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RAPPORT D’ACTIVITÉS 2011-2012

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RAPPORT D’ACTIVITÉS2011-2012

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INTRODUCTION

4 Message du titulaire de la Chaire RBC en innovations financières 5 Comité directeur de la Chaire RBC en innovations financières

CONTRIBUTIONS À LA FORMATION

6 Bourses d’admission de la Chaire RBC 6 Cérémonie de remise des bourses 2011-2012 7 Attribution des bourses d’admission en 2012-2013

8 Rentrée du Département de finance, assurance et immobilier (septembre 2011)

8 Concours international d’étude de cas MBA John-Molson

CONTRIBUTIONS À LA RECHERCHE

9 Conférences du Département de finance, assurance et immobilier Automne 2011 Hiver 2012

10 Conférence du LABIFUL

10 Communications et publications du titulaire de la Chaire Conférences arbitrées Publications Documents de travail Subventions de recherche Encadrement d’étudiants de maîtrise et de doctorat

SITUATION FINANCIÈRE

12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012

13 Situation financière - Projet FO061013

ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses de la Faculté des sciences de l’administration - Programme

ANNEXE 2 Concours international d’étude de cas MBA John-Molson – Dossier de commandite

ANNEXE 3 Concours international d’étude de cas MBA John-Molson – Publications diverses

ANNEXE 4 Concours international d’étude de cas MBA John-Molson – Publicité

ANNEXE 5 Concours international d’étude de cas MBA John-Molson – Remerciements

ANNEXE 6 Conférences du Département de finance, assurance et immobilier – Résumés d’articles

ANNEXE 7 Conférence du Laboratoire d’ingénierie financière de l’Université Laval (LABIFUL) Programme de la conférence et remerciements

ANNEXE 8 Résumés d’essais et de maîtrise complétés en 2011-2012 sous la direction du titulaire sur des sujets en lien avec la mission de la Chaire

TABLE DES MATIÈRES

LISTE DES ANNEXES

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MESSAGE DU TITULAIRE DE LA CHAIRE RBC EN INNOVATIONS FINANCIÈRES

Madame,Monsieur,

Il me fait plaisir de vous présenter le rapport d’activités 2011-2012 de la Chaire RBC en innovations financières.

Cette année, la Chaire a accordé son support à la forma-tion d’étudiants de haut niveau en finance. En effet, une bourse d’admission a été décernée. La Chaire a aussi participé à la recherche et au rayonnement en support, comme à chaque année, à la visite de conférenciers de prestige au Département de finance, assurance et immobi-lier et plus particulièrement celui du Cocktail de la rentrée en septembre 2011.

Enfin, la Chaire RBC a réitéré son engagement envers la journée du LABIFUL et l’équipe FSA du Concours inter-national d’étude de cas MBA – John-Molson. À noter que cette année, l’équipe de la FSA a terminé au premier rang de ce concours de classe mondiale.

Année après année, les réalisations de la Chaire RBC en innovations financières en font un joueur d’envergure au sein de la Faculté et je remercie les membres du comité directeur pour leur support aux activités de la Chaire.

Marie-Claude Beaulieu, Ph. D.Titulaire de la Chaire RBC en innovations financières

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COMITÉ DIRECTEUR DE LA CHAIRE RBC EN INNOVATIONS FINANCIÈRES 2011-2012

Marie-Claude BEAULIEU

Fayez BOCTOR

Claude CHOQUETTE

Stéphane CHRÉTIEN

Gaston ROY

• Titulaire de la Chaire RBC en innovations financières• Professeur titulaire• Directeur de département• Département de finance, assurance et immobilier• Faculté des sciences de l’administration

• Vice-doyen à la recherche et aux affaires académiques• Faculté des sciences de l’administration

• Président• HDG inc.

• Professeur agrégé• Département de finance, assurance et immobilier• Faculté des sciences de l’administration

• Vice-président• Services financiers commerciaux, Québec• Banque Royale du Canada

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CONTRIBUTIONS À LA FORMATION

Bourses d’admission de la Chaire RBC

L’objectif premier de ces bourses est d’inciter les meilleurs étudiants à entreprendre des études de deuxième ou de troisième cycle en sciences de l’administration, concentration finance, à l’Université Laval.

CONCENTRATIONS• MBA finance• M. Sc. en ingénierie financière• M. Sc. en finance• Doctorat en sciences de l’administration, concentration finance

CRITÈRE DE SÉLECTIONAvoir obtenu d’excellents résultats scolaires dans leprogramme d’études de premier ou de deuxième cycle.

Boursière choisie en 2011-2012

DE GAUCHE À DROITE : M. Robert W. ManthaDoyen de la Faculté des sciences de l’administration

Mme Claude CôtéLauréate de la bourse d’admission Chaire RBC en innovations financières

M. Martin GagnonDirecteur principal de comptes, Banque Royale - Centre d’affaires Québec.

Cérémonie de remise des bourses d’admission pour l’année 2011-2012

CONDITIONS D’ADMISSIBILITÉDétenir la citoyenneté canadienne ou le statut de résidente ou de résident permanent depuis au moins deux ans au moment de la demande d’admission à l’Université Laval.

Présenter une demande d’admission à la maîtrise (MBA Laval ou M.Sc.) ou au doctorat en sciences de l’administration, concentration finance, avant le 1er février 2012 et y être admis comme étudiante ou étudiant.

S’inscrire à un minimum de 9 crédits aux sessions d’automne 2012 et d’hiver 2013 dans un programme de 2e cycle en finance ou à un minimum de 12 crédits dans un programme de 3e cycle en finance.

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Vous trouverez à l’annexe 1 le programme de la cérémonie de remise des bourses de la FSA.

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Attribution des bourses d’admission en 2012-2013

Les membres du comité directeur ont considéré les dossiers de neuf candidats pour les deux bourses de la Chaire RBC en innovations financières. Les candidats provenaient de différents programmes de baccalauréat de l’Université Laval (administration des affaires, actuariat) ainsi que de programmes québécois, canadiens et internationaux.

Lors de la réunion du 28 mars 2012, tous les dossiers de candidature ont été analysés et deux candidatures ont été retenues pour la sélection finale.

Les deux candidatures retenues sont celles des étudiants offrant les meilleurs dossiers.

Madame Jennifer Magher

• Bourse refusée par la candidate

Monsieur Jean-Philippe L. Tremblay

Bourse accordée de 5 000 $

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CONCOURS INTERNATIONAL D’ÉTUDE DE CAS MBA JOHN-MOLSON

Le concours international d’étude de cas MBA John Molson a pour objectif d’attirer et de mettre au défi les meilleurs étudiants au MBA, en leur présentant des cas réels d’entreprises qui nécessitent l’intégration et la mise en pratique des connaissances acquises au MBA en plus d’encourager et de favoriser l’établissement de liens sociaux et professionnels entre les milieux universitaires et professionnels.

Le concours international d’étude de cas MBA John Molson est considéré comme la plus prestigieuse compétition d’étude de cas de calibre international. Chaque année, une trentaine d’universités du Canada, des États-Unis, de l’Angleterre, de la Finlande, de la Nouvelle-Zélande, de la Suède, du Pérou et de plusieurs autres pays viennent y concourir afin de remporter la prestigieuse coupe Concordia, symbole d’excellence universitaire au niveau MBA, et ainsi obtenir le prestigieux titre de « meilleure université dans l’analyse de cas touchant la gestion des entreprises ».

En janvier 2012, l’équipe de la FSA à l’Université Laval a remporté le Concours international d’étude de cas MBA John-Molson devançant ainsi 35 formations provenant de quelques-unes des meilleures écoles de gestion d’une douzaine de pays. Par sa contribution, la Chaire RBC en innovations financières récolte une visibilité importante puisque les commanditaires de l’évènement ont été remerciés, entre autres, dans le journal le Soleil du 4 janvier 2012. Fait important à souligner également, Jason Charette, membre de la délégation, était le boursier de la Chaire RBC en 2010-2011.

Vous trouverez à l’annexe 2, 3, 4 et 5 le dossier de commandite, les annonces publiées dans différents journaux, la publicité ainsi qu’une lettre de remerciements de l’équipe MBA Laval.

RENTRÉE DU DÉPARTEMENT DE FINANCE, ASSURANCE ET IMMOBILIER (SEPTEMBRE 2011)

La Chaire RBC en innovations financières a organisé, de concert avec le Département de finance, assurance et immobilier, la conférence et le cocktail de la rentrée qui ont eu lieu le 28 septembre 2011 à 14 h au Pavillon Palasis- Prince de l’Université Laval. Monsieur Jacques Daoust, président et chef de la direction chez Investissement Québec, également Prix Hermès de carrière 2007-2008, était invité à s’adresser aux étudiants des programmes de finance, assurance et immobilier, ainsi qu’aux professeurs du Département.

Cette activité, en présence de la direction facultaire et des membres du comité de direction, a attiré près de 150 personnes.

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CONTRIBUTIONSÀ LA RECHERCHE

Conférences du Département de finance, assurance et immobilier

Fidèle à ses habitudes, la Chaire RBC en innovations financières a contribué encore cette année à la tenue des conférences dans le cadre des séminaires du Département de finance, assurance et immobilier. Sa participation a pris la forme de remboursements de dépenses associées à la venue des conférenciers. Vous trouverez à l’annexe 6 les résumés d’articles de ces conférences.

AUTOMNE 2011M. Antony Landry (Federal Reserve Dallas – 23 septembre 2011)Accounting for Real Exchange Rates using Micro-Data

M. Michel Normandin (HEC Montréal – 14 octobre 2011)Equity Premia and State-Dependent Risks

M. Brian Lucey (Trinity College, Dublin – 18 octobre 2011)The Irish Economy: Three Strikes and You’re Out?

M. Jan Ericsson (Université McGill – 18 novembre 2011)Time-varying asset volatility and the credit spread

M. Clarence Simard (HEC Montréal – 9 décembre 2011)Modélisation de la liquidité et stratégies de couverture

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HIVER 2012M. Peter Pontuch (Paris Dauphine – 11 janvier 2012)Financing Constraints, Product Market Competition, and Business Cycle Sensitivity

M. Benjamin Holcblat (Carnegie-Mellon – 13 janvier 2012)Estimating Consumption-Based Asset Pricing Models. The ESP Approach

M. Hugues Langlois (McGill – 20 janvier 2012) The Joint Dynamics of Equity Market Factors

M. Andrew Karolyi (Cornell University – 24 février 2012)The Role of Investability Restrictions on Size, Value, and Momentum in International Stock Returns

Cedric Okou (HEC Montréal – 2 mars 2012)Segregating Continuous Volatility from Jumps in Long-Run Risk-Return Trade-Offs

Egor Matveyev (University of Rochester – 14 mars 2012)How Do Firms and Directors Choose Each Other? Evidence from a Two-sided Matching Model of the Director Labor Market

Xinli Wang (Cornell University – 16 mars 2012)Foreign Portfolio Investment and Informativeness of Foreign Direct Investment

Fulbert Tchana Tchana (Ministère des Finances du Québec – 23 mars 2012)The Implication of VaR and Short-Selling Restrictions on the Portfolio Manager Performance

Kenneth A. Froot (Harvard Business School – 19 avril 2012)Catastrophes and the Agency Limits of Diversification

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Communications et publications du titulaire de la Chaire

CONFÉRENCES ARBITRÉES2011 Conditioning Information and Asset Pricing

Anomalies in Multivariate Tests of Financial Integration (avec M-H Gagnon et L. Khalaf) présenté à INFINITI 2009 Conference in International Finance, Dublin, Irlande, juin 2011, article présenté par Marie-Hélène Gagnon.

PUBLICATIONS DU TITULAIRE DE LA CHAIRE RBC EN INNOVATIONS FINANCIÈRES2012 M.-C. Beaulieu, J.-M. Dufour et L. Khalaf.

« Identification-Robust Estimation and Testing of the Zero Beta CAPM ». Review of Economics Studies, à paraître.

2010 M.-C. Beaulieu, J.-M. Dufour, et L. Khalaf. « Asset-Pricing Anomalies and Spanning: Multivariate and Multifactor Tests with Heavy-Tailed Distributions ». Journal of Empirical Finance 17, 4, 763-782.

2010 J.-M. Dufour, L. Khalaf et M.-C. Beaulieu. « Multivariate Residual-Based Finite-Sample Tests for Serial Dependence and ARCH Effects with Applications to Asset Pricing Models ». Journal of Applied Econometrics 25, 2, 263-285.

DOCUMENTS DE TRAVAIL2012 W. R. Sodjahin et M.-C. Beaulieu. « The Impact of

Firm-Specific Information during the Registration Period on IPO Pricing ». Applied Financial Economics, en révision.

2012 J.-M. Dufour, L. Khalaf et M.-C. Beaulieu. «–Exact confidence set estimation and goodness-of-fit test methods for asymmetric heavy tailed stable distributions ». Journal of Econometrics, en révision.

2012 M.-C. Beaulieu et H. Mrissa Bouden. « Firm specific risk and IPO market cycles ».

Conférence du LABIFUL

Le 30 mars dernier avait lieu la quatrième édition de la Conférence du LABIFUL, sur le thème La gestion du risque dans l’ère de Bâle III, organisé par le Laboratoire d’ingénierie financière de l’Université Laval (LABIFUL) codirigé par les professeurs Van Son Lai et Issouf Soumaré du Département de finance, assurance et immobilier de la FSA.

L’événement a accueilli plus d’une soixantaine de participants provenant de divers milieux de la finance au Québec (AMF, BNC, Desjardins, MFQ, IA, La Capitale, etc.) venus entendre, avec les étudiants de l’Université Laval, des conférenciers diplômés du programme de maîtrise en ingénierie financière de la FSA qui aujourd’hui occupent des postes stratégiques et de direction à l’Industrielle- Alliance, la Banque Nationale Groupe financier, La caisse de dépôt et placement du Québec et Exportation et développement Canada. Cette activité a attiré près d’une centaine de participants.

Le programme de la conférence ainsi qu’une lettre de remerciements du professeur Issouf Soumaré sont présentés à l’annexe 7.

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SUBVENTIONS DE RECHERCHE

2011-2014 Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH), Subvention ordinaire de recherche (avec J.-M. Dufour et L. Khalaf).

Invariance, Identification and Irregular Econometric Problems: Robust Tools for Multivariate Models and Asset Pricing Analysis

96 000 $

2010-2013 Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH), Subvention ordinaire de recherche (avec J.-M. Dufour et L. Khalaf).

Information Flow between Canada and the United States

67 500 $

2008-2011 Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH), Subvention ordinaire de recherche (avec J.-M. Dufour et L. Khalaf).

Identification Robust Inference in Multivariate Reduced Rank Regression and Factor Models

72 000 $

ENCADREMENT D’ÉTUDIANTS DE MAÎTRISE ET DE DOCTORAT

DEUXIÈME CYCLE

MBA spécialisé en finance• XavierFilion-Simon,diplôme2012• SimonCarrier• Marie-LinHamel• NoémiDuguay

M.Sc. en ingénierie financière• AbdelkarimLechiheb• RodolpheDirverg• MaximeChevalier,diplôme2011• SébastienPlante,diplôme2012• AlbertNanaSandjo

TROISIÈME CYCLE

• HabibaMrissaBouden• Jean-HubertSmith-Lacroix

La liste des étudiants ayant terminé leur essai durant l’année 2011-2012 est présentée à l’annexe 8 avec le résumé de leur essai.

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ANNEXES

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ANNEXE 1CÉRÉMONIE DE REMISE DES BOURSES DE LA FACULTÉ DES SCIENCES DE L’ADMINISTRATIONPROGRAMME

BOURSES DE LA FSA

Service des communications et des relations avec le milieuFaculté des sciences de l’administration (FSA)Pavillon Palasis-Prince, local 1318-C2325, rue de la TerrasseUniversité LavalQuébec QC G1V 0A6CANADA

Téléphone : 418 656-3319Télécopieur : 418 [email protected]

www.fsa.ulaval.ca/BOURSES

La Direction de la FSA et ses professeurs félicitent les lauréatsqui se sont démarqués par l’excellence de leur dossier.

Ils sont également reconnaissants envers les généreuxinvestisseurs qui contribuent financièrement au programmedes bourses, soutenant ainsi la formation d’une relèvede qualité en gestion et la valorisation de l’excellence.

PROGRAMME1. Mot de bienvenue et allocution de M. Robert W. Mantha,

doyen de la Faculté des sciences de l’administration

2. Présentation des investisseurs et des lauréats des bourses d’admission et d’études au premier cycle par M. André Gascon, vice-doyen à la formation et aux affaires étudiantes et secrétaire de la Faculté

BOURSES D’ADMISSION

Bourses d’excellence à l’admission 4 bourses de montants variables

Bourse de recrutement pour étudiants hors Québec 1 bourse de 2 000 $

Fonds Famille-Jean-Brassard 1 bourse de 2 000 $

Fonds Frances-Drouin-et-Raymond-Normandeau 4 bourses de 2 000 $

Procter & Gamble 7 ordinateurs portables

BOURSES D’ÉTUDES

Bourse Couture-et-Huard – Fonds des Générations émergentes

1 bourse de 2 000 $ 2 bourses de 1 500 $

Bourse de la FSA : engagement social, implication sportive et artistique 1 bourse de 2 000 $

Bourse de la relève Rio Tinto Alcan 1 bourse de 3 000 $ Associéeàunstagerémunéré

Ernst & Young et ses employés 2 bourses de 2 000 $

EXFO 1 bourse de 1 000 $

Fonds Deloitte 1 bourse de 1 000 $

Fonds Famille-Jean-Brassard 1 bourse de 2 000 $

Fonds Frances-Drouin-et-Raymond-Normandeau 4 bourses de 2 000 $

Institut de la gestion financière – section Québec (IGF-Québec) 1 bourse de 1 000 $

Promotion Commerce 1960 1 bourse de 2 000 $

Promotion Commerce 1979 1 bourse de 2 500 $

3. Témoignage de Guillaume Larose, lauréat de la bourse d’études Promotion Commerce 1979

4. Présentation des investisseurs et des lauréats des bourses d’admission et d’études au deuxième cycle par Mme Élise Cormier, directrice des programmes de MBA et de M. Sc. professionnelle

BOURSES D’ADMISSION

Banque Scotia 1 bourse de 2 750 $

Chaire RBC en innovations financières 1 bourse de 5 000 $

CPU 1 bourse de 2 000 $

Fonds Carmand-Normand 3 bourses de 5 000 $

Fonds Frances-Drouin-et-Raymond-Normandeau 1 bourse de 2 000 $

Fonds Jacques-de-Billy 2 bourses de 2 500 $

Fonds Simone-et-Marcel-Bélanger 2 bourses de 2 500 $

Fonds Téléglobe 1 bourse de 5 000 $

BOURSES D’ÉTUDES

Bourse de l’APMAL 1 bourse de 1 000 $

Caisse de dépôt et placement du Québec 1 bourse de 2 000 $

Fondation Rodolphe-Clément 1 bourse de 1 000 $

Fonds Conrad-Leblanc 1 bourse de 2 000 $

Fonds Thomas-J.-Moore-Jr 1 bourse de 2 000 $

Investissement Québec 2 bourses de 2 500 $

Promotion 1955 1 bourse de 1 000 $

5. Présentation des investisseurs et des lauréats des bourses d’admission et d’études au troisième cycle par M. Fayez Boctor, vice-doyen à la recherche et aux affaires académiques

Bourse de recrutement Banque Nationale 1 bourse de 10 000 $

Chaire Stephen-A.-Jarislowsky en gestion des affaires internationales 1 bourse de 1 000 $

Fonds Famille Jean-Marie-Poitras 1 bourse de 4 000 $

6. Témoignage de Martin P. Gagnon (ADM 99), président Fondation Jean-Marie Poitras

7. Présentation des investisseurs et des lauréats des bourses de mobilité des premier et deuxième cycles par M. Patrick Hurley, directeur du Centre des activités internationales

PREMIER ET DEUXIÈME CYCLES

Bourse Pierre Dugua de Mons 1 bourse de 1 600 $

Fondation des femmes diplômées des universités – section Québec 1 bourse de 2 000 $

Fonds Danielle-et-Claude-Garcia 2 bourses de 1 000 $

Fonds Famille-Jean-Brassard 2 bourses de 2 500 $

Fonds Frances-Drouin-et-Raymond-Normandeau 2 bourses de 2 000 $

Fonds Pierre-Côté 2 bourses de 2 000 $

Fonds Raymond-Garneau 2 bourses de 2 000 $

Missions commerciales de l’Université Laval 4 bourses de 1 000 $

8. Réception à l’Atrium du pavillon Palasis-Prince

BOURSES DE LA FSA

Service des communications et des relations avec le milieuFaculté des sciences de l’administration (FSA)Pavillon Palasis-Prince, local 1318-C2325, rue de la TerrasseUniversité LavalQuébec QC G1V 0A6CANADA

Téléphone : 418 656-3319Télécopieur : 418 [email protected]

www.fsa.ulaval.ca/BOURSES

La Direction de la FSA et ses professeurs félicitent les lauréatsqui se sont démarqués par l’excellence de leur dossier.

Ils sont également reconnaissants envers les généreuxinvestisseurs qui contribuent financièrement au programmedes bourses, soutenant ainsi la formation d’une relèvede qualité en gestion et la valorisation de l’excellence.

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ANNEXE 2CONCOURS INTERNATIONAL ÉTUDE DE CAS MBA JOHN-MOLSONDOSSIER DE COMMANDITE

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inte

rnat

iona

le to

ut e

n of

frant

aux

étu

dian

tes

et a

ux

étud

iant

s pa

rtici

pant

s un

e e

xpér

ienc

e qu

i con

tribu

era

à en

faire

les

gran

ds

gest

ionn

aire

s de

dem

ain.

Le

pré

sent

doc

umen

t vou

s fo

urni

t des

rens

eign

emen

ts s

uppl

émen

taire

s su

r l'h

isto

rique

de

la c

ompé

titio

n et

son

dér

oule

men

t, su

r le

s m

embr

es d

e l'é

quip

e et

leur

ent

raîn

emen

t pré

para

toire

, sur

les

occa

sion

s de

vis

ibilit

é qu

i vo

us s

eron

t offe

rtes

et s

ur le

bud

get p

rélim

inai

re d

e l'é

quip

e. P

our o

bten

ir de

pl

us a

mpl

es r

ense

igne

men

ts o

u po

ur o

ffrir

votre

sou

tien,

n’h

ésite

z pa

s à

com

mun

ique

r ave

c l’u

n ou

l’au

tre d

es m

embr

es d

e l'é

quip

e. V

ous

trouv

erez

le

urs

coor

donn

ées

à la

fin

de c

e do

ssie

r. À

titre

de

rect

eur

de l'

Uni

vers

ité L

aval

et a

u no

m d

es m

embr

es d

e l'é

quip

e,

je v

ous

rem

erci

e de

l’at

tent

ion

que

vous

por

tere

z à

cette

dem

ande

. Veu

illez

agré

er, M

adam

e, M

onsi

eur,

l’exp

ress

ion

de m

es s

entim

ents

les

mei

lleur

s

Le re

cteu

r, D

enis

Briè

re

Page 18: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

4

M

adam

e, M

onsi

eur,

J’ai

le

gran

d pl

aisi

r de

vou

s fa

ire c

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ître

l'équ

ipe

qui

repr

ésen

tera

la

Facu

lté d

es s

cien

ces

de l'

adm

inis

tratio

n de

l'U

nive

rsité

Lav

al a

u C

onco

urs

inte

rnat

iona

l d'

étud

e de

cas

MBA

Joh

n M

olso

n or

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sé p

ar l

’Uni

vers

ité

Con

cord

ia. P

our l

a tre

ntiè

me

éditi

on d

e ce

tte c

ompé

titio

n, n

os é

tudi

ante

s et

ét

udia

nts

fero

nt

honn

eur

à le

ur

pays

, à

leur

in

stitu

tion

ains

i qu

’aux

or

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satio

ns q

ui le

s ap

puie

ront

. To

ut a

u lo

ng d

e la

sem

aine

de

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pétit

ion,

les

mem

bres

de

l’équ

ipe

de

l’Uni

vers

ité

Lava

l af

front

eron

t le

s m

eille

urs

étud

iant

es

et

étud

iant

s de

pr

ogra

mm

es M

BA d

e tre

nte

six

univ

ersi

tés

venu

s de

s qu

atre

coi

ns d

u m

onde

. Vo

us n

’ête

s pa

s sa

ns s

avoi

r qu

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s éq

uipe

s de

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nive

rsité

Lav

al

ont

été

cham

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nes

à tro

is r

epris

es a

u co

urs

des

sept

der

nièr

es a

nnée

s,

conf

irman

t un

e fo

is d

e pl

us l

e ca

libre

int

erna

tiona

l de

nos

étu

dian

ts e

t la

qu

alité

de

la fo

rmat

ion

qu’ils

reço

iven

t à la

Fac

ulté

.

Au

-del

à de

la

vict

oire

de

cette

com

pétit

ion

univ

ersi

taire

pre

stig

ieus

e, l

a pr

épar

atio

n in

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ive,

à r

aiso

n de

dix

heu

res

par

sem

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dès

sep

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bre,

co

mbi

née

aux

sim

ulat

ions

aux

quel

les

nos

com

man

dita

ires

sero

nt in

vité

s, e

n dé

cem

bre,

à t

itre

de j

uges

, so

nt d

es c

ompl

émen

ts i

ncom

para

bles

à l

eur

form

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n de

lead

ers

et g

estio

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de d

emai

n.

La p

répa

ratio

n et

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cipa

tion

de l

’équ

ipe

de l

’Uni

vers

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aval

à c

et

évén

emen

t néc

essi

tent

un

inve

stis

sem

ent s

upér

ieur

à 1

2 00

0 $.

Pou

r ce

tte

rais

on,

notre

équ

ipe

a be

soin

de

votre

sou

tien,

soi

t pa

r un

e co

ntrib

utio

n fin

anci

ère

ou u

ne c

ontri

butio

n de

ser

vice

s.

Nou

s vo

us r

emer

cion

s de

l'at

tent

ion

que

vous

por

tere

z à

cette

dem

ande

et

espé

rons

pou

voir

vous

com

pter

par

mi

les

supp

orte

urs

de l

'équ

ipe

Lava

l 20

12 !

Le

doy

en,

R

ober

t W. M

anth

a

Page 19: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

5

CONC

OURS

INTE

RNAT

IONA

L D’É

TUDE

DE

CAS

MBA

2012

30

E ÉDI

TION

Un

conc

ours

pre

stig

ieux

Le C

onco

urs

inte

rnat

iona

l d'é

tude

de

cas

MBA

(CIE

C-M

BA) J

ohn

Mol

son

de

l'Uni

vers

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onco

rdia

est

un

tour

noi d

'ana

lyse

et d

e pr

ésen

tatio

n de

cas

en

gest

ion

d'en

trepr

ise.

L'é

ditio

n 20

12 a

ccue

illera

enc

ore

cette

ann

ée d

es

parti

cipa

nts

prov

enan

t des

qua

tre c

oins

du

mon

de.

Que

lque

200

étu

dian

ts p

rove

nant

de

trent

e si

x un

iver

sité

s se

retro

uver

ont à

M

ontré

al e

t co

mpé

titio

nner

ont

entre

eux

pen

dant

une

sem

aine

afin

de

rem

porte

r la

Cou

pe C

onco

rdia

, sym

bole

d'e

xcel

lenc

e un

iver

sita

ire a

u ni

veau

M

BA,

et d

e m

érite

r le

pre

stig

ieux

titr

e de

« m

eille

ure

univ

ersi

té d

ans

l’ana

lyse

de

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touc

hant

la

gest

ion

des

entre

pris

es »

. Au

fil

des

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le

CIE

C-M

BA s

'est

bât

i la

répu

tatio

n d'

être

l'un

des

plu

s gr

ands

con

cour

s du

ge

nre

sur

le p

lan

mon

dial

. Pa

rmi

les

pays

réc

emm

ent

repr

ésen

tés,

on

com

pte

le C

anad

a, l

es É

tats

-Uni

s, l

'Alle

mag

ne,

la C

hine

, la

Fin

land

e, l

a Fr

ance

, l’In

de, l

a N

ouve

lle-Z

élan

de, l

a Su

ède,

Sin

gapo

ur e

t le

Portu

gal,

pour

n'

en n

omm

er q

ue q

uelq

ues-

uns.

Il

impo

rte d

e so

ulig

ner

que

l’Uni

vers

ité

Lava

l a r

empo

rté la

pre

miè

re p

lace

des

édi

tions

200

7, 2

003

et 2

001

de la

co

mpé

titio

n.

Au c

ours

de

la c

ompé

titio

n, p

lus

de 2

50 c

adre

s su

périe

urs

sero

nt in

vité

s à

juge

r le

trava

il de

s co

ncur

rent

s. L

e co

ntex

te ri

gour

eux

du c

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urs

ains

i que

le

mul

ticul

tura

lism

e de

s dé

léga

tions

pré

sent

es fo

nt d

e ce

tte c

ompé

titio

n un

e ex

périe

nce

uniq

ue.

Des o

bjec

tifs a

mbi

tieux

L'

obje

ctif

prin

cipa

l du

CIE

C-M

BA e

st d

'atti

rer

et d

e m

ettre

au

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les

mei

lleur

s ét

udia

nts

du M

BA,

en le

ur p

rése

ntan

t de

s ca

s ré

els

d'en

trepr

ise

qui

néce

ssite

nt l

'inté

grat

ion

et l

a m

ise

en p

ratiq

ue d

es c

onna

issa

nces

ac

quis

es a

u M

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et c

e, d

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un c

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com

pétit

if qu

i se

rap

proc

he d

es

cont

rain

tes

extrê

mes

des

réal

ités

corp

orat

ives

. Le

sec

ond

obje

ctif,

piv

ot d

e la

com

pétit

ion,

est

d'e

ncou

rage

r et

de

favo

riser

l'é

tabl

isse

men

t de

lie

ns

soci

aux

et

prof

essi

onne

ls

entre

le

s m

ilieux

un

iver

sita

ires

et p

rofe

ssio

nnel

s. A

insi

, la

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ion

sert

auss

i d'o

ccas

ion

de d

îner

s et

de

renc

ontre

s av

ec le

s m

embr

es d

u ju

ry e

t les

com

man

dita

ires.

Page 20: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

6 UNIV

ERSI

TÉS

AYAN

T DÉ

JÀ P

ARTI

CIPÉ

AU

CONC

OURS

Bord

eaux

Bus

ines

s Sc

hool

Bo

rdea

ux, F

ranc

e Bo

ston

Col

lege

C

hest

nut H

ill, M

A, U

SA

Car

negi

e M

ello

n U

nive

rsity

Pi

ttsbu

rgh,

PA,

USA

C

lark

Uni

vers

ity

Wor

cest

er M

A, U

SA

Cla

rkso

n U

nive

rsity

Pot

sdam

, N

Y, U

SA

Con

cord

ia U

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M

ontré

al, Q

c

Dal

hous

ie U

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H

alifa

x, N

E

Esse

c Bu

sine

ss S

choo

l Pa

ris, F

ranc

e G

eorg

e W

ashi

ngto

n U

nive

rsity

, W

ashi

ngto

n D

C U

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Geo

rgia

Inst

itute

of T

echn

olog

y,

Atla

nta,

GA

USA

G

othe

nbur

g U

nive

rsity

G

othe

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g,, S

uède

H

aska

yne

Scho

ol o

f Bus

ines

s C

alga

ry, A

lber

ta

Hau

tes

Étud

es C

omm

erci

ales

, M

ontré

al, Q

c

Hei

nric

h-H

eine

-Uni

vers

ität D

üsse

ldor

f D

üsse

ldor

f. Al

lem

agne

Hel

sink

i Sch

ool o

f Bus

ines

s &

Econ

omic

s H

elsi

nki,

Finl

ande

In

dian

Inst

itute

of M

anag

emen

t Ba

ngal

ore,

Inde

IP

ADE

Mex

ico

City

, Mex

ique

I.T

A.M

. M

exic

o C

ity, M

exiq

ue

Inst

itut d

es H

aute

s Ét

udes

Com

mer

cial

es

Tuni

s, T

unis

ie

Lond

on B

usin

ess

Scho

ol L

ondo

n,

Angl

eter

re

Lund

Uni

vers

ity

Lund

, Suè

de

McG

ill U

nive

rsity

M

ontré

al, Q

c

McM

aste

r Uni

vers

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amilt

on,

Ont

., C

anad

a

Mem

oria

l Uni

vers

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f New

foun

dlan

d,

St.J

ohn'

s, T

N

Nor

th-e

aste

rn U

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Bos

ton,

M

A, U

SA

Que

en's

Uni

vers

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King

ston

, Ont

. Si

mon

Fra

ser U

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rsity

, Bu

rnab

y, B

C

Sobe

y Sc

hool

of B

usin

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Sain

t-Mar

y’s

Uni

vers

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Hal

ifax,

Nou

velle

-Éco

sse

Unive

rsité

Lav

al Qu

ébec

, Qc

Uni

vers

ité d

u Q

uébe

c à

Mon

tréal

, M

ontré

al, Q

c

Uni

vers

ity o

f Chi

cago

Chi

cago

, IL

, USA

U

nive

rsity

of F

lorid

a G

aine

sville

, FL

, USA

U

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rsity

of H

ong

Kong

H

ong

Kong

, Chi

ne

Uni

vers

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f Man

itoba

W

inni

peg,

Man

. U

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of M

assa

chus

etts

Am

hers

t,

MA,

USA

U

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of M

ichi

gan

An

n Ar

bor,

MI,

USA

U

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of M

onct

on

Mon

cton

, NB

U

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uens

ter,

M

uens

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Alle

mag

ne

Uni

vers

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f New

Ham

pshi

re,

Dur

ham

, NH

, USA

U

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of O

tago

D

uned

in, N

ouve

lle-Z

élan

de

Uni

vers

ité d

'Otta

wa

Otta

wa,

Ont

.

Uni

vers

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f Pad

erbo

rn

Pade

rbor

n, A

llem

agne

U

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of S

aska

tche

wan

Sa

skat

oon,

Sas

k.

Uni

vers

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th C

arol

ina

C

olum

bia,

SC

, USA

U

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of T

enne

ssee

Kno

xville

, TN

, USA

U

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oron

to,

Toro

nto,

Ont

. U

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erm

ont B

urlin

gton

, VT

, USA

U

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icto

ria

Vict

oria

. BC

U

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of W

este

rn O

ntar

io,

Lond

on, O

nt.

Uni

vers

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dsor

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inds

or, O

nt.

Upp

sala

Uni

vers

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Upp

sala

, Suè

de

Wilf

rid L

aurie

r Uni

vers

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Wat

erlo

o, O

nt.

Yale

Sch

ool o

f Man

agem

ent

New

Hav

en, C

T, U

SA

York

Uni

vers

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Nor

th Y

ork,

Ont

ario

Xi

amen

Uni

vers

ity

Xiam

en, C

hine

Page 21: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

7

INVES

TISS

EZ D

ANS

LA R

ELÈV

E…

DEVE

NEZ

PART

ENAI

RE D

E L’É

QUIP

E DE

LAVA

L !

L'éq

uipe

de

l'Uni

vers

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aval

qui

par

ticip

era

au C

IEC

–MBA

est

une

org

anis

atio

n à

but

non

lucr

atif

dont

le

fin

ance

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t re

pose

es

sent

ielle

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t su

r de

s co

mm

andi

tes

et

des

cont

ribut

ions

co

rpor

ativ

es

et

pers

onne

lles.

À

titre

de

co

mm

andi

taire

, vou

s au

rez

l’opp

ortu

nité

de

plac

er v

otre

ent

repr

ise

en é

vide

nce

au c

ours

des

div

erse

s ac

tivité

s or

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sées

dan

s le

cad

re d

e la

com

pétit

ion.

Le

s m

embr

es d

es é

quip

es p

artic

ipan

tes,

du

jury

et d

e l’a

udito

ire d

u C

IEC

–MBA

so

nt d

es in

divi

dus

poss

édan

t un

niv

eau

de s

cola

rité

univ

ersi

taire

et

un r

even

u en

tre 5

9 00

0$ e

t plu

s de

100

000

$ 1 à

l’ob

tent

ion

de le

ur d

iplô

me

(63

000$

pou

r le

M

BA

Lava

l).

Ces

pe

rson

nes

occu

pent

ou

oc

cupe

ront

de

s po

sitio

ns

déci

sion

nelle

s co

mm

e ca

dres

inte

rméd

iaire

s ou

sup

érie

urs.

Sel

on le

s de

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res

stat

istiq

ues,

le ta

ux d

e pl

acem

ent d

u M

BA L

aval

est

de

l’ord

re d

e 88

%2 .

1 Moy

enne

de

sala

ires

des

finis

sant

s du

MBA

Lav

al, s

elon

le F

inan

cial

Po

st 2

011

2 Sel

on la

Fac

ulté

des

sci

ence

s de

l’ad

min

istra

tion,

Uni

vers

ité L

aval

, 20

08-2

009

Page 22: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

8 SOMM

AIRE

DES

BÉN

ÉFIC

ES A

UX C

OMMA

NDIT

AIRE

S Fa

culté

des

scien

ces d

e l’ad

min

istra

tion ⏐

Unive

rsité

Lav

al

• Vo

tre lo

go p

enda

nt u

ne s

emai

ne

• En

droi

ts s

traté

giqu

es te

ls q

ue le

s ha

lls, e

ndro

its p

our l

es re

pas,

etc

. •

Envi

ron

6000

étu

dian

ts, 1

50 p

rofe

sseu

rs a

insi

que

des

cen

tain

es d

e

visi

teur

s Hô

tel F

airm

ont L

e Rein

e Éliz

abet

h ⏐

Mont

réal

• Vo

tre lo

go a

ffich

é pe

ndan

t une

sem

aine

• 25

0 ho

mm

es e

t fem

mes

d’a

ffaire

s de

pos

ition

sén

ior

• 20

0 de

s m

eille

urs

étud

iant

s du

mon

de e

ntie

r

• 20

0 in

vité

s de

mar

que

dura

nt la

fina

le

Jour

naux

loca

ux, r

égio

naux

et u

nive

rsita

ires ⏐

Qué

bec

Paru

tion

dans

un

quot

idie

n à

gran

d tir

age

• D

es m

illier

s de

lect

eurs

quo

tidie

ns

Page

web

et co

rresp

onda

nces

• Si

te d

e la

FSA

, rub

rique

com

pétit

ions

uni

vers

itaire

s

• D

es c

enta

ines

d’h

omm

es e

t de

fem

mes

d’a

ffaire

s fid

èles

au

rend

ez-

vous

du

conc

ours

et a

ux c

hron

ique

s qu

otid

ienn

es lo

rs d

es ré

solu

tions

de n

otre

équ

ipe

En p

lus…

• U

ne re

prés

enta

tion

aupr

ès d

e ca

dres

et d

e ge

ns d

'affa

ires

d'in

dust

ries

dive

rses

sur

le p

lan

inte

rnat

iona

l.

• U

ne v

isib

ilité

préd

omin

ante

dan

s un

évè

nem

ent i

nter

natio

nal e

t acc

ès à

la p

roch

aine

gén

érat

ion

de g

ens

d'af

faire

s.

• L’

occa

sion

d'a

ppuy

er d

es é

tudi

ants

afin

qu'

ils p

artic

ipen

t à l'

une

des

plus

gra

ndes

com

pétit

ions

de

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lutio

n de

cas

au

mon

de.

• Vo

us c

ontri

buez

à la

form

atio

n de

s ge

stio

nnai

res

et d

es le

ader

s de

dem

ain…

peu

t-être

en

prof

itere

z-vo

us a

ussi

!

Page 23: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

9

L' ÉQU

IPE

DE L

'UNI

VERS

ITÉ

LAVA

L CI

EC–M

BA 20

12

Cet

te a

nnée

, pl

us d

e tre

nte

étud

iant

s et

étu

dian

tes

de «

niv

eau

maî

trise

» o

nt

parti

cipé

aux

ent

revu

es d

e sé

lect

ion

afin

de

faire

par

tie d

e l’é

quip

e La

val p

our

cette

pre

stig

ieus

e co

mpé

titio

n. L

es c

andi

dats

dis

posa

ient

d’u

ne h

eure

pou

r an

alys

er u

n ca

s et

éla

bore

r un

e so

lutio

n. I

ls d

evai

ent

par

la s

uite

pré

sent

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sulta

t de

leu

r an

alys

e de

vant

un

jury

com

posé

de

deux

ens

eign

ants

de

la

Facu

lté d

es s

cien

ces

de l’

adm

inis

tratio

n et

répo

ndre

à d

es q

uest

ions

por

tant

sur

le

ur p

rése

ntat

ion

de m

ême

que

sur

leur

exp

érie

nce,

leu

r pe

rson

nalit

é et

leu

r m

otiv

atio

n à

faire

par

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e l’é

quip

e.

L’U

nive

rsité

Lav

al e

st fi

ère

de v

ous

prés

ente

r le

s ci

nq m

embr

es d

e so

n éq

uipe

po

ur le

CIE

C–M

BA 2

012,

une

équ

ipe

poly

vale

nte

et p

rom

ette

use

qui f

era

sans

au

cun

dout

e ho

nneu

r à l’

Uni

vers

ité e

t à s

es c

omm

andi

taire

s.

Page 24: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

10

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11

Ja

son

Char

ette

Avan

t de

s’e

ngag

er d

ans

le M

BA e

n Fi

nanc

e à

l’Uni

vers

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Lava

l, Ja

son

a co

mpl

été

son

bacc

alau

réat

et

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.E.S

.S

en

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ptab

ilité

publ

ique

à

HEC

M

ontré

al.

Par

la

suite

, il

a en

trepr

is

une

carri

ère

chez

Pr

ice

Wat

erho

use

Coo

pers

il a

obte

nu s

on t

itre

de c

ompt

able

ag

réé

et a

eu

l’occ

asio

n de

vér

ifier

une

mul

titud

e de

soc

iété

s te

lles

que

le M

ouve

men

t D

esja

rdin

s,

Alim

enta

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Cou

che-

Tard

, R

ioTi

nto

Alca

n et

St

ella

-Jon

es.

Lors

de

son

reto

ur a

ux é

tude

s, J

ason

a o

bten

u un

e bo

urse

d’a

dmis

sion

de

la p

art

de l

a ch

aire

R

BC e

n in

nova

tions

fina

nciè

res

et u

ne o

ccas

ion

de

trava

iller

com

me

dire

cteu

r de

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mpt

es

com

mer

ciau

x à

la B

anqu

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oyal

e. I

l a

donc

pu

proc

éder

à

l’ana

lyse

fin

anci

ère

de

plus

ieur

s en

trepr

ises

qué

béco

ises

et p

ropo

ser

de s

truct

ures

de

fin

ance

men

t su

r m

esur

e et

cré

ativ

es a

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e m

aint

enir

le

risqu

e de

cr

édit

à un

ni

veau

ac

cept

able

.

Suite

à l

’obt

entio

n de

son

MBA

, Ja

son

com

pte

pour

suiv

re s

on c

hem

inem

ent v

ers

l’acq

uisi

tion

des

titre

s de

C

harte

red

Fina

ncia

l An

alys

t et

de

Fi

nanc

ial R

isk

Man

ager

. Au

cou

rs d

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emin

emen

t aca

dém

ique

, Jas

on

a eu

l’o

ccas

ion

de p

artic

iper

à p

lusi

eurs

aut

res

anal

yses

de

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telle

s qu

e le

s Je

ux d

u C

omm

erce

, ca

s de

com

ptab

ilité

et c

as d

e fis

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é, à

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mni

um

finan

cier

, ca

s de

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é, e

t le

Glo

bal I

nves

tmen

t R

esea

rch

Cha

lleng

e.

Dan

s le

cad

re d

u C

onco

urs

Inte

rnat

iona

l d’É

tude

de

Cas

Joh

n M

olso

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ason

est

dét

erm

iné

à fa

ire

prof

iter

l’équ

ipe

de s

es c

onna

issa

nces

dan

s de

no

mbr

euse

s in

dust

ries

et d

e se

s co

mpé

tenc

es e

n fin

ance

, en

fisca

lité,

en

com

ptab

ilité

et e

n m

esur

es

de p

erfo

rman

ce.

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12

Gene

viève

Gre

nier

Dét

entri

ce d

’un

bacc

alau

réat

en

adm

inis

tratio

n de

s af

faire

s (m

ajeu

re

en

mar

ketin

g)

à l’U

nive

rsité

La

val,

Gen

eviè

ve y

com

plèt

e pr

ésen

tem

ent

son

MBA

Mar

ketin

g. P

assi

onné

e pa

r le

s co

mpé

titio

ns

inte

runi

vers

itaire

s, e

lle s

’est

impl

iqué

e to

ut a

u lo

ng

de s

on c

hem

inem

ent

univ

ersi

taire

en

tant

que

m

embr

e de

com

ités,

par

ticip

ante

à p

lusi

eurs

cas

ac

adém

ique

s,

spor

ts

ains

i qu

’ent

raîn

eur

d’un

e éq

uipe

aca

dém

ique

lor

s de

s Je

ux d

u C

omm

erce

de

200

7 à

2010

et

du H

appe

ning

Mar

ketin

g de

20

08 à

201

0.

Mor

due

de

tout

ce

qu

i en

tour

e le

m

arke

ting

stra

tégi

que,

G

enev

iève

a

pu

exer

cer

dans

pl

usie

urs

dom

aine

s co

nnex

es.

Pass

ant

de

repr

ésen

tant

e de

mar

ques

sur

le c

ampu

s ét

udia

nt

à di

rect

rice

de c

ompt

es d

ans

une

agen

ce w

eb

jusq

u’au

pos

te d

e st

ratè

ge é

véne

men

tielle

, el

le a

pu o

bser

ver

et e

xpér

imen

ter

plus

ieur

s sp

hère

s de

la

stra

tégi

e de

mar

ketin

g in

tégr

ée.

De

plus

, el

le

s’es

t re

ndue

à P

aris

lor

s de

l’é

té 2

010

afin

de

com

plét

er

son

essa

i-sta

ge

dans

un

e fir

me

reco

nnue

de

rech

erch

e m

arke

ting,

GFK

Cus

tom

R

esea

rch.

En

effe

t, el

le a

pu

réal

iser

un

stag

e en

ta

nt q

ue c

harg

ée d

’étu

des

pend

ant s

ix m

ois.

En

tant

qu

e fin

issa

nte

au

MBA

M

arke

ting,

G

enev

iève

s'

inve

stira

pl

eine

men

t da

ns

le

Con

cour

s In

tern

atio

nal

d’Ét

ude

de

Cas

Jo

hn

Mol

son

2012

af

in

de

repr

ésen

ter

fière

men

t l’U

nive

rsité

Lav

al e

t re

leve

r un

déf

i d’

affa

ires

en

équi

pe t

out

en a

idan

t ce

lle-c

i à s

ituer

l'en

trepr

ise

dans

so

n m

arch

é ai

nsi

qu'e

n pr

opos

ant

des

solu

tions

cré

ativ

es e

t réa

liste

s.

Page 27: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

13

L

aura

Leb

ovic

Suite

à l’

obte

ntio

n d’

un b

acca

laur

éat e

n fin

ance

à

L’IS

EG L

ille e

n Fr

ance

, La

ura

Lebo

vic

déci

de d

e po

ursu

ivre

ses

étu

des

au Q

uébe

c af

in d

e vi

vre

une

expé

rienc

e d’

expa

triat

ion.

Act

uelle

men

t fin

issa

nte

au M

BA G

estio

n In

tern

atio

nale

à l’

Uni

vers

ité L

aval

, el

le c

hois

it de

se

spéc

ialis

er d

ans

la s

traté

gie

d’en

trepr

ise

inte

rnat

iona

le.

C’e

st

un

réel

pl

aisi

r po

ur c

ette

pas

sion

née

d’ac

tual

ité,

ains

i qu

e de

s te

nant

s et

abo

utis

sant

s de

s en

jeux

con

tem

pora

ins,

de

fa

ire

parti

e de

l’é

quip

e qu

i va

re

prés

ente

r l’U

nive

rsité

La

val

au

Con

cour

s In

tern

atio

nal

d’Ét

ude

de C

as J

ohn

Mol

son.

Ap

rès

plus

ieur

s lo

ngs

séjo

urs

à l’é

trang

er,

nota

mm

ent à

tra

vers

l’Eu

rope

et

dern

ière

men

t au

M

exiq

ue d

ans

le c

adre

du

stage

d’in

itiatio

n au

m

onde

des

affa

ires

en A

mér

ique

latine

, Lau

ra a

tra

vaillé

et

ét

udié

da

ns

de

mul

tiple

s co

ntex

tes

cultu

rels

et

lin

guis

tique

s.

Cel

a lu

i a

perm

is

d’ap

prof

ondi

r se

s ch

amps

de

conn

aiss

ance

s su

r le

s di

vers

es p

ratiq

ues

com

mer

cial

es à

tra

vers

le

mon

de e

t de

la

sens

ibilis

er a

ux d

iffér

ents

enj

eux

polit

ique

s, l

égau

x et

im

plic

ites

qui

diffè

rent

d’u

n pa

ys à

l’au

tre.

C’e

st d

onc

avec

une

dou

ble

spéc

ialit

é en

fin

ance

et

en

st

raté

gie

inte

rnat

iona

le,

ains

i qu

’une

ex

périe

nce

d’év

olut

ion

en

milie

ux

mul

ticul

ture

ls

que

Laur

a so

uhai

te f

aire

pro

fiter

de

tout

e so

n ex

perti

se a

cqui

se à

son

équ

ipe

pour

men

er à

bie

n le

gra

nd d

éfi q

ui le

s at

tend

.

Page 28: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

14 Vane

ssa L

eona

rdi

Titu

laire

d'u

n M

aste

r de

l’IA

E Ly

on,

l'un

des

plus

im

porta

nts

pôle

s un

iver

sita

ires

franç

ais

de

form

atio

n et

de

rech

erch

e à

la G

estio

n et

au

Man

agem

ent,

Vane

ssa

étud

ie

actu

elle

men

t au

M

BA M

anag

emen

t à l’

Uni

vers

ité L

aval

. Grâ

ce à

ce

parc

ours

, el

le b

énéf

icie

d’u

ne f

orm

atio

n de

poi

nte

dans

le

s do

mai

nes

du

Man

agem

ent,

de

la

Stra

tégi

e et

de

la

G

estio

n de

s R

esso

urce

s H

umai

nes.

Af

in d

e pa

rfaire

sa

form

atio

n, V

anes

sa a

eu

à cœ

ur d

e ré

alis

er d

es s

tage

s da

ns d

es s

ecte

urs

d’ac

tivité

s va

riés.

Elle

a c

olla

boré

au

sein

d'u

ne

équi

pe d

e co

nsul

tant

s en

Fra

nce

pour

le

cabi

net

Rob

ert

Wal

ters

, un

e ré

fére

nce

mon

dial

e da

ns l

e do

mai

ne

du

recr

utem

ent

spéc

ialis

é.

Son

impl

icat

ion,

so

n se

ns

de

l'org

anis

atio

n et

sa

pr

oact

ivité

lui

ont

per

mis

d'in

terv

enir

au s

ein

de

l'ent

repr

ise

dans

ce

qu

i es

t sa

pl

us

gran

de

riche

sse

: le

ca

pita

l hu

mai

n.

Ce

stag

e trè

s fo

rmat

eur

mêl

ait

espr

it ra

tionn

el e

t in

tuiti

on p

our

trouv

er "l

a pe

rle ra

re".

Par

aille

urs,

elle

a c

ontri

bué

à cr

éer

de n

ouve

aux

supp

orts

de

C

omm

unic

atio

n-R

H

pour

Ar

celo

r M

ittal

, le

ader

m

ondi

al

de

la

Sidé

rurg

ie

et

Mét

allu

rgie

, au

sein

des

Ser

vice

s Pa

rtagé

s R

H a

u Lu

xem

bour

g.

Dan

s ce

ca

dre,

el

le

a m

is

en

prat

ique

son

sen

s du

tra

vail

en m

ode

proj

et a

insi

qu

e se

s ca

paci

tés

d’an

alys

e se

ctor

ielle

et

fo

nctio

nnel

le.

Avid

e de

déc

ouvr

ir de

nou

velle

s cu

lture

s et

de

nouv

eaux

con

tinen

ts,

Vane

ssa

a ai

nsi

parc

ouru

l’E

urop

e, l

’Am

ériq

ue e

t l’A

sie

à l’o

ccas

ion

d’un

Se

mes

tre

de

Man

agem

ent

Inte

rcul

ture

l. El

le

a no

tam

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t ét

udié

à S

an D

iego

Sta

te U

nive

rsity

(U

SA)

et

à Fu

dan

Uni

vers

ity

(Chi

ne).

Ces

ex

périe

nces

lu

i co

nfèr

ent

une

lect

ure

des

diffé

renc

es

soci

o-cu

lture

lles

de

chac

un

de

ces

cont

inen

ts a

insi

que

les

enj

eux

écon

omiq

ues

et

polit

ique

s as

soci

és.

Aujo

urd’

hui,

Vane

ssa

vit

sa

parti

cipa

tion

au

Con

cour

s In

tern

atio

nal

d’Ét

ude

de

Cas

Jo

hn

Mol

son

com

me

un a

bout

isse

men

t de

son

parc

ours

un

iver

sita

ire,

prof

essi

onne

l et

in

tern

atio

nal.

Sa

déte

rmin

atio

n et

la

fie

rté

de

repr

ésen

ter

l’Uni

vers

ité L

aval

son

t au

tant

d’é

lém

ents

qui

la

pous

sent

à m

obilis

er s

es c

ompé

tenc

es a

u se

rvic

e d’

une

réus

site

par

tagé

e.

Page 29: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

15

Au c

ours

de

sa f

orm

atio

n un

iver

sita

ire e

n G

énie

Ph

ysiq

ue, J

onat

han

voua

it dé

jà u

n gr

and

inté

rêt a

u co

mm

erce

int

erna

tiona

l qu

and

il a

parti

cipé

au

grou

pe d

es M

ission

s Co

mm

ercia

les d

e l'U

niver

sité

Lava

l - 2

003

- dél

égat

ion

du B

rési

l ave

c la

Fac

ulté

de

s Sc

ienc

es d

e l’A

dmin

istra

tion.

Cet

te e

xpér

ienc

e lu

i a é

té d

es p

lus

révé

latri

ces

et l’

a co

nvai

ncu

d’un

jo

ur p

ours

uivr

e so

n ap

pren

tissa

ge a

u ni

veau

du

MBA

.

En d

ébut

de

carri

ère,

il a

cho

isi d

e co

nsol

ider

son

cu

rsus

tec

hniq

ue e

n s’

asso

cian

t à

une

entre

pris

e in

nova

trice

et

de

re

nom

in

tern

atio

nal

Olym

pus

Corp

orat

ion (

IMS

Busin

ess

Divis

ion)

- Ol

ympu

s ND

T Ca

nada

da

ns

le

Parc

Te

chno

logi

que

du

Qué

bec

Mét

ropo

litai

n. Il

y a

com

plét

é so

n ju

nior

at

d’in

géni

eur

en p

artic

ipan

t au

dév

elop

pem

ent

de

prod

uits

ave

c l’é

quip

e R

&D e

t en

par

cour

ant

la

plan

ète

afin

d’in

stal

ler d

es s

ystè

mes

indu

strie

ls e

n co

ntrô

le n

on d

estru

ctif

dans

les

usi

nes

des

plus

gr

and

prod

ucte

urs

d’ac

ier d

u m

onde

.

Trav

ailla

nt

en

étro

ite

colla

bora

tion

avec

se

s cl

ient

s, il

effe

ctue

la g

estio

n de

pro

jets

d’e

nver

gure

de

puis

plu

s de

3 a

ns, t

oujo

urs

chez

Oly

mpu

s, e

t il

est

sur

le

poin

t de

te

rmin

er

une

certi

ficat

ion

univ

ersi

taire

en

gest

ion

de p

roje

t. Il

sera

d’a

illeur

s ca

ndid

at

au

titre

PM

P du

puté

Pr

ojec

t M

anag

emen

t Ins

titut

e à

l’hiv

er 2

012.

Jona

than

co

njug

ue

trava

il et

ét

udes

af

in

de

com

plét

er s

on M

BA e

n G

estio

n de

s en

trepr

ises

à

l’hiv

er 2

012.

Il c

onsi

dère

le C

onco

urs

Inte

rnat

iona

l d’

Étud

es d

e C

as J

ohn

Mol

son

com

me

une

chan

ce

uniq

ue d

’inté

grer

ple

inem

ent s

on a

ppre

ntis

sage

en

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e pa

rcou

rs.

C’e

st a

ussi

ave

c en

thou

sias

me

qu’il

souh

aite

par

ticip

er a

u su

ccès

de

son

équi

pe

en

parta

gean

t se

s co

mpé

tenc

es

acad

émiq

ues,

so

n ex

périe

nce

prof

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onne

lle e

t en

app

orta

nt

des

idée

s no

vatri

ces

et in

géni

euse

s.

Jona

than

Tur

cotte

Page 30: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

16

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17

NOS

OBJE

CTIF

S Su

ite à

nos

per

form

ance

s et

à l’

expé

rienc

e de

s an

nées

pas

sées

, l’é

quip

e ne

vis

e rie

n de

moi

ns q

u’un

e pl

ace

en s

emi-f

inal

e, s

oit p

arm

i les

neu

f pre

miè

res

équi

pes,

et

, ulti

mem

ent,

l’atte

inte

de

la fi

nale

et l

'acq

uisi

tion

de la

Cou

pe C

onco

rdia

. Voi

ci

donc

les

obje

ctifs

de

notre

équ

ipe

: •

accé

der a

ux s

emi-f

inal

es ;

• of

frir

une

bonn

e vi

sibi

lité

à l’U

nive

rsité

Lav

al e

t au

x co

mm

andi

taire

s de

l’é

quip

e ;

• fa

ire d

e ce

tte c

ompé

titio

n un

e ex

périe

nce

d’ap

pren

tissa

ge i

noub

liabl

e et

en

richi

ssan

te p

our t

ous

les

mem

bres

de

l’équ

ipe.

PRÉP

ARAT

ION

L’en

traîn

emen

t co

mm

ence

en

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embr

e, a

lors

que

les

mem

bres

de

l’équ

ipe

suiv

ront

le c

ours

« A

naly

se d

e ca

s »,

à r

aiso

n de

dix

heu

res

par

sem

aine

. C

e co

urs,

rés

ervé

uni

quem

ent

aux

cinq

mem

bres

de

l’équ

ipe,

est

spé

cial

emen

t co

nçu

et a

dapt

é po

ur p

répa

rer l

e gr

oupe

aux

par

ticul

arité

s de

la c

ompé

titio

n. L

es

entra

îneu

rs d

e l’é

quip

e su

perv

iser

ont l

es p

ratiq

ues,

et d

es p

rofe

sseu

rs in

vité

s et

de

s sp

écia

liste

s ex

tern

es v

iend

ront

con

tribu

er à

l’ap

pren

tissa

ge e

t à la

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atio

n de

l’éq

uipe

. L’

entra

înem

ent

s’in

tens

ifier

a ju

squ’

à ce

qu

e l’é

quip

e ai

t pe

rfect

ionn

é se

s m

étho

des

de t

rava

il. À

ce

mom

ent,

soit

en d

écem

bre

et a

u dé

but

janv

ier,

des

sim

ulat

ions

se

ront

or

gani

sées

da

ns

le

but

de

repr

odui

re

l’asp

ect

et

les

cont

rain

tes

de la

com

pétit

ion.

En

tant

que

com

man

dita

ire, v

ous

pour

rez,

si v

ous

le d

ésire

z, v

enir

éval

uer

les

perfo

rman

ces

de l

’équ

ipe.

Cel

a vo

us d

onne

ra

l’occ

asio

n de

fai

re p

art

de v

otre

pro

pre

expé

rienc

e et

d’é

chan

ger

avec

les

ét

udia

nts.

Le

s m

embr

es d

e l’é

quip

e in

vest

isse

nt b

eauc

oup

d’én

ergi

e da

ns la

pré

para

tion

de

la

com

pétit

ion

et

ont

à cœ

ur

de

renc

ontre

r le

urs

obje

ctifs

. Vo

ici

les

entra

îneu

rs,

qui,

forts

de

leur

exp

érie

nce,

les

acco

mpa

gner

ont

tout

au

long

de

leur

ave

ntur

e.

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18 LE

S EN

TRAÎ

NEUR

S

Yan

Cim

on

Yan

Cim

on,

C.D

., Ph

.D.,

est

prof

esse

ur a

grég

é de

stra

tégi

e à

la F

acul

té d

es

scie

nces

de

l’adm

inis

tratio

n de

l’U

nive

rsité

Lav

al (

Qué

bec,

Can

ada)

. Il

est

dire

cteu

r ad

join

t du

Cen

tre i

nter

univ

ersi

taire

de

rech

erch

e su

r le

s ré

seau

x, l

a lo

gist

ique

et

le t

rans

port

(CIR

REL

T) e

t m

embr

e as

soci

é de

l’In

stitu

t qu

ébéc

ois

des

haut

es é

tude

s in

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atio

nale

s (H

EI).

Sa r

eche

rche

por

te n

otam

men

t su

r la

st

raté

gie,

les

allia

nces

et l

es ré

seau

x.

Il s'

est

mér

ité la

dis

tinct

ion

de c

herc

heur

-éto

ile 2

010

lors

des

Ren

dez-

vous

du

Savo

ir.

De

plus

, il a

rem

porté

le P

rix M

ercu

re 2

007

pour

la m

eille

ure

thès

e de

do

ctor

at à

HEC

Mon

tréal

et a

été

l’un

des

troi

s fin

alis

tes

au 2

008

Uday

an R

ege

Awar

d po

ur la

mei

lleur

e th

èse

en s

cien

ces

de l’

adm

inis

tratio

n au

Can

ada.

Il fu

t ré

cipi

enda

ire d

’une

Bou

rse

Actio

n C

anad

a en

200

5/20

06 e

t a

ense

igné

à d

es

étud

iant

s du

pre

mie

r cy

cle

et d

es c

ycle

s su

périe

urs

com

me

à de

s ca

dres

su

périe

urs,

tan

t au

Can

ada

qu’à

l’é

trang

er.

Avan

t d’

entre

pren

dre

sa c

arriè

re

acad

émiq

ue,

il a

été

offic

ier

dans

les

For

ces

cana

dien

nes,

aya

nt s

ervi

dan

s di

vers

pos

tes

de c

omm

ande

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t et d

’éta

t-maj

or. D

e pl

us, i

l a œ

uvré

au

sein

de

l’uni

té d

’affa

ires

des

syst

èmes

em

barq

ués

en t

emps

rée

l d’

une

impo

rtant

e m

ultin

atio

nale

du

sect

eur

de l

a dé

fens

e et

de

l’aér

ospa

tiale

. Sa

rec

herc

he a

en

tre a

utre

s ét

é pu

blié

e da

ns D

ecisi

on S

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rt Sy

stem

s et

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s le

Jour

nal o

f Kn

owled

ge M

anag

emen

t. Il

appa

rtien

t à A

lpha

Iota

Delt

a.

Page 33: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

19

Cl

audi

ne C

ontre

ras

Cha

rgée

d’e

nsei

gnem

ent à

la F

acul

té d

es s

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ces

de l’

adm

inis

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n (F

SA) d

e l’U

nive

rsité

La

val,

Cla

udin

e es

t au

ssi

la

resp

onsa

ble

de

l’ens

embl

e de

s co

mpé

titio

ns in

teru

nive

rsita

ires

de la

FSA

. G

râce

à s

on p

arco

urs

prof

essi

onne

l hé

téro

clite

, elle

ens

eign

e da

ns d

iver

s do

mai

nes

alla

nt d

u to

uris

me

à la

ges

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des

ress

ourc

es h

umai

nes

en p

assa

nt p

ar l’

entre

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euria

t et l

’ana

lyse

de

cas.

D

éten

trice

d’u

n ba

ccal

auré

at e

n m

arke

ting,

d’u

n M

BA e

n m

anag

emen

t et

d’u

n M

BA e

n re

spon

sabi

lité

soci

ale

et e

nviro

nnem

enta

le d

es o

rgan

isat

ions

, el

le a

obte

nu p

lusi

eurs

bou

rses

d’e

xcel

lenc

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nt c

elle

s de

CFI

X R

ock

Dét

ente

, d’

Hyd

ro-Q

uébe

c et

de

Gen

ivar

. Im

pliq

uée

dans

l’en

train

emen

t aca

dém

ique

, elle

a

égal

emen

t pa

rtici

à di

vers

co

mité

s re

liés

au

déve

lopp

emen

t du

rabl

e no

tam

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t à la

cha

mbr

e de

Com

mer

ce d

e Q

uébe

c.

Ense

igna

nte

appr

écié

e de

s ét

udia

nts,

elle

a o

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u à

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ieur

s re

pris

es le

prix

«

Socr

ate

» de

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culté

pou

r la

qua

lité

de s

on e

nsei

gnem

ent a

insi

que

le ti

tre

d’en

seig

nant

e de

l’an

née

en m

anag

emen

t.

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20 BU

DGET

PRÉ

LIMI

NAIR

E DE

S DÉ

PENS

ES D

E L’É

QUIP

E Fr

ais d

’insc

riptio

n d’

équi

pe

150

0,00

$

Dépl

acem

ents

Trai

n al

ler-r

etou

r 7 p

erso

nnes

X 2

00,0

0 $

140

0,00

$

Ta

xi (a

ller-r

etou

r si n

éces

saire

) 10

0,00

$

To

tal t

rans

port

pour

la c

ompé

titio

n 15

00,0

0 $

Hébe

rgem

ent

Hôt

el F

airm

ont R

eine

Eliz

abet

h, 7

per

sonn

es

5 ch

ambr

es X

6 n

uits

X 2

00,0

0 $

6000

,00

$ To

tal h

éber

gem

ent

6000

,00

$ Re

pas l

ors d

u sé

jour

R

epas

à p

ayer

d’a

vanc

e (3

dîn

ers

et 1

sou

per t

enus

par

le C

IEC

-MBA

) 7

pers

onne

s X

100,

00 $

70

0,00

$

Sous

-tota

l rep

as p

ayés

d’a

vanc

e 70

0,00

$

Autre

s re

pas

7 pe

rson

nes

X 10

$ X

6 d

éjeu

ners

42

0,00

$

7 pe

rson

nes

X 15

$ X

3 d

îner

s 31

5,00

$

7 pe

rson

nes

X 20

$ X

5 s

oupe

rs

700,

00 $

So

us-to

tal d

es in

dem

nité

s fo

rfaita

ires

1435

,00

$

Tota

l des

repa

s lo

rs d

u sé

jour

21

35,0

0 $

Page 35: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

21

Frais

pou

r sim

ulat

ions

pré

limin

aires

(4)

Rep

as p

our l

es ju

ges

et l’

équi

pe

1000

,00

$ St

atio

nnem

ent p

our l

es ju

ges

200,

00 $

To

tal f

rais

pou

r pré

sent

atio

ns p

rélim

inai

res

1200

,00

$ Fo

urni

ture

s néc

essa

ires p

our l

es p

rése

ntat

ions

D

iver

ses

four

nitu

res

(pap

iers

, acé

tate

s, e

tc.)

300,

00 $

To

tal d

es d

épen

ses

four

nitu

res

300

,00

$ Fr

ais re

cher

che d

e fin

ance

men

t et p

rom

otio

n In

teru

rbai

ns

50,0

0 $

Phot

ocop

ies

100,

00 $

C

arte

s d’

affa

ires

100,

00 $

D

ossi

er c

omm

andi

te

200,

00 $

Af

fiche

s de

rem

erci

emen

ts a

ux c

omm

andi

taire

s 10

0,00

$

Tota

l rec

herc

he fi

nanc

emen

t et p

rom

otio

n 55

0,00

$

Tota

l des

dép

ense

s pré

vues

13

185,0

0 $

Page 36: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

22

POUR

COM

MUNI

QUER

AVE

C NO

US…

Jaso

n Ch

aret

te

MBA

– F

inan

ce

Jaso

n.ch

aret

te.1

@ul

aval

.ca

Gene

viève

Gre

nier

M

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Mar

ketin

g G

enev

ieve

.gre

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.8@

ulav

al.c

a La

ura L

ebov

ic M

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Ges

tion

Inte

rnat

iona

le

Laur

a.le

bovi

c.1@

ulav

al.c

a Va

ness

a Leo

nard

i M

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Man

agem

ent

Vane

ssa.

leon

ardi

.1@

ulav

al.c

a

Jona

than

Tur

cotte

M

BA -

Ges

tion

des

entre

pris

es

Jona

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.turc

otte

.1@

ulav

al.c

a Ya

n Ci

mon

Pr

ofes

seur

agr

égé,

dép

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men

t de

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ent

Facu

lté d

es s

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ces

de l’

adm

inis

tratio

n, U

nive

rsité

Lav

al

Qué

bec,

Can

ada

G1V

0A5

41

8.65

6.21

31 P

oste

567

5 Ya

n.ci

mon

@fs

a.ul

aval

.ca

Clau

dine

Con

trera

s C

harg

é d’

ense

igne

men

t, dé

parte

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t de

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ent

Facu

lté d

es s

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ces

de l’

adm

inis

tratio

n, U

nive

rsité

Lav

al

Qué

bec,

Can

ada

G1V

0A5

41

8.65

6.52

57

Cla

udin

e.co

ntre

ras@

fsa.

ulav

al.c

a

Page 37: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

23

Le

s m

embr

es d

e l’é

quip

e de

l’U

nive

rsité

Lav

al p

our

le C

IEC

–MBA

201

2 vo

us re

mer

cien

t de

l’atte

ntio

n po

rtée

à ce

tte d

eman

de e

t esp

èren

t vou

s co

mpt

er

parm

i leu

rs «

sup

porte

urs

».

Les

cont

ribut

ions

mon

étai

res

à l’é

quip

e do

iven

t être

fa

ites

au n

om d

e «

Équi

pe M

BA L

aval

–C

IEC

».

Page 38: RAPPORT D’ACTIVITÉS - Université Laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13 Situation financière - Projet FO061013 ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses

24 AN

NEXE

S

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ANNEXE 3CONCOURS INTERNATIONAL ÉTUDE DE CAS MBA JOHN-MOLSONPUBLICATIONS DIVERSES

La délégation de la Faculté des sciences de l’administration. À l’avant: Jason Charette, Geneviève Grenier et Vanessa Leonardi À l’arrière: Claudine Contreras (entraîneure), Yan Cimon (entraîneur) et Jonathan Turcotte.

Laval remporte le Concours international d'étude de cas MBA John-Molson

L'équipe de la FSA a devancé les 35 autres formations participantes

Une délégation de la Faculté des sciences de l’administration a remporté le 31e Concours international d’étude de cas MBA John-Molson, qui s’est terminé à Montréal le 8 janvier. L’équipe de l’Université Laval a devancé 35 formations provenant de quelques-unes des meilleures écoles de gestion d’une douzaine de pays au terme de cette compétition qui figure parmi les plus prestigieuses dans le domaine. Le Concours international d’étude de cas MBA John-Molson se déroule sous forme de tournoi à la ronde. Les participants, en équipes de quatre étudiants, y examinent cinq cas de gestion. À l’aide des compétences et des connaissances acquises au cours de leur programme de MBA, ils doivent démontrer leur habileté à résoudre des problèmes de gestion et proposer des solutions réalistes. Ils sont évalués par un jury composé de dirigeants du milieu des affaires en fonction de l’originalité et de la faisabilité de leurs propositions. À la suite du tournoi à la ronde, neuf équipes sont retenues pour participer à la ronde demi-finale, au terme de laquelle les trois meilleures équipes s’affrontent en grande finale. La délégation de Laval était composée des étudiants Jason Charette, Geneviève Grenier, Vanessa Leonardi et Jonathan Turcotte. Ils étaient sous la supervision du professeur Yan Cimon et de la chargée d’enseignement Claudine Contreras, tous deux de la Faculté des sciences de l’administration.

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leSoleil mercredi 4 janvier 201224 Affaires

La Presse Canadienne

OTTAWA — Les Canadiens lesplus fortunés continuent decreuser l’écart avec les autres,et ils ont maintenant un revenuannuel 189 fois plus élevé quele salaire moyen au pays, selonune nouvelle étude.

Les 100 chefs d’entreprise lesmieux rémunérés, parmi ceuxdont les sociétés sont inscrites àla Bourse de Toronto, ont gagné enmoyenne 8,38 millions $ en 2010,selon les données compilées parle Centre canadien de politiquesalternatives (CCPA), groupe deréflexion penchant à gauche.

Cette somme est 189 fois supé-rieure à celle de 44 366 $ quele travailleur canadien moyena gagnée en 2010, a indiqué leCCPA dans son rapport, rendupublic hier. Il s’agit égalementd’une augmentation de 27 %par rapport à la rémunéra-tion moyenne de 6,6 millions $que les 100 pdg de l’élite cana-dienne ont gagnée en 2006. Deleur côté, les Canadiens moyensont vu leur salaire stagner ces

dernières années. En fait, entenant compte du niveau d’infla-tion, le salaire hebdomadaire dutravailleur moyen est inférieuraujourd’hui à ce qu’il était lorsde la récession de 2008-2009.

«L’écart entre les pdg de l’éliteet le reste de la population secreuse de façon alarmante sansaucun signe de ralentissement»,a écrit l’économiste Hugh Mac-kenzie, auteur du rapport.

«Le salaire incroyablementélevé des pdg est davantagequ’une curiosité. Il constitueen fait le reflet de la troublanteredistribution des ressourcesde la société au Canada et auxÉtats-Unis, de même que dansla majeure partie de l’Europede l’Ouest», a-t-i l affirmé enentrevue.

En 1998, la rémunération des100 pdg les mieux payés auCanada était 105 fois supérieureau revenu du travailleur moyen,a-t-il fait remarquer. Depuis,l’écart s’est creusé davantage.

En 2008, le rapport entre lessalaires des uns et des autresétait de 174. En pleine récession,l’année suivante, il avait chuté à

155. Le record, de 190, avait étéatteint en 2007. Dès midi, hier,les pdg les mieux rémunérés auCanada avaient fait autant d’ar-gent que ce que le travailleurmoyen gagne annuellement.

Les éléments moteurs de cetteinégalité sont complexes et ilstrouvent leur source dans lastructure du système de rému-nération des chefs d’entreprise,a expliqué M. Mackenzie.

Le revenu le plus élevé de2010 au Canada a été empochépar l’homme d’affaires FrankStronach, fondateur du manu-facturier de pièces automobi-les Magna International (TSX :MG.DB). Il s’est élevé à près de62 millions $. Les deuxième ettroisième rangs sont occupéspar des dirigeants de la même

Les plus fortunés

Hier, à midi, les pdgles mieux rémunérésavaient empoché lesalaire annuel d’untravailleur moyen

L’équipe de l’Université Lavalremercie ses commanditaires :

Concours internationald’étude de cas MBA

John Molson 2012

Association des Participants à la Maîtrise enAdministration de l’Université Laval

1er rangée : Jason Charette, Geneviève Grenier et Vanessa Leonardi

2e rangée : Claudine Contreras (entraîneure), Yan Cimon (entraîneur) et Jonathan Turcotte

AVIS PUBLIC

• zone 22203Ha : située dans le périmètre formé par l’autoroute Félix-Leclerc au nord, la rue Michelet au sud, le boulevard Masson à l’estet l’autoroute Henri-IV à l’ouest;

• zones 22204Ha et 22209Ha : sises au nord du boulevard Père-Lelièvre et au sud de l’autoroute Félix-Leclerc, entre le boulevardMasson et la rivière Saint-Charles;

• zone 22205Hb : incluant plusieurs propriétés en bordure des ruesde la Halte et de l’Étape;

• zones 22206Mb et 22207Mb : comprenant des propriétés longeantle boulevard Masson et la rue Michelet, au sud de l’autoroute Félix-Leclerc;

• zone 22208Ha : qui s’étend des propriétés de la rue de Gide au nordjusqu’à l’avenue Marivaux au sud, entre la rivière Saint-Charles àl’est et les propriétés de l’avenue Chatrian à l’ouest;

• zone 22210Mb : localisée au nord des propriétés en front duboulevard Père-Lelièvre, au sud de la rue Michelet et à l’ouest despropriétés longeant l’avenue Tassé;

• zone 22211Ha : qui englobe plusieurs propriétés de l’ouest del’avenue Tassé;

• zones 22212Mb et 22213Mb : sises de part et d’autre du boulevardMasson, entre la rue Michelet au nord et le boulevard Père-Lelièvreau sud;

• zone 22215Ha : s’étendant de part et d’autre de l’avenue Bazin, ausud du boulevard Père-Lelièvre;

• zone 22216Hb : encadrée au nord par les propriétés du boulevardPère-Lelièvre, au sud et à l’est par celles de la rue Bacqueville et àl’ouest par l’avenue Fillon;

• zones 22218Mb, 22219Ma, 22220Mb, 22223Cb et 22226Cb : quis’étendent de chaque côté de l’intersection des boulevards Massonet Wilfrid-Hamel;

• zones 22221Ha, 22222Ha, 22225Ha, 22227Ha, 22229Ha, 22232Ha,22233Ha et 22234Ha : bordées au nord par le boulevard Wilfrid-Hamel, au sud par la voie ferrée, à l’est par l’arrière des propriétésde l’avenue Newton et à l’ouest par celles du boulevard du Parc-Technologique;

• zone 22228Ha : localisée dans le quadrant sud-ouest del’intersection de l’avenue Verlaine et de la rue Jacques-Crépeault;

• zone 22231Ha : bornée au nord par la rue De Tonnancour, au sud parla rue Pie-X, à l’est par l’avenue de Fatima et à l’ouest par l’avenueClaudel;

• zones 22302Ha, 22303Ha, 22307Ha, 22311Ha, 22314Ha et 22324Ha:approximativement délimitées au nord par l’autoroute Félix-Leclerc,au sud par le boulevard Père-Lelièvre, à l’est par l’autoroute Robert-Bourassa et à l’ouest par le boulevard Neuvialle;

• zone 22308Ha : localisée au nord du boulevard Père-Lelièvre, entrela rivière Saint-Charles et le boulevard Neuvialle;

• zone 22312Mb : située dans l’angle nord-ouest de l’intersection desboulevards Père-Lelièvre et Neuvialle;

• zones 22313Mb, 22323Mb et 22330Mb : longeant le boulevard Père-Lelièvre, de la rue du Danube à l’autoroute Robert-Bourassa;

• zone 22320Mb : regroupant plusieurs propriétés longeant la partiesud du boulevard Père-Lelièvre, à l’est du boulevard Neuvialle;

• zone 22322Mb : encadrée au nord par la rue Lemieux, au sud par leboulevard Père-Lelièvre, à l’est par la rue Darveau et à l’ouest parle boulevard de Monaco;

• zone 22401Mc : établie dans le quadrant sud-est de l’intersectiondes autoroutes Robert-Bourassa et Félix-Leclerc;

• zone 22410Ha : située au sud-est de la rue du Marais;

• zone 22411Cc : laquelle borde le côté est de l’autoroute Robert-Bourassa, au nord du boulevard Père-Lelièvre;

• zone 22412Ha : qui regroupe les propriétés de la rue Dubé, au sudde l’avenue de la Roselière;

• zones 22413Ha, 22414Hb, 22418Ha et 22422Ha : localisées àl’intérieur du périmètre formé par l’avenue de la Roselière aunord, le boulevard Père-Lelièvre au sud, les propriétés de la ruedu Gardénia à l’est ainsi que la rue Paquin et l’avenue Raymond-Blouin à l’ouest;

• zone 22419Hb : localisée au nord du boulevard Père-Lelièvre, à l’estde la rue des Géraniums;

• zone 22421Hb : située au nord du boulevard Père-Lelièvre, entrela rue Sainte-Élizabeth, et comprenant les propriétés de l’extrémiténord de la rue De Brugnon;

• zone 22424Ha : bornée au nord par la rue des Balsamines et ausud, à l’est et à l’ouest par les propriétés de la rue des Étamines;

• zone 22430Ha : longeant le flanc sud du boulevard Père-Lelièvre,de l’autoroute Robert-Bourassa à la rue de la Tamise;

• zones 22503Cb et 22505Ia : englobant les propriétés longeant laportion sud du boulevard Wilfrid-Hamel, approximativement entrela rue Lachance et l’arrière des propriétés de l’avenue O’Neil, demême que des propriétés bordant l’avenue Newton;

• zone 22504Cb : sise au nord-ouest de l’intersection de l’autorouteRobert-Bourassa et du boulevard Wilfrid-Hamel;

• zone 22508Cb : située au sud-ouest de l’intersection de l’autorouteHenri-IV et du boulevard Wilfrid-Hamel;

• zone 22512Ha : située à l’ouest de l’autoroute Robert-Bourassa,de la limite nord de l’emprise de la voie ferrée au boulevard Wilfrid-Hamel;

• zone 22513Ip : située au sud de la rue Rideau, au nord de larue Louis-Lumière, à l’est de l’autoroute Henri-IV et à l’ouest duboulevard du Parc-Technologique;

• zones 22609Ip et 22611Cb : délimitées au nord par la rue Lafleur,au sud par la voie ferrée au nord de la rue A.-R.-Décary, à l’est parle boulevard Wilfrid-Hamel et à l’ouest par la rue du Grand-Tronc;

• zone 22616Cb : bordant l’avenue Saint-Sacrement, entre la rue desIngénieurs et la voie ferrée;

• zone 22620Cb : sise à l’intérieur du quadrilatère formé par la voieferrée au nord, le boulevard Charest Ouest au sud, l’avenue Saint-Sacrement à l’est et la rue Bardou à l’ouest;

• zone 22622Ip : située au nord-ouest de l’intersection des ruesLavoisier et Volta.

2.3 Les zones visées par le projet de règlement R.C.A.2V.Q. 44 sontsituées dans des périmètres délimités approximativement commesuit :

• zones 23003Cb, 23008Cb, 23009Cb, 23102Cc et 23205Mb : ceszones sont situées de part et d’autre du boulevard Pierre-Bertrand,entre la rue Latulippe au nord et la rue du Marais au sud;

• zones 23005Ip, 23006Ip et 23012Cb : localisées à l’intérieur dupérimètre formé approximativement par la rue du Marais au Nord,le boulevard Père-Lelièvre au sud, le boulevard Pierre-Bertrand àl’est et l’autoroute Robert-Bourassa à l’ouest;

• zone 23103Cc : regroupant des propriétés bordant les rues Fortinet Étienne-Dubreuil, et l’avenue Galibois;

• zones 23303Ma, 23309Mb, 23310Mb et 23316Mb : entourées aunord par la voie ferrée, au sud par le boulevard Wilfrid-Hamel, à l’estpar l’avenue Bélanger et à l’ouest par le boulevard Père-Lelièvre;

• zones 23306Mb, 23312Mb : situées au nord du boulevard Wilfrid-Hamel et au sud de la voie ferrée, entre les propriétés de l’avenueTurcotte et celles de l’avenue Plante;

• zone 23308Ma : bornée au nord par la rue Beaucage, au sudet à l’ouest par le boulevard Père-Lelièvre et à l’est par l’avenueDucharme;

• zone 23318Mb : longeant la rue Chabot, approximativement entreles avenues Giguère et Rousseau;

• zone 23328Mb : située au nord du boulevard Wilfrid-Hamel, entreles avenues Gauvin et du Chanoine-Côté;

• zone 23403Mb : délimitée au nord par la rue Hubert, au sud par larue Monseigneur-Plessis et à l’ouest par la rue Soumande.

Les illustrations des zones visées et des zones contiguës peuvent êtrepeuvent être consultées au bureau du secrétaire et assistant-greffierde l’Arrondissement des Rivières, aux heures normales de bureaumentionnées ci-dessous.

3. Conditions de validité d’une demande

Pour être valide, toute demande doit :

• indiquer clairement la disposition qui en fait l’objet et la zone d’où elleprovient et, le cas échéant, mentionner la zone à l’égard de laquellela demande est faite;

• être reçue au bureau du secrétaire et assistant-greffier del’Arrondissement des Rivières, 330 rue Chabot, Québec, au plustard le huitième (8e) jour qui suit celui de la publication du présentavis;

• être signée par au moins douze (12) personnes intéressées de lazone d’où elle provient ou par au moins la majorité d’entre elles si lenombre de personnes intéressées dans la zone n’excède pas vingtet un (21).

4. Personnes intéressées

Les renseignements permettant de déterminer quelles sont lespersonnes intéressées ayant le droit de signer une demande, de mêmeque les renseignements permettant de déterminer les conditionssupplémentaires relatives aux copropriétaires indivis d’un immeuble etaux cooccupants d’un établissement d’entreprise et les renseignementspermettant de déterminer les conditions d’exercice du droit de signerune demande par une personne morale, peuvent être obtenus au bureaudu secrétaire et assistant-greffier de l’Arrondissement des Rivières, auxheures normales de bureau mentionnées ci-dessous.

5. Absence de demandes

Pour chacun des projets de règlements précités :

• Toutes les dispositions d’un projet qui n’auront fait l’objet d’aucunedemande valide pourront être incluses dans un règlement qui n’aurapas à être approuvé par les personnes habiles à voter.

6. Consultation du projet

Les projets de règlement R.C.A.2V.Q. 40, R.C.A.2V.Q. 41 etR.C.A.2V.Q. 44 peuvent être consultés au bureau du secrétaire etassistant-greffier de l’Arrondissement des Rivières, 330, rue Chabot dulundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 16 h 30, et unecopie du résumé du projet peut aussi être obtenue sans frais par toutepersonne qui en fait la demande.

Donné à Québec, ce 4 janvier 2012.

Le secrétaire et assistant-greffier d’arrondissementJulien Lefrançois

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Une délégation de la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval compo-sée des étudiants Jason Charette, Geneviève Grenier, Vanessa Leonardi et Jonathan Turcotte, a remporté la 31e édition du Concours international d’étude de cas MBA John-Molson, qui s’est tenu à Montréal.

Le Concours international d’étude de cas MBA John-Molson se déroule sous forme de tour-noi à la ronde. Les participants, en équipes de quatre étudiants, y examinent cinq cas de gestion. À l’aide des compétences et des connaissances acquises au cours de leur programme de MBA (Master of business administration), ils doivent démontrer leur habileté à résoudre des problèmes de gestion et proposer des solutions réalistes.

Ils sont évalués par un jury composé de diri-geants du milieu des affaires en fonction de l’ori-ginalité et de la faisabilité de leurs propositions. À la suite du tournoi à la ronde, neuf équipes sont retenues pour participer à la ronde demi-finale, au terme de laquelle les trois meilleures équipes s’affrontent en grande finale.

L’équipe de l’Université Laval, qui était pla-cée sous la supervision du professeur Yan Cimon et de la chargée d’enseignement Claudine Contreras, tous deux de la Faculté des sciences de l’administration, a devancé 35 formations provenant de quelques-unes des meilleures éco-les de gestion d’une douzaine de pays, au terme de cette compétition qui figure parmi les plus prestigieuses dans le domaine.

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À l’avant : Jason Charette, Geneviève Grenier et Vanessa Leonardi; à l’arrière : Claudine Contreras, Yan Cimon et Jonathan Turcotte (Photo courtoisie)

Québec: Les policiers sensibilisent contre

la drogue au volant

Une journée de sensibilisation sur la consom-mation de drogue au volant a eu lieu samedi dernier aux Galeries de la Capitale. Le Service de police de la Ville de Québec était présent sur place pour discuter avec les gens.

Le directeur de police, Michel Desgagné a pro-fité de l’occasion pour procédé lancement d’un concours qui s’adresse aux jeunes de 16 à 24 ans. Les jeunes sont invités à trouver un slogan sur le fait que

les policiers peuvent détecter si un automobiliste à consommer des drogues avant de prendre le volant.

Info: www.ville.quebec.qc.ca/police

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Michel Desgagné, directeur de police, lan-çait le concours destiné aux 16 à 24 ans. (Photo Patrouilleurs Médias Québec Martin Meunier)

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Université Laval wins MBA case competition

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The delegation from Université Laval –Winners of the 2012 Concordia Cup |Photo by Ben Syne

Posted on January 11, 2012 | by: Yuri Mytko

JMSB TEAMS EDGED OUT IN THE SEMI-FINALS

The Christmas break provided little opportunity to rest for the student organizers ofthe John Molson School of Business (JMSB) signature annual event.

The 31st annual John Molson MBA International Case Competition was held fromJanuary 3 to 8 at the Fairmont The Queen Elizabeth Hotel. It is the oldest andlargest competition of its kind in the world.

The Concordia Cup, awarded to thecompetition winners, was presented tothe delegation from Université Laval ata closing banquet on January 10 alongwith a cheque for $10,000. TheUniversity of Otago from New Zealandfinished second, while the University ofCalgary’s Haskayne School ofBusiness rounded out the top three.

This year’s competition had 36participating teams, representingschools from 11 different countries. TheJMSB team — Pierre Carpentier,Robert Fiori, Rabia Khan, BryanMcCrory and Damian Wolff — made itto the semi-finals, finishing in the topnine.

“I could not be prouder of my team's performance,” said coach Tim Field. “Over theweek, Rabia struggled with a bad cold and Pierre had the stomach flu and had noteaten for three days. This did not show in their performance once. They remainedfocused, professional and provided stronger and stronger presentations as theweek progressed. It was a real pleasure for me to work with such an intelligent,motivated and dynamic group. They represent the best of JMSB's potentialgraduates and will undoubtedly have successful business careers.”

For Khan the competiton was “by far, the best experience in the MBA program.The competition not only helped me learn to analyze a business problem in astructured fashion under a time constraint but also, and more importantly, allowedme to form lifelong friendships with my teammates, our coach and past JMSBteams who came to lend us their support. The competition also provided a venueto meet students from international programs, which is quite an opportunity!”

The most anticipated moment of the competition came when organizersannounced the identity of the company that would be presenting the “live case,”which is when members of senior management of a major firm arrive tocommunicate a business problem to the teams. This year, the surprise companywas Montreal-based IT firm, CGI Group. Teams had three hours to prepare theirrecommendations.

In an interview on CTV Montreal’s News at Noon, Concordia alumnus and SeniorVice-President, Global Communications and Investor Relations at CGI, LorneGorber, explained that the company is looking for opportunities for growth and that“the bright young minds at the case competition could bring some of theseopportunites forward.”

He also explained that the event offered firms a great opportunity to recruit toptalent. “MBA students bring certain strategic elements to businesses like CGI whouse technology to solve business problems.” Gorber added that often “these ideascan turn into tangible and strategic business opportunities.”

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Actualités 29leSoleil vendredi 20 janvier 2012

> Deux autres restos. Deux au-tres restaurants de qualité ouvri-ront leurs portes prochainementdans le secteur Miscéo à Lévis,plus particulièrement dans lesédifices que le groupe Tanguayfait construire le long du boule-vard Alphonse-Desjardins. No-tons d’abord l’ouverture prochained’un Victor au rez-de-chaussée del’immeuble de six étages enconstruction à l’intersection de larue J.-B.-Michaud, cette rue quipasse juste devant le Centre decongrès et d’expositions de Léviset l’Hôtel Sheraton. Puis, dans l’im-meuble voisin qui abrite déjà unesuccursale de la Banque Natio-nale, une chaîne nationale spécia-lisée dans le genre restauration fa-miliale, mais surtout sportive an-noncerait prochainement son ou-verture. On ne me l’a pas précisé,mais je pense que c’est une Cageaux Sports. On verra bien!

> Victoire de Laval. Une déléga-tion de la faculté des sciences del’administration de l’UniversitéLaval a remporté le 31e Concoursinternational d’étude de cas MBAJohn-Molson, qui s’est tenu récem-ment à Montréal. L’équipe de l’Uni-versité Laval a devancé 35 forma-tions venant de quelques-unes desmeilleures écoles de gestion d’unedouzaine de pays, au terme decette compétition qui figure parmiles plus prestigieuses dans le do-maine. La délégation de l’Univer-sité Laval était composée de JasonCharette, de Geneviève Grenier,de Vanessa Leonardi et de Jona-

than Turcotte. Ils étaient sous lasupervision du professeur Yan Ci-mon et de la chargée d’enseigne-ment Claudine Contreras, tousdeux de la faculté des sciences del’administration.

> Le Nouvel An chinois. Lya BinWu m’a indiqué cette semaine quec’est demain que la communautéchinoise de Québec et l’Associa-tion des étudiants et des cher-cheurs chinois de Laval célébre-

ront le Nouvel An chinois, de 18h à22h, au Grand Salon du pavillon Al-phonse-Desjardins de l’UniversitéLaval. Au programme, pas moinsde 21 numéros de chant, de danseet d’acrobatie mettant en vedettele dragon, le phénix, les fleurs deprunier et plusieurs Chinois de lacapitale nationale, comme Bin Wu,Xi Chen, Yan Xu et autres. Je m’yétais rendu l’an dernier et j’avaisbien aimé cette soirée tellementdifférente d’une soirée de danse auPollack. Surtout que c’est vraimentpas cher pour passer une soirée enChine : 15 $ pour les adultes et 12 $pour les étudiants. Gratuit pour lesenfants de moins de cinq ans et10 $ pour les jeunes de 6 à 17 ans.Ce qu’on en retient : l’extraordi-naire culture des habitants de cecontinent. Les billets seront envente à l’entrée. Vous serez dépay-sés et enchantés.

> Le Gambrinus. Le restaurantLe Gambrinus, qui trouvait placedepuis avril 1984, l’année Mer etmonde, au 15, rue du Fort, justeen face du Château Frontenac, afermé ses portes avec la fin del’année 2011. Le Gambrinus (cre-vettes en italien) avait été inau-guré Beppino Boezio, déjà pro-priétaire de La Crémaillère, rueSaint-Jean, et par Giovanni Ven-turino, alors propriétaire du res-taurant Les Jardins d’Italie, aussirue Saint-Jean. L’année suivante,Jacondo Giraudo s’ajoutait auduo et Beppino effectuait un replistratégique vers 1990. Si vouspassez dans le coin ces jours-ci,devant le 15, rue du Fort, vousverrez que tout a déjà été démoli.«On se croirait en 1945, après unbombardement. C’est la destruc-tion totale», précise Giovanni. Cen’est pas la famille Price, proprié-taire de l’édifice, qui a obligé LeGambrinus à fermer. C’est plutôtGiovanni et Jacondo qui ont misun terme à leur contrat de loca-tion un an avant l’échéance afinde profiter un peu de la vie etprendre leur retraite. Grand bienleur fasse! Ce n’est pas le cas dumaître d’hôtel, Athanase Zoube-rakis, qui se trouve au chômage.Si vous cherchez un bon, un ex-cellent, vous pouvez lui faireconfiance. Vous le trouverez faci-lement, c’est le seul à porter cenom à Québec.

>Décorés par la France. À l’issuedu récital de la mezzo-soprano Su-san Graham et du pianiste Mal-colm Martineau du 6 janvier laconsule générale de France à Qué-bec, Hélène Le Gal, à droite, a remisà la directrice artistique du Clubmusical de Québec, Louise Forand-Samson, à gauche, les insignes dechevalier des arts et des lettres dugouvernement français. Dans lemême ordre d’idées, Louis-EmondHamelin a reçu sa médaille d’offi-cier dans l’Ordre des palmes aca-démiques des mains d’Hélène LeGal, mercredi, à la résidence de laconsule générale, située au 1075,avenue des Braves à Québec.

Coups de Soleil!> Gilles Desaulniers séjourne àHawaii pour a) profiter du soleil; b)améliorer son golf; c) mettre enforme son second roman, qu’il sepropose d’intituler Collusion, liéau Plan Nord de Jean Charest. Çava fesser fort!

>Aujourd’hui à 19h, Lyse Trottier,auteure et conteuse, livrera saconférence Accueillir et vivreses émotions en osant ouvrir laporte de son senti et de son ima-gination à l’École-des-Cœurs-Vaillants. 3430, boul. Neilson

> Les Violons du Roy, sous la di-rection de Bernard Labadie, et laFondation de la Maison Michel-Sarrazin s’associent pour la pré-sentation d’un concert-bénéfice,mardi à 20h au Palais Montcalm,qui mettra en vedette le virtuose dela flûte à bec Maurice Steger.

>Aujourd’hui, à 19h, Jacques Des-bois présidera la 12e ouverture of-ficielle de son Hôtel de Glace. La ré-ception est ouverte à tous au coûtde 27,50 $. Un feu d’artifice et desprestations musicales variées sontau programme. Info : 418 623-2888

>Mardi dernier, le Concours qué-bécois en entrepreneuriat présen-tait sa nouvelle présidente d’hon-neur, Sophie Brochu, présidente etchef de la direction de Gaz Métro.Étaient également présents des re-présentants du volet Entrepreneu-riat étudiant venus présenter leurprojet Pédibus scolaire.

>C’est aujourd’hui le 71e anniver-saire de Pierre Lalonde, ex-anima-teur de Jeunesse d’aujourd’hui.Demain, ce sera l’anniversaire deJean-Louis Duplessis, le présidentde L’Allier Sainte-Foy. Il est beau-coup plus jeune que M. Lalonde.

gensdepassion La capitale

Pierre Champagne collaboration spéciale [email protected]

Inauguration sous le signe de la fierté

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Vous pouvez nous joindrepar courriel à[email protected]

par téléphone au 418 833-5652

ou par la poste àChampagne et Champagne (C&C)11, rue William-TremblayLévis (Québec) G6V 4B3

> BMO soutient la Fondation de la Maison Michel-Sarrazin avec250 000 $. La Fondation de la Maison Michel-Sarrazin salue la participationde BMO Groupe financier, qui contribue à sa première véritable campagnemajeure de financement par une contribution financière de l’ordre de250 000 $. BMO devient ainsi le donateur-vedette du mois de janvier. Par cegeste, des centaines de bénévoles et de professionnels pourront continuer,chaque jour, à offrir des soins et des services gratuits, à la première maisonde soins palliatifs du monde francophone. On reconnaît, dans l’ordre, Mar-tin Beauchamp, vice-président, région de l’Est-du-Québec, BMO Banquede Montréal; Jocelyn Thémens, directeur général, Fondation de la MaisonMichel-Sarrazin; Sébastien Tremblay, vice-président gestionnaire de por-tefeuille, directeur bureau de Québec, BMO Nestbitt Burns; ainsi que Jona-than Paré, vice-président et directeur de marché, région de l’Est-du-Québec, BMO Banque privée Harris.

L’inauguration du stade TELUS sur le campus de l’Université Laval mardi a été un bel événement sous le signe de lafierté. Sam Hamad, ministre responsable de la Capitale-Nationale, y est allé d’un botté spectaculaire devant, degauche à droite, le recteur Denis Brière, Yves Bolduc, ministre de la Santé et député de Jean-Talon, François Côté,président de TELUS, Jacques Gourde, député fédéral de Lotbinière–Chutes-de-la-Chaudière, et Régis Labeaume,maire de la Ville de Québec. — PHOTO LE SOLEIL, ERICK LABBÉ

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Battle of the briefcases

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leSoleil jeudi 12 janvier 2012 Affaires 27

André DubucLa Presse

MONTRÉAL — Les Québécoisappuient à 57% la syndicalisationdes employés des dépanneurs Cou-che-Tard, selon un sondage Internetde la firme CROP commandé par laConfédération des syndicats natio-naux (CSN). L’appui devient massifen ce qui a trait aux principalesrevendications des travailleursdans leur négociation d’une pre-mière convention collective.

Ainsi, 84 % des 1000 répondantsjoints les 13 et 14 décembre der-niers se montrent en faveur del’attribution de quatre jours demaladie par année par employéalors qu’ils n’en ont aucun. Il s’agitde congés payés. Autre exemple,92% sont d’accord avec l’installa-tion d’un bouton d’alarme à utili-ser en cas de vol à main armée.

La centrale a rendu publics lesrésultats d’un sondage qui lui sontfavorables le 11 janvier, une façonde marquer le premier anniver-saire du tout premier syndicatCSN d’un dépanneur Couche-Tard,celui situé à l’angle des rues Jean-Talon et D’Iberville. Ce commerceest aujourd’hui fermé, tout commecelui de la rue Saint-Denis, au coinde Beaubien. La direction de Cou-che-Tard a toujours soutenu queles deux établissements, syndiquépour le premier et en voie de l’êtrepour le second, avaient été ferméspour des raisons financières.

«La CSN cherche à prendre l’opi-nion publique comme partie pre-nante à un conflit de relations de

travail qui ne touche pas directe-ment les gens», explique Marc B.David, professeur de communica-tion marketing à l’Université deSherbrooke. «On ne voit pas çasouvent, et c’est intéressant.»

L’objectif, selon l’universitaire,est de faire de l’opinion publiqueune alliée qui fera pression surl’employeur, en mettant en jeu saréputation de «bon citoyen cor-poratif». «Si Couche-Tard veutredorer son blason auprès desQuébécois, elle doit changer sonfusil d’épaule et accepter que sessalariés exercent leur droit de sesyndiquer», a dit Jean Lacharité,vice-président de la CSN, au coursd’une conférence de presse où ona dévoilé les résultats du sondage.

Coauteur du livre Commentparler aux médias, BernardMotulsky doute fort que l’employeurréagisse à ce coup de sonde. «L’en-treprise n’a pas avantage à nourrirle débat sur la place publique, dit-il. Jusqu’à présent, Couche-Tard n’apas connu d’impact véritablementnégatif sur ses affaires et sa répu-tation. Ça reste une réussite québé-coise», ajoute-t-il. Couche-Tard n’apas voulu commenter le sondage,tout en faisant valoir qu’elle offraitde meilleures conditions de travailqu’ailleurs dans l’industrie.

REVENDICATIONS DES EMPLOYÉS DE COUCHE-TARD

Un appui massif des Québécois

MONTRÉAL — C’est finalementle mois prochain que ResearchIn Motion (RIM) offrira uneimportante mise à niveau dulogiciel de sa tablette PlayBook.Prévu pour l’automne der-nier, le TabletOS2.0 arrive troptard au goût des analystes,qui ne voient pas l’entreprisede Waterloo, en Ontario, rega-gner le terrain perdu dans cecréneau dominé par Apple, parAmazon et par Google.

La mise à jour offerte dèsfévrier est imposante. Elle cor-rige la principale lacune de latablette BlackBerry : l’absencedes applications de bureautiquedu téléphone BlackBerry, commela messagerie et la gestion descontacts. Jusqu’ici, il faut relierla tablette à un téléphone Black-Berry pour pouvoir y arriver. LeTabletOS2.0 ajoute à ces nouveau-tés une intégration complète desprincipaux médias sociaux, unefonction d’appels vidéo et, pourcouronner le tout, un outil detransfert des applications offer-tes sur la plateforme Android.

RIM estime que 60% des quel-que 340 000 titres présents sur lemarché d’applications du systèmeAndroid, de Google, fonctionnentdéjà sur la PlayBook. Le fabricantpense que ce seront avant toutdes jeux qui feront le saut, maisil affirme travailler étroitementavec de nombreux développeurspour accélérer le processus.

Le TabletOS2.0 sera la seulenouveauté dans le marché destablettes en 2012, dit l’entreprise.Dotée d’un écran de sept pouces(18 cm) et vendue à bas prix, laPlayBook devrait tout de mêmeconnaître un sursaut de popula-rité, avec des ventes prévues de1,7 million d’exemplaires, pourl’année à venir. «C’est encoura-geant pour les résultats de RIMà moyen terme», note Shaw Wu,analyste pour la firme SterneAgee, qui a assisté à la présenta-tion de RIM au Consumer Electro-nic Show, à Las Vegas. La Presse

NOUVELLE PLAYBOOK

Trop peutrop tard

«On ne voit pasça souvent, et c’est

intéressant»— Marc B. David, professeur decommunication marketing

Les Québécois sont favorables à la syndicalisation des employés de Couche-Tard dans une proportion de57 %, selon un sondage Internet commandé par la CSN. — PHOTO LA PRESSE CANADIENNE

Selon le Conference Board, l’in-dustrie manufacturière à Québeca enregistré un déclin estimé à0,5 % en 2011, portant ainsi àprès de 12 % la contraction totaledepuis 2008. «Nous nous atten-dons néanmoins à une expan-sion de 3,2 % en 2012, de mêmequ’à une croissance moyennede 2,4 % de 2013 à 2016», peut-on lire dans la Note de conjonc-ture métropolitaine, dans laquelleon ne manque pas de soulignerl’incertitude entourant l’avenirde l’usine Stadacona de PapiersWhite Birch (600 travailleurs),qui a fermé temporairement sesportes en décembre dernier.

Pour le Conference Board, il nefait pas de doute que la réductiondes dépenses d’infrastructure dugouvernement fédéral et le reculde la construction résidentielleaffecteront la santé de l’industriede la construction cette année. À8,4 % en 2011, la croissance de l’in-dustrie de la construction devraitchuter à 1,7 %. «Cependant, lacroissance s’accélérera grâce àla construction d’un aréna d’unetaille adéquate pour la LNH, quicommencera lentement en 2012 ets’intensifiera en 2013.» Par ailleurs,les analystes estiment que l’amé-nagement d’une ligne de tramway

pourrait «considérablement»accroître la production du secteurde la construction à moyen terme.Quant au secteur des services, lacroissance de l’activité a été de 2 %en 2011. Le pourcentage de crois-sance devrait être le même en 2012.

EMPLOI Prévisions decroissance au Canada

Saskatoon ....................... 4,0 %

Calgary............................. 3,6 %

Edmonton........................ 3,4 %

Regina............................... 2,9 %

Oshawa ............................ 2,7 %

Toronto............................ 2,6 %

Trois-Rivières ................. 2,6 %

Vancouver....................... 2,6 %

Windsor........................... 2,5 %

Winnipeg......................... 2,4 %

Halifax.............................. 2,4 %

QUÉBEC............................ 2,1 %

Montréal.......................... 2,0 %

Hamilton.......................... 2,0 %

Victoria ............................ 1,9 %

Sherbrooke..................... 1,8 %

Ottawa-Gatineau........... 1,8 %

Saint-Jean N.-B. .............. 1,8 %

London............................. 1,7 %

Saguenay......................... 1,5 %

Saint-John, T.-N................ 0,7 %

SOURCE CONFERENCE BOARD DU CANADA

• 1re place au University Trading Challenge, décembre 2011Baruch College - The City University, New York

• 1re place au Concours international d’étude de casMBA John-Molson, janvier 2012Université Concordia, Montréal

• 3e place aux Jeux du commerce, janvier 2012Université Laval, Québec

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Réseau Info Éducation AMEQ en ligne FERMER CETTE FENÊTRE IMPRIMER

Victoire de l'Université Laval au Concours international d'étude de cas MBA John-Molson

, le 10 janvier 2012 - Une délégation de la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval a remporté la 31e édition du Concours international d’étude de cas MBA John-Molson, qui s’est terminée à Montréal.

L’équipe de l’Université Laval a devancé 35 formations provenant de quelques-unes des meilleures écoles de gestion d’une douzaine de pays, au terme de cette compétition qui figure parmi les plus prestigieuses dans le domaine.

Le Concours international d’étude de cas MBA John-Molson se déroule sous forme de tournoi à la ronde. Les participants, en équipes de quatre étudiants, y examinent cinq cas de gestion. À l’aide des compétences et des connaissances acquises au cours de leur programme de MBA, ils doivent démontrer leur habileté à résoudre des problèmes de gestion et proposer des solutions réalistes. Ils sont évalués par un jury composé de dirigeants du milieu des affaires en fonction de l’originalité et de la faisabilité de leurs propositions. À la suite du tournoi à la ronde, neuf équipes sont retenues pour participer à la ronde demi-finale, au terme de laquelle les trois meilleures équipes s’affrontent en grande finale.

La délégation de l’Université Laval était composée des étudiants Jason Charette, Geneviève Grenier, Vanessa Leonardi et Jonathan Turcotte. Ils étaient sous la supervision du professeur Yan Cimon et de la chargée d’enseignement Claudine Contreras, tous deux de la Faculté des sciences de l’administration.

Pour plus d'information:

Organisation: Université Laval Adresse: 1160 Université Laval Québec, Québec Canada, G1V 0A6 www.ulaval.ca

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À L’AGENDA ■ PRÉVISIONS ■ RÉEL BPA : bénéfice par action K : millier M : million G : milliard

POUR NOUS JO INDRE La Presse Affaires, 7, rue Saint-Jacques, Montréal (Québec) H2Y [email protected]

SUDOKU

Source : Bloomberg

8 1 2

4 5

7 2 4

3 1 9

4 7 3 8

1 2 6

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5 9 8

4 6 7

2 6 8 4 1 9 7 3 5

5 9 3 8 6 7 2 4 1

4 1 7 2 3 5 6 8 9

7 2 4 9 8 6 1 5 3

1 3 9 5 4 2 8 7 6

8 5 6 3 7 1 4 9 2

9 8 1 7 2 3 5 6 4

6 4 5 1 9 8 3 2 7

3 7 2 6 5 4 9 1 8

2183 2182

Placez un chiffre de 1 à 9 dans chaqueChaque ligne, chaque colonne etdélimitée par un trait plus épais doiventles chiffres de 1 à 9. Chaque chiffreune seule fois dans une ligne, dansdans une boîte 3x3.

Solution du dernier sudoku

Niveau de difficulté : MOYEN

CeunedePourd'informations,rendez-voussurles-mordus.com

ouinfo@les-mordus.

com

Par Fabien Savary

MERCREDI 18 JANVIER

Ind. des prix à la production(É.-U.) déc. :0,1%

nov. :0,3%

eBay BPA 4T : 57¢US

Goldman Sachs BPA4T: 1,31$US

Viterra BPA 4T : 9¢

DEMAINPrix des importations déc.: -0,1%(É.-U.) nov. :0.7%

JPMorgan&Chase BPA4T:94¢US

JEUDI 19 JANVIER

Indice des prix à la consommation(É.-U.) déc. :0,1%

nov. :0,0%

Google BPA 4T : 10,47$US

Bank of America BPA 4T : 13,1¢ US

LUNDI 16 JANVIER

Marchés financiers fermésaux États-Unis(Jour de Martin Luther King Jr.)

Diagnocure BPA 4T : -1¢

MARDI 17 JANVIERTaux directeur 17 janv. : 1,00%

(Can.) 6 déc. : 1,00%

Citigroup BPA4T:62¢

Wells Fargo&Co. BPA4T:73¢US

AUJOURD’HUIVentes au détail déc. :0,3%

(É.-U.) nov. :0,2%

Com Dev InternationalBPA 4T : 5,7¢

Shaw CommunicationsBPA 1T : 46,8¢

Placez un chiffre de 1 à 9 dans chaquecase vide. Chaque ligne, chaquecolonne et chaque boîte 3x3 délimitéepar un trait plus épais doivent contenirtous les chiffres de 1 à 9. Chaque chiffreapparaît donc une seule fois dans uneligne, dans une colonne et dans uneboîte 3x3.

Ce jeu est une réalisation de Ludipresse. Pour plus d’informations :www.les-mordus.com ou écrivez-nous à [email protected]

BAIN CAPITALDans l’article publié hier sur Bain Capital,il est écrit que la firme Bain Capital a créé6900 emplois dans des entreprises québécoi-ses entre 2003 et 2011. Bain Capital a plutôtcréé 3900 emplois, soit un gain de 5500emplois chez Dollarama et une perte de 1600emplois chez Bombardier Produits récréatifs.Par ailleurs, au 30 décembre 2010, l’actif sousgestion de la Caisse de dépôt et placement duQuébec est de 199 milliards, dont 17,5 mil-liards de dollars en placements privés.

RIM estime que 60% des quelque340 000 titres présents sur le marchéd’applications du système Android,de Google, fonctionnent déjà sur laPlaybook. Le fabricant pense que ceseront avant tout des jeux qui feront lesaut, mais il affirme travailler étroite-ment avec de nombreux développeurspour accélérer le processus.

« C’est une mise à niveau qui vaplaire aux gens déjà familiers avecla plateforme BlackBerry, mais elles’adresse aussi au grand public. Nousavons voulu proposer une tablettecapable de faire le travail quand c’estnécessaire, mais qui sait aussi s’amu-ser », résume Michael Wenley, res-ponsable de la Playbook pour RIM, àWaterloo.

Étroite marge de rentabilitéLe Tablet OS 2.0 sera la seule nou-

veauté dans le marché des tablettes en2012, dit l’entreprise. Dotée d’un écrande 7 pouces et vendue à bas prix, laPlaybook devrait tout de même connaî-tre un sursaut de popularité, avec desventes prévues de 1,7 million d’exem-plaires, pour l’année à venir.

«C’est encourageant pour les résul-tats de RIM à moyen terme », noteShaw Wu, analyste pour la firmeSterne Agee, et qui a assisté à laprésentation de RIM au ConsumerElectronic Show, à Las Vegas. « Lenouveau logiciel réduit les risquesque l’entreprise manque ses cibles»,conclut-il. M. Wu attribue toujoursune cote neutre à l’action du fabricantcanadien.

Cela dit, les chances que RIMrattrape Apple, Samsung ou mêmeAmazon dans le marché des tablettesdemeurent très minces. Amazon a faitflèche de tout bois ces derniers moisavec sa propre tablette bon marché,la Kindle Fire. Samsung, de son côté,semble intouchable du côté des tablet-tes Android, grâce à une gamme trèscomplète de tablettes de toutes tailles,plus performantes et plus puissantesque la Playbook, à un prix parfois àpeine supérieur.

«La Playbook s’est bien vendue lors-que son prix a été fortement réduit. Ilest difficile d’imaginer comment RIMpourra faire de l’argent avec ce pro-duit en 2012», résume Matt Thornton,d’Avian Securities, à Boston.

Hier, le titre de RIM a gagné15 cents pour clôturer à 15,92$ à laBourse de Toronto.

Trop peu, trop tardpour RIMRIMsuite de la page 1

«La Chine connaît encore un bontaux de croissance, ajoute JoAnneLabrecque. La demande devra itencore être soutenue, car les nouveauxriches ont une capacité de dépensersurprenante.»

L’Europe viv ra , quant à el le ,deux dynamiques, selon LéopoldAuthié : « D’un côté, un ralentisse-ment de la demande locale, causépar les effets de la crise, expliquel’analyste. De l’autre, une augmen-tation de la part des revenus issusdu tourisme. »

Le ralentissement de la croissancedes détaillants de luxe sera aussimotivé par le frein de l’augmentationdes prix au détail. «Une partie de lacroissance en 2012 est attribuée à l’im-pact positif de la hausse des prix, noteLéopold Authié. Ces augmentationssont intervenues de manière ciblée. Lesacteurs horlogers (Swatch, Richemont)ont été plus actifs sur ce front afinde faire face à l’envolée du cours desmatières premières, mais également àl’impact négatif de la hausse du francsuisse. Dans un contexte de stabili-sation des matières premières et dansun environnement devises favorables,nous estimons que la hausse des prixdevrait être limitée en 2012.»

Le luxe perd de son lustreLUXEsuite de la page 1

«C’est sûr que si tout l’hiver estcomme le mois de décembre, nosprévisions seront difficiles à réali-ser », reconnaît Jacques Demers aucours d’un entretien avec La PresseAffaires.

Avec la contribution du milieu,soit une somme de 235 000 $ réuniepar des bénévoles et amoureux de lamontagne, qui n’avait pas été incluseau budget original, la Corporationpense encore pouvoi r év iter ledéficit.

Mais même si l’hiver 2012 s’avé-rait être le plus catastrophique del’histoire d’Orford, la Corporationserait en mesure de l’assumer, sou-tient son président.

La MRC a hérité d’installationsdont la valeur comptable est de6 millions et dont la valeur mar-chande est beaucoup plus élevée,explique Jacques Demers. Elle n’aaucune dette. « Dans le pire des cas,advenant un manque de liquidités,la Corporation peut emprunter surcette valeur. »

Selon lui, il faudra plus qu’unmauvais hiver pour venir à boutde la détermination de la MRC derelancer les activités de la stationtouristique.

La Corporation a pris le relais dugouvernement le 1er juin dernier, aprèsque les discussions eurent avorté avecle consortium choisi par appel d’offrespour investir dans l’entreprise, formédu promoteur immobilier Vertendre etde la firme qui gérait les installationspour le compte du gouvernement,Gestion Soroma.

Au début, la MRC pensait lancerau plus vite un nouvel appel d’offrespour trouver d’autres investisseurs,mais elle n’est plus aussi pressée. «Sides investisseurs se présentent, on vales écouter, mais on n’en fait pas unepriorité», dit-il.

Les villes ont décidé de gérer elles-mêmes ce précieux actif, même si cen’est pas leur métier, parce que legouvernement aurait mis la clé sous laporte. Elles ont formé la Corporation etengagé des gestionnaires et se sont lan-cées dans l’aventure, pour le meilleuret pour le pire.

La Corporation compte sur unecontribution annuelle du milieu pourl’aider à faire les investissementsqui s’imposent pour améliorer lesinstallations. Cette année, l’objectifde la quête était de 415 000$ et les235 000$ amassés ne représentent que56% de cet objectif.

Des atoutsLa Corporation estime malgré tout

avoir dans sa manche des atouts quel’ancien propriétaire, le gouverne-ment, n’avait pas. Comme pouvoirfaire des promotions, précise JacquesDemers, et avoir plus de flexibilitéde la part des employés, qui ontaccepté à 98% un nouveau contrat detravail avec leur nouvel employeur.La capacité d’enneigement a aussiété multipliée par trois comparati-vement à l’an dernier, et la station afait l’acquisition de deux nouvellesdameuses.

Mauvais départ pourles nouveaux propriosDÉPARTsuite de la page 1

PRÉCISION

l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l

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L’OFFICE DE FINANCEMENT DE L’ASSU-RANCE-EMPLOI DU CANADA (OFAEC)annonce la tenue de son assemblée publiqueannuelle. L’assemblée publique annuelle del’OFAEC aura lieu le lundi 6 février 2012 de 15heures à 16 heures à la salle Richelieu de l’hô-tel Delta d’Ottawa en Ontario au 101 rue LyonN. Il faut réserver votre place par courriel([email protected]) ou par courrier à l’Officede financement de l’assurance-emploi duCanada 350 rueAlbert bureau 315, Ottawa, OnK1R 1A4. Il est possible de vous procurer unecopie du rapport annuel 2010-2011 de l’OFAECou du rapport publié le 14 novembre 2011 surle taux de cotisation à l’assurance-emploi pour2012 en vous présentant aux bureaux del’OFAEC ou encore par le biais du siteWeb del’OFAEC au www.ceifb-ofaec.ca.

850 AVIS DE DISSOLUTIONCHANGEMENTDENOM

AVIS DE DEMANDE DE DISSOLUTIONPRENEZ AVIS que la compagnie« PRODUCTIONS G5 MÉDIA INC » ayantson siège social au 200, rue des Passereaux,Verdun (Québec) H3E 1Y2 demandera auRegistraire des entreprises du Québec la per-mission de se dissoudre.Verdun, Gilles Pineau, président12/01/2012

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Magazine Prestique, mercredi le 11 janvier 2012

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Magazine Prestique, mercredi le 11 janvier 2012

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47samedi 14 janvier 2012

La Coop Roue-Libre, qui entretient et répare les vélos sur le campus, a aidé les étudiants du CégepFrançois-Xavier-Garneau à former leur propre coopérative en 2011.

L’Université remporteun concours en MBA

Une délégationde la Facultédes sciences del’administrationde l’UniversitéLaval a rem-porté le 31e

Concours inter-national d’étudede cas MBAJohn-Molsonqui s’est terminéà Montréal le 8janvier. L’équipede l’UniversitéLaval a devancé35 formationsprovenant dequelques-unesdes meilleuresécoles de ges-tion d’une

douzaine de pays lors de cette compétitionqui figure parmi les plus prestigieuses dudomaine. Les participants, en équipes dequatre étudiants, y examinent cinq cas degestion dont ils doivent résoudre les pro-blèmes grâce aux compétences et connais-sances acquises au cours de leur MBA.

Salon de la SAAC

Événement familial, le populaire Salon étu-diant de l’agriculture, de l’alimentation et dela consommation (SAAC) se déroule depuishier et toute la fin de semaine (de 9 h à 18 hce samedi et de 9 h à 17 h dimanche) auCentre de foires d’Expo-Cité à Québec. Cette37e édition, qui a pour thème «Le Patrimoineagroalimentaire québécois,cultivons notre héritage»,présente une trentaine dekiosques d’information,des dégustations, desanimaux et des plantes,des produits du terroirainsi que des animationset des conférences. Lasalle consacrée à la fermecontient notamment ungrand jardin intérieur.

Salon de la forêt

Frère jumeau du Salon de la SAAC, cet évé-nement organisé par les étudiants en foreste-rie de l’Université se tient au même endroit(Expo-Cité) et en même temps (cette fin desemaine) que le Salon de la SAAC. Cette 43e

édition a pour thème «Revitaliser l’environ-nement forestier: des racines à la canopée».Les principaux intervenants de la forêt publi-que et privée y occupent de nombreux kios-ques d’information où ils vulgarisent leursconnaissances sur les pratiques forestièresau Québec. Des conférences, un concours dephotos et de construction d’une structure enbois, des jeux forestiers et même des activitéspour les jeunes dynamisent l’événement.

Le contenu de ces pages est produit et édité par la Direction des communications de l’Université Laval. Visitez le site Web de l’Université Laval au www.ulaval.ca.

politique institutionnelle de développementdurable. Une augmentation de 3 % par rap-port à l’année précédente et de 6 % compa-rativement à 2008-2009. «Cette croissancereflète l’intérêt grandissant de nos cher-cheurs pour le développement durable, sou-tient Éric Bauce. Cela reflète aussi les pré-occupations de la société et les besoins pourde nouvelles connaissances en ce domaine.»

En 2010, les émissions nettes de gazà effet de serre (GES) de l’Université ontdiminué de 18 % par rapport à 2006, et ce,malgré une augmentation de la superficiedes bâtiments (4,7 %) et du nombre d’étu-diants et d’employés (3,4 %). «Nous sommessur la bonne voie, souligne le vice-recteur.

D’année en année nous contribuons àdiminuer les émissions de GES du campusmême si celui-ci est en développement.»Selon lui, le discours des chercheurs et desenseignants de l’Université et les actions decette dernière sont cohérents. «Un établis-sement d’enseignement comme le nôtre doitdonner l’exemple, indique Éric Bauce. Nousnous étions donné comme cible d’atteindreles objectifs du protocole de Kyoto. Nous lesavons même dépassés.»

En 2010-2011, le quart de tous les achatsde produits et services effectués par l’Uni-versité ont été validés selon des critères dedurabilité. «L’Université achète pour environ360 M$ de biens et services chaque année et

nous sommes soucieux de l’empreinte éco-logique de ce que nous achetons», expliquele vice-recteur.

Certification Campus durableL’Université a reçu en 2011 le niveau 3 de lacertification Campus durable de la Coalitionjeunesse Sierra. Il s’agit du niveau le plushaut atteint par une université canadienne.«La certification, précise Éric Bauce, estbasée sur un certain nombre de critères etde cibles qu’il faut atteindre pour recevoirla distinction.»

En 2011-2012, la direction de l’Universitépoursuivra ses efforts en matière de forma-tion en développement durable. «Un chantiermajeur», selon le vice-recteur. On poursuivraégalement le programme d’efficacité énergéti-que visant la réduction des émissions de GESet de la consommation d’énergie dans lespavillons. Sur le plan économique, la direc-tion visera l’équilibre budgétaire des opéra-tions courantes de l’Université. Sur le plansocial, un programme d’acquisition de saineshabitudes de vie, destiné aux étudiants et auxemployés, sera mis en place à l’hiver 2012.

Quelques exemples probantsEnviron 125 projets de développementdurable ont été réalisés ou étaient en coursde réalisation en 2010-2011 sur le campus.En voici quelques exemples:� 50étudiantsontreçuplusd’undemi-million

de dollars en Bourses de leadership etdéveloppement durable

� �� ���������� �� ������������ � � � ��-gré le profil en développement durable

� ���� �� � ����� �� � � ��� � � �pétition pour bannir la vente d’eauembouteillée sur le campus

� ��� ������� � ����� �� �� � � ���� ��de 18 % en 2010 par rapport à 2006, mal-gré une augmentation de la superficie desbâtiments de 4,7 %

� ���� �� � ����� �� � � ������� �� ��de déchets dans des boisés du campus

� �� ������ � ����������� � �������humanitaire ont été réalisés dans despays en développement

� �� ��� ��� �� �������� �������� ������ont attiré plus de 15 000 personnes

� �� ����� � � ����� � � �� ������ �� ���à novembre 2010

� � ��� ����� �� ����� � � ������� �� ���-gramme de covoiturage en mai 2011

� � ��� ����� �������� �� �� �����������ont été récupérésLe Rapport sur le développement durable

2010-1011peutêtreconsultéenligneàl’adressesuivante: www.developpementdurable.ulaval.ca. On peut également regarder lacapsule vidéo réalisée par la Direction descommunications sur le pont arqué de laforêt Montmorency à l’adresse suivante:http://bit.ly/AcoF3p.

L’Université a émis 37 746 tonnes nettes de gaz à effet de serre en 2010. En 2000,le bilan s’élevait à 49 159 tonnes.

En 2010, l’Université a recyclé 523 tonnes de papier et carton, 75 tonnesde plastique, verre et métal, et produit 90 tonnes de compost.

La délégation de la Facultédes sciences de l’adminis-tration. À l’avant: JasonCharette, Geneviève Grenieret Vanessa Leonardi. À l’ar-rière: Claudine Contreras(entraîneuse), Yan Cimon(entraîneur) et JonathanTurcotte.

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L'Université Laval brille dans un concours

international

Olivier Schmouker . les affaires.com . 09-01-2012

Tags : Essentiel-PME, Management

C’est une délégation de la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval, à Québec, qui a remporté la 31e édition du Concours international d'études de cas du MBA John-Molson. Et ce, devant pas moins de 36 équipes provenant des quatre coins du monde (Etats-Unis, Allemagne, France, Israël, Singapour, Nouvelle-Zélande, etc.).

Quelque 230 étudiants à la maîtrise en administration des affaires se sont penchés, à Montréal, sur l'avenir de la compagnie CGI, à la demande de son président de l'exploitation au Canada, Douglas McCuaig. Ce dernier avait demandé aux participants de réévaluer la stratégie d'approche marché, des priorités et des investissements de CGI compte tenu des toutes dernières évolutions du marché.

L’équipe composée de Jason Charette, Geneviève Grenier, Vanessa Leonardi et Jonathan Turcotte a visiblement effectué la meilleure présentation. Elle était placée sous la supervision du professeur Yan Cimon et de la chargée d’enseignement Claudine Contreras, tous deux de la Faculté des sciences de l’administration.

Les étudiants étaient évalués par un jury composé de dirigeants du milieu des affaires, en fonction de l’originalité et de la faisabilité de leurs propositions. À la suite de plusieurs rondes, neuf équipes ont été retenues pour participer à la demi-finale, au terme de laquelle les trois meilleures équipes se sont affrontées en grande finale.

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ANNEXE 4CONCOURS INTERNATIONAL ÉTUDE DE CAS MBA JOHN-MOLSONPUBLICITÉ

L’équipe de l’Université Laval remercie ses commanditaires :L’équipe de l’Université Laval

i dit i

Concours international d’étude de cas MBA

John Molson 2012

Association des Participants à la Maîtrise en Administration de l’Université Laval

1er rangée : Jason Charette, Geneviève Grenier et Vanessa Leonardi

2e rangée : Claudine Contreras (entraîneure), Yan Cimon (entraîneur) et Jonathan Turcotte

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ANNEXE 5CONCOURS INTERNATIONAL ÉTUDE DE CAS MBA JOHN-MOLSONREMERCIEMENTS

Équipe MBA Laval – CIEC Faculté des sciences de l’administration a/s Yan Cimon, Professeur agrégé Pavillon Palasis-Prince, local 1513 2325, rue de la Terrasse Québec (Qc) G1V 0A6

Le 29 février 2012

Mme Marie-Claude Beaulieu Chaire RBC en innovations financières Pavillon Palasis-Prince, bureau 3620-A Québec (Québec) G1V 0A6

Madame,

Notre équipe souhaite vous remercier de tout cœur pour votre appui à notre participation – et à notre victoire – au 31e Concours international d’études de cas John Molson, qui a eu lieu à Montréal du 3 au 8 janvier.

Votre appui financier et moral fut un facteur déterminant de notre succès. En effet, nous avons réussi une première historique pour l’Université et pour le concours : nous sommes la seconde équipe dans l’histoire du concours à avoir connu un parcours parfait de 7 victoires sans aucune défaite et la première équipe de la Faculté des sciences de l’administration à le faire. Ce faisant, nous avons devancé 35 autres équipes provenant des meilleures écoles de gestion au monde.

Le soutien de la communauté universitaire est essentiel à une équipe comme la nôtre. Nous avons d’ailleurs fièrement fait étalage de votre soutien sur le site de la compétition et à la Faculté sur une variété de plateformes ceci parmi un bassin de plus de 250 hauts dirigeants d’entreprises de classe mondiale, de 180 étudiants de MBA à fort potentiel et de 6000 étudiants de la Faculté. Nous avons aussi pu compter sur une grande visibilité suite à notre victoire, comme les coupures de presse ci-attachées le montrent.

En terminant, nous vous adressons de nouveau nos plus sincères remerciements pour votre contribution à cette belle réussite et aussi pour votre confiance. Nous sommes fiers d’avoir pu compter sur votre soutien et nous espérons que les équipes qui nous suivront auront aussi la chance de pourvoir sur votre engagement renouvelé dans la formation de gestionnaires québécois et canadiens de classe mondiale.

Veuillez agréer, Madame, l’expression de nos sentiments les meilleurs

L’équipe MBA Laval – CIEC Jason Charette, Laura Lebovic, Vanessa Leonardi, Geneviève Grenier et Jonathan Turcotte

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ANNEXE 6CONFÉRENCES DU DÉPARTEMENT DE FINANCE, ASSURANCE ET IMMOBILIERRÉSUMÉS D’ARTICLES

 

Séminaires 2011‐2012 : 

– 23 septembre 2011 :  Antony Landry (Federal Reserve Dallas) Titre :  Accounting for Real Exchange Rates using Micro‐Data 

Abstract 

 The  classical  dichotomy  predicts  that  all  of  the  time  series  variance  in  the  aggregate  real exchange  rate  is accounted  for by non‐traded goods  in  the CPI basket because  traded goods obey  the  Law  of  One  Price.  In  stark  contrast,  Engel  (1999)  found  that  traded  goods  had comparable volatility to the aggregate real exchange. Our work reconciles these two views by applying the classical dichotomy at the level of intermediate inputs into the production of final goods  using  highly  disaggregated  retail  price  data.  Since  the  typical  good  found  in  the  CPI basket  is  about  equal  parts  traded  and  non‐traded  inputs,  we  conclude  that  the  classical dichotomy  applied  to  intermediate  inputs  restores  its  conceptual  value:  81  percent  of  the variance in aggregate real exchange rate is accounted for by non‐traded inputs. 

– 14 octobre 2011 :  Michel Normandin (HEC Montréal) Titre :  Equity Premia and State‐Dependent Risks 

Abstract 

For  the  first  time  in  the  literature,  this  paper  extends  the  CCAPM  to  establish  the  empirical relations  between  equity  premia  and  state‐dependent  consumption  and  market  risks.  These relations are derived from a flexible, yet tractable, mixture distribution admitting the existence of two  regimes,  rather  than  the usual normal distribution. Focusing on  the market  return, we  find that  the consumption and market  risks are priced  in each  state, and  the  responses of expected equity premia to these risks are state dependent. Extending to various portfolio returns, we show that  the  responses  to  downside  consumption  risks  are  the most  important,  are  almost  always statistically  larger than the responses to upside consumption risks, and are much  larger for firms having smaller sizes and facing more financial distresses. 

– 18 octobre 2011 :  Brian Lucey (Trinity College, Dublin) Titre :  The Irish Economy: Three Strikes and You’re Out? 

Abstract 

We examine  the three  interlinked  Irish crises  : the competitiveness,  fiscal and banking crises, showing  how  all  three  combined  to  lay  a  lethal  trap  for  Ireland.  Starting  from  a  point  of economic balance, a series of poor government decisions  led to the country once dubbed the “Celtic  tiger”  become  the  second  Eurozone  state  after  Greece  to  seek  a  bailout,  with  the EFSF/IMF intervening in late 2010. 

– 18 novembre 2011 :  Jan Ericsson (Desautels Faculty of Management, McGill University) Titre :  Time‐Varying Asset Volatility and the Credit Spread Puzzle (with Redouane Elkamhi 

and Min Jiang, University of Iowa) 

Abstract 

Structural credit risk models have faced difficulties in matching observed market credit spreads while  simultaneously  matching  default  rates,  recoveries,  leverage  and  risk  premia – a shortcoming  that has become known as  the credit spread puzzle. We ask whether stochastic asset volatility, as an extension to this model class, has the ability to help resolve this puzzle. We  identify  that  although  there  are  three  ways  in  which  uncertainty  about  asset  risk  can 

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influence spreads  (asset risk volatility  itself, dependence between  the  levels of risk and asset value and finally volatility risk premia),  in a calibration setting only the volatility risk premium channel  is economically significant. We show that this feature of a stochastic asset risk model allows it to match historical spreads and equity volatility as well. We also provide estimates of the required variance risk premia. 

– 9 décembre 2011 :  Clarence Simard (HEC Montréal) Titre :  Modélisation de la liquidité et stratégies de couverture 

Abstract 

Lorsqu’il est question d’acheter ou vendre une quantité d’actions qui est non négligeable par rapport  au  volume  habituellement  transigé  sur  les  marchés,  l’hypothèse  d’un  marché compétitif n’est plus respectée. Les transactions ont un impact direct sur les prix, de sorte que pour un  investisseur  suffisamment  important un modèle de marché  compétitif  ne  sera plus approprié. Le problème d’incorporer  l’impact des  transactions sur  les prix a été  relativement peu étudié et  les résultats disponibles, bien qu’ils  jettent des bases  intéressantes, ont besoin d’être  développés  afin  de  bien  représenter  le  phénomène  et  fournir  des  outils  utiles  aux investisseurs. Notre objectif est d’exposer  les principaux résultats concernant  le problème du gros investisseur de même que de mettre en lumière les principales questions qui subsistent. 

– 11 janvier 2012 :  Peter Pontuch (Université Paris‐Dauphine) Titre :  Financing Constraints, Product Market Competition, and Business Cycle Sensitivity 

Abstract 

We analyze  the  interactions between  financing  constraints and product market  competition. Financially  constrained  firms  face  restricted  access  to  external  finance  during  economic downturns, precisely when their internal funds decrease. This leads to vicious circle dynamics. We  argue  that  in  competitive  industries  cash  flows  are  particularly  sensitive  to  aggregate shocks, and the adverse dynamics are amplified. We find significant support for this hypothesis in  firms’  operating  profitability  and  fixed  investment.  The  adverse  effects  of  financing constraints are increasing in the level of product market competition. Market valuations do not take  into  account  these differences  in  fundamental  risk. Unconstrained  firms  in  competitive industries  earn  positive  abnormal  returns  (on  average  24‐40 bp  per  month),  especially following  periods  of  macroeconomic  distress.  Furthermore,  financing  constraints  affect competitive mechanisms within  industries. The  industry‐average  level of financing constraints tends to reduce the  intra‐industry mean‐reversion of firm profitability. Again, this regularity  is not  priced:  highly  profitable  firms  earn  alphas  of  20‐29  bp  per  month  if  they  operate  in industries with many  constrained  firms,  but  virtually  no  alphas  if  their  industries  have  few constrained firms. 

– 13 janvier 2012 :  Benjamin  Holcblat  (Tepper  School  of  Business,  Carnegie‐Mellon University) 

Titre :  Estimating Consumption‐Based Asset Pricing Models : The ESP Approach 

Abstract 

In consumption‐based asset pricing, estimates of the relative risk aversion and the elasticity of intertemporal substitution  from similar data sets and models change considerably. Two main reasons have been found: lack of identification, and the gap between econometric asymptotic results and practice, which  is based on bounded samples. This paper develops an estimation framework  to handle  this  instability. We  call  it  the ESP approach because  it  is based on  the empirical  saddlepoint  approximation  of  the  finite‐sample  distribution  of  the  solutions  to empirical  moment  conditions.  We  establish  consistency,  and  prove  robustness  to  lack  of 

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identification.  The  ESP  approach  combines  strengths  of  the  Bayesian  and  existing  classical approach. Simulations of a standard consumption based asset pricing model show that the ESP approach  performs  similarly  to,  or  clearly  outperforms,  the  best  existing  estimation approaches.  The  ESP  approach  can  be  successfully  used  in  other  areas  that  face  challenges similar to those faced in empirical consumption‐based asset pricing.  

– 20 janvier 2012 : Hugues Langlois (Desautels Faculty of Management, McGill University) Titre :  The  Joint  Dynamics  of  Equity Market  Factors  (with  Peter  Christoffersen,  Rotman 

School of Management, University of Toronto) 

Abstract 

The four equity market factors from Fama and French (1993) and Carhart (1997) are pervasive in  academic empirical  asset pricing  studies  and  in  applied portfolio  allocation. However,  the joint distributional dynamics of the factors are rarely studied. For investors basing strategies on the  factors  or  using  them  to  model  the  returns  of  a  wider  set  of  assets,  proper  risk management  requires  knowing  the  joint  factor  dynamics which we model. We  find  striking evidence of asymmetric tail dependence across the factors. While the linear factor correlations are small and even negative, the extreme correlations are large and positive, so that the linear correlations drastically overstate  the benefits of diversification across  the  factors. We model the nonlinear factor dependence and explore its economic importance in a portfolio allocation experiment which  shows  that  significant economic  value  is earned when  acknowledging  the nonlinear dependence. 

– 24 février 2012 :  Andrew Karolyi (Cornell University) Titre :  The Role of Investability Restrictions on Size, Value, and Momentum in International 

Stock Returns 

Abstract 

Using monthly returns for over 37,000 stocks from 46 developed and emerging market countries over  a  two‐decade  period, we  test whether  empirical  asset  pricing models  capture  the  size, value,  and momentum  patterns  in  international  stock  returns. We  propose  and  test  a multi‐factor model that includes factor‐mimicking portfolios (FMPs) based on firm characteristics and that  builds  separate  FMPs  comprised  of  globally‐accessible  stocks,  which  we  call  “global factors,”  and  only  locally‐accessible  stocks,  which  we  call  “local  factors.”  Our  new  “hybrid” multi‐factor model with both global and local factors not only captures strong common variation in  global  stock  returns,  but  also  achieves  low  pricing  errors  and  rejection  rates  using conventional testing procedures for a variety of regional and global test asset portfolios formed on size, value, and momentum. 

– 2 mars 2012 :  Cedric Okou (HEC Montréal) Titre :  Segregating  Continuous Volatility  from  Jumps  in  Long‐Run Risk‐Return  Trade‐Offs 

(with Éric Jacquier, HEC Montréal et MIT Sloan) 

Abstract 

We  provide  a  multi‐horizon  characterization  of  the  strength  of  the  relationship  between market  realized  variance  components,  namely  continuous  volatility  and  jump,  and  future market excess return. Building on quadratic variation theory, we find that continuous volatility is a key driver of medium/long‐run risk‐return trade‐offs while jumps  lack predictive power to explaining  the  time variation  in medium/long‐term excess  return. We use  inference methods that  are  robust  to  persistent  predictor  in  a multi‐horizon  setup.  Specifically, we  show  that rescaled versions of  the usual  test  statistics  converge  to non‐degenerate distributions  in our 

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local‐to‐unity  framework.  This  study  yields  evidence  supporting  a  proportional  risk‐return linkage when jumps are extracted from the quadratic variation activity. 

– 14 mars 2012 :  Egor Matveyev (University of Rochester) Titre :  How  Do  Firms  and  Directors  Choose  Each  Other?  Evidence  from  a  Two‐sided 

Matching Model of the Director Labor Market 

Abstract 

This  paper  develops  and  estimates  an  equilibrium  model  that  identifies  the  key  factors explaining  the  allocation  of  directors  across  firms.    The  approach  is  based  on  a  two‐sided matching model  that allows an identification  of director and appointing  firm  preferences.   The findings indicate that  directors choices  are driven by  their  desire  to expand  their  social network. Likewise,  firms  choose  directors  that  increase  the  connectedness  of  their  boards  the most.  The model is used  to  estimate  the compensating differentials needed  to attract  directors with more attractive  skill  levels  and  higher  quality  connections.  The  evidence  also  suggests  that  CEO directors have  lower propensity to  expand their  network, and choose  firms with  better  records of  recent performance. The performance  of a CEO’s firm  does  not affect his future prospects  in the labor market for directorships. 

– 16 mars 2012 :  Xinli Wang (Cornell University) Titre :  Foreign Portfolio Investment and Informativeness of Foreign Direct Investment 

Abstract 

This  paper  studies  how  investors  allocate  their  portfolio  equity  investment  internationally.  I develop  a model to  formalize the mechanism  by which  investors  extract the information about foreign target countries from foreign direct  investment (FDI): When  investors make  FDI, due  to their  control  and  monitoring  as  insiders,  they  obtain  the  information  about  the  returns  of overseas  subsidiaries  and  thereby  extract  the  information  about  the  returns  of  portfolio investment.  I  refer  to  the  extent  to  which  FDI  predicts  the  returns  of  foreign  portfolio investment (FPI)  as  the informativeness of FDI.  My model suggests  that  FPI  is more sensitive  to FDI  if  FDI  has  a  higher  degree of  informativeness,  i.e.,  if  FDI  provides more  information  that helps  investors  predict  the  returns  of  FPI  in  the  target  country.  Guided  by  the  theoretical model,  I  construct measures  for  the  informativeness  of  FDI  and  find  that  it  has  a  strong positive effect on the correlation between FPI and FDI, which provides empirical evidence  for the model’s  prediction. Moreover, this  effect  is  robust  to  various control  variables  and to different estimation specifications. 

– 23 mars 2012 :  Fulbert Tchana Tchana (Ministère des Finances du Québec) Titre :  The  Implication  of  VaR  and  Short‐Selling  Restrictions  on  the  Portfolio  Manager 

Performance 

Abstract 

The  ability  of  a  portfolio  manager  to  deliver  higher  returns  with  relatively  low  risk  is  a fundamental  issue  in  finance. We  analyze  here the  performance  of  a portfolio  manager  under two  different  types  of  constraints. For  a manager with private  information, we  compare the effect of  value at  risk  (VaR) and  short‐selling constraints on the relation  between  the expected portfolio  return and the market return. We find that  under a VaR  constraint,  the manager can still achieve  large  positive portfolio  excess‐return  even when market excess‐return  is  negative, what  is not  possible  with  short‐selling constraint.   Furthermore, we  find  that  in more volatile market, the VaR restriction will  have a stronger effect on the manager performance  compared to the short‐selling restriction  effect. The VaR  constraint also  strongly affects a manager with  good 

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quality of  information  while  the  short‐selling restriction  moderately  affects manager with  any level of  information quality.  For the manager attitude  toward the risk, a too aggressive manager will  find  his  overall  performance more  affected by  the  VaR  constraint.    Therefore,  financial institutions  such as  large  investment  banks  and  hedge‐funds  with  a  strong  ability  to  obtain superior  information  may  prefer  to  be  regulated with  a  short‐  selling restriction  rather  than with  a strong VaR restriction. 

– 19 avril 2012 :  Kenneth A. Froot (Harvard Business School) Titre :  Catastrophes and the Agency Limits of Diversification 

Abstract 

This talk will explore the diversification of financial portfolios  into the funding of catastrophic natural perils for a fee. On paper, such diversification  looks attractive.  In practice,  it does not seem  to occur. There are many potential  reasons  for  this  including asymmetric  information, moral hazard, and various cognitive biases. This talk explores explanations that lie in the way in which various agents are organized and the choices they make as a result.   

  

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ANNEXE 7CONFÉRENCE DU LABORATOIRE D’INGÉNIERIE FINANCIÈRE DE L’UNIVERSITÉ LAVAL (LABIFUL)PROGRAMME DE LA CONFÉRENCE ET REMERCIEMENTS

CAMPUS AFFAIRES

CONFÉRENCE ANNUELLELABORATOIRE D'INGÉNIERIE FINANCIÈRE DE L'UNIVERSITÉ LAVAL (LABIFUL)

La gestion du risque dans l’ère de Bâle III

FSA LavalNotre monde est a�aires

9 h 30 Accueil des participants (café et viennoiseries)

10 h Mot de bienvenue

10 h 10 La couverture dynamique des garanties sur les fonds distincts

Christian-Marc Panneton, M. Sc., FSA, FCIA, CFA, CERA Gestionnaire risques financiers/surveillance des risques d'investissement Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc.

11 h Gestion intégrée des modèles du risque de crédit sous Bâle dans un contexte d'instabilité financière

Paul Angoua, ISE, DEA, MBA Directeur principal Stratégie aux entreprises et modélisation des risques Modèles et paramètres de risque réglementaires Banque Nationale Groupe financier

11 h 50 Lunch, salon Hermès (Local 1651)

13 h Estimation du risque économique des placements privés et d’infrastructures Mohamed Kortas, M. Sc., CFA, FRM, CAIA Directeur-conseil, Recherche Caisse de dépôt et placement du Québec

13 h 50 Les normes comptables et la crise de 2008

Francis Mensah, MBA, CFA, CMA Directeur, Comptabilité de trésorerie Finances et contrôle Exportation et développement Canada

14 h 40 Mot de la fin

30 MARS 20129 h 30 à 15 h Local 1317Pavillon Palasis-Prince

www.fsa.ulaval.ca/LABIFUL

RSVP avant le 28 marsIssouf Soumaré418 656-2131, poste [email protected]/labiful

MERCI À NOS PARTENAIRES Fonds Conrad-Leblanc

Département de finance, assurance et immobilier

Chaire RBC en innovations financières

Chaire d'assurance et de services financiers L'Industrielle-Alliance

Chaire Groupe Investors en planification financière

Salles des marchés Carmand-Normand et Jean-Turmel

École de comptabilité

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Québec, le 5 avril 2012

Marie-Claude BeaulieuProfesseure titulaire Titulaire de la Chaire RBC en innovations financières Directrice du département de finance, assurance et immobilier Département de finance, assurance et immobilier Faculté des sciences de l'administration Pavillon Palasis-Prince Université Laval Québec (Québec) G1V 0A6 CANADA

Objet: Remerciement pour la contribution financière de la Chaire RBC en innovations financières à l’organisation de la Conférence du LABIFUL du 30 mars 2012

Chère collègue,

Je viens par la présente lettre remercier la Chaire RBC en innovations financières pour sa contribution financière à l’organisation de la troisième conférence du Laboratoire d’ingénierie financière de l’Université Laval (LABIFUL) durant la journée du 30 mars 2012.

Grace au soutien financier de la Chaire RBC, cette troisième édition d’une série de conférences initiée il y’a 4 ans fut un réel succès avec quatre-vingt (80) participants inscrits provenant de divers milieux de la finance et de l’assurance à Québec et hors de la ville de Québec (AMF, IA, BNC, CDPQ, EDC, MFQ, Télé-Université, MDDEP, Agri-marché, Aguirre inc, SSQ, CSST, RRQ, BIT, Desjardins, Morneau Shepell, U. Laval, etc.).

Merci beaucoup pour cet appui et j’espère que la Chaire RBC soutiendra d’autres activités à venir du LABIFUL.

Issouf Soumaré , Ph.D., PRM, FRM Professeur agrégé de finance Directeur du Laboratoire d'ingénierie financière de l'Université Laval Directeur des programmes de MSc mémoire et de doctorat Département de finance, assurance et immobilier Faculté des sciences de l’administration Université Laval Pavillon Palasis-Prince, Local 3634 2325, rue de la Terrasse Québec (Québec) G1V 0A6 CANADA Tel : 418 656-2131, poste 4298 Fax : 418 656-2624 [email protected]/labiful /

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ANNEXE 8RÉSUMÉS D’ESSAIS DE MAÎTRISE COMPLÉTÉS EN 2011-2012 SOUS LA DIRECTION DU TITULAIRE SUR DES SUJETS EN LIEN AVEC LA MISSION DE LA CHAIRE

Résumé  d’essais  de maîtrise  complétés  en  2011‐2012  sous  la  direction  du  titulaire  sur  des sujets en lien avec la mission de la Chaire  

Étudiant : MAXIME CHEVALIER, M.Sc. en ingénierie financière Titre : Liquidité et arbitrage sur les marchés canadiens 

Résumé : La  crise  financière  actuelle  nous  fait  réfléchir  sur  la  profondeur  de  notre  connaissance  des marchés financiers. Parmi les nombreux facteurs qui les caractérisent, un des plus remarquables en  temps de crise est  la  liquidité. En effet,  la  liquidité peut atteindre un niveau critique voire disparaître  dans  certaines  situations.  Elle  est  donc  d’une  grande  importance  pour  tout professionnel de la finance. Ceci est d’autant plus vrai pour les arbitragistes. Leurs activités sur les marchés  financiers  entraînent  l’élimination des  situations  d’arbitrage.  Ils  sont  en quelque sorte  les gardiens du respect de  la « loi du prix unique »,  laquelle sera  introduite dans  le cadre théorique de ce travail. Enfin, le manque de liquidité est un problème plutôt contraignant dans l’exercice  des  fonctions  d’un  arbitragiste.  En  effet,  le  profit  généré  par  l’arbitragiste  est proportionnel à la taille de sa position. Il est préférable d’exercer l’arbitrage sur un marché très liquide puisqu’il est possible d’y négocier de grandes quantités d’actifs sans problèmes. 

Notre essai s’organise comme suit. D’abord, nous présentons les motivations de l’étude. Après, nous  décrivons  la  problématique.  Ensuite,  une  revue  de  littérature  expose  ce  qui  a  été  fait auparavant  et  situe  le  sujet  dans  un  contexte  global.  Par  la  suite,  nous  proposons  le  cadre théorique pouvant aider à  la compréhension du  travail. Les concepts clés  sur  la base  futures‐comptant et  la  liquidité  y  seront décrits en détail  avant de poursuivre avec  la méthodologie, essentiellement tirée d’un article important portant sur la relation base‐liquidité (Roll, Schwartz et Subrahmanyam, 2007). Nous appliquons  leur méthodologie au cas des marchés canadiens. Nous terminons notre essai avec la présentation et la comparaison de nos résultats avec ceux de Roll et al. (2007).  

Étudiant : XAVIER FILION‐SIMON, MBA finance Titre :  L’impact  de  la  « Foreign  Corrupt  Practices  Act »  sur  les  entreprises  du  secteur  de l’énergie 

Résumé : La Foreign Corrupt Practices Act  (FCPA) a été  introduite afin de  réduire  la  corruption dans  le commerce international.  Le but de notre essai est de déterminer si la FCPA a eu un impact sur les entreprises du secteur de  l’énergie. Notre hypothèse principale est que  la FCPA a un  impact positif sur  le rendement des  actions  des  compagnies  ayant  été  poursuivies.  Pour  mesurer  cet  impact,  nous  avons sélectionné  une  banque  d’entreprise  évoluant  dans  le  secteur  de  l’énergie  et  ayant  été poursuivies par la FCPA. En utilisant la variation du prix de l’action, nous déterminerons quel est l’impact de la FCPA sur les entreprises du secteur de l’énergie. À des fins de comparaisons, nous jumèlerons nos entreprises à des  firmes comparables n’ayant pas été poursuivies par  la FCPA. Notre  hypothèse  principale  est  que  compte  tenu  des  effets  négatifs  de  la  corruption,  la  loi devrait avoir un impact sur les rendements boursiers des compagnies ayant été poursuivies. 

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 Les  résultats  obtenus  nous  montrent  que  le  rendement  des  actions  des  firmes  ayant  été poursuivies par la FCPA n’a pas été affectée par la poursuite.  

Étudiant : SÉBASTIEN PLANTE, M.Sc. en ingénierie financière Titre : Gouvernance, structure de propriété et évaluation 

Résumé : Selon  Shleifer  et  Vishny  (1997),  la  gouvernance  d’entreprise  correspond  à  l’ensemble  des moyens  par  lesquels  les  pourvoyeurs  de  fonds  s’assurent  de  recevoir  un  retour  sur  leurs investissements. En d’autres mots,  il  s’agit de  l’ensemble des mécanismes qui permettent de réduire  les  coûts  d’agence  à  l’intérieur  de  la  firme.  Ces mécanismes  peuvent  être  divisés  en plusieurs catégories.   Une  protection  rigoureuse  du  droit  de  propriété  par  le  système  légal  est  un  exemple  de mécanismes offrant certaines garanties aux investisseurs. Dans un premier temps, la crainte de poursuites  judiciaires décourage  les gestionnaires de s’approprier  indûment  les  fonds qui  leur sont confiés. Si une  telle expropriation a  lieu,  les  investisseurs peuvent par  la suite s’adresser aux  tribunaux  pour  obtenir  réparation.  La  protection  légale  offerte  aux  investisseurs  (ou gouvernance externe) est déterminée par  les  lois protégeant  les  investisseurs,  les  institutions qui  assurent  le  respect  de  ces  lois  ainsi  que  par  la  culture  et  les  normes  présentes  dans l’environnement  de  la  firme  [Aggarwal  et  coll.  (2009)].  Il  est  généralement  admis  que  ces facteurs  sont  propres  à  chaque  pays  [La  Porta  et  coll.  (1998)].  Les  firmes  ont  cependant  la flexibilité nécessaire pour se distancer partiellement des exigences du système légal dans lequel elles opèrent et signaler le degré de protection qu’elles désirent offrir aux investisseurs.   Les mesures  de  réduction  des  coûts  d’agence  dont  l’initiative  vient  de  la  firme  elle‐même portent  le  nom  de  gouvernance  interne.  Ces mécanismes  sont  définis  dans  la  charte  et  les politiques dont la firme se dote. La méthode de rémunération des dirigeants, la composition et l’indépendance du conseil d’administration, l’audit interne ainsi que les politiques sur la prise de contrôle sont tous des éléments de la gouvernance interne [La Porta et coll. (1998)].  La  Porta  et  coll.  (2009) montrent  que  la  gouvernance  interne  tend  en moyenne  à  être  plus élevée  dans  les  pays  qui  offrent  préalablement  une  protection  élevée  aux  investisseurs.  Il semble donc exister une  synergie entre  la gouvernance  interne et  la gouvernance externe. La crédibilité des mesures de gouvernance interne repose sur un système légal efficace. Lorsque ce dernier  est  déficient,  les  mesures  de  gouvernance  externe  et  de  gouvernance  interne  ne peuvent  protéger  de  façon  adéquate  les  investisseurs.  Les  petits  investisseurs  sont particulièrement affectés par une faible protection du droit de propriété.  En  effet,  ceux‐ci  n’ont  ni  les  recours  ni  les  incitatifs  nécessaires  pour  assurer  eux‐mêmes  la protection de leurs capitaux. À l’opposé, un actionnaire qui détient une fraction importante des flux monétaires d’une  firme  sera  incité à  surveiller de près  les  fonds  investis puisqu’une part significative de sa richesse s’y trouve. Par son droit de vote, ce type d’actionnaire a également le pouvoir de faire respecter ses  intérêts [Shleifer et Vishny (1997)]. Lorsque  le système  légal est déficient, la concentration de la propriété dans les mains d’investisseurs influents apparaît donc comme une alternative à la gouvernance interne et externe. 

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 Toujours selon la définition de Shleifer et Vishny (1997), la gouvernance d’entreprise cherche à réduire  les conflits d’agence entre  les différents partis prenants de  la  firme. Dans  le cas d’une firme financée uniquement par fonds propres, les principaux intervenants susceptibles d’entrer en  conflit  sont  les  gestionnaires,  l’actionnaire  majoritaire  et  les  actionnaires  minoritaires. Cependant,  la  littérature  empirique  montre  que  75 %  des  firmes  possèdent  un  actionnaire majoritaire et que dans 80 % des cas, ce dernier est activement  impliqué dans  la gestion de  la firme  [La  Porta,  Lopez‐De‐Silanes  et  Shleifer  (1999)].  Dans  cette  situation,  les  problèmes d’agence  de  la  firme  peuvent  être  assimilés  aux  conflits  d’intérêts  entre  cet  actionnaire‐gestionnaire  (que  l’on nommera entrepreneur) et  les actionnaires minoritaires. C’est  l’optique qui  sera  adoptée  dans  cette  étude.  On  entend  donc  ici  par  gouvernance  d’entreprise  les mécanismes  par  lesquels  les  actionnaires minoritaires  limitent  le  pouvoir  d’expropriation  de l’entrepreneur. Ce point de vue est également adopté par plusieurs auteurs  [Aggarwal et coll. (2009),  La  Porta  et  coll.  (2002),  Doidge  et  coll.  (2007)].  Sciemment,  le  cas  où  il  n’y  a  pas d’actionnaire majoritaire et le cas où l’actionnaire majoritaire n’est pas impliqué dans la gestion ne sont pas couverts dans notre analyse.  Considérons maintenant  les conséquences d’une bonne gouvernance selon  le point de vue des investisseurs  minoritaires.  La  Porta  et  coll.  (2002)  argumentent  qu’en  présence  d’une gouvernance de qualité,  les petits  investisseurs accorderont une valeur plus élevée aux actifs financiers émis par  la  firme. Cette prime est  liée au  fait que  la minorité anticipe qu’une plus grande part des profits  lui sera  retournée plutôt qu’expropriée par  l’entrepreneur. Ainsi, pour l’entrepreneur,  une meilleure  gouvernance  implique  que  l’extraction  de  bénéfices  privés  est plus  difficile, mais  également  que  la  valeur  marchande  de  ses  parts  augmente.  Ce  dernier choisira donc le niveau de gouvernance interne correspondant au compromis le plus avantageux pour lui. C’est l’intuition qui guidera le développement de notre modèle théorique à la section 2.  Parmi les autres études qui cherchent à donner un fondement théorique aux déterminants de la gouvernance et à  leur  impact sur  la valeur de  la firme, celle de La Porta et coll. (2002) sera  ici particulièrement  importante.  Ces  auteurs  considèrent  le  problème  d’une  entreprise  dont  les avoirs  sont  investis dans un projet donné. Un  entrepreneur  est  supposé  avoir  le  contrôle de cette entreprise indépendamment de la fraction des flux monétaires auquel il a droit. La fraction des  flux  monétaires  possédée  par  l’entrepreneur  est  exogène  au  modèle,  c’est‐à‐dire  que l’entrepreneur n’a pas l’opportunité de vendre ou de racheter les parts de l’entreprise.  La  position  de  contrôle  dans  laquelle  l’entrepreneur  se  trouve  lui  permet  d’extraire  des bénéfices  privés  des  actifs  de  la  firme.  Selon  La  Porta  et  coll.  (2002),  ces  bénéfices  peuvent prendre la forme d’un salaire excessif, de cessions internes, de prêts personnels bonifiés ou plus directement du vol d’actifs. Les mécanismes qui permettent l’expropriation de la minorité sont cependant coûteux à mettre en place. Les coûts augmentent  lorsque  la protection  légale de  la minorité est  forte et  lorsque  l’entrepreneur possède une  fraction élevée du droit  sur  les  flux monétaires puisque dans ce dernier cas, il finance lui‐même une part importante des bénéfices privés extraits de  la  firme.  L’entrepreneur détermine en  fonction de  ces  coûts  la  fraction des actifs à exproprier dans l’objectif de maximiser sa richesse. Plus cette fraction est faible, plus la valeur marchande  de  la  firme  est  élevée.  Notons  que  la  gouvernance  interne  n’est  pas  un élément de ce modèle.   

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Les principales propositions provenant de la solution du modèle de La Porta et coll. (2002) sont : Une  bonne  protection  légale  entraîne  une  valeur  marchande  de  la  firme  plus  élevée.  Une fraction  importante  des  droits  sur  les  flux monétaires  détenus  par  l’actionnaire  de  contrôle entraîne une valeur marchande plus élevée. L’impact positif de la concentration de la propriété sur la valeur marchande diminue lorsque la protection légale est meilleure.   Du point de vue théorique, notre modèle est similaire à celui de La Porta et coll. (2002) mais se distingue  sur deux points. Premièrement, on  inclut parmi  les mécanismes de protection de  la minorité  la  gouvernance  interne.  Puisque  plusieurs  études  ont montré  que  celle‐ci  avait  un impact  positif  sur  la  performance  de  la  firme  [Beaulieu  et  Bédard  (2009),  Aggarwal  et  coll. (2009), Bruno et Claessens (2010)], l’inclusion de ce facteur est pertinente. Notre modélisation, similaire à celle effectuée par Doidge et coll. (2007), permet à l’actionnaire majoritaire d’ajuster la protection de la minorité au‐delà du niveau préétabli par la gouvernance externe.   Deuxièmement,  plutôt  que  de  considérer  comme  exogènes  les  parts  détenues  par l’entrepreneur,  on  permet  à  celui‐ci  de  choisir  la  fraction  des  parts  qu’il  désire  vendre  au marché.  Selon  notre  modèle,  c’est  l’attrait  de  la  diversification  en  lui‐même  qui  pousse l’entrepreneur à faire appel aux marchés financiers, ce qui en contrepartie donne naissance aux conflits  d’agence  entre  l’entrepreneur  et  la minorité.  Le  choix  optimal  des  parts  à  conserver dépend donc des bénéfices en termes de diversification et des coûts en termes de gouvernance associés  à  la  vente des parts. En  ce  sens, notre modèle  tranche  avec  la  littérature  théorique existante. En effet,  les modèles  théoriques sont généralement construits autour de  l’idée que c’est  le besoin de  financement  externe qui pousse  les  entreprises  à  faire  appel  aux marchés financiers [Shleifer et Wolfenson (2002), Doidge et coll. (2007)]. L’objectif de cette étude n’est pas de déterminer laquelle de ces approches est la plus appropriée et par ailleurs, rien n’indique que celles‐ci soient mutuellement exclusives. Il s’agit simplement de développer un modèle dans lequel  la gouvernance demeure pertinente même pour  les  firmes en mesure de  financer  leur propre  croissance.  La  solution  de  notre modèle  théorique  permettra  de  formuler  différentes propositions qui sont testées empiriquement dans la section 4.  Plusieurs études empiriques se sont déjà intéressées à l’impact de la gouvernance sur la valeur de  la  firme.  Les  résultats de  ces  études montent qu’une bonne  gouvernance  interne  ou une bonne gouvernance externe  sont associées à une valeur marchande plus élevée  [Aggarwal et coll.  (2009),  Klapper  et  Love  (2004),  La  Porta  et  coll.  (2002)].  Certaines  études  se  sont intéressées à l’interaction entre ces deux mécanismes de gouvernance et montrent que l’impact d’une  bonne  gouvernance  interne  est  plus  fort  lorsque  la  protection  légale  est  plus  faible [Beaulieu, Bédard (2009)]. Bruno et Claessens (2010) montrent que dans tout régime légal, une hausse de la gouvernance interne entraîne une hausse de la valeur des firmes. Cependant, cette hausse  de  la  valeur marchande  est  particulièrement marquée  lorsque  le  régime  légal  dans lequel opère la firme offre une faible protection à la minorité.  D’autres auteurs ont étudié  l’impact de  la structure de propriété sur  la valeur de  la  firme. Les résultats obtenus sont plus nuancés. Morck et coll. (1988) constatent une relation positive entre le Tobin’s Q et  les parts détenues par  les  initiés  lorsque ceux‐ci en possèdent moins de 5 %. La relation s’inverse pour des niveaux de concentration supérieurs. McConnell et Servaes  (1990), montrent  quant  à  eux  une  relation  positive  et  significative  entre  le  Tobin’s  Q  et  les  parts détenues par  les actionnaires externes de grande taille. La Porta et coll. (2002) présentent des résultats similaires à ceux de McConnell et Servaes (1990) et estiment l’impact sur le Tobin’s Q 

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de l’interaction entre la protection légale et les parts détenues par les actionnaires externes de taille.  Le  coefficient  estimé  du  terme  d’interaction  est  négatif  (mais  pas  statistiquement significatif)  ce  qui  laisse  supposer  que  la  concentration  de  la  propriété  dans  les mains  des actionnaires externes est un mécanisme de gouvernance plus pertinent  lorsque  la protection légale est faible. Demsetz et Lehn (1985) étudient l’effet de la propriété par les gestionnaires sur la profitabilité des firmes américaines et ne trouvent aucune relation entre ces deux éléments. Claessens et coll. (2002) ainsi que Mork et coll. (1988) distingue l’impact négatif du contrôle de l’impact  positif  de  la  propriété.  Ces  deux  études  montrent  que  la  valeur  de  la  firme  est positivement  affectée  par  l’incitatif  financier  associé  à  un  degré  de  propriété  élevé,  mais négativement affectée par l’effet d’enracinement associé à un degré de contrôle plus élevé.   Cependant, l’interaction entre la gouvernance interne et la concentration de la propriété n’a été documentée dans aucune de ces études. Une des propositions de notre modèle théorique est qu’il  devrait  exister  une  relation  de  substitution  entre  ces  deux  mesures  de  gouvernance. L’analyse empirique effectuée supporte cette hypothèse.    

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