Rapport d’activités 2014

(AG du 15 juin 2015)

Faire mouvement pour l’alternative économique et sociale

Equipe (au 31/12/2014)

Marie-Caroline Collard - DirectriceFernande Cobergh - SecrétaireJean-Luc Bodson - Chargé de projetsLaurence Plumier - Chargée de projetsGaëtan Vanloqueren - Chargé de projetsEstelle Mahieu - Graphiste

AGenCe-ConSeilJean-François Herz - Coordinateur agence-conseil Pierre van Steenberghe - Chargé de projetsStéphane Lejoly - Chargé de projetsJean-Marc Zanatta - Chargé de projets

eDuCAtion permAnenteVéronique Huens - Coordinatrice éducation permanenteFrédérique Konstantatos - Chargée de projetsQuentin Mortier - Chargé de projetsBarbara Garbarczyk - Chargée de projets

SCS CycladeS, société consultante externe, gérée par C. Hublet

Le CA

ALEAP (Aude Humblet)CF2m (Bernard Goffinet)FEBRAP (Kaliopi lolos)Réseau Financité (Bernard Bayot)CrédalEWETA Arnaud Pinxteren

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Sommaireintroduction .............................................................................................................................................................5

FédéRATion ...........................................................................................................................................7

MembershipCoup de projo Huit nouveaux membres en 2014 .....................................................................................................9Veille et actions politiquesCoup de projo le plan stratégique ...........................................................................................................................11Coup de projo elections 2014 : des actions de plaidoyer en Wallonie et à Bruxelles .........................................12Zoom sur Suivi des réformes institutionnelles ................................................................................................13Conférence débat Social impact Bond : quelles balises pour un outil de financement innovant ? ...........................14Marchés publicsCoup de projo plateformes sectorielles en région wallonne .................................................................................15Coup de projo Groupe de travail bruxellois .............................................................................................................16Zoom sur Vade mecum bruxellois sur les clauses sociales .............................................................................17Zoom sur un site et une newsletter dédiés aux clauses sociales à Bruxelles ..............................................18Communication Coup de projo travaux graphiques ...........................................................................................................................19Coup de projo réseaux sociaux................................................................................................................................20impulCera Coup de projo evénement de clôture ......................................................................................................................21Zoom sur Success stories ..................................................................................................................................22

EduCATion PERMAnEnTE ................................................................................................................................23

intro l’entreprise et l’économie : lieux et sujets de débats et de réflexions .........................................24Animations et formationsCoup de projo Chantiers de l’eS 2014 : 5e édition ! ................................................................................................25Coup de projo la radio comme nouvel outil ...........................................................................................................26Zoom sur la Ceinture Aliment-terre liégeoise .................................................................................................27Zoom sur 17 octobre : Journée mondiale de lutte contre la pauvreté ...........................................................28

4

Analyses et étudeCoup de projo récits et changement social ...........................................................................................................29Zoom sur 15 analyses critiques ........................................................................................................................30

AGEnCE-ConSEiL .............................................................................................................................................31

Services ACCoup de projo Circuits courts et agriculture sociale ................................................................................................33Coup de projo Ateliers de transformation collectifs ...............................................................................................34Projets Coup de projo modèle Asseco dans le secteur de la distribution de produits bios ..............................................35Zoom sur le projet « Vert pellet » .....................................................................................................................36Zoom sur « C’est financé près de chez vous » ..................................................................................................36

CHiFFRES 2014 ................................................................................................................................................37

Bilan 2014 ..........................................................................................................................................................................39résultat 2014 .....................................................................................................................................................................42

membres SAW-B 2014 par province .................................................................................................................................48

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2014 était une année importante au plan politique pour l’économie sociale : la triple élection au mois de mai a déterminé les orientations politiques pour les cinq années à venir. SAW-B a bien entendu participé aux débats et interpellations préélectoraux et exprimé les attentes des entreprises sociales via des memoranda réalisés avec ses membres et fédérations membres.

Au lendemain des élections, notre fédération a œuvré au mieux pour influer sur les déclarations de politiques gouvernementales. À la mise en place des gouvernements, nous avons rencontré les ministres wallons et bruxellois en charge de l’économie sociale et avons pu leur faire part de la vison portée par SAW-B pour le soutien et le développement de l’économie sociale mais aussi dialoguer avec eux sur leurs projets et plans d’actions.

Au plan politique et dans la perspective de faire mouvement pour l’alternative éco-nomique et sociale avec d’autres, nous avons également rejoint deux plates-formes de lutte contre le projet de ttip (transatlantic trade ans invesstment partnership), D19-20 et no-transat.

Fin 2014, SAW-B a co-signé l’appel à « tout autre chose » que les politiques d’austérité, aux côtés d’associations et de citoyens résolus à créer un mouvement pour proposer des alternatives aux politiques actuelles qui fragilisent la majorité des citoyens au profit d’une vision ultralibérale de l’économie et de la société.

Introduction

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Fédération

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Membership

nouveaux membres en 20148Coup

de projo

Alveus Cette coopérative de pompes funèbres (scrlfs) a pour objectif de proposer des funérailles les plus écologiques et les plus accessibles possibles. Site : wwww.alveus.coop

A.P.R.E. SERViCES etA spécialisée dans l’emballage (blisters et skin pack), la pose d’œillets et de rivets, les montages électrique et mécanique, etc. elle propose également un service de nettoyage de bureaux, locaux et surfaces.Site : www.apreservices.be

Le Moulin de la Hunelle etA active dans la restauration, le conditionnement, l’aménagement intérieur, l’entretien des parcs et des jardins, etc. elle mène actuellement avec SAW-B un projet portant sur la production de pellets à base de déchets verts.Site : www.moulin-de-la-hunelle.be

Les Hautes Ardennes entreprise de travail Adapté (etA). Cette etA arden-naise est active dans plusieurs secteurs d’activités tels que le conditionnement, la boissellerie et le service aux entreprises. Site : www.leshautesardennes.be/eta

Les Pépinières de la Gaume etA (scrlfs) active dans les secteurs des espaces verts, pépinière, maraîchage écologique et écoconstruction (ossature bois et poteau-poutre). Site : www.pepiniereslagaume.be

Parten-ES l’asbl accompagne les acteurs de l’économie sociale dans leurs projets d’entreprise en leur proposant dif-férents services : consultance, formations, séminaires, etc. elle a également pour objectif d’aider les deman-deurs d’emploi et exclus sociaux à réintégrer le marché du travail. Site : www.partenes.be

10

«

«

pAroles de membres

Alveus, dans son secteur d’activités bien particulier,

essaie également de promouvoir l’économie sociale.

le public est souvent surpris d’apprendre que même

dans les pompes funèbres, des alternatives existent !

la coopérative estime que sa démarche doit s’ins-

crire dans un réseau d’initiatives et c’est ainsi qu’elle

a rejoint, outre SAW-B, poseco, Febecoop ou encore

new-B.

l’eS est, pour les femmes, un important pourvoyeur d’emplois ainsi que de services mis en œuvre en vue d’améliorer leur employabilité. néanmoins des discriminations subsistent (présences au sein des CA...). Synergie estime que SAW-B peut être un lieu pertinent pour analyser, porter et revendiquer une meilleure égalité entre les femmes et les hommes.

le RiEPP constate que les valeurs et principes défendus dans le secteur des services destinés aux enfants et aux familles sont – entre autres – ceux de l’économie sociale : primauté de l’humain sur le profit, démocratie interne, démarches participatives, qualité des emplois et des ser-vices, plus-value sociale, etc... il se retrouve donc totale-ment dans les principes énoncés dans la charte de SAW-B. en outre, les thématiques d’action prioritaires et les ré-seaux de SAW-B et du riepp sont complémentaires, ce qui constitue un terrain idéal pour des collaborations mutuel-lement bénéfiques.

Voilà de nombreuses années que l’etA Les Pépinières de la Gaume travaille en parte-nariat avec SAW-B. elle souhaite approfon-dir les liens et plus particulièrement, la col-laboration au travail mené par SAW-B pour renforcer la présence des entreprises d’éco-nomie sociale dans les marchés publics.

pour Le Moulin de la Hunelle, devenir membre

de SAW-B, c’est intégrer et participer à un mou-

vement qui propose une alternative au monde

économique actuel… tout simplement !

Synergie Wallonie pour l’Egalité entre les Femmes et les Hommes l’association lutte contre toutes les formes d’inégalités et de discriminations vécues par les femmes. elle fédère et anime un réseau pluraliste d’acteurs wallons œuvrant pour l’égalité hommes-femmes. Site : http://synergie-wallonie.over-blog.org

Réseau d’initiatives enfants parents professionnels (RiEPP) Des actions centrées sur le développement d’initiatives citoyennes, un centre de formation et de recherche prio-ritairement axé sur le secteur de l’enfance et de la pa-rentalité. le réseau est actif sur l’ensemble de la FWB. Site : www.riepp.be

11

Coup de projo

le moment est venu de faire l’évaluation du plan stra-tégique 2010-2014, et de s’atteler au plan stratégique 2015-2020. Après discussions en équipe lors de la mise au vert de mars 2014 et de nombreux aller-retour, le contenu dans ses grandes lignes a été présenté au CA du 26 juin. Cette première ébauche s’articule autour d’une vision, de quatre axes, de trois thématiques et de multiples questions de positionnements.

Dans le plan stratégique 2010-2014, l’option avait été prise de creuser notre identité de mouvement. le pro-chain plan stratégique entend aller plus loin dans cette direction. C’est là le cœur de notre vision : mettre en mouvement les alternatives économiques et sociales pour une transformation sociale. Cette vision prend corps dans quatre axes de travail que nous souhaitons développer de manière privilégiée : soutenir l’entre-preneuriat social ou comment intégrer toutes les com-posantes des entreprises sociales ; aller à la rencontre des citoyens ou comment prendre en compte la dimen-

sion citoyenne de l’aspiration à un changement du fonctionnement de l’économie ; nouer des alliances ou comment renforcer nos actions, nos positionnements en s’alliant avec d’autres acteurs et mouvements tout en renforçant leurs actions et prises de position ; favo-riser une autre gouvernance ou comment améliorer notre gouvernance interne, la renouveler en fonction des évolutions vers un mouvement et, à l’externe, comment approfondir la démocratie économique dans les entreprises sociales avec les travailleurs de l’éco-nomie sociale.

trois thématiques générales sont transversales à ces axes de travail : la démocratie économique, l’entre-preneuriat social et le fait de produire, consommer et travailler autrement.

le plan stratégique s’appuiera sur des plans d’actions, l’ensemble fera l’objet d’évaluations annuelles.

Veille et actions politiques

Le plan stratégique

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Elections 2014 : des actions de plaidoyer en Wallonie et à BruxellesCoup

de projo

en prévision des élections régionales, fédérales et eu-ropéennes du 25 mai 2014, plusieurs actions de plai-doyer ont été menées par SAW-B.

TRoiS MEMoRAndA (FédéRAL/EuRoPéEn, WALLon ET BRuxELLoiS) ont été publiés et largement dif- fusés à la presse et auprès des politiques et can-didats des différents partis. Ces memoranda soute-naient à la fois des revendications de nos fédérations membres et amenaient des revendications propres.

un débat a eu lieu le 26 mars autour des revendica-tions contenues dans les mémoranda wallon et euro-péen, en présence de Christian noiret pour ecolo, ri-chard Fourneaux pour le mr, marc tarabella pour le pS et Benoit Drèze pour le cdH. les membres de SAW-B ont ainsi pu faire remonter leurs préoccupations sur des thématiques telles que la consolidation des titres-services, l’avenir des Ape, Sine, Art. 60§7 et Art. 61 dans le cadre du transfert de compétences vers les ré-gions, le soutien à la création de nouvelles entreprises sociales et le développement des coopératives, etc.

À Bruxelles, en sus du mémorandum bruxellois, une action collective a été menée par les fédérations repré- sentatives de l’économie sociale de la région. onze revendications bruxelloises ont ainsi fait l’objet d’un

document commun et d’une conférence de presse, le 22 avril à la maison de la presse. les 9 signataires qui ont pris part à l’initiative sont ACFi, Febecoop, Febio, la FeBiSp, la FeBrAp, la Fédération des maisons médi-cales, JobYourself, ressources et bien entendu, SAW-B.

LES ENTREPRISES SOCIALES, UNE VRAIE RÉPONSE À LA CRISE !Comment consolider les titres-services et assurer un emploi de qualité ?

Dans le cadre du transfert de compétences vers les régions, quels moyens seront réellement

investis dans l’économie sociale ? Quel est l’avenir des ACS, SINE, Art. 60§7 et Art. 61 ? Quelles compétences régionales et quelles actions pour soutenir la création de nouvelles

entreprises sociales et le développement des coopératives ? SAW-B vous invite le mardi 1er avril 2014 à 19h à un débat pré-électoral

En présence de : Marie Arena, Arnaud Pinxteren, Serge de Patoul, Rachid Madrane

(sous réserve), un représentant du cdHA l’aube des élections régionales, fédérales et européennes du 25 mai,

ne laissons pas passer l’occasion de porter nos revendications devant

les candidats qui, demain, seront amenés à faire des choix détermi-

nants pour l’avenir des entreprises sociales bruxelloises.

Auberge de Jeunesse Sleep Well rue du Damier 23 à 1000 Bruxelles

Salle Schuman

Contact : l.plumier@saw-b.be Inscription avant le 24 mars,

en cliquant ICI

1er AVRIL à 19hLES ENTREPRISES SOCIALES,

UNE VRAIE RÉPONSE À LA CRISE !

Comment consolider les titres-services et assurer un emploi de qualité ? Dans le cadre du transfert de compétences vers les régions, quels moyens seront réellement investis dans l’économie sociale ? Quel est l’avenir des APE, SINE, Art. 60§7 et Art. 61 ? Quelles compétences régionales et quelles actions pour soutenir la création de nouvelles entreprises sociales et le développement des coopératives ?

SAW-B vous invite le mercredi 26 mars 2014 à 19h à un débat pré-électoral En présence de : Eliane Tillieux, Marc Tarabella, Jean-Luc Crucke, Christian Noiret et Maxime Prévot.

A l’aube des élections régionales, fédérales et européennes du 25 mai, ne laissons pas passer l’occasion de porter nos revendications devant les candidats qui, demain, seront amenés à faire des choix détermi-nants pour l’avenir des entreprises sociales wallonnes.

Le Château de Namur

Avenue de l’Ermitage, 1

5000 Namur

Contact : l.plumier@saw-b.be

Inscription avant le 18 mars,

en cliquant ICI

26 MARS à 19h

invitations aux débats

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Suivi des réformes institutionnelles

les 6e réformes institutionnelles sont le fruit d’un long processus qui a abouti à l’adoption, le 6 janvier 2014, de la loi spéciale relative à la Sixième réforme de l’etat (publiée le 31 janvier 2014 au moniteur belge).

Cette loi organise le transfert de compétences de l’etat fédéral vers les régions et les Communautés.

parmi les compétences transférées, certaines touchant à l’emploi ont un impact direct sur les entreprises d’éco-nomie sociale : mesures de réduction de cotisations patronales, activation des allocations de chômage pour les groupes cibles, politique d’emploi des bénéficiaires du revenu d’intégration sociale ou de l’aide sociale financière, titres-services, contrôle de la disponibilité des chômeurs, plan d’embauche, etc. Face à ces chan-gements importants pour les entreprises sociales, il est essentiel que les acteurs de l’économie sociale adop-tent un positionnement commun à défendre auprès des ministres et des interlocuteurs sociaux régionaux

à la manœuvre pour faire aboutir ces réformes. tout au long de l’année, SAW-B a participé activement au sein de ConcerteS – la plate-forme de concertation fran-cophone des fédérations de l’économie sociale – aux travaux et aux débats qui ont permis une formulation de revendications générales lors des élections de 2014 et qui aboutissent à des propositions détaillées et chiffrées début 2015, au moment où commencent à s’organiser les discussions au plan régional.

Zoom

sur

Suivi des transferts...

14

social Impact bond : quelles balises pour un outil de financement innovant ?

notre analyse critique sur les SiB ou «obligations à impact social» (analyse de mai 2014 intitulée « Social impact Bonds » : win-win ou marché de dupe ?) a suscité de multiples réactions. Ce nouvel outil de financement, présenté comme très efficace, pose de questions éthiques et nécessite à notre avis la mise en place de balises. C’est pourquoi nous avons organisé une conférence-débat sur le sujet avec l’Académie des entrepreneurs sociaux.

la rencontre s’est déroulée en trois temps. primo, la compréhension des rouages de ce mécanisme et de son contexte d’émergence. Secundo, la réflexion sur les balises, portée, d’une part, par le témoignage de Gregor Chapelle, directeur général d’Actiris, associé au premier SiB belge et, d’autre part, par les regards critiques du CeDAG (Comité européen des associations d’intérêt général) et de la FeBeA (Fédération européenne des Banques ethiques et Alterna-tives). tertio, le débat avec les très nombreux participants venus de mondes diversifiés (investisseurs, pouvoirs publics et entreprises sociales).

Conférence-débat

15

Marchés publicsles clauses

sociales dans les mArCHéS

puBliCS

Deux plateformes d’échange sur les marchés publics – regroupant des entreprises sociales du secteur de la construction et des métiers verts – existent déjà depuis plusieurs années en provinces de Hainaut et namur-luxembourg. en 2014, ce sont deux nouvelles plate-formes sectorielles qui ont vu le jour : une dans le sec-teur du nettoyage ainsi qu’une autre dans le secteur de l’Horeca.

la plateforme nettoyage a été initiée en juin 2014. Ce secteur est important en économie sociale. le dialogue entre entreprises est délicat tant au sein de l’économie sociale qu’entre ses acteurs et les entreprises classiques du secteur. une première phase vise à créer les condi-tions d’un réel dialogue entre les entreprises de l’éco-nomie sociale. A l’avenir, des contacts seront pris avec le secteur classique dans une perspective de construc-tion de passerelles d’emploi.

la plateforme Horeca, qui a démarré en septembre, regroupe des opérateurs de cuisine de collectivité en économie sociale. l’initiative part de plusieurs constats. D’abord, dans cette niche, le secteur est porteur d’em-ploi dans les entreprises classiques et offre des pistes d’insertion pour les travailleurs des entreprises d’éco-nomie sociale. ensuite, ces derniers mois, plusieurs pouvoirs adjudicateurs ont sollicité SAW-B pour l’inté- gration de clause sociale couplée à une demande d’ali-mentation saine. De toute évidence, l’évolution actuelle est de consacrer plus d’attention à la qualité des repas et à leur contenu : équilibre nutritionnel, produits de saisons et circuits courts, intégration progressive de produits issus de l’agriculture biologique, etc. une réflexion est donc en cours avec les membres de la plateforme sur le développement de leur capacité à répondre à cette demande grandissante.

Plateformes sectorielles en Région wallonneCoup

de projo

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Coup

de projo Groupe de travail bruxellois

À l’initiative de SAW-B et de la direction des marchés publics locaux de l’administration régionale bruxelloise, un groupe de travail informel s’est créé en juillet 2014 visant l’étude de la question du contrôle de l’exécu-tion des clauses sociales. Celle-ci est centrale pour la crédibilité de la clause sociale. Ce groupe a planché, dans un premier temps, sur le Vade mecum de l’ordon-nance de 1999 et s’est accordé sur une série d’aména-gements qui seront mis en œuvre dans le cadre d’une circulaire qui sortira cet été.

le Gti étudie également les modalités de contrôle pratique afin de proposer aux pouvoirs adjudicateurs bruxellois un outil concret et pratique de suivi de l’exé-cution de la clause.

Ces réflexions de ces derniers mois ont aussi pointé d’autres questions qui posent problème :

• le coût de la clause sociale et son traitement par le pouvoir adjudicateur et par les entreprises soumis-sionnaires;

• l’articulation des opérateurs de contrôle des chan-tiers de travaux pour la clause sociale et au-delà du contrôle anti-dumping social (inspection sociale fédé-rale, inspection sociale bruxelloise, inspection clause sociale Actiris, inspection marchés publics au sein des communes). Ces différents niveaux de contrôles ne sont pas en contact. une première rencontre a permis de proposer déjà plusieurs modalités de communica-tion et de coopération;

• le suivi statistique des clauses sociales;• l’évaluation de l’impact des clauses sociales.

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Vade mecum bruxellois sur les clauses sociales

À l’initiative de la ministre de l’emploi bruxelloise, SAW-B a publié un guide pratique consacré aux clauses sociales dans les marchés publics à destination des pouvoirs adjudicateurs bruxellois : Marchés publics et clauses sociales, le pari gagnant des adjudicateurs bruxellois. outil très pratique, il est riche en exemples concrets par secteurs et permet d’appréhender facile-ment les multiples formes que peuvent prendre les clauses sociales.

Cet ouvrage bilingue s’attarde sur les dispositifs de clauses sociales les plus courants. il recouvre en outre les pratiques propres à la région bruxelloise, comme la clause d’insertion « mise à l’emploi » rendue obligatoire pour les marchés de tra-vaux via l’ordonnance du 22 avril 1999. un chapitre met en lumière les affinités naturelles entre les contrats de quartier durable et les fina-lités des clauses sociales. un dispositif inno- vant est amené en lien avec les « articles 60§7 ».

la publication du document a donné lieu à un évène-ment de présentation le 6 mai au Bip, en présence notamment de la ministre Céline Frémault et du direc-teur général d’Actiris, Grégor Chapelle, ainsi que de nombreux pouvoirs adjudicateurs bruxellois intéressés de découvrir un nouvel outil leur facilitant l’insertion de clauses sociales dans leurs cahiers de charge.

Zoom

sur

Marchés publics & clauses sociales

le pari gagnant

des adjudicateursbruxellois

CPAS et

article 60 §7

Kaléidoscope

d’expériences

Economie sociale

Contrats de quartier

Acteurs

et outils

Cellule de

coordination

clauses sociales

Stages et

formations

Mises à

l’emploi

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Un site et une newsletter dédiés aux clauses sociales à Bruxelles

en complément au vade mecum marchés publics et clauses sociales, et en articulation avec la Cellule coor-dination clauses sociales au sein d’Actiris, un site inter-net et une newsletter dédiés aux clauses sociales et destinés aux pouvoirs adjudicateurs bruxellois ont vu le jour parallèlement. le site, prolongement du vade mecum, offre une large bibliothèque d’outils pratiques comme des formules à télécharger et à copier-coller directement dans les cahiers de charges, ou encore des documents à joindre au CSC et à compléter comme des attestations de bonne exécution ou des listes de présence sur chantier.

le site est également alimenté par les articles publiés dans la newsletter au rythme de cinq numéros par an. le premier numéro est sorti en dé-cembre. prioritairement orien- tée vers les pouvoirs adjudica-teurs, la liste d’envoi comporte pas loin de 600 adresses. le contenu est varié et accessible. une rubrique est dédiée à des questions juridiques. la rubrique « Bonnes pratiques » permet à un pouvoir adjudicateur de mettre en valeur un marché à clauses so-ciales exemplaire. Dans la rubrique « et ailleurs », une pratique mise en œuvre dans d’autres régions ou pays

est présentée afin d’ouvrir l’horizon. la rubrique « par-tenaires » met en évidence la logique de partenariat dans laquelle la politique de la clause sociale s’inscrit en région bruxelloise. une rubrique « Actualités » permet de relayer les évènements et nouveautés touchant à la pratique de la clause. enfin, deux entreprises d’éco-nomie sociale bruxelloises ont l’occasion de présenter leurs activités et de se faire connaitre aux pouvoirs adjudicateurs par le biais d’une interview, dans la ru-brique « entreprises sociales à l’honneur ».

la newsletter a reçu un accueil favorable et a d’ores et déjà fait l’objet de nombreux retours positifs.

Zoom

sur

19

CommunicationCoup

de projo

SAW-B com crée, met en page, illustre... pour notre asbl, pour nos membres et plus largement encore.

en 2014, une bonne vingtaine de clients différents ont fait appel à nos services pour des projets très variés : lettre d’ap-pel aux dons, affichage dans les abri-bus et dans les bus, store de vitrine, décoration de vitrine, design de site internet, rap-port d’activités, brochure de présentation, farde à rabats, cam-pagne pour un événement, logo...

Travaux graphiques

La graineFICHE 1

Objectifs matériel•Premier contactavecunegraine.• Observer différentesgrainesetfaireressortirdessimilitudesetdesdifférences.• connaîtrelerôledelagraineetsondéveloppement.

• Graine(s) de haricot (préalablementtrempée(s)unenuitdansdel’eau).• Graines de différentes plantes(variétédeformes,tailles,couleurs).•boites loupes.

Qu’est-ce qu’une graine ?Qu’est-ce qu’il y a à l’intérieur d’une graine ?Unegrainecontientunembryonvégétal(ougerme)enfermédansdestissusremplisderéservesnutritives(l’albumen)etprotégéparuneenveloppeprotectrice(letégument).Lagraineestproduiteàl’intérieurd’unfruit.Parexemplechezleharicot,lefruitc’estlagousseetlesgrainessesontlesharicotsquenousmangeons.Al’intérieurdelagraineilyauneplanteminiature(embryonvégétal).Aprèslagermination,lagrainesedéveloppepourdonneruneplante.Lesracinesvontsortirlespremièresenperçantl’enveloppedelagraine(tégument)ets’enfoncerdanslesol,puislespremièresfeuillesvontsortir.

expérience

couperune(ouplusieurs)graine(s)deharicotdanslesensdelalongueurpourobserverl’embryonvégétalprésentàl’intérieurdelagraine.

! Pensezàfairetremperlesgrainesdansdel’eaupendantunenuit(12H)avantdefairel’expérience.

la diversité des graines

Ilexisteunegrandevariétédegraines.Ellesvarientdansleurforme,leurtaille,leurtextureetleurcouleur.elles ont néanmoins toutes la même fonction : donner naissance à une nouvelle plante !

les Petites Graines

Dansdesboites loupes,disposerdesgrainesdedifférentesplantes(parexemple:capucines,pois,radis,carottes,tomates,lentilles,etc.).Veilleràpré-senterdesgrainesdeformes,detaillesetdecouleurs

les Grandes Graines

Préparerdesgrainesdeplusgrandestailles(parex.:haricot,maïs,avocat,pêche,noixdecoco...).

activité

Schéma du cycle de vie du haricot

Le cycle de vie des plantes àvec fleurs

FICHE 4

Une plante à fleurs naît d’une graine qui a germé (on parle de germination). Ensuite la plante grandit. Elle

produit des feuilles et puis fleurit. Les fleurs, après fécondation, deviennent des fruits porteurs de graines. Et

le cycle recommence avec une nouvelle graine (chaque graine donnera naissance à une plante !).

1

2

3

4

5

6

1. La graine germe.2. Les cotylédons s’écartent et laissent apparaître les premières feuilles.

3. Les premières feuilles sont épanouies, la plante grandit.4. La plante est en fleurs.5. Les fleurs deviennent des fruits (gousses). Les gousses contiennent les graines.

6. Le cycle recommence à partir d’une nouvelle graine.

20

Coup

de projo Réseaux sociaux

2014 a vu l’arrivée de SAW-B sur les réseaux sociaux.

le but : promouvoir nos actions, diffuser nos produc-tions et relayer des informations de façon plus ciblée (linkedin) ou plus large (Facebook).

Ces nouveaux outils sont aussi de riches sources d’infor-mation, un moyen efficace pour suivre et relayer les ac-tualités de l’économie sociale comme de nos membres.

outils de partage, linkedin et Facebook augmentent notre visibilité et nous permettent de toucher un pu-blic diversifié, qui augmente de façon progressive mais continue.

Six mois après leur lancement, on compte 340 « like » sur notre page Facebook et 110 sur Linkedin : en faites-vous déjà partie ?

21

démarré en janvier 2009, le projet impulcera s’ache- vait en 2014. Cinq candidats ont pu bénéficier des dernières bourses d’étude de faisabilité et deux autres d’une bourse de lancement lors d’une onzième session en mai 2014, tandis que deux candidats décrochaient encore une bourse de lancement lors d’une ultime ses-sion en novembre.

un évènement a été organisé le 19 novembre à Gem-bloux, afin de célébrer non seulement les projets accom- pagnés durant les cinq dernières années dans le cadre de ces bourses, mais plus largement la créativité de l’entrepreneuriat social. ouvert à tous et particulièrement orienté vers les candidats à l’entrepreneuriat social, il offrait un large panel d’activités et d’intervenants.

Des tables-rondes ont permis à des candidats d’entendre des porteurs actifs dans un secteur d’activité similaire présenter rapidement leur projet mais surtout, évo-quer le parcours de création de leur entreprise (étude de faisabilité, opérationnalisation, difficultés, solutions trouvées, compétences requises, etc.). un système de speed-dating pour que les candidats discutent durant 15 à 20 minutes de questions techniques pointues avec des experts répartis en 7-8 tables. Quelques-uns ont eu l’opportunité de « challenger » en quelques mi-

nutes leur projet devant un public et un jury composé de deux professionnels de l’accompagnement et de deux créateurs d’entreprises chevronnés. en début de soirée, un débat intitulé « Quel soutien pour l’innova-tion en économie sociale ? » a permis d’ouvrir, après une présentation de l’évaluation d’impulcera réalisée par le Centre d’économie sociale (ulg), les perspectives autour du soutien à l’entrepreneuriat social en Wallonie

et à Bruxelles.

ImpulCeraEvénement de clôtureCoup

de projo

22

Success stories

Sur les cinq années d’existence du programme, une cinquantaine de projets ont obtenu le soutien d’une bourse d’étude de faisabilité, pour une valeur allant de 2 à 5000 euros. parmi ceux-ci, 13 ont, par la suite, obtenu une bourse de lancement d’une valeur de 10 000 €.

La microbrasserie du Renard peut être mentionnée parmi les belles

réussites. Bientôt installée à Grez-Doiceau dans un « hall agroalimentaire » avec une savonnerie et un atelier de transformation de légumes locaux et biologiques, elle

prend la forme d’une société coopérative à finalité sociale. les

consommateurs peuvent devenir coopérateurs en investissant au moins

250 € dans un part, laquelle donne droit à une parti- cipation aux bénéfices, au droit de vote lors des réu-nions de l’Assemblée Générale, à la participation gra-tuite aux activités de la brasserie (brassage, mise en bouteilles,...), etc. toutes les bières du renard sont des bières artisanales de haute fermentation, brassées à partir de matières premières certifiées « bio », et refer-mentées en bouteille. les bières varient en fonction des saisons. en tout, 5 bières sont d’ores et déjà pro-posées à la dégustation.

Autre réussite, l’asbl nos oignons a pour but de per-mettre à un large public, et plus particulièrement à des personnes qui fréquentent ou qui ont fréquenté des institutions de soin en santé mentale, l’accès et la participation à des processus de production alimen-taire s’inscrivant dans la lignée de l’agriculture biolo-gique. Des ateliers de jardinage sont organisés depuis 2012 à Grez-Doiceau (nethen), pour des personnes qui fréquentent le Club Antonin Artaud asbl (Bruxelles). D’autres groupes ont été accueillis ponctuellement, et de nouveaux partenariats sont à l’étude avec des institutions et des entreprises agricoles intéressées par le modèle. l’asbl se positionne également comme facilitatrice et coordinatrice pour des personnes sou-haitant réaliser des stages individuels d’insertion en entreprise agricole.

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sur

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Education permanente

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les entreprises sociales sont des entreprises « diffé-rentes ». elles relèvent d’une économie démocratique qui n’a pas pour finalité le profit. Au-delà de prester des services, produire des biens, créer des emplois, elles portent une certaine vision du monde et de la société : priorité à l’humain, égalité, redistribution, solidarité…

pour que ces alternatives incarnent un changement plus large et plus ambitieux, il nous semble nécessaire que les travailleurs, usagers, clients, membres des entre-prises sociales s’approprient leur projet particulier et le mettent en lien avec un mouvement plus large d’alter-natives économiques et sociales.

Dès lors, nous voulons stimuler la réflexion critique et collective autour des entreprises sociales. Quel est le sens, la raison d’être de cette entreprise ? Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Comment dépasser les freins, mettre à jour les tensions ? Quel rôle voulons-nous y jouer ?

Depuis 2009, nous proposons ce travail de réflexion critique et de débat à toutes les parties prenantes et « surprenantes » de ces entreprises à savoir à la fois les travailleurs, les coopérateurs, les personnes en for-mation mais aussi les usagers, les citoyens intéressés, les clients, etc. Cela se fait par des animations, des formations, des analyses et des études critiques. parce que construire l’économie sociale de demain est un chantier permanent qui ne peut être que participatif.

En 2014, notre travail a été reconnu, avec l’obten-tion de l’agrément « éducation permanente » au-près de la Fédération Wallonie-Bruxelles (pour l’axe 1 relatif aux Animations et Formations, en plus de l’axe 3.2 relatif aux Analyses et Etudes). nous avons réalisé plus de 250 heures d’animation avec plus de 20 entreprises, 70 heures d’animation avec le grand public. nous avons aussi publié quinze analyses et une étude avec des récits.

l’entreprise et l’économie : lieux et sujets de débats et de réflexions

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Animation & formationChantiers de l’ES 2014 : 5e édition !

Coup

de projo

Chaque année, SAW-B convie tous les travailleurs des entreprises so-ciales à se rencontrer. Les Chantiers de l’économie sociale, c’est un événement unique en son genre. A chaque fois, une centaine de par-ticipants se réunissent. issus de régions et de secteurs différents, avec des fonctions différentes dans leur entreprise sociale, ils par- tagent des questionnements communs, recherchent du sens, font naître des nouvelles idées, nourrissent leur enthousiasme.

pour la 5e édition, SAW-B a voulu marquer le coup et changer de format, avec une journée complète au lieu d’une demi-journée. l’occasion de doubler les temps des ateliers thématiques et de multiplier par autant les rencontres. tout en variant la forme (plus classique le matin et plus ludique l’après-midi). Ceci a permis de brasser de nombreux sujets : les préjugés sur les chômeurs, l’implication des usagers et la participa-tion des travailleurs, le partage des valeurs propres à

l’économie sociale… mais aussi les prati- ques de coopération, l’économie sociale de 2115, la vie d’une coopérative et bien d’autres encore. Cette 5e édition s’est éga- lement ouverte vers l’extérieur : avec deux caricaturistes et une troupe d’impro, c’est la critique et l’humour qui furent de la partie.

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La radio comme nouvel outil

2014 fut l’occasion de diversifier nos techniques de travail. nos animations cherchent à susciter le débat, nourrir la réflexion critique, mais aussi à donner la pa-role à ceux que l’on entend trop rarement, à mettre en relation des personnes qui se fréquentent sans se rencontrer. A cette fin, la réalisation d’émission radio s’est révélée être un outil efficace et stimulant.

en partenariat avec l’ASBl CtV médias, nous avons réa-lisé plusieurs émissions radio participatives. Si le résul-tat varie, le principe est toujours le même. D’abord, la constitution d’un groupe de volontaires autour d’une thématique, par exemple le sens du travail. Discussion et analyse collectives. ensuite, le choix d’une question spécifique à traiter dans l’émission, comme les mé-tiers dont on rêve ou l’écart entre le travail idéal et celui qui nous est proposé. ensuite, des duos ou trios équipés d’enregistreur réalisent des interviews en rapport avec la question choisie. le groupe écoute des enregistrements, réagit et poursuit les entre-tiens. il sélectionne des extraits pertinents. enfin, les participants réalisent l’émission en direct, sur

les ondes d’une radio partenaire : les participants pré-sentent alors leur démarche et au fil des extraits dif-fusés, ils exposent leur point de vue, partagent leur expérience. l’émission est ensuite mise en ligne et réécoutée puis discutée avec un groupe plus large que les seuls apprentis journalistes (par exemple, les for-mateurs et autres stagiaires, dans le cas d’une eFt).

Au final, cette démarche permet d’ouvrir des portes, de faire avancer une réflexion et de réaliser quelque chose dont on ne se pensait pas capable. le micro ra-dio donne confiance : avec lui, on ose. il agit comme un sésame et noue le dialogue avec les quidams de la rue comme avec le palais royal, des spécialistes ou encore, plus simplement, son équipe de travail (sta-

giaires, formateurs ou direction).

Coup

de projo

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La Ceinture Aliment-Terre liégeoise

A l’automne 2013, le lancement de la Ceinture Aliment-terre liégeoise, CAtl, a mobilisé 150 liégeois, entre-preneurs, agriculteurs, citoyens, chercheurs et acteurs associatifs. Après le lancement de cette dynamique pour relocaliser la production alimentaire et assurer l’autonomie alimentaire de la ville de liège, un second rendez-vous a été fixé en juin 2014.

Cette journée de rencontre conjuguait plusieurs objec-tifs : inspirer, faire état des avancements, nouer un maximum de liens entre les différents mondes qui s’associent autour de la CAtl, penser l’avenir, susciter de nouvelles réalisations. le matin fut donc consacré aux témoignages de rob Hopkins et Fiona Ward, acteurs emblématiques du mouvement de la transition en Angleterre. l’après-midi fut dédiée à divers ateliers thématiques. leur but était, en partant de réflexion en cours ou de projet en préparation, de pointer ensemble les « bonnes » questions à se poser à leur sujet pour qu’ils soient à la fois réalisables et en accord avec les valeurs citoyennes et durables de la Ceinture.

parmi l’ensemble des partenaires, la contribution de SAW-B a consisté à animer deux ateliers autour de deux questions :

• Circuits courts et grande distribution. des syner-gies entre circuits courts et grande distribution sont-elles souhaitables ? Et à quelles conditions ?

• « Accessibilité » sociale. Comment la CATL peut-

elle se construire avec tout le monde et pour tout le monde ?

Zoom

sur

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Face aux politiques d’austérité que préparait le nou-veau gouvernement fédéral, le réseau Wallon de lutte contre la pauvreté (rWlp) ainsi que les syndicats appe-laient à un font commun beaucoup plus large, alliant acteurs politiques traditionnels, mais aussi associations et citoyens qui refusent la misère. le but ? Se faire entendre, montrer que d’autres politiques sont souhai- tables et possibles. une journée ponctuée par une grande marche, par des revendications, mais aussi de nombreux ateliers de réflexion.

Dans ce cadre, nous avons animé deux ateliers. le pre-mier, « le travail, parlons-en ! » partait d’une écoute d’extraits d’une émission radio réalisée avec les sta-giaires d’Au Four et au moulin, une entreprise de forma- tion par le travail montoise. Qu’est-ce que le travail, le non-travail ? Quelle différence entre un travail et un emploi ? Quel regard la société porte-t-elle sur ceux qui n’ont pas d’emploi ? Quand le non-emploi est syno-nyme d’exclusion, quel rôle pour la solidarité et l’action collective ? le deuxième atelier, « les coopératives, des alternatives pour un autre rapport au travail et à l’em- ploi ? », proposait un débat à partir du film « le bonheur économique » : l’économie sociale et les coopératives ont-elles des propositions pour travailler, produire, con-sommer et donc partager autrement les richesses ?

17 octobre : Journée

mondiale de lutte contre

la pauvretéZoom

sur

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Récits et changement social

Coup

de projo

Qu’est-ce que l’économie sociale change, en fait ? pour répondre à cette question, nous avons pensé que les personnes mieux placées étaient celles qui « font » l’économie sociale, celles qui la vivent au quotidien, celles qui y travaillent. Dans trois entreprises sociales (la coopérative de travailleurs Cherbai, l’entreprise de formation par le travail Forma et l’entreprise de travail adapté nos pilifs), nous avons proposé en 2013 aux travailleurs intéressés d’écrire ensemble un récit col-lectif à propos des changements que leur entre-prise vit ou a vécu mais aussi ceux qu’elle produit, ceux auxquels elle contribue.

les trois récits ainsi obtenus nous ont interpellés. nous avons dès lors décidé de consacrer notre étude an-nuelle 2014 à l’analyse de ce que ces récits nous disent. nous avons ainsi organisé deux ateliers avec d’autres acteurs du changement social pour discuter, sur base de la lecture des récits, la question du changement et du mouvement social.

Au final, les questions auxquelles nous avons tenté de répondre par cette étude sont les suivantes : • en quoi a consisté la méthode de co-production des

récits, quels en sont les particularités et l’intérêt ?

• Que nous révèlent les récits des changements générés par les entreprises sociales ?

• Comment penser l’économie so- ciale comme source de change-ments sociaux ou sociétaux ?

• Quelles sont les perspectives théoriques et pratiques, intel-lectuelles et stratégiques, que nous ouvre la démarche « récit » ?

les résultats produits sont variés. les trois récits ont en commun une série de facettes ou composantes qui en font des « révélateurs ». les récits nous ont aussi permis de discuter trois hypothèses sur les liens entre économie sociale et changement social. ils nous ont fi-nalement permis d’identifier deux manières de « faire mouvement ». enfin, l’ensemble de la démarche nous a aussi permis de réfléchir à six pistes pour éviter que nos luttes ne deviennent dérisoires.

la démarche se poursuit avec d’autres entreprises so-ciales ainsi qu’avec des collectifs citoyens intéressés par et impliqués dans une autre économie.

Analyses et étude

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15 analyses critiques

nos analyses s’articulent toujours autour de quatre thé-matiques : les contours, objectifs et fonctionnement de l’économie sociale, les enjeux politiques (aux niveaux régional, fédéral ou européen) et de société, le travail (sens du travail et insertion socioprofessionnelle), la production et consommation alternative (dans la culture, l’alimentation, le logement, les services...).

Certaines d’entre elles font suite à une invitation. Ainsi, la fédération Aleap nous a invités à préparer et assis-ter à un événement important intitulé « paroles de stagiaires » dont nous avons tiré la voix des adultes en formation… ou l’énergie discrète des lucioles. l’ana-lyse Aide-ménagère à domicile – un vrai métier ! vient d’une soirée-débat organisée avec « le petit ciné » de Bruxelles. enfin, à la suite de plusieurs soirées-débats sur la situation en Grèce et en espagne, en partenariat avec Barricade, nous avons publié l’analyse la crise comme laboratoire ?.

D’autres analyses suscitent l’envie de prolonger la ré-flexion de certains de nos lecteurs. Ainsi, nos deux ana-lyses sur l’économie collaborative – Cinquante nuances de partage. le potentiel transformateur de l’économie collaborative et Sept enjeux pour l’économie collabo-rative de demain - nous ont valus d’être invités par le Ciep-moC pour participer à une journée d’étude.

Quelquefois, en continuité de ce premier travail d’écri-ture, nous organisons un « petit déjeuner de l’économie

sociale ». Ce fut le cas sur base de l’analyse des Social impact Bonds mais aussi du bicaméralisme économi-que. l’analyse (réalisée en 2014) et le petit déjeuner (2015) ont été centrés sur la rencontre passionnante entre la chercheuse isabelle Ferreras et quelques acteurs de l’économie sociale ou du monde syndical. Signalons aussi que la publication d’une troisième analyse sur le thème de l’évaluation de l’impact social (les deux premières étant parues en 2013) nous ont permis de mettre en place – en partenariat avec l’Académie des entrepreneurs sociaux – des ateliers collectifs centrés sur l’analyse collective de l’impact social de certaines entreprises telles que la Croix-rouge ou Agricovert.

enfin, certaines de nos analyses sont relayées par d’autres acteurs. relevons l’analyse intitulée Contre le traité transatlantique qui a alimenté les réseaux actifs, notamment sociaux, sur ce sujet d’actualité, ou encore notre analyse faisant le point sur l’évolution des concepts economie sociale, entreprise sociale, entrepreneuriat social : enjeux d’une évolution dont la qualité a été soulignée par les acteurs académiques. nos deux ana-lyses sur les salles de cinéma alternatives et les ate-liers de production audiovisuelle – on va au cinéma ce soir ? tour d’horizon des écrans alternatifs et produire autrement : l’exemple des ateliers de production au-diovisuelle – ont été mentionnées dans un article sur le sujet paru dans le journal « en marche » des mutualités Chrétiennes.

Zoom

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Agence-conseil

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Services AC

Circuits courts et agriculture socialeCoup

de projo

SAW-B anime, au sein du Centre de référence Circuits Courts, le groupe de travail « Circuits courts agriculture sociale ». Celui-ci vise à favoriser le développement de l’agriculture sociale en circuits courts en Wallonie, en soutenant les institutions et acteurs engagés dans l’agri-culture sociale, l’élaboration d’un cadre sécurisant et efficient, ainsi que la mise en place d’une structure de coordination des actions liées.

les membres actuels du groupe de travail sont issus des secteurs de la santé mentale, de l’agriculture ou de la personne handicapée (AWipH).

Depuis le printemps 2014, le groupe a analysé le con-texte de l’agriculture sociale en Wallonie et en europe, identifié des acteurs clés, commencé à les mettre en réseau et dressé des perspectives concrètes pour le développement opérationnel de l’agriculture sociale en circuits courts en Wallonie.

en 2014, il a amorcé aussi l’élaboration d’un cadre et de modèles adaptés à la situation des entreprises agri-coles en circuits courts, des institutions de soins et à l’environnement institutionnel en Wallonie.

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zooms

Coup

de projo Ateliers de transformation collectifs

il existe un intérêt croissant pour la commercialisa-tion en circuits courts de produits transformés (tant au niveau des consommateurs que des agriculteurs). en revanche, des difficultés techniques, administratives et financières constituent souvent des freins au lance-ment d’activités de transformation. la mise en place d’ateliers de transformation collectifs (AtC) permet de surmonter ces difficultés notamment en mutualisant les investissements, les outils, la main d’œuvre, les idées, etc.

C’est dans l’optique d’aborder ces problématiques qu’un Groupe de travail a été mis en place au sein du Centre de référence des Circuits Courts dont SAW-B est copi-lote avec Diversiferm.

Ce groupe de travail a commencé par réaliser un « ca-hier » décrivant certains modèles d’atelier de transfor-mation collectif (dans le domaine des fruits, légumes et produits laitiers) en Belgique et à l’étranger ainsi que les différentes étapes pour la création de ce type d’atelier sous la forme notamment de fiches théma-tiques. l’objectif pour 2015 est de produire un référen-tiel technico-économique / juridique / gouvernance afin de guider les choix des personnes désireuses de se lancer dans des activités de transformation.

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Modèle Asseco dans le secteur de la distribution de produits bios

Coup

de projo

un groupe de consommateurs a demandé à SAW-B d’élaborer un modèle économique en vue de la créa-tion d’une coopérative de distribution de produits bio-logiques, s’inspirant d’une épicerie bio située dans la ville de Gand (appelée « De Blauwe Bloem »). Dans ce modèle, les clients se concertent avec les épiciers en vue d’orienter certains choix économiques du maga-sin. Ce modèle est structuré sur base des principes de « l’association économique ». l’étude a été réalisée dans le cadre du projet Asseco, financé par le Spp intégra-tion sociale.

SAW-B a élargi le modèle économique initial pour en faire un modèle dit « mixte » et en étudier les avan-tages ainsi que la faisabilité.

A l’avenir, le modèle de concertation et de relations économiques solidairement réciproques existant entre les consommateurs et les épiciers, sera étendu en y intégrant les producteurs locaux et les autres acteurs de la filière. l’objectif à terme est de pouvoir dupliquer ce modèle à d’autres entreprises de production ou de distribution, en cours de création ou existantes.

Projets

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l’agence-conseil a coordonné le projet « Vert pellet », dans le cadre de la mission déléguée confiée à l’Agence de Stimulation economique (projet entreprise’S). le pro-jet visait le développement d’une filière intégrée de transformation des déchets verts en pellets combus-tibles en vue de répondre à un double besoin : proposer une alternative économique et écologique aux besoins de chauffage des collectivités, et offrir une valorisation et un débouché régulier aux flux de déchets verts.

l’étude du projet a été décomposée en deux phases :• PHASE 1 : créer une petite unité pilote de production

d’agro-combustible en partenariat avec l’entreprise de travail adapté (etA) « moulin de la Hunelle » à Chièvres, qui souhaite développer de nouvelles

activités et valoriser de manière locale les déchets verts qu’elle produit en excédant (en tant qu’entre-prise de parcs et jardins).

• PHASE 2 : étudier la faisabilité de la création d’une unité de production d’agro-combustibles de taille moyenne, (jusqu’à 30.000 m3/an de déchets verts), impliquant dès lors nettement plus de volume de fourniture de matière première ainsi qu’un nombre accru de débouchés pour la consommation.

le projet a aussi conduit à la conception d’une société à caractère participatif et à finalité sociale, active dans le secteur de la biomasse qui se veut être l’interface entre les mondes de la recherche, de l’industrie et des onG.

Le projet « Vert Pellet » Zoom

sur

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sur« C’est financé près de chez vous »

en 2014, SAW-B a participé au projet « C’est financé près de chez vous » coordonné par le réseau Financité. inscrit dans le cadre d’un projet européen, l’objectif était de promouvoir l’investissement direct tant vers les coopératives et ASBl que vers les particuliers.

le projet a fait l’objet de diverses publications, d’un sa-lon du financement, de plusieurs présentations et ren-contres ainsi que d’accompagnements d’entreprises et asbl souhaitant lancer des appels publics à l’épargne. l’AC a ainsi accompagné plusieurs asbl et coopératives dans ce cadre, ce qui a permis à cinq d’entre elles de préparer leur lancement à un appel public à l’épargne (sous forme de parts de coopérateurs et d’obligations).

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chiffres 2014

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bilan 2014ACTIF

ACTIFS IMMOBILISES 20/28 281.680 294.882

I. Frais d'établissement ( ann. I ) 20

II. Immobilisations incorporelles (ann. II) 21 6.817 9.697

III. Immobilisations corporelles ( ann. III ) 22/27 221.845 233.880A. Terrains et constructions 22 209.604 215.071B. Installations, machines et outillage 23C. Mobilier et matériel roulant 24 7.855 12.962D. Location-financem. et droits similaires 25 4.385 5.847E. Autres immobilisations corporelles 26F. Immobilisat. En cours et ac. Versés 27

IV. Immobilisations financières (an. IV-V) 28 53.018 51.305

ACTIFS CIRCULANTS 29/58 588.474 537.257

V. Créances > 1 an 29 0 0A. Créances commerciales 290B. Autres créances 291

VI. Stocks et commandes en cours exéc. 3 0 0A. Stocks 30/36 0 0B. Commandes en cours d'exécution 37

VII.Créances à un an au plus 40/41 283.774 284.543A. Créances commerciales 40 83.135 59.823B. Autres créances 41 200.639 224.720

VIII.Placements de trésorerie 50/53 0 0A. Actions propres 50B. Autres placements 51/53

IX. Valeurs disponibles 54/58 304.700 252.713

X. Comptes de régularisation ( ann. XI ) 490/1

TOTAL DE L'ACTIF 20/58 870.154 832.138

Au 31/12/2014 Au 31/12/2013

40

PASSIFCAPITAUX PROPRES 10/15 331.401 322.191

I. Capital ( ann. VIII ) 10 0 0A. Capital souscrit 100B. Capital non appelé (-) 101

II. Primes d'émission 11III. Plus-values de réévaluation 12IV. Réserves 13 193.836 193.836

A. Réserve légale 130B. Réserves indisponibles 131 193.836 193.836 1. Pour actions propres 1310 193.836 193.836 2. Autres 1311C. Réserves immunisées 132D. Réserves disponibles 133

V. Bénéfice reporté (+) 140 137.565 128.354Perte reportée ( - ) 141

VI. Subsides en capital 15 0 0

PROVISIONS POUR RISQUES 16 6.225 6.225& CHARGES

VII. Prov. pr risques & charges 16 6.225 6.225A. Provisions pour risques et charges 160/5 6.225 6.225B. Impôts différés 168

DETTES 17/49 532.527 503.722VIII. Dettes à plus d'un an ( ann.XI ) 17 194.982 203.662

A. Dettes financières 170/4 194.982 203.662 1. Emprunts subordonnés 170 2. Emprunts obligataires non subord. 171 3. Dettes de location-financt et assim. 172 4.365 5.731 4. Etablissements de crédit 173 190.617 197.931 5. Autres emprunts 174B. Dettes commerciales 175 1. Fournisseurs 1750 2. Effets à payer 1751C. Acomptes reçus sur commandes 176D. Autres dettes 178/9

IX. Dettes à un an au plus ( ann. X ) 250.545 182.737A. Dettes > 1an échéant dans l'année 42 8.679 8.280B. Dettes financières 43 0 0 1. Etablissements de crédit 430/8 2. Autres emprunts 439C. Dettes commerciales 44 38.955 37.728 1. Fournisseurs 440/4 38.955 37.728 2. Effets à payer 441D. Acomptes reçus sur commandes 46E. Dettes fiscales, salariales et sociales 45 158.257 119.053 1. Impôts 450/3 33.197 25.636 2. Rémunérations et charges sociales 454/5 25.989 11.991 3. Provision pour Péc Vac 456 99.071 81.426F. Autres dettes 47/48 44.654 17.676

X. Comptes de régularisation ( ann. XI ) 492/3 87.000 117.324499

TOTAL DU PASSIF 10/49 870.154 832.138

Au 31/12/2014 Au 31/12/2013

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ACTiF /PASSiF Commentaires

Actif iV. immobilisations financières : 1.000 eur de plus de parts newBank et Crédal SC: dividendes laissés en réserve inclus dans les immobilisations

Actif Vii.B.41 - réunit non seulement les créances sur subventions à percevoir (toutes sûres) mais aussi : * 36.140 eur de produits à recevoir (25.000 reDDi et 11.140 sous-location bureaux Bota) * 18.106 eur d’avances à Bota 75

passif iV.B.131 - réserve sociale, inchangée (garantie pour le personnel en cas de cessation d’activités)passif Vii.A.160/5 - * 5.000 eur de provision pr risques liés aux subventions «FSe» * 1.225 : provision

pour taxes sur patrimoinepassif Viii. Dettes à plus d’un an - * 4.365 : dette de leasing copieur Canon * 95.309 X 2: Dettes hypo-

thécaires cadre Botapassif iX.A.42 - Dans la logique du point précédent: les dettes à plus d’un an échéant dans l’annéepassif iX.F.Autres dettes : le fond de roulement Ape (17.888 eur) et l’avance FWB ep emploi 2014

(attente de décision : à rembourser ou non)passif X.régularisation : - les montants des avances reçues dans le cadre des subventions pour les

projets partiellement réalisés (SpW Circuits courts et expertise Créativité) + produits à reporter (conventions de l’AC avec diverses communes)

PASSIFCAPITAUX PROPRES 10/15 331.401 322.191

I. Capital ( ann. VIII ) 10 0 0A. Capital souscrit 100B. Capital non appelé (-) 101

II. Primes d'émission 11III. Plus-values de réévaluation 12IV. Réserves 13 193.836 193.836

A. Réserve légale 130B. Réserves indisponibles 131 193.836 193.836 1. Pour actions propres 1310 193.836 193.836 2. Autres 1311C. Réserves immunisées 132D. Réserves disponibles 133

V. Bénéfice reporté (+) 140 137.565 128.354Perte reportée ( - ) 141

VI. Subsides en capital 15 0 0

PROVISIONS POUR RISQUES 16 6.225 6.225& CHARGES

VII. Prov. pr risques & charges 16 6.225 6.225A. Provisions pour risques et charges 160/5 6.225 6.225B. Impôts différés 168

DETTES 17/49 532.527 503.722VIII. Dettes à plus d'un an ( ann.XI ) 17 194.982 203.662

A. Dettes financières 170/4 194.982 203.662 1. Emprunts subordonnés 170 2. Emprunts obligataires non subord. 171 3. Dettes de location-financt et assim. 172 4.365 5.731 4. Etablissements de crédit 173 190.617 197.931 5. Autres emprunts 174B. Dettes commerciales 175 1. Fournisseurs 1750 2. Effets à payer 1751C. Acomptes reçus sur commandes 176D. Autres dettes 178/9

IX. Dettes à un an au plus ( ann. X ) 250.545 182.737A. Dettes > 1an échéant dans l'année 42 8.679 8.280B. Dettes financières 43 0 0 1. Etablissements de crédit 430/8 2. Autres emprunts 439C. Dettes commerciales 44 38.955 37.728 1. Fournisseurs 440/4 38.955 37.728 2. Effets à payer 441D. Acomptes reçus sur commandes 46E. Dettes fiscales, salariales et sociales 45 158.257 119.053 1. Impôts 450/3 33.197 25.636 2. Rémunérations et charges sociales 454/5 25.989 11.991 3. Provision pour Péc Vac 456 99.071 81.426F. Autres dettes 47/48 44.654 17.676

X. Comptes de régularisation ( ann. XI ) 492/3 87.000 117.324499

TOTAL DU PASSIF 10/49 870.154 832.138

Au 31/12/2014 Au 31/12/2013

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résultats 2014

---> tableau synoptique

PRODUITS Résultats 2014 Budget 2014

Différence budget 14 / réalisé 14

Résultats 2013

Différence Réalisés

2014-2013A. Ventes & Prestations 123.634 147.000 - 23.366 158.061 - 34.427B. Dons-cotis-parten. 31.041 29.000 + 2.041 27.400 + 3.641C. Subsides structurels 448.968 355.042 + 93.926 352.800 + 96.168D. Subsides ponctuels 454.708 405.192 + 49.516 396.642 + 58.066E. Subsides / prestations 40.766 28.000 + 12.766 19.800 + 20.966F. Autres produits 192.085 5.250 + 186.835 9.114 + 182.971

TOTAL PRODUITS 1.291.202 969.484 + 321.718 963.817 + 327.385

CHARGES Résultats 2014 Budget 2014

Différence budget 14 / réalisé 14

Résultats 2013

Différence Réalisés

2014-2013A. Production Activités 202.579 130.195 + 72.384 198.711 + 3.868B. Fonctionnement 95.593 82.489 + 13.104 86.074 + 9.519C. Frais de personnel 916.610 701.397 + 215.213 613.459 + 303.151D. Amortissements, etc 16.806 19.154 - 2.348 16.437 + 369E. Autres charges d'expl. 41.050 26.286 + 14.764 33.549 + 7.501F. Charges financières 9.354 9.100 + 254 7.738 + 1.616

TOTAL CHARGES 1.281.991 968.621 + 313.370 955.968 + 326.023

RESULTAT + 9.211 + 863 + 8.348 + 7.849 + 1.362

43

CHARGES Résultats 2014 Budget 2014 DifférenceA. FRAIS DE PRODUCTION "ACTIVITÉS" 202.579 130.195 + 72.384Organisation AGs 3.106 2.400 + 706Cotisations diverses 10.288 6.412 + 3.876Frais dans organisations/projets divers 160.208 103.383 + 56.825Frais missions diverses 19.307 18.000 + 1.307Frais production service COM 9.670 + 9.670B. FONCTIONNEMENT 95.593 82.489 + 13.104Loyer + Charges bureaux Monceau-Liège-Bxl 26.326 25.336 + 990Frais de co-propriété Bota 14.154 8.000 + 6.154Nettoyage-entret locaux 2.234 2.351 - 117Entr photocopieur + matériel informatique + licences inform 18.459 15.750 + 2.709Téléphone + GSM 7.740 10.150 - 2.410Poste 29 1.000 - 972Revues, journaux, documentation 3.119 1.300 + 1.819Fournitures bureau, papeterie, imprimés, petit mat divers 5.276 6.000 - 724Assurances 3.541 3.512 + 29Secrétariat social 5.542 4.200 + 1.342Frais CR 1.682 1.560 + 122Moniteur, droits auteur, promo et pub 852 830 + 22Honoraires réviseur et frais liés 3.275 2.500 + 775Honoraires d'avocats 3.365 + 3.365C. FRAIS DE PERSONNEL 916.610 701.397 + 215.213Rémunérations 676.307 661.025 + 15.282Cotisations ONSS 202.207 + 202.207Assurance Loi - médecine travail 5.269 5.200 + 69Coût d'assurance Groupe 13.747 13.992 - 245Formation du personnel 1.435 2.500 - 1.065Provision pécule anticipé 99.071 100.106 - 1.035Utilisation et repr péc sortie -81.426 -81.426 + 0D. AMORTISSEMENTS, RÉD. DE VALEUR 16.806 19.154 - 2.348

Dot. amort s/immo corpor. 16.806 19.154 - 2.348E. AUTRES CHARGES D'EXPLOITATION 41.050 26.286 + 14.764Pertes sur exercices antérieurs 2.827 + 2.827TVA non déductible et taxes diverses 38.223 26.286 + 11.937F. CHARGES FINANCIÈRES 9.354 9.100 + 254Intérêts et frais de dettes 9.209 8.650 + 559Frais bancaires 144 450 - 306

TOTAL CHARGES 1.281.991 968.621 +313.370

& PROV. PR RISQUES ET CHGES

44

PRODUITS Résultats 2014

Budget 2014 Différence

A. VENTES & PRESTATIONS 123.634 147.000 - 23.366Prestations en com 22.458 24.000 - 1.542Consultances Agence Conseil 35.377 40.000 - 4.623Consultance AC - projet REDDI 25.000 25.000Expertises 28.500 45.000 - 16.500Ventes diverses 119 1.000 - 881Sous-location Botanique 11.140 12.000 - 860Frais divers refacturés 1.041 + 1.041B. DON-COTIS.-PARTENAR. 31.041 29.000 + 2.041Securex - Cigale - dons divers 2.641 500 + 2.141Cotisations membres 28.400 28.500 - 100C. SUBVENTIONS STRUCTURELLES 448.968 355.042 + 93.926SPW Agence Conseil 32.000 32.000Complément Agence Conseil SPWFWB Education permanente 132.973 104.000 + 28.973FWB EP - activités + fonct 69.990 + 69.990Mesure APE SPW-Forem 214.004 219.042 - 5.038D. SUBSIDES PONCTUELS 454.708 405.192 + 49.516ASE dans ImpulCera 6.000 6.000ASE événement clôture Icera 5.000 + 5.000ASE Modul'Eco 27.757 5.338 + 22.419ASE Vert Pellet 40.757 34.935 + 5.822EUR Leonardo Gouvernance 14.755 21.817 - 7.062FSE LUX 29.340 29.230 + 110RBC accompgnt ILDE EI 25.000 54.000 - 29.000RBC Evénement MAPU 5.000 5.000RBC newsletter 30.000 + 30.000SPP associations économiques 78.846 60.000 + 18.846SPP Féd Subvention UE 30.000 10.000 + 20.000SPW ES Infos 8.832 - 8.832SPW MAPU 32.000 32.158 - 158SPW MAPU pouvoirs locaux et MAPU serv 25.000 25.000SPW - MAPU facilitateurs clauses sociales 24.525 39.000 - 14.475SPW- Circuits courts 50.000 50.000SPW Clubs 23.882 23.882UE investissement direct 6.845 + 6.845E. SUBVENTIONS PRESTATAIRES 40.766 28.000 + 12.766ImpulCera 24.000 13.000 + 11.000Evénement clôture Icera 1.700Actiris MAPU 15.066 15.000 + 66F. AUTRES PRODUITS 192.085 5.250 + 186.835Exonération de précompte 7.246 5.000 + 2.246Réduction cotis ONSS employeur 169.851Produits s/exercices antérieurs 10.717Avantages téléphoniques retenus 300 + 300Divers (récupération assurances, etc ) 3.186Intérêts bancaires 786 250 + 536TOTAL PRODUITS 1.291.202 969.484 + 321.718

RESULTAT + 9.211 + 863 + 8.348

+1.700

+169.851+10.717

+3.186

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PRODUITS Résultats 2014

Budget 2014 Différence

A. VENTES & PRESTATIONS 123.634 147.000 - 23.366Prestations en com 22.458 24.000 - 1.542Consultances Agence Conseil 35.377 40.000 - 4.623Consultance AC - projet REDDI 25.000 25.000Expertises 28.500 45.000 - 16.500Ventes diverses 119 1.000 - 881Sous-location Botanique 11.140 12.000 - 860Frais divers refacturés 1.041 + 1.041B. DON-COTIS.-PARTENAR. 31.041 29.000 + 2.041Securex - Cigale - dons divers 2.641 500 + 2.141Cotisations membres 28.400 28.500 - 100C. SUBVENTIONS STRUCTURELLES 448.968 355.042 + 93.926SPW Agence Conseil 32.000 32.000Complément Agence Conseil SPWFWB Education permanente 132.973 104.000 + 28.973FWB EP - activités + fonct 69.990 + 69.990Mesure APE SPW-Forem 214.004 219.042 - 5.038D. SUBSIDES PONCTUELS 454.708 405.192 + 49.516ASE dans ImpulCera 6.000 6.000ASE événement clôture Icera 5.000 + 5.000ASE Modul'Eco 27.757 5.338 + 22.419ASE Vert Pellet 40.757 34.935 + 5.822EUR Leonardo Gouvernance 14.755 21.817 - 7.062FSE LUX 29.340 29.230 + 110RBC accompgnt ILDE EI 25.000 54.000 - 29.000RBC Evénement MAPU 5.000 5.000RBC newsletter 30.000 + 30.000SPP associations économiques 78.846 60.000 + 18.846SPP Féd Subvention UE 30.000 10.000 + 20.000SPW ES Infos 8.832 - 8.832SPW MAPU 32.000 32.158 - 158SPW MAPU pouvoirs locaux et MAPU serv 25.000 25.000SPW - MAPU facilitateurs clauses sociales 24.525 39.000 - 14.475SPW- Circuits courts 50.000 50.000SPW Clubs 23.882 23.882UE investissement direct 6.845 + 6.845E. SUBVENTIONS PRESTATAIRES 40.766 28.000 + 12.766ImpulCera 24.000 13.000 + 11.000Evénement clôture Icera 1.700Actiris MAPU 15.066 15.000 + 66F. AUTRES PRODUITS 192.085 5.250 + 186.835Exonération de précompte 7.246 5.000 + 2.246Réduction cotis ONSS employeur 169.851Produits s/exercices antérieurs 10.717Avantages téléphoniques retenus 300 + 300Divers (récupération assurances, etc ) 3.186Intérêts bancaires 786 250 + 536TOTAL PRODUITS 1.291.202 969.484 + 321.718

RESULTAT + 9.211 + 863 + 8.348

+1.700

+169.851+10.717

+3.186

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Charg/Produits Poste Commentaire

Charges A Cotisations diverses: quelques petites cotisations nouvelles + 3.000 SCopCharges A Frais dans organisations de projets: les honoarires de CycladeS (ensemble des projets),

Senselia et legalside (mApu) + 30.000 eur de consultance dans le cadre du Spp Fédéral ue, en sous-traitance.

Charges B Frais de co-propriété Bota: ce sont les frais facturés par pro rata par l’entité «Bota75». plus élevés que prévus.

Charges B entretien matériel informatique et licences : coûts de développement de efficy plus élevés que prévus (6.600 eur)

Charges B Secrétariat social: mouvements de personnel ( congé de maladie, de maternité...) coûteux en gestion

Charges B Honoraires réviseur: frais annexes inclus (coûts de nombreuses attestations exigées) mais non compris le coût fort élevé de gestion interne liée au contrôle.

Charges C Frais de personnel: depuis 2014, le coût total de l’onSS patronale est intégré en charge. la réduction onSS, par souci de lisibilité, est traitée en produit. Déduction faite de la réduction onSS, le coût du personnel s’élève à 746.759, pour un budget de 701.397. explications: de très nombreuses modifications en cours d’année, notamment due à l’agrément en axe 1 de l’education permanente (les explications détaillées seront four-nies en séance)

Charges e tVA non déductible: toujours imprévisible, dépendant du mode d’assujettissement des fournisseurs.

produits A expertises : moins de contrats que prévusproduits C ASe événement de clôture impulCera : supplément obtenu en fin d’annéeproduits D ASe Vert pellet et modul’eco: le budget avait été établi dans la vision de prudence de ne

pas réaliser totalement les projets, crainte finalement infondée.produits D eur leonardo : diminution négociée pour certaines activités du projet non totalement

réalisé.produits D FWB : obtention en juin 2014 de l’agrément en axe 1 en plus de l’axe 3.2. la part portée en

produit tient compte du risque de réduction pour la part non atteinte des 2,5 etp par an.produits D rBC newsletter : obtenu en cours d’annéeproduits D rBC accompagnement ilDe ei : obtenu une partie seulement.produits D Spp Associations économiques: obtenu davantage que budgétéproduits D SpW eS infos: pas obtenu en 2014produits D SpW mApu facilitateurs clauses sociales: délai prolongé de la réalisation du projet produits D ue investissement direct: obtenu en cours d’annéeproduits e impulCera: complément obtenu en cours d’année

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produits e evénement de clôture impulcera : complément obtenu en fin d’annéeproduits F réduction des cotisations onSS employeur: dans le cadre des A.p.e. traité depuis 2014

en produitproduits F produits sur exercices antérieurs. essentiellement : 6.600 de crédit d’ancienneté Ape,

2.645 de récupération sur fournisseurs BotA et 1.122 de complément du projet Dialogue social

produits F Divers: interventions d’assurances

BRABAnT WALLonApides asblBardane (la) scrlCiACo scrlCrabe asblCrédal asblCrédal scrlfsCum Verbis scrlDieS-iSiS scrlfsHabitat & participation asbloxfam magasin du monde asblriepp asblSSt – le Bric asblVillage n°1 asbl

BRuxELLESACFi asblAlveus scrlfsApere asblApre asblAtelier tiC tanneurs asblBatigroupe scrlBenelux Afro Center asblBoutique de gestion asblBruxelles emergences scrlfsCannelle asblCentre de formation 2000 asblCentre marollien de formation par le travail asblCollectif recherche et expression asblCSC asblFebisp asblFebrap asblFédé. des maisons médicales asblFerme nos pilifs (la) asblFobagra asblFormeville asblFoyer Jettois (le) scrl Gammes asbl

Groupe one asblHabitat et Humanisme asblJeunes Jardiniers (les) asblJeunes schaerbeekois au travail asblmaison africaine (la) asblmission locale de Forest asbloxfam-Solidarité asblpetits riens (les) asblpoudrière (la) asblpour la Solidarité (think tank) asblpretnet Services asblpro Vélo asblrégie de quartier asblréseau financité asblSchaerbeek Action emploi asblSmartBe fondation

HAinAuTAu Four et au moulin asblAzimut scrlfsBraseap asblCentre coordonné de l’enfance asblCirtes – uCl asblContrepoint asblCoprosain scrlDroit et devoir asbleko Services scrlfsessor (l’) asbleweta asblFGtB asblFonds du logement de Wallonie scrlFunoc asblGermoir (le) asblmirec asblmonceau-Fontaines asblmoulin de la Hunelle (le) asblneltane scrlfsQuelque chose à faire asblQuinquet (le) asbl

relogeas asblressourcerie le Carré asblretrival scrlfsStArt Construction scrlfs

LiEGEAGeS asblAltech safsAtelier mosan asblAteliers du monceau asblAurélie asblBarricade asblCortigroupe scrlfsCeS - ulg - Sart-tilmanDe Bouche à oreille asblexposant d asblGrignoux (les) asbl Hercule scrlfsJefar asblparten-eS asblpont (le) asblrcycl asblStep by Steppes scrlfsSurdimobil asblterre asbltournières (les) scrlfsVal du Geer - pour demain asblVin de liège scrlfs

LuxEMBouRGAeeD - Beauplateau asblBois vert scrlfsCDr asblCherbai scrlCompagnons de la maison (les) asblFoyers communautaires 210 asblHautes Ardennes (les) asbllorraine (la) scrlfs

Membres de SAW-B en 2014

48

49

lucéole scrlpépinières de la Gaume (les) scrlfsServiplast scrlfstrusquin (le) asbl

nAMuRADmr asblAleap asblAStA asbl Atelier (l’) asblAteliers de pontaury (les) asbl Calestienne (la) asblDamnet scrlespaces asblForma asblmirena asblréseau d’entreprises sociales asblressources asblSynergie Wallonie pour l’égalité entre les femmes et les hommes asbl

MEMBRES AdHEREnTSphilippe DeFeYtAline DeleSpeSSe-DenGiSGuy DuGAutHierGuy FrYnSrobert KerremAnSAnatoly neCZYporenKoGeneviève petitndudi pHASiArnaud pinXterenDenis StoKKinKpierre VerBeeren

13 membres

12 membres

13 membres

25 membres

38 membres

22 membresHAinAut

BW

BXl

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luXemBourG

lièGe

Graphique hors membres adhérents

Avec le soutien de

FSe

solid

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wal

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es e

t bru

xello

ises

42/6, rue Monceau-Fontaine 6031 Monceau-sur-Sambre

Tél. : 071 53 28 30 • Fax : 071 53 28 31info@saw-b.be • www.saw-b.be

Antennes 75, rue Botanique • 1210 BXL

9, rue Volière • 4000 Liège

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SAW

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