rapport d’activitÉs - université laval · 12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012 13...
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RAPPORT D’ACTIVITÉS2011-2012
INTRODUCTION
4 Message du titulaire de la Chaire RBC en innovations financières 5 Comité directeur de la Chaire RBC en innovations financières
CONTRIBUTIONS À LA FORMATION
6 Bourses d’admission de la Chaire RBC 6 Cérémonie de remise des bourses 2011-2012 7 Attribution des bourses d’admission en 2012-2013
8 Rentrée du Département de finance, assurance et immobilier (septembre 2011)
8 Concours international d’étude de cas MBA John-Molson
CONTRIBUTIONS À LA RECHERCHE
9 Conférences du Département de finance, assurance et immobilier Automne 2011 Hiver 2012
10 Conférence du LABIFUL
10 Communications et publications du titulaire de la Chaire Conférences arbitrées Publications Documents de travail Subventions de recherche Encadrement d’étudiants de maîtrise et de doctorat
SITUATION FINANCIÈRE
12 État des revenus et dépenses au 30 avril 2012
13 Situation financière - Projet FO061013
ANNEXE 1 Cérémonie de remise des bourses de la Faculté des sciences de l’administration - Programme
ANNEXE 2 Concours international d’étude de cas MBA John-Molson – Dossier de commandite
ANNEXE 3 Concours international d’étude de cas MBA John-Molson – Publications diverses
ANNEXE 4 Concours international d’étude de cas MBA John-Molson – Publicité
ANNEXE 5 Concours international d’étude de cas MBA John-Molson – Remerciements
ANNEXE 6 Conférences du Département de finance, assurance et immobilier – Résumés d’articles
ANNEXE 7 Conférence du Laboratoire d’ingénierie financière de l’Université Laval (LABIFUL) Programme de la conférence et remerciements
ANNEXE 8 Résumés d’essais et de maîtrise complétés en 2011-2012 sous la direction du titulaire sur des sujets en lien avec la mission de la Chaire
TABLE DES MATIÈRES
LISTE DES ANNEXES
MESSAGE DU TITULAIRE DE LA CHAIRE RBC EN INNOVATIONS FINANCIÈRES
Madame,Monsieur,
Il me fait plaisir de vous présenter le rapport d’activités 2011-2012 de la Chaire RBC en innovations financières.
Cette année, la Chaire a accordé son support à la forma-tion d’étudiants de haut niveau en finance. En effet, une bourse d’admission a été décernée. La Chaire a aussi participé à la recherche et au rayonnement en support, comme à chaque année, à la visite de conférenciers de prestige au Département de finance, assurance et immobi-lier et plus particulièrement celui du Cocktail de la rentrée en septembre 2011.
Enfin, la Chaire RBC a réitéré son engagement envers la journée du LABIFUL et l’équipe FSA du Concours inter-national d’étude de cas MBA – John-Molson. À noter que cette année, l’équipe de la FSA a terminé au premier rang de ce concours de classe mondiale.
Année après année, les réalisations de la Chaire RBC en innovations financières en font un joueur d’envergure au sein de la Faculté et je remercie les membres du comité directeur pour leur support aux activités de la Chaire.
Marie-Claude Beaulieu, Ph. D.Titulaire de la Chaire RBC en innovations financières
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COMITÉ DIRECTEUR DE LA CHAIRE RBC EN INNOVATIONS FINANCIÈRES 2011-2012
Marie-Claude BEAULIEU
Fayez BOCTOR
Claude CHOQUETTE
Stéphane CHRÉTIEN
Gaston ROY
• Titulaire de la Chaire RBC en innovations financières• Professeur titulaire• Directeur de département• Département de finance, assurance et immobilier• Faculté des sciences de l’administration
• Vice-doyen à la recherche et aux affaires académiques• Faculté des sciences de l’administration
• Président• HDG inc.
• Professeur agrégé• Département de finance, assurance et immobilier• Faculté des sciences de l’administration
• Vice-président• Services financiers commerciaux, Québec• Banque Royale du Canada
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CONTRIBUTIONS À LA FORMATION
Bourses d’admission de la Chaire RBC
L’objectif premier de ces bourses est d’inciter les meilleurs étudiants à entreprendre des études de deuxième ou de troisième cycle en sciences de l’administration, concentration finance, à l’Université Laval.
CONCENTRATIONS• MBA finance• M. Sc. en ingénierie financière• M. Sc. en finance• Doctorat en sciences de l’administration, concentration finance
CRITÈRE DE SÉLECTIONAvoir obtenu d’excellents résultats scolaires dans leprogramme d’études de premier ou de deuxième cycle.
Boursière choisie en 2011-2012
DE GAUCHE À DROITE : M. Robert W. ManthaDoyen de la Faculté des sciences de l’administration
Mme Claude CôtéLauréate de la bourse d’admission Chaire RBC en innovations financières
M. Martin GagnonDirecteur principal de comptes, Banque Royale - Centre d’affaires Québec.
Cérémonie de remise des bourses d’admission pour l’année 2011-2012
CONDITIONS D’ADMISSIBILITÉDétenir la citoyenneté canadienne ou le statut de résidente ou de résident permanent depuis au moins deux ans au moment de la demande d’admission à l’Université Laval.
Présenter une demande d’admission à la maîtrise (MBA Laval ou M.Sc.) ou au doctorat en sciences de l’administration, concentration finance, avant le 1er février 2012 et y être admis comme étudiante ou étudiant.
S’inscrire à un minimum de 9 crédits aux sessions d’automne 2012 et d’hiver 2013 dans un programme de 2e cycle en finance ou à un minimum de 12 crédits dans un programme de 3e cycle en finance.
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Vous trouverez à l’annexe 1 le programme de la cérémonie de remise des bourses de la FSA.
Attribution des bourses d’admission en 2012-2013
Les membres du comité directeur ont considéré les dossiers de neuf candidats pour les deux bourses de la Chaire RBC en innovations financières. Les candidats provenaient de différents programmes de baccalauréat de l’Université Laval (administration des affaires, actuariat) ainsi que de programmes québécois, canadiens et internationaux.
Lors de la réunion du 28 mars 2012, tous les dossiers de candidature ont été analysés et deux candidatures ont été retenues pour la sélection finale.
Les deux candidatures retenues sont celles des étudiants offrant les meilleurs dossiers.
Madame Jennifer Magher
• Bourse refusée par la candidate
Monsieur Jean-Philippe L. Tremblay
Bourse accordée de 5 000 $
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CONCOURS INTERNATIONAL D’ÉTUDE DE CAS MBA JOHN-MOLSON
Le concours international d’étude de cas MBA John Molson a pour objectif d’attirer et de mettre au défi les meilleurs étudiants au MBA, en leur présentant des cas réels d’entreprises qui nécessitent l’intégration et la mise en pratique des connaissances acquises au MBA en plus d’encourager et de favoriser l’établissement de liens sociaux et professionnels entre les milieux universitaires et professionnels.
Le concours international d’étude de cas MBA John Molson est considéré comme la plus prestigieuse compétition d’étude de cas de calibre international. Chaque année, une trentaine d’universités du Canada, des États-Unis, de l’Angleterre, de la Finlande, de la Nouvelle-Zélande, de la Suède, du Pérou et de plusieurs autres pays viennent y concourir afin de remporter la prestigieuse coupe Concordia, symbole d’excellence universitaire au niveau MBA, et ainsi obtenir le prestigieux titre de « meilleure université dans l’analyse de cas touchant la gestion des entreprises ».
En janvier 2012, l’équipe de la FSA à l’Université Laval a remporté le Concours international d’étude de cas MBA John-Molson devançant ainsi 35 formations provenant de quelques-unes des meilleures écoles de gestion d’une douzaine de pays. Par sa contribution, la Chaire RBC en innovations financières récolte une visibilité importante puisque les commanditaires de l’évènement ont été remerciés, entre autres, dans le journal le Soleil du 4 janvier 2012. Fait important à souligner également, Jason Charette, membre de la délégation, était le boursier de la Chaire RBC en 2010-2011.
Vous trouverez à l’annexe 2, 3, 4 et 5 le dossier de commandite, les annonces publiées dans différents journaux, la publicité ainsi qu’une lettre de remerciements de l’équipe MBA Laval.
RENTRÉE DU DÉPARTEMENT DE FINANCE, ASSURANCE ET IMMOBILIER (SEPTEMBRE 2011)
La Chaire RBC en innovations financières a organisé, de concert avec le Département de finance, assurance et immobilier, la conférence et le cocktail de la rentrée qui ont eu lieu le 28 septembre 2011 à 14 h au Pavillon Palasis- Prince de l’Université Laval. Monsieur Jacques Daoust, président et chef de la direction chez Investissement Québec, également Prix Hermès de carrière 2007-2008, était invité à s’adresser aux étudiants des programmes de finance, assurance et immobilier, ainsi qu’aux professeurs du Département.
Cette activité, en présence de la direction facultaire et des membres du comité de direction, a attiré près de 150 personnes.
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CONTRIBUTIONSÀ LA RECHERCHE
Conférences du Département de finance, assurance et immobilier
Fidèle à ses habitudes, la Chaire RBC en innovations financières a contribué encore cette année à la tenue des conférences dans le cadre des séminaires du Département de finance, assurance et immobilier. Sa participation a pris la forme de remboursements de dépenses associées à la venue des conférenciers. Vous trouverez à l’annexe 6 les résumés d’articles de ces conférences.
AUTOMNE 2011M. Antony Landry (Federal Reserve Dallas – 23 septembre 2011)Accounting for Real Exchange Rates using Micro-Data
M. Michel Normandin (HEC Montréal – 14 octobre 2011)Equity Premia and State-Dependent Risks
M. Brian Lucey (Trinity College, Dublin – 18 octobre 2011)The Irish Economy: Three Strikes and You’re Out?
M. Jan Ericsson (Université McGill – 18 novembre 2011)Time-varying asset volatility and the credit spread
M. Clarence Simard (HEC Montréal – 9 décembre 2011)Modélisation de la liquidité et stratégies de couverture
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HIVER 2012M. Peter Pontuch (Paris Dauphine – 11 janvier 2012)Financing Constraints, Product Market Competition, and Business Cycle Sensitivity
M. Benjamin Holcblat (Carnegie-Mellon – 13 janvier 2012)Estimating Consumption-Based Asset Pricing Models. The ESP Approach
M. Hugues Langlois (McGill – 20 janvier 2012) The Joint Dynamics of Equity Market Factors
M. Andrew Karolyi (Cornell University – 24 février 2012)The Role of Investability Restrictions on Size, Value, and Momentum in International Stock Returns
Cedric Okou (HEC Montréal – 2 mars 2012)Segregating Continuous Volatility from Jumps in Long-Run Risk-Return Trade-Offs
Egor Matveyev (University of Rochester – 14 mars 2012)How Do Firms and Directors Choose Each Other? Evidence from a Two-sided Matching Model of the Director Labor Market
Xinli Wang (Cornell University – 16 mars 2012)Foreign Portfolio Investment and Informativeness of Foreign Direct Investment
Fulbert Tchana Tchana (Ministère des Finances du Québec – 23 mars 2012)The Implication of VaR and Short-Selling Restrictions on the Portfolio Manager Performance
Kenneth A. Froot (Harvard Business School – 19 avril 2012)Catastrophes and the Agency Limits of Diversification
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Communications et publications du titulaire de la Chaire
CONFÉRENCES ARBITRÉES2011 Conditioning Information and Asset Pricing
Anomalies in Multivariate Tests of Financial Integration (avec M-H Gagnon et L. Khalaf) présenté à INFINITI 2009 Conference in International Finance, Dublin, Irlande, juin 2011, article présenté par Marie-Hélène Gagnon.
PUBLICATIONS DU TITULAIRE DE LA CHAIRE RBC EN INNOVATIONS FINANCIÈRES2012 M.-C. Beaulieu, J.-M. Dufour et L. Khalaf.
« Identification-Robust Estimation and Testing of the Zero Beta CAPM ». Review of Economics Studies, à paraître.
2010 M.-C. Beaulieu, J.-M. Dufour, et L. Khalaf. « Asset-Pricing Anomalies and Spanning: Multivariate and Multifactor Tests with Heavy-Tailed Distributions ». Journal of Empirical Finance 17, 4, 763-782.
2010 J.-M. Dufour, L. Khalaf et M.-C. Beaulieu. « Multivariate Residual-Based Finite-Sample Tests for Serial Dependence and ARCH Effects with Applications to Asset Pricing Models ». Journal of Applied Econometrics 25, 2, 263-285.
DOCUMENTS DE TRAVAIL2012 W. R. Sodjahin et M.-C. Beaulieu. « The Impact of
Firm-Specific Information during the Registration Period on IPO Pricing ». Applied Financial Economics, en révision.
2012 J.-M. Dufour, L. Khalaf et M.-C. Beaulieu. «–Exact confidence set estimation and goodness-of-fit test methods for asymmetric heavy tailed stable distributions ». Journal of Econometrics, en révision.
2012 M.-C. Beaulieu et H. Mrissa Bouden. « Firm specific risk and IPO market cycles ».
Conférence du LABIFUL
Le 30 mars dernier avait lieu la quatrième édition de la Conférence du LABIFUL, sur le thème La gestion du risque dans l’ère de Bâle III, organisé par le Laboratoire d’ingénierie financière de l’Université Laval (LABIFUL) codirigé par les professeurs Van Son Lai et Issouf Soumaré du Département de finance, assurance et immobilier de la FSA.
L’événement a accueilli plus d’une soixantaine de participants provenant de divers milieux de la finance au Québec (AMF, BNC, Desjardins, MFQ, IA, La Capitale, etc.) venus entendre, avec les étudiants de l’Université Laval, des conférenciers diplômés du programme de maîtrise en ingénierie financière de la FSA qui aujourd’hui occupent des postes stratégiques et de direction à l’Industrielle- Alliance, la Banque Nationale Groupe financier, La caisse de dépôt et placement du Québec et Exportation et développement Canada. Cette activité a attiré près d’une centaine de participants.
Le programme de la conférence ainsi qu’une lettre de remerciements du professeur Issouf Soumaré sont présentés à l’annexe 7.
11
SUBVENTIONS DE RECHERCHE
2011-2014 Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH), Subvention ordinaire de recherche (avec J.-M. Dufour et L. Khalaf).
Invariance, Identification and Irregular Econometric Problems: Robust Tools for Multivariate Models and Asset Pricing Analysis
96 000 $
2010-2013 Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH), Subvention ordinaire de recherche (avec J.-M. Dufour et L. Khalaf).
Information Flow between Canada and the United States
67 500 $
2008-2011 Conseil de recherche en sciences humaines du Canada (CRSH), Subvention ordinaire de recherche (avec J.-M. Dufour et L. Khalaf).
Identification Robust Inference in Multivariate Reduced Rank Regression and Factor Models
72 000 $
ENCADREMENT D’ÉTUDIANTS DE MAÎTRISE ET DE DOCTORAT
DEUXIÈME CYCLE
MBA spécialisé en finance• XavierFilion-Simon,diplôme2012• SimonCarrier• Marie-LinHamel• NoémiDuguay
M.Sc. en ingénierie financière• AbdelkarimLechiheb• RodolpheDirverg• MaximeChevalier,diplôme2011• SébastienPlante,diplôme2012• AlbertNanaSandjo
TROISIÈME CYCLE
• HabibaMrissaBouden• Jean-HubertSmith-Lacroix
La liste des étudiants ayant terminé leur essai durant l’année 2011-2012 est présentée à l’annexe 8 avec le résumé de leur essai.
ANNEXES
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ANNEXE 1CÉRÉMONIE DE REMISE DES BOURSES DE LA FACULTÉ DES SCIENCES DE L’ADMINISTRATIONPROGRAMME
BOURSES DE LA FSA
Service des communications et des relations avec le milieuFaculté des sciences de l’administration (FSA)Pavillon Palasis-Prince, local 1318-C2325, rue de la TerrasseUniversité LavalQuébec QC G1V 0A6CANADA
Téléphone : 418 656-3319Télécopieur : 418 [email protected]
www.fsa.ulaval.ca/BOURSES
La Direction de la FSA et ses professeurs félicitent les lauréatsqui se sont démarqués par l’excellence de leur dossier.
Ils sont également reconnaissants envers les généreuxinvestisseurs qui contribuent financièrement au programmedes bourses, soutenant ainsi la formation d’une relèvede qualité en gestion et la valorisation de l’excellence.
PROGRAMME1. Mot de bienvenue et allocution de M. Robert W. Mantha,
doyen de la Faculté des sciences de l’administration
2. Présentation des investisseurs et des lauréats des bourses d’admission et d’études au premier cycle par M. André Gascon, vice-doyen à la formation et aux affaires étudiantes et secrétaire de la Faculté
BOURSES D’ADMISSION
Bourses d’excellence à l’admission 4 bourses de montants variables
Bourse de recrutement pour étudiants hors Québec 1 bourse de 2 000 $
Fonds Famille-Jean-Brassard 1 bourse de 2 000 $
Fonds Frances-Drouin-et-Raymond-Normandeau 4 bourses de 2 000 $
Procter & Gamble 7 ordinateurs portables
BOURSES D’ÉTUDES
Bourse Couture-et-Huard – Fonds des Générations émergentes
1 bourse de 2 000 $ 2 bourses de 1 500 $
Bourse de la FSA : engagement social, implication sportive et artistique 1 bourse de 2 000 $
Bourse de la relève Rio Tinto Alcan 1 bourse de 3 000 $ Associéeàunstagerémunéré
Ernst & Young et ses employés 2 bourses de 2 000 $
EXFO 1 bourse de 1 000 $
Fonds Deloitte 1 bourse de 1 000 $
Fonds Famille-Jean-Brassard 1 bourse de 2 000 $
Fonds Frances-Drouin-et-Raymond-Normandeau 4 bourses de 2 000 $
Institut de la gestion financière – section Québec (IGF-Québec) 1 bourse de 1 000 $
Promotion Commerce 1960 1 bourse de 2 000 $
Promotion Commerce 1979 1 bourse de 2 500 $
3. Témoignage de Guillaume Larose, lauréat de la bourse d’études Promotion Commerce 1979
4. Présentation des investisseurs et des lauréats des bourses d’admission et d’études au deuxième cycle par Mme Élise Cormier, directrice des programmes de MBA et de M. Sc. professionnelle
BOURSES D’ADMISSION
Banque Scotia 1 bourse de 2 750 $
Chaire RBC en innovations financières 1 bourse de 5 000 $
CPU 1 bourse de 2 000 $
Fonds Carmand-Normand 3 bourses de 5 000 $
Fonds Frances-Drouin-et-Raymond-Normandeau 1 bourse de 2 000 $
Fonds Jacques-de-Billy 2 bourses de 2 500 $
Fonds Simone-et-Marcel-Bélanger 2 bourses de 2 500 $
Fonds Téléglobe 1 bourse de 5 000 $
BOURSES D’ÉTUDES
Bourse de l’APMAL 1 bourse de 1 000 $
Caisse de dépôt et placement du Québec 1 bourse de 2 000 $
Fondation Rodolphe-Clément 1 bourse de 1 000 $
Fonds Conrad-Leblanc 1 bourse de 2 000 $
Fonds Thomas-J.-Moore-Jr 1 bourse de 2 000 $
Investissement Québec 2 bourses de 2 500 $
Promotion 1955 1 bourse de 1 000 $
5. Présentation des investisseurs et des lauréats des bourses d’admission et d’études au troisième cycle par M. Fayez Boctor, vice-doyen à la recherche et aux affaires académiques
Bourse de recrutement Banque Nationale 1 bourse de 10 000 $
Chaire Stephen-A.-Jarislowsky en gestion des affaires internationales 1 bourse de 1 000 $
Fonds Famille Jean-Marie-Poitras 1 bourse de 4 000 $
6. Témoignage de Martin P. Gagnon (ADM 99), président Fondation Jean-Marie Poitras
7. Présentation des investisseurs et des lauréats des bourses de mobilité des premier et deuxième cycles par M. Patrick Hurley, directeur du Centre des activités internationales
PREMIER ET DEUXIÈME CYCLES
Bourse Pierre Dugua de Mons 1 bourse de 1 600 $
Fondation des femmes diplômées des universités – section Québec 1 bourse de 2 000 $
Fonds Danielle-et-Claude-Garcia 2 bourses de 1 000 $
Fonds Famille-Jean-Brassard 2 bourses de 2 500 $
Fonds Frances-Drouin-et-Raymond-Normandeau 2 bourses de 2 000 $
Fonds Pierre-Côté 2 bourses de 2 000 $
Fonds Raymond-Garneau 2 bourses de 2 000 $
Missions commerciales de l’Université Laval 4 bourses de 1 000 $
8. Réception à l’Atrium du pavillon Palasis-Prince
BOURSES DE LA FSA
Service des communications et des relations avec le milieuFaculté des sciences de l’administration (FSA)Pavillon Palasis-Prince, local 1318-C2325, rue de la TerrasseUniversité LavalQuébec QC G1V 0A6CANADA
Téléphone : 418 656-3319Télécopieur : 418 [email protected]
www.fsa.ulaval.ca/BOURSES
La Direction de la FSA et ses professeurs félicitent les lauréatsqui se sont démarqués par l’excellence de leur dossier.
Ils sont également reconnaissants envers les généreuxinvestisseurs qui contribuent financièrement au programmedes bourses, soutenant ainsi la formation d’une relèvede qualité en gestion et la valorisation de l’excellence.
ANNEXE 2CONCOURS INTERNATIONAL ÉTUDE DE CAS MBA JOHN-MOLSONDOSSIER DE COMMANDITE
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ANNEXE 3CONCOURS INTERNATIONAL ÉTUDE DE CAS MBA JOHN-MOLSONPUBLICATIONS DIVERSES
La délégation de la Faculté des sciences de l’administration. À l’avant: Jason Charette, Geneviève Grenier et Vanessa Leonardi À l’arrière: Claudine Contreras (entraîneure), Yan Cimon (entraîneur) et Jonathan Turcotte.
Laval remporte le Concours international d'étude de cas MBA John-Molson
L'équipe de la FSA a devancé les 35 autres formations participantes
Une délégation de la Faculté des sciences de l’administration a remporté le 31e Concours international d’étude de cas MBA John-Molson, qui s’est terminé à Montréal le 8 janvier. L’équipe de l’Université Laval a devancé 35 formations provenant de quelques-unes des meilleures écoles de gestion d’une douzaine de pays au terme de cette compétition qui figure parmi les plus prestigieuses dans le domaine. Le Concours international d’étude de cas MBA John-Molson se déroule sous forme de tournoi à la ronde. Les participants, en équipes de quatre étudiants, y examinent cinq cas de gestion. À l’aide des compétences et des connaissances acquises au cours de leur programme de MBA, ils doivent démontrer leur habileté à résoudre des problèmes de gestion et proposer des solutions réalistes. Ils sont évalués par un jury composé de dirigeants du milieu des affaires en fonction de l’originalité et de la faisabilité de leurs propositions. À la suite du tournoi à la ronde, neuf équipes sont retenues pour participer à la ronde demi-finale, au terme de laquelle les trois meilleures équipes s’affrontent en grande finale. La délégation de Laval était composée des étudiants Jason Charette, Geneviève Grenier, Vanessa Leonardi et Jonathan Turcotte. Ils étaient sous la supervision du professeur Yan Cimon et de la chargée d’enseignement Claudine Contreras, tous deux de la Faculté des sciences de l’administration.
leSoleil mercredi 4 janvier 201224 Affaires
La Presse Canadienne
OTTAWA — Les Canadiens lesplus fortunés continuent decreuser l’écart avec les autres,et ils ont maintenant un revenuannuel 189 fois plus élevé quele salaire moyen au pays, selonune nouvelle étude.
Les 100 chefs d’entreprise lesmieux rémunérés, parmi ceuxdont les sociétés sont inscrites àla Bourse de Toronto, ont gagné enmoyenne 8,38 millions $ en 2010,selon les données compilées parle Centre canadien de politiquesalternatives (CCPA), groupe deréflexion penchant à gauche.
Cette somme est 189 fois supé-rieure à celle de 44 366 $ quele travailleur canadien moyena gagnée en 2010, a indiqué leCCPA dans son rapport, rendupublic hier. Il s’agit égalementd’une augmentation de 27 %par rapport à la rémunéra-tion moyenne de 6,6 millions $que les 100 pdg de l’élite cana-dienne ont gagnée en 2006. Deleur côté, les Canadiens moyensont vu leur salaire stagner ces
dernières années. En fait, entenant compte du niveau d’infla-tion, le salaire hebdomadaire dutravailleur moyen est inférieuraujourd’hui à ce qu’il était lorsde la récession de 2008-2009.
«L’écart entre les pdg de l’éliteet le reste de la population secreuse de façon alarmante sansaucun signe de ralentissement»,a écrit l’économiste Hugh Mac-kenzie, auteur du rapport.
«Le salaire incroyablementélevé des pdg est davantagequ’une curiosité. Il constitueen fait le reflet de la troublanteredistribution des ressourcesde la société au Canada et auxÉtats-Unis, de même que dansla majeure partie de l’Europede l’Ouest», a-t-i l affirmé enentrevue.
En 1998, la rémunération des100 pdg les mieux payés auCanada était 105 fois supérieureau revenu du travailleur moyen,a-t-il fait remarquer. Depuis,l’écart s’est creusé davantage.
En 2008, le rapport entre lessalaires des uns et des autresétait de 174. En pleine récession,l’année suivante, il avait chuté à
155. Le record, de 190, avait étéatteint en 2007. Dès midi, hier,les pdg les mieux rémunérés auCanada avaient fait autant d’ar-gent que ce que le travailleurmoyen gagne annuellement.
Les éléments moteurs de cetteinégalité sont complexes et ilstrouvent leur source dans lastructure du système de rému-nération des chefs d’entreprise,a expliqué M. Mackenzie.
Le revenu le plus élevé de2010 au Canada a été empochépar l’homme d’affaires FrankStronach, fondateur du manu-facturier de pièces automobi-les Magna International (TSX :MG.DB). Il s’est élevé à près de62 millions $. Les deuxième ettroisième rangs sont occupéspar des dirigeants de la même
Les plus fortunés
Hier, à midi, les pdgles mieux rémunérésavaient empoché lesalaire annuel d’untravailleur moyen
L’équipe de l’Université Lavalremercie ses commanditaires :
Concours internationald’étude de cas MBA
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Association des Participants à la Maîtrise enAdministration de l’Université Laval
1er rangée : Jason Charette, Geneviève Grenier et Vanessa Leonardi
2e rangée : Claudine Contreras (entraîneure), Yan Cimon (entraîneur) et Jonathan Turcotte
AVIS PUBLIC
• zone 22203Ha : située dans le périmètre formé par l’autoroute Félix-Leclerc au nord, la rue Michelet au sud, le boulevard Masson à l’estet l’autoroute Henri-IV à l’ouest;
• zones 22204Ha et 22209Ha : sises au nord du boulevard Père-Lelièvre et au sud de l’autoroute Félix-Leclerc, entre le boulevardMasson et la rivière Saint-Charles;
• zone 22205Hb : incluant plusieurs propriétés en bordure des ruesde la Halte et de l’Étape;
• zones 22206Mb et 22207Mb : comprenant des propriétés longeantle boulevard Masson et la rue Michelet, au sud de l’autoroute Félix-Leclerc;
• zone 22208Ha : qui s’étend des propriétés de la rue de Gide au nordjusqu’à l’avenue Marivaux au sud, entre la rivière Saint-Charles àl’est et les propriétés de l’avenue Chatrian à l’ouest;
• zone 22210Mb : localisée au nord des propriétés en front duboulevard Père-Lelièvre, au sud de la rue Michelet et à l’ouest despropriétés longeant l’avenue Tassé;
• zone 22211Ha : qui englobe plusieurs propriétés de l’ouest del’avenue Tassé;
• zones 22212Mb et 22213Mb : sises de part et d’autre du boulevardMasson, entre la rue Michelet au nord et le boulevard Père-Lelièvreau sud;
• zone 22215Ha : s’étendant de part et d’autre de l’avenue Bazin, ausud du boulevard Père-Lelièvre;
• zone 22216Hb : encadrée au nord par les propriétés du boulevardPère-Lelièvre, au sud et à l’est par celles de la rue Bacqueville et àl’ouest par l’avenue Fillon;
• zones 22218Mb, 22219Ma, 22220Mb, 22223Cb et 22226Cb : quis’étendent de chaque côté de l’intersection des boulevards Massonet Wilfrid-Hamel;
• zones 22221Ha, 22222Ha, 22225Ha, 22227Ha, 22229Ha, 22232Ha,22233Ha et 22234Ha : bordées au nord par le boulevard Wilfrid-Hamel, au sud par la voie ferrée, à l’est par l’arrière des propriétésde l’avenue Newton et à l’ouest par celles du boulevard du Parc-Technologique;
• zone 22228Ha : localisée dans le quadrant sud-ouest del’intersection de l’avenue Verlaine et de la rue Jacques-Crépeault;
• zone 22231Ha : bornée au nord par la rue De Tonnancour, au sud parla rue Pie-X, à l’est par l’avenue de Fatima et à l’ouest par l’avenueClaudel;
• zones 22302Ha, 22303Ha, 22307Ha, 22311Ha, 22314Ha et 22324Ha:approximativement délimitées au nord par l’autoroute Félix-Leclerc,au sud par le boulevard Père-Lelièvre, à l’est par l’autoroute Robert-Bourassa et à l’ouest par le boulevard Neuvialle;
• zone 22308Ha : localisée au nord du boulevard Père-Lelièvre, entrela rivière Saint-Charles et le boulevard Neuvialle;
• zone 22312Mb : située dans l’angle nord-ouest de l’intersection desboulevards Père-Lelièvre et Neuvialle;
• zones 22313Mb, 22323Mb et 22330Mb : longeant le boulevard Père-Lelièvre, de la rue du Danube à l’autoroute Robert-Bourassa;
• zone 22320Mb : regroupant plusieurs propriétés longeant la partiesud du boulevard Père-Lelièvre, à l’est du boulevard Neuvialle;
• zone 22322Mb : encadrée au nord par la rue Lemieux, au sud par leboulevard Père-Lelièvre, à l’est par la rue Darveau et à l’ouest parle boulevard de Monaco;
• zone 22401Mc : établie dans le quadrant sud-est de l’intersectiondes autoroutes Robert-Bourassa et Félix-Leclerc;
• zone 22410Ha : située au sud-est de la rue du Marais;
• zone 22411Cc : laquelle borde le côté est de l’autoroute Robert-Bourassa, au nord du boulevard Père-Lelièvre;
• zone 22412Ha : qui regroupe les propriétés de la rue Dubé, au sudde l’avenue de la Roselière;
• zones 22413Ha, 22414Hb, 22418Ha et 22422Ha : localisées àl’intérieur du périmètre formé par l’avenue de la Roselière aunord, le boulevard Père-Lelièvre au sud, les propriétés de la ruedu Gardénia à l’est ainsi que la rue Paquin et l’avenue Raymond-Blouin à l’ouest;
• zone 22419Hb : localisée au nord du boulevard Père-Lelièvre, à l’estde la rue des Géraniums;
• zone 22421Hb : située au nord du boulevard Père-Lelièvre, entrela rue Sainte-Élizabeth, et comprenant les propriétés de l’extrémiténord de la rue De Brugnon;
• zone 22424Ha : bornée au nord par la rue des Balsamines et ausud, à l’est et à l’ouest par les propriétés de la rue des Étamines;
• zone 22430Ha : longeant le flanc sud du boulevard Père-Lelièvre,de l’autoroute Robert-Bourassa à la rue de la Tamise;
• zones 22503Cb et 22505Ia : englobant les propriétés longeant laportion sud du boulevard Wilfrid-Hamel, approximativement entrela rue Lachance et l’arrière des propriétés de l’avenue O’Neil, demême que des propriétés bordant l’avenue Newton;
• zone 22504Cb : sise au nord-ouest de l’intersection de l’autorouteRobert-Bourassa et du boulevard Wilfrid-Hamel;
• zone 22508Cb : située au sud-ouest de l’intersection de l’autorouteHenri-IV et du boulevard Wilfrid-Hamel;
• zone 22512Ha : située à l’ouest de l’autoroute Robert-Bourassa,de la limite nord de l’emprise de la voie ferrée au boulevard Wilfrid-Hamel;
• zone 22513Ip : située au sud de la rue Rideau, au nord de larue Louis-Lumière, à l’est de l’autoroute Henri-IV et à l’ouest duboulevard du Parc-Technologique;
• zones 22609Ip et 22611Cb : délimitées au nord par la rue Lafleur,au sud par la voie ferrée au nord de la rue A.-R.-Décary, à l’est parle boulevard Wilfrid-Hamel et à l’ouest par la rue du Grand-Tronc;
• zone 22616Cb : bordant l’avenue Saint-Sacrement, entre la rue desIngénieurs et la voie ferrée;
• zone 22620Cb : sise à l’intérieur du quadrilatère formé par la voieferrée au nord, le boulevard Charest Ouest au sud, l’avenue Saint-Sacrement à l’est et la rue Bardou à l’ouest;
• zone 22622Ip : située au nord-ouest de l’intersection des ruesLavoisier et Volta.
2.3 Les zones visées par le projet de règlement R.C.A.2V.Q. 44 sontsituées dans des périmètres délimités approximativement commesuit :
• zones 23003Cb, 23008Cb, 23009Cb, 23102Cc et 23205Mb : ceszones sont situées de part et d’autre du boulevard Pierre-Bertrand,entre la rue Latulippe au nord et la rue du Marais au sud;
• zones 23005Ip, 23006Ip et 23012Cb : localisées à l’intérieur dupérimètre formé approximativement par la rue du Marais au Nord,le boulevard Père-Lelièvre au sud, le boulevard Pierre-Bertrand àl’est et l’autoroute Robert-Bourassa à l’ouest;
• zone 23103Cc : regroupant des propriétés bordant les rues Fortinet Étienne-Dubreuil, et l’avenue Galibois;
• zones 23303Ma, 23309Mb, 23310Mb et 23316Mb : entourées aunord par la voie ferrée, au sud par le boulevard Wilfrid-Hamel, à l’estpar l’avenue Bélanger et à l’ouest par le boulevard Père-Lelièvre;
• zones 23306Mb, 23312Mb : situées au nord du boulevard Wilfrid-Hamel et au sud de la voie ferrée, entre les propriétés de l’avenueTurcotte et celles de l’avenue Plante;
• zone 23308Ma : bornée au nord par la rue Beaucage, au sudet à l’ouest par le boulevard Père-Lelièvre et à l’est par l’avenueDucharme;
• zone 23318Mb : longeant la rue Chabot, approximativement entreles avenues Giguère et Rousseau;
• zone 23328Mb : située au nord du boulevard Wilfrid-Hamel, entreles avenues Gauvin et du Chanoine-Côté;
• zone 23403Mb : délimitée au nord par la rue Hubert, au sud par larue Monseigneur-Plessis et à l’ouest par la rue Soumande.
Les illustrations des zones visées et des zones contiguës peuvent êtrepeuvent être consultées au bureau du secrétaire et assistant-greffierde l’Arrondissement des Rivières, aux heures normales de bureaumentionnées ci-dessous.
3. Conditions de validité d’une demande
Pour être valide, toute demande doit :
• indiquer clairement la disposition qui en fait l’objet et la zone d’où elleprovient et, le cas échéant, mentionner la zone à l’égard de laquellela demande est faite;
• être reçue au bureau du secrétaire et assistant-greffier del’Arrondissement des Rivières, 330 rue Chabot, Québec, au plustard le huitième (8e) jour qui suit celui de la publication du présentavis;
• être signée par au moins douze (12) personnes intéressées de lazone d’où elle provient ou par au moins la majorité d’entre elles si lenombre de personnes intéressées dans la zone n’excède pas vingtet un (21).
4. Personnes intéressées
Les renseignements permettant de déterminer quelles sont lespersonnes intéressées ayant le droit de signer une demande, de mêmeque les renseignements permettant de déterminer les conditionssupplémentaires relatives aux copropriétaires indivis d’un immeuble etaux cooccupants d’un établissement d’entreprise et les renseignementspermettant de déterminer les conditions d’exercice du droit de signerune demande par une personne morale, peuvent être obtenus au bureaudu secrétaire et assistant-greffier de l’Arrondissement des Rivières, auxheures normales de bureau mentionnées ci-dessous.
5. Absence de demandes
Pour chacun des projets de règlements précités :
• Toutes les dispositions d’un projet qui n’auront fait l’objet d’aucunedemande valide pourront être incluses dans un règlement qui n’aurapas à être approuvé par les personnes habiles à voter.
6. Consultation du projet
Les projets de règlement R.C.A.2V.Q. 40, R.C.A.2V.Q. 41 etR.C.A.2V.Q. 44 peuvent être consultés au bureau du secrétaire etassistant-greffier de l’Arrondissement des Rivières, 330, rue Chabot dulundi au vendredi, de 8 h 30 à 12 heures et de 13 h 30 à 16 h 30, et unecopie du résumé du projet peut aussi être obtenue sans frais par toutepersonne qui en fait la demande.
Donné à Québec, ce 4 janvier 2012.
Le secrétaire et assistant-greffier d’arrondissementJulien Lefrançois
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w.la
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el .com - L'A
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el - Le 13 ja
nvier 2012 - 7
Une délégation de la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval compo-sée des étudiants Jason Charette, Geneviève Grenier, Vanessa Leonardi et Jonathan Turcotte, a remporté la 31e édition du Concours international d’étude de cas MBA John-Molson, qui s’est tenu à Montréal.
Le Concours international d’étude de cas MBA John-Molson se déroule sous forme de tour-noi à la ronde. Les participants, en équipes de quatre étudiants, y examinent cinq cas de gestion. À l’aide des compétences et des connaissances acquises au cours de leur programme de MBA (Master of business administration), ils doivent démontrer leur habileté à résoudre des problèmes de gestion et proposer des solutions réalistes.
Ils sont évalués par un jury composé de diri-geants du milieu des affaires en fonction de l’ori-ginalité et de la faisabilité de leurs propositions. À la suite du tournoi à la ronde, neuf équipes sont retenues pour participer à la ronde demi-finale, au terme de laquelle les trois meilleures équipes s’affrontent en grande finale.
L’équipe de l’Université Laval, qui était pla-cée sous la supervision du professeur Yan Cimon et de la chargée d’enseignement Claudine Contreras, tous deux de la Faculté des sciences de l’administration, a devancé 35 formations provenant de quelques-unes des meilleures éco-les de gestion d’une douzaine de pays, au terme de cette compétition qui figure parmi les plus prestigieuses dans le domaine.
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À l’avant : Jason Charette, Geneviève Grenier et Vanessa Leonardi; à l’arrière : Claudine Contreras, Yan Cimon et Jonathan Turcotte (Photo courtoisie)
Québec: Les policiers sensibilisent contre
la drogue au volant
Une journée de sensibilisation sur la consom-mation de drogue au volant a eu lieu samedi dernier aux Galeries de la Capitale. Le Service de police de la Ville de Québec était présent sur place pour discuter avec les gens.
Le directeur de police, Michel Desgagné a pro-fité de l’occasion pour procédé lancement d’un concours qui s’adresse aux jeunes de 16 à 24 ans. Les jeunes sont invités à trouver un slogan sur le fait que
les policiers peuvent détecter si un automobiliste à consommer des drogues avant de prendre le volant.
Info: www.ville.quebec.qc.ca/police
911
Michel Desgagné, directeur de police, lan-çait le concours destiné aux 16 à 24 ans. (Photo Patrouilleurs Médias Québec Martin Meunier)
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Université Laval wins MBA case competition
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The delegation from Université Laval –Winners of the 2012 Concordia Cup |Photo by Ben Syne
Posted on January 11, 2012 | by: Yuri Mytko
JMSB TEAMS EDGED OUT IN THE SEMI-FINALS
The Christmas break provided little opportunity to rest for the student organizers ofthe John Molson School of Business (JMSB) signature annual event.
The 31st annual John Molson MBA International Case Competition was held fromJanuary 3 to 8 at the Fairmont The Queen Elizabeth Hotel. It is the oldest andlargest competition of its kind in the world.
The Concordia Cup, awarded to thecompetition winners, was presented tothe delegation from Université Laval ata closing banquet on January 10 alongwith a cheque for $10,000. TheUniversity of Otago from New Zealandfinished second, while the University ofCalgary’s Haskayne School ofBusiness rounded out the top three.
This year’s competition had 36participating teams, representingschools from 11 different countries. TheJMSB team — Pierre Carpentier,Robert Fiori, Rabia Khan, BryanMcCrory and Damian Wolff — made itto the semi-finals, finishing in the topnine.
“I could not be prouder of my team's performance,” said coach Tim Field. “Over theweek, Rabia struggled with a bad cold and Pierre had the stomach flu and had noteaten for three days. This did not show in their performance once. They remainedfocused, professional and provided stronger and stronger presentations as theweek progressed. It was a real pleasure for me to work with such an intelligent,motivated and dynamic group. They represent the best of JMSB's potentialgraduates and will undoubtedly have successful business careers.”
For Khan the competiton was “by far, the best experience in the MBA program.The competition not only helped me learn to analyze a business problem in astructured fashion under a time constraint but also, and more importantly, allowedme to form lifelong friendships with my teammates, our coach and past JMSBteams who came to lend us their support. The competition also provided a venueto meet students from international programs, which is quite an opportunity!”
The most anticipated moment of the competition came when organizersannounced the identity of the company that would be presenting the “live case,”which is when members of senior management of a major firm arrive tocommunicate a business problem to the teams. This year, the surprise companywas Montreal-based IT firm, CGI Group. Teams had three hours to prepare theirrecommendations.
In an interview on CTV Montreal’s News at Noon, Concordia alumnus and SeniorVice-President, Global Communications and Investor Relations at CGI, LorneGorber, explained that the company is looking for opportunities for growth and that“the bright young minds at the case competition could bring some of theseopportunites forward.”
He also explained that the event offered firms a great opportunity to recruit toptalent. “MBA students bring certain strategic elements to businesses like CGI whouse technology to solve business problems.” Gorber added that often “these ideascan turn into tangible and strategic business opportunities.”
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Actualités 29leSoleil vendredi 20 janvier 2012
> Deux autres restos. Deux au-tres restaurants de qualité ouvri-ront leurs portes prochainementdans le secteur Miscéo à Lévis,plus particulièrement dans lesédifices que le groupe Tanguayfait construire le long du boule-vard Alphonse-Desjardins. No-tons d’abord l’ouverture prochained’un Victor au rez-de-chaussée del’immeuble de six étages enconstruction à l’intersection de larue J.-B.-Michaud, cette rue quipasse juste devant le Centre decongrès et d’expositions de Léviset l’Hôtel Sheraton. Puis, dans l’im-meuble voisin qui abrite déjà unesuccursale de la Banque Natio-nale, une chaîne nationale spécia-lisée dans le genre restauration fa-miliale, mais surtout sportive an-noncerait prochainement son ou-verture. On ne me l’a pas précisé,mais je pense que c’est une Cageaux Sports. On verra bien!
> Victoire de Laval. Une déléga-tion de la faculté des sciences del’administration de l’UniversitéLaval a remporté le 31e Concoursinternational d’étude de cas MBAJohn-Molson, qui s’est tenu récem-ment à Montréal. L’équipe de l’Uni-versité Laval a devancé 35 forma-tions venant de quelques-unes desmeilleures écoles de gestion d’unedouzaine de pays, au terme decette compétition qui figure parmiles plus prestigieuses dans le do-maine. La délégation de l’Univer-sité Laval était composée de JasonCharette, de Geneviève Grenier,de Vanessa Leonardi et de Jona-
than Turcotte. Ils étaient sous lasupervision du professeur Yan Ci-mon et de la chargée d’enseigne-ment Claudine Contreras, tousdeux de la faculté des sciences del’administration.
> Le Nouvel An chinois. Lya BinWu m’a indiqué cette semaine quec’est demain que la communautéchinoise de Québec et l’Associa-tion des étudiants et des cher-cheurs chinois de Laval célébre-
ront le Nouvel An chinois, de 18h à22h, au Grand Salon du pavillon Al-phonse-Desjardins de l’UniversitéLaval. Au programme, pas moinsde 21 numéros de chant, de danseet d’acrobatie mettant en vedettele dragon, le phénix, les fleurs deprunier et plusieurs Chinois de lacapitale nationale, comme Bin Wu,Xi Chen, Yan Xu et autres. Je m’yétais rendu l’an dernier et j’avaisbien aimé cette soirée tellementdifférente d’une soirée de danse auPollack. Surtout que c’est vraimentpas cher pour passer une soirée enChine : 15 $ pour les adultes et 12 $pour les étudiants. Gratuit pour lesenfants de moins de cinq ans et10 $ pour les jeunes de 6 à 17 ans.Ce qu’on en retient : l’extraordi-naire culture des habitants de cecontinent. Les billets seront envente à l’entrée. Vous serez dépay-sés et enchantés.
> Le Gambrinus. Le restaurantLe Gambrinus, qui trouvait placedepuis avril 1984, l’année Mer etmonde, au 15, rue du Fort, justeen face du Château Frontenac, afermé ses portes avec la fin del’année 2011. Le Gambrinus (cre-vettes en italien) avait été inau-guré Beppino Boezio, déjà pro-priétaire de La Crémaillère, rueSaint-Jean, et par Giovanni Ven-turino, alors propriétaire du res-taurant Les Jardins d’Italie, aussirue Saint-Jean. L’année suivante,Jacondo Giraudo s’ajoutait auduo et Beppino effectuait un replistratégique vers 1990. Si vouspassez dans le coin ces jours-ci,devant le 15, rue du Fort, vousverrez que tout a déjà été démoli.«On se croirait en 1945, après unbombardement. C’est la destruc-tion totale», précise Giovanni. Cen’est pas la famille Price, proprié-taire de l’édifice, qui a obligé LeGambrinus à fermer. C’est plutôtGiovanni et Jacondo qui ont misun terme à leur contrat de loca-tion un an avant l’échéance afinde profiter un peu de la vie etprendre leur retraite. Grand bienleur fasse! Ce n’est pas le cas dumaître d’hôtel, Athanase Zoube-rakis, qui se trouve au chômage.Si vous cherchez un bon, un ex-cellent, vous pouvez lui faireconfiance. Vous le trouverez faci-lement, c’est le seul à porter cenom à Québec.
>Décorés par la France. À l’issuedu récital de la mezzo-soprano Su-san Graham et du pianiste Mal-colm Martineau du 6 janvier laconsule générale de France à Qué-bec, Hélène Le Gal, à droite, a remisà la directrice artistique du Clubmusical de Québec, Louise Forand-Samson, à gauche, les insignes dechevalier des arts et des lettres dugouvernement français. Dans lemême ordre d’idées, Louis-EmondHamelin a reçu sa médaille d’offi-cier dans l’Ordre des palmes aca-démiques des mains d’Hélène LeGal, mercredi, à la résidence de laconsule générale, située au 1075,avenue des Braves à Québec.
Coups de Soleil!> Gilles Desaulniers séjourne àHawaii pour a) profiter du soleil; b)améliorer son golf; c) mettre enforme son second roman, qu’il sepropose d’intituler Collusion, liéau Plan Nord de Jean Charest. Çava fesser fort!
>Aujourd’hui à 19h, Lyse Trottier,auteure et conteuse, livrera saconférence Accueillir et vivreses émotions en osant ouvrir laporte de son senti et de son ima-gination à l’École-des-Cœurs-Vaillants. 3430, boul. Neilson
> Les Violons du Roy, sous la di-rection de Bernard Labadie, et laFondation de la Maison Michel-Sarrazin s’associent pour la pré-sentation d’un concert-bénéfice,mardi à 20h au Palais Montcalm,qui mettra en vedette le virtuose dela flûte à bec Maurice Steger.
>Aujourd’hui, à 19h, Jacques Des-bois présidera la 12e ouverture of-ficielle de son Hôtel de Glace. La ré-ception est ouverte à tous au coûtde 27,50 $. Un feu d’artifice et desprestations musicales variées sontau programme. Info : 418 623-2888
>Mardi dernier, le Concours qué-bécois en entrepreneuriat présen-tait sa nouvelle présidente d’hon-neur, Sophie Brochu, présidente etchef de la direction de Gaz Métro.Étaient également présents des re-présentants du volet Entrepreneu-riat étudiant venus présenter leurprojet Pédibus scolaire.
>C’est aujourd’hui le 71e anniver-saire de Pierre Lalonde, ex-anima-teur de Jeunesse d’aujourd’hui.Demain, ce sera l’anniversaire deJean-Louis Duplessis, le présidentde L’Allier Sainte-Foy. Il est beau-coup plus jeune que M. Lalonde.
gensdepassion La capitale
Pierre Champagne collaboration spéciale [email protected]
Inauguration sous le signe de la fierté
Écrivez-nous!
Vous pouvez nous joindrepar courriel à[email protected]
par téléphone au 418 833-5652
ou par la poste àChampagne et Champagne (C&C)11, rue William-TremblayLévis (Québec) G6V 4B3
> BMO soutient la Fondation de la Maison Michel-Sarrazin avec250 000 $. La Fondation de la Maison Michel-Sarrazin salue la participationde BMO Groupe financier, qui contribue à sa première véritable campagnemajeure de financement par une contribution financière de l’ordre de250 000 $. BMO devient ainsi le donateur-vedette du mois de janvier. Par cegeste, des centaines de bénévoles et de professionnels pourront continuer,chaque jour, à offrir des soins et des services gratuits, à la première maisonde soins palliatifs du monde francophone. On reconnaît, dans l’ordre, Mar-tin Beauchamp, vice-président, région de l’Est-du-Québec, BMO Banquede Montréal; Jocelyn Thémens, directeur général, Fondation de la MaisonMichel-Sarrazin; Sébastien Tremblay, vice-président gestionnaire de por-tefeuille, directeur bureau de Québec, BMO Nestbitt Burns; ainsi que Jona-than Paré, vice-président et directeur de marché, région de l’Est-du-Québec, BMO Banque privée Harris.
L’inauguration du stade TELUS sur le campus de l’Université Laval mardi a été un bel événement sous le signe de lafierté. Sam Hamad, ministre responsable de la Capitale-Nationale, y est allé d’un botté spectaculaire devant, degauche à droite, le recteur Denis Brière, Yves Bolduc, ministre de la Santé et député de Jean-Talon, François Côté,président de TELUS, Jacques Gourde, député fédéral de Lotbinière–Chutes-de-la-Chaudière, et Régis Labeaume,maire de la Ville de Québec. — PHOTO LE SOLEIL, ERICK LABBÉ
Battle of the briefcases
leSoleil jeudi 12 janvier 2012 Affaires 27
André DubucLa Presse
MONTRÉAL — Les Québécoisappuient à 57% la syndicalisationdes employés des dépanneurs Cou-che-Tard, selon un sondage Internetde la firme CROP commandé par laConfédération des syndicats natio-naux (CSN). L’appui devient massifen ce qui a trait aux principalesrevendications des travailleursdans leur négociation d’une pre-mière convention collective.
Ainsi, 84 % des 1000 répondantsjoints les 13 et 14 décembre der-niers se montrent en faveur del’attribution de quatre jours demaladie par année par employéalors qu’ils n’en ont aucun. Il s’agitde congés payés. Autre exemple,92% sont d’accord avec l’installa-tion d’un bouton d’alarme à utili-ser en cas de vol à main armée.
La centrale a rendu publics lesrésultats d’un sondage qui lui sontfavorables le 11 janvier, une façonde marquer le premier anniver-saire du tout premier syndicatCSN d’un dépanneur Couche-Tard,celui situé à l’angle des rues Jean-Talon et D’Iberville. Ce commerceest aujourd’hui fermé, tout commecelui de la rue Saint-Denis, au coinde Beaubien. La direction de Cou-che-Tard a toujours soutenu queles deux établissements, syndiquépour le premier et en voie de l’êtrepour le second, avaient été ferméspour des raisons financières.
«La CSN cherche à prendre l’opi-nion publique comme partie pre-nante à un conflit de relations de
travail qui ne touche pas directe-ment les gens», explique Marc B.David, professeur de communica-tion marketing à l’Université deSherbrooke. «On ne voit pas çasouvent, et c’est intéressant.»
L’objectif, selon l’universitaire,est de faire de l’opinion publiqueune alliée qui fera pression surl’employeur, en mettant en jeu saréputation de «bon citoyen cor-poratif». «Si Couche-Tard veutredorer son blason auprès desQuébécois, elle doit changer sonfusil d’épaule et accepter que sessalariés exercent leur droit de sesyndiquer», a dit Jean Lacharité,vice-président de la CSN, au coursd’une conférence de presse où ona dévoilé les résultats du sondage.
Coauteur du livre Commentparler aux médias, BernardMotulsky doute fort que l’employeurréagisse à ce coup de sonde. «L’en-treprise n’a pas avantage à nourrirle débat sur la place publique, dit-il. Jusqu’à présent, Couche-Tard n’apas connu d’impact véritablementnégatif sur ses affaires et sa répu-tation. Ça reste une réussite québé-coise», ajoute-t-il. Couche-Tard n’apas voulu commenter le sondage,tout en faisant valoir qu’elle offraitde meilleures conditions de travailqu’ailleurs dans l’industrie.
REVENDICATIONS DES EMPLOYÉS DE COUCHE-TARD
Un appui massif des Québécois
MONTRÉAL — C’est finalementle mois prochain que ResearchIn Motion (RIM) offrira uneimportante mise à niveau dulogiciel de sa tablette PlayBook.Prévu pour l’automne der-nier, le TabletOS2.0 arrive troptard au goût des analystes,qui ne voient pas l’entreprisede Waterloo, en Ontario, rega-gner le terrain perdu dans cecréneau dominé par Apple, parAmazon et par Google.
La mise à jour offerte dèsfévrier est imposante. Elle cor-rige la principale lacune de latablette BlackBerry : l’absencedes applications de bureautiquedu téléphone BlackBerry, commela messagerie et la gestion descontacts. Jusqu’ici, il faut relierla tablette à un téléphone Black-Berry pour pouvoir y arriver. LeTabletOS2.0 ajoute à ces nouveau-tés une intégration complète desprincipaux médias sociaux, unefonction d’appels vidéo et, pourcouronner le tout, un outil detransfert des applications offer-tes sur la plateforme Android.
RIM estime que 60% des quel-que 340 000 titres présents sur lemarché d’applications du systèmeAndroid, de Google, fonctionnentdéjà sur la PlayBook. Le fabricantpense que ce seront avant toutdes jeux qui feront le saut, maisil affirme travailler étroitementavec de nombreux développeurspour accélérer le processus.
Le TabletOS2.0 sera la seulenouveauté dans le marché destablettes en 2012, dit l’entreprise.Dotée d’un écran de sept pouces(18 cm) et vendue à bas prix, laPlayBook devrait tout de mêmeconnaître un sursaut de popula-rité, avec des ventes prévues de1,7 million d’exemplaires, pourl’année à venir. «C’est encoura-geant pour les résultats de RIMà moyen terme», note Shaw Wu,analyste pour la firme SterneAgee, qui a assisté à la présenta-tion de RIM au Consumer Electro-nic Show, à Las Vegas. La Presse
NOUVELLE PLAYBOOK
Trop peutrop tard
«On ne voit pasça souvent, et c’est
intéressant»— Marc B. David, professeur decommunication marketing
Les Québécois sont favorables à la syndicalisation des employés de Couche-Tard dans une proportion de57 %, selon un sondage Internet commandé par la CSN. — PHOTO LA PRESSE CANADIENNE
Selon le Conference Board, l’in-dustrie manufacturière à Québeca enregistré un déclin estimé à0,5 % en 2011, portant ainsi àprès de 12 % la contraction totaledepuis 2008. «Nous nous atten-dons néanmoins à une expan-sion de 3,2 % en 2012, de mêmequ’à une croissance moyennede 2,4 % de 2013 à 2016», peut-on lire dans la Note de conjonc-ture métropolitaine, dans laquelleon ne manque pas de soulignerl’incertitude entourant l’avenirde l’usine Stadacona de PapiersWhite Birch (600 travailleurs),qui a fermé temporairement sesportes en décembre dernier.
Pour le Conference Board, il nefait pas de doute que la réductiondes dépenses d’infrastructure dugouvernement fédéral et le reculde la construction résidentielleaffecteront la santé de l’industriede la construction cette année. À8,4 % en 2011, la croissance de l’in-dustrie de la construction devraitchuter à 1,7 %. «Cependant, lacroissance s’accélérera grâce àla construction d’un aréna d’unetaille adéquate pour la LNH, quicommencera lentement en 2012 ets’intensifiera en 2013.» Par ailleurs,les analystes estiment que l’amé-nagement d’une ligne de tramway
pourrait «considérablement»accroître la production du secteurde la construction à moyen terme.Quant au secteur des services, lacroissance de l’activité a été de 2 %en 2011. Le pourcentage de crois-sance devrait être le même en 2012.
EMPLOI Prévisions decroissance au Canada
Saskatoon ....................... 4,0 %
Calgary............................. 3,6 %
Edmonton........................ 3,4 %
Regina............................... 2,9 %
Oshawa ............................ 2,7 %
Toronto............................ 2,6 %
Trois-Rivières ................. 2,6 %
Vancouver....................... 2,6 %
Windsor........................... 2,5 %
Winnipeg......................... 2,4 %
Halifax.............................. 2,4 %
QUÉBEC............................ 2,1 %
Montréal.......................... 2,0 %
Hamilton.......................... 2,0 %
Victoria ............................ 1,9 %
Sherbrooke..................... 1,8 %
Ottawa-Gatineau........... 1,8 %
Saint-Jean N.-B. .............. 1,8 %
London............................. 1,7 %
Saguenay......................... 1,5 %
Saint-John, T.-N................ 0,7 %
SOURCE CONFERENCE BOARD DU CANADA
• 1re place au University Trading Challenge, décembre 2011Baruch College - The City University, New York
• 1re place au Concours international d’étude de casMBA John-Molson, janvier 2012Université Concordia, Montréal
• 3e place aux Jeux du commerce, janvier 2012Université Laval, Québec
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Victoire de l'Université Laval au Concours international d'étude de cas MBA John-Molson
, le 10 janvier 2012 - Une délégation de la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval a remporté la 31e édition du Concours international d’étude de cas MBA John-Molson, qui s’est terminée à Montréal.
L’équipe de l’Université Laval a devancé 35 formations provenant de quelques-unes des meilleures écoles de gestion d’une douzaine de pays, au terme de cette compétition qui figure parmi les plus prestigieuses dans le domaine.
Le Concours international d’étude de cas MBA John-Molson se déroule sous forme de tournoi à la ronde. Les participants, en équipes de quatre étudiants, y examinent cinq cas de gestion. À l’aide des compétences et des connaissances acquises au cours de leur programme de MBA, ils doivent démontrer leur habileté à résoudre des problèmes de gestion et proposer des solutions réalistes. Ils sont évalués par un jury composé de dirigeants du milieu des affaires en fonction de l’originalité et de la faisabilité de leurs propositions. À la suite du tournoi à la ronde, neuf équipes sont retenues pour participer à la ronde demi-finale, au terme de laquelle les trois meilleures équipes s’affrontent en grande finale.
La délégation de l’Université Laval était composée des étudiants Jason Charette, Geneviève Grenier, Vanessa Leonardi et Jonathan Turcotte. Ils étaient sous la supervision du professeur Yan Cimon et de la chargée d’enseignement Claudine Contreras, tous deux de la Faculté des sciences de l’administration.
Pour plus d'information:
Organisation: Université Laval Adresse: 1160 Université Laval Québec, Québec Canada, G1V 0A6 www.ulaval.ca
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À L’AGENDA ■ PRÉVISIONS ■ RÉEL BPA : bénéfice par action K : millier M : million G : milliard
POUR NOUS JO INDRE La Presse Affaires, 7, rue Saint-Jacques, Montréal (Québec) H2Y [email protected]
SUDOKU
Source : Bloomberg
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2183 2182
Placez un chiffre de 1 à 9 dans chaqueChaque ligne, chaque colonne etdélimitée par un trait plus épais doiventles chiffres de 1 à 9. Chaque chiffreune seule fois dans une ligne, dansdans une boîte 3x3.
Solution du dernier sudoku
Niveau de difficulté : MOYEN
CeunedePourd'informations,rendez-voussurles-mordus.com
ouinfo@les-mordus.
com
Par Fabien Savary
MERCREDI 18 JANVIER
Ind. des prix à la production(É.-U.) déc. :0,1%
nov. :0,3%
eBay BPA 4T : 57¢US
Goldman Sachs BPA4T: 1,31$US
Viterra BPA 4T : 9¢
DEMAINPrix des importations déc.: -0,1%(É.-U.) nov. :0.7%
JPMorgan&Chase BPA4T:94¢US
JEUDI 19 JANVIER
Indice des prix à la consommation(É.-U.) déc. :0,1%
nov. :0,0%
Google BPA 4T : 10,47$US
Bank of America BPA 4T : 13,1¢ US
LUNDI 16 JANVIER
Marchés financiers fermésaux États-Unis(Jour de Martin Luther King Jr.)
Diagnocure BPA 4T : -1¢
MARDI 17 JANVIERTaux directeur 17 janv. : 1,00%
(Can.) 6 déc. : 1,00%
Citigroup BPA4T:62¢
Wells Fargo&Co. BPA4T:73¢US
AUJOURD’HUIVentes au détail déc. :0,3%
(É.-U.) nov. :0,2%
Com Dev InternationalBPA 4T : 5,7¢
Shaw CommunicationsBPA 1T : 46,8¢
Placez un chiffre de 1 à 9 dans chaquecase vide. Chaque ligne, chaquecolonne et chaque boîte 3x3 délimitéepar un trait plus épais doivent contenirtous les chiffres de 1 à 9. Chaque chiffreapparaît donc une seule fois dans uneligne, dans une colonne et dans uneboîte 3x3.
Ce jeu est une réalisation de Ludipresse. Pour plus d’informations :www.les-mordus.com ou écrivez-nous à [email protected]
BAIN CAPITALDans l’article publié hier sur Bain Capital,il est écrit que la firme Bain Capital a créé6900 emplois dans des entreprises québécoi-ses entre 2003 et 2011. Bain Capital a plutôtcréé 3900 emplois, soit un gain de 5500emplois chez Dollarama et une perte de 1600emplois chez Bombardier Produits récréatifs.Par ailleurs, au 30 décembre 2010, l’actif sousgestion de la Caisse de dépôt et placement duQuébec est de 199 milliards, dont 17,5 mil-liards de dollars en placements privés.
RIM estime que 60% des quelque340 000 titres présents sur le marchéd’applications du système Android,de Google, fonctionnent déjà sur laPlaybook. Le fabricant pense que ceseront avant tout des jeux qui feront lesaut, mais il affirme travailler étroite-ment avec de nombreux développeurspour accélérer le processus.
« C’est une mise à niveau qui vaplaire aux gens déjà familiers avecla plateforme BlackBerry, mais elles’adresse aussi au grand public. Nousavons voulu proposer une tablettecapable de faire le travail quand c’estnécessaire, mais qui sait aussi s’amu-ser », résume Michael Wenley, res-ponsable de la Playbook pour RIM, àWaterloo.
Étroite marge de rentabilitéLe Tablet OS 2.0 sera la seule nou-
veauté dans le marché des tablettes en2012, dit l’entreprise. Dotée d’un écrande 7 pouces et vendue à bas prix, laPlaybook devrait tout de même connaî-tre un sursaut de popularité, avec desventes prévues de 1,7 million d’exem-plaires, pour l’année à venir.
«C’est encourageant pour les résul-tats de RIM à moyen terme », noteShaw Wu, analyste pour la firmeSterne Agee, et qui a assisté à laprésentation de RIM au ConsumerElectronic Show, à Las Vegas. « Lenouveau logiciel réduit les risquesque l’entreprise manque ses cibles»,conclut-il. M. Wu attribue toujoursune cote neutre à l’action du fabricantcanadien.
Cela dit, les chances que RIMrattrape Apple, Samsung ou mêmeAmazon dans le marché des tablettesdemeurent très minces. Amazon a faitflèche de tout bois ces derniers moisavec sa propre tablette bon marché,la Kindle Fire. Samsung, de son côté,semble intouchable du côté des tablet-tes Android, grâce à une gamme trèscomplète de tablettes de toutes tailles,plus performantes et plus puissantesque la Playbook, à un prix parfois àpeine supérieur.
«La Playbook s’est bien vendue lors-que son prix a été fortement réduit. Ilest difficile d’imaginer comment RIMpourra faire de l’argent avec ce pro-duit en 2012», résume Matt Thornton,d’Avian Securities, à Boston.
Hier, le titre de RIM a gagné15 cents pour clôturer à 15,92$ à laBourse de Toronto.
Trop peu, trop tardpour RIMRIMsuite de la page 1
«La Chine connaît encore un bontaux de croissance, ajoute JoAnneLabrecque. La demande devra itencore être soutenue, car les nouveauxriches ont une capacité de dépensersurprenante.»
L’Europe viv ra , quant à el le ,deux dynamiques, selon LéopoldAuthié : « D’un côté, un ralentisse-ment de la demande locale, causépar les effets de la crise, expliquel’analyste. De l’autre, une augmen-tation de la part des revenus issusdu tourisme. »
Le ralentissement de la croissancedes détaillants de luxe sera aussimotivé par le frein de l’augmentationdes prix au détail. «Une partie de lacroissance en 2012 est attribuée à l’im-pact positif de la hausse des prix, noteLéopold Authié. Ces augmentationssont intervenues de manière ciblée. Lesacteurs horlogers (Swatch, Richemont)ont été plus actifs sur ce front afinde faire face à l’envolée du cours desmatières premières, mais également àl’impact négatif de la hausse du francsuisse. Dans un contexte de stabili-sation des matières premières et dansun environnement devises favorables,nous estimons que la hausse des prixdevrait être limitée en 2012.»
Le luxe perd de son lustreLUXEsuite de la page 1
«C’est sûr que si tout l’hiver estcomme le mois de décembre, nosprévisions seront difficiles à réali-ser », reconnaît Jacques Demers aucours d’un entretien avec La PresseAffaires.
Avec la contribution du milieu,soit une somme de 235 000 $ réuniepar des bénévoles et amoureux de lamontagne, qui n’avait pas été incluseau budget original, la Corporationpense encore pouvoi r év iter ledéficit.
Mais même si l’hiver 2012 s’avé-rait être le plus catastrophique del’histoire d’Orford, la Corporationserait en mesure de l’assumer, sou-tient son président.
La MRC a hérité d’installationsdont la valeur comptable est de6 millions et dont la valeur mar-chande est beaucoup plus élevée,explique Jacques Demers. Elle n’aaucune dette. « Dans le pire des cas,advenant un manque de liquidités,la Corporation peut emprunter surcette valeur. »
Selon lui, il faudra plus qu’unmauvais hiver pour venir à boutde la détermination de la MRC derelancer les activités de la stationtouristique.
La Corporation a pris le relais dugouvernement le 1er juin dernier, aprèsque les discussions eurent avorté avecle consortium choisi par appel d’offrespour investir dans l’entreprise, formédu promoteur immobilier Vertendre etde la firme qui gérait les installationspour le compte du gouvernement,Gestion Soroma.
Au début, la MRC pensait lancerau plus vite un nouvel appel d’offrespour trouver d’autres investisseurs,mais elle n’est plus aussi pressée. «Sides investisseurs se présentent, on vales écouter, mais on n’en fait pas unepriorité», dit-il.
Les villes ont décidé de gérer elles-mêmes ce précieux actif, même si cen’est pas leur métier, parce que legouvernement aurait mis la clé sous laporte. Elles ont formé la Corporation etengagé des gestionnaires et se sont lan-cées dans l’aventure, pour le meilleuret pour le pire.
La Corporation compte sur unecontribution annuelle du milieu pourl’aider à faire les investissementsqui s’imposent pour améliorer lesinstallations. Cette année, l’objectifde la quête était de 415 000$ et les235 000$ amassés ne représentent que56% de cet objectif.
Des atoutsLa Corporation estime malgré tout
avoir dans sa manche des atouts quel’ancien propriétaire, le gouverne-ment, n’avait pas. Comme pouvoirfaire des promotions, précise JacquesDemers, et avoir plus de flexibilitéde la part des employés, qui ontaccepté à 98% un nouveau contrat detravail avec leur nouvel employeur.La capacité d’enneigement a aussiété multipliée par trois comparati-vement à l’an dernier, et la station afait l’acquisition de deux nouvellesdameuses.
Mauvais départ pourles nouveaux propriosDÉPARTsuite de la page 1
PRÉCISION
l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l l
4 L A P R E S S E A F F A I R E S L A P R E S S E M O N T R É A L J E U D I 1 2 J A N V I E R 2 0 1 2
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710 OCCASIONSD'AFFAIRES
A ST-LAURENT, grand condo 3½ neuf, stat.int., toutes commodités, loc. garantie 900$+/mois, bail de 1 an, 514-969-6929.
805 AVIS DIVERS,COMMUNIQUÉS
L’OFFICE DE FINANCEMENT DE L’ASSU-RANCE-EMPLOI DU CANADA (OFAEC)annonce la tenue de son assemblée publiqueannuelle. L’assemblée publique annuelle del’OFAEC aura lieu le lundi 6 février 2012 de 15heures à 16 heures à la salle Richelieu de l’hô-tel Delta d’Ottawa en Ontario au 101 rue LyonN. Il faut réserver votre place par courriel([email protected]) ou par courrier à l’Officede financement de l’assurance-emploi duCanada 350 rueAlbert bureau 315, Ottawa, OnK1R 1A4. Il est possible de vous procurer unecopie du rapport annuel 2010-2011 de l’OFAECou du rapport publié le 14 novembre 2011 surle taux de cotisation à l’assurance-emploi pour2012 en vous présentant aux bureaux del’OFAEC ou encore par le biais du siteWeb del’OFAEC au www.ceifb-ofaec.ca.
850 AVIS DE DISSOLUTIONCHANGEMENTDENOM
AVIS DE DEMANDE DE DISSOLUTIONPRENEZ AVIS que la compagnie« PRODUCTIONS G5 MÉDIA INC » ayantson siège social au 200, rue des Passereaux,Verdun (Québec) H3E 1Y2 demandera auRegistraire des entreprises du Québec la per-mission de se dissoudre.Verdun, Gilles Pineau, président12/01/2012
Magazine Prestique, mercredi le 11 janvier 2012
Magazine Prestique, mercredi le 11 janvier 2012
47samedi 14 janvier 2012
La Coop Roue-Libre, qui entretient et répare les vélos sur le campus, a aidé les étudiants du CégepFrançois-Xavier-Garneau à former leur propre coopérative en 2011.
L’Université remporteun concours en MBA
Une délégationde la Facultédes sciences del’administrationde l’UniversitéLaval a rem-porté le 31e
Concours inter-national d’étudede cas MBAJohn-Molsonqui s’est terminéà Montréal le 8janvier. L’équipede l’UniversitéLaval a devancé35 formationsprovenant dequelques-unesdes meilleuresécoles de ges-tion d’une
douzaine de pays lors de cette compétitionqui figure parmi les plus prestigieuses dudomaine. Les participants, en équipes dequatre étudiants, y examinent cinq cas degestion dont ils doivent résoudre les pro-blèmes grâce aux compétences et connais-sances acquises au cours de leur MBA.
Salon de la SAAC
Événement familial, le populaire Salon étu-diant de l’agriculture, de l’alimentation et dela consommation (SAAC) se déroule depuishier et toute la fin de semaine (de 9 h à 18 hce samedi et de 9 h à 17 h dimanche) auCentre de foires d’Expo-Cité à Québec. Cette37e édition, qui a pour thème «Le Patrimoineagroalimentaire québécois,cultivons notre héritage»,présente une trentaine dekiosques d’information,des dégustations, desanimaux et des plantes,des produits du terroirainsi que des animationset des conférences. Lasalle consacrée à la fermecontient notamment ungrand jardin intérieur.
Salon de la forêt
Frère jumeau du Salon de la SAAC, cet évé-nement organisé par les étudiants en foreste-rie de l’Université se tient au même endroit(Expo-Cité) et en même temps (cette fin desemaine) que le Salon de la SAAC. Cette 43e
édition a pour thème «Revitaliser l’environ-nement forestier: des racines à la canopée».Les principaux intervenants de la forêt publi-que et privée y occupent de nombreux kios-ques d’information où ils vulgarisent leursconnaissances sur les pratiques forestièresau Québec. Des conférences, un concours dephotos et de construction d’une structure enbois, des jeux forestiers et même des activitéspour les jeunes dynamisent l’événement.
Le contenu de ces pages est produit et édité par la Direction des communications de l’Université Laval. Visitez le site Web de l’Université Laval au www.ulaval.ca.
politique institutionnelle de développementdurable. Une augmentation de 3 % par rap-port à l’année précédente et de 6 % compa-rativement à 2008-2009. «Cette croissancereflète l’intérêt grandissant de nos cher-cheurs pour le développement durable, sou-tient Éric Bauce. Cela reflète aussi les pré-occupations de la société et les besoins pourde nouvelles connaissances en ce domaine.»
En 2010, les émissions nettes de gazà effet de serre (GES) de l’Université ontdiminué de 18 % par rapport à 2006, et ce,malgré une augmentation de la superficiedes bâtiments (4,7 %) et du nombre d’étu-diants et d’employés (3,4 %). «Nous sommessur la bonne voie, souligne le vice-recteur.
D’année en année nous contribuons àdiminuer les émissions de GES du campusmême si celui-ci est en développement.»Selon lui, le discours des chercheurs et desenseignants de l’Université et les actions decette dernière sont cohérents. «Un établis-sement d’enseignement comme le nôtre doitdonner l’exemple, indique Éric Bauce. Nousnous étions donné comme cible d’atteindreles objectifs du protocole de Kyoto. Nous lesavons même dépassés.»
En 2010-2011, le quart de tous les achatsde produits et services effectués par l’Uni-versité ont été validés selon des critères dedurabilité. «L’Université achète pour environ360 M$ de biens et services chaque année et
nous sommes soucieux de l’empreinte éco-logique de ce que nous achetons», expliquele vice-recteur.
Certification Campus durableL’Université a reçu en 2011 le niveau 3 de lacertification Campus durable de la Coalitionjeunesse Sierra. Il s’agit du niveau le plushaut atteint par une université canadienne.«La certification, précise Éric Bauce, estbasée sur un certain nombre de critères etde cibles qu’il faut atteindre pour recevoirla distinction.»
En 2011-2012, la direction de l’Universitépoursuivra ses efforts en matière de forma-tion en développement durable. «Un chantiermajeur», selon le vice-recteur. On poursuivraégalement le programme d’efficacité énergéti-que visant la réduction des émissions de GESet de la consommation d’énergie dans lespavillons. Sur le plan économique, la direc-tion visera l’équilibre budgétaire des opéra-tions courantes de l’Université. Sur le plansocial, un programme d’acquisition de saineshabitudes de vie, destiné aux étudiants et auxemployés, sera mis en place à l’hiver 2012.
Quelques exemples probantsEnviron 125 projets de développementdurable ont été réalisés ou étaient en coursde réalisation en 2010-2011 sur le campus.En voici quelques exemples:� 50étudiantsontreçuplusd’undemi-million
de dollars en Bourses de leadership etdéveloppement durable
� �� ���������� �� ������������ � � � ��-gré le profil en développement durable
� ���� �� � ����� �� � � ��� � � �pétition pour bannir la vente d’eauembouteillée sur le campus
� ��� ������� � ����� �� �� � � ���� ��de 18 % en 2010 par rapport à 2006, mal-gré une augmentation de la superficie desbâtiments de 4,7 %
� ���� �� � ����� �� � � ������� �� ��de déchets dans des boisés du campus
� �� ������ � ����������� � �������humanitaire ont été réalisés dans despays en développement
� �� ��� ��� �� �������� �������� ������ont attiré plus de 15 000 personnes
� �� ����� � � ����� � � �� ������ �� ���à novembre 2010
� � ��� ����� �� ����� � � ������� �� ���-gramme de covoiturage en mai 2011
� � ��� ����� �������� �� �� �����������ont été récupérésLe Rapport sur le développement durable
2010-1011peutêtreconsultéenligneàl’adressesuivante: www.developpementdurable.ulaval.ca. On peut également regarder lacapsule vidéo réalisée par la Direction descommunications sur le pont arqué de laforêt Montmorency à l’adresse suivante:http://bit.ly/AcoF3p.
L’Université a émis 37 746 tonnes nettes de gaz à effet de serre en 2010. En 2000,le bilan s’élevait à 49 159 tonnes.
En 2010, l’Université a recyclé 523 tonnes de papier et carton, 75 tonnesde plastique, verre et métal, et produit 90 tonnes de compost.
La délégation de la Facultédes sciences de l’adminis-tration. À l’avant: JasonCharette, Geneviève Grenieret Vanessa Leonardi. À l’ar-rière: Claudine Contreras(entraîneuse), Yan Cimon(entraîneur) et JonathanTurcotte.
L'Université Laval brille dans un concours
international
Olivier Schmouker . les affaires.com . 09-01-2012
Tags : Essentiel-PME, Management
C’est une délégation de la Faculté des sciences de l’administration de l’Université Laval, à Québec, qui a remporté la 31e édition du Concours international d'études de cas du MBA John-Molson. Et ce, devant pas moins de 36 équipes provenant des quatre coins du monde (Etats-Unis, Allemagne, France, Israël, Singapour, Nouvelle-Zélande, etc.).
Quelque 230 étudiants à la maîtrise en administration des affaires se sont penchés, à Montréal, sur l'avenir de la compagnie CGI, à la demande de son président de l'exploitation au Canada, Douglas McCuaig. Ce dernier avait demandé aux participants de réévaluer la stratégie d'approche marché, des priorités et des investissements de CGI compte tenu des toutes dernières évolutions du marché.
L’équipe composée de Jason Charette, Geneviève Grenier, Vanessa Leonardi et Jonathan Turcotte a visiblement effectué la meilleure présentation. Elle était placée sous la supervision du professeur Yan Cimon et de la chargée d’enseignement Claudine Contreras, tous deux de la Faculté des sciences de l’administration.
Les étudiants étaient évalués par un jury composé de dirigeants du milieu des affaires, en fonction de l’originalité et de la faisabilité de leurs propositions. À la suite de plusieurs rondes, neuf équipes ont été retenues pour participer à la demi-finale, au terme de laquelle les trois meilleures équipes se sont affrontées en grande finale.
ANNEXE 4CONCOURS INTERNATIONAL ÉTUDE DE CAS MBA JOHN-MOLSONPUBLICITÉ
L’équipe de l’Université Laval remercie ses commanditaires :L’équipe de l’Université Laval
i dit i
Concours international d’étude de cas MBA
John Molson 2012
Association des Participants à la Maîtrise en Administration de l’Université Laval
1er rangée : Jason Charette, Geneviève Grenier et Vanessa Leonardi
2e rangée : Claudine Contreras (entraîneure), Yan Cimon (entraîneur) et Jonathan Turcotte
ANNEXE 5CONCOURS INTERNATIONAL ÉTUDE DE CAS MBA JOHN-MOLSONREMERCIEMENTS
Équipe MBA Laval – CIEC Faculté des sciences de l’administration a/s Yan Cimon, Professeur agrégé Pavillon Palasis-Prince, local 1513 2325, rue de la Terrasse Québec (Qc) G1V 0A6
Le 29 février 2012
Mme Marie-Claude Beaulieu Chaire RBC en innovations financières Pavillon Palasis-Prince, bureau 3620-A Québec (Québec) G1V 0A6
Madame,
Notre équipe souhaite vous remercier de tout cœur pour votre appui à notre participation – et à notre victoire – au 31e Concours international d’études de cas John Molson, qui a eu lieu à Montréal du 3 au 8 janvier.
Votre appui financier et moral fut un facteur déterminant de notre succès. En effet, nous avons réussi une première historique pour l’Université et pour le concours : nous sommes la seconde équipe dans l’histoire du concours à avoir connu un parcours parfait de 7 victoires sans aucune défaite et la première équipe de la Faculté des sciences de l’administration à le faire. Ce faisant, nous avons devancé 35 autres équipes provenant des meilleures écoles de gestion au monde.
Le soutien de la communauté universitaire est essentiel à une équipe comme la nôtre. Nous avons d’ailleurs fièrement fait étalage de votre soutien sur le site de la compétition et à la Faculté sur une variété de plateformes ceci parmi un bassin de plus de 250 hauts dirigeants d’entreprises de classe mondiale, de 180 étudiants de MBA à fort potentiel et de 6000 étudiants de la Faculté. Nous avons aussi pu compter sur une grande visibilité suite à notre victoire, comme les coupures de presse ci-attachées le montrent.
En terminant, nous vous adressons de nouveau nos plus sincères remerciements pour votre contribution à cette belle réussite et aussi pour votre confiance. Nous sommes fiers d’avoir pu compter sur votre soutien et nous espérons que les équipes qui nous suivront auront aussi la chance de pourvoir sur votre engagement renouvelé dans la formation de gestionnaires québécois et canadiens de classe mondiale.
Veuillez agréer, Madame, l’expression de nos sentiments les meilleurs
L’équipe MBA Laval – CIEC Jason Charette, Laura Lebovic, Vanessa Leonardi, Geneviève Grenier et Jonathan Turcotte
ANNEXE 6CONFÉRENCES DU DÉPARTEMENT DE FINANCE, ASSURANCE ET IMMOBILIERRÉSUMÉS D’ARTICLES
Séminaires 2011‐2012 :
– 23 septembre 2011 : Antony Landry (Federal Reserve Dallas) Titre : Accounting for Real Exchange Rates using Micro‐Data
Abstract
The classical dichotomy predicts that all of the time series variance in the aggregate real exchange rate is accounted for by non‐traded goods in the CPI basket because traded goods obey the Law of One Price. In stark contrast, Engel (1999) found that traded goods had comparable volatility to the aggregate real exchange. Our work reconciles these two views by applying the classical dichotomy at the level of intermediate inputs into the production of final goods using highly disaggregated retail price data. Since the typical good found in the CPI basket is about equal parts traded and non‐traded inputs, we conclude that the classical dichotomy applied to intermediate inputs restores its conceptual value: 81 percent of the variance in aggregate real exchange rate is accounted for by non‐traded inputs.
– 14 octobre 2011 : Michel Normandin (HEC Montréal) Titre : Equity Premia and State‐Dependent Risks
Abstract
For the first time in the literature, this paper extends the CCAPM to establish the empirical relations between equity premia and state‐dependent consumption and market risks. These relations are derived from a flexible, yet tractable, mixture distribution admitting the existence of two regimes, rather than the usual normal distribution. Focusing on the market return, we find that the consumption and market risks are priced in each state, and the responses of expected equity premia to these risks are state dependent. Extending to various portfolio returns, we show that the responses to downside consumption risks are the most important, are almost always statistically larger than the responses to upside consumption risks, and are much larger for firms having smaller sizes and facing more financial distresses.
– 18 octobre 2011 : Brian Lucey (Trinity College, Dublin) Titre : The Irish Economy: Three Strikes and You’re Out?
Abstract
We examine the three interlinked Irish crises : the competitiveness, fiscal and banking crises, showing how all three combined to lay a lethal trap for Ireland. Starting from a point of economic balance, a series of poor government decisions led to the country once dubbed the “Celtic tiger” become the second Eurozone state after Greece to seek a bailout, with the EFSF/IMF intervening in late 2010.
– 18 novembre 2011 : Jan Ericsson (Desautels Faculty of Management, McGill University) Titre : Time‐Varying Asset Volatility and the Credit Spread Puzzle (with Redouane Elkamhi
and Min Jiang, University of Iowa)
Abstract
Structural credit risk models have faced difficulties in matching observed market credit spreads while simultaneously matching default rates, recoveries, leverage and risk premia – a shortcoming that has become known as the credit spread puzzle. We ask whether stochastic asset volatility, as an extension to this model class, has the ability to help resolve this puzzle. We identify that although there are three ways in which uncertainty about asset risk can
influence spreads (asset risk volatility itself, dependence between the levels of risk and asset value and finally volatility risk premia), in a calibration setting only the volatility risk premium channel is economically significant. We show that this feature of a stochastic asset risk model allows it to match historical spreads and equity volatility as well. We also provide estimates of the required variance risk premia.
– 9 décembre 2011 : Clarence Simard (HEC Montréal) Titre : Modélisation de la liquidité et stratégies de couverture
Abstract
Lorsqu’il est question d’acheter ou vendre une quantité d’actions qui est non négligeable par rapport au volume habituellement transigé sur les marchés, l’hypothèse d’un marché compétitif n’est plus respectée. Les transactions ont un impact direct sur les prix, de sorte que pour un investisseur suffisamment important un modèle de marché compétitif ne sera plus approprié. Le problème d’incorporer l’impact des transactions sur les prix a été relativement peu étudié et les résultats disponibles, bien qu’ils jettent des bases intéressantes, ont besoin d’être développés afin de bien représenter le phénomène et fournir des outils utiles aux investisseurs. Notre objectif est d’exposer les principaux résultats concernant le problème du gros investisseur de même que de mettre en lumière les principales questions qui subsistent.
– 11 janvier 2012 : Peter Pontuch (Université Paris‐Dauphine) Titre : Financing Constraints, Product Market Competition, and Business Cycle Sensitivity
Abstract
We analyze the interactions between financing constraints and product market competition. Financially constrained firms face restricted access to external finance during economic downturns, precisely when their internal funds decrease. This leads to vicious circle dynamics. We argue that in competitive industries cash flows are particularly sensitive to aggregate shocks, and the adverse dynamics are amplified. We find significant support for this hypothesis in firms’ operating profitability and fixed investment. The adverse effects of financing constraints are increasing in the level of product market competition. Market valuations do not take into account these differences in fundamental risk. Unconstrained firms in competitive industries earn positive abnormal returns (on average 24‐40 bp per month), especially following periods of macroeconomic distress. Furthermore, financing constraints affect competitive mechanisms within industries. The industry‐average level of financing constraints tends to reduce the intra‐industry mean‐reversion of firm profitability. Again, this regularity is not priced: highly profitable firms earn alphas of 20‐29 bp per month if they operate in industries with many constrained firms, but virtually no alphas if their industries have few constrained firms.
– 13 janvier 2012 : Benjamin Holcblat (Tepper School of Business, Carnegie‐Mellon University)
Titre : Estimating Consumption‐Based Asset Pricing Models : The ESP Approach
Abstract
In consumption‐based asset pricing, estimates of the relative risk aversion and the elasticity of intertemporal substitution from similar data sets and models change considerably. Two main reasons have been found: lack of identification, and the gap between econometric asymptotic results and practice, which is based on bounded samples. This paper develops an estimation framework to handle this instability. We call it the ESP approach because it is based on the empirical saddlepoint approximation of the finite‐sample distribution of the solutions to empirical moment conditions. We establish consistency, and prove robustness to lack of
identification. The ESP approach combines strengths of the Bayesian and existing classical approach. Simulations of a standard consumption based asset pricing model show that the ESP approach performs similarly to, or clearly outperforms, the best existing estimation approaches. The ESP approach can be successfully used in other areas that face challenges similar to those faced in empirical consumption‐based asset pricing.
– 20 janvier 2012 : Hugues Langlois (Desautels Faculty of Management, McGill University) Titre : The Joint Dynamics of Equity Market Factors (with Peter Christoffersen, Rotman
School of Management, University of Toronto)
Abstract
The four equity market factors from Fama and French (1993) and Carhart (1997) are pervasive in academic empirical asset pricing studies and in applied portfolio allocation. However, the joint distributional dynamics of the factors are rarely studied. For investors basing strategies on the factors or using them to model the returns of a wider set of assets, proper risk management requires knowing the joint factor dynamics which we model. We find striking evidence of asymmetric tail dependence across the factors. While the linear factor correlations are small and even negative, the extreme correlations are large and positive, so that the linear correlations drastically overstate the benefits of diversification across the factors. We model the nonlinear factor dependence and explore its economic importance in a portfolio allocation experiment which shows that significant economic value is earned when acknowledging the nonlinear dependence.
– 24 février 2012 : Andrew Karolyi (Cornell University) Titre : The Role of Investability Restrictions on Size, Value, and Momentum in International
Stock Returns
Abstract
Using monthly returns for over 37,000 stocks from 46 developed and emerging market countries over a two‐decade period, we test whether empirical asset pricing models capture the size, value, and momentum patterns in international stock returns. We propose and test a multi‐factor model that includes factor‐mimicking portfolios (FMPs) based on firm characteristics and that builds separate FMPs comprised of globally‐accessible stocks, which we call “global factors,” and only locally‐accessible stocks, which we call “local factors.” Our new “hybrid” multi‐factor model with both global and local factors not only captures strong common variation in global stock returns, but also achieves low pricing errors and rejection rates using conventional testing procedures for a variety of regional and global test asset portfolios formed on size, value, and momentum.
– 2 mars 2012 : Cedric Okou (HEC Montréal) Titre : Segregating Continuous Volatility from Jumps in Long‐Run Risk‐Return Trade‐Offs
(with Éric Jacquier, HEC Montréal et MIT Sloan)
Abstract
We provide a multi‐horizon characterization of the strength of the relationship between market realized variance components, namely continuous volatility and jump, and future market excess return. Building on quadratic variation theory, we find that continuous volatility is a key driver of medium/long‐run risk‐return trade‐offs while jumps lack predictive power to explaining the time variation in medium/long‐term excess return. We use inference methods that are robust to persistent predictor in a multi‐horizon setup. Specifically, we show that rescaled versions of the usual test statistics converge to non‐degenerate distributions in our
local‐to‐unity framework. This study yields evidence supporting a proportional risk‐return linkage when jumps are extracted from the quadratic variation activity.
– 14 mars 2012 : Egor Matveyev (University of Rochester) Titre : How Do Firms and Directors Choose Each Other? Evidence from a Two‐sided
Matching Model of the Director Labor Market
Abstract
This paper develops and estimates an equilibrium model that identifies the key factors explaining the allocation of directors across firms. The approach is based on a two‐sided matching model that allows an identification of director and appointing firm preferences. The findings indicate that directors choices are driven by their desire to expand their social network. Likewise, firms choose directors that increase the connectedness of their boards the most. The model is used to estimate the compensating differentials needed to attract directors with more attractive skill levels and higher quality connections. The evidence also suggests that CEO directors have lower propensity to expand their network, and choose firms with better records of recent performance. The performance of a CEO’s firm does not affect his future prospects in the labor market for directorships.
– 16 mars 2012 : Xinli Wang (Cornell University) Titre : Foreign Portfolio Investment and Informativeness of Foreign Direct Investment
Abstract
This paper studies how investors allocate their portfolio equity investment internationally. I develop a model to formalize the mechanism by which investors extract the information about foreign target countries from foreign direct investment (FDI): When investors make FDI, due to their control and monitoring as insiders, they obtain the information about the returns of overseas subsidiaries and thereby extract the information about the returns of portfolio investment. I refer to the extent to which FDI predicts the returns of foreign portfolio investment (FPI) as the informativeness of FDI. My model suggests that FPI is more sensitive to FDI if FDI has a higher degree of informativeness, i.e., if FDI provides more information that helps investors predict the returns of FPI in the target country. Guided by the theoretical model, I construct measures for the informativeness of FDI and find that it has a strong positive effect on the correlation between FPI and FDI, which provides empirical evidence for the model’s prediction. Moreover, this effect is robust to various control variables and to different estimation specifications.
– 23 mars 2012 : Fulbert Tchana Tchana (Ministère des Finances du Québec) Titre : The Implication of VaR and Short‐Selling Restrictions on the Portfolio Manager
Performance
Abstract
The ability of a portfolio manager to deliver higher returns with relatively low risk is a fundamental issue in finance. We analyze here the performance of a portfolio manager under two different types of constraints. For a manager with private information, we compare the effect of value at risk (VaR) and short‐selling constraints on the relation between the expected portfolio return and the market return. We find that under a VaR constraint, the manager can still achieve large positive portfolio excess‐return even when market excess‐return is negative, what is not possible with short‐selling constraint. Furthermore, we find that in more volatile market, the VaR restriction will have a stronger effect on the manager performance compared to the short‐selling restriction effect. The VaR constraint also strongly affects a manager with good
quality of information while the short‐selling restriction moderately affects manager with any level of information quality. For the manager attitude toward the risk, a too aggressive manager will find his overall performance more affected by the VaR constraint. Therefore, financial institutions such as large investment banks and hedge‐funds with a strong ability to obtain superior information may prefer to be regulated with a short‐ selling restriction rather than with a strong VaR restriction.
– 19 avril 2012 : Kenneth A. Froot (Harvard Business School) Titre : Catastrophes and the Agency Limits of Diversification
Abstract
This talk will explore the diversification of financial portfolios into the funding of catastrophic natural perils for a fee. On paper, such diversification looks attractive. In practice, it does not seem to occur. There are many potential reasons for this including asymmetric information, moral hazard, and various cognitive biases. This talk explores explanations that lie in the way in which various agents are organized and the choices they make as a result.
ANNEXE 7CONFÉRENCE DU LABORATOIRE D’INGÉNIERIE FINANCIÈRE DE L’UNIVERSITÉ LAVAL (LABIFUL)PROGRAMME DE LA CONFÉRENCE ET REMERCIEMENTS
CAMPUS AFFAIRES
CONFÉRENCE ANNUELLELABORATOIRE D'INGÉNIERIE FINANCIÈRE DE L'UNIVERSITÉ LAVAL (LABIFUL)
La gestion du risque dans l’ère de Bâle III
FSA LavalNotre monde est a�aires
9 h 30 Accueil des participants (café et viennoiseries)
10 h Mot de bienvenue
10 h 10 La couverture dynamique des garanties sur les fonds distincts
Christian-Marc Panneton, M. Sc., FSA, FCIA, CFA, CERA Gestionnaire risques financiers/surveillance des risques d'investissement Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc.
11 h Gestion intégrée des modèles du risque de crédit sous Bâle dans un contexte d'instabilité financière
Paul Angoua, ISE, DEA, MBA Directeur principal Stratégie aux entreprises et modélisation des risques Modèles et paramètres de risque réglementaires Banque Nationale Groupe financier
11 h 50 Lunch, salon Hermès (Local 1651)
13 h Estimation du risque économique des placements privés et d’infrastructures Mohamed Kortas, M. Sc., CFA, FRM, CAIA Directeur-conseil, Recherche Caisse de dépôt et placement du Québec
13 h 50 Les normes comptables et la crise de 2008
Francis Mensah, MBA, CFA, CMA Directeur, Comptabilité de trésorerie Finances et contrôle Exportation et développement Canada
14 h 40 Mot de la fin
30 MARS 20129 h 30 à 15 h Local 1317Pavillon Palasis-Prince
www.fsa.ulaval.ca/LABIFUL
RSVP avant le 28 marsIssouf Soumaré418 656-2131, poste [email protected]/labiful
MERCI À NOS PARTENAIRES Fonds Conrad-Leblanc
Département de finance, assurance et immobilier
Chaire RBC en innovations financières
Chaire d'assurance et de services financiers L'Industrielle-Alliance
Chaire Groupe Investors en planification financière
Salles des marchés Carmand-Normand et Jean-Turmel
École de comptabilité
Québec, le 5 avril 2012
Marie-Claude BeaulieuProfesseure titulaire Titulaire de la Chaire RBC en innovations financières Directrice du département de finance, assurance et immobilier Département de finance, assurance et immobilier Faculté des sciences de l'administration Pavillon Palasis-Prince Université Laval Québec (Québec) G1V 0A6 CANADA
Objet: Remerciement pour la contribution financière de la Chaire RBC en innovations financières à l’organisation de la Conférence du LABIFUL du 30 mars 2012
Chère collègue,
Je viens par la présente lettre remercier la Chaire RBC en innovations financières pour sa contribution financière à l’organisation de la troisième conférence du Laboratoire d’ingénierie financière de l’Université Laval (LABIFUL) durant la journée du 30 mars 2012.
Grace au soutien financier de la Chaire RBC, cette troisième édition d’une série de conférences initiée il y’a 4 ans fut un réel succès avec quatre-vingt (80) participants inscrits provenant de divers milieux de la finance et de l’assurance à Québec et hors de la ville de Québec (AMF, IA, BNC, CDPQ, EDC, MFQ, Télé-Université, MDDEP, Agri-marché, Aguirre inc, SSQ, CSST, RRQ, BIT, Desjardins, Morneau Shepell, U. Laval, etc.).
Merci beaucoup pour cet appui et j’espère que la Chaire RBC soutiendra d’autres activités à venir du LABIFUL.
Issouf Soumaré , Ph.D., PRM, FRM Professeur agrégé de finance Directeur du Laboratoire d'ingénierie financière de l'Université Laval Directeur des programmes de MSc mémoire et de doctorat Département de finance, assurance et immobilier Faculté des sciences de l’administration Université Laval Pavillon Palasis-Prince, Local 3634 2325, rue de la Terrasse Québec (Québec) G1V 0A6 CANADA Tel : 418 656-2131, poste 4298 Fax : 418 656-2624 [email protected]/labiful /
ANNEXE 8RÉSUMÉS D’ESSAIS DE MAÎTRISE COMPLÉTÉS EN 2011-2012 SOUS LA DIRECTION DU TITULAIRE SUR DES SUJETS EN LIEN AVEC LA MISSION DE LA CHAIRE
Résumé d’essais de maîtrise complétés en 2011‐2012 sous la direction du titulaire sur des sujets en lien avec la mission de la Chaire
Étudiant : MAXIME CHEVALIER, M.Sc. en ingénierie financière Titre : Liquidité et arbitrage sur les marchés canadiens
Résumé : La crise financière actuelle nous fait réfléchir sur la profondeur de notre connaissance des marchés financiers. Parmi les nombreux facteurs qui les caractérisent, un des plus remarquables en temps de crise est la liquidité. En effet, la liquidité peut atteindre un niveau critique voire disparaître dans certaines situations. Elle est donc d’une grande importance pour tout professionnel de la finance. Ceci est d’autant plus vrai pour les arbitragistes. Leurs activités sur les marchés financiers entraînent l’élimination des situations d’arbitrage. Ils sont en quelque sorte les gardiens du respect de la « loi du prix unique », laquelle sera introduite dans le cadre théorique de ce travail. Enfin, le manque de liquidité est un problème plutôt contraignant dans l’exercice des fonctions d’un arbitragiste. En effet, le profit généré par l’arbitragiste est proportionnel à la taille de sa position. Il est préférable d’exercer l’arbitrage sur un marché très liquide puisqu’il est possible d’y négocier de grandes quantités d’actifs sans problèmes.
Notre essai s’organise comme suit. D’abord, nous présentons les motivations de l’étude. Après, nous décrivons la problématique. Ensuite, une revue de littérature expose ce qui a été fait auparavant et situe le sujet dans un contexte global. Par la suite, nous proposons le cadre théorique pouvant aider à la compréhension du travail. Les concepts clés sur la base futures‐comptant et la liquidité y seront décrits en détail avant de poursuivre avec la méthodologie, essentiellement tirée d’un article important portant sur la relation base‐liquidité (Roll, Schwartz et Subrahmanyam, 2007). Nous appliquons leur méthodologie au cas des marchés canadiens. Nous terminons notre essai avec la présentation et la comparaison de nos résultats avec ceux de Roll et al. (2007).
Étudiant : XAVIER FILION‐SIMON, MBA finance Titre : L’impact de la « Foreign Corrupt Practices Act » sur les entreprises du secteur de l’énergie
Résumé : La Foreign Corrupt Practices Act (FCPA) a été introduite afin de réduire la corruption dans le commerce international. Le but de notre essai est de déterminer si la FCPA a eu un impact sur les entreprises du secteur de l’énergie. Notre hypothèse principale est que la FCPA a un impact positif sur le rendement des actions des compagnies ayant été poursuivies. Pour mesurer cet impact, nous avons sélectionné une banque d’entreprise évoluant dans le secteur de l’énergie et ayant été poursuivies par la FCPA. En utilisant la variation du prix de l’action, nous déterminerons quel est l’impact de la FCPA sur les entreprises du secteur de l’énergie. À des fins de comparaisons, nous jumèlerons nos entreprises à des firmes comparables n’ayant pas été poursuivies par la FCPA. Notre hypothèse principale est que compte tenu des effets négatifs de la corruption, la loi devrait avoir un impact sur les rendements boursiers des compagnies ayant été poursuivies.
Les résultats obtenus nous montrent que le rendement des actions des firmes ayant été poursuivies par la FCPA n’a pas été affectée par la poursuite.
Étudiant : SÉBASTIEN PLANTE, M.Sc. en ingénierie financière Titre : Gouvernance, structure de propriété et évaluation
Résumé : Selon Shleifer et Vishny (1997), la gouvernance d’entreprise correspond à l’ensemble des moyens par lesquels les pourvoyeurs de fonds s’assurent de recevoir un retour sur leurs investissements. En d’autres mots, il s’agit de l’ensemble des mécanismes qui permettent de réduire les coûts d’agence à l’intérieur de la firme. Ces mécanismes peuvent être divisés en plusieurs catégories. Une protection rigoureuse du droit de propriété par le système légal est un exemple de mécanismes offrant certaines garanties aux investisseurs. Dans un premier temps, la crainte de poursuites judiciaires décourage les gestionnaires de s’approprier indûment les fonds qui leur sont confiés. Si une telle expropriation a lieu, les investisseurs peuvent par la suite s’adresser aux tribunaux pour obtenir réparation. La protection légale offerte aux investisseurs (ou gouvernance externe) est déterminée par les lois protégeant les investisseurs, les institutions qui assurent le respect de ces lois ainsi que par la culture et les normes présentes dans l’environnement de la firme [Aggarwal et coll. (2009)]. Il est généralement admis que ces facteurs sont propres à chaque pays [La Porta et coll. (1998)]. Les firmes ont cependant la flexibilité nécessaire pour se distancer partiellement des exigences du système légal dans lequel elles opèrent et signaler le degré de protection qu’elles désirent offrir aux investisseurs. Les mesures de réduction des coûts d’agence dont l’initiative vient de la firme elle‐même portent le nom de gouvernance interne. Ces mécanismes sont définis dans la charte et les politiques dont la firme se dote. La méthode de rémunération des dirigeants, la composition et l’indépendance du conseil d’administration, l’audit interne ainsi que les politiques sur la prise de contrôle sont tous des éléments de la gouvernance interne [La Porta et coll. (1998)]. La Porta et coll. (2009) montrent que la gouvernance interne tend en moyenne à être plus élevée dans les pays qui offrent préalablement une protection élevée aux investisseurs. Il semble donc exister une synergie entre la gouvernance interne et la gouvernance externe. La crédibilité des mesures de gouvernance interne repose sur un système légal efficace. Lorsque ce dernier est déficient, les mesures de gouvernance externe et de gouvernance interne ne peuvent protéger de façon adéquate les investisseurs. Les petits investisseurs sont particulièrement affectés par une faible protection du droit de propriété. En effet, ceux‐ci n’ont ni les recours ni les incitatifs nécessaires pour assurer eux‐mêmes la protection de leurs capitaux. À l’opposé, un actionnaire qui détient une fraction importante des flux monétaires d’une firme sera incité à surveiller de près les fonds investis puisqu’une part significative de sa richesse s’y trouve. Par son droit de vote, ce type d’actionnaire a également le pouvoir de faire respecter ses intérêts [Shleifer et Vishny (1997)]. Lorsque le système légal est déficient, la concentration de la propriété dans les mains d’investisseurs influents apparaît donc comme une alternative à la gouvernance interne et externe.
Toujours selon la définition de Shleifer et Vishny (1997), la gouvernance d’entreprise cherche à réduire les conflits d’agence entre les différents partis prenants de la firme. Dans le cas d’une firme financée uniquement par fonds propres, les principaux intervenants susceptibles d’entrer en conflit sont les gestionnaires, l’actionnaire majoritaire et les actionnaires minoritaires. Cependant, la littérature empirique montre que 75 % des firmes possèdent un actionnaire majoritaire et que dans 80 % des cas, ce dernier est activement impliqué dans la gestion de la firme [La Porta, Lopez‐De‐Silanes et Shleifer (1999)]. Dans cette situation, les problèmes d’agence de la firme peuvent être assimilés aux conflits d’intérêts entre cet actionnaire‐gestionnaire (que l’on nommera entrepreneur) et les actionnaires minoritaires. C’est l’optique qui sera adoptée dans cette étude. On entend donc ici par gouvernance d’entreprise les mécanismes par lesquels les actionnaires minoritaires limitent le pouvoir d’expropriation de l’entrepreneur. Ce point de vue est également adopté par plusieurs auteurs [Aggarwal et coll. (2009), La Porta et coll. (2002), Doidge et coll. (2007)]. Sciemment, le cas où il n’y a pas d’actionnaire majoritaire et le cas où l’actionnaire majoritaire n’est pas impliqué dans la gestion ne sont pas couverts dans notre analyse. Considérons maintenant les conséquences d’une bonne gouvernance selon le point de vue des investisseurs minoritaires. La Porta et coll. (2002) argumentent qu’en présence d’une gouvernance de qualité, les petits investisseurs accorderont une valeur plus élevée aux actifs financiers émis par la firme. Cette prime est liée au fait que la minorité anticipe qu’une plus grande part des profits lui sera retournée plutôt qu’expropriée par l’entrepreneur. Ainsi, pour l’entrepreneur, une meilleure gouvernance implique que l’extraction de bénéfices privés est plus difficile, mais également que la valeur marchande de ses parts augmente. Ce dernier choisira donc le niveau de gouvernance interne correspondant au compromis le plus avantageux pour lui. C’est l’intuition qui guidera le développement de notre modèle théorique à la section 2. Parmi les autres études qui cherchent à donner un fondement théorique aux déterminants de la gouvernance et à leur impact sur la valeur de la firme, celle de La Porta et coll. (2002) sera ici particulièrement importante. Ces auteurs considèrent le problème d’une entreprise dont les avoirs sont investis dans un projet donné. Un entrepreneur est supposé avoir le contrôle de cette entreprise indépendamment de la fraction des flux monétaires auquel il a droit. La fraction des flux monétaires possédée par l’entrepreneur est exogène au modèle, c’est‐à‐dire que l’entrepreneur n’a pas l’opportunité de vendre ou de racheter les parts de l’entreprise. La position de contrôle dans laquelle l’entrepreneur se trouve lui permet d’extraire des bénéfices privés des actifs de la firme. Selon La Porta et coll. (2002), ces bénéfices peuvent prendre la forme d’un salaire excessif, de cessions internes, de prêts personnels bonifiés ou plus directement du vol d’actifs. Les mécanismes qui permettent l’expropriation de la minorité sont cependant coûteux à mettre en place. Les coûts augmentent lorsque la protection légale de la minorité est forte et lorsque l’entrepreneur possède une fraction élevée du droit sur les flux monétaires puisque dans ce dernier cas, il finance lui‐même une part importante des bénéfices privés extraits de la firme. L’entrepreneur détermine en fonction de ces coûts la fraction des actifs à exproprier dans l’objectif de maximiser sa richesse. Plus cette fraction est faible, plus la valeur marchande de la firme est élevée. Notons que la gouvernance interne n’est pas un élément de ce modèle.
Les principales propositions provenant de la solution du modèle de La Porta et coll. (2002) sont : Une bonne protection légale entraîne une valeur marchande de la firme plus élevée. Une fraction importante des droits sur les flux monétaires détenus par l’actionnaire de contrôle entraîne une valeur marchande plus élevée. L’impact positif de la concentration de la propriété sur la valeur marchande diminue lorsque la protection légale est meilleure. Du point de vue théorique, notre modèle est similaire à celui de La Porta et coll. (2002) mais se distingue sur deux points. Premièrement, on inclut parmi les mécanismes de protection de la minorité la gouvernance interne. Puisque plusieurs études ont montré que celle‐ci avait un impact positif sur la performance de la firme [Beaulieu et Bédard (2009), Aggarwal et coll. (2009), Bruno et Claessens (2010)], l’inclusion de ce facteur est pertinente. Notre modélisation, similaire à celle effectuée par Doidge et coll. (2007), permet à l’actionnaire majoritaire d’ajuster la protection de la minorité au‐delà du niveau préétabli par la gouvernance externe. Deuxièmement, plutôt que de considérer comme exogènes les parts détenues par l’entrepreneur, on permet à celui‐ci de choisir la fraction des parts qu’il désire vendre au marché. Selon notre modèle, c’est l’attrait de la diversification en lui‐même qui pousse l’entrepreneur à faire appel aux marchés financiers, ce qui en contrepartie donne naissance aux conflits d’agence entre l’entrepreneur et la minorité. Le choix optimal des parts à conserver dépend donc des bénéfices en termes de diversification et des coûts en termes de gouvernance associés à la vente des parts. En ce sens, notre modèle tranche avec la littérature théorique existante. En effet, les modèles théoriques sont généralement construits autour de l’idée que c’est le besoin de financement externe qui pousse les entreprises à faire appel aux marchés financiers [Shleifer et Wolfenson (2002), Doidge et coll. (2007)]. L’objectif de cette étude n’est pas de déterminer laquelle de ces approches est la plus appropriée et par ailleurs, rien n’indique que celles‐ci soient mutuellement exclusives. Il s’agit simplement de développer un modèle dans lequel la gouvernance demeure pertinente même pour les firmes en mesure de financer leur propre croissance. La solution de notre modèle théorique permettra de formuler différentes propositions qui sont testées empiriquement dans la section 4. Plusieurs études empiriques se sont déjà intéressées à l’impact de la gouvernance sur la valeur de la firme. Les résultats de ces études montent qu’une bonne gouvernance interne ou une bonne gouvernance externe sont associées à une valeur marchande plus élevée [Aggarwal et coll. (2009), Klapper et Love (2004), La Porta et coll. (2002)]. Certaines études se sont intéressées à l’interaction entre ces deux mécanismes de gouvernance et montrent que l’impact d’une bonne gouvernance interne est plus fort lorsque la protection légale est plus faible [Beaulieu, Bédard (2009)]. Bruno et Claessens (2010) montrent que dans tout régime légal, une hausse de la gouvernance interne entraîne une hausse de la valeur des firmes. Cependant, cette hausse de la valeur marchande est particulièrement marquée lorsque le régime légal dans lequel opère la firme offre une faible protection à la minorité. D’autres auteurs ont étudié l’impact de la structure de propriété sur la valeur de la firme. Les résultats obtenus sont plus nuancés. Morck et coll. (1988) constatent une relation positive entre le Tobin’s Q et les parts détenues par les initiés lorsque ceux‐ci en possèdent moins de 5 %. La relation s’inverse pour des niveaux de concentration supérieurs. McConnell et Servaes (1990), montrent quant à eux une relation positive et significative entre le Tobin’s Q et les parts détenues par les actionnaires externes de grande taille. La Porta et coll. (2002) présentent des résultats similaires à ceux de McConnell et Servaes (1990) et estiment l’impact sur le Tobin’s Q
de l’interaction entre la protection légale et les parts détenues par les actionnaires externes de taille. Le coefficient estimé du terme d’interaction est négatif (mais pas statistiquement significatif) ce qui laisse supposer que la concentration de la propriété dans les mains des actionnaires externes est un mécanisme de gouvernance plus pertinent lorsque la protection légale est faible. Demsetz et Lehn (1985) étudient l’effet de la propriété par les gestionnaires sur la profitabilité des firmes américaines et ne trouvent aucune relation entre ces deux éléments. Claessens et coll. (2002) ainsi que Mork et coll. (1988) distingue l’impact négatif du contrôle de l’impact positif de la propriété. Ces deux études montrent que la valeur de la firme est positivement affectée par l’incitatif financier associé à un degré de propriété élevé, mais négativement affectée par l’effet d’enracinement associé à un degré de contrôle plus élevé. Cependant, l’interaction entre la gouvernance interne et la concentration de la propriété n’a été documentée dans aucune de ces études. Une des propositions de notre modèle théorique est qu’il devrait exister une relation de substitution entre ces deux mesures de gouvernance. L’analyse empirique effectuée supporte cette hypothèse.
FACULTÉ DES SCIENCES DE L’ADMINISTRATION
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