revue de presse - restaurant-liza.com · entrez et sa conviction à ... due mais professionnelle,...

REVUE DE PRESSE

•OfcVv

Avec sa gentillesse spontanéequi vous étreint dès que vousentrez et sa conviction à

faire des choses nouvelles, LizaSoughayar pourrait bien illustrerl'ouverture d'esprit et Fart de vivrelibanais de la jeune génération.C'est du moins ce qu'elle insuffledans son restaurant : l'image d'un«Liban créatif et gourmand, orien-tal et moderne, simple el sophisti-qué : contemporain ». Autour d'elle,une équipe de son âge soudée par lamême énergie : Karim Haïdar, cui-sinier autodidacte et hors normes,donne à sa carte une allure déten-due mais professionnelle, insou-ciante mais persuasive. HubertFattal, décorateur à Beyrouth,jouant sur le blanc pur et le bleupour calmer des tourbillons de laville, a su décaler les traditionsartisanales et culturelles du paysvers une, modernité qui bousculeles conventions en revisitant lesarts décoratifs orientaux. L'espaces'ouvre sur différentes approchespossibles : vers le comptoir où l'onpeut se faire servir à midi et prendreun dernier verre le soir, vers lessalles si l'on veut directement pas-ser à table. Les tables ? des plateauxrenversés en cuivre étamé et gravéou en métal blanc ajouré dessinéspar Karen Chekerdjian. Les mou-charabiehs qui protègent des re-gards de la rue ? de grands panneaux

Libanese attitudeDans le sillage du dynamisme culinaire actuel s'inscrit Liza. Ce restaurant libanais

à Paris choisit un décor chaleureusement moderne pour ancrer une cuisine

contemporaine qui interprète ses racines. PAR G. DORTIGNAC. PHOTOS .T.-F. GÂTÉ.

Une atmosphère douce et nacrée aux reflets bleuis par la lumière où la cartedécline le Liban sans donner l'impression de goûter au énième mezzé.

de Plexiglas incrustés de motifs ennacre où la lumière s'accroche, sub-tile et plus orientale que jamais.«C'est une réalisation de NadaDehs, très connue pour son remar-quable travail sur la nacre », préciseHubert. La lumière ? des suspen-sions au crochet et des appliques deCaïLight. Banquettes et arabesquesen bois sont signées des Tarazi, héri-tiers d'une dynastie d'artisans dubois. A la carte, même raffinementnaturel. Avec des saveurs fraîches,renouvelées selon le marché, le cheftrouve le juste équilibre entre lepatrimoine culinaire libanais etl'inspiration libérée de la nouvellegarde pour nous offrir du bonheur.Le mezzé évidemment, mais per-sonnalisé et qui anticipe savoureu-sement un bar de ligne sauce tajine,riz aux agrumes et pignons ou lecarré d'agneau rôti, purée de lentilleset tomates cerises au cumin, et ledessert un rafraîchissant haytalié...Des plats faciles à comprendre etdélicieux qui brisent la caricatured'une cuisine pétrie dans lepassé que d'aucuns croyaient réduiteau .sempiternel hommos.Liza, 14, rue de la Banque, 75002Paris, tel : 01.5,5 3,5 00 66. Menumidi, 21 €, ou plateau, 17€,le soir,à la carte : mezzé, de 5€à9 €, filât,de 16 € à 27€, dessert, de 5.50 € à8€. Ouvert tous les jours, midi etsoir, sauf dimanche et lundi.

MAISONS COTE SUD33 AVENUE DU MAINE - BP 68 - 75755 PARIS CEDEX 15 - 01 53 91 16 12

AOUT/SEPT 05Bimestriel

OJD : 88478

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N/Réf. : 0143447711

24 08 2005 / MAISONS CÔTÉ - SUD

14 BOULEVARD HAUSSMANN75438 PARIS CEDEX 09 - 01 57 08 50 00

30 NOV 05Hebdomadaire Paris

Surface approx. (cm²) : 280

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Eléments de recherche : Toutes citations : - LIZA ou L DE LIZA : restaurant spécialisé dans la cuisine libanaise, à Paris 2ème - LIZA SOUGHAYAR: gérante - Les cuisiniers : * HUBERT FATTAL * KARIM HAÏDA

Liza, c'est comme çali 5

mercredi 2 novembre ZOOStable 23

OTE ARTICLEEXPRESSOCHATELDON 1LVELOUTE M POTBONENTREE * PLATAGNEAU 5 EPICESDOUBLE EXPRESSO

TOTAL TTC

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66SO€

19.80* 1090C56.60 «

Merci de voira vnueA bientôt

Dans le ruissellement de nouveautés, il estparfois des propos qui peuvent échapper.Sans doute parce que bien souvent les pro-positions sont trop caricaturales, sonores,simulées. Bien malin qui peut déceler enun coup de cuillère la nervure d'un talent,le fil qui conduit au cœur. L'art est en ce mo-ment à l'embrouille, à la danse des voiles.On joue au restaurant en se glissant dansla catégorie café, on revendique la naturebistrotière en se dessinant des faussesmoustaches. Aussi, lorsque je suis allé pourla première fois chez Liza, un nouveau res-taurant libanais du quartier de la Bourse,autant être franc, je suis passé à côté. Riensenti. Ça arrive, on cherche à relire sesnotes, il n'y a rien. Battre le rappel des sou-venirs : vide. On se souvient d'un jour depluie, d'un automne bancal, d'une mélan-colie soudaine. Dans ces cas-là, mieux vauty retourner. Changer de convive, trouverun soleil laiteux, une humeur d'olive.

L'ACCUEIL. On sent tout de suite l'adressetenue. Visiblement, il y a quelqu'un à labarre qui s'appelle, si l'on en croit la presse,Liza, dont le sourire est irrésistible si l'onen croit, sur un site Internet, le témoignagede Pierre, du 24-5-2005 à 19 h 05 (l'heure

où les lions ont soif). Un papier enflamméde Philippe Couderc avait bien lancél'adresse même si le critique du NouvelObs revint sur son emballement avec unenotule à l'amertume bien trempée. Autantdire que les troupes ont dû être chapitrées,recentrées. Du coup, on hérite d'un ac-cueil galvanisé, bigrement concerné.Lorsque le serveur évoque une salade mé-langée, c'est comme s'û mettait une mainsur le cœur, l'autre sur la bible.

LE PLATEAU. Il y a une formule bien pra-tique au déjeuner (et sans doute au dîner)qui consiste à servir sur un large bou-clier creusé d'alvéoles l'ensemble du re-pas. C'est bien, comme ça on peut tenu-une conversation sans avoir à l'interromprelors du parachutage des différentes sé-quences du repas. On y retrouve ainsi unagneau confit et son riz aux cinq épices,des topinambours revenus à l'ail, unesalade de lentilles, riz et oignons frits, unlaitage relevé. Les portions sont minimesmais point chiches, elles autorisent unpique-nique urbain léger sans être dé-pourvu de sens (joli travail sur les cro-quants et les moelleux), même si le riz n'estpas toujours inspire.

Mais encoreLA CLIENTÈLE. Amoureux du liban (c'esttoujours bon signe), femmes d'affaires Qatouche Liza, les plats légers), boursiers,assureurs et quelques piétons.

LE DÉCOR. Assez réussi avec ses nuancesclaires, nacrées au modernisme paisible.

FAUT-IL Y ALLER ? Plutôt oui.

EST-CE CHER ? Au déjeuner, formule à21 € correcte, autrement comptez de 40à60€.

Liza, U, rue de la Banque, ll*. Tél. : 01.55.35.00.66.

30 11 2005 / LE FIGAROSCOPE

JANVIER 2007 NYTIMES.COM

LE NOUVEL OBSERVATEUR HORS SERIE10/12 PLACE DE LA BOURSE75081 PARIS CEDEX 02 - 01 44 88 34 34

N°712/2007Parution irrégulière


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10 01 2008 / LE NOUVEL OBSERVATEUR HORS SÉRIE

LE NOUVEL OBSERVATEUR HORS SERIE10/12 PLACE DE LA BOURSE75081 PARIS CEDEX 02 - 01 44 88 34 34

N°712/2007Parution irrégulière


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14 R DE LA BANQUE. 75002T 0 1 5 5 3 5 0 0 6 6 M°BOURSE TOUS LESJOURS, DE MIDI A 14H15 (SAUF SAMEDI,16H DIMANCHE) ET DE 20H A 22H30(SAUF DIMANCHE 23H VENDREDIET SAMEDI)La Cui s ine lib.in.iisc ne so bornepas .iii tiikc-away, aussi bon soit-i l , ou au traiteur chiciss imc du16 La preuve avec cette adresseimmaculée, sorte de cocon ala-dmcsquc caressant dans le sensdu m e i l l e u r tous les classiquesdu Cèdre mc//cs, manaki-ches, siyadia (poisson rôti avecri/ au cumin) Au dejeuner,c'est 18€ l'assortiment de qua-tre me/î/es (kebbe au potiron etsauce yaourt, salade fatouchc )plus un verre de vin, et 23( laformule plat (caille rôtie au |usdc grenade ), vm ct cafe Verredc Chatc.au Kefraya, Iii Le di-manche , les f ami l l e s du coin dis-cutent dc la réfect ion du toit dc lamaison de Deauville autour d'unbrunch nayt (cru) aux trois tar-tarcs d'agneau OK) ou aux œufs(28€) Musique aerienne, serviceexpl ica t i f , ct, en guise dc conclu-sion, l'onctuosité fondante d'uneglace a la c anne l l e // P G

05 02 2008 / ELLE SUPPLEMENT

149 RUE ANATOLE FRANCE92534 LEVALLOIS PERRET CEDEX - 01 41 34 60 00

4 FEV 08Parution irrégulière


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elleaparispêlë-mêle

LE LIEUL'atelier en commun Ar t i s tes de toutes lesdisciplines, unissez vous I Le premier atelier encommun de la Ville de Paris vient d'ouvrir en pleinquartier d Aligre À I initiative d associations, cetancien bâtiment EDF est mis ainsi a la dispositiondes plasticiens, peintres musiciens, danseurs,vidéastes qui ne peuvent pas s offrir un atelier àeux À raison de 4 € par pur (2 € pour lesfauchés), ils partagent un open space de I 500m2

sur trois niveaux Pour cause de bruit, musiciens etcomédiens ont une salle et un studio de répétitionà part (4€/h) Vu la demande, souhaitons que ceconcept utopique et solidaire fasse des émulesdans chaque arrondissement I Renseignements etinscriptions sur wwwatelierencommun net100, rue de Charenton (12*).

SABINE ROCHE

LESERVVous connaissezLiza ? Situé près dela Bourse, ce must

- de la nouvelle cui-sine libanaise a été

^ décoré par une plé-• iode de jeunes de-

signers beyrouthins.Des recettes tradi-t ionnel les un brinréinventées, tout estbel et bon chez Liza,une Levantine trente-noire à l'origine de

ce lieu chic et décontracté. Et si vous préférezrester chez vous fumer le narguilé, Liza vient delancer un service traiteur où les délices de sonresto sont livrées à domicile. Cocktail dînatoire :27€ par personne (à partir de 12 convives).14, rue de la Banque (2"), 01 55 35 00 66.

L'ACCESSOIREPour défiler dimanche avenue d'Ivry dans le 13e, et fêter dignle Nouvel An chinois, on arbore la besace de Chmart Graphiqueetarty, c'est une preuve de plus qu'aujourd'hui en Chine, la veste Mao,c'est dépassé I

I, rue Henri-Monnier (9'|, 0870 236 184.

LE BON PLAN:LE PREMIER BRIC-A-BRAC EMMAUSouvre ses portestous les samedis deI Oh a 19h Commedans tous les autresbnc-a-brac Emmausde province vousallez y dénicherde la brocante, de lafripe et bientôt desproduits informatiquesInstalle provisoirement,pour une petite annee,a la porte d Orléans,avant de trouver unlieu definitif dans Pans,l'association vouspropose pas moins de1200 m2 pour chinerSO, boulevard Jourdan|14-),0146075151.

CAMILLE GIRETTE

Tous lésons, Martial etZohra partent auPakistan s'approvisionner en mobilier dansla vallee de la Swat au Nord Ouest du paysEvidemment, vu le contexte politique de laregion leur petite entreprise devient de plusen plus périlleuse Raison de plus pour allerdécouvrir (|usqu'au 28 fevrier au soir) leurdernier arrivage de ces pièces superbesarmoires, coffres ou lits tantôt tailles dans lamasse, tantôt finement ciselés Mieux quedu vintage ces meubles ont une âme I

Cloitre des Billettes, 24, rue des Archives (4'J.VINCENT XAVIER MORVAN

02 06 2008 / LE POINT SUPPLEMENT

74 AVENUE DU MAINE75682 PARIS CEDEX 14 - 01 44 10 10 10

19 JUIN 08Parution irrégulière


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e ARRONDISSEMENT

RESTAURANTLizaLiza ressuscite des recettes hbanaises comme la fattit batinjan(panade d aubergine etyaourt parfume a la pâte de sésame), donneses lettres de noblesse aux mezzes(les kebbes de bœuf et leur sauce ala betterave ') et illumine l'universdes brunchs parisiens avec les tartares de sa formule naye (« cru »)Formules de 17 a32 €lemidi,a42 €le soir «CDli rue de la Banque Ol 553500 66De midi al4h 15etde20ha22h30brunch le dimanche de midi a 16 hFerme le samedi midi et le dimanche soir

BOULANGER-PATISSIER

StohrerC'est l'adresse des puristes larecette du baba au rhum, inventéepar Nicolas Stohrer, le pâtissier

du roi Stanislas,sous Louis XV, atraverse les siecles Dans lacélèbre pâtiibene parisiennetoujours en activite, on assècheles b r iochespendant qumze jours avantde les imbiber

d'une concoction a base de rhumNature, a la chantilly ou en version«Ali Baba», avec raisins et cremepâtissière, le gâteau ne perdjamaisson goût inimitable 3,50 € le babaau rhum • A J51 rueMontorgueil 0142333820Tous les jours de 7 h 30 a 20 h 30

TRAITEURAlain TriboletLa réputation de cette boucherie,qui existe depuis plus d'un siecle, n'est plus a faire c'est ici queles grands chefs etoiles viennents'approvisionner Sa viande d excellente qualite provient des meilleursterroirs de France son porc fermierdu Cantal, son bceuf de Salers, sonagneau du Limousin et son veaude Correze, des spécialités qui fontl'unanimité • A L54 rueMontorgueil Ol 42 33 04 06De Sh a 13h et de 16h a 20hFerme le dimanche apres midi etle lundi

EPICERIESG. DetouTout ce qu'il faut pour cuisinercomme les etoiles plus de quarantechocolats de couverture Valrhona,du beurre de cacao, des arômes defleurs, de la poudre de réglisse, desfeves tonka (issues de l'arbre a teck,un regal dans la purée O.dustabihsateur de chantilly mt D58, rue Tiquetonne0142365467 De 8h30 a 18h30Ferme le dimanche

KiokoSur deux étages, le plus invraisemblable choix de produits nippons,souvent rarissimes une centainede sauces soja différentes, autantde varietes de nouilles, des rayonsentiers de confiseries, de surgelés

de pousses de plantes, de champignons et de pâtes Attention, toutici est en VO, maîs deux vendeursfrancophones sont présents I C D46 rue des Petits Champs0142613365 DelOha20hdumardi au samedi et de 11 h a 19 hle dimanche Ferme le lundi

04 09 2008 / AEROPORTS MAGAZINE

291 BOULEVARD RASPAIL75014 PARIS - 01 43 35 75 47

SEPT 08Mensuel


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FaKhr el DiïlS, 30, rue de Longchamp 75016 Paru© ol 47-27 go oo, UMJwfakhrddme com Menut, pour2 penonneA45 €,40 €alacarte Ouvert towi IBA joua de 12 h a 15 h et de lg h a 23 hI Menusfcr2 €45 a/a carte €50 Operdaily I2noon 3pm ypm npm

Carte raffinéeLaissez vous guider par le protocole qui régit le service desmezzes les plus raffines de la capitale Caviar d'auberginea peine aile, fromage de brebis saupoudre d'epicesou rissoles d'epmards et pignons précéderont l'un desplats de resistance, comme un poisson a la Tripohtainerelevé Au dessert, ne ratez pas le sublime halawat aljebne,sorte de cannelloni de fromage doux farci de fleur de laitet arrose de sirop de rose Le soir, un orchestre vous ferapasser quèlques heures dignes des Mille et une nuiti>

I Sophisticated menuDontfightit Jubtfollowtheprotocolforeatingïhemost refmed mezethesin Paris auberg ne caviarewithamerehintofgarlicevvescheesesprn<ledwithherbs orsp nach and pme kernel rissoles lcad up to amam course likespicyTr poli stylefish Fordessertdon t miss tirehalawatal/sbne asort of soft cheesecannelloniservedwithrosesyrup Bonus themusicians transportyou into The A'dbian Nights

LÎZd, 14 rue de la Banque, 75002 Paru © 0155 35 oo 66, www restaurant hzacom Formule dejeuner 18 €,« Grand Mezzé» 42€,carte 40 € Ouvert touj,IBAJOWÂ, deiihai4h 15 et de 20 ha 22 ri| Lunch menu €18 GrandMezze €42a/acarte€4oOpendayi2noon2i5prri8prn iopm

Tradition revisitéeLiza Soughayar vous accueille dansun cadre lumineux et épuré Banquettesde bois blanc sculpte, murs d'arabesquesenchâsses d'éclats de miroirs, tablesen metal etame Les clins d'œila l'artisanat traditionnel sont legionL'assiette, signée Kanm Haidar, allieelle aussi l'héritage au contemporainhommou& - purée de pois chiches -ou kafta - viande hachée grillée - côtoientdes recettes traditionnelles moinsconnues, comme la salade de lentilleset de riz (entrée), le mijote de mulet noirà la coriandre fraîche et au piment(plat) ou le meqhle, un dessert au carviet à la cannelle, que l'on sert au momentdes naissances.

| Updated tradition

Liza Soughayar greets you ina streamlmed settmg bathedin light Carved white wnodenseats arabesque shaped wallsmirrors tm plated tables theréférences to traditional craftsare legion Chef Karim Haidar"scuisine puts a contemporaryslant on classic Lebanese foodhumrnous (chickpea purée) andte/ta (gr lied meatballs) mmglewith lesser known dishes suchas lentil and rice salad or blackmullet «ith fresh conander andmegleh adessertflavouredwithcaraway seed and cinnamon traditionally served when theres abirth n the f a TI 'y

15 06 2011 WWW.MYLITTLEPARIS.COMwww.mylittleparis.com

Évaluation du siteCe site diffuse des articles concernant la vie parisienne (bons plans essentiellement, boutiques,sorties, etc.)

CibleSpécialisée

Dynamisme* : 5* pages nouvelles en moyenne sur une semaine

LIZA / 7101263 copyright © 2011, Argus de la presse Tous droits réservés

Date : 14/06/11

Le meilleur sandwich libanais de Paris

Aux douze coups de midi, quand les collègues passent une tête dans le bureau pour lesempiternel déjeuner, on est parfois tenté de filer en douce pour s'offrir un déj en solitaire. Aumenu : du jazz dans les oreilles, les jardins du Palais Royal en ligne de mire, et le meilleursandwich libanais de la capitale entre les mains.

Dans le corner libanais de Liza , on commande un Man'ouché tout juste sorti du four. Leboulanger s'est enfermé 6 mois pour créer ce pain moelleux et croustillant. Entre les tranches,Liza glisse un brin de menthe fraîche avec des légumes croquants pour composer un sandwichplume mais pas diète, le Zaatar. Pour les plus gourmands, Liza confectionne aussi desbeignets de pois chiches, des sandwichs de viandes marinées ou de crème sésame. Savourezvotre casse-croûte égoïste du midi.

Le L de Liza

Du lundi au vendredi, de 11h30 à 15h30 14 rue de la Banque , Paris 2e

Tél : 01 55 35 00 60

Menu salade, sandwich, boisson : 10,90€

22 06 2011 FIGAROSCOPE

29 06 2011 / LE FIGAROSCOPE


29 JUIN 11Hebdomadaire Paris

Surface approx. (cm²) : 4757N° de page : 29

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Eléments de recherche : Toutes citations : - LIZA : restaurant à Paris 2ème - LIZA SOUGHAYAR ou LISA SOUGHAYAR LIZA ASSEILY ou LISAASSEILY : gérante du restaurant Liza à Paris 2ème - LIZA AUX GALERIES LAFAYETTE A PARIS (75) : événement du ...

Conçue commeiosque contemporain

par Christian Ghion.i: Grande Verrière

du jardin tfAcdtrnatation proposeune carte de plats sçnés

par le triple étoile


29 JUIN 11Hebdomadaire Paris


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LA PLUS FOOD IN SHOPLiza aux Galeries Lafayette

Premier etagedes Galeries Lafayette40 bd Haussmann IX"Carte env 75-30 €

Classique du Pans en vacanceslorsqu'il convient de perdre dutemps en faisant mine d'en ga-gner, cet instant ou l'on se retrouve à musarder dans un grandmagasin, histoire d'éprouver

soldes et shopping pour leursvertus antidepressives, voirepour leur confort climatise Enpassant du cote des Galeries Lafayette, l'ephemere estival 2011risque bien de retenir cette chicéchoppe ou entre deux étagesdeux rayons, deux heures lespetites faims trouveront a se distraire (jusqu'au 31 juillet) dequèlques plaisantes hbanaiseries

LA PLUS VERTELe Brunchde l'OuestParisien

Bassin des 4 jets alleede to Glaaere Samt-Cfoud (92)Le week-end seulementTel 0635166130de Tl h 30 a 17 h 30Carte env 25-40 €Lovée dans lei verts et moelleuxdu tres irrésistible part de SaintCloud, une garden party que cette cantine en maniere de clamere, ou enfants et parents jouent ala recre quand le service se decide a ne pas se laisser déborder Ducoup, ne pas chercher ici plus lomque le bout d'un ciel bleu, le som-met d'un arbre et les complicitésde parasol, tant les nourritures entenue plus que legere se contentent ici d'accompagner l'opporlunité d'une bucolique a dix minutes de l'Etoile

LA PLUSPARIS-MEXICOCandelaria

52, rue de Samtonge IIIeTel 0142744128Corte env 15 €Une laqueria pur jus, quatre murscolles serres, une table d'hôte,quèlques tabourets, un comptoirrâble avec vue sur les fourneaux,ou s'activent un cuistot sous bandana, un commis jouant du couleau et une serveuse avec natteFnda Kahlo Priere d'a\iser unpetit modele de comptoir sud RioGrande nous épargnant la cavale-rie zapatiste des méchants tex-mex au profit de guacamole touten fruit galettes gavées minute abecter du bout des doigts et gâ-teau chocolat-chui que viennentrafraîchir bieres légères et sodaau tamarin Si affinités plus exotiques, passage oblige par le quartde bar a tequila contigu

25 11 2011 / LES_ECHOS

16 RUE DU QUATRE SEPTEMBRE75112 PARIS CEDEX 02 - 01 49 53 65 65

25 NOV 11Quotidien Paris

OJD : 121356


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La Victoire des bonnes tablesUn microcosme gastronomique s'est regroupé au cœur de la capitale, autour de la place des VictoiresEntre solides bistrots, restaurants ethniques et branches, une dégustation à vous donner le tournis

Faisant harmonieusement lajonction entre les Halles etle Palais Royal, la place desVictoires et son pourtoursont en soi un petit village

Vibrante en semaine maîs presqueléthargique le soir et le week end,la place gaide néanmoins sasupeibe Autour, dans les luesadjacentes, on tiouve quèlquesetablissements sympathiquespour se restaurer dans la bonnehumeur

Aux Fines Gueules, niched a n s u n i m m e u b l e d uXVIIe siecle dû a Jules Hardouin Mansart , bistrotd'humeur et a vins (cavegénéreuse de 700 leferences), la cuisine titille lemarche et les saisonspour r a f i a i c h i i sonardoise, tout en affichantquèlques valeurs sûrescomme l'assiette dechaicuteries, le tartared'Aubiac au couteaupommes grenaille oul'entrecôte de bceuf Lesboutiques voisines et la

Banque de France fouinissent une partie de laclientele au dejeuner et al'heure de Tapei itif Centmeties plus bas, de l'autrecôte de la rue, le japonaisNomoki a laisse sa place auBlack Turtle, qui ouvre dansquèlques jours avec une cartejouant la bistionomie

A côte, en tournant juste dans larue Coquillieie, le tres atmospherique italien Clio Pane Vino faitcarton plein tous les midis d'unpublic gentiment fashiomstaDans son cadie d'épicerie trattoriaNew Yoik style, on vient se restaurer de pates du jour faifalle a latomate et epinards frais, laviohs ala ncotta et beurie de sauge, lmguine a la creme de potironQuèlques propositions de la cartesont en petite ou glande taille(entrées) Le patron natif deGaiane (Sicile) est ici chez lui,comme un poisson dans l'eau

De l'autre cote de la place, enaUantveisla Bourse, Chez Georges,ouveit en 1964 (en lieu et placed'une épicerie italienne, d'où sansdoute son cadre baroque), reste une

16 RUE DU QUATRE SEPTEMBRE75112 PARIS CEDEX 02 - 01 49 53 65 65

25 NOV 11Quotidien Paris

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'Fl -IF1 H «

Les Fines Gueules,43 rue des Petits-Champs lar

(OI 4261 35 41) Environ45 eurosClio Pane Vino 44 rueCoquilliere 1»(01 4 2 3 3 2 1 15)Ouvert au dej (le soir

uniquement jeudi et vendredi)Ferme dim Environ 35 euros

Chez GeorgesI rue du Mail 2e

(OI 426007 I I)Ferme sam et dimEnviron 60 eurosCitronnelle fiGalanga,15 rued Aboukir 2e

(OI 4221 05 62)Ouvert au dej ensemaine (et dumercredi au vendredisoir) Ferme samediet dimancheMenu dej I 5 euroscarte 30 euros

solide mstitul ion m a l g r e unchangement de piopne T-taire il 5 a deux ans Mondains,bouigeois et touiistes en quête d unlieu < authentique » sont au coudea coude servis par un personnelfeminin habille de noir et d'untabhei blanc, comme dans les maisons de jadis» en parfaite harmonieav cc Ic cadre La calic immuablechante la cuisine d'antan celenrémoulade, œuf mayo, salade de fh

see aux lardons et œuf poche sole< Georges > grille ou meuniereandouillette AAAAA frites (un monceau ') foie de veau poele al'anglaise, etc Sans chercher la gastionomic, on a droit a dcs compositions simples exactes, dans un jolidecor, qui pousse hélas I addition

un peu trop*=•_• i v^™ vers le haut

fj En face Pastisl u e d u M a i l

OI 40 20 40 04), petit rade rock andloll au joli cadie bistrot séduit audejeuner poui son sens de la formule (16,50 euros) et le soir pourson espnt cool et son cheeseburgel Bien vu lebabj foot dans unepetite salle au 1B etage qui peimetde s amuser en pienantlapero

Gentil voyage en Indochine

chez Citronnelle &Galanga, ouveit il y a

quèlques mois pai lafamille To déjà aux manet

tes d un restaurant a lamême ense igne t u e d u

Mont Thaboi, 1e Soupe detamarin aux crev ettes tomates

ananas, oignons, fines herbes, lesrouleaux aux 12 legumes (compiomis eiitie le louleau de pmitemps ct Ic ravioli vietnamien)poulet saute au gingembie fiaisne sonnent pas toc

Au dejeuner en semaine, autouide la place Le Bougainville (ruede la Banque), poui sa cuisine demenage, Limone (rue Herold)pour ses plats vegetaiiens, Liza(rue de la Banque) pour ses succulents sandwichs libanais sont ti espopulaiics Anne Sophie Picouvriia au printemps 2012 sonrestaurant parisien dans une lue proche Une ai rivée qui vabooster lequartierJEAN LOUIS GALESNE

AVRIL MAI 2014 / CÔTÉ SUD

AVR / MAI 14Bimestriel

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son palais•elfe à Paris, l'occasion d'apprécier l'élégance actuelle et



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ManaOusseimi, la décoratrice

C ela fait a peine six mois que les travaux sonttermines a Beyrouth et la clientele se préci-pite dans ce merveilleux palais d'Achrafieh

Une histoire de complicité partagée sous de bonsaugures Pour Liza et Ziad Asseily, c'était l'idée deposer leurs valises dans leur ville natale et d'ouvrirun restaurant ou la tradition libanaise aurait lesmêmes intonations délicates que la cuisine qu'ilsservent chez Liza a Paris Un ami leur a dénichel'endroit de rêve La rencontre de Liza avec la scé-nographe de ce projet, Maria Ousseimi, est due auhasard Entre les deux jeunes femmes, les bonnesondes circulent immédiatement, toutes deux s'expriment avec le cœur Les idees fusent circulent etdonnent le ton vrai, harmonieux et inimitable du



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Les anciennes livres libanaises reproduites sur papier peint tapissent l'une des salles a manger ainsi que le motif du carrelage au sol imprime sur le mur

Bon mix de mobiliertraditionnel enbois naturel, siègescontemporains,chaises Manufactory,tables Tom Dixonet effets de miroirs

projet Esthète enthousiaste, Mana a réalise millechoses dans sa vie, elle a beaucoup voyage,hérite cle sa mere un goût et une élégance innés« Les amis aimaient mes appartements, ils medemandaient de recréer la même chose chez euxMaîs jo ne m'étais jamais lancée dans un projetcomme celui de Liza » Le palais avait perdu de sasuperbe maîs les volumes - 500 metres carres ausol, 7 metres de hauteur sous plafond - et lalumiere parlent d'eux-mêmes Ne rien toucher a ladisposition des pieces propre aux maisons tradi-tionnelles du Liban au XIXe siecle était une condi-tion sine qua non pour conserver l'âme du lieu llfallait juste redessiner la grâce naturelle de cettearchitecture d'exception avec un crayon neufSans effets de style et sans pittoresque Ni le100 % design ni les formules de decorationtoutes faites ne sont du goût de la décoratrice.Elle choisit de retapisser les murs qui avaientperdu leurs peintures maniérées et leurs tenturesd'origine Idanca Gazzoni, créatrice de papierspeints inédits, les fabrique sur mesure Ainsi nais-sent sur les murs la reproduction des carrelages



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Dans la Building Room, l'œuvre géante en terre cuite des artistes Marilyn Massoud et Rasha Nawan, reproduite sur papier peint Lustre Orient 499

*$ j*

Le Liza, a l'ombredes buildings Sousles arcs vénitiens,l'orientalisme detoujours mis a l'heured'un contemporainchic et chaleureux

du sol, des grandes feuilles de bananiers, la representation de l'œuvre en terre cuite de MarilynMassoud et Rasha Nawan, évocation fascinanteet poétique des buildings de Beyrouth ravagespar la guerre Chaque espace est pense commeles pieces a vivre d'une maison de famille Quandon demande a Liza en quoi son restaurant estlibanais, elle repond dans un eclat de rire « LesLibanais aiment se regarder dans les miroirs,donc c'est un restaurant libanais ' » Sans être uncopie colle, on reconnaîtra au cafe libanais deParis la vision contemporaine de Mana Ousseimi,cette fois éclairée d'une écriture plus simple maîstout aussi vivante et décalée la carte d'Azad,fraîche et legere, qui propose mezzes, baklavas etautres spécialités, le naturel genereux de Liza et lapresence creative des artisans de Beyrouth »Liza, rue Metropolitan Club, Doumani/rueTrabaud, quartier Achrafieh, tél 00961 1208 108, www lizabeirut comLiza, cafe libanais, Galeries Lafayette, 3e étagedu magasin principal, espace mode Servicecontinu, ouverture début mai

22 05 2014 / LE NOUVEL OBSERVATEUR

23 07 2014 WWW.DOITINPARIS.COM

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LIZA / 221428973 Tous droits réservés à l'éditeur

Date : 23/07/2014

Liza Asseily, une it-girl de Beyrouth à ParisPar : Elodie Rouge

Véritable icône de l’Orient « modern-genre », Liza navigue entre ses établissements très branchés deParis, sa ville de cœur et du Liban, son pays natal. Son dernier bébé ? Un café à mezzé hautementsexy et gourmand qui vient d’ouvrir aux Galeries Lafayette Haussman. L’occasion pour cette fillequ’on adore de nous livrer ses adresses parisiennes préférées. Massages à gogo

FEV 2014 TIMEOUT

AVRIL 2014 WALLPAPER MAGAZINE

05 12 2014 / IDEAT HORS SERIEIDEAT HORS SERIE12-14 RUE JULES CESAR75012 PARIS - 01 44 75 79 40

DEC 14/JAN 15Parution Irrégulière

Surface approx. (cm²) : 576N° de page : 170-171

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Maria Ousseimi, a déco comme si de rien netait

La Libanaise Maria Ousseimi vient dedécorer le nouveau restaurant Liza àBeyrouth. Line réalisation d'autant plusréussie quelle s'essayait pour la première foisà cet exercice. Retour sur le parcoursatypique de cette esthète engagée.Par Serge Gleizes

M aria Ousseimi n'a pas de carte de visite. Pas desite non plus pour consulter son travail. Lameilleure manière de la connaître est de la

rencontrer. Toute sa vie, cette Libanaise d'origine syrien-ne a vécu dans le beau grâce à une mere passionnée de de-meures et d'antiquités, « même si aujourd'hui elle vitdans un mimmahsme radical, constate-elle. J'ai fait desmaisons pour mes amis, maîs de maniere confidentielle. »Le second restaurant Liza, créé à Beyrouth après un coupd'essai à Paris, assure 120 couverts par |our et proposeune cuisine libanaise contemporaine légère et généreuse.Mana l'a traité comme sa propre demeure. Elle a donnéune seconde vie a une maison du XIXe en mettant l'accentsur le côté ludique et en faisant travailler les artisans lo-caux ainsi que des designers et architectes amis (MarcSoughayar, Jan Van Lierde, Karim Chaya, Tom Dixon... ).Ce palais de 500 m2 composé de salons flottant entre plu-

sieurs époques est situé au premier étage du Metropoli-tan Club. Et comme il n'était pas question de toucher àl'architecture (7 mètres sous plafond, sols en marbre, tri-ple arcade vitrée donnant sur un balcon), Mana Ousseimis'est focalisée sur des éléments ornementaux forts, commeles papiers peints réalisés avec une amie peintre, IdancaGazzoni, fondatrice de la marque Arjumand's World.

Chaque espace raconte une histoire« Pour realiser ce restaurant, je me suis inspirée de l'am-biance d'un café libanais ou je venais boire une limonadeen lisant mon journal, raconte-t-elle. Au fur et à mesurese sont ajoutés des éléments accumulés dans ma vie horsde Beyrouth. Hy a donc un peu de la plaine de la Bekaa,et des bords de la Méditerranée ici, maîs également NewVork et Londres. Nous avons agrandi des portes pour lais-ser passer la lumiere et rajoute des cloisons dans certainespieces. Nous n'étions pas dans un parti pris de design ra-dical ; chaque espace raconte une histoire. Tout est écritau second degré avec un brin de malice, comme parexemple le fait d'habiller les murs d'un papier peint auxmotifs des céramiques qui couvrent les sols. Maîs l'im-portant était surtout de réaliser un espace qui illustre l'es-prit de Liza et Ziad Asseily, les inventeurs de Liza. » Lelieu vient d'être tout récemment décliné en café-restaurantau troisieme étage des Galeries Lafayette à Pans. « C'était

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exaltant de travailler avec elle parce qu'elle n'avait juste-ment rien fait de la sorte auparavant, confirme Liza As-seily. Elle n'est pas venue avec des tas de croquis oud'idées préconçues Elle s'est imprégnée de notre histoire,de notre cuisine, pour creer le décor, maîs aussi les bou-quets de fleurs, les tenues, la carte . »

Vidéo, écriture et décorationLes maisons que Mana Ousseimi affectionne sont cellesqui ressemblent à ceux qui les habitent. De petites de-meures avec de belles vues et une décoration pas tropmarquée. « Ce qui ne m'empêche pas d'adorer les barsd'hôtel, poursuit-elle. ]'aime la vie qui s'y déroule, fami-liale et rassurante, le fait d'être accueilli et reconnu, sansdoute parce que fai beaucoup vécu dans des hôtels lors-que fêtais enfant. » Chez elle, le confort est un signe debon goût. Maîs également les décorations légères et ins-pirées, comme les boutiques de Dnes Van Noten réaliséespar Gen Voorjans, le style de Jacques Grange, Axel Ver-voordt, Anouska Hempel Elle aime également les indi-gos et les couleurs foncées, les lms, le velours et les cuirsSa passion initiale pour le XVIIIe siecle, elle l'a troquéepour le mobilier XXe, excepte l'Art déco, et celui qui a del'esprit, raconte des histoires, enferme des souvenirs.En 1975, la guerre éclate et sa famille quitte le Liban. Des-tination la Suisse où la jeune fille fait ses etudes. Elle s'en-

vole ensuite pour les Etats-Unis ou elle obtient une licenceen philosophie et sciences politiques puis un master al'université de Columbia en développement économiqueEn 1992, retour a Beyrouth Elle y cree une boîte de pro-duction et réalise ses premiers reportages. ChildhoodLost, des temoignages d'enfants qui ont vécu la guerre, luiapporte un début de reconnaissance En 1995, avec sonman, elle quitte le Liban pour Londres , ils ont deux en-fants Après la caméra, elle s'empare d'une plume et écritCaught in the Crossfire (Walker & Company), base surla même réflexion que Childhood Lost. L'ouvrage la faitvoyager au Mozambique, au Salvador, dans les banlieuesde Washington DC et... au Liban. En 2002, elle quitteLondres et retourne vivre a Beyrouth avec sa famille ouelle devient membre du Beirut Art Center, travaille sur leprojet de design du centre et siege également au conseil dela Fondation Ousseimi, créée il y a vingt-cinq ans par sonpère pour promouvoir la tolérance. Parallèlement à ses oc-cupations humanitaires et artistiques, Maria Ousseimiréalise ses premiers chantiers prives : le Liza en 2013, ce-lui des Galeries Lafayette en juin 2014 Aujourd'hui, elleréfléchit a de nouveaux projets, « la decoration d'un lieuinsolite, peut-être le bar d'un hôtel ou une maison sus-pendue », et planche parallèlement sur une collection debijoux et une ligne de tapis et de coussins dont les motifsseront inspirés des mosaïques de Pompei. ©

I/ et 2/ Dans le restaurantLiza de Beyrouth ManaOusseimi sest laisse guiderpar la cuisine et I histoiredes deux fondatr ces pourimaginer un decorcontemporain pie n defantaisie et de referencesculturelles 3/ Plus rompueaux lieux prives (ici chez ellea Beyrouth) la décoratriceaime distiller des ambiancesconfortables dans lespritdes bars d hôtels quelleaffectionne

AD USA 2014 / WWW.ARCHITECTURALDIGEST.COM/

Text by Julie Coe l Photography by Marco Pinarelli March 7, 2014

LIZA ASSEILY'S NEW RESTAURANT, LIZA BEIRUT, OPENS IN LEBANON

The restaurant Liza Beirut fills the second floor of a former palace in the Lebanese city.

Having won accolades for her namesake Paris eatery, restaurateur Liza Asseily is now offering her upscale Middle Eastern cuisine in the city that inspired it. Her new outpost, called Liza Beirut, is set in the Lebanese capital’s stylish Achrafieh neighborhood, where it occupies the second floor of a 19th-century palace. Devised by designer Maria Ousseimi, the decor of the light-filled 5,400-square-foot space provides the same local zest as the food—filigreed window partitions join wallpapers patterned with lush banana leaves and the country’s former currency, forming a chic backdrop for the smart contemporary furnishings. lizabeirut.com

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15/03/2014http://www.architecturaldigest.com/blogs/daily/2014/03/liza-beirut-restaurant-lebanon?m...

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A view of the restaurant's exquisite interior.

Another dining space.

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15/03/2014http://www.architecturaldigest.com/blogs/daily/2014/03/liza-beirut-restaurant-lebanon?m...

ALITALIA MAGAZINE 2014

JUIN 2014 LIVING CORRIERE DELLA SERA

JUIN 2014 MONOCLE

VOGUE CASA 2015

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