Répertoire : ilm présenté par Francis Garnier, cinéphile et adhérentConférence sur le Land Art par Daniel Clauzier, Historien de l’art, en partenariat avec l’EAP, suivie du ilm

En présence de Wissam Alhaj, dialoguiste du ilm, auteur et journaliste indépendant palestinien basé à Paris, en partenariat avec le Collectif Palestine 86

Pique-nique + ilm à 20h + animation musique et danse par La Boit’aFolk dans le hall

C I N E M A’

Du 7 Novembre au 4 Décembre 2018

CINEMA LEs 400 COUPs4 rue Rasseteau

86100 Châtellerault

Tél. 05 49 93 37 77

cinema.les.400.coups@gmail.comles-400-coups.cine.allocine.fr

www.facebook.com/cinemales400coups/

Dans le Paris de la Belle Epoque, en compagnie d’un jeune livreur en triporteur, la petite kanake Dilili mène une enquête sur des enlèvements mystérieux de illettes. A travers la ville prestigieuse, elle rencontre des hommes et des femmes extraordinaires. Les deux amis feront-ils triompher la lumière, la liberté et la joie de vivre ensemble ?

Kirikou

les peintres, scientiiques, écrivains, comédiens et autres

tout en couleur, s’animent merveilleusement.

D’une montagne enneigée à une mer étoilée, d’une ville tranquille à un océan agité, les héros de ces sept petits ilms transportent les plus petits dans leurs aventures joyeuses ou mélancoliques, mais toujours très poétiques.

ilm projeté à 16h30

les enseignants inscrits à l’opération initiée par le cinéma les 400 coups pour les élèves des classes de maternelles du Châtelleraudais sont invités à venir découvrir ce programme Mercredi 21 novembre à 16h30.Ce programme sera proposé aux élèves lors du 2 trimestre en février 2019.Discussion et échanges avec les enseignants présents à l’issue de la projection (20 minutes env.).

Dans la périphérie rurale de la ville de Gaza, la famille Samouni s’apprête à célébrer un mariage. C’est la première fête depuis la dernière guerre. Le quartier où ils habitent est en reconstruction. Ils replantent des arbres et labourent les champs, mais une tâche plus dificile encore incombe aux jeunes survivants : reconstruire leur propre mémoire…« Le ilm s’inscrit dans une perspective à la fois intimiste et mythologique, cherchant au ras du quotidien à

des habitants du quartier agricole de Zeitoun et s’élevant dans un ailleurs transiguré où la guerre cesse d’être une abstraction pour devenir cette horrible promesse d’un impossible présent constamment recouvert par les gravats, les deuils, la mémoire mutilée. », Libération.

s’avère émouvante et particulièrement nécessaire. », Positif.« Ce qui émane de ce ilm implacable de Stefano Savona,

Palestiniens. La pulsion de vie est la plus forte. Une petite surface de salades cultivée, deux oliviers sauvegardés, les

remise en marche, et, inalement, une cérémonie de mariage… À travers les pleurs, la possibilité d’un avenir s’esquisse. », Politis.

dialoguiste du ilm,

de Hirokazu Kore-eda (VOST)

Palme d’or annes 2018 !

de A. B. Shawky (VOST)

de Catherine Corsini

de Milko Lazarov (VOST)

de Kirill Serebrennikov (VOST)

de Paul Dano (VOST)

de Nicolas Champeaux et Gilles Porte (VOST) : Soirée spéciale 70 ans de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme : lundi 10 décembre à 20h30

de Margaux Chouraqui : Ciné-rencontre avec la réalisatrice jeudi 13 décembre à 20h30, avec le Mouvement Européen 86

Sélection oficielle, Toronto 2016,

Elle, 14 ans, est jeune ille d’origine Sâmi. Elève en internat, exposée au racisme des années 30 et à l’humiliation des évaluations ethniques, elle commence à rêver d’une autre vie. Pour s’émanciper et afirmer ce qu’elle souhaite devenir, elle n’a d’autres choix que rompre tous les liens avec sa famille et sa culture. À la fois fresque sociologique, récit d’aventure et

rélexion sur la question identitaire, Samiavant tout un magniique portrait de femme. Incarné avec

à l’âge incertain et à la beauté sauvage, le personnage de

à la cruauté de ses contemporains en font une héroïne lamboyante, face à un déterminisme bien plus grand qu’elle. (…) Captivant dans son propos et visuellement

Samipas au tournant, capable de vous subjuguer et de vous emmener vers des torrents d’émotions. Il offre une in d’une beauté inouïe, dont le message d’humilité résonne avec force longtemps après la projection. », AbusdeCiné.com

- Senior, Carte Cezam - famille nombreuse, parent accompagnateur sur ilms P’tit

Cinoche - enfant, collégien, lycéen, étudiant, demandeur d’emploi, handicapé, invalide et pour tous sur les ilms Ciné Pitchoun - scolaires, centres de loisirs - (10 tickets) CinéChèques, Chèques Cinéma Universel et Chèques Culture acceptés.Tarif réduit le lundi et le mercredi. sur présentation impérative de votre justiicatif à chaque séance !

à partir de VOST : version originale sous-titrée VF : version française

ilm précédé

Du 8 au 12 novembre, avant Vaysha, l’aveugle de Theodore Ushev - Canada - 2016 - 8 minDu 14 au 20 novembre, avant

El Ailador de James Casey - États-Unis / Mexique - 2017 - 9 minDu 28 novembre au 3 décembre, avant

de Nicolas Deveaux - France - 2018 - 9 min

Labellisé Jeune publicRecherche & découverteRépertoire & Patrimoine

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Chaque mercredi après-midi, le ilm est présenté aux enfants SMESous-titrageMal Entendant

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Ciné-Goûter : Dilili à Paris suivi d’un grand jeu quizz dans la salle + goûter dans le hall vers 16h. Goûter proposé aussi aux enfants de la séance de 16h30 de Petits contes sous la neige* suivi d’un échange avec les enseignants inscrits au dispositif Les Maternelles aux 400 coups (20 minutes env.)Avec l’ADAPGV 86, Association départementale pour l’accueil et la promotion des gens du voyage

En présence de l’écrivain Erwan Larher pour son roman Le Livre que je ne voulais pas écrire, en lien avec La Voix des lecteurs

Sélection oficielle, Toronto & Deauville 2018 ; Lion d’Argent de la mise en scène,

Charlie et Eli Sisters évoluent dans un monde sauvage et hostile, ils ont du sang sur les mains : celui de criminels, celui d’innocents... Ils n’éprouvent aucun état d’âme à tuer. C’est leur métier. Charlie, le cadet, est né pour ça. Eli, lui, ne rêve que d’une vie normale. Ils sont engagés par le Commodore pour rechercher et tuer un homme…

espaces, montage d’orfèvre, musique jazzy d’Alexandre Desplat, ironie et subtilité, humour et gravité. Tout est réussi dans ce nouveau ilm de Jacques Audiard, conte

grands espaces, au cœur de la mythologie américaine. »,La Croix.

La belle Saltanat et son chevalier servant Kuandyk sont amis depuis l’enfance. Criblée de dettes, la famille de Saltanat l’envoie dans la grande ville où elle est promise à un riche mariage. Escortée par Kuandyk qui veille sur elle, Saltanat quitte son village pour l’inconnu. Les deux jeunes gens se trouvent entraînés malgré eux dans une suite d’événements cruels et tentent d’y résister de toutes les façons possibles…« Ce rappel à l’art, le ilm ne cesse de l’évoquer et de le mettre en scène. Par son titre, d’abord, emprunté à une

L’Étrangerle cinéaste utilise, ensuite, tout au long de l’histoire, à la manière des cartons du cinéma muet. Et par l’évocation, enin, des auteurs dont se nourrit Sultanat (Shakespeare,

blanc, impose des plans noirs de quelques secondes à la in de chaque séquence, ou époque. Le ilm retrace, avec sobriété et des moyens considérable, un amour fou qui ne peut supporter le monde tel qu’il est. Le dernier plan est déchirant. », Les Inrocks.« Comme dans L’insoutenable légèreté de l’être de Milan Kundera, l’histoire d’amour des deux héros n’est que le premier plan d’un récit plus vaste sur la manière dont les forces en présence dans la société peuvent contrôler nos vies. Pawlikowski nous propose ici un ilm romantique avec un message politique fort qui résonne encore aujourd’hui. L’histoire s’inspire de celle des parents du réalisateur, dont il a repris les noms et auxquels il dédie le ilm. », Cineuropa.orgDocument AFCAE Promotion à votre disposition

THE HOUSE THAT JACK BUILT VOSTDe Lars von Trier, avec Matt Dillon, Bruno Ganz, Uma Thurman… -

2h35 - sortie : 17 octobre 2018 - Danemark - Sélection oficielle, Cannes 2018 - Interdit aux moins de 16 ans

Jack considère chaque meurtre comme une œuvre d’art en soi. Alors que l’ultime et inévitable intervention de la police ne cesse de se rapprocher il décide - contrairement à toute logique - de prendre de plus en plus de risques…« The House that Jack built est un peu plus qu’un ilm de genre. Fondamentalement "grotesque", il offre aussi une méditation sur le mal, en même temps qu’un autoportrait à peine déguisé. Il est évident que le cinéaste a projeté beaucoup de lui dans ce double démoniaque et caricatural. La démesure de cette descente aux enfers consacre, une fois encore, Lars von Trier comme un artiste vraiment à part. », Télérama.« C’est passionnant de voir comment Lars von Trier réinvestit la igure du tueur en série, un des personnages les plus omniprésents de la iction occidentale depuis quarante ans, alors que l’identiication du proiler au tueur était le sujet de son premier ilm, Element of Crime (1984), dans lequel apparaissait déjà la comptine The House that Jack Built. Lars von Trier conserve bien toute la puissance rhétorique du tueur, mais ses actes sont en porte-à-faux vis-à-vis de celle-ci. », Les Cahiers du Cinéma.

Stendhal), dont les œuvres iltrent à divers endroits. Et

embarqués dans une suite d’événements cruels qui les font s’évanouir. Ils seront parvenus à imprimer leur grâce sur la pellicule. », Le Monde.« Derrière le titre français camusien, tiré de L’Étrangerse cache un ilm que l’on se surprend à trouver sublime. Sublime, parce que cette romance kazakhe emprunte des chemins inattendus, avec humour et poésie. Les

à cette élévation, qui vire à la sublimation. Quand des personnages traversent ainsi les péripéties incongrues du cinéma de genre, ce qui surnage et survit, sous l’extrême beauté des paysages sages et sauvages comme des images, c’est la ligue shakespearienne de l’amour interdit. »,Positif.

De retour des croisades, un chevalier rencontre la Mort en chemin. Il lui propose une partie d’échecs ain de retarder l’échéance fatidique et trouver des réponses à ses questionnements sur la foi. Entre-temps, le chevalier et son écuyer vont faire la rencontre de plusieurs personnages intrigants, entre une famille de troubadours et une horde de dévots fanatiques…

stylisation mythique et de naïveté primitive, impressionne

l’interprétation chorale de la «troupe» bergmanienne sont à redécouvrir et à chérir. », Positif.

Le Septième Sceau est d’abord une variation subtile sur l’univers des forains et du spectacle. C’est ensuite et surtout une allégorie envoûtante, d’un esthétisme lamboyant, sur le doute religieux, la mort et la spiritualité. Bergman a pris des distances avec la réalité

Lazzaro, un jeune paysan d’une bonté exceptionnelle vit à l’Inviolata, un hameau resté à l’écart du monde sur lequel règne la marquise Alfonsina de Luna. La vie des paysans est inchangée depuis toujours, ils sont exploités, et à leur tour, ils abusent de la bonté de Lazzaro. Un été, il se lie d’amitié avec Tancredi, le ils de la marquise. Une amitié si précieuse qu’elle lui fera traverser le temps et mènera Lazzaro au monde moderne…« Le ilm regorge de trouvailles, de gags, de percées poétiques. Le ilm d’Alice Rohrwacher est certes politique, mais sur un ton tellement original qu’il ne verse jamais dans la dénonciation violente ou militante. Il ne fait que dresser un constat. Avec une tendresse constante pour ses personnages. », Les Inrocks.« Il arrive que la rencontre d’un cinéaste avec un acteur

interprète Lazzaro subjugue du début à la in, en faisant très peu, en enièvrant la plupart des situations. », Télérama Document AFCAE Promotion à votre disposition

Les Nomades fascinent, ils interrogent notre propre façon de vivre, mais servent aussi souvent de repoussoirs. Arrivés en Europe vers la in du Moyen-Âge, ceux qu’on appelait «gitans» ont incarné dans le discours culturel et littéraire, l’image de l’Autre... fascinant par sa liberté et menaçant par son étrangeté. Les «Gens du voyage» ont toujours alimenté les fantasmes, parce qu’ils avaient leur propre mode de vie...

Président de France Liberté Voyageà l’initiative et en partenariat avec l’ADAPGV 86Association Départementale pour l’Accueil et la

Promotion des Gens du Voyage

Paris, de nos jours. David, 24 ans, vit au présent. Il jongle entre différents petits boulots et recule, pour un temps encore, l’heure des choix plus engageants. Le cours tranquille des choses vole en éclats quand sa sœur aînée meurt brutalement. Il se retrouve alors en charge de sa nièce de 7 ans, Amanda…

Amanda pourrait sembler lourd et pourtant, le ilm

ses opus précédents, tout ce que ilme Hers est marqué du sceau de la grâce, de la retenue, de la délicatesse, de la force tranquille, y compris et même surtout quand

Ce Sentiment de l’été, Mikhaël Hers s’afirme comme le grand aquarelliste des sentiments

contraste entre la météo (estivale) et les cœurs (plongés en plein hiver). », Les Inrocks.

pour son roman « Le Livre que je ne voulais pas écrire »

Dans le cadre des soirée cinéma-livreproposée par La Voix des lecteurs en Nouvelle Aquitaine

Séance dédicace après le ilm avec la Librairie

Sélection oficielle, Cannes 2018

C’est l’histoire d’un bal. D’un grand bal. Chaque été, plus de deux mille personnes afluent de toute l’Europe dans un coin de campagne française. Pendant 7 jours et 8 nuits, ils dansent encore et encore, perdent la notion du temps, bravent leurs fatigues et leurs corps. Ça tourne, ça rit, ça virevolte, ça pleure, ça chante. Et la vie pulse…« Le ilm capte avec une sensibilité et une grâce ininie la

où les tensions sociales s’évanouissent totalement pour ne laisser en scène que des corps de tout âge et sexes

se pâme et on se laisse au lâcher-prise de l’ivresse de la danse au il des images où l’on voit poindre sans mots dire la naissance de l’amour. », Mediapart.« Laetitia Carton montre par ce ilm, outre une autre culture, une autre manière de vivre ensemble, de faire communion dans la diversité, dans un monde dont l’argent est exclu et la vie quotidienne laissée à la porte du bal. Une petite bouffée d’optimisme, d’insouciance qui laisse des airs dans la tête et de belles images dans les yeux. », AbusdeCiné.com

20h00 : projection du ilm

proposé et animé par dans le hall (une heure environ) :

Boissons offertes pendant le p’tit bal par le cinéma.

historique, en fusionnant trois événements : les Croisades, la peste noire et le procès des sorcières. Car loin d’être

Le Septième Sceaules sentiers du conte fantastique. », Avoir-Alire.com

en lien avec la rétrospective Bergman à la Cinémathèque Française

Présentation du ilm

Il y a 16 ans, de la rencontre entre l’artiste Andy Goldsworthy et le réalisateur Thomas Riedelsheimer est né le très beau documentaire Rivers and Tides. Entre 2013 et 2016, les deux hommes sont repartis à l’aventure. On découvre comment Andy Goldsworthy s’introduit lui-même dans ses œuvres, comment son travail devient à la fois plus fragile et plus personnel, plus sévère et plus dificile…« C’est toujours aussi beau, toujours aussi émouvant de le voir à l’œuvre. Mais la différence avec Rivers and Tides, tient surtout dans le dialogue nourri avec le cinéaste. On découvre l’intimité de l’artiste, ses

et environnementaliste, dont l’urgence est de plus en plus évidente. Au fond, la nature de son œuvre, c’est la Nature elle-même. Et vu ce que l’homme lui fait subir aujourd’hui, l’art de Andy Goldsworthy semble

», Première.

en partenariat avec l’École d’Arts Plastiques, suivie du ilm

EN LIBERTÉ !

ComédieDe Pierre Salvadori, avec Adèle Haenel, Pio Marmaï, Damien

Bonnard … - 1h48 - sortie : 31 octobre 2018 - France - Prix SACD, Quinzaine des Réalisateurs, Cannes 2018

Yvonne jeune inspectrice de police, découvre que son mari, le capitaine Santi, héros local tombé au combat, n’était pas le lic courageux et intègre qu’elle croyait mais un véritable ripou. Déterminée à réparer les torts commis par ce dernier, elle va croiser le chemin d’Antoine injustement incarcéré par Santi pendant huit longues années. Une rencontre inattendue et folle qui va dynamiter leurs vies à tous les deux...« Les âmes cabossées de Salvadori excellent à nous faire partager leurs névroses les plus baroques et on les suit sans réserve dans leurs méandres tortueux, leurs mensonges et leurs caprices débridés. À l’unisson de ses personnages, le réalisateur plie et déplie le scénario à la manière d’un accordéon dissonant mais chaleureux. Cette jolie partition semble avoir fait le bonheur de ses interprètes. Adèle Haenel, Pio Marmaï et Audrey Tautou y déploient une verve comique rafraîchissante. On aurait tort de bouder cette farce rélexive et son burlesque tendrement dépressif. », Positif.« Mené tambour battant, servi par des dialogues poétiques qui glissent tout seul et fusent, En liberté ! est grisant comme du champagne et produit encore plus de magie que ce dernier. Car il nous tend un miroir sur ce que nous sommes : des spectateurs toujours assoiffés d’émotion. », Télérama.

COLD WAR VOST De Pawel Pawlikowski, avec Joanna Kulig, Tomasz Kot, Borys

Szyc… - 1h29 - sortie : 24 octobre 2018 - Pologne / Royaume-

Uni / France - Sélection oficielle, Cabourg & Toronto 2018 ; Prix de la mise en scène, Cannes 2018

Pendant la guerre froide, entre la Pologne stalinienne et le Paris bohème des années 1950, un musicien épris de liberté et une jeune chanteuse passionnée vivent un amour impossible dans une époque impossible…« Pawlikowski (réalisateur de Ida), tourne en noir et

CM

LES FRÈRES SISTERS VOSTDe Jacques Audiard, d’après le roman de Patrick deWitt, avec

Joaquin Phoenix, John C. Reilly, Jake Gyllenhaal, Riz Ahmed… -

1h57 - sortie : 19 septembre 2018 - France - Sélection oficielle, Toronto & Deauville 2018 ; Lion d’Argent de la mise en scène, Venise 2018

Charlie et Eli Sisters évoluent dans un monde sauvage et hostile, ils ont du sang sur les mains : celui de criminels, celui d’innocents... Ils n’éprouvent aucun état d’âme à tuer. C’est leur métier. Charlie, le cadet, est né pour ça. Eli, lui, ne rêve que d’une vie normale. Ils sont engagés par le Commodore pour rechercher et tuer un homme…« Dessin des personnages, dialogues contrastés, éblouissant quatuor d’acteurs américains, brillante mise en scène, lumières colorées, sens de l’intime dans les grands espaces, montage d’orfèvre, musique jazzy d’Alexandre Desplat, ironie et subtilité, humour et gravité. Tout est réussi dans ce nouveau ilm de Jacques Audiard, conte noir et philosophique, errance existentielle dans les grands espaces, au cœur de la mythologie américaine. », La Croix.

LA TENDRE INDIFFÉRENCE DU MONDE VOST

De Adilkhan Yerzhanov, avec Dinara Baktybayeva, Kuandyk

Dussenbaev, Teoman Khos… - 1h39 - sortie : 26 septembre

2018 - Kazakhstan / France - Un Certain Regard, Cannes 2018

La belle Saltanat et son chevalier servant Kuandyk sont amis depuis l’enfance. Criblée de dettes, la famille de Saltanat l’envoie dans la grande ville où elle est promise à un riche mariage. Escortée par Kuandyk qui veille sur elle, Saltanat quitte son village pour l’inconnu. Les deux jeunes gens se trouvent entraînés malgré eux dans une suite d’événements cruels et tentent d’y résister de toutes les façons possibles…« Ce rappel à l’art, le ilm ne cesse de l’évoquer et de le mettre en scène. Par son titre, d’abord, emprunté à une phrase de L’Étranger, d’Albert Camus. Par les tableaux que le cinéaste utilise, ensuite, tout au long de l’histoire, à la manière des cartons du cinéma muet. Et par l’évocation, enin, des auteurs dont se nourrit Sultanat (Shakespeare,

blanc, impose des plans noirs de quelques secondes à la in de chaque séquence, ou époque. Le ilm retrace, avec

déchirant. », Les Inrocks.L’insoutenable légèreté de l’être

premier plan d’un récit plus vaste sur la manière dont les forces en présence dans la société peuvent contrôler nos vies. Pawlikowski nous propose ici un ilm romantique avec

dont il a repris les noms et auxquels il dédie le ilm. », Cineuropa.orgDocument AFCAE Promotion à votre disposition

Sélection oficielle,

Jack considère chaque meurtre comme une œuvre d’art en soi. Alors que l’ultime et inévitable intervention de la police ne cesse de se rapprocher il décide - contrairement à toute logique - de prendre de plus en plus de risques…

The House that Jack built est un peu plus qu’un ilm de

méditation sur le mal, en même temps qu’un autoportrait à peine déguisé. Il est évident que le cinéaste a projeté

fois encore, Lars von Trier comme un artiste vraiment à part. », Télérama.« C’est passionnant de voir comment Lars von Trier réinvestit la igure du tueur en série, un des personnages les plus omniprésents de la iction occidentale depuis quarante ans, alors que l’identiication du proiler au tueur était le sujet de son premier ilm, Element of Crime (1984), dans lequel apparaissait déjà la comptine The House that Jack Built. Lars von Trier conserve bien

sont en porte-à-faux vis-à-vis de celle-ci. », Les Cahiers du Cinéma.

Stendhal), dont les œuvres iltrent à divers endroits. Et peu importe que ces deux jeunes gens soient, au fond, embarqués dans une suite d’événements cruels qui les font s’évanouir. Ils seront parvenus à imprimer leur grâce sur la pellicule. », Le Monde.« Derrière le titre français camusien, tiré de L’Étranger, se cache un ilm que l’on se surprend à trouver sublime. Sublime, parce que cette romance kazakhe emprunte des chemins inattendus, avec humour et poésie. Les acteurs, en pareille posture, participent en grande partie à cette élévation, qui vire à la sublimation. Quand des personnages traversent ainsi les péripéties incongrues du cinéma de genre, ce qui surnage et survit, sous l’extrême beauté des paysages sages et sauvages comme des images, c’est la ligue shakespearienne de l’amour interdit. », Positif.

LE SEPTIÈME SCEAU VOSTRépertoireDe Ingmar Bergman, avec Max von Sydow, Gunnar Björnstrand,

Bengt Ekerot… - 1h36 - sortie : 16 février 1957 ; version

restaurée : 26 septembre 2018 - Suède - Prix Spécial du Jury,

Cannes 1957

De retour des croisades, un chevalier rencontre la Mort en chemin. Il lui propose une partie d’échecs ain de retarder l’échéance fatidique et trouver des réponses à ses questionnements sur la foi. Entre-temps, le chevalier et son écuyer vont faire la rencontre de plusieurs personnages intrigants, entre une famille de troubadours et une horde de dévots fanatiques…« Le mélange de solennité biblique et d’humour noir, de stylisation mythique et de naïveté primitive, impressionne toujours. Le noir et blanc magistral de Gunnar Fischer (alternant contraste cru et nuances lumineuses) et l’interprétation chorale de la «troupe» bergmanienne sont à redécouvrir et à chérir. », Positif.« Le Septième Sceau est d’abord une variation subtile sur l’univers des forains et du spectacle. C’est ensuite et surtout une allégorie envoûtante, d’un esthétisme lamboyant, sur le doute religieux, la mort et la spiritualité. Bergman a pris des distances avec la réalité

Lazzaro, un jeune paysan d’une bonté exceptionnelle vit à l’Inviolata, un hameau resté à l’écart du monde sur lequel règne la marquise Alfonsina de Luna. La vie des paysans est inchangée depuis toujours, ils sont exploités, et à leur tour, ils abusent de la bonté de Lazzaro. Un été, il se lie d’amitié avec Tancredi, le ils de la marquise. Une amitié si précieuse qu’elle lui fera traverser le temps et mènera Lazzaro au monde moderne…« Le ilm regorge de trouvailles, de gags, de percées poétiques. Le ilm d’Alice Rohrwacher est certes politique, mais sur un ton tellement original qu’il ne verse jamais dans la dénonciation violente ou militante. Il ne fait que dresser un constat. Avec une tendresse constante pour ses personnages. », Les Inrocks.« Il arrive que la rencontre d’un cinéaste avec un acteur

interprète Lazzaro subjugue du début à la in, en faisant très peu, en enièvrant la plupart des situations. », Télérama Document AFCAE Promotion à votre disposition

Les Nomades fascinent, ils interrogent notre propre façon de vivre, mais servent aussi souvent de repoussoirs. Arrivés en Europe vers la in du Moyen-Âge, ceux qu’on appelait «gitans» ont incarné dans le discours culturel et littéraire, l’image de l’Autre... fascinant par sa liberté et menaçant par son étrangeté. Les «Gens du voyage» ont toujours alimenté les fantasmes, parce qu’ils avaient leur propre mode de vie...

Président de France Liberté Voyageà l’initiative et en partenariat avec l’ADAPGV 86Association Départementale pour l’Accueil et la

Promotion des Gens du Voyage

Paris, de nos jours. David, 24 ans, vit au présent. Il jongle entre différents petits boulots et recule, pour un temps encore, l’heure des choix plus engageants. Le cours tranquille des choses vole en éclats quand sa sœur aînée meurt brutalement. Il se retrouve alors en charge de sa nièce de 7 ans, Amanda…

Amanda pourrait sembler lourd et pourtant, le ilm

ses opus précédents, tout ce que ilme Hers est marqué du sceau de la grâce, de la retenue, de la délicatesse, de la force tranquille, y compris et même surtout quand

Ce Sentiment de l’été, Mikhaël Hers s’afirme comme le grand aquarelliste des sentiments

contraste entre la météo (estivale) et les cœurs (plongés en plein hiver). », Les Inrocks.

pour son roman « Le Livre que je ne voulais pas écrire »

Dans le cadre des soirée cinéma-livreproposée par La Voix des lecteurs en Nouvelle Aquitaine

Séance dédicace après le ilm avec la Librairie

Sélection oficielle, Cannes 2018

C’est l’histoire d’un bal. D’un grand bal. Chaque été, plus de deux mille personnes afluent de toute l’Europe dans un coin de campagne française. Pendant 7 jours et 8 nuits, ils dansent encore et encore, perdent la notion du temps, bravent leurs fatigues et leurs corps. Ça tourne, ça rit, ça virevolte, ça pleure, ça chante. Et la vie pulse…« Le ilm capte avec une sensibilité et une grâce ininie la

où les tensions sociales s’évanouissent totalement pour ne laisser en scène que des corps de tout âge et sexes

se pâme et on se laisse au lâcher-prise de l’ivresse de la danse au il des images où l’on voit poindre sans mots dire la naissance de l’amour. », Mediapart.« Laetitia Carton montre par ce ilm, outre une autre culture, une autre manière de vivre ensemble, de faire communion dans la diversité, dans un monde dont l’argent est exclu et la vie quotidienne laissée à la porte du bal. Une petite bouffée d’optimisme, d’insouciance qui laisse des airs dans la tête et de belles images dans les yeux. », AbusdeCiné.com

20h00 : projection du ilm

proposé et animé par dans le hall (une heure environ) :

Boissons offertes pendant le p’tit bal par le cinéma.

historique, en fusionnant trois événements : les Croisades, la peste noire et le procès des sorcières. Car loin d’être

Le Septième Sceaules sentiers du conte fantastique. », Avoir-Alire.com

en lien avec la rétrospective Bergman à la Cinémathèque Française

Présentation du ilm

Il y a 16 ans, de la rencontre entre l’artiste Andy Goldsworthy et le réalisateur Thomas Riedelsheimer est né le très beau documentaire Rivers and Tides. Entre 2013 et 2016, les deux hommes sont repartis à l’aventure. On découvre comment Andy Goldsworthy s’introduit lui-même dans ses œuvres, comment son travail devient à la fois plus fragile et plus personnel, plus sévère et plus dificile…« C’est toujours aussi beau, toujours aussi émouvant de le voir à l’œuvre. Mais la différence avec Rivers and Tides, tient surtout dans le dialogue nourri avec le cinéaste. On découvre l’intimité de l’artiste, ses

et environnementaliste, dont l’urgence est de plus en plus évidente. Au fond, la nature de son œuvre, c’est la Nature elle-même. Et vu ce que l’homme lui fait subir aujourd’hui, l’art de Andy Goldsworthy semble

», Première.

en partenariat avec l’École d’Arts Plastiques, suivie du ilm

Prix SACD,

Yvonne jeune inspectrice de police, découvre que son mari, le capitaine Santi, héros local tombé au combat, n’était pas le lic courageux et intègre qu’elle croyait mais un véritable ripou. Déterminée à réparer les torts commis par ce dernier, elle va croiser le chemin d’Antoine injustement incarcéré par Santi pendant huit longues années. Une rencontre inattendue et folle qui va dynamiter leurs vies à tous les deux...« Les âmes cabossées de Salvadori excellent à nous faire partager leurs névroses les plus baroques et on les suit sans réserve dans leurs méandres tortueux, leurs

personnages, le réalisateur plie et déplie le scénario à

Cette jolie partition semble avoir fait le bonheur de ses interprètes. Adèle Haenel, Pio Marmaï et Audrey Tautou y déploient une verve comique rafraîchissante. On aurait tort de bouder cette farce rélexive et son burlesque tendrement dépressif. », Positif.« Mené tambour battant, servi par des dialogues

En liberté !

d’émotion. », Télérama.

Sélection oficielle, Cabourg & Toronto 2018 ;

Pendant la guerre froide, entre la Pologne stalinienne et le Paris bohème des années 1950, un musicien épris de liberté et une jeune chanteuse passionnée vivent un amour impossible dans une époque impossible…« Pawlikowski (réalisateur de Ida

CM

Sélection oficielle, Toronto & Deauville 2018 ; Lion d’Argent de la mise en scène,

Charlie et Eli Sisters évoluent dans un monde sauvage et hostile, ils ont du sang sur les mains : celui de criminels, celui d’innocents... Ils n’éprouvent aucun état d’âme à tuer. C’est leur métier. Charlie, le cadet, est né pour ça. Eli, lui, ne rêve que d’une vie normale. Ils sont engagés par le Commodore pour rechercher et tuer un homme…

espaces, montage d’orfèvre, musique jazzy d’Alexandre Desplat, ironie et subtilité, humour et gravité. Tout est réussi dans ce nouveau ilm de Jacques Audiard, conte

grands espaces, au cœur de la mythologie américaine. »,La Croix.

La belle Saltanat et son chevalier servant Kuandyk sont amis depuis l’enfance. Criblée de dettes, la famille de Saltanat l’envoie dans la grande ville où elle est promise à un riche mariage. Escortée par Kuandyk qui veille sur elle, Saltanat quitte son village pour l’inconnu. Les deux jeunes gens se trouvent entraînés malgré eux dans une suite d’événements cruels et tentent d’y résister de toutes les façons possibles…« Ce rappel à l’art, le ilm ne cesse de l’évoquer et de le mettre en scène. Par son titre, d’abord, emprunté à une

L’Étrangerle cinéaste utilise, ensuite, tout au long de l’histoire, à la manière des cartons du cinéma muet. Et par l’évocation, enin, des auteurs dont se nourrit Sultanat (Shakespeare,

blanc, impose des plans noirs de quelques secondes à la in de chaque séquence, ou époque. Le ilm retrace, avec

déchirant. », Les Inrocks.L’insoutenable légèreté de l’être

premier plan d’un récit plus vaste sur la manière dont les forces en présence dans la société peuvent contrôler nos vies. Pawlikowski nous propose ici un ilm romantique avec

dont il a repris les noms et auxquels il dédie le ilm. », Cineuropa.orgDocument AFCAE Promotion à votre disposition

Sélection oficielle,

Jack considère chaque meurtre comme une œuvre d’art en soi. Alors que l’ultime et inévitable intervention de la police ne cesse de se rapprocher il décide - contrairement à toute logique - de prendre de plus en plus de risques…

The House that Jack built est un peu plus qu’un ilm de

méditation sur le mal, en même temps qu’un autoportrait à peine déguisé. Il est évident que le cinéaste a projeté

fois encore, Lars von Trier comme un artiste vraiment à part. », Télérama.« C’est passionnant de voir comment Lars von Trier réinvestit la igure du tueur en série, un des personnages les plus omniprésents de la iction occidentale depuis quarante ans, alors que l’identiication du proiler au tueur était le sujet de son premier ilm, Element of Crime (1984), dans lequel apparaissait déjà la comptine The House that Jack Built. Lars von Trier conserve bien

sont en porte-à-faux vis-à-vis de celle-ci. », Les Cahiers du Cinéma.

Stendhal), dont les œuvres iltrent à divers endroits. Et

embarqués dans une suite d’événements cruels qui les font s’évanouir. Ils seront parvenus à imprimer leur grâce sur la pellicule. », Le Monde.« Derrière le titre français camusien, tiré de L’Étrangerse cache un ilm que l’on se surprend à trouver sublime. Sublime, parce que cette romance kazakhe emprunte des chemins inattendus, avec humour et poésie. Les

à cette élévation, qui vire à la sublimation. Quand des personnages traversent ainsi les péripéties incongrues du cinéma de genre, ce qui surnage et survit, sous l’extrême beauté des paysages sages et sauvages comme des images, c’est la ligue shakespearienne de l’amour interdit. »,Positif.

De retour des croisades, un chevalier rencontre la Mort en chemin. Il lui propose une partie d’échecs ain de retarder l’échéance fatidique et trouver des réponses à ses questionnements sur la foi. Entre-temps, le chevalier et son écuyer vont faire la rencontre de plusieurs personnages intrigants, entre une famille de troubadours et une horde de dévots fanatiques…

stylisation mythique et de naïveté primitive, impressionne

l’interprétation chorale de la «troupe» bergmanienne sont à redécouvrir et à chérir. », Positif.

Le Septième Sceau est d’abord une variation subtile sur l’univers des forains et du spectacle. C’est ensuite et surtout une allégorie envoûtante, d’un esthétisme lamboyant, sur le doute religieux, la mort et la spiritualité. Bergman a pris des distances avec la réalité

HEUREUX COMME LAZZARO VOSTDe Alice Rohrwacher, avec Adriano Tardiolo, Alba Rohrwacher,

Nicoletta Braschi… - 2h07 - sortie : 7 novembre 2018 - Italie /

France / Suisse / Allemagne - Prix du scénario, Cannes 2018

Lazzaro, un jeune paysan d’une bonté exceptionnelle vit à l’Inviolata, un hameau resté à l’écart du monde sur lequel règne la marquise Alfonsina de Luna. La vie des paysans est inchangée depuis toujours, ils sont exploités, et à leur tour, ils abusent de la bonté de Lazzaro. Un été, il se lie d’amitié avec Tancredi, le ils de la marquise. Une amitié si précieuse qu’elle lui fera traverser le temps et mènera Lazzaro au monde moderne…« Le ilm regorge de trouvailles, de gags, de percées poétiques. Le ilm d’Alice Rohrwacher est certes politique, mais sur un ton tellement original qu’il ne verse jamais dans la dénonciation violente ou militante. Il ne fait que dresser un constat. Avec une tendresse constante pour ses personnages. », Les Inrocks.« Il arrive que la rencontre d’un cinéaste avec un acteur soit miraculeuse. Elle l’est ici. Adriano Tardolio qui interprète Lazzaro subjugue du début à la in, en faisant très peu, en enièvrant la plupart des situations. », Télérama Document AFCAE Promotion à votre disposition

RENCONTRES EN NOMADIEDocumentaireDe Frantz Glowacki - 1h21 - sortie : 2017 - France

Les Nomades fascinent, ils interrogent notre propre façon de vivre, mais servent aussi souvent de repoussoirs. Arrivés en Europe vers la in du Moyen-Âge, ceux qu’on appelait «gitans» ont incarné dans le discours culturel et littéraire, l’image de l’Autre... fascinant par sa liberté et menaçant par son étrangeté. Les «Gens du voyage» ont toujours alimenté les fantasmes, parce qu’ils avaient leur propre mode de vie...

Ciné-débat jeudi 22 novembre à 20h00

en présence de Fernand Delage

Président de France Liberté Voyageà l’initiative et en partenariat avec l’ADAPGV 86Association Départementale pour l’Accueil et la

Promotion des Gens du Voyage

Paris, de nos jours. David, 24 ans, vit au présent. Il jongle entre différents petits boulots et recule, pour un temps encore, l’heure des choix plus engageants. Le cours tranquille des choses vole en éclats quand sa sœur aînée meurt brutalement. Il se retrouve alors en charge de sa nièce de 7 ans, Amanda…

Amanda pourrait sembler lourd et pourtant, le ilm

ses opus précédents, tout ce que ilme Hers est marqué du sceau de la grâce, de la retenue, de la délicatesse, de la force tranquille, y compris et même surtout quand

Ce Sentiment de l’été, Mikhaël Hers s’afirme comme le grand aquarelliste des sentiments

contraste entre la météo (estivale) et les cœurs (plongés en plein hiver). », Les Inrocks.

pour son roman « Le Livre que je ne voulais pas écrire »

Dans le cadre des soirée cinéma-livreproposée par La Voix des lecteurs en Nouvelle Aquitaine

Séance dédicace après le ilm avec la Librairie

Sélection oficielle, Cannes 2018

C’est l’histoire d’un bal. D’un grand bal. Chaque été, plus de deux mille personnes afluent de toute l’Europe dans un coin de campagne française. Pendant 7 jours et 8 nuits, ils dansent encore et encore, perdent la notion du temps, bravent leurs fatigues et leurs corps. Ça tourne, ça rit, ça virevolte, ça pleure, ça chante. Et la vie pulse…« Le ilm capte avec une sensibilité et une grâce ininie la

où les tensions sociales s’évanouissent totalement pour ne laisser en scène que des corps de tout âge et sexes

se pâme et on se laisse au lâcher-prise de l’ivresse de la danse au il des images où l’on voit poindre sans mots dire la naissance de l’amour. », Mediapart.« Laetitia Carton montre par ce ilm, outre une autre culture, une autre manière de vivre ensemble, de faire communion dans la diversité, dans un monde dont l’argent est exclu et la vie quotidienne laissée à la porte du bal. Une petite bouffée d’optimisme, d’insouciance qui laisse des airs dans la tête et de belles images dans les yeux. », AbusdeCiné.com

20h00 : projection du ilm

proposé et animé par dans le hall (une heure environ) :

Boissons offertes pendant le p’tit bal par le cinéma.

historique, en fusionnant trois événements : les Croisades, la peste noire et le procès des sorcières. Car loin d’être une reconstitution d’époque, Le Septième Sceau emprunte les sentiers du conte fantastique. », Avoir-Alire.com

Séance unique jeudi 15 novembre à 20h30

en lien avec la rétrospective Bergman à la Cinémathèque Française

Présentation du ilm par Francis Garnier, cinéphile et adhérent

PENCHÉ DANS LE VENT VOSTDocumentaireDe Thomas Riedelsheimer - 1h37 - sortie : 18 juillet 2018 -

Allemagne

Il y a 16 ans, de la rencontre entre l’artiste Andy Goldsworthy et le réalisateur Thomas Riedelsheimer est né le très beau documentaire Rivers and Tides. Entre 2013 et 2016, les deux hommes sont repartis à l’aventure. On découvre comment Andy Goldsworthy s’introduit lui-même dans ses œuvres, comment son travail devient à la fois plus fragile et plus personnel, plus sévère et plus dificile…« C’est toujours aussi beau, toujours aussi émouvant de le voir à l’œuvre. Mais la différence avec Rivers and Tides, tient surtout dans le dialogue nourri avec le cinéaste. On découvre l’intimité de l’artiste, ses questionnements créatifs et surtout sa pensée, animiste et environnementaliste, dont l’urgence est de plus en plus évidente. Au fond, la nature de son œuvre, c’est la Nature elle-même. Et vu ce que l’homme lui fait subir aujourd’hui, l’art de Andy Goldsworthy semble cruellement nécessaire. », Première.

Ciné-conférence

jeudi 15 novembre à 17h00

Conférence sur le Land Art

par Daniel Clauzier,

Historien de l’art

en partenariat avec l’École d’Arts Plastiques, suivie du ilm

Prix SACD,

Yvonne jeune inspectrice de police, découvre que son mari, le capitaine Santi, héros local tombé au combat, n’était pas le lic courageux et intègre qu’elle croyait mais un véritable ripou. Déterminée à réparer les torts commis par ce dernier, elle va croiser le chemin d’Antoine injustement incarcéré par Santi pendant huit longues années. Une rencontre inattendue et folle qui va dynamiter leurs vies à tous les deux...« Les âmes cabossées de Salvadori excellent à nous faire partager leurs névroses les plus baroques et on les suit sans réserve dans leurs méandres tortueux, leurs

personnages, le réalisateur plie et déplie le scénario à

Cette jolie partition semble avoir fait le bonheur de ses interprètes. Adèle Haenel, Pio Marmaï et Audrey Tautou y déploient une verve comique rafraîchissante. On aurait tort de bouder cette farce rélexive et son burlesque tendrement dépressif. », Positif.« Mené tambour battant, servi par des dialogues

En liberté !

d’émotion. », Télérama.

Sélection oficielle, Cabourg & Toronto 2018 ;

Pendant la guerre froide, entre la Pologne stalinienne et le Paris bohème des années 1950, un musicien épris de liberté et une jeune chanteuse passionnée vivent un amour impossible dans une époque impossible…« Pawlikowski (réalisateur de Ida

Sélection oficielle, Toronto & Deauville 2018 ; Lion d’Argent de la mise en scène,

Charlie et Eli Sisters évoluent dans un monde sauvage et hostile, ils ont du sang sur les mains : celui de criminels, celui d’innocents... Ils n’éprouvent aucun état d’âme à tuer. C’est leur métier. Charlie, le cadet, est né pour ça. Eli, lui, ne rêve que d’une vie normale. Ils sont engagés par le Commodore pour rechercher et tuer un homme…

espaces, montage d’orfèvre, musique jazzy d’Alexandre Desplat, ironie et subtilité, humour et gravité. Tout est réussi dans ce nouveau ilm de Jacques Audiard, conte

grands espaces, au cœur de la mythologie américaine. »,La Croix.

La belle Saltanat et son chevalier servant Kuandyk sont amis depuis l’enfance. Criblée de dettes, la famille de Saltanat l’envoie dans la grande ville où elle est promise à un riche mariage. Escortée par Kuandyk qui veille sur elle, Saltanat quitte son village pour l’inconnu. Les deux jeunes gens se trouvent entraînés malgré eux dans une suite d’événements cruels et tentent d’y résister de toutes les façons possibles…« Ce rappel à l’art, le ilm ne cesse de l’évoquer et de le mettre en scène. Par son titre, d’abord, emprunté à une

L’Étrangerle cinéaste utilise, ensuite, tout au long de l’histoire, à la manière des cartons du cinéma muet. Et par l’évocation, enin, des auteurs dont se nourrit Sultanat (Shakespeare,

blanc, impose des plans noirs de quelques secondes à la in de chaque séquence, ou époque. Le ilm retrace, avec

déchirant. », Les Inrocks.L’insoutenable légèreté de l’être

premier plan d’un récit plus vaste sur la manière dont les forces en présence dans la société peuvent contrôler nos vies. Pawlikowski nous propose ici un ilm romantique avec

dont il a repris les noms et auxquels il dédie le ilm. », Cineuropa.orgDocument AFCAE Promotion à votre disposition

Sélection oficielle,

Jack considère chaque meurtre comme une œuvre d’art en soi. Alors que l’ultime et inévitable intervention de la police ne cesse de se rapprocher il décide - contrairement à toute logique - de prendre de plus en plus de risques…

The House that Jack built est un peu plus qu’un ilm de

méditation sur le mal, en même temps qu’un autoportrait à peine déguisé. Il est évident que le cinéaste a projeté

fois encore, Lars von Trier comme un artiste vraiment à part. », Télérama.« C’est passionnant de voir comment Lars von Trier réinvestit la igure du tueur en série, un des personnages les plus omniprésents de la iction occidentale depuis quarante ans, alors que l’identiication du proiler au tueur était le sujet de son premier ilm, Element of Crime (1984), dans lequel apparaissait déjà la comptine The House that Jack Built. Lars von Trier conserve bien

sont en porte-à-faux vis-à-vis de celle-ci. », Les Cahiers du Cinéma.

Stendhal), dont les œuvres iltrent à divers endroits. Et

embarqués dans une suite d’événements cruels qui les font s’évanouir. Ils seront parvenus à imprimer leur grâce sur la pellicule. », Le Monde.« Derrière le titre français camusien, tiré de L’Étrangerse cache un ilm que l’on se surprend à trouver sublime. Sublime, parce que cette romance kazakhe emprunte des chemins inattendus, avec humour et poésie. Les

à cette élévation, qui vire à la sublimation. Quand des personnages traversent ainsi les péripéties incongrues du cinéma de genre, ce qui surnage et survit, sous l’extrême beauté des paysages sages et sauvages comme des images, c’est la ligue shakespearienne de l’amour interdit. »,Positif.

De retour des croisades, un chevalier rencontre la Mort en chemin. Il lui propose une partie d’échecs ain de retarder l’échéance fatidique et trouver des réponses à ses questionnements sur la foi. Entre-temps, le chevalier et son écuyer vont faire la rencontre de plusieurs personnages intrigants, entre une famille de troubadours et une horde de dévots fanatiques…

stylisation mythique et de naïveté primitive, impressionne

l’interprétation chorale de la «troupe» bergmanienne sont à redécouvrir et à chérir. », Positif.

Le Septième Sceau est d’abord une variation subtile sur l’univers des forains et du spectacle. C’est ensuite et surtout une allégorie envoûtante, d’un esthétisme lamboyant, sur le doute religieux, la mort et la spiritualité. Bergman a pris des distances avec la réalité

Lazzaro, un jeune paysan d’une bonté exceptionnelle vit à l’Inviolata, un hameau resté à l’écart du monde sur lequel règne la marquise Alfonsina de Luna. La vie des paysans est inchangée depuis toujours, ils sont exploités, et à leur tour, ils abusent de la bonté de Lazzaro. Un été, il se lie d’amitié avec Tancredi, le ils de la marquise. Une amitié si précieuse qu’elle lui fera traverser le temps et mènera Lazzaro au monde moderne…« Le ilm regorge de trouvailles, de gags, de percées poétiques. Le ilm d’Alice Rohrwacher est certes politique, mais sur un ton tellement original qu’il ne verse jamais dans la dénonciation violente ou militante. Il ne fait que dresser un constat. Avec une tendresse constante pour ses personnages. », Les Inrocks.« Il arrive que la rencontre d’un cinéaste avec un acteur

interprète Lazzaro subjugue du début à la in, en faisant très peu, en enièvrant la plupart des situations. », Télérama Document AFCAE Promotion à votre disposition

Les Nomades fascinent, ils interrogent notre propre façon de vivre, mais servent aussi souvent de repoussoirs. Arrivés en Europe vers la in du Moyen-Âge, ceux qu’on appelait «gitans» ont incarné dans le discours culturel et littéraire, l’image de l’Autre... fascinant par sa liberté et menaçant par son étrangeté. Les «Gens du voyage» ont toujours alimenté les fantasmes, parce qu’ils avaient leur propre mode de vie...

Président de France Liberté Voyageà l’initiative et en partenariat avec l’ADAPGV 86Association Départementale pour l’Accueil et la

Promotion des Gens du Voyage

AMANDA

De Mikhaël Hers, avec Vincent Lacoste, Isaure Multrier, Stacy

Martin… - 1h47 - sortie : 21 novembre 2018 - France - Prix de la

Lanterne Magique, Orizzonti, Venise 2018

Paris, de nos jours. David, 24 ans, vit au présent. Il jongle entre différents petits boulots et recule, pour un temps encore, l’heure des choix plus engageants. Le cours tranquille des choses vole en éclats quand sa sœur aînée meurt brutalement. Il se retrouve alors en charge de sa nièce de 7 ans, Amanda…« Amanda pourrait sembler lourd et pourtant, le ilm est d’une incroyable légèreté de touche. Comme dans ses opus précédents, tout ce que ilme Hers est marqué du sceau de la grâce, de la retenue, de la délicatesse, de la force tranquille, y compris et même surtout quand le récit plonge en pleine tragédie. Hers a aussi le talent du casting. Après Ce Sentiment de l’été, Mikhaël Hers s’afirme comme le grand aquarelliste des sentiments profonds, des affects complexes, des deuils rédimés et du contraste entre la météo (estivale) et les cœurs (plongés en plein hiver). », Les Inrocks.

Ciné-rencontre

mardi 27 novembre à 20h30

en présence de

l’écrivain Erwan Larher

pour son roman « Le Livre que je ne voulais pas écrire »

Dans le cadre des soirée cinéma-livreproposée par La Voix des lecteurs en Nouvelle Aquitaine

Séance dédicace après le ilm avec la Librairie Rouge Papier Aux Classiques

LE GRAND BALDocumentaireDe Laetitia Carton - 1h39 - sortie : 31 octobre 2018

France - Sélection oficielle, Cannes 2018

C’est l’histoire d’un bal. D’un grand bal. Chaque été, plus de deux mille personnes afluent de toute l’Europe dans un coin de campagne française. Pendant 7 jours et 8 nuits, ils dansent encore et encore, perdent la notion du temps, bravent leurs fatigues et leurs corps. Ça tourne, ça rit, ça virevolte, ça pleure, ça chante. Et la vie pulse…« Le ilm capte avec une sensibilité et une grâce ininie la magie ineffable de ces rencontres humaines, petit paradis où les tensions sociales s’évanouissent totalement pour ne laisser en scène que des corps de tout âge et sexes confondus dans l’étreinte harmonieuse d’une danse. On se pâme et on se laisse au lâcher-prise de l’ivresse de la danse au il des images où l’on voit poindre sans mots dire la naissance de l’amour. », Mediapart.« Laetitia Carton montre par ce ilm, outre une autre culture, une autre manière de vivre ensemble, de faire communion dans la diversité, dans un monde dont l’argent est exclu et la vie quotidienne laissée à la porte du bal. Une petite bouffée d’optimisme, d’insouciance qui laisse des airs dans la tête et de belles images dans les yeux. », AbusdeCiné.com

Ciné-P’tit bal

Animation musique et danse par

La Boit’aFolk

Lundi 3 décembre

Dans le hall dès 19h30 : apportez votre pique-nique

20h00 : projection du ilm Le Grand bal

Vers 21h45 : Après Le Grand bal, le « p’tit bal »

proposé et animé par La Boit’aFolk dans le hall (une heure environ) :

initiation aux danses traditionnelles : valse, cercles circassiens, scottishs, avant-deux…

Boissons offertes pendant le p’tit bal par le cinéma.

historique, en fusionnant trois événements : les Croisades, la peste noire et le procès des sorcières. Car loin d’être

Le Septième Sceaules sentiers du conte fantastique. », Avoir-Alire.com

en lien avec la rétrospective Bergman à la Cinémathèque Française

Présentation du ilm

Il y a 16 ans, de la rencontre entre l’artiste Andy Goldsworthy et le réalisateur Thomas Riedelsheimer est né le très beau documentaire Rivers and Tides. Entre 2013 et 2016, les deux hommes sont repartis à l’aventure. On découvre comment Andy Goldsworthy s’introduit lui-même dans ses œuvres, comment son travail devient à la fois plus fragile et plus personnel, plus sévère et plus dificile…« C’est toujours aussi beau, toujours aussi émouvant de le voir à l’œuvre. Mais la différence avec Rivers and Tides, tient surtout dans le dialogue nourri avec le cinéaste. On découvre l’intimité de l’artiste, ses

et environnementaliste, dont l’urgence est de plus en plus évidente. Au fond, la nature de son œuvre, c’est la Nature elle-même. Et vu ce que l’homme lui fait subir aujourd’hui, l’art de Andy Goldsworthy semble

», Première.

en partenariat avec l’École d’Arts Plastiques, suivie du ilm

Prix SACD,

Yvonne jeune inspectrice de police, découvre que son mari, le capitaine Santi, héros local tombé au combat, n’était pas le lic courageux et intègre qu’elle croyait mais un véritable ripou. Déterminée à réparer les torts commis par ce dernier, elle va croiser le chemin d’Antoine injustement incarcéré par Santi pendant huit longues années. Une rencontre inattendue et folle qui va dynamiter leurs vies à tous les deux...« Les âmes cabossées de Salvadori excellent à nous faire partager leurs névroses les plus baroques et on les suit sans réserve dans leurs méandres tortueux, leurs

personnages, le réalisateur plie et déplie le scénario à

Cette jolie partition semble avoir fait le bonheur de ses interprètes. Adèle Haenel, Pio Marmaï et Audrey Tautou y déploient une verve comique rafraîchissante. On aurait tort de bouder cette farce rélexive et son burlesque tendrement dépressif. », Positif.« Mené tambour battant, servi par des dialogues

En liberté !

d’émotion. », Télérama.

Sélection oficielle, Cabourg & Toronto 2018 ;

Pendant la guerre froide, entre la Pologne stalinienne et le Paris bohème des années 1950, un musicien épris de liberté et une jeune chanteuse passionnée vivent un amour impossible dans une époque impossible…« Pawlikowski (réalisateur de Ida

Sortie nationale

Cré

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Répertoire : ilm présenté par Francis Garnier, cinéphile et adhérentConférence sur le Land Art par Daniel Clauzier, Historien de l’art, en partenariat avec l’EAP, suivie du ilm

En présence de Wissam Alhaj, dialoguiste du ilm, auteur et journaliste indépendant palestinien basé à Paris, en partenariat avec le Collectif Palestine 86

Pique-nique + ilm à 20h + animation musique et danse par La Boit’aFolk dans le hall

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Dans le Paris de la Belle Epoque, en compagnie d’un jeune livreur en triporteur, la petite kanake Dilili mène une enquête sur des enlèvements mystérieux de illettes. A travers la ville prestigieuse, elle rencontre des hommes et des femmes extraordinaires. Les deux amis feront-ils triompher la lumière, la liberté et la joie de vivre ensemble ?

Kirikou

les peintres, scientiiques, écrivains, comédiens et autres

tout en couleur, s’animent merveilleusement.

D’une montagne enneigée à une mer étoilée, d’une ville tranquille à un océan agité, les héros de ces sept petits ilms transportent les plus petits dans leurs aventures joyeuses ou mélancoliques, mais toujours très poétiques.

ilm projeté à 16h30

les enseignants inscrits à l’opération initiée par le cinéma les 400 coups pour les élèves des classes de maternelles du Châtelleraudais sont invités à venir découvrir ce programme Mercredi 21 novembre à 16h30.Ce programme sera proposé aux élèves lors du 2 trimestre en février 2019.Discussion et échanges avec les enseignants présents à l’issue de la projection (20 minutes env.).

SAMOUNI ROAD VOST

Documentaire- AnimationDe Stefano Savona - 2h08 - sortie : 7 novembre 2018 - France /

Italie - Œil d’Or du meilleur documentaire, Quinzaine des

Réalisateurs, Cannes 2018

Dans la périphérie rurale de la ville de Gaza, la famille Samouni s’apprête à célébrer un mariage. C’est la première fête depuis la dernière guerre. Le quartier où ils habitent est en reconstruction. Ils replantent des arbres et labourent les champs, mais une tâche plus dificile encore incombe aux jeunes survivants : reconstruire leur propre mémoire…« Le ilm s’inscrit dans une perspective à la fois intimiste et mythologique, cherchant au ras du quotidien à collecter les images, les sons, d’une expérience sensible des habitants du quartier agricole de Zeitoun et s’élevant dans un ailleurs transiguré où la guerre cesse d’être une abstraction pour devenir cette horrible promesse d’un impossible présent constamment recouvert par les gravats, les deuils, la mémoire mutilée. », Libération.« La reconstitution crayonnée du drame, partie animée, s’avère émouvante et particulièrement nécessaire. », Positif.« Ce qui émane de ce ilm implacable de Stefano Savona, c’est la puissance de résilience et de résistance de ces Palestiniens. La pulsion de vie est la plus forte. Une petite surface de salades cultivée, deux oliviers sauvegardés, les pièces d’une maison reconstruites, l’eau de la municipalité remise en marche, et, inalement, une cérémonie de mariage… À travers les pleurs, la possibilité d’un avenir s’esquisse. », Politis.

Ciné-débat

jeudi 29 novembre à 20h30

en présence de Wissam Alhaj,

dialoguiste du ilm, auteur et journaliste indépendant

palestinien basé à Paris

En partenariat avec

le Collectif Palestine 86

de Hirokazu Kore-eda (VOST)

Palme d’or annes 2018 !

de A. B. Shawky (VOST)

de Catherine Corsini

de Milko Lazarov (VOST)

de Kirill Serebrennikov (VOST)

de Paul Dano (VOST)

de Nicolas Champeaux et Gilles Porte (VOST) : Soirée spéciale 70 ans de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme : lundi 10 décembre à 20h30

de Margaux Chouraqui : Ciné-rencontre avec la réalisatrice jeudi 13 décembre à 20h30, avec le Mouvement Européen 86

SAMI, UNE JEUNESSE EN LAPONIE VOSTDe Amanda Kernell, avec Lene Cecilia Sparrok, Hanna Alström,

Mia Erika Sparrok… - 1h53 - sortie : 14 novembre 2018 - Suède /

Danemark / Norvège - Sélection oficielle, Toronto 2016, Sundance & Berlin 2017 ; Prix Lux, Prix de la critique & Label

Europa Cinemas, Venise 2017

Elle, 14 ans, est jeune ille d’origine Sâmi. Elève en internat, exposée au racisme des années 30 et à l’humiliation des évaluations ethniques, elle commence à rêver d’une autre vie. Pour s’émanciper et afirmer ce qu’elle souhaite devenir, elle n’a d’autres choix que rompre tous les liens avec sa famille et sa culture.« À la fois fresque sociologique, récit d’aventure et rélexion sur la question identitaire, Sami est aussi et avant tout un magniique portrait de femme. Incarné avec intensité par une jeune actrice inconnue, un diamant brut à l’âge incertain et à la beauté sauvage, le personnage de Elle Marja fascine et intrigue. Son refus de se soumettre aux pressions du système et ses ripostes inlassables face à la cruauté de ses contemporains en font une héroïne lamboyante, face à un déterminisme bien plus grand qu’elle. (…) Captivant dans son propos et visuellement remarquable, Sami est de ces pépites que l’on n’attend pas au tournant, capable de vous subjuguer et de vous emmener vers des torrents d’émotions. Il offre une in d’une beauté inouïe, dont le message d’humilité résonne avec force longtemps après la projection. », AbusdeCiné.com

- Senior, Carte Cezam - famille nombreuse, parent accompagnateur sur ilms P’tit

Cinoche - enfant, collégien, lycéen, étudiant, demandeur d’emploi, handicapé, invalide et pour tous sur les ilms Ciné Pitchoun - scolaires, centres de loisirs - (10 tickets) CinéChèques, Chèques Cinéma Universel et Chèques Culture acceptés.Tarif réduit le lundi et le mercredi. sur présentation impérative de votre justiicatif à chaque séance !

à partir de VOST : version originale sous-titrée VF : version française

ilm précédé

Du 8 au 12 novembre, avant Cold War :Vaysha, l’aveugle de Theodore Ushev - Canada - 2016 - 8 minDu 14 au 20 novembre, avant La Tendre indifférence du monde :El Ailador de James Casey - États-Unis / Mexique - 2017 - 9 minDu 28 novembre au 3 décembre, avant Le Grand Bal :1 Mètre/Heure de Nicolas Deveaux - France - 2018 - 9 min

Les court-métrages Avec L’Extra Court

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Chaque mercredi après-midi, le ilm est présenté aux enfants

Ciné-Goûter : Dilili à Paris suivi d’un grand jeu quizz dans la salle + goûter dans le hall vers 16h. Goûter proposé aussi aux enfants de la séance de 16h30 de Petits contes sous la neige* suivi d’un échange avec les enseignants inscrits au dispositif Les Maternelles aux 400 coups (20 minutes env.)Avec l’ADAPGV 86, Association départementale pour l’accueil et la promotion des gens du voyage

En présence de l’écrivain Erwan Larher pour son roman Le Livre que je ne voulais pas écrire, en lien avec La Voix des lecteurs

Répertoire : ilm présenté par Francis Garnier, cinéphile et adhérentConférence sur le Land Art par Daniel Clauzier, Historien de l’art, en partenariat avec l’EAP, suivie du ilm

En présence de Wissam Alhaj, dialoguiste du ilm, auteur et journaliste indépendant palestinien basé à Paris, en partenariat avec le Collectif Palestine 86

Pique-nique + ilm à 20h + animation musique et danse par La Boit’aFolk dans le hall

CINÉMA Jeune public Le P

’tit Cinoche

Conseillé à partir de 7 ans

DILILI À PARISDe Michel Ocelot Animation - octobre 2018 - 1h35 - France

Dans le Paris de la Belle Epoque, en compagnie d’un jeune livreur en triporteur, la petite kanake Dilili mène une enquête sur des enlèvements mystérieux de illettes. A travers la ville prestigieuse, elle rencontre des hommes et des femmes extraordinaires. Les deux amis feront-ils triompher la lumière, la liberté et la joie de vivre ensemble ?

Michel Ocelot, le célèbre papa de Kirikou, rend hommage aux artistes qui l’ont nourri et au Paris de son cœur. Dilili croise les peintres, scientiiques, écrivains, comédiens et autres musiciens des plus célèbres dans un catalogue ébouriffant et charmant. Sur des images photographiques composant les décors, prises par le réalisateur, les personnages dessinés, tout en couleur, s’animent merveilleusement.

Mercredi 21 novembre à 14h30, projection suivi d’un grand quizz et d’un goûter offert dans le hall

Conseillé à partir de 3/4 ans

PETITS CONTESSOUS LA NEIGE Programme de 7 court-métrages d’animation - sortie novembre 2018 - 40 min

D’une montagne enneigée à une mer étoilée, d’une ville tranquille à un océan agité, les héros de ces sept petits ilms transportent les plus petits dans leurs aventures joyeuses ou mélancoliques, mais toujours très poétiques.

Mercredi 21 novembre dès 16h00, goûter offert avant le ilm projeté à 16h30

Dispositif Maternelles aux 400 coups : les enseignants inscrits à l’opération initiée par le cinéma les 400 coups pour les élèves des classes de maternelles du Châtelleraudais sont invités à venir découvrir ce programme Mercredi 21 novembre à 16h30.Ce programme sera proposé aux élèves lors du 2e trimestre en février 2019.Discussion et échanges avec les enseignants présents à l’issue de la projection (20 minutes env.).

Dans la périphérie rurale de la ville de Gaza, la famille Samouni s’apprête à célébrer un mariage. C’est la première fête depuis la dernière guerre. Le quartier où ils habitent est en reconstruction. Ils replantent des arbres et labourent les champs, mais une tâche plus dificile encore incombe aux jeunes survivants : reconstruire leur propre mémoire…« Le ilm s’inscrit dans une perspective à la fois intimiste et mythologique, cherchant au ras du quotidien à

des habitants du quartier agricole de Zeitoun et s’élevant dans un ailleurs transiguré où la guerre cesse d’être une abstraction pour devenir cette horrible promesse d’un impossible présent constamment recouvert par les gravats, les deuils, la mémoire mutilée. », Libération.

s’avère émouvante et particulièrement nécessaire. », Positif.« Ce qui émane de ce ilm implacable de Stefano Savona,

Palestiniens. La pulsion de vie est la plus forte. Une petite surface de salades cultivée, deux oliviers sauvegardés, les

remise en marche, et, inalement, une cérémonie de mariage… À travers les pleurs, la possibilité d’un avenir s’esquisse. », Politis.

dialoguiste du ilm,

Une affaire de famille

de Hirokazu Kore-eda (VOST)

Palme d’or Cannes 2018 !

Yomeddine de A. B. Shawky (VOST)Un amour impossible

de Catherine Corsini

Aga de Milko Lazarov (VOST)

Leto de Kirill Serebrennikov (VOST)

Wildlife, une saison ardente de Paul Dano (VOST)

Le Procès contre Mandela et les autres de Nicolas Champeaux et Gilles Porte (VOST) : Soirée spéciale 70 ans de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme : lundi 10 décembre à 20h30

Exilés de Margaux Chouraqui : Ciné-rencontre avec la réalisatrice jeudi 13 décembre à 20h30, avec le Mouvement Européen 86

Prochainementsous réserve

Sélection oficielle, Toronto 2016,

Elle, 14 ans, est jeune ille d’origine Sâmi. Elève en internat, exposée au racisme des années 30 et à l’humiliation des évaluations ethniques, elle commence à rêver d’une autre vie. Pour s’émanciper et afirmer ce qu’elle souhaite devenir, elle n’a d’autres choix que rompre tous les liens avec sa famille et sa culture. À la fois fresque sociologique, récit d’aventure et

rélexion sur la question identitaire, Samiavant tout un magniique portrait de femme. Incarné avec

à l’âge incertain et à la beauté sauvage, le personnage de

à la cruauté de ses contemporains en font une héroïne lamboyante, face à un déterminisme bien plus grand qu’elle. (…) Captivant dans son propos et visuellement

Samipas au tournant, capable de vous subjuguer et de vous emmener vers des torrents d’émotions. Il offre une in d’une beauté inouïe, dont le message d’humilité résonne avec force longtemps après la projection. », AbusdeCiné.com

TarifsPlein tarif : 7,90€ - Tarif réduit* : 6,90€ Senior, Carte Cezam - Tarif réduit spécial* : 5,50€ famille nombreuse, parent accompagnateur sur ilms P’tit Cinoche - Adhérent* : 4,90€ - Tarif jeunesse* : 4,30€ enfant, collégien, lycéen, étudiant, demandeur d’emploi, handicapé, invalide et pour tous sur les ilms Ciné Pitchoun - Adhésion : 16€ ou 20€ - Groupe : 3,20€ scolaires, centres de loisirs - Carnet comité d’entreprise (10 tickets) : 60€.

CinéChèques, Chèques Cinéma Universel et Chèques Culture acceptés. Tarif réduit le lundi et le mercredi. * sur présentation impérative de votre justiicatif à chaque séance !

à partir de 7€

VOST : version originale sous-titrée VF : version française

CM ilm précédé d’un court métrage

Du 8 au 12 novembre, avant Vaysha, l’aveugle de Theodore Ushev - Canada - 2016 - 8 minDu 14 au 20 novembre, avant

El Ailador de James Casey - États-Unis / Mexique - 2017 - 9 minDu 28 novembre au 3 décembre, avant

de Nicolas Deveaux - France - 2018 - 9 min

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Chaque mercredi après-midi, le ilm est présenté aux enfants et une friandise, ou un gâteau, leur est offert à l’issue de la

projection.

Ciné-Goûter : Dilili à Paris suivi d’un grand jeu quizz dans la salle + goûter dans le hall vers 16h. Goûter proposé aussi aux enfants de la séance de 16h30 de Petits contes sous la neige* suivi d’un échange avec les enseignants inscrits au dispositif Les Maternelles aux 400 coups (20 minutes env.)Avec l’ADAPGV 86, Association départementale pour l’accueil et la promotion des gens du voyage

En présence de l’écrivain Erwan Larher pour son roman Le Livre que je ne voulais pas écrire, en lien avec La Voix des lecteurs

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Du 7 au 13 novembre Mer 7 Jeu 8 Ven 9 Sam 10 Dim 11 Lun 12 Mar 13

En liberté ! 14h3020h30

13h2020h30

14h3018h15 20h45 17h15 14h30

20h3018h15

Cold War15h3018h15

20h30 15h00 15h00 18h15

The House That Jack Built 17h45 20h30

Les Frères Sisters 18h00 20h30

Répertoire : ilm présenté par Francis Garnier, cinéphile et adhérent

Du 14 au 20 novembre Mer 14 Jeu 15 Ven 16 Sam 17 Dim 18 Lun 19 Mar 20La Tendre indifférence du monde 18h15 20h30 15h00 20h30 18h15

En liberté ! 14h30 20h30

14h3018h15

18h1520h30 17h15

18h15

20h30 20h30

Le Septième sceau 20h30

Penché dans le vent Ciné-

conférence17h00

15h00

Du 28 nov. au 4 décembre Mer 28 Jeu 29 Ven 30 Sam 1er Dim 2 Lun 3 Mar 4

Amanda 20h30

18h15 18h15 15h0020h30 17h15 14h30

17h45 20h30

Le Grand bal 18h15 20h30 15h00Ciné bal20h00

Samouni Road Ciné-débat

20h3014h30

Sami, une jeunesse en Laponie 14h30 14h30 18h00 20h30 18h15

Conférence sur le Land Art par Daniel Clauzier, Historien de l’art, en partenariat avec l’EAP, suivie du ilm

En présence de Wissam Alhaj, dialoguiste du ilm, auteur et journaliste indépendant palestinien basé à Paris, en partenariat avec le Collectif Palestine 86

Pique-nique + ilm à 20h + animation musique et danse par La Boit’aFolk dans le hall

’tit Cinoche

Dans le Paris de la Belle Epoque, en compagnie d’un jeune livreur en triporteur, la petite kanake Dilili mène une enquête sur des enlèvements mystérieux de illettes. A travers la ville prestigieuse, elle rencontre des hommes et des femmes extraordinaires. Les deux amis feront-ils triompher la lumière, la liberté et la joie de vivre ensemble ?

Kirikou

les peintres, scientiiques, écrivains, comédiens et autres

tout en couleur, s’animent merveilleusement.

D’une montagne enneigée à une mer étoilée, d’une ville tranquille à un océan agité, les héros de ces sept petits ilms transportent les plus petits dans leurs aventures joyeuses ou mélancoliques, mais toujours très poétiques.

ilm projeté à 16h30

les enseignants inscrits à l’opération initiée par le cinéma les 400 coups pour les élèves des classes de maternelles du Châtelleraudais sont invités à venir découvrir ce programme Mercredi 21 novembre à 16h30.Ce programme sera proposé aux élèves lors du 2 trimestre en février 2019.Discussion et échanges avec les enseignants présents à l’issue de la projection (20 minutes env.).

Dans la périphérie rurale de la ville de Gaza, la famille Samouni s’apprête à célébrer un mariage. C’est la première fête depuis la dernière guerre. Le quartier où ils habitent est en reconstruction. Ils replantent des arbres et labourent les champs, mais une tâche plus dificile encore incombe aux jeunes survivants : reconstruire leur propre mémoire…« Le ilm s’inscrit dans une perspective à la fois intimiste et mythologique, cherchant au ras du quotidien à

des habitants du quartier agricole de Zeitoun et s’élevant dans un ailleurs transiguré où la guerre cesse d’être une abstraction pour devenir cette horrible promesse d’un impossible présent constamment recouvert par les gravats, les deuils, la mémoire mutilée. », Libération.

s’avère émouvante et particulièrement nécessaire. », Positif.« Ce qui émane de ce ilm implacable de Stefano Savona,

Palestiniens. La pulsion de vie est la plus forte. Une petite surface de salades cultivée, deux oliviers sauvegardés, les

remise en marche, et, inalement, une cérémonie de mariage… À travers les pleurs, la possibilité d’un avenir s’esquisse. », Politis.

dialoguiste du ilm,

de Hirokazu Kore-eda (VOST)

Palme d’or annes 2018 !

de A. B. Shawky (VOST)

de Catherine Corsini

de Milko Lazarov (VOST)

de Kirill Serebrennikov (VOST)

de Paul Dano (VOST)

de Nicolas Champeaux et Gilles Porte (VOST) : Soirée spéciale 70 ans de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme : lundi 10 décembre à 20h30

de Margaux Chouraqui : Ciné-rencontre avec la réalisatrice jeudi 13 décembre à 20h30, avec le Mouvement Européen 86

Sélection oficielle, Toronto 2016,

Elle, 14 ans, est jeune ille d’origine Sâmi. Elève en internat, exposée au racisme des années 30 et à l’humiliation des évaluations ethniques, elle commence à rêver d’une autre vie. Pour s’émanciper et afirmer ce qu’elle souhaite devenir, elle n’a d’autres choix que rompre tous les liens avec sa famille et sa culture. À la fois fresque sociologique, récit d’aventure et

rélexion sur la question identitaire, Samiavant tout un magniique portrait de femme. Incarné avec

à l’âge incertain et à la beauté sauvage, le personnage de

à la cruauté de ses contemporains en font une héroïne lamboyante, face à un déterminisme bien plus grand qu’elle. (…) Captivant dans son propos et visuellement

Samipas au tournant, capable de vous subjuguer et de vous emmener vers des torrents d’émotions. Il offre une in d’une beauté inouïe, dont le message d’humilité résonne avec force longtemps après la projection. », AbusdeCiné.com

- Senior, Carte Cezam - famille nombreuse, parent accompagnateur sur ilms P’tit

Cinoche - enfant, collégien, lycéen, étudiant, demandeur d’emploi, handicapé, invalide et pour tous sur les ilms Ciné Pitchoun - scolaires, centres de loisirs - (10 tickets) CinéChèques, Chèques Cinéma Universel et Chèques Culture acceptés.Tarif réduit le lundi et le mercredi. sur présentation impérative de votre justiicatif à chaque séance !

à partir de VOST : version originale sous-titrée VF : version française

ilm précédé

Du 8 au 12 novembre, avant Vaysha, l’aveugle de Theodore Ushev - Canada - 2016 - 8 minDu 14 au 20 novembre, avant

El Ailador de James Casey - États-Unis / Mexique - 2017 - 9 minDu 28 novembre au 3 décembre, avant

de Nicolas Deveaux - France - 2018 - 9 min

de P

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Chaque mercredi après-midi, le ilm est présenté aux enfants

Répertoire

Ciné-Goûter : Dilili à Paris suivi d’un grand jeu quizz dans la salle + goûter dans le hall vers 16h. Goûter proposé aussi aux enfants de la séance de 16h30 de Petits contes sous la neige

Du 21 au 27 novembre Mer 21 Jeu 22 Ven 23 Sam 24 Dim 25 Lun 26 Mar 27

Amanda 20h4517h45

20h30 15h0020h30 17h15 18h15

Rencontre20h30

Heureux comme Lazzaro 18h15 14h30 18h00 18h00 20h30 20h30 18h00

Rencontres en Nomadie Ciné-débat

20h00

Dilili à Paris Ciné-Goûter

14h30

Petits contes sous la neige 16h30* 15h0016h00

* suivi d’un échange avec les enseignants inscrits au dispositif Les Maternelles aux 400 coups (20 minutes env.)Avec l’ADAPGV 86, Association départementale pour l’accueil et la promotion des gens du voyage

En présence de l’écrivain Erwan Larher pour son roman Le Livre que je ne voulais pas écrire, en lien avec La Voix des lecteurs

Sortie nationale