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Page 1: Reset - dossier artistique
Page 2: Reset - dossier artistique

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▼Reset Prod

24 rue Muller75018 [email protected]

Contact presse:[email protected]

Page 3: Reset - dossier artistique

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▼Reset Prod

24 rue Muller75018 [email protected]

Contact presse:[email protected]

00 // Sommaire

02 // Synopsis03 //Format04 //

06 //

Mythologie & Traitement05 //

Personnages07 //

Illustration & Inspirations

L’équipe08 //Le scénario

P.05

P.06

P.07

P.10

P.08

P.16

P.17

3

▼01 // Pitch & Note d’intention P.04

Page 4: Reset - dossier artistique

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RESET part de la volonté de raconter une histoire dans un contexte science-fictionnel, fait rare en France, et d’utiliser ce filtre pour inter-roger le fonctionnement de notre société et la notion même d’huma-nité. De fait, les personnages sont naturellement au centre du récit. Des personnages que nous voulons réalistes, pour une identification plus forte.

La question est de savoir : qui deviendrions-nous et comment vivrions-nous si notre civilisation s’effondrait ? Une nouvelle humanité contrainte à un nouveau départ, porteuse de désenchantement et aussi d’espoir.

Visuellement, nous ne faisons pas de différence entre une mise en scène cinématographique et télévisuelle. Les images doivent avant tout raconter une histoire, apporter du sens, voire un double sens, au scénario et aux situations. RESET racontant comment des per-sonnages accomplissent leur destinée au sein d’un monde dévas-té, le style, d’abord sombre, évoluera vers une approche plus so-laire et lumineuse. Parce que nous avons voulu rendre floue la frontière entre les «survivants» et les «infectés», la mise en scène jouera également sur l’inversion des codes habituels du genre.

Concernant la direction des comédiens, nous tendons vers un jeu ré-aliste et naturaliste, afin d’éviter la théatralité parfois inhérente aux fictions françaises qui a peut-être freiné la naissance d’une nouvelle générations d’oeuvres télévisuelles...

Note d’intention

01 // Pitch & Note d’intention

Et si la fin du monde était une seconde chance ? Dans une France désolée et hantée par des infectés cannibales, cinq survivants au passé difficile vont tenter de s’unir pour s’accomplir et trouver un idéal. Pour cela, ils devront non seulement affronter un clan belliqueux, mais aussi leurs propres failles ainsi que les effets inattendus d’un virus qui n’a épargné personne, ou presque…

Pitch

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RESET part de la volonté de raconter une histoire dans un contexte science-fictionnel, fait rare en France, et d’utiliser ce filtre pour interro-ger le fonctionnement de notre société et la notion même d’humanité. De fait, les personnages sont naturellement au centre du récit. Des per-sonnages que nous voulons réalistes, pour une identification plus forte.

La question est de savoir : qui deviendrions-nous et comment vivrions-nous si notre civilisation s’effondrait ? Une nouvelle humanité contrainte à un nouveau départ, porteuse de désenchantement et aussi d’espoir.

Le cadre post-apocalyptique est désormais familier au grand public, grâce à une longue tradition cinématographique et au récent succès de The Walking Dead. Si RESET partage l’ADN science-fictionnel de beau-coup de ces œuvres, le récit s’éloigne très vite des codes en vigueur pour poursuivre sa propre voie, que ce soit par le biais du traitement des personnages ou du détournement des éléments majeurs du genre. Notamment la notion d’« infectés », puisque ceux de RESET subissent rapidement une évolution radicale de leur condition, tandis que les sur-vivants, eux, passeront peu à peu de l’autre côté de la « barrière » d’une façon pour le moins surprenante.

Visuellement, nous ne faisons pas de différence entre une mise en scène ci-nématographique et télévisuelle. Les images doivent avant tout raconter une histoire, apporter du sens, voire un double sens, au scénario et aux si-tuations. RESET racontant comment des personnages accomplissent leur destinée au sein d’un monde dévasté, le style, d’abord sombre, évoluera vers une approche plus solaire et lumineuse. Parce que nous avons voulu rendre floue la frontière entre les «survivants» et les «infectés», la mise en scène jouera également sur l’inversion des codes habituels du genre.

Concernant la direction des comédiens, nous tendons vers un jeu ré-aliste et naturaliste, afin d’éviter la théatralité parfois inhérente aux fictions françaises qui a peut-être freiné la naissance d’une nouvelle générations d’oeuvres télévisuelles...

Note d’intention

01 // Pitch & Note d’intention

Dans une France désolée par un mystérieux fléau et hantée par des infectés au comportement de plus en plus étrange, cinq survivants au passé diffi-cile vont tenter de s’unir pour s’accomplir et trouver un idéal. Pour cela, ils devront non seulement affronter un clan belliqueux, mais aussi leurs propres failles, ainsi que les effets inattendus d’un virus qui n’a épargné personne, ou presque…

Pitch

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RESET part de la volonté de raconter une histoire dans un contexte science-fictionnel, fait rare en France, et d’utiliser ce filtre pour inter-roger le fonctionnement de notre société et la notion même d’huma-nité. De fait, les personnages sont naturellement au centre du récit. Des personnages que nous voulons réalistes, pour une identification plus forte.

La question est de savoir : qui deviendrions-nous et comment vivrions-nous si notre civilisation s’effondrait ? Une nouvelle humanité contrainte à un nouveau départ, porteuse de désenchantement et aussi d’espoir.

Visuellement, nous ne faisons pas de différence entre une mise en scène cinématographique et télévisuelle. Les images doivent avant tout raconter une histoire, apporter du sens, voire un double sens, au scénario et aux situations. RESET racontant comment des per-sonnages accomplissent leur destinée au sein d’un monde dévas-té, le style, d’abord sombre, évoluera vers une approche plus so-laire et lumineuse. Parce que nous avons voulu rendre floue la frontière entre les «survivants» et les «infectés», la mise en scène jouera également sur l’inversion des codes habituels du genre.

Concernant la direction des comédiens, nous tendons vers un jeu ré-aliste et naturaliste, afin d’éviter la théatralité parfois inhérente aux fictions françaises qui a peut-être freiné la naissance d’une nouvelle générations d’oeuvres télévisuelles...

Note d’intention

01 // Pitch & Note d’intention

Et si la fin du monde était une seconde chance ? Dans une France désolée et hantée par des infectés cannibales, cinq survivants au passé difficile vont tenter de s’unir pour s’accomplir et trouver un idéal. Pour cela, ils devront non seulement affronter un clan belliqueux, mais aussi leurs propres failles ainsi que les effets inattendus d’un virus qui n’a épargné personne, ou presque…

Pitch

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02 // Synopsis

02 // Synopsis

France, de nos jours. La pa-nique s’empare du pays au len-demain d’une épidémie sans précédent, suite à la fuite d’une souche virale.

Dans l’urgence, le gouverne-ment distribue à l’ensemble de la population, un supposé traitement.Mais celui-ci, loin d’éradiquer l’in-fection, va radicalement modifier les effets du virus.Dès lors, on assiste à une muta-tion foudroyante des êtres humains contaminés, qui se transforment en créatures enragées et cannibales.

La pandémie se déploie en quelques heures sur l’ensemble du territoire et bientôt du conti-nent. Alors que toute autorité s’écroule et que le pays bascule dans le chaos, un TGV est sur le chemin d’une grande ville.A son bord, 5 passagers d’hori-zons divers, n’ayant pas pris le traitement, sont encore loin de se douter qu’ils vont passer le restant de leur nouvelle vie ensemble.Ils parviennent à s’organiser et à survivre dans une ville dévastée où toutes les règles ont changé.Après être restés plusieurs mois

barricadés dans un appartement, ils se décident enfin à quitter la ville, constatant la disparition progressive des infectés. Mais d’autres dangers les mena-cent. Ils découvrent alors les effets singuliers de leur propre infection et se confrontent aux autres survivants.En quête d’eux-mêmes, ils ac-compliront les aspirations pro-fondes que leur histoire et la société ne leur avaient pas per-mis d’atteindre...

Libres, le nouveau monde leur appartient.

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RESET part de la volonté de raconter une histoire dans un contexte science-fictionnel, fait rare en France, et d’utiliser ce filtre pour interro-ger le fonctionnement de notre société et la notion même d’humanité. De fait, les personnages sont naturellement au centre du récit. Des per-sonnages que nous voulons réalistes, pour une identification plus forte.

La question est de savoir : qui deviendrions-nous et comment vivrions-nous si notre civilisation s’effondrait ? Une nouvelle humanité contrainte à un nouveau départ, porteuse de désenchantement et aussi d’espoir.

Le cadre post-apocalyptique est désormais familier au grand public, grâce à une longue tradition cinématographique et au récent succès de The Walking Dead. Si RESET partage l’ADN science-fictionnel de beau-coup de ces œuvres, le récit s’éloigne très vite des codes en vigueur pour poursuivre sa propre voie, que ce soit par le biais du traitement des personnages ou du détournement des éléments majeurs du genre. Notamment la notion d’« infectés », puisque ceux de RESET subissent rapidement une évolution radicale de leur condition, tandis que les sur-vivants, eux, passeront peu à peu de l’autre côté de la « barrière » d’une façon pour le moins surprenante.

Visuellement, nous ne faisons pas de différence entre une mise en scène ci-nématographique et télévisuelle. Les images doivent avant tout raconter une histoire, apporter du sens, voire un double sens, au scénario et aux si-tuations. RESET racontant comment des personnages accomplissent leur destinée au sein d’un monde dévasté, le style, d’abord sombre, évoluera vers une approche plus solaire et lumineuse. Parce que nous avons voulu rendre floue la frontière entre les «survivants» et les «infectés», la mise en scène jouera également sur l’inversion des codes habituels du genre.

Concernant la direction des comédiens, nous tendons vers un jeu ré-aliste et naturaliste, afin d’éviter la théatralité parfois inhérente aux fictions françaises qui a peut-être freiné la naissance d’une nouvelle générations d’oeuvres télévisuelles...

Note d’intention

01 // Pitch & Note d’intention

Dans une France désolée par un mystérieux fléau et hantée par des infectés au comportement de plus en plus étrange, cinq survivants au passé diffi-cile vont tenter de s’unir pour s’accomplir et trouver un idéal. Pour cela, ils devront non seulement affronter un clan belliqueux, mais aussi leurs propres failles, ainsi que les effets inattendus d’un virus qui n’a épargné personne, ou presque…

Pitch

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02 // Synopsis

02 // Synopsis

France, de nos jours. La pa-nique s’empare du pays au len-demain d’une épidémie sans précédent, suite à la fuite d’une souche virale.Dans l’urgence, le gouverne-ment distribue à l’ensemble de la population un supposé traitement. Mais celui-ci, loin d’éradiquer l’infection, va radi-calement modifier les effets du virus.Dès lors, on assiste à une mu-tation foudroyante des êtres humains contaminés, qui se transforment en créatures en-ragées et cannibales.La pandémie se déploie en quelques jours sur l’ensemble du territoire et bientôt du continent. Alors que toute au-

torité s’écroule et que le pays bascule dans le chaos, un TGV se dirige vers une grande ville.A son bord, cinq passagers d’horizons divers, n’ayant pas pris le traitement, sont en-core loin de se douter qu’ils vont passer le restant de leur nouvelle vie ensemble. Ils par-viennent à s’organiser et à sur-vivre dans une ville dévastée où toutes les règles ont chan-gé.Après être restés plusieurs mois barricadés dans un ap-partement, ils se décident enfin à quitter la ville, consta-tant la disparition progres-sive des infectés. Ils réalisent alors que ces derniers sont en proie à un nouveau change-

ment : ils semblent donner des signes de conscience… Mais d’autres dangers menacent nos survivants : alors qu’ils découvrent les effets singu-liers de leur propre infection, ils sont confrontés à d’autres survivants, certains organisés en meutes, d’autres agissant dans l’ombre.En quête d’eux-mêmes, ils devront trouver la force né-cessaire pour accomplir les aspirations profondes que leur histoire et la société ne leur avaient pas permis d’at-teindre…Libres, le nouveau monde leur appartient.

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03 // Format

03 // Format

Reset est un drame post-apocalyptique, compo-sé de 10 épisodes de 45 min par saison. Chaque épisode s’ouvre sur une citation, en lien avec les préoccupations du monde d’avant.

Les thématiques abordées touchent des sujets divers tels que la territorialité, la consommation, la religion, la sexualité, l’écologie, la famille...

Après la citation et avant que ne débute l’épi-sode (excepté pour le pilote), un prologue fil-mé nous fait découvrir les personnages dans un moment d’intimité, par le prisme de la caméra du personnage de Patrick (selon les codes du found footage). Des séquences inédites que les spectateurs n’auront pas vues dans l’épisode précédent.

Entre chaque épisode, un web épisode de cinq à huit minutes sera diffusé sur Internet. Dans les cinq premiers, nous retrouverons chacun des personnages dans leur ancienne vie, de 24h avant la catastrophe, jusqu’à leur enfance. Par la suite, c’est le passé de personnages secondaires qui sera développé.

Ceci permettra d’en savoir un peu plus sur leur vie d’avant, leur histoire, leurs quêtes actuelles, mais aussi sur les raisons pour lesquelles ils n’ont pas pris le traitement.

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▼Télévision ▼Internet

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03 // Format

03 // Format

Reset est un drame post-apocalyptique, compo-sé de 10 épisodes de 45 min par saison. Chaque épisode s’ouvre sur une citation, en lien avec les préoccupations du monde d’avant.

Les thématiques abordées touchent des sujets divers tels que la territorialité, la consommation, la religion, la sexualité, l’écologie, la famille...

Après la citation et avant que ne débute l’épi-sode (excepté pour le pilote), un prologue fil-mé nous fait découvrir les personnages dans un moment d’intimité, par le prisme de la caméra du personnage de Patrick (selon les codes du found footage). Des séquences inédites que les spectateurs n’auront pas vues dans l’épisode précédent.

Entre chaque épisode, un web épisode de cinq à huit minutes sera diffusé sur Internet. Dans les cinq premiers, nous retrouverons chacun des personnages dans leur ancienne vie, de 24h avant la catastrophe, jusqu’à leur enfance. Par la suite, c’est le passé de personnages secondaires qui sera développé.

Ceci permettra d’en savoir un peu plus sur leur vie d’avant, leur histoire, leurs quêtes actuelles, mais aussi sur les raisons pour lesquelles ils n’ont pas pris le traitement.

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▼Télévision ▼Internet

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04 // Mythologie & Traitement

▼ TraitementSi le récit est fondamentalement dramatique, le ton s’autorise quelques détours par la comédie pour mieux illustrer la complexité de personnages qui doivent lutter au quotidien pour leur survie. Les héros sont au centre de l’histoire. Ils sont authentiques, torturés car abî-més par la vie, désabusés mais aussi atta-chants et drôles. Ils peuvent parler de ma-nière assez crue et s’amuser parfois de l’horreur ambiante, comme pour s’en détacher.

Eux-mêmes infectés, ils décident de se battre pour réaliser des quêtes enfouies en eux depuis toujours. Mais le contexte et leurs profondes différences créeront des tensions qui pourront mettre leur solidarité à l’épreuve.

En dépit du chaos qui entoure les personnages, le traitement est lumineux, comme si une fois au pied du mur, nos héros décidaient enfin de se donner la chance d’être heureux et d’accom-plir leur destin, enfin libérés de leur passé.

L’histoire devient peu à peu un récit initiatique, inspiré du road movie.

L’action se déroule de nos jours, dans une mé- tropole française suite à une contamination ayant détruit la civilisation et toute représen- tation de l’autorité. Une souche virale supposée très dangereuse s’est échappée d’un laboratoire dépendant du gouvernement. Un traitement est conçu dans l’urgence et distribué en masse à la population. Par manque de temps, il n’a été tes-té que sur des animaux. Finalement, il modifie les effets du virus et transforme les individus en cannibales enragés, capables de s’entre-dévorer et de transmettre leur mal par morsure, pour en-suite s’affaiblir considérablement.

Les personnes qui n’ont pas reçu le traitement se rendront peu à peu compte des effets de la souche virale originelle, à la fois déroutants, po-sitifs et perverses.

Dans ce monde ravagé, des clans se sont for- més. Guerres territoriales et course aux vivres règnent, transformant l’existence des rares sur- vivants en une épreuve de chaque instant. Mais, au détour des routes, des personnages tentent de préserver leur humanité et de reconstruire un monde nouveau sur les cendres du précédent.

▼Mythologie

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05 // Illustations & Inspirations

05 // Illustrations & Inspirations

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05 // Illustations & Inspirations

05 // Illustrations & Inspirations

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05 // Illustations & Inspirations

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06 // Les personnages

06 // Les Personnages▼Patrick

Stefen EyniusPatrick a 30 ans. Son rêve, depuis l’en-fance, était de réaliser des films, mais son père en a décidé autrement faisant de lui l’hériter de son entreprise. Atteint de sa-tyriasis, il a un rapport tourmenté avec les femmes. Arriviste, individualiste et malin, Il n’en reste pas moins attachant grâce à son charisme et son apparente bonhom-mie.

Stefen Eynius débute dans le chant lyrique sous la direction de Michel Sotiropoulos à Montpellier et par-ticipe à des enregistrements et des tournées avec le Chœur de Chorégiens. Il continue à se produire mais dans le domaine de la variété et du rock dans diverses manifestations privées ou familiales accompagné par son frère à la guitare.

Mais c’est lors d’un long séjour aux Etats- Unis qu’il se tourne vers les arts dramatiques. Lorsqu’il rentre en France, il poursuit sa formation notamment au Studio Pygmalion sous la direction de Pascal Luneau, ainsi qu’à l’Ecole du Studion d’Asnières sous la direc-

tion de Jean-Louis Martin-Barbaz.Parallèlement à sa formation, il joue dans plusieurs créations à partir de textes classiques (comme «Les Paravents» de Jean Genêt ), la tragédie antique (il est «L’Agamemnon» d’Euripide), ou le burlesque («Mr Mockinpott» de Peter Weiss).Au cinéma, il enchaîne les court-métrages (en français comme en anglais), participe à différents concours (comme le 48h Film Project ou encore le Je suis Fan de Nikkon). L’été dernier, le réalisateur de l’un de ses tous premiers court-métrages, Guillaume Levil, le rappelle pour tenir le rôle principal dans son 1er long-métrage.

▼BIO

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06 // Les personnages

06 // Les Personnages▼Patrick

Stefen EyniusPatrick a 30 ans. Son rêve, depuis l’en-fance, était de réaliser des films, mais son père en a décidé autrement faisant de lui l’hériter de son entreprise. Atteint de sa-tyriasis, il a un rapport tourmenté avec les femmes. Arriviste, individualiste et malin, Il n’en reste pas moins attachant grâce à son charisme et son apparente bonhom-mie.

Stefen Eynius débute dans le chant lyrique sous la direction de Michel Sotiropoulos à Montpellier et par-ticipe à des enregistrements et des tournées avec le Chœur de Chorégiens. Il continue à se produire mais dans le domaine de la variété et du rock dans diverses manifestations privées ou familiales accompagné par son frère à la guitare.

Mais c’est lors d’un long séjour aux Etats- Unis qu’il se tourne vers les arts dramatiques. Lorsqu’il rentre en France, il poursuit sa formation notamment au Studio Pygmalion sous la direction de Pascal Luneau, ainsi qu’à l’Ecole du Studion d’Asnières sous la direc-

tion de Jean-Louis Martin-Barbaz.Parallèlement à sa formation, il joue dans plusieurs créations à partir de textes classiques (comme «Les Paravents» de Jean Genêt ), la tragédie antique (il est «L’Agamemnon» d’Euripide), ou le burlesque («Mr Mockinpott» de Peter Weiss).Au cinéma, il enchaîne les court-métrages (en français comme en anglais), participe à différents concours (comme le 48h Film Project ou encore le Je suis Fan de Nikkon). L’été dernier, le réalisateur de l’un de ses tous premiers court-métrages, Guillaume Levil, le rappelle pour tenir le rôle principal dans son 1er long-métrage.

▼BIO

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Formée à l’art dramatique depuis 10 ans, Mélody Ma-loux travaille en tant que comédienne sur plusieurs courts-métrages, dont « Surnombre », réalisé par Sö-ren Prevost, aux côtés de François-Xavier Demaison.Elle interprète également l’un des rôles principaux de « Nos Désirs Font Désordre », long-métrage de Sté-phane Arnoux sorti en mars 2009.

En parallèle, elle joue pour différentes compagnies de théâtre et s’oriente vers le théâtre gestuel en inté-

grant notamment la Cie Hippocampe en 2009, parti-cipe à des festivals en France et à l’étranger et conti-nue aujourd’hui avec elle le travail de création.

Depuis un an, Mélody travaille avec Giles Foreman, l’un des plus importants spécialiste du jeu d’acteur en Angleterre, ancien professeur du Drama Center à Londres (Mickael Fassbender, Tom Hardy, Antho-ny Hopkins...). Coach de profession, il a notamment exercé sur le dernier James Bond.

▼DorothéeMelody Maloux

Dorothée a 32 ans. Abandonnée par son père, elle a vécu avec une mère infantile et bipolaire. Victime de violences conjugales avec son fiancé, elle finit par le tuer pour se défendre d’un ultime assaut. A la fois forte et fragile, elle saura pourtant imposer son leadership.

06 // Les personnages

▼BIO

Page 12: Reset - dossier artistique

Né à Paris, Mathieu Naert se passionne tout jeune pour le cinéma. Il commence par faire de la bande dessinée et à écrire des scénarios dans son coin.Après une scolarité mouvementée, il s’inscrit à l’ESRA Paris. En dehors de l’école il réalise, monte et joue avec son collectif d’amis dans une cinquantaine de courts métrages, pour la plupart totalement improvi-sés sur une période de 5 ans. C’est à ce moment là qu’il découvre et expérimente en total autodidacte le travail d’acteur. Il suit alors pendant des années divers cours de théâtre municipaux et MJC.

Dès lors il poursuivra de front ses deux passions, le jeu et la réalisation. Il intègre en 2009. l’Atelier

International de théâtre de Blanche Salant . Il joue dans de multiples courts-métrages, comme « Max et Gaspard » de Lena Keretli, « Adaptation, variation » de Kascper Chesinski ou encore « The Mammy » en 2011 réalisé par Farid Ismail qui sera sélectionné dans une vingtaine de festivals internationaux. Outre une publicité fameuse pour la Société Générale (qui lui vaudra l’honneur d’avoir sa propre marionnette aux Guignols...), il joue dans le long-métrage « Eté 1985 » réalisé par Nicolas Plouhinec actuellement en post-production. Son prochain film qu’il réalisera et interprétera est en pré-production et il jouera égale-ment prochainement dans le film fantastique « Tra-qués » réalisé par Florian Delhormeau...

12

▼Martin Mathieu Naert

Martin a 28 ans. Il vivait avec sa mère al-coolique dans une maison où il y passait le plus clair de son temps. Placide, secret, ma-ladroit concernant les relations humaines, il est à présent très aigri. Cette fin du monde n’est que déceptions. Il attendait de pou-voir se trouver une utilité, un sens à sa vie, dans le chaos.

06 // Les personnages

▼BIO

13

▼VirginieDelphine Biard-Gobard

Delphine Biard entre au Conservatoire du XVème ar-rondissement de Paris à l’âge de 15 ans, pour suivre les cours de Liza Viet. Elle fait une pause dans son cursus théâtral pour hypokhâgne et khâgne (sous-ad-missible à l’ENS série lettres et art). Elle revient au Conservatoire du XVème et en sort avec le premier prix. En 2008, elle rejoint l’agence artistique de Su-sanne Attia.

Depuis, elle tourne régulièrement pour le cinéma (der-nièrement dans «Philibert» aux côtés de Jérémie Ré-nier et Manu Payet) et la télévision (notamment dans « La répét », mini-série réalisée par Mehdi Charef), mais également dans diverses publicités successive-ment sous la direction d’Alain Corneau, Maurice Bar-

thélémy, Antoine de Caunes... Elle prête aussi sa voix pour la radio et le doublage. Elle monte également sur les planches de l’Opéra National de Paris dirigée par Michael Haneke puis Krysztof Warlikowski.

Avec le «Troupeau dans le crâne» qu’elle a co-fondé, elle a déjà signé deux mises en scène jeune public « Bulo et Blaise vont au Brésil », son solo d’après des poèmes de Blaise Cendrars, lauréat des Bourses Déclic Jeune de la Fondation de France, et « Le Gar-gouillis des étoiles » de Sibylle Lesourd et participe à de nombreux autres projets en tant que comédienne ou assistante à la mise en scène. Elle lancera son nou-veau spectacle «De peau, de roche et d’eau», com-mande d’écriture à Laurent Contamin, en 2013.

06 // Les personnages

Virginie a 25 ans. Elle vivait chez ses pa-rents, dans une famille sur-protectrice et étouffante, ce qui a fait d’elle une jeune fille peu émancipée. Elle était femme de ménage dans une agence d’intérim. Elle est réservée, naïve et craintive. Elle est la survivante la dépendante des autres.

▼BIO

Page 13: Reset - dossier artistique

Né à Paris, Mathieu Naert se passionne tout jeune pour le cinéma. Il commence par faire de la bande dessinée et à écrire des scénarios dans son coin.Après une scolarité mouvementée, il s’inscrit à l’ESRA Paris. En dehors de l’école il réalise, monte et joue avec son collectif d’amis dans une cinquantaine de courts métrages, pour la plupart totalement improvi-sés sur une période de 5 ans. C’est à ce moment là qu’il découvre et expérimente en total autodidacte le travail d’acteur. Il suit alors pendant des années divers cours de théâtre municipaux et MJC.

Dès lors il poursuivra de front ses deux passions, le jeu et la réalisation. Il intègre en 2009. l’Atelier

International de théâtre de Blanche Salant . Il joue dans de multiples courts-métrages, comme « Max et Gaspard » de Lena Keretli, « Adaptation, variation » de Kascper Chesinski ou encore « The Mammy » en 2011 réalisé par Farid Ismail qui sera sélectionné dans une vingtaine de festivals internationaux. Outre une publicité fameuse pour la Société Générale (qui lui vaudra l’honneur d’avoir sa propre marionnette aux Guignols...), il joue dans le long-métrage « Eté 1985 » réalisé par Nicolas Plouhinec actuellement en post-production. Son prochain film qu’il réalisera et interprétera est en pré-production et il jouera égale-ment prochainement dans le film fantastique « Tra-qués » réalisé par Florian Delhormeau...

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▼Martin Mathieu Naert

Martin a 28 ans. Il vivait avec sa mère al-coolique dans une maison où il y passait le plus clair de son temps. Placide, secret, ma-ladroit concernant les relations humaines, il est à présent très aigri. Cette fin du monde n’est que déceptions. Il attendait de pou-voir se trouver une utilité, un sens à sa vie, dans le chaos.

06 // Les personnages

▼BIO

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▼VirginieDelphine Biard-Gobard

Delphine Biard entre au Conservatoire du XVème ar-rondissement de Paris à l’âge de 15 ans, pour suivre les cours de Liza Viet. Elle fait une pause dans son cursus théâtral pour hypokhâgne et khâgne (sous-ad-missible à l’ENS série lettres et art). Elle revient au Conservatoire du XVème et en sort avec le premier prix. En 2008, elle rejoint l’agence artistique de Su-sanne Attia.

Depuis, elle tourne régulièrement pour le cinéma (der-nièrement dans «Philibert» aux côtés de Jérémie Ré-nier et Manu Payet) et la télévision (notamment dans « La répét », mini-série réalisée par Mehdi Charef), mais également dans diverses publicités successive-ment sous la direction d’Alain Corneau, Maurice Bar-

thélémy, Antoine de Caunes... Elle prête aussi sa voix pour la radio et le doublage. Elle monte également sur les planches de l’Opéra National de Paris dirigée par Michael Haneke puis Krysztof Warlikowski.

Avec le «Troupeau dans le crâne» qu’elle a co-fondé, elle a déjà signé deux mises en scène jeune public « Bulo et Blaise vont au Brésil », son solo d’après des poèmes de Blaise Cendrars, lauréat des Bourses Déclic Jeune de la Fondation de France, et « Le Gar-gouillis des étoiles » de Sibylle Lesourd et participe à de nombreux autres projets en tant que comédienne ou assistante à la mise en scène. Elle lancera son nou-veau spectacle «De peau, de roche et d’eau», com-mande d’écriture à Laurent Contamin, en 2013.

06 // Les personnages

Virginie a 25 ans. Elle vivait chez ses pa-rents, dans une famille sur-protectrice et étouffante, ce qui a fait d’elle une jeune fille peu émancipée. Elle était femme de ménage dans une agence d’intérim. Elle est réservée, naïve et craintive. Elle est la survivante la dépendante des autres.

▼BIO

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C’est en fréquentant l’atelier lycéen du Théâtre de la Cité Internationale à Paris, qu’Héza Botto a contracté le virus du comédien.

Pendant une dizaine d’année, en parallèle de son cur-sus en management et d’une carrière dans l’industrie du disque, il participe à nombre de projets. Sur les planches, il interprète notamment le rôle titre dans « L’Homme Sans Tête », création originale de son collectif Montreuillois, puis Juste Leblanc dans « Le Diner de Cons » de Francis Weber, ainsi que Louis

Ironson dans « Angels in America » de Tony Kushner. Il participe également à des fictions de format court, tels « Tout Donner » (L’homme qui voulait être noir) et « Joyeux Bordel » (Olivier, le colocataire-en-chef).

C’est après une année de formation au Théâtre de la Clarté à Boulogne qu’Héza Botto décide de se consa-crer à plein temps au métier d’acteur. Il suit actuelle-ment la méthode de coaching d’Hélène Zidi, au Labo-ratoire de l’Acteur à Paris.

06 // Les personnages

▼IssiakaHeza Botto

Issiaka, 33 ans, est un immigré d’origine ivoi-rienne. Il était gérant d’un hôtel. Il vivait mal la séparation récente avec sa femme, avec qui il a eu deux enfants, décédés durant la catastrophe. Ce qui l’aide à survivre, ce sont ses valeurs, insufflées par sa religion, et l’es-poir de trouver un sens aux événements qui ont changé son existence.

▼BIO

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Thomas VDB a été rédacteur en chef pour le maga-zine Rock Sound. Il se fait connaître en 2007 avec son premier one-man show «En rock et en roll» dans lequel il raconte sa vie de fan de rock et son métier de journaliste de rock.

On l’a vu au « Jamel Comedy Club », au Festival des Vieilles Charrues, dans « Pliés en 4 » sur France 4, sur MTV Pulse, et sur Canal+ dans « L’Édition spéciale ». Il anime le « Rock Radio Show » sur la radio Le Mouv’. Il a également présenté le documentaire «Hellfest, le métal expliqué à ma mère».

Il joue un présentateur déjanté dans la fausse émis-sion « Pop 1000 ». En 2009 il obtient une chronique régulière dans l’émission radio animée par Stéphane Bern, « Le Fou du roi » sur France Inter.En 2011, il est en scène au Point-Virgule à Paris où il

joue son spectacle « Presque célèbre », dans lequel il parle avec humour de sa pseudo-célébrité et de tout ce que ça lui apporte.

En 2011, il présente l’émission « L’Hebdo Musique Mag » tous les samedis sur France 2. Il apparaît dans plusieurs sketches de Very Bad Blagues en 2012.En juillet 2012, il présente l’émission « J’ai toujours rêvé d’être un DJ » sur l’antenne de France Inter, du lundi au vendredi, de 15h à 16h.

En 2013, dans son spectacle « Thomas VDB chante Daft Punk », il prétend avoir décidé d’arrêter l’humour pour se lancer dans la musique, plus particulièrement la French Touch.En 2014, il apparaitra dans le film de Fabrice Begotti, « Les Francis » aux cotés de Jenifer et Jacques Du-tronc.

06 // Le casting

▼DamienThomas VDB

Damien avait 35 ans. Prag-matique et solitaire, il était webdesigner à domicile, qu’il ne quittait que très ra-rement. Sa famille n’a pas survécu à la catastrophe. Se sentant coupable de ne pas avoir pu les sauver, et malgré sa nature asociale, il accueille le groupe dans son appartement.

▼BIO

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Thomas VDB a été rédacteur en chef pour le maga-zine Rock Sound. Il se fait connaître en 2007 avec son premier one-man show «En rock et en roll» dans lequel il raconte sa vie de fan de rock et son métier de journaliste de rock.

On l’a vu au « Jamel Comedy Club », au Festival des Vieilles Charrues, dans « Pliés en 4 » sur France 4, sur MTV Pulse, et sur Canal+ dans « L’Édition spéciale ». Il anime le « Rock Radio Show » sur la radio Le Mouv’. Il a également présenté le documentaire «Hellfest, le métal expliqué à ma mère».

Il joue un présentateur déjanté dans la fausse émis-sion « Pop 1000 ». En 2009 il obtient une chronique régulière dans l’émission radio animée par Stéphane Bern, « Le Fou du roi » sur France Inter.En 2011, il est en scène au Point-Virgule à Paris où il

joue son spectacle « Presque célèbre », dans lequel il parle avec humour de sa pseudo-célébrité et de tout ce que ça lui apporte.

En 2011, il présente l’émission « L’Hebdo Musique Mag » tous les samedis sur France 2. Il apparaît dans plusieurs sketches de Very Bad Blagues en 2012.En juillet 2012, il présente l’émission « J’ai toujours rêvé d’être un DJ » sur l’antenne de France Inter, du lundi au vendredi, de 15h à 16h.

En 2013, dans son spectacle « Thomas VDB chante Daft Punk », il prétend avoir décidé d’arrêter l’humour pour se lancer dans la musique, plus particulièrement la French Touch.En 2014, il apparaitra dans le film de Fabrice Begotti, « Les Francis » aux cotés de Jenifer et Jacques Du-tronc.

06 // Le casting

▼DamienThomas VDB

Damien avait 35 ans. Prag-matique et solitaire, il était webdesigner à domicile, qu’il ne quittait que très ra-rement. Sa famille n’a pas survécu à la catastrophe. Se sentant coupable de ne pas avoir pu les sauver, et malgré sa nature asociale, il accueille le groupe dans son appartement.

▼BIO

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07 // L’équipe

07 // L’équipe▼Christelle Gras

Créatrice, Scénariste et co-réalisatrice du pilote

Détentrice d’une maîtrise à la Fa-culté Paul Valery à Montpellier, Arts du Spectacle, section Audio-visuelle, Christelle Gras apprend l’écriture scénaristique, l’analyse filmique. Elle co-réalise et co-écrit deux courts métrages et deux do-cumentaires au cours de sa forma-tion.

▼Yohan Labrousse Créateur et Scénariste

Journaliste-reporter d’image de formation, Yohan Labrousse ob-tient en 2011 un diplôme de jour-naliste pluri-média. Il a ensuite contribué à de nombreuses rédac-tions cinéma, professionnelles ou grand public, en presse écrite, web et télévisée. Il termine ses études par un long stage sur la chaine Ciné+, du groupe Canal+ en tant qu’assistant de production.

Laurent Duroche est journaliste dans le magazine Mad Movies. En 2012, il réalise le documentaire NWR, portrait du réalisateur da-nois Nicolas Winding Refn (les Pu-sher, Drive, Only God Forgives), diffusé sur la chaîne Ciné+ Fris-son.

▼Laurent DurocheCo-scénariste et co-réalisateur du pilote

Chef opérateurThomas Ramès

Maquilleur FX/ProthesisteDavid Sherer

VFXPhilippe Sain

Matte PaintingArnaud Philippe-Giraud

CompositeurAlex Cortés

Ingénieur son Lilian Matigot

L’équipe technique du pilote