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La dernière des Petits Monstres Un grand jeu des associations PRÉSENCE mensuel d’éducation permanente 29 ème année - n°293 • Décembre 2007 Un indispensable devoir de mémoire La Tchèveneye montoise

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La dernière des Petits Monstres

Un grand jeu des associations

PRÉSENCEm e n s u e l d’ é d u c a t i o n p e r m a n e n t e

29ème année - n°293 • Décembre 2007

Un indispensable

devoir de mémoireLa Tchèveneye montoise

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Rue de Rechain, 11 - 4820 Dison Rue de Rechain, 11 - 4820 Dison Tél. : 087/33 39 21 - Fax : 087/33 39 22Tél. : 087/33 39 21 - Fax : 087/33 39 22

Heures d’ouverture : Heures d’ouverture : Lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 7 h 30 à 18 h.Lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 7 h 30 à 18 h.Le samedi de 7 h à 17 h. Le dimanche de 7 h à ...Le samedi de 7 h à 17 h. Le dimanche de 7 h à ...

Carte de fidélité :Carte de fidélité :A l’achat de 5 pains, le 6ème gratuit.A l’achat de 5 pains, le 6ème gratuit.

La boulangerie La boulangerie vovous souhaite de bonnes et heureuses de bonnes et heureuses fêtes de fin d’annéefêtes de fin d’année.Ouvertures du magasin :Ouvertures du magasin :LundiLundi 24 /12 de 7 h30 à 18 hMardiMardi 25 /12 de 8 h 30 à 15 hLunLundidi 3131 /12 12 de 7 h30 à 18 hMardi 01 /01 Mardi 01 /01 de 8 h30 à 15 h de 8 h30 à 15 h

Cette annéCette année le magasin sera fermé les mercredise le magasin sera fermé les mercredis et et jeudis jeudis : : 26 /12, 27 /12,26 /12, 27 /12, 02 /01 et 02 /01 et 03 /01 03 /01

SommaireEn ouverture . . . . . . . . . . . . . . . . 3

Le thème : Le devoir de mémoire . . . . . . . . . . . . . . . . 4

L’actualité culturelle . . . . . . . . . . . . . . . . 7

Le jeu des associations . . . . . . . . . . . . . . . . 11

Les bibliothèques . . . . . . . . . . . . . . . . 13

L’artiste : Muriel Mossoux . . . . . . . . . . . . . . . . 14

Courrier des lecteurs . . . . . . . . . . . . . . . . 16

La Fondation Hardy . . . . . . . . . . . . . . . . 17

Dans nos associations . . . . . . . . . . . . . . . . 18

L’avis de nos écoles . . . . . . . . . . . . . . . . 22

Agenda . . . . . . . . . . . . . . . . 24

Informations communales . . . . . . . . . . . . . . . . 26

Présencemensuel d’éducation permanente

Tirage : 6200 exemplairesDistribution toutes boîtes

Rédaction : Jérôme WynMise en Page : Pivi MolinghenPhotos : www.pivi.bePublicité : Evelyne RouvroiCoordination : Jacky Lacroix

Editeur responsable : Centre Culturel de Dison Asbl Rue des Ecoles, 2 - 4820 Dison

Tél. : 087/33 41 81Fax : 087/ 35 24 84http://www.ccdison.be e-mail : [email protected]

Rue Léopold 66/68 - 4820 DISONOuvert tous les jours de 12 à 15 h et de

18 à 23 h • Fermé le mercredi

Tél./Fax : 087 39 88 90 GSM : 0476 63 88 88

A midi :Buffet àvolonté 10,80 €

du lundi au vendredi

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Valable durant le mois de décembre 200Valable durant le mois de décembre 20077

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Du lundi au samedi de 5 h 30 à 18 h 30 non-stop, le dimanche de 10 h à 13 h

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Décembre 2007 PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON3

EN OUVERTURE

Journée Mondiale de lutte contre le SIDA

1er décembre, Journée Mondiale de lutte contre le SIDA. «C’est l’exclusion qu’il faut exclure pas les séropositifs». Parce qu’à l’heure actuelle, on dénombre plus de 42 millions de personnes infectées à travers le monde et que chaque minute, six enfants de moins de 25 ans sont contaminés, unissons-nous en ce 1er décembre.Depuis plusieurs années, chercheurs, associations, pouvoirs publics, médias, anonymes se mobilisent afin de tirer le signal d’alarme. Car il est toujours essentiel de se rappeler que le VIH/SIDA fait des ravages. Le virus frappe en aveugle depuis plus de 20 ans. L’épidémie se banalise et touche toutes les couches de la population sans tenir compte du statut social, du sexe ou de l’orientation sexuelle.Les droits des personnes vivant avec le virus sont souvent violés du fait de leur séropositivité présumée ou connue. Ces personnes sont doublement pénalisées, par la maladie elle-même et par la perte que celle-ci entraîne de leurs autres droits. Tous les ans, la Journée mondiale contre le SIDA vient rappeler l’importance du fléau et l’importance de s’y opposer. Différentes actions auront lieu un peu partout. Une campagne solidaire à l’échelle nationale, campagne de sensibilisation, cette année axée sur la lutte contre l’exclusion.

Arborer un ruban rouge de solidarité avec les personnes séropositives, symbole de lutte contre la maladie. Arborer le ruban rouge, c’est afficher au grand jour son appartenance à un groupe ; le groupe de ceux qui rejettent toute forme de discrimination à l’égard des personnes atteintes par le SIDA!

Véronique Bonni, Présidente

Le mot de Véronique

La bête n’est pas morte, elle sommeille et sommeillera toujours. Au fond de nous tous, les instincts les plus bas attendent. Ce sont eux qui nous font aboyer quand les autres aboient. Qui nous font crier avec la meute. Qui nous font applaudir les discours simplificateurs faisant endosser tous les malheurs du monde aux autres, aux étrangers... Ce sont ces bas instincts qui appellent à la riposte, à la vengeance. Mais y a-t-il un mot plus stupide que le mot vengeance?Madeleine Aubrac, célèbre résistante française, disait qu’il y avait moins de mérite à être résistant en temps de guerre qu’en temps de paix. Alors qu’au Nord comme au Sud du pays, des logiques d’égoïsme et de repli sur soi s’installent, la solidarité se meurt doucement. Résister, voilà ce que le devoir de mémoire nous enseigne. Résister aux discours dominant et réducteurs, résister à la logique de la riposte, résister aux blagues racistes, aux amalgames faciles, aux clichés simplistes.Présence se penche ce mois sur notre devoir à transmettre l’Histoire de l’abomination fasciste vécue par nos grands parents. La richesse de leur horrible expérience est l’essence même de notre liberté. Leur exemple force le respect et nous montre le chemin de la solidarité. Restons tout à la fois reconnaissants et attentifs.

Jacky Lacroix

Alzheimer rend fasciste !Le thème du mois: le devoir de mémoire

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LE THÈME

«Avec mon père, nous faisions partie des agents de renseignement et d’action. On avait déjà fait sauter un pylône à Lambermont ou des rails de chemins de fer aux Surdents. Il était six heures

du matin, le 22 mai 1942 quand il est venu me réveiller pour me dire que les Allemands étaient là, chez nous à Andrimont. Je suis sorti par la fenêtre et, par les toits, je me suis rendu chez un ami. Des soldats étaient à mes trousses, sa mère n’était pas rassurée alors je me suis caché dans pigeonnier minuscule. Je ne sais trop comment. Mais quand on a peur, on arrive à faire beaucoup de choses. Après qu’ils soient partis, j’ai appris que mon père avait été emmené, avec notre radio, branchée sur la fréquence londonienne... J’ai voulu rentrer chez moi et c’est là que j’ai été arrêté.»Roger Hennemont (19 ans à l’époque) est alors conduit à la «Kommandantur», au palais de justice de Verviers, avant de prendre la direction de la Citadelle à Liège, dans une caserne transformée en prison, avec son père. «Ils l’ont mis dans une cellule et moi dans un cachot. Le fait qu’il soit là ne me rassurait pas vraiment. Que pouvait-il faire?»Commencent alors les séances d’interrogatoire, menées par la Gestapo. «Ils essayaient me faire avouer des choses que je ne voulais pas dire, mais aussi d’autres que je ne connaissais pas. Mon père s’est fait battre devant moi puis ils m’ont frappé à coups de matraque, ce qui m’a cassé quatre dents. Le lendemain, ils m’enlevaient les racines... Puis j’ai eu de la chance, cela s’est arrêté.»Le jeune Andrimontois et son père resteront quatre mois à Liège, avant de partir pour l’Allemagne, en train, le 20 septembre 1942. Après une semaine à la prison de Bochum, ils sont séparés.«On avait aucune idée d’où on allait. Je me suis finalement retrouvé à Esterwegen. C’était un petit camp. J’y suis resté un an, à trier des cartouches. On m’a ensuite transféré à Dachau. Là ce fut encore autre chose...»Roger Hennemont se voit désigner comme «Nacht und Nebel» (voir repères). Il occupe, avec d’autres, les quatre dernières baraques du camp, isolés des autres. «Mais j’ai eu de la chance. D’abord parce que j’ai pu travailler à la désinfection, un travail léger et aussi parce que lors des nombreux contrôles de l’état physique par les gardiens, j’ai toujours été dans la bonne file. Si on se retrouvait dans l’autre, on savait qu’on ne reviendrait pas...»

Roger Hennemsurvivant des cC’est à 19 ans, le 22 mai 1942 que l’Andrimontois Roger Hennemont a été arrêté par les nazis. Détenu dans un camp de concentration, il n’allait rentrer chez lui que le 15 mai 1945, après avoir connu l’horreur.

La faim (Roger passera de 75 à 43 kilos), le froid, le travail, l’absence d’informations de l’extérieurs, les coups, la mort sont au quotidien des prisonniers. Dans ces conditions extrêmes, c’est le moral qui permet de rester en vie. « J’ai vu des gars beaucoup plus costauds et en meilleure santé mourir. Moi j’ai toujours eu un moral du tonnerre. J’étais certain de sortir un jour et je soutenais les autres. »

Devoir de mémoire

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LE THÈME

ont, amps

Repères> Les camps de concentration désignent un lieu d’emprisonnement, où les internés (juifs, tziganes, Témoins de Jéhovah, homosexuels, handicapés, prisonniers politiques, etc.) étaient détenus dans des conditions très dures (extermination par le travail) et sans aucune protection légale ou juridique. La création des camps de concentration furent l’une des caractéristiques marquan-tes du régime nazi entre 1933 et 1945.

> Les camps d’extermination sont destinés à l’exécution en masse de personnes. Il s’agit là de leur unique activité. Les camps d’extermination nazis réalisent la mise en pratique de méthodes industrielles pour le massacre organisé des juifs, et des tziganes. On en compte six, tous situés sur le territoire de la Pologne occupée: Auschwitz-Birkenau, Majdanek, Treblinka, Sobibor, Belzec et Chelmno.

> «Nacht und Nebel» (nuit et brouillard), désignait un décret de 1941 or-donnant que toutes les personnes représentant un danger pour la sécurité de l’armée allemande (saboteurs, résistants) seraient transférées en Allemagne et disparaîtraient dans le secret absolu. Si on les laissait encore en vie, c’était à seule fin d’utiliser leur force de travail. Ces personnes déportées furent elles-mêmes désignées «Nacht und Nebel».

Un moral qui grandissait au fur et à mesure des bombardements se faisant entendre, jusqu’à la libération du camps par les Américains. «Les Allemands étaient partis et nous étions à l’abri. Puis on a aperçu une drôle de voiture. C’était la première jeep qu’on voyait. Un homme est descendu et on s’est tous jeté sur lui. On l’a porté en héros et il a fait le tour du camp sans toucher le sol!»

Après avoir été soignés – le typhus était présent – et nourris pendant quinze jours, les ex détenus prennent la route pour la Belgique. «Pour nous, manger était devenu une obsession. A tel point que certains se sont trop alimentés et en sont morts. Heureusement, un copain docteur m’avait mis en garde.» Arrivés à Liège, une foule énorme attend les rescapés, dans l’espérance de retrouver un proche. «On venait nous demander si on connaissait un tel ou un tel. Le mari d’une dame était mort à côté de moi, mais je n’ai pas osé lui dire...» De retour à Andrimont, Roger Hennemont retrouve sa mère et son frère. Suivent trois mois durant lesquels il ne sortira pas de chez lui. Régime strict et sommeil lui permettent de se remettre progressivement. C’est également durant cette période qu’il apprend la mort de son père. «A Gross Rosen. Un jour avant la libération du camp. Il a été exécuté.» Roger reprendra ensuite le travail, en tant que mécanicien, notamment à l’armée. Avant de partager son expérience dans des écoles quelques an-nées plus tard. «J’ai la chance d’être toujours en vie après tout ça. Et c’est important d’en parler, car d’ici quelques années, plus personne ne pourra témoigner.» •

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Décembre 2007 PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON7

LE THÈME

Au lendemain de la seconde guerre mondiale, pour la pre-mière fois dans son histoire,

l’humanité prit conscience qu’elle était mortelle. Non seulement elle avait acquis les moyens de sa propre destruction, mais elle avait franchi le seuil jusqu’alors toléré de l’inhu-manité de l’homme envers l’homme. A la même époque, le vocabulaire juridique s’enrichissait d’un mot nou-veau qui désignait l’une des formes les plus graves de l’agression et qui signifiait la destruction intention-nelle d’un groupe ethnique, «racial», ou religieux : «génocide». Alors que la menace nucléaire laissait entre-voir la perspective apocalyptique d’anéantissement de toute vie sur la planète, ce crime, parce qu’il trans-gressait les principes sur lesquels repose toute société, exprimait sous une autre forme la même menace de destruction totale.Alors que la découverte des camps de concentration et d’extermina-tion bouleversait l’opinion pu-blique mondiale, les premiers té-

moignages de déportés «raciaux» (juifs et tziganes) ne rencontraient guère d’échos auprès des éditeurs (le témoignage sur Auschwitz de Primo Levi «Si c’est un homme» ne fut vraiment reconnu comme un ouvrage majeur que dans les an-nées cinquante, depuis c’est devenu un classique), les premiers écrits émanant surtout de prisonniers po-litiques (David Rousset «Les jours de notre mort» ; Robert Antelme « L’espèce humaine » sont parmi les plus remarquables de ces écrits).L’occultation et l’incompréhension que rencontraient les victimes de la Shoah ne facilitèrent pas la prise de parole des témoins avant les années soixante (le procès Eichmann mar-qua un revirement, cf. «Eichmann à Jérusalem» d’Hannah Arendt). Depuis, les études, les biographies, les thèses diverses se sont multi-pliées et couvrent largement tout le spectre de l’historiographie con-temporaine. Le sentiment d’horreur suscité par l’irruption du national-socialisme au pouvoir n’a pas em-

pêché d’autres nations (ou groupes ethniques) de perpétrer à leur tour des massacres génocidaires devant lesquels la communauté interna-tionale s’est montrée impuissante (ou aveugle).Rwanda, Bosnie, Cambodge, ex-Yougoslavie..., la liste est longue et ne couvre que quelques décennies, mais elle est jalonnée de millions de victimes innocentes. Il semble-rait donc que la leçon n’ait pas été comprise. Les idéologies mortifères n’appartiennent pas au passé et l’on peut craindre qu’elles ressurgissent de manière impromptue et soudaine dans nos vies quotidiennes sous des formes bien évidemment diffé-rentes. L’histoire ne se répète pas, mais certaines leçons sont bonnes à tirer. Aujourd’hui que le grand duel idéologique du vingtième siècle entre capitalisme et «socialisme» s’est achevé au niveau mondial au profit du premier, d’autres défis poin-tent à l’horizon dans cet univers nouveau des multitudes redistri-buées par la mondialisation et les lois de la démographie sociale. Des apartheids sociaux peuvent débou-cher sur des réalités dangereuses (l’émergence des «populismes» en

Autriche, en Suisse, dans notre pays avec le Vlaams Belang) qui mettront en avant des identités raciales au sein même des métropoles occidentales. Dans ces conditions, la tentation qui consiste à banaliser les idéologies fascistes est fort dangereuse et doit être combattue avec la plus grande fermeté (les révisionnistes, ou plutôt les négationnistes se bousculent au portillon, un petit détour par le web permet de s’en rendre compte).Le travail admirable accompli par les différents organismes qui ont vu le jour ces dernières années (Mémorial de la Shoah, Fondation Auschwitz, Territoires de la Mémoire), doit s’accompagner chez tout citoyen d’une mise en perspective critique des mécanismes qui conduisent l’humanité sur la pente de l’irréver-sible, de l’horreur absolue.Se souvenir est indispensable, mais il importe surtout, par une vigilance constante, d’empêcher l’humanité de céder à ses pires démons. •

Bernard Dresse

N.B. : les ouvrages cités dans cet article (et bien d’autres) sont dis-ponibles à la bibliothèque.

Mémoire de la Shoahet des génocidesL’extermination du peuple juif d’Europe par

les nazis durant la seconde guerre mondiale ne

représente pas le seul génocide de l’histoire

de l’humanité. Loin de là...

Devoir de mémoire

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L’ACTUALITÉ CULTURELLE

Hymne à la diffé-rence, cette aven-ture proposée par

le chanteur pour enfants Luc Regard entraîne les spectateurs à la décou-verte de l’autre, des rê-ves, des droits et des petits recoins de leur vie de tous les jours. Avec une dizaine de chansons au programme du spectacle, une marionnette turbulente ainsi qu’une poupée mystérieuse, Luc Regard emmènera les enfants dans une véri-table promenade imaginaire. Mister Jo ne les laissera pas indifférent, c’est indiscutable. •

> A voir le mercredi 12 décembre à 15 heuresSalles des fêtes de Dison, place Luc HommelEntrée: 5 euros - groupes 4 eurosRéservations indispensables au 087/33 41 81

Mister Jo par Luc Regard

L’éducation musicale tient parfois à peu de chose. Un événement, un jour,

suffit à éveiller votre atten-tion. Pour Charles et Ben, chefs de file des Tellers, la tempête est venue d’Angleterre. Plus terre-à-terre que leurs héros, nos deux musiciens ont tracé leur propre chemin. L’air de rien, ils signent aujourd’hui un premier recueil de chansons jouissives bap-tisé «Hands full of ink». Energiques, mélancoliques et belles à craquer, les mélodies du duo ne s’en laissent pas compter. Véritablement matraqués en radio actuellement, leurs chansons ont inévitablement dû vous faire taper du pied. Sachez également que la première partie de la soirée sera assurée par le groupe L & ils. Une formation originaire de Charneux. Cela suivi des Suédois de Talking to Teapots. • > A voir le vendredi 7 décembre 20 hSalle des Fêtes, place Luc Hommel • 10 eurosRéservations indispensables au 087/33 41 81

The Tellersen concert

Noël: ses sapins, ses crèches, sa préparation de cadeaux et ses concerts! Parmi ceux-ci, on pointera particulièrement celui concocté conjointe-ment par le centre culturel, la Fabrique d’église et le comité de parents de

l’école du Centre, ce dimanche 16 décembre (17 h), proposant l’ensemble vocal «A Piacere» avec Carole Simon, choriste andrimontoise, en premirère partie. «A Piacere» a été créé en 1999. Il est constitué de chanteurs amateurs mixtes issus de la région de Verviers qui ont en commun la passion de la musique vocale quelles qu’en soient les formes ou les couleurs. Depuis février 2003, cet ensemble est placé sous la direction de Robert Ortman. Spécialisé dans un premier temps dans le répertoire d’expres-sion française de la Renaissance à nos jours, l’ensemble vocal a choisi d’aborder d’autres répertoires. Ce concert se fera par ailleurs dans un cadre 100% Noël. Pour y accéder, il vous faudra d’ailleurs traverser les échoppes du marché de Noël courant sur le parvis de l’église. Dans le cadre de cette magnifique construction romane, l’ensemble «A Piacere» vous proposera son programme de Noël. A ne pas manquer! •

> A voir le dimanche 16 décembre à 17 heuresEglise Saint-Laurent d’AndrimontEntrée 8 EuroRéservation fortement conseillée au 087/33 41 81

A Piacere chante Noël

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Décembre 2007 PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON9

L’ACTUALITÉ CULTURELLE

Les associations andrimontoises, sous la conduite du Centre culturel et de la Cité de l’Espoir ont organisé une ma-

gnifique septième Nuit des Petits Monstres au Domaine des Croisiers. Les superlatifs manquaient aux participants

pour qualifier cette organisation féerique qui a attiré plus de mille personnes dans les bois de la Cité. «C’est mon

plus beau Halloween!», nous a même confié un petit fantôme... Merci à l’ELAN, aux Patros, à la Régie des Quartiers

Havre-Sac, l’Envol, La MaiZon, l’Espace Rencontre, l’asbl Phenomenal Woman, aux équipes de la Cité de l’Espoir et

aux nombreux bénévoles. Malheureusement la forme actuelle de cette manifestation est appelée à disparaître.

En effet, la Direction de la Cité de l’Espoir, inquiètée par le succès de foule de l’événement, a demandé à notre

Centre culturel de ne plus l’organiser dans le même lieu l’année prochaine par souci de sécurité. Le Centre culturel

travaille déjà sur d’autres pistes pour que les nombreux petits monstres et leurs parents continuent à se rencontrer

pour fêter Halloween ensemble.

Merveilleuse dernière Nuit des Petits Monstres !

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Briamont Fermé le lundi et le mardi.Rue d’Andrimont 70-72 - Dison Tél. 087/351826

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offerts par la boulangerie à gagner au restaurant

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participant (jusqu’à épuisement du stock). Les 3 plus beaux dessins seront récompensés !

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les lundi et mardi des fêtes.

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OUVERT SUR RDVLE DIMANCHE 23/12ET LE DIMANCHE 30/12

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cadeaux ! Idées

cadeaux !

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Décembre 2007 PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON11

La Régie des Quartiers Havre-Sac a créé son propre

jeu des familles, afin de mettre en lumière les

associations disonaises. Ce jeu sera à découvrir ce

17 décembre prochain.

En gestation depuis plusieurs, mois, le grand jeu des associations de la Régie des Quartiers Havre-Sac s’apprête désormais à rencontrer le public. Pour rappel, cette ASBL s’est fixé pour objectif la mise en valeur et la

redynamisation des partenariats tenus avec les différentes associations œuvrant sur le territoire disonais. C’est dans cette optique qu’a germé l’idée de concevoir un «jeu des associations», calqué sur le fonctionnement du traditionnel jeu des familles de notre enfance.Pour ce faire, les membres de la Régie des Quartiers ont pris leur appareil photo, afin d’aller sur le terrain, à la rencontre des associations de la commune. Phodiac, la Royale Nationale, l’Envol, les Comédiens du Bourg et même le centre culturel y sont passés! Dans quel but? Confectionner un jeu, comprenant sept familles de six cartes, qui montrent les personnes faisant vivre Dison au quotidien.Par le biais de photographies drôles, désarmantes ou insolites, ce jeu témoigne donc de la vitalité du monde associatif et mettra en exergue le rôle de chaque association. Il sera l’occasion de (re)découvrir ceux et celles qui «font» la vie à Dison!

Déjà au XVIème siècle...

L’idée vient de loin. Les tarots dits «de Mantegna» constituent déjà au XVIe siècle un magnifique jeu de cinq familles, avec la famille sociale, celles des muses, des sciences, des vertus et des planètes. De nombreux jeux à vocation pédagogique s’organisent de manière semblable. Pour l’époque moderne, il semble que le premier jeu du genre ait été édité à Londres par John Jaques & Sons en 1860, avec des illustrations de John Tenniel. Le jeu de Jaques comprend 44 cartes représentant des métiers avec le père, la mère, le fils et la fille; la famille emblématique du jeu étant celle de Mr. Block, the Barber. En France, Becquet édite en 1876 un jeu des familles dont l’organisation se perpétuera avec ses 42 cartes divisées en sept familles, en l’occurrence la famille du ministre, du général, du mandarin, du docteur, de l’avocat, du contrebandier et du voleur: les six cartes étant celles du père, de la mère, du fils, de la fille, de la cuisinière et du valet. •

Un grand jeu des associations

Le jeu est à découvrir le lundi 17 décembre dès 18h

A la bibliothèque Pivot, rue des Ecoles, 2 à Dison

A cette occasion, le verre de l’amitié vous sera offert

par l’équipe des formateurs et des stagiaires

de la Régie des Quartiers Havre-Sac.

REPORTAGE

Page 12: PRÉSENCE - ccdison.be

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Décembre 2007 PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON13

DANS LES BIBLIOTHÈQUES DE LA COMMUNE

13

Voici près de vingt ans que la plupart des pays du Vieux Continent ont

vu ressurgir en leur sein des discours politiques remettant en cause la représentativité démoc ra t i que, d iabo l i s ant l’immigration et rejetant, sur des bases nationalistes, toute construction européenne. Henri Deleersnijder dans son ouvrage «Populisme, vieilles pratiques, nouveaux visages» s’emploie à mettre ces poussées de fièvre en perspective : des rappels histo-riques (de Boulanger à Le Pen, en passant par Degrelle, Peron et Poujade) reliés à un état des lieux actuel pour se prémunir contre ces recettes outrageu-sement simplificatrices.Le génocide des Tutsis au Rwanda en 1994 fait l’objet de l’ouvrage de Yolande Mukagasana «Les blessures du silence», témoi-

gnages poignants de survivants et de bourreaux accompagnés de portraits émouvants réali-sés par le photographe Alain Kazinierakis. Remarquable tra-vail d’édition qui est là aussi pour nous rappeler le rôle trou-ble joué par les puissances oc-cidentales, France et Belgique en particulier dans la genèse

des massacres et la fuite des assassins.Terminons par une véritable som-me : l’ouvrage de Daniel Bovy, «Dictionnaire de la barbarie na-zie et de la Shoah», peut être considéré comme un ouvrage de référence parmi les nombreuses études consacrées récemment au sujet : l’agencement de l’ouvrage

est particulièrement astucieux et d’une consultation aisée : rappel chronologique (1918-1946), dic-tionnaire biographique, vocabu-laire des camps, corpus (d’Aktion à Zyklon B), notes bibliographi-ques, rien n’y manque. Un livre qui fera date! •

Bernard Dresse

Devoir de mémoire : dernières parutions

Bibliothèque publique locale de DisonTel.: 087/33 45 09Fax: 087/35 24 84E-mail: [email protected] d’ouverture:Lundi de 15h à 19hMardi de 9h à 13hMercredi de 14h à 18hJeudi de 15h à 19hSamedi de 9h à 13h

La parole au lecteur:

«Les SS: un avertissement de l’histoire», de Guido Knopp

Guido Knopp décrit ici l’histoire de la SS (Schutzstaffel), petite garde rapprochée d’Hitler qui s’est progressivement muée en état dans l’état hitlérien totalitaire. Sa devise était: «Ton honneur s’appelle fidélité». Cette fidélité va la pousser à une soumission aveugle envers le Führer et sa folie et conduira le pays tout entier à la catastrophe. Les per-sonnages majeurs de cette entreprise machiavélique sont crûment décrits, entre autres: Heydrich et Himmler.Ce livre met clairement en évidence l’enseignement que nous livrent ces événements tragiques: à savoir que seul un état reposant sur des lois claires et respectueuses de la vie et la dignité humaine est capable d’empêcher la naissance d’un état criminel qui rompt les barrières séparant le bien du mal. A lire pour se rendre compte que l’histoire de la SS est avant tout une mise en garde de l’Histoire à retenir à tout prix pour l’empêcher de se reproduire.

Jean Lieutenant (78 ans)

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Décembre 2007PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON 14

L’ARTISTE DISONAIS

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Décembre 2007 PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON15

L’ARTISTE DISONAIS

Illustration

Muriel Mossoux, une âme d’enfantD

epuis son plus jeune âge,

qu’elle passe à Welkenraedt,

Muriel Mossoux est attirée

par les arts plastiques. Bricolage, des-

sin, etc., font dès lors très vite partie

de son quotidien. C’est donc en toute

logique qu’après ses études secondai-

res, elle prend la direction de l’Institut

Saint-Luc, à Liège, pour y suivre un

graduat en illustration. Attirée par

l’illustration jeunesse, elle ponctue

ses années d’étude, en 2000, par un

travail intitulé «Drôles de Voisins», qui a la chance de se voir éditer. Et pas

seulement en Belgique, puisque son livre sera traduit en plusieurs langues

(néerlandais, slovaque, coréen, etc.). «Le thème abordé est la différence,

explique l’intéressée. Cela via l’arrivée d’une famille hiboux, qui dort durant la

journée, à côté d’une autre composée de castors. Au début, les relations ne sont

pas faciles, puis tous s’habituent.» Deux ans plus tard, Muriel Mossoux sort un

nouvel ouvrage, «Joyeuses Pâques Pablo!», à nouveau destiné aux enfants.

Depuis, l’Andrimontoise de trente ans

a quelque peu ralenti le rythme. Il

faut dire que deux petites filles sont

venues agrandir la famille. De plus,

elle partage désormais sa passion

pour l’art plastique en enseignant la

discipline dans des écoles verviétoises.

Mais l’artiste n’a pas rangé ses crayons

pour autant.

«Je me suis également mise à la pein-

ture, au pop-up et j’ai fait un peu de

gravure. En fait, je touche un peu à tout

ce qui est création, bricolage, décoration d’intérieur. Il faut dire que tout est

lié.» Sachez par ailleurs que Muriel Mossoux expose actuellement à Saint-

Luc (Liège) jusqu’au 21 décembre, dans le cadre d’une exposition «20 ans

d’illustration - d’édition jeunesse». Une bonne occasion de découvrir son

travail. A moins de se procurer un de ces livres en librairie, en attendant le

prochain! «J’ai des histoires en tête, mais je dois trouver le temps pour m’y

mettre. Je compte en tout cas bien réaliser un troisième livre.» •

En savoir plus sur Muriel Mossoux

Sur le site du centre culturel: www.ccdison.beou en l’appelant au 0497/54 37 62

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Décembre 2007PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON 16

COURRIER DES LECTEURS

Dans notre dernier édito, nous vous invitions à participer à la nuit des Petits Monstres à la Cité de l’Espoir. Cette invitation a engendré plusieurs réactions. Un premier courrier nous est parvenu de Monsieur Octave Blanchy dont nous reprenons quel-ques extraits.

Mois «d’américanisation», retour aux coutûmes ancestrales

[...] Au moment où j’écris ces lignes, j’ai lu les rubriques de la page3 du Présence du mois de novembre «Et ronds et ronds petits macarons» et le «Mot de Véronique». Autant je marque mon accord incondition-nel avec la teneur du message de Véronique Bonni, autant je suis en désaccord avec celle signée du cen-tre culturel. Pourquoi nous «améri-caniser» encore? Je n’ai rien contre le peuple américain. Au contraire, j’ai une profonde reconnaissance envers les «boys», les GI qui ont sacrifié leur vie pour nous délivrer de la dictature nazie. Mais pourquoi se laisser «commercialiser» par une coutume d’origine scandinave, qui nous est complètement étran-gère, et accommodée à la «sauce américaine», préconisée par les charlatans qui ne souhaitent qu’une chose: se faire du «fric» au détri-ment du bon et naïf peuple.Pourquoi ne pas renouveler nos coutumes ancestrales? Pourquoi ne pas enseigner à nos écoliers la manière de venir «hèli» au domicile de leurs concitoyens le 31 décem-bre? Pourquoi ne pas leur rappeler de quêter auprès de ces mêmes citoyens le jour de Pâques?

Peut-être parce que ce sont des us célébrant la morale chrétienne, qui est la base, quoiqu’en disent certains qui en refusent d’en faire référence dans le texte dit de «cons-titution européenne?»Je suis baptisé, je suis chrétien, mais non prati-quant assidu. Je suis en désaccord avec la «politi-que» de Benoît XVI, mais il faut bien reconnaî-tre que l’Europe Occidentale a été p ro fondément marquée par Jésus de Nazareth, qu’il ait été Dieu fait homme, ou sim-plement un homme aimant tous ses prochains et que toutes les lois édictées par nos gouvernements démocratiques découlent de son enseignement «révolutionnaire» à l’époque où il a vécu sur terre.Voilà ce que m’inspire la page 3 de «Présence» de Novembre. Présence qui a heureusement fait peau neuve, sauf quelques petits oublis dans ses premiers numéros, mais qui ose maintenant s’attaquer aux grands problèmes qui perturbent notre vie de tous les jours. Merci à tous les «pères» de cette édition nouvelle.

Octave Blanchy

Monsieur Blanchy, nous pourrions vous répondre assez hypocrite-ment que cette fête était déjà à l’honneur à Verviers avant-guerre et que ma propre mère se pro-menait, avec les enfants de son

âge, rue du Palais avec des navets creusés en lanternes et illuminés par des bougies. Mais je vous l’accorde ce sont bien des enjeux commerciaux venus d’Amérique qui ont réactualisé cette cou-tume chez nous. Par contre, à la

pratique, nous n ou s s omme s r endu compte que cette fête était... magni-fique! Elle per-mettait d’amu-ser les enfants avec trois fois r ien, quelques bonbons et de vieux vêtements sortis du grenier. Une fête prati-

quement gratuite permettant aux gens de sortir de chez eux en rencontrant leurs voisins... C’est magique! Nous pensons à présent que la grosse machine commer-ciale américaine s’est bien cassée les dents sur notre réappropria-tion de cet usage. Nos magasins ne vendent presque plus rien à Halloween. Tandis que les «Saint Nicolas» et autres généreux «Père Noël» sont beaucoup plus insi-dieux. Ce sont eux qui vous font les poches avec «leurs» cadeaux, remplissant comme par magie la cheminée tout en vidant votre portefeuille...Des cadeaux bien différents si l’on provient de famille aisée ou dés-héritée. Sous le masque plein de bonhomie de ces deux gros barbus rougeauds combien d’injustices et de souffrances ne se sont-elles pas

commises? A comparer aux Nuits des Petits Monstres et à son ambiance féerique, ici pas d’enfants blasés ou déçus mais des enfants souriants, jouant à se faire peur en toute sim-plicité. Des moments partagés aux lumières de la nuit que nos petits n’oublieront jamais.Nous avons reçu un autre courrier des lecteurs qui va dans ce sens, nous ne résistons pas à vous le soumettre.

Pour la rédaction de Présence: Jacky Lacroix

Epoustouflante nuit des petits monstres!

Dès l’entrée dans le domaine, nous étions dans l’ambiance. L’obscurité et le temps clément y ont contribué. Les petits comme les grands déguisés en sorcières, fantômes, monstres, etc., se pres-saient pour le départ. En dégus-tant les marrons chauds et munis de nos lampes de poche, nous sommes partis à la découverte des jeux et des animations dans les bois pour le plaisir de tous. Au retour, un délicieux potage aux potirons nous attendait. Pour terminer en beauté, le spectacle des cracheurs de feu a ravi toute l’assemblée. De plus, l’activité était gratuite. Bravo et merci à toute l’équipe du centre culturel.Félicitations aux associations et à tous les bénévoles qui ont fait de cet événement une grande réussite. Vivement l’année prochaine!

La famille Vandermeulen

Le thème du mois prochain:

Les 30 ans du Centre culturelEnvoyez-nous vos réfléxions avant le 15 décembre.

RectificatifDans le Présence du mois de novembre, une erreur s’est glissée dans le cour-rier des lecteurs intitulé «Théâtre La Concorde: précisions». En préambule de celui-ci, nous attribuions à l’auteur du texte, Pierrot Damoiseau, le titre de président de la troupe La Concorde. C’était une erreur. Celui-ci en était membre. La présidence étant occupée par son frère, José Damoiseau.

Halloween: américanisation ou tradition ?

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Décembre 2007 PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON1717

LES AMIS D’ADOLPHE HARDY

Un combat nécessaire, la défense du françaisNous ne l’oublions pas et nous ne l’oublierons jamais: l’Amérique a gagné la guerre

de 1940 que l’Europe a perdue. Par contre, si elle nous a rendu la liberté, elle nous la

reprend, peu à peu, de façon insidieuse dans tous les domaines. Sur le plan finan-

cier et économique, elle occupe la première place et poursuit une mondialisation

à outrance qu’elle conditionne à son gré. Inexorablement. Aussi grave, sinon plus,

l’envahissement progressif de notre langue par le « sabir atlantique » comme le

constate Etiemble. Nous le retrouvons partout, dans la presse, la radio, la télévision,

l’informatique et les communications, à la tribune des manifestations planétaires,

sportives et politiques. Sans concession, ni respect pour les autres. Jean Dutourd

s’insurge contre le galimatias anglo-américain, le nouveau jargon administratif qui

en découle et la langue de bois. Jusqu’en 1940, le français était admis, adopté et

reconnu. Depuis, il est agressé par les publicistes, les présentateurs, les annonceurs

et la vague actuelle de chanteurs.

Le folklore américain s’exporte avec Halloween, la Mère Noël, Dysneyland au dé-

triment de notre identité, de nos spécificités, de nos racines les plus profondes.

Pourtant, « nous n’avons qu’un pays, celui de notre langue », proclame René Bonnet

de Murlive. Nous parlons le français même s’il est teinté d’accents régionaux, nous

rêvons en français, nous ne survivrons qu’en parlant le français. Loin de tout sno-

bisme à la mode.

Combattant la bêtise humaine, humoriste et fin lettré, l’ami Fernanc Heuze ne ces-

sait de répéter «nous sommes Franchimontois, mais comme Wallons, Celtes nous étions et Celtes nous resterons».

Il avait raison et ce serait trahir nos aïeux et la pire catastrophe que d’adopter le

charabia d’outre-Atlantique. L’oppression a des limites, notre devoir est de réagir.

Dès aujourd’hui, exigeons que chez nous, partout et toujours on ne parle que le

français.

Joseph Gélis

Une personnalité

L’abbé Henri Debouche (1738-1805)

Fils des époux

F r a n ç o i s

Debouche et Marie

Drèze, il est né à

Grand-Rechain

le 19 novembre

1738.

D’une intelligence

précoce, il étudie

à Petit-Rechain,

village renommé

pour son ensei-

g n e m e n t d a n s

la classe de M.

Dresse, instituteur et marguillier. Il poursuit ses études

à Verviers, Liège, Douai, en 1758 pour y faire sa philoso-

phie. Accueilli par les Jésuites, il professe à Tournay, Lille,

Cambrai, Prague où il est ordonné prêtre en 1768. De

retour au pays, il accepte de devenir vicaire desservant

à Cornesse, et le 24 juin 1795 à Dison. Suite à l’organi-

sation du département de l’Ourthe lors de l’occupation

française, il devient le premier curé de Dison et de Mont

le 15 vendémiaire an 2 (2 octobre 1803).

Pasteur dévoué, il soigne gratuitement la population,

l’éduque et prend en charge Jean-Guillaume de Ham, le

petit Jeannot, un élève à qui il lègue tous ses biens.

Helléniste, diplomate, géomètre, géographe, écrivain,

érudit, il traduit l’Iliade et l’Odyssée puis l’Optique de P.

Heel et une carte de la principauté de Liège.

Il décède le 17 termidor an 13 (5 août 1805).

Ce prêtre cultivé, à l’origine de développement de notre

commune mérite qu’on se souvienne de lui pour la re-

nommée qu’il lui apporta.

J.G.

Un lieu d’antan

Pensez-y :C’est encore sous son propre toit que l’existence est la meilleure. Joseph Gélis

Envie d’exposer?A l’attention des artistes peintres, sculpteurs ou au-

tres: notre salle d’exposition vient d’être entièrement

rafraîchie. Elle est magnifique et n’attend plus que de

pouvoir montrer le talent dont vous faîtes preuve. Dès

à présent, vous pouvez nous consulter et vous inscrire

dans le programme annuel des activités. Téléphone:

087/33 25 08 du lundi au vendredi de 9h à 15h.

Rue Neuve, 50 à Dison, Usine Jemine, chaussures Select.

En haut à gauche, on distingue l’ancienne Poste.

Photo datant des inondations de 1956.

Collection ASBL «Les Amis d’Adolphe Hardy».

Textes écrits par Joseph Gélis (1923-2007).

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Décembre 2007PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON 18

DANS NOS ASSOCIATIONS

90 ans pour le Senseï!Cinquante ans d’existen-ce et quarante années de pratique, cela se fête. Le Karaté Andrimont a donc mis à l’honneur son Senseï, Marcel Delhez.

Dison... en bref

Souper cabaret de l’Unité pastorale de Dison-AndrimontSamedi 1er décembre prochain (19 heures), l’Unité pastorale de Dison-Andrimont organise un souper cabaret en la salle du Cercle royal Saint Jean-Baptiste, à Mont-Dison. Menu complet à prix sympa.

Saint-Nicolas à la Royale Nationale

Saint-Nicolas est de nouveau annoncé à la Royale Nationale. Ce sera pour ce samedi 1er décembre dès 14h30 au complexe sportif, rue de l’Industrie. Tous les gymnastes en règle de cotisation sont invités. Au programme: productions gymniques, animations diverses, petite restauration, etc. L’entrée est gratuite.

Bal Folk

Ce samedi 15 décembre prochain, l’Amicale UCP Dison et l’unité scoute Saint Fiacre organise un bal folk. Celui-ci se tiendra à la salle communale des fêtes, place Luc Hommel et sera animé par le trio Géométrie variable et son maître à danser. Ambiance garantie! Entrée: 5 euros.Par ailleurs, l’Amicale rappelle qu’elle propose toute une série d’activités pour les + de 50 ans (Balade pédestre, aquagym, stretching, danses folkloriques, jeux de tables, etc.). D’autre part, un réveillon du nouvel an est proposé par l’association dans une ambiance chaleureuse et mu-sicale avec Victor. Repas de gala, jeux, danses et bonne humeur sont au programme, pour 50 euros tout compris. Infos: 0485/729 199

Visite de Saint-Nicolas chez les VolontairesCe vendredi 7 décembre prochain, le grand Saint-Nicolas rendra visite à ses amis, dès 17h30. La visite se déroulera dans les locaux du club, rue Neuve 79 à Dison. Présence obligatoire pour recevoir ses friandises. D’autre part, à partir de 19h30, un souper fromage ou charcuterie sera proposé. Infos: 087/46 37 52

Cuistot d’un soir à la Régie de quartier

Vendredi 7 décembre prochain, à partir de 19h, le cuistot d’un soir de la régie des Quartiers Havre-Sac vous propose un menu congolais au prix démocratique de 7 euros. Ce menu comprend : une entrée (feuilles de manioc aux bananes plantain et aux haricots), un plat (poulet à la Moambe à la façon zaïroise), un dessert (fruits exotiques) et un café offert. Faites plaisir à vos papilles gustatives et venez nombreux dé-couvrir l’exotisme de la cuisine congolaise.Uniquement sur réservation au 087/35 46 60

En ce début du mois de sep-tembre dernier, le professeur du Karaté Andrimont, Marcel

Delhez, fêtait un double anniver-saire. En plus de comptabiliser quarante années de pratique du Karaté-Do (dont 30 ans d’enseignement bénévole), le même mois, il passait le cap du demi-siècle. Soit nonante ans à fêter!La carrière sportive de Marcel Delhez est bien remplie puisqu’il débute à l’âge de 10 ans la pratique de cet art martial qui allait devenir sa vraie philosophie de vie. Dès 16 ans, il s’essaye à la compétition et parvient, malgré sa petite taille et son poids, à se hisser parmi les meilleurs. En 1975, il remporte le titre de champion de la province de Liège et se voit dès lors repris dans l’équipe nationale juniors. Suite à une blessure au genou et, plus tard, au service militaire, il refuse cependant plusieurs sélections internationales, dont une pour le champion-nat du monde Sankukai. L’armée ne lui donne en effet pas l’autorisation de quitter le pays, le karaté n’étant pas un sport olympique.En 1976, à 18 ans, il obtient sa ceinture noire 1er Dan. Il devient ainsi la plus jeune ceinture noire de Belgique.C’est en 1977, alors qu’il termine les cours de moniteur ADEPS, que son père lui demande de prendre en mains la section des juniors. En avril 80, il obtient son 2ème Dan mais au mois de septembre de la même année, son papa décède et il se retrouve, seul, face aux karatékas andrimontois pour assurer «la relève». A cette époque, sa blessure au genou se rappelle de plus en plus à son souvenir. Il décide alors d’abandonner la compétition.Au mois de septembre 1981, précurseur du karaté pour jeunes, il crée une section «minimes» destinée aux jeunes dès l’âge de 5 ans et trois ans plus tard, il obtient le grade de 3ème Dan. Cependant, l’ambiance des compétitions lui manque. Il décide alors de se convertir à l’arbitrage et devient arbitre national en 1985. Parallèlement, il poursuit son en-traînement, ce qui lui permet de devenir successivement le plus jeune 4ème, 5ème, puis 6ème Dan de Belgique en mai 2000. Et en 2005, il accède au titre d’arbitre mondial. •

> Si vous voulez découvrir le karaté-do, Marcel Delhez et ses assistants seront heureux de vous accueillir. Pour tous renseignements: 0486/69 33 32 ou http://karate.andrimont.ifrance.com/

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Décembre 2007 PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON19

DANS NOS ASSOCIATIONS

Le programmeSamedi 8 décembre19h: ouverture de la 36ème session de la compagnie19h30: intronisation des nouveaux compagnons20h: dégustation de la Tchèveneye21h: animation musicale par l’orchestre «Memory»

Dimanche 9 décembre9h15: messe chantée par la chorale «La Montoise»10h: bénédiction des véhicules12h: dégustation de la Tchèveneye

Réservation après de Jean Lahaye (087/33 67 42) ou de Pierre Vromen (087/30 03 03)

Quel est le point commun de Claude Desama, Didier Ernst ou encore Jacky Lacroix? Ils ont tous été intronisés membres de la Compagnie des Chevaliers de la Tchèveneye-Montoise. Pour ceux qui ne la connaisse

pas, il s’agit là d’une confrérie gastronomico-folklorique mettant à l’honneur la fricassée aux oeufs et lard lors d’un week-end qui lui est dédié au Cercle Royal Saint Jean-Baptiste à Mont-Dison.C’est en septembre 1965 que la confrérie fut fondée, avec l’aide des deux sociétés de Mont, la Royale Alliance Montoise et le Cercle Royal Saint Jean-Baptiste.

«Début des années soixante, on organisait des rallyes gourmands dans le vil-lage, explique Pierre Vromen, grand-chancelier de la Tchèveneye-Montoise. C’est Orphal Simon qui a eu l’idée de créer la confrérie afin de concrétiser tout ce qui avait été fait précédemment.» Depuis, celle-ci a fait pas mal de chemin, puisqu’elle en sera, ce week-end des 8 et 9 décembre, à sa 36ème soirée d’intronisation. Une soirée qui, comme son nom l’indique, permettra à trois personnes – cette année Martine Rigaux, Claude Klenkenberg et Jacques Zintzen – de se voir introniser Compagnons d’honneur. Sans oublier, pour d’autres, la promotion au rang de Chevalier accompagné de l’hymne à la Tchèveneye, écrit en wallon par Pierre Conradt. Mais le clou de ces deux journées festives, ce sera bien entendu la dégustation de la traditionnelle

fricassée. Pas moins de deux-cents assiettes seront servies sur le week-end, préparées par les membres du comité, dont le grand-maître est Jean Lahaye. «On fait ça dans la cave de la salle, poursuit Pierre Vromen, avec des poêles en tôle de nos grands-mères. Ce qui donne à la fricassée un goût particulier, bien rôti!» Le tout accompagné de pain gris spécial Tchèveneye avec du beurre du pays et arrosé d’un vin «cuvée spéciale Compagnie». Et pour conclure: la tranche de pain d’épice recouverte de sirop noir comme dessert. De quoi nous mettre l’eau à la bouche! •

La Tchèveneye, tradition montoise La 36ème édition de la Tchèveneye-Montoise, c’est

pour ces 8 et 9 décembre prochain. La fricassée

sera une fois encore à l’honneur!

Le livre d’or de la Tchèveneye.

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Décembre 2007PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON 20

DANS NOS ASSOCIATIONS

Noël à DisonFêtes de fin d’année obligent, les manifestations estam-

pillées «Noël» sont de rigueur. Présentation des activités

proposées dans votre commune.

Tournée du Père Noëlà Andrimont

Comme c’est le cas depuis plusieurs années, la Commission d’animation du quartier d’Ottomont organise une fois encore une tournée du Père Noël. Celui-ci rendra en effet visite aux habitants en circulant dans les rues du quartier d’Ottomont pour saluer petits et grands. Le Père Noël sera sur son char illuminé et distribuera des friandises aux enfants. Deux passages sont prévus: samedi 15 décembre dès 15 heures et lundi 24 décembre dès 15 heures.Pour tous, cette fête de Noël est sans aucun doute l’un des plus beaux mo-ments de l’année. A cette occasion, l’association souhaiterait que de belles décorations soient aux fenêtres ou dans les jardins.Le Père Noël empruntera l’itinéraire suivant: Avenue du Centre - Quartier de Botister - Allée de l’Avenir - Rue de Verviers - Rue Jean Jaures - Rue Jean Mélein - Rue Maurice Duesberg - Allée d’Ottomont - Rue Michel Pire - Rue Albert de t’Serclaes - Rue Anne de Molina - Rue du Paradis - Rue Haute - Rue Fonds-de-Loup - Rue Albert Thomas.D’autre part, vous le savez, la Commission d’Ottomont est très sensible aux problèmes des en-fants handicapés ou malades. C’est pourquoi son action de fin d’année sera en faveur de l’opération «Pour un peu de bonheur». Une fois de plus, la Commission compte donc sur votre générosité. Réservez bon accueil aux collecteurs! Tous les dons sont les bienvenus sur le compte de l’opération: 068-2413191-52 avec la mention «pour un peu de bonheur». Infos: 087/33 52 34.

Marché de Noël à la Cité de l’Espoir

Ces samedi 15 (de 13h à 18h) et dimanche 16 décembre pro-chains, (de 10h à 18h), la Cité de l’Espoir organise son 12ème Marché de Noël. Différentes échoppes et animations se-ront de la partie, dans des lo-caux chauffés. Vaste parking à disposit ion des visiteurs. Renseignements et inscriptions au 087/32 56 08

Marché de Noëlà l’école du Centre

L’Association des Parents de l’Ecole communale du Centre à Andrimont organise ce dimanche 16 décem-bre, de 14h à 18h, son traditionnel Marché de Noël sur le parvis de l’Eglise Saint-Laurent. C’est avec grand plaisir que l’association vous invite, vous ainsi que votre famille, à venir y participer.Comme par le passé, vous y trou-verez de quoi combler petits et grands : montages en fleurs sé-chées et naturelles, bricolages, friandises... et un tas d’idées cadeaux pour vos fêtes de fin d’année, le tout à un prix démo-cratique assuré.Le Père Noël ne manquera pas de venir rencontrer ses petits amis dans le courant de l’après-midi.Pour les plus grands, le tradi-tionnel vin chaud accompagnera les pains-saucisses, etc. Les plus frileux trouveront dans les locaux de l’école chaleur mais aussi de quoi de restaurer. •

Tournée du père Noël annulée à l’ASBL CCF DisonLes membres de l’ASBL Commission communale des fêtes de Dison ont le regret de vous faire savoir, que pour des raisons techniques, indépendantes de leur volonté, la tournée du Père Noël prévue mi-décembre 2007 en vue de récolter des denrées non périssables pour les plus démunis de la commune, n’aura pas lieu. Si vous aviez prévu de les aider, vous pouvez remettre vos denrées soit au CPAS - rue de la Station à Dison, soit à Solidarité 600 - rue des 600 Franchimontois à Andrimont, soit à Solidarité Dison - rue Léopold à Dison.

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Décembre 2007 PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON21

DANS NOS ASSOCIATIONS

• Un Club des Filles: début octobre, un nouveau projet a vu le jour à la maison des jeunes de Dison. Les filles du quartier Neufmoulin ont émis le souhait de faire des activités entre elles. Un Club a donc été crée avec une vingtaine de filles. Un calendrier est envoyé à chaque fille inscrite à raison de deux activités par mois. Si tu es une fille et que tu as envie de te joindre à ce club, tu peux contacter l’Espace Rencontre au 087/35 21 75.

• A la maison de jeunes: les garçons ont eu le plaisir de faire une escapade de 3 jours de découvertes touristiques et culturelles à Londres, ils sont revenus enchantés.

• Expression des jeunes sur le thème du devoir de mé-moire: Soulaiman, Younes, Janer et Norhr se sont expri-més à ce sujet. Pour eux la guerre c’est: la mort, la tris-tesse, les morts d’innocents, la famine, la destruction. Il y a moyen d’éviter la guerre et de s’arranger autrement. La guerre est injuste car ce sont des innocents qui meurent et des familles entières en souffrent.

Dison... en bref

Le Dison Karaté Do se met en évidence

Début novembre dernier, lors du championnat LFKB organisé à Waremme des membres du Dison Karaté Do se sont illustrés. A commencer par Céline Zeyen qui remporte une 2e place en catégorie filles Kata 16 – 17 ans. Autre belle performance, celle de Johan Villegas qui termine 4e en kata garçons 13-14 ans.Pour plus d’infos sur le club disonais: karatedison.blueline.be - [email protected] - Tel : 0496/23 95 76 après 17h.

Soirée théâtrale pour la fête des Rois

Ce samedi 5 janvier prochain (20h), le Cercle Royal Saint Jean-Baptiste organise une soirée théâtrale à l’occasion de la fête des Rois. Les «Djoyeux Montwès» présentent deux pièces. Tout d’abord «On n’diver-ceye pus», une comédie de François Collin mise en scène par Arlette Auguster-Dorval. Ensuite, place à la pièce «Bague-t’on?», une comédie d’Antoine Bergmans mise en scène par Arlette Auguster-Dorval.Entrée: 7 euros. Réservation des places chez Roger Brandt au 087/33 87 12.

Exposition carnaval à la Fondation Adolphe HardyA l’occasion des 50 ans du carnaval à Mont-Dison, le comité des ex-princes propose une exposition relative au carnaval qui, au fil des ans, n’a cessé de prendre de l’ampleur. A partir du 5 janvier et jusqu’au 12 janvier prochain, différentes documents seront exposés à la Fondation Hardy afin de retracer l’histoire de ce folklore.Expo à voir de 14 à 19h sauf le mercredi de 9 à 12h.Sachez par ailleurs que nous reviendrons sur le cinquantième anniver-saire du carnaval de Mont dans le Présence du mois de Janvier.

Natation: huit annéesd’invincibilité pour Bastien SoretTraditionnellement chaque année les nageurs des neuf clubs régionaux se rencontrent dans les quatre styles. Depuis 2000, le nageur du Dison Welkenraedt Swimming Team règne en maître dans sa catégorie d’âge. Dernièrement, il vient d’ailleurs de remporter pour la huitième année consécutive la coupe des quatre victoires. Sa polyvalence dans les quatre nages (papillon, dos, brasse et nage libre) lui a permis cette année de remporter pour la troisième fois le titre de champion de Belgique en 400m 4 nages. Son petit frère Lucas semble également suivre la voie tracée par son ainé en remportant également les quatre courses au programme de championnats régionaux.

Du nouveau à l’Espace Rencontre

Rappel des horaires d’ouvertures

de la maison de jeunes :

Lundi : 16h à 19hMardi : 16h à 19h

Mercredi : 14h à 18hJeudi : 16h à 19h

Vendredi : 16h à 2hSamedi : 14h à 18h

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Décembre 2007PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON 22

L’AVIS DE NOS ECOLES

Les élèves de sixième de

l’école du Centre ont dé-

couvert les Territoires de la

Mémoire. De quoi revenir sur

les horreurs de la deuxième

guerre mondiale afin de ne

plus commettre les mêmes

erreurs dans le futur.

Le devoir de mémoire par l’école du Centre

Pour dire « Plus jamais ça! »

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Décembre 2007 PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON23

L’AVIS DE NOS ECOLES

«Plus jamais ça!» Voilà en quelque sorte le message qu’ont tenu à faire passer les élèves de sixième année de l’école commu-nale du Centre, en visitant les Territoires de la Mémoire. Une

association qui a fait le choix de la pédagogie et de la tolérance, afin de contrer les mensonges et la haine notamment suscités aujourd’hui encore par les partis extrémistes. Dans ce sens, elle propose de revenir sur les faits s’étant déroulés durant la deuxième guerre mondiale afin de prévenir le retour au pouvoir de régimes racistes, dictatoriaux et sanguinaires.Première étape, une brève présentation par une animatrice et un rap-pel du contexte historique. La misère en Allemagne après le premier conflit mondial. L’arrivée au pouvoir du parti nazi et ses promesses de changements. L’avènement d’Hitler, la stigmatisation du peuple juif, la naissance d’une dictature qui allait conduire à une nouvelle guerre mondiale, mais aussi à la mise en place des camps de concentration et à des millions de morts.Place ensuite au début d’un parcours symbolique durant lequel les élèves se sont vu rentrer dans la peau d’un déporté. Douze étapes figuraient au programme, le tout dans une scénographie reconstituant de manière précise l’enfer concentrationnaire. Des rafles aux transports vers les camps, en passant par la mise à mort des déportés, par la vie au quotidien des «privilégiés» ou par la résistance. Tout cela avant la libération et le visage ébahi des survivants. Des images parfois très dures sont montrées aux enfants. Si certains détournent le regard devant tant d’horreur, tous auront en tout cas suivi le parcours avec la plus grande attention, conscients de l’importance de l’enjeu.

Enfin, en guise de conclusion, un film - «Les témoins de la Mémoire» – aura été projeté aux élèves. Celui-ci montre la rencontre entre trois anciens déportés des camps de concentration avec une classe de troi-sième primaire. De quoi les voir répondre aux questions que ces enfants se posent quant à leur expérience respective. Une expérience qu’ils tiennent à partager afin de ne pas oublier et dans le but de ne plus jamais revivre ça. •

Les Territoires de la Mémoire86, Boulevard d’Avroy4000 Liège - 04/232 70 60www.territoires-memoire.be

> Le théme du mois prochain étant «les 30 ans du Centre culturel», il n’y aura exceptionnellement pas de rubrique «l’avis de nos écoles» dans l’édition de janvier.

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Décembre 2007PRÉSENCE - CENTRE CULTUREL DE DISON 24

L’ACTUALITÉ CULTURELLE

QUAND QUOI - QUI - OU Samedi 1 déc. 2007 14:30 Saint-Nicolas - Royale Nationale - Complexe sportif rue de l’Industrie à Dison 19:00 Saint Nicolas des 8-12 ans école St Laurent 19:00 Souper cabaret - Unité pastorale de Dison-Andrimont - Cercle royal Saint Jean-Baptiste Mont-DisonDimanche 2 déc. 2007 14:00 st Nicolas des 2,5-8 ans école st LaurentVendredi 7 déc. 2007 11:30 Bar à soupes - Havre-Sac - Place J. Roggeman 17:30 Visite de Saint Nicolas - Gym les Volontaires - Rue Neuve, 79 Dison 20:00 Cycle Pin Pon: The Tellers - Centre culturel - Salle des fêtesSamedi 8 déc. 2007 19:00 Tchèveneye-Montoise - Mont-DisonDimanche 9 déc. 2007 09:15 Tchèveneye-Montoise - Mont-DisonMercredi 12 déc. 2007 15:00 Petit Veinard: Mister Jo (par Luc Regard) - Centre culturel - Salle des fêtesVendredi 14 déc. 2007 11:30 Bar à soupes - Havre-Sac - Place J. Roggeman 15:00 Marché de Noël école st LaurentSamedi 15 déc. 2007 13:00 Marché de Noël - Cité de l’espoir - Cité de l’Espoir 20:00 Bal folk - Amicale UCP + Scouts St Fiacre - Salle communale des fêtesDimanche 16 déc. 2007 10:00 Marché de Noël - Cité de l’Espoir - Cité de l’Espoir 14:00 Marché de Noël - Association de parents école du Centre - Parvis de l’église Saint-Laurent 15:00 Concert ensemble vocal A Piacere - Centre culturel - Eglise Saint Laurent d’Andrimont Vendredi 21 déc. 2007 11:30 Bar à soupes - Havre-Sac - Place J. RoggemanVendredi 28 déc. 2007 11:30 Bar à soupes - Havre-Sac - Place J. RoggemanLundi 31 déc. 2007 20:30 OP st Laurent Réveillon-buffetVendredi 4 janv. 2008 11:30 Bar à soupes - Havre-Sac - Place J. RoggemanSamedi 5 janv. 2008 20:00 Soirée théâtrale - Cercle royale St Jean-Batiste - Cercle Royal Saint Jean-BatisteDimanche 6 janv. 2008 Fête des Rois - Cercle royal Saint Jean-Baptiste - Cercle royal Saint Jean-Baptiste Mont-DisonMercredi 9 janv. 2008 14:30 Voyage du Mercredi: Le Guatémala - Centre culturel - Salle des fêtesVendredi 11 janv. 2008 11:30 Bar à soupes - Havre-Sac - Place J. Roggeman

Quène djournèye

Dju m’a lèvé dè måva pîdEt a pône lu cou foû dè létDju m’a trèbouhî so l’tapisEt sins tchik’ter, dju m’a ståré.Adonpuis tot buvant m’cafè,Qu’esteût trop tchôd, dju m’a broûlé.Et qwand dj’a volou m’rusouwer,Lu jatte a volé a boquets.Cou qu’c’est qxand on vout fer l’malé !Mi dju v’z’èl dit : y a des djoûsQu’on freut mî du d’moni è lét.Des djoûs wice quu tot v’toûne lu cou.Dju n’rutrovève pu m’pantalon.Dju laveux lèyî è salon.Et po quu l’tåvlè seûye côplet,Mu tché aveut magnî m’tchapêSi tché la nu fé qu’des makôrs.I a stu pihî d’vins mes solés.

I foute lu margåye è bazår.Dju so vormint èmacralé.Comme dj’esteûs dèdja fwèrt en r’tård,Dju touma s’one grève dè transpôrt.Oblidjî du fer l’vôye a pîd,Dj’arriva trop tård tot foû d’mi.Lu patron n’esteût né côtint.I m’duna sol’côp mes ût djoûs.Vola poqwè, mes bravès djins,Quu dj’ma r’trové tot seû so l’soû.Portant, çu n’seteût né co tot.Mu feume est rèvôye amon s’mére.Ille m’a planté la comme on sot.Mon Diu, quéne vèye, quénès misères.Et portant, dju n’y sos po ré,Mins dju v’z’èl répète : y a des djoûsQu’on freût mî du d’moni è lét.Des djoûs wice quu tot v’toûne lu coup.

Je me suis levé du pied gaucheEt à peine le derrière hors du litJe me suis trébuché sur le tapisEt sans chipoter je me suis étaléEnsuite en buvant mon caféQui était trop chaud je me suis brûléEt quand j’ai voulu m’essuyerLa tasse a volé en morceauxCe que c’est quand on veut faire le malinMoi je vous l’dis il y a des joursQu’on ferait mieux de rester au litDes jours où tout vous tourne le culJe n’trouvais plus mon pantalonJe l’avais laissé dans l’salonEt pour que l’tableau soit completMon chien avait bouffé mon chapeauCe chien là ne fait que des bêtisesIl a pissé dans mes souliers

Il fout la pagaille partoutJe suis vraiment ensorceléComme j’étais déjà très en retardJe tombais sur une grève des transportsObligé de faire le chemin à piedJ’arrivais en retard tout hors de moiLe patron n’était pas contentIl me donna mes huit jours sur le champsVoilà pourquoi mes braves gensJe m’retrouvai seul sur le trottoirPourtant ce n’était pas suffisantMa femme est retournée chez sa mèreElle m’a planté là comme un sotMon Dieu quelle vie, quelle misèrePourtant je n’y suis pour rienMais je vous l’repète y a des joursQu’on ferait mieux de rester au litDes jours où tout va de travers.

Le coin du wallon

L’AGENDA DISONAIS

par Djosef Jaegers

Quelle journée

Page 25: PRÉSENCE - ccdison.be

COIFFURE MESSIEURSMARC L O U S B E R G

087-33 52 46 rue Albert 1er, 55 - DisonOuvert : mardi - mercredi - vendredi : de 8 h 30 à 12 h

et de 13 h 30 à 18 h 30. Jeudi : uniquement sur rendez-vous.Samedi de 7 h 30 à 18 h non-stop.

Service coupe :classique - brosse - coupe actuelle

Fermé du 01 au 05/01/2008

Ouvert le dimancheTél. : 087 - 34 06 34Rue Pisseroule, 213 - 4820 - Dison

Nous vous souhaitons nos meilleurs vœux !

Soins complets du visage et du corps - banc solaireEpilation - Maquillage - Manucure - Pédicure

64, rue Albert de T’Serclaes - 4820 ANDRIMONT ✆ 31 24 03

Fermé le lundi et le vendrediSERGE RÉ

r u e d u P a r a d i s , 2 6 - 4 8 0 0 Ve r v i e r s - t é l : 0 8 7 / 3 1 2 9 2 6Je vous reçoit au salon sur rendez-vous. Sur demande, je me rends à domicile.

Pensez à prendre vos rendez-vous pour les fêtes de fin d'année.

Ouvert les 24 et 31 décembre sur RDV.

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Décembre 2007INFORMATIONS COMMUNALES 26

Page concédée à l’Administration communale

Les joies Tyssia chez Serena Picco et Mbuta Kiangebeni, rue Albert 1er 106, née le 23/09/07.Maxime chez Irène Dumst et Cédric Debie, rue d’Andrimont 71, né le 24/09/07.Annika chez Sandrine Daix, rue du Paradis 93/2ème Et., née le 25/09/07.Lucas chez Véronique Morel, rue Pisseroule 1/0002, né le 03/10/07.Haytem chez Soumia Abbou et Yahya Abbou, rue de la Station 17/Ap. 36, né le 04/10/07.Clara chez Catherine Glaude et Olivier Martin rue A. de T’Serclaes 80, née le 11/10/07.Mehmet chez Mükerrem Kurak et Hüseyin Kazmaoglu rue Henripré 55, né le 05/10/07.Kylian chez Christel Rompen et Xavier Houben, rue de Husquet 8/1er Et., née le 14/10/07.Yaël chez Aurore Humblet et Frédéric Detry, rue de Husquet 78, né le 15/10/07.Florent chez Sylvie Charlier et Frédéric Mohring, rue Léopold 87, né le 18/10/07.Rayhana chez Chadya El Abbadi et Otmane El Messari, rue Pisseroule 311/1er Et., née le 17/10/07.Pierre chez Nadine Hanquet et Frédéric Delbouille, rue Léopold 61, né le 19/10/07.Nicolas chez Virgine Bebronne et Jean-Sébastien Nullens, rue de la Station 23/0003, né le 23/10/07.Bastien chez Yolande Steeman et Olivier Denis, rue Ma Campagne 12, né le 24/10/07.Ilona chez Sabine Lonneux et Christophe Adam, rue de l’Industrie 47/0001, née le 22/10/07.Almedin chez Havka Hasanovic et Muamer Turkanovic, rue Albert de T’Serclaes 6, né le 26/10/07.

Les noces Le 13 octobre à Andrimont, Vinciane Wingen et Bruno Hendrick, Allée d’Ottomont , 2Le 13 octobre à Andrimont, Gaëlle Schyns et Aymeric Berger, Route d’Henri- Chapelle, 67Le 20 octobre à Andrimont, Naide Say et Tufan Kara, Place Jean Roggeman, 37

Les deuils Nathalie Derchain, 34 ans, Rue Jean Melein, 24, décédée à Plombières, le 1er octobreJoséphine Rentmeister, 95 ans, Rue du Châtelet, 41, décédée à Dison, le 2 octobreJosé Massoz, 45 ans, Rue du Corbeau, 56, décédé à Liège, le 3 octobreArnoldine Darimont, 89 ans, Avenue Jardin Ecole, 32, décédée à Verviers, le 4 octobreJacqueline Geenis, 59 ans, Rue Pire Pierre, 73, décédée à Dison, le 5 octobreValère Haegeman, 80 ans, Rue du Châtelet, 41, décédé à Dison, le 8 octobreEvelyne Milcamp, 44 ans, Rue Maurice Duesberg, 36, décédée à Verviers, le 9 octobreMaria del Carmen Pinera Becerril, 77 ans, Rue des Auris, 36/RDC, décédée à Plombières, le 9 octobreMarie Janssen, 76 ans, Route d’Henri- Chapelle, 190, décédée à Dison, le 9 octobrePaul Kerf, 89 ans, Rue de Mont, 114, décédé à Verviers, le 17 octobreJean Collings, 86 ans, Rue de la Station, 29, décédé à Dison, le 17 octobreMarie Lejeune, 85 ans, Rue du Commerce, 4, décédée à Verviers, le 20 octobreGermaine Vossen, 80 ans, Rue de la Station, 29, décédée à Dison, le 22 octobre

Administration communale ferméeL’Administration communale vous informe que ses bureaux seront fermés au public du-rant les vacances de Noel, du lundi 24 au mer-credi 26 décembre 2007 ainsi que les mardi 1er et mercredi 2 janvier 2008. Le service Population – Etat civil - Etrangers ouvrera ses portes les 27, 28 et 31 décembre ainsi que les 3 et 4 janvier uniquement en ma-tinée.

Un geste pour l’environnementL’utilisation des produits « fl ushable » tels que les lingettes jetables est entrée dans les habitudes domestiques. Ces produits, bien que certains soient renseignés biodégradables lorsqu’ils sont éliminés via le réseau d’égouts, provoquent vu leur résistance mécanique, des dégâts non négligeables aux stations d’épuration des eaux usées domestiques. La remise en état des stations, suite à ces dégâts, oblige l’Intercommunale gestionnaire des ouvrages (A.I.D.E) à by-passer ces dernières et par conséquent à rejeter les eaux usées directement dans le milieu naturel induisant ainsi un risque important de pollution des ruisseaux.Nous vous demandons donc dans un but environnemental de jeter ces produits dans vos poubelles domestiques.Il existe aussi des alternatives plus écologiques à ces produits jetables prescrites sur le site www.ecoconso.be

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Décembre 2007 INFORMATIONS COMMUNALES27

Page concédée à l’Administration communale

QUELS SONT LES EMBALLAGES NON ADMIS ?

� Les sacs en plastique, les raviers et barquettes en plastique, les pots de yaourt,

les gobelets, les tubes, … sont constitués de types de plastiques tellement dif-

férents qu’il est improbable d’envisager leur recyclage. De plus, ils sont souvent fortement souillés par les produits qu’ils ont contenus, ce qui les exclut de la chaîne du recyclage. Ils doivent être déposés dans votre poubelle ménagère.

� Le papier aluminium n’est pas non plus le bienvenu, pourtant il s’agit d’alumi-nium mais il est tellement fin qu’il brûle au lieu de fondre. La matière est donc irrécupérable. Il doit être déposé dans votre poubelle ménagère.

� Les emballages qui ont contenu des substances toxi-

ques et/ou corrosives comme les peintures, les pesti-cides, les solvants et les acides peuvent présenter un danger pour le personnel et les machines. Ils doivent être déposés au Recyparc.

� Enfin, il est important de ne pas glisser de seringues dans une bouteille en plas-tique ! Elles sont particulièrement dangereuses pour les collecteurs et les trieurs, elles doivent être déposées au Recyparc. Et bien sûr, les perfusions ne sont pas non plus admises, elles doivent être déposées dans votre poubelle ménagère.

Donc, nous vous remercions de ne pas jeter tous ces emballages dans vos sacs

bleus car ce ne sont NI des bouteilles, NI des flacons en plastique !

Vous êtes de plus en plus nombreux à bien trier vos déchets P.M.C. (Bouteilles et flacons en Plastique, embal-lages Métalliques et cartons à Boissons) et nous vous en remercions vivement ! Cependant, il subsiste dans certains sacs bleus des emballages qui ne doivent pas s’y trouver. La différence entre les « PMC » et ceux qui n’en sont pas est parfois subtile, pour cette raison, nous vous expliquons vraiment pourquoi certains embal-lages ne doivent pas être déposés dans les sacs bleus. Ne dit-on pas qu’un « trieur averti en vaut deux » ?

SUIVEZ LE GUIDE, triez bien vos sacs bleus !

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F I L I È R E S D E R E C YC L A G E

Place aux enfantsCette année encore les enfants de nos écoles ont participé en grand nombre à cette activité communale organisée par l’Echevinat de la Petite Enfance. Durant tout un après-midi, les enfants ont voyagé dans la Commune et ses alentours.

Première destination, la bibliothèque communale Pivot. Les enfants ont pu s’initier aux tâches du bi-bliothécaire en rangeant les livres par thème, par auteur,...

Deuxième destination, la caserne des pompiers de Verviers. Inauguration de la nouvelle nacelle. Celle-ci peut atteindre une hau-teur de 25 mètres afi n d’in-tervenir et secourir plus rapidement des personnes dans des immeubles.

Troisième destination, l’étang de Monsieur Maréchal.Celui-ci a aménagé, dans son jardin, une station de récupé-ration de ses eaux usagées. Monsieur Maréchal contrôle la qualité de l’eau fi ltrée par son installation ; Il peut l’utiliser pour effectuer certaines tâches quotidiennes. Mais attention, cette eau n’est pas potable!

Notre voyage ne s’est pas arrêté là. Nous avons également visité la boulangerie du Sacré Cœur, la Maison de police de Dison, la maison médicale «Bulle d’air», l’Administration communale de Dison, Télévesdre, Radiolène et le Grand Théâtre de Verviers.

Journée des droits de l’enfantDans le cadre de cette journée, l’Echevinat de la Petite Enfance, en collaboration avec l’Administration communale de Dison, organise un après-midi récréatif sur le thème « le rire et le jeu ».

Où ? Salle des Fêtes, Place Luc Hommel 15 à 4820 Dison.

Quand ? Mercredi 5 décembre 2007 de 14h à 16h30.

Qui ? Tous les enfants de 1ère et 2ème années primaires des écoles de Dison.

Quoi ? Des ateliers pédagogiques : jeux basés sur l’écriture et l’ex-pression corporelle (mimes), conte, musique.

Saint Nicolas sera de passage durant cet après-midi. Il distribuera des bonbons et une boisson à tous les enfants. Cette activité est entièrement gratuite.Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez téléphoner à Mademoiselle Claudie Delhez au 087/31.45.50, à l’Administration

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