Tribune poor tous Nancy, le 15 février 1915.

Monsieur le directeur de 1' « Est Républicain »,

Je viens vous expliquer une mesure que j l'on pourarit prendre pour les blessés qui |

; font partie du territoire compris dans la zone des armées Ne pourrait-on pas, pour ces gens qui sont partis dès les premiers jours, les mettre au même niveau que ceux

i des autres régions (Centre, Paris, Midi, etc.), qui profitent d'une permision de sept

1 jours, à titre de convalescence, créer dans un endroit assez rapproché, et en dehors

I de la zone des armées, où les familles des blessés pourraient accompagner leur valeu-reux soldat pendant la période de congé qui leur est accordée ?

Les familles seraient heureuses et les sol-dats pourraient achever de se remonter, dans l'espoir de revoir leurs femmes et leurs enfants.

.Avec des enfanfs, on ne peut pas entre-prendre de grands voyages, et si le gou-

» vernement voulait adopter cette mesure, tous les braves soldats de France seraient au même niveau.

Le gouvernement n'aurait aucune dépen-l se à supporter en facilitant simplement le

désir du père blessé, de la femme, du père et de la mère clu soldat de pouvoir revoir lelir époux, fils et enfant.

Me trouvant dans le même cas que beau-coup, et ne pouvant revoir mon mari

- blessé et soigné à 400 kilomètres d'ici, î C'est pourquoi, Monsieur, j'ai pris la

liberté de vous écrire. Je ne sais si mon idée est bonne, c'est pourquoi je la confie à votre bon cœur

Dans l'espoir d'être entendue, recevez Monsicut, mes sincères remerciements ' '

A Mme L H., a Nancy! I

MEURTHE-4-M0SELLE eu

Liste des habitants ! i ds leurilie-et-Moselle |

rapaîrics à Anrumase (HauJe-Savoie) ^c

\rnaviUe- — De la Pinlëre, 75 ans ; Hcr- f-'1

bi'not Anna, 30 ans ; Gissolin Marie, 70 nc

ans • Gissolin Jeanne, 32 ans ; Badri Ma- (lr

thilde, 28 ans ; Killaud Marie, 19 ans ; . Laurent Hortense, 54 ans ; Laurent Erncs- 1 Ul

tin" 21 ans ; Motelet Henriette, 82 ans ; H Cha.ovi. Jeanne, 15 ans ; Mourty Louisa, J®!

39 ans • Motelet Marie, 47 ans ; Boulanger Juliette,' 22 ans ; Boulanger Marcel, 3 ans; Gœury Maria, 32 ans ; Renard Lucienne, L 15 ans ; Robu,chon Elôonore, 23 ans ; Robu-chon Etienne, 17 mois ; Soubic Adèle, 35 / ans ; Soubic Jean, 14 ans ; Soubic Jules, J 8 ans ; Soubic Emile, 15 ans ; Soubic Ma-rie, 11 ans ; Soubie Yvonne, 4 ans ; Che-vreuil Catherine, 34 ans ; Chevreuil Hen- g( riette, 12 ans ; Chevreuil Henri, 10 ans ; (|j Chevreuil Gaston, 7 ans ; Fanchon Colom- • be, 36 ans ; Fanchon Athénaïs, 14 ans ; ' Fagonde Louise, 52 ans ; Jacob teuzanne, j.( 4 ans. A

Euvezin. — François Eugène, 74 ans ; François Adélaïde, 62 ans ; Collin, 66 ans, jp prêtre. tê

Norroy-les-Pont-à-Mousson* — Wéber j André, 61 ans ; Wéber Lucie, 47 ans.

Cons-la-Crandville. — Pandron Madelei- y, ne, 36 ans ; Bauda Pauline, 46 ans ; Cho- fc nel Alexandre, 65 ans. ]<■

Monlauville. — Geoffrey Mario 37 ans. cj Parjny-sur-Moscllc. — Croze Charlotte,

32 ans. v Jarny. — Milhaut Marie, 37 ans ; Han- (j

gord Denise, 29 ans ; Hangord Jeanne, 13 d ans ; Hangord Emile, 7 ans-

Conflans. — Peiffcr Maria, 26 ans; Kron-ber Marie, 14 ans. d

Labry. — Math Jeanne, 23 ans. t( Saint-Marcel. — Rouvelin Lucie, 26 ans. n Vcrdenal' — Gônin Joseph, 65 ans. e' Mars-la-Tour. — Renault Hcrmance, 66 F

ans ; Renault Louise, 32 ans, institutrice. 6 Bionvillc. — Levert Paul, 15 ans ; Mar- );

chai Gabriel, 16 ans ; Abraloji Louis, 62 E ans, garde champêtre ; Chanal Joséphine, à 82 ans ; Marie-Thérèse Caillet, femme Cha- I nal, 82 ans. I n

Rcmoncourt. — Beaudoin Constant, 46 j _ ans.

Villerupt. — Maybel Marcelle, 28 ans ; ~ Maybel Roland, 4 ans ; Crochet Joséphine, 28 ans ; Amiot Armandine, 33 ans ; Bour-son Mathilde, 26 ans s Bourson Emilie, si 4 ans ; Bourson Renée, 2 ans. T

Longwy. — Maillet Philippe, 66 ans ; Pajot Mélanie, 55 ans ; Noël Paule, 23 ans.

Vandelainville. — Panot Nicolas, 65 ans; Panot Marguerite, 21 ans ; Ponler Elsie, J

39 ans. * Vionvillc. — DoAy Joseph, 62 ans. Saulcy. — Erard Valentin, 61 ans.

Bcrtrarubois. — Fronck Louis, 64 ans. Wavillc. — Massot Blanche, 38 ans ;

I Massot François, 10 ans ; Massot Jcan-! Louis, 12 ans ; Massot Marcel, 6 ans ; Mas-| sot Marie-Thérèse, 3 ans ; Massot Anne- j j Marie, 18 mois; Bemage Jean, 63 ans; Ber-j nage Louise, 58 ans ; Bemage Jean, 22 ans. | Val-et-Chdlillon. — Blaison Augustin, 63 j i ans ; Helneur Marie, 17 ans.

Annainvillc. — Patenote Antoinette, 26 j ans ; Patenote René, 9 ans;-Patenote Jean,

I 8 ans. g Sainl-Sauvcur. - Halvick Marcel, 11

ans. Rosières-aiix-Salines* — Garel Léontine.

50 ans. i | Thiaucourl. — André Louise, 28 ans. Notnarit-aux-Prês. — Gûyot Philomène,

22 ans ; Diot'Yvonne, 8 mois. Mamcy. — Mathiot François, 64 ans. Feu-ev-llayc. — liertin Mélanie, 29 ans ;

Bertiû Marcel, 12 ans ; Berlin Georges. I 10 ans et demi : liertin Georgette, 7 ans ; -, Berlin Louise, 4 ans ; Berlin Lucie, 10 I mois. ,

Manciciilles. — Mme Hanra Irma, fem- j ] me du directeur de la Mine de Saint-Fier- j remont ; Hanra Gustave, 62 ans, habitait Chàlons avant la gurere ; Mme Hanra |

. Clotilde, 56 ans, habitait 'Châlons avant la guene.

Longuyon. — Mme Goulet Marie ; Cou- , let Jacques, 2 ans et demi.

Sainl-Suyptet. — Mme Guinot, femme j du général ; Guinot fils, 34 ans. '

Briey. — Mme Mackiewick Marie-Thé- . rèse, Mackiewick, 1 an.

Xammes. — Mathieu Henri, 16 ans-Rrainalle. — Gouverneur Marçcl, 17 ans. ' Friauville. — Choppé Julien, 16 ans. Gondrexon. — Bally Joseph, 17 ans. Jeandelize. — Schmitt Paul, 14 ans. Moutiers. — Hilbert Paul, 17 ans. Val-et-Chdtillon. — Mme Voignier An^e-

lc, 32 ans ; Voignier Clémentine, 9 ans ; Voignier Marguerite, 4 ans."

ThuméréviUe. — Balthazar Fernand, t6 ans.

Norroy-les-Ponl-à-Mousson. Nercu Charles, 15 ans ; Cornette Alphonse, 17 ans.

Villc-au-Montois. — Dufour Ernest, 17 f ans.

Villerupt. — Leblanc Louis, 17 ans-Yille-sur-Yron. — Sertorius Arsène, 19

ans. Nancy. — Collin Henri, 16 ans, a été ar-

rêté à Saint-Dié. ————

FROISARD La Croix-Rcuge Française. — On nous

écrit : « Le président du sous-comité de Frouard de la Société de secours aux bles-sés militaires, a reçu de M. le Maire, au

1 nom de la viile de Frouard, la somme de 500 francs ; de M. Barthel, adjoint de la commune de Jeandelaincourt, la somme de 100 fr. provenant de diverses souscrip-tions et vente de cartes postales.

-« Le sous-comité remercie sincèrement les municipalités de Frouard et de Jean-

j delaincourt de leur généreuse initiative à i , j l'égard de nos chers soldats.

| « La vente du « 75 » a produit dans notre j ville la somme de 352 fr. 85, grâce au con- I

'■ cours toujours si dévoué de Mlles Hammer, , 1 idolle, Schmitt, Mousset, Guitienne, Thi-

ri.it. Grave, W^sgéber, Mcuchette, Burlet, Carrière, Crétin, Gandreuil, Hermann, An-

■ dré, Thcuvenin, Lacroix, Charlier, et à la | générosité de notre patriotique popula- I , tion. » j DIEULOUARÛ |

La journée du « 75 ». — Magnifique, ré-5 sultat obtenu dans le bourg si patriote de

Dieulouard par le « 75 ». 1° Produit d'une collecte

; faite par M. Mignon, à la t ..." division de réserve. 22 »

2° Par six jeunes filles de l'école municipale 307 »

3° Par neuf jeunes filles de la. Croix-Rouge 462 60

Au total 791 60 " Merci à nos aimables quêteuses et à nos j [ généreux donateurs. 1

: HEILLECOURT j

Pour nos blessés. — Le comité de la So-- ciété de tir « La jeunesse réunie » de Heil-, lecourt a recueilli la. somme de 1?Ç fr. 80

qui a été remise entre les mains de M. le i. Préfet. Cette somme provient de la Société 1 de tir (2° versement), 50 fr. ; des habitants î d'Heillecourt, 101 fr. 80.

On doit ajouter la somme de 25 francs j versée par le sergent Guerre, dû poste de...

produit d'une collecte organisée entre les j hommes du dit poste*

■•»"" ■• 'itTTCTeBawagaga™»!^^^"**?.'!— TOUL I U

Lea semences printemps. M* • .. cultivateurs, membresxlu ' * 'i',. ( i"( • 111 te» n i-^ 1 font partie de la. société oes - g 1 -1 riti de France, sont informes que les u^î"s tés de semences de printemps sui bés dans lo besoin, à la suite de fait? ^ guerre : ■ t ..,,

25 quintaux de blc japnec , 10 i • de blé Chiddaia drf mars ; 30 quuu.in>. aa- y voine de Ligowo ; 10 (pnniaiix 1 a 1 ^ grise de Heauce ; 5 quintaux d'avoine jan-no hiMi\'c d'Yvois ; 10 quintaux de pommes

inun.yi^me./ta M. Aubrv, Rident du \. Syndicat agricole de TorA. t tJnf::'îi?SmC'H nécessaires 1 h

micc par la Société des Agiiruiu m> France, prup- ètr- distribuées gratuitement * aux sociétaires nécessiteux des commune.

I curouvéos (Nord de . nrronjit.seme 1 ut Ton . canton de Domevro en partienuerp

LIS NEVILLE Avis Important. — Un certain nombre

de trousseaux de clefs, de bouches o incen-die, marteaux de tentaines et autres ob-jets appartenant a la compagnie de.. . a- ( peurs-pompiers avant été égarés• pendim ( 1 extinction des incendies auumes ni use Allemand1-, l'admintetration municipale prie les personnes qui détiendraient ces ob- ' jets de vouloir bien'les ranporter le plus tôt possible au poste-quartier de la rue de ' 1 T

bcf temiltes de sapeurs-pompiers mo- *

le dépôt dans le plus' bref délai au poste '

«fe^ ™ à. \'ille de nouvelles dépenses' quand un peu 1

de soin peut faire retrouver des objets in- j

Le dcimici'e de nos réfugiés. — Canton de Gerbeviller. — Gerbéviller. — M. Chat- 1 ton (lîmi'o). à Albv (arrr-nflisscnient d'An-née v)' : M. Charmé (Joseph), à Moven (M.-et-M.) ; Mme Brenevâl (Denise), ' fil, rue lia guerre, Paris ; Mme Bergei (Catherine), 61, rue Da guerre, Paris ; Mme veuve Ca-lais (Marie), 18, rue Pâmer Pa-is : Mme Horion (Alfred). 19 bis, cité de la Filature,

I . MagnièiTS. — M. Paillot -Emile-). 77, ave-nue de la Grande-Année, Paris.

Tout Lorrain qui voudra garder un souvenir précis et détaillé de la guerre en Lorraine au mois d'août 1914 achètera :

1 r/V/3

JLJICL V IG

en Lorraine AOUT 1914

j Prix ; O fr. 60

En vente à l'Est républicain, chez ; tous ses dépositaires et vendeurs.

Franco : O tr. 75

BAR-LE-DUC

La iéte du « 75 ». — La recette du 7 fé-j j vrier, a Bar-!c-Duc, a été de.... 3.016 57

I jointe à quelques oboles recueil-- lies le lendemain et le surlende-; | main, a. donné 9^'6 10

l ' Soit ou total.... 3.942 67 c On peut d'autant plus dire, en chiffres

ronds, 4-000 francs, que deux vendeuses se sont détachées pour aller à Rtvigny où el-

^ les ont recueilli 167 fr. 65, ce qui porte le ! produit total de la campagne à 4.110 fr. 32.

Louées soient celles qui furent les arti-sans d'un tel succès, et, puisse le 75, dont les projectiles mettent si fort à mal les Boches, en faire pleuvoir beaucoup du gen-re du uôtre aans les tranchées de nos va-leureux poilus 1

Mais ce qui doit intriguer, c'est le chiffre de 67 centimes.

C'est bien simple: un généreux don iteur ; a pensé que les pièces de 2 centimes ayant ' disparu de la circulation, valaient 20 fr.

P pour un numismate et qu'il se trouvait çer-3 tainement dans les tranchées des confec-

tionneurs qui se disputearient à prix d or j, le bonheur de posséder une telle rareté

La Caisse départemental e des ineeodies j qui, en décembre, payait 200 fr. son petit drapeau belge, a acheté 300 fr. son insigne du 75. 0

9 LIGNY Arrestatiors. —- Une jeune femme de Li-

,. gny a été arrêtée et écrouée pour avorte-ment ; sa complice, une femme de Bar-le-Duc, est également sous les verrous.

SAUDRUPT ï Nomination de notaire suppïeant. — Par

s ordonnance du 12 février 1915, M. Vougnv,

e greffier de la justice de paix du canton i_ d'Ancerville, a été nommé suppléant de M"

a Grégoire, notaire à Saudrupt, présent sous e ■ —

]C

s drapeaux, pendant la durée de ] ï Vf, Yuugriv se (ruinera à Sandrupt

l'étude tous les lundis, à partir de midi

VAUCOUl.EURs

' un certain nombre d'émityr-ï vit ont de quitter Vaueoulcurs pour u\\lt ■ dans le département du Gard trouver J asile passager.

A leur venue à Vaueoulcurs, M. MarvC lel, maire, dans une n.union générale da tous les réfugiés, leur avait adressé des ,

)it,

rôles de réconfort et les avait assurés qu'ils trouveraient une municipalité dévouée à leur triste cause et une population qui S'CKfe ploierait à atténuer leurs misères.

Il confia à M. Philippe, adjoint, le soin de diriger 'e service-des réfugiés ; «vaut leur départ, la lettre de remerciements SUà. vante lui a été adressée :

<r Les émigrés des départements cuva,hi| « réfugiés à Vaucouleurs, à Monsieur Pb> « lippe, adjoint au maire.

« Monsieur l'adjoint,

» Le sort a voulu que nos malheureux dé. « parlements fussent envahis dès l'ouver-« ture des hostilités par les hordes aile. a mandes et en partie détruits par le bom. « bardement et l'incendie.

« Nous ave ns été dans l'Obligation d« « quitter nos demeures ravagées et de fui»

.« devant nous pour aller chercher dans une « autre région la protection dont iu»m re avions grandement besoin.

« C'est ainsi que vous avez vu venir duos « votre cité des familles entières.

u Le gouvernement de la République, en « présence de notre situation malheureuse" « a pris des mesures pour nous venir eii « aide. Plusieurs circulaires ministérielles n ont dicté aux maires les devoirs qu'ils <i avaient à remplir dans ce but.

u C'était donc uns nouvelle charge qui » venait s'ajouter à celles déjà nombreuses « de la ville de Vaucouleurs.

« Vous avez bien voulu, monsieur l'a&i « joint, accepter la délégation de M. le « maire et consacrer en grande partie vo-« tre temps au service des réfugiés.

« Ce service, grâce à votre organisation u judicieuse et votre dévouement, a fonc-« tionné à la satisfaction générale.

« Aussi, est-il de notre devoir, avant de « quitter Vaucouleurs pour line région « lointaine, de vous exprimer notre recou. «. naissance.

n Nous conserverons, monsieur l'adjoint, « de la municipalité et de la population « hospitalière de Vaucouleurs lc meilleur » des souvenirs.

» Agréez, etc. ». Suivent les signatrues de 73 chefs de fa-

mille. HOUDELAIMGOURT

Election d'un adjoint. —- M. Varnjer François-Télesphore, chevalier dû Mérite agricole, propriétaire-agriculteur en cette commune, vient d'être nommé adjoint, à l'unanimité, en remplacement de M. le commandant Poirel, décédé.

—-^*-3"f>^—.

VOSGES NEUFCHATEAU

La foire. — Le maire de la ville de Neuf-château a l'honneur de rappeler que la foi-re du mois de février aura lieu le samedi 27 février, aux heures et emplacement ha-bituels.

LES SÉPARÉS — M. Leloup Nicolas-Hubert, prisonnier

à Koenigsburg, demande nouvelles de sa femme et de ses enfants, laissés à Longvy

, (Bcllevuc).

Petites correspondances La femme d'un étranger, se disant ES-

. pagnol, injurie et diffame les Françaises | de la maison et du voisinage, etc. ? [ R- — Certains étrangers doivent se tenir j sur une grande réserve et ne pas oublier

qu'ils mangent le pain des Français sans en avoir les charges actuelles. La moindre

j incartade peut leur faire retirer le permis [ de séjour et entraîner l'expulsion immédia-

te. Déposez une plainte à la police ou au . procureur de la République.

Ayant acheté un fonds de commerce, il i y a huit ans, avec promesse d'achat de la

maison au bout du bail, c'est-à-dire la ncu-■ viôme année, etc. ; R. — Votre affaire ne peut se trancher

en deux lignes. C'est à examiner. Nous vous conseillons do consulter un avocat.

Ayant loué un logement depuis le mois :' de juillet, et le fiancé étant à la guerre,

etc. j Iî. — Vous pouvez faire la proposition ' dont vous parlez. Si elle n'est pas accep-• tée, le loyer vous sera dû à' la fin de la

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