programme de formation en sciences et techniques de l...

21
Rapport da mission RP/1981-1983/5/10.1/05 Création et élaboration de programmes nationaux et régionaux de formation dans le domaine de l'information RESERVE A L'USAGE INTERIEUR NE PAS DIFFUSER REPUBLIQUE POPULAIRE DU BENIN PROGRAMME DE FORMATION EN SCIENCES ET TECHNIQUES DE L'INFORMATION DE L'UNIVERSITE NATIONALE par Suzanne Lafont \RCHWtS PG1 Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco) Paris, août 1983 No. de série: FMR/PGI/83A49

Upload: dodien

Post on 14-Sep-2018

214 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Rapport da mission RP/1981-1983/5/10.1/05 Création et élaboration de programmes nationaux et régionaux de formation dans le domaine de l'information

RESERVE A L'USAGE INTERIEUR NE PAS DIFFUSER

REPUBLIQUE POPULAIRE DU BENIN

PROGRAMME DE FORMATION EN SCIENCES ET TECHNIQUES DE L'INFORMATION DE L'UNIVERSITE NATIONALE

par Suzanne Lafont \RCHWtS

PG1

Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture

(Unesco)

Paris, août 1983

No. de série: FMR/PGI/83A49

1

Rapport de mission RP/1981-1983/5/10.1/05 FMR/PGI/83/149(Lafont) le 10 août 1983

(i)

TABLE DES MATIERES

Page

I. INTRODUCTION 1

Objet de la mission 1

Déroulement de la mission 1

II. COURS D'ANALYSE-INDEXATION A L'INTENTION DES ETUDIANTS DE PREMIERE ANNEE DU PROGRAMME DE FORMATION DES TECHNICIENS SUPERIEURS DE L'INFORMATION DOCUMENTAIRE 2

Programme de formation en sciences de l'information 2

Présentation générale 2

Objectif du cours 3

Programme du cours 3

Contrôle continu des connaissances 3

Le contenu des cours 4

Les résultats 4

III. COURS D'ANALYSE-INDEXATION, LANGAGE D'INDEXATION A L'INTENTION DES ETUDIANTS DE DEUXIEME ANNEE - OPTION DOCUMENTATION -DU PROGRAMME DE FORMATION DES TECHNICIENS SUPERIEURS DE L'INFORMATION DOCUMENTAIRE 5

Le syllabus 5

Présentation générale 5

Objectif 6

Le contenu 7

Les résultats 7

IV. PROBLEMES PEDAGOGIQUES ET SUGGESTIONS 7

V. CONCLUSION 10

ANNEXES : 1. TEXTES UTILISES PENDANT LES COURS 2. LE CONTENU DES COURS 3. RESULTATS DES COURS 4. LE CONTENU DES COURS 5. RESULTATS DES COURS

- 1 -

I. INTRODUCTION

Objet de la mission

1. A la demande du gouvernement de la République populaire du Bénin, 1'Unesco a organisé, dans- le cadre de son Programme ordinaire pour 1981-1983, une

mission de consultant du 13 janvier au 19 février 1983.

2. Les termes de références de la consultante étaient les suivants : "assurer dans le cadre - du Programme de formation en sciences et techniques de

l'information de 1'Université nationale du Bénin - l'enseignement suivant : un cours "Analyse-indexation", activité pédagogique de 50 heures destinée aux étudiants de première année (bibliothéconomie, documentation, archivistique) et un deuxième cours "Analyse-indexation - langage d'indexation", activité pédagogique également de 50 heures destinée aux étudiants de deuxième année de 1 ' option "Documentation".

3. Cette mission se situait également comme un suivi de la mission de 1981 "La formation et le perfectionnement de spécialistes de l'information

documentaire", par Suzanne Lafont, n" de série : FMR/PGI/82/158, Unesco, Paris, 1982, qui avait pour objectif "l'élaboration des programmes de formation et de perfectionnement susceptibles d'être réalisés par le Centre de formation administrative et de perfectionnement (CEFAP)". En effet, outre l'enseignement proprement dit, les deux partenaires Institut nationale pour la formation et la recherche en éducation (INFRE) INFRE-CEFAP ont demandé à la consultante de participer à leurs travaux de préparation d'un programme de formation pour les non-bacheliers en vue d'établir par la suite des passerelles, entre les différents niveaux de formation, dans le domaine des techniques de 1'information documentaire.

Déroulement de la mission

4. La connaissance du programme d'enseignement du CEFAP auquel la consultante avait participé, facilitait la préparation de la mission. D'autre part,

une rencontre avec M. Gandaho, coordonnateur du "programme de formation des techniciens supérieurs de l'information documentaire" avait rassuré la consul­tante sur la présence de moyens de reproduction au CEFAP même...

5. Il suffisait donc d'emporter un certain nombre d'articles de périodiques ou de communications comme matériel à analyser en prévoyant une graduation

des difficultés, et un choix différent pour chacune des années auxquelles s'adresserait l'enseignement. Pour la partie du cours concernant les langages documentaires, il était exclu d'emporter des thésaurus ou des classifications, trop encombrants ; on utiliserait le matériel déjà sur place... mais un relevé des termes contrôlés extraits des tables cumulatives du bulletin signalétique du CNRS concernant les sciences de l'information et de la documentation (Bulletin 101) pouvait constituer un vocabulaire spécifique permettant d'indexer une grande partie des textes.

6. Le coordonnateur par intérim du CEFAP, M. Theo Mkembe, avait préparé un horaire d'environ 4 heures par jour pour les cinq semaines, qui démarrait

le vendredi 14 janvier jusqu'au 19 février. Les étudiants de deuxième année n'ont terminé les cours qu'au matin du départ... et les obligations de corrections et de notations ont occupé toute cette journée¿ M. Mkembe a demandé, d'autre part, de prévoir des contrôles de rattrapage pour les étudiants qui n'avaient pas obtenu 12 de moyenne aux trois contrôles prévus pour obtenir les crédits alloués à ce module. Ces travaux ont été réalisés le 14 avril, et seront corrigés en France... ce qui permettra d'insérer les dernières notes dans ce rapport.

- 2 -

7. Tout s'est parfaitement déroulé, grâce à la bienveillance de M. Nathanaël Mensah, directeur du CEFAP, qui avait mis une voiture à la disposition du

programme pour les cours, au dévouement et à l'efficacité de M. Mkembe et également à l'organisation de l'Université du Bénin qui se charge du logement des experts de passage. Il est seulement dommage qu'un cours de deuxième année sur l'analyse des documents audiovisuels projeté au CDIP (Centre de documentation et d'information pédagogique à Porto Novo) qui dispose d'une installation ad hoc, n'ait pu avoir lieu en raison des délais impartis aux demandes administratives.

8. Dès les premières séances M. Mkembe a demandé la rédaction d'un syllabus qui correspondait aux projets de cours pour chacun des deux groupes. Pour

faciliter la lecture du rapport, on présentera le syllabus, le travail effectué et les résultats obtenus par les étudiants d'abord en première année de formation, puis en deuxième année.

9. Le chapitre IV portera sur les deux années ensemble et proposera un certain nombre de suggestions qui ont été largement discutées avec M. Mkembe.

11. COURS D'ANALYSE-INDEXATION A L'INTENTION DES ETUDIANTS DE PREMIERE ANNEE DU PROGRAMME DE FORMATION DES TECHNICIENS SUPERIEURS DE L'INFORMATION DOCUMENTAIRE

10. Les étudiants de première année sont des bacheliers de 1982 qui ont passé avec succès le concours d'entrée au CEFAP. Cette première année est

consacrée à un ensemble d'enseignement de type tronc commun s"adressant à la fois aux futurs archivistes, bibliothécaires ou documentalistes. Les vingt étudiants retenus n'ont donc pas choisi leur spécialité, et en janvier, ils n'avaient que trois mois d'enseignement supérieur à leur actif. On peut donc considérer qu'ils étaient encore très proches des élèves du secondaire et pas encore rompus à l'organisation universitaire (qui personnalise les travaux), d'autant qu'ils se trouvent en fait dans un système scolaire avec peu de possibilités de se joindre aux activités du Campus d'Abomey-Calavi et avec un emploi du temps très chargé.

Programme de formation en sciences de l'information

Cours : Analyse indexation

Sigle : STI V 32

Nombre d'heures : 50

Crédit : 3

Date : 14 janvier - 18 février 1983

Professeur : Suzanne Lafont

Présentation générale

12. Toute la communication documentaire est basée sur la création et l'organisa­tion de documents dits secondaires, ou références qui permettent l'accès

aux documents eux-mêmes.

- 3 -

13. Ces documents intermédiaires que nous appelons fiches de catalogues ou notices bibliographiques proposent pour retrouver le document un certain

nombre de caractéristiques qui sont le résultat d'une opération d'analyse. Que cette analyse s'attache à élaborer une description formelle ou à extraire et synthétiser le contenu du document ; il s'agit en fait de la même opération, basée sur la même procédure.

14. Cette notion étant clairement élucidée, le cours devait porter essentielle­ment sur l'analyse de contenu, ses formes, ses utilisations, etc. et surtout

être un cours pratique. C'est un entraînement de l'esprit qui s.'impose à des étudiants qui n'ont ni l'habitude, ni les moyens de la lecture et pour lesquels l'apprentissage de la prise de notes est encore à faire. Or, c'est sur la maîtrise des opérations d'analyse et de synthèse de documents écrits, sonores et audiovisuels qu'est basée la qualité des études entreprises.

Objectifs du cours

15. Donner aux étudiants des notions précises sur l'analyse documentaire et l'indexation, les rendre aptes à caractériser un document, à formuler un

document secondaire de niveau moyen à l'aide de langages d'indexation simples ou classiques (CDU, Macrothésaurus de l'OCDE, listes de vocabulaire contrôlé, plan de classification Agris).

Programme du cours

16. Le cours s'est organisé dans l'ordre suivant :

(i) Notions d'analyse et d'analyse de contenu

(ii) Les types d'analyse

(iii) Le choix de l'analyse

(iv) La procédure d'analyse

(v) Les méthodes d'analyse

(vi) L'indexation

(vii) Initiation aux langages d'indexation

(viii) Les index

(ix) Le rôle de l'analyse dans la recherche documentaire

(x) L'analyse des documents non textuels

(xi) En guise de conclusion : le profil de l'analyste.

Contrôle continu des connaissances

17. Trois séances de contrôle jalonnent le cours les 28 janvier, 8 et 18 février. Celles-ci comportent un exercice et un questionnaire sur les notions

présentées dans les cours théoriques. A la fin du cours sont récapitulés les textes et autres documents qui ont effectivement servi d'exercices.

- 4 -

Le contenu des cours

18. Les cours, quel que soit leur objet, ont été délivrés par séances de 1 h.30 à 2 heures. Chaque cours d'analyse-indexâtion était de 2 heures.

19. Comme on le voit (Annexe 2), les cours se sont quelque peu éloignés du projet initial. Deux raisons à cela : les problèmes de reprographie : les

premiers documents n'ont pas été disponibles avant la deuxième semaine de cours, et, d'autre part, les problèmes de rythme... Les étudiants sont peu habitués à prendre des notes, et au niveau des exercices, leur pratique de la lecture est très insuffisante. Il a fallu rester longtemps sur chaque texte et éliminer les articles les plus longs. D'autre part, il était prévu de consacrer la majeure partie du temps aux exercices qui, il faut le reconnaître, ne sont pas très faciles surtout lorsqu'on insiste sur une formulation précise avec un nombre de mots limité.

Les résultats

20. L'ensemble du groupe de première année était très vivant et a obtenu de bons résultats. Ouverts et curieux, ils ont été sensibles au choix des

textes, savaient demander des explications et prendre des risques ... Ils ont fait des progrès notables dans la formulation pour se contrôler et donner un texte précis et synthétique...

21. Voici les notes (Annexe 3) des différents contrôles. Afin de vérifier les progrès on a relevé les textes sur le chant des baleines, et noté l'exercice

de formulation de la dernière semaine. Les notes des deuxième et troisième contrôles ont été attribuées avec plus de largesse, après avoir appris que la moyenne de 12 était nécessaire pour obtenir les crédits du module...

22. Le tableau est complété par les notes du test de reprise qui, on le voit, n'a pas été effectué par les étudiants absents à un des contrôles s'ils

avaient une moyenne suffisante.

23. Il faut signaler que, au CEFAP, comme dans la plupart des structures au Bénin, l'absentéisme est un frein sérieux à l'avancement des travaux et

handicape fréquemment le déroulement normal des enseignements. Dans un programme très serré, comme celui du CEFAP, les étudiants ont des difficultés à reprendre les cours et obligent 1'enseignant à revenir plus longtemps que. prévu sur les cours précédents.

24. Dans l'ensemble, il y a une certaine régularité dans les notes reçues par chacun des étudiants avec pour certains une progression constante. Le

dernier test a été surveillé par une tierce personne... et c'est dommage car le bordereau les a surpris, certains n'ont pas bien compris les différentes zones et se sont embrouillés. Les dix exemplaires du vocabulaire n'ont pas bien circulé... Ce qui explique que certains excellents éléments n'aient pas obtenu d'aussi bons résultats qu'habituellement. Néanmoins, 12 étudiants ont reçu leurs crédits, 13 après la reprise du 4 avril dont le texte était copieux. Ce dernier exercice a permis, d'autre part, à trois étudiants de plus d'atteindre le niveau souhaité. N'étant pas très au fait des calculs tels que le CEFAP les effectue, le consultant ne sait si la note de rattrapage est prise en absolu, ou intégrée aux notes précédentes pour une moyenne, donc si ces trois étudiants ont obtenu leurs crédits.

25. Quoi qu'il en soit, la proportion des crédités est assez bonne. L'ensemble des enseignants semblent considérer que la première année a plus de tonus

et donne de meilleurs résultats que la deuxième année. On reviendra dans le chapitre suivant sur ce qui justifie sans doute les difficultés des étudiants de la première promotion.

- 5 -

III. COURS D'ANALYSE-INDEXATION, LANGAGE D'INDEXATION A L'INTENTION DES ETUDIANTS DE DEUXIEME ANNEE - OPTION DOCUMENTATION - DU PROGRAMME DE FORMATION DES TECHNICIENS SUPERIEURS DE L'INFORMATION DOCUMENTAIRE

26. Cet enseignement avait été primitivement prévu sur 50 heures, mais au cours du mois de janvier, il n'a pas été possible d'insérer deux heures par jour

dans le programme de seconde année déjà prévu depuis longtemps... Mais comme ces étudiants se sont révélés assez faibles, on a essayé en établissant le planning du mois de février de prévoir des cours complémentaires et finalement 49 heures ont été délivrées à leur intention. Ces étudiants étaient huit, ce qui donnait, en raison de l'absentéisme, des cours de tout petit groupe... M. Mkembe avait souhaité, sur leur demande, que certains étudiants bibliothé­caires suivent le cours, quand leur horaire de travail le leur permettrait. En réalité, trois seulement ont suivi quelques cours et fait quelques exercices , mais il n'a pas été possible de véritablement contrôler leurs acquis.

Le syllabus

27. Il s'inscrivait sous le cade STI V 37. C'est ce code qui est repris dans le tableau mensuel du planning des cours.

Programme de formation en sciences et techniques de l'information

S Y L L A B U S

Cours : Analyse et indexation

Sigle : STI V 37

Nombre d'heures : 50

Option : Documentation

Date : 14 janvier - 18 février 1983

Professeur : Suzanne Lafon

Crédit : 3

Janvier 1983

Présentation générale

28. L'ordre de mission de 1'Unesco qui reprend évidemment la demande du CEFAP précise que le cours de la deuxième année portera sur "L'analyse

- l'indexation - les langages d'indexation".

29. Ces termes techniques définis précisément dans le jargon des sciences de l'information, ne sont pas aussi éloignés que l'on pourrait le croire de

leur acception sémantique dans le langage courant. Il s'agit plutôt d'un approfondissement de la notion, dans le contexte précis du traitement documen­taire, depuis l'organisation matérielle des documents, des fichiers, des listes bibliographiques jusqu'aux index automatiques, depuis la fiche classique de catalogage jusqu'aux bordereaux de saisie, prévoyant plusieurs types de sorties pour une recherche plus ou moins fine.

- 6 -

30. En réalité "tout système" repose entièrement sur la pratique de l'analyse-indexation dont 1'automatisation ne fait que normaliser les procédures ;

et le savoir-faire de 1'analyste-indexeur ne peut s'acquérir que par une pratique active de la lecture, une intégration réelle au domaine scientifique qu'il doit servir, une attitude de recherche intellectuelle et d'écoute de 1'autre...

31. Mais les métiers des professionnels de l'information sont aussi les métiers de contact où l'attitude d'ouverture envers un texte et un utilisateur

doit permettre l'adéquation de l'un au besoin de l'autre.

Objectif

32. Il s'agit bien évidemment de cours essentiellement techniques qui ont pour but de présenter le rôle de l'analyse dans le processus du transfert

de l'information, les produits qui en découlent, les outils que se donnent les documentalistes, c'est-à-dire les langages documentaires.

33. Des exercices quotidiens avec des textes d'articles, choisis en fonction de formulations différentes et de l'utilisation de langages documentaires

spécifiques, ont été prévus.

34. Une partie de ces exercices a été relevée et notée, afin de juger l'évolu­tion des étudiants et d'évaluer les matériaux du cours.

35. Il a été possible de visiter un service de documentation dans un domaine spécifique et fonctionnant normalement.

36. Le contrôle s'est effectué au cours de trois séances : vendredi 28 janvier, lundi 7 et jeudi 17 février.

37. Deux types de travaux seront pris en compte : un questionnaire sur la compréhension du cours, un exercice d'analyse sur un texte donné, formalisé

selon telle ou telle norme ou règle de présentation.

38. Le déroulement du cours a eu lieu comme suit :

1. Définition de l'analyse documentaire

1.1 Rappel des notions enseignées en première année 1.2 Mise au point sur les structures et le vocabulaire de

l'analyse documentaire 1.3 Les critères à retenir pour le choix du type d'analyse

2. La réalisation de 1'Analyse documentaire

2.1 La procédure de l'analyse documentaire 2.2 Le texte libre et l'indexation en fonction des langages connus 2.3 L'interrogation du texte 2.4 L'analyse avec grille

3. Les langages documentaires

3.1 Types de langages - selon les structures 3.2 Présentation des langages documentaires 3.3 Les normes d'établissement d'un thésaurus... l'adaptation

des thésaurus.

4. Système automatisé et analyse-exercices avec bordereaux et manuels d'opérations - AGRIS - PADIS, etc.

- 7 -

39. La plupart des exercices ont été prévus à partir d'articles apportant une information dans le domaine des services de l'information, l'un d'eux

devra être fait à partir d'un texte anglais.

40. La liste des exercices effectivement donnés a été relevée en fin de programme.

Le contenu

41. Le tableau Annexe 4 rend compte du contenu des cours.

42. Le tableau du contenu des cours de seconde année est plus conforme au projet du Syllabus encore que les exercices avec les manuels d'opération

AGRIS et PADIS n'aient pas été effectués.

43. Le cours n'a pas pu suivre exactement le rythme proposé parce qu'il y a eu des cours en moins en janvier et des cours le mercredi après-midi

en février. Les cours souvent en fin de journée ne pouvaient avoir la même intensité que les cours de la matinée ... De plus, les étudiants ont mis beaucoup de temps pour "entrer vraiment" dans les travaux proposés. Le chapitre suivant donnera une idée des problèmes pédagogiques propres à chaque groupe d'étudiants.

Les résultats

44. Le tableau Annexe 5 donne les résultats des trois contrôles, les totaux et les moyennes ainsi que les résultats du test de reprise. Comme le

premier contrôle était jugé assez désastreux, compte tenu qu'une moyenne de 12 était exigée pour obtenir les crédits, toutes les notes de cette série ont été relevées de 1,5 point.

45. Comme on le voit, G. Aiko qui était très proche du total a préféré travailler le test de reprise ce qui lui a permis d'obtenir ses crédits

sans repêchage. Malheureusement les notes des autres n'ont rien changé à leur moyenne, sinon l'affaiblir, ce qui est dommage pour ceux que le troisième contrôle avait nettement relevées.

46. Cinq sur huit est une proportion acceptable. Mais il est regrettable qu'un petit groupe comme celui-là n'ait pu se mettre assez vite dans

le cadre du cours pour en profiter au maximum. Retenons cependant que le travail sur le texte anglais était satisfaisant.

IV. PROBLEMES PEDAGOGIQUES ET SUGGESTIONS •

47. Ces cinq semaines de cours intensifs sur une technique précise ont apporté à la consultante une expérience d'enseignement nouvelle et très enrichis­

sante. Les cours de l'EBAD étaient étalés dans le temps, les séminaires d'ini­tiation bloquaient un temps court pour chaque matière. Il'fallait à Cotonou soutenir un effort de même nature dans la même direction deux heures par jour pour chacun des groupes. Cela permettait un contrôle plus réel, un contact sans fissures, mais aussi de la part des étudiants un effort de concentration assez dur et souvent entrecoupé d'accès de découragement.

48. En réalité les deux groupes ont réagi très différemment.

- 8 -

49. Il semble que les étudiants de seconde année aient été assez désarçonnés par le cours d'analyse-indexation. Ils prétendaient mettre en contradic­

tion l'enseignement reçu l'année précédente et celui qu'ils suivaient en 1983. L'examen des documents fournis au cours des deux enseignements leur a démontré qu'il y avait équivalence totale. En réalité, ils attendaient en général un enseignement très formaliste avec dictée et copie des présentations graphiques réalisées au tableau... Ils pensent - semble-t-il - qu'ils doivent accumuler les informations de type scolaire et ils se sont trouvés "déstabilisés" devant la nécessité de lire rapidement, de décortiquer un texte et de rédiger une notice de contenu. Or, un cours d'analyse-indexation représente à peu près 70 % d'exercices, puisque c'est avant tout un cours visant à un apprentissage fondamental dans la profession de documentaliste. En discutant avec M. Mkembe j'ai utilisé à leur endroit le terme "raides" ou "raidis" comme s'ils avaient peur d'affronter une réalité nouvelle, une technique "nouvelle" (dans leur esprit) sans une préparation suffisante.

50. Ainsi dans un contrôle, alors qu'un vocabulaire contrôlé était mis à leur disposition et exigé par l'exercice, le plus grand nombre a fourni des

indexations libres ou a mélangé celles-ci et les descripteurs contrôlés.

51. De plus, dans les conversations de 1'intercours avec les uns et les autres, ils étaient assez préoccupés de leur avenir. Trouveraient-ils un emploi

correspondant à leurs études ? Auraient-ils des passerelles pour poursuivre ? Cette dernière préoccupation étant la plus fréquente et la plus importante.

52. Ils semblaient avoir des problèmes avec d'autres enseignants et à vrai dire, ne se sentaient pas exactement bien ni dans leurs études ni dans

leur projet d'avenir. Peut-être regrettaient-ils le choix de la documentation. Cependant, si l'avenir de la profession ne s'annonce pas radieux, il y a une forte demande et leur promotion est assurée d'avance... mais comme ce sera à eux de faire reconnaître la profession qui dans tous les pays en développement est souvent considérée comme celle d'un personnel superflu, peut-être craignent-ils les affrontements à venir...

53. Les étudiants de première année avaient toute la fraîcheur des débutants, ils étaient plus souples et plus détendus. Le consultant n'a pas eu

d'informations sur les âges moyens de chacun des groupes ; peut-être cela joue-t-il ? Ils sont rentrés plus facilement dans le jeu et ont fait des progrès rapides, du moins pour les meilleurs... en particulier pour renoncer aux adjec­tifs, au style grandiloquent pour concentrer en peu de mots ce qu'ils voulaient dire... pour appréhender une grille d'analyse et savoir utiliser un vocabulaire contrôlé - ce qui explique que quelques textes, dont celui de reprise, aient été travaillés dans les deux cours.

54. Dans l'un et l'autre groupe, la difficulté majeure de ce cours sur l'analyse-indexation vient du manque d'habitude de la lecture. Pendant

toutes leurs études secondaires, les élèves n'ont d'autre horizon que leur manuel et quelques textes imposés. Il n'y a pas de livres à la maison, il n'y a pas de livres dans les librairies (choix de 17 romans africains dans la librairie officielle - choix très limité dans la minuscule librairie privée), il n'y a pas ou presque pas de bibliothèques. (BU, BN, CDIP, Commission nationale Unesco qui fait un service de prêt étant en dehors de Cotonou - restent les centres culturels étrangers ou les librairies et bibliothèques confessionnelles)... Les magazines sont plus nombreux qu'en 1981, mais finalement les choix se concentrent sur deux ou trois et bien peu donnent des informations scientifiques et techniques... La fréquentation d'un genre très limité de périodiques explique que des étudiants trébuchent, lorsqu'il s'agit de repérer le titre "ludothèque", ou celui de "Le numéro international normalisé des publications en série ISSN". Que dire également de leur lenteur - quel que

- 9 -

soit le groupe - pour lire un article. Comment devenir professionnel dans de telles conditions ? Peut-être serait-il utile de prévoir un entraînement à la lecture rapide qui les aiderait dans tous les travaux de documentation. Mais surtout il serait important que les connaissances acquises soient le résultat de lectures personnelles, de prises de notes personnelles, de recherche d'information et pas seulement de cours. Il est regrettable que les exposés qui sont proposés par tel ou tel enseignant, ne puissent être instruits par un temps suffisamment long et enrichissant dans la Bibliothèque universitaire ou autre. Les étudiants de deuxième année y consacraient le samedi matin... C'est trop peu et beaucoup de connaissances même techniques pourraient être acquises dans la familiarité des livres. Pourquoi travailler sur des fac-similés lorsqu'une bibliothèque est attachée au CEFAP ? Il serait intéressant que la bibliothèque serve de laboratoire, que les livres concernant la bibliothéconomie, la documentation et l'archivistique, ainsi que les périodiques soient gérés par les étudiants eux-mêmes... A quoi sert une bibliographie si on n'a pas la manipulation des documents.

55. Le consultant pense qu'il serait intéressant d'alléger les cours et d'essayer de travailler deux demi-journées en bibliothèque laboratoire ;

de voir si certains cours ne pourraient pas être suivis à l'Université même, ce qui permettrait d'intégrer les étudiants du CEFAP au monde universitaire et d'éliminer l'aspect marginal et scolaire de cette formation professionnelle. (Ce qui pourrait expliquer le sentiment de frustration des étudiants de seconde année.) Un autre avantage d'un travail personnel serait de permettre aux étudiants de sortir de l'aspect normatif.auquel ils s'accrochent. La norme est pour eux une référence absolue. Or la norme évolue, et les besoins de chaque service passent avant la norme. A ce propos il aurait été souhaitable de travailler encore davantage sur des bordereaux de saisie pour bien faire comprendre que la norme est un cadre de référence, mais que les contraintes et les besoins définissent le standard de chaque système... C'est pourquoi, il fut intéressant de regarder l'évolution d'Agrindex et d'utiliser la présentation du bulletin bibliographique du CNRS, l'un et l'autre inspirés des règles d'UNISIST.

56. Ces remarques étant faites, le niveau général de chaque groupe était correct et relativement homogène, si on le compare avec celui des

étudiants que l'on a connus à l'EBAD.

57. Puisque la comparaison avec l'EBAD 1er cycle vient naturellement, il serait souhaitable que des échanges, comme le souhaite M. Mkembe, puissent

s'établir entre les deux écoles, comme il existe des échanges entre les univer­sités de Dakar et du Bénin, au niveau des enseignants, mais sans doute aussi au niveau des étudiants...

58. Les stages à l'étranger pour une formation linguistique et une ouverture professionnelle s'avèrent difficiles à organiser. Néanmoins, il semble

que cette expérience serait particulièrement bénéfique. En effet, les stages sur place ne peuvent apporter beaucoup, étant donné le peu d'institutions ayant des services professionnellement valables ; médiocrité des fonds, aspect routinier du traitement et de la diffusion - c'est pourquoi on en revient à la Bibliothèque laboratoire. M. Mkembe se propose de faire une liste de livres que l'Unesco pourrait l'aider à acquérir pour l'enrichir, mais telle qu'elle est actuellement elle n'est pas négligeable.

- 10 -

59. Enfin, il serait judicieux, dans la perspective de l'entraînement pro­fessionnel, de reprendre l'idée des "chantiers" qui avait été suggérée

dans le précédent rapport et qui pourrait débloquer certaines situations locales, même au Programme des Nations Unies pour-le développement, où per­sonne n'est affecté à la gestion de la documentation et où une aide bénévole serait la bienvenue ; l'octroi de documents à la Bibliothèque du CEFAP pouvant comprenser ce travail. D'autres chantiers pourraient être lancés dans les ministères, qui prépareraient le service des étudiants à affecter dans le courant de 1984, en les familiarisant avec les structures administratives et les pro­blèmes de collecte de documents non conventionnels. Ce genre d'activités, du ressort même des documentalistes, ne semblait pas avoir retenu l'attention du groupe de deuxième année. C'est dans cette perspective que l'on a essayé de clôturer le cours par des exercices sur les bordereaux Resadoc et PADIS afin de les préparer effectivement... mais ces exercices ont été trop brefs et je pense qu'il faudrait - une prochaine fois - y consacrer une semaine - et établir avec Mme Codja (DESS Unesco 1982) qui assure le cours sur les réseaux, une possibilité de suivi...

60. A ce propos, il serait souhaitable que les cours soient mieux intégrés entre eux, peut-être par une information précise du groupe professionnel. On

retrouve au CEFAP comme dans la plupart des organismes qui emploient un grand nombre d'enseignants, une relation enseignant-élèves totalement personnalisée. Or on pourrait gagner du temps en sachant exactement où en sont les étudiants.

V. CONCLUSION

61. Le consultant a été informé par M. Mkembe et les étudiants que ces cours- leur avaient beaucoup apporté. En faisant la part de leur affabilité

naturelle, il semble qu'en effet ils aient reçu des précisions sur un certain nombre de notions techniques, sur leur nécessité, sur l'organisation systématique du traitement de l'information, sur la cohérence à l'intérieur de la chaîne documentaire... et cela en insistant sur le côté "pratique d'un métier". Il est intéressant au cours des travaux pratiques suivis de montrer la fusion des tâches qui sont enseignées selon un programme nécessairement trop analytique.

62. (Le consultant pense qu'il est souhaitable que 1'Unesco maintienne ce genre de mission.) Le CEFAP demande d'ailleurs un suivi - et même, s'il était

possible, les multiplier car elles ouvrent sur le monde extérieur... Aujourd'hui, au Bénin, il n'est plus possible de faire ce type d'études à l'étranger (ce qui est logique étant donné l'objectif des centres de formation), il faut donc que des contacts soient établis par les enseignants qui viennent ; ce qui amène le consultant à recommander également une affiliation à l'Association inter­nationale des écoles des sciences de l'information (AIESI), afin d'obtenir à travers l'Association, des échanges entre écoles des sciences de l'information.

Annexe 1

ANNEXE 1

TEXTES UTILISES PENDANT LES COURS

Textes proposés

- Une valeur non cotée. Craknell (MP) FIPA (Fédération internationale des producteurs agricoles). Nouvelles : Agriculture dans le monde. FRA (1981), 30 n° 7/8, Bibl. (1 réf.).

- L'étrange chant des baleines. Dorozinski (A). Science et vie. FRA (1981), 40-41 Discogr. (1 réf.).

- Il est midi à la bibliothèque municipale (l'exemple britannique). Gleize (S). Le Monde, FRA (1973).

- Le numéro international des publications en série ISSN. Bossuat (ML) et Girard (CH) (Bibl. nat. Paris). Courrier de la normalisation. FRA (1975), n° 245, p. 447-448, bibl. (6 réf.).

- Savoir-faire à l'exportation. L'exportateur ivoirien. CI (1982), n° 31, p. 41-45.

- Les plastiques face à la crise du pétrole. Donner (JB) et Vidal (A). La recherche. FRA' (1981), 12 n° 122, p. 610-611. Bibl. (8 réf.).

- Guérir l'allergie. Benveniste (J). La recherche. FRA (1979), 10 n° 104, p. 1012-1013. Bibl. (2 réf.).

- Subject headings. Knight (G.N.). In indexing, the Art of : a guide to the indexing of books and periodicals. London : George Allen and Unwin, 1980. p. 87-100.

- Deux prophètes de notre temps. Drucker (P). Dialogue. USA (1980) , 11 n° 2 , p. 103-114.

Textes analysés au cours des contrôles

- Ludothèque. Aronovici (D). Dossier familial. FRA (1982), n° 94, p. 27-30.

- Bibliothèques : l'informatisation condition de la survie. Chauveinc (M). Le Monde. Dossiers et documents. FRA (1982) , septembre (L'information aujourd'hui), p. 83-94.

- Conférence : la documentation et ses langages. Cloutier (J). ASTED (Association pour l'avancement des sciences et des techniques de la documentation). La documentation et ses langages. Premier Congrès, Québec, 2-5 octobre 1974. Montréal : ASTED, 1975, 82 p.

- L'information scientifique et technique, bien de consommation ? de Maigret (A.G.). Perspectives universitaires. FRA,(1982), 1, n° 1, p. 160-162.

Annexe 1 - page 2

- Les archives et les nouvelles techniques de l'informatique. Roper (M). Revue de 1*Unesco pour la science de l'information, la bibliothéconomie et l'archivistique, FRA (1982), 4, n° 2, p. 115-122.

- Destin et maîtrise de l'information écrite. Rousso (F). Etudes. FRA (1980), p. 621-632.

3. Textes remis aux étudiants comme support de cours

- La structure et le vocabulaire de l'analyse documentaire. Fondin (H). Documentaliste. FRA (1977), 14 n° 2, p. 11-16.

- Règles d'établissement des thésaurus monolingues. AFNOR. NF Z 47-100, décembre 1981. Documentaliste. FRA (1982), 19 n° 2, p. 70-71.

An

nexe

2

ai XD c

e

«

u

4)

U

Ol

i n

Ol

>i

•p

3 ai

id

c

10

o

o

•o

41

n

>i

-H

e IB

41

O

u

«H

o 1

-ri •o

(U

M

•0

C

0) >

m

0) u

3

(U

A

00

«-4

1

ta

m

M

3

01

JS

10

r*

9

ta

>i r-t id

S >ô

0)

s 4J 3

•0

M

•H

0

JS

u

r3 1

41

ta

>i f-i id

c

id

»

•0

m

ai O

i >i 4J

n

<a

n

ai h

3 0)

A

00

«-4

«n

1

o 1

D)

(0

•~ u

3

-ri 01

T

) JS

C

3

VO

J

chl

•M

U

a

01

o

u

•P

-ri -P

1

4) •P

VI 3

0

O

o

>

-1

4J

id

o

-4

TJ

e

•H

O

m

>i

F-l id

i 0

u

n

41

G

D

rH

41

•a

ai h

>

•H

1-4

3

•O

(D

*i U

«

£ U id

f-i n

3

M

V

U

•H

U

M

41

ä ai u

h

S

0) .c

o

CM

«H

1

o i

en

m

a) -

H ri 3

-H a)

•a js

^ m co

S -

10

•o

ID

o a ai •H

h

* X

4)

41

G

3

z •• 0

C

T4

m

4) •0

4)

o •

•-4 «•»

•U

C

O U

«Ë

M

O

3

U

a

4J

• 4

)

H ?

U

-

Oi

4) h

»

•H

0

3 S" C

M

0)

0

§ -3

3

¡-

o -<a

T3

ta

4)

4)

s, g. -H

-H

id

e

n

C

0

id

I-I -

0

1-4

U

0

ai <ai

•a

4J

xu

ai a

M

s

m

<o ai

XD

JS

u

o

0

U

u ai

Oi J

S

o

32

o

m •

JS

4-1

O

CS

en

«-«

i

•H

TJ

O

ai

n

u

• P

-5

M

ai o

S

-

3

O

O ai

o

•H

•a

G

•* çj

•à

ai JS

u

u

ai JS

8 h 1

ai 3

T4

JS

O

i id

u

0>

0

•H

i-4

a J3 41

Ü

•H

•U

0 e

id

1-4

41

•O

U G

•H

a 3

id

41

01

-H

a • • •

41

4J

•H

3

a

a

ai u

3

ai JS

o

CM

—'

1

O 1

10

o

ai C

M

Sa

3

•ri 0)

•O

JS

3

ai a

o

>-3

«-»

a

ai r-i 0 u

•-4

m

<d

a

• M

-H

3

JS

ai

u

•U

-4

o

u

3

G

•a ai

0 M ai

Oi

M

•P

a

-t ai

v

•a

41

-•4 ~

.

Se

O

Ct4

•H

•u

m

id

4

)

s* 41

(0

4-1

C

e

«

•H "O

e

a

o

ai •H

S

+*

i «

4) h

<P

XD

-a

n

X

D

41

CM

"O

r-l ««

-H

04

id

H

>

fa

id

u

41 J

J

s~ 41

s

Í-I 41

XD

Id

-P

*H

O

U

41

T3

G

O

4J

G

•H

•d

h

h

S

JJ

41

X

r-l

41

id

>

ai +

j ai

X

C

ai s

&

4 S

a

ai u

3

ai J

S

*N

O

O

1

T*

4-4

CM

1

•M

T3

ai ai

u

U

3

•a

ai C

JS

ai >

eo

«

41

rH

id

u

O

ai n

>i

r-i •d

S i

s a

ai c

•H

ai rH

id

J

3

a

ai

«a

•y

c

<d

JS

o

ai o>

e

id

u

•P

XD

• J

s

-41

•H

>

4J

41 D

41

Q

q

O

G

41

41

•H

O

U

-H

«

"O

C

ai

-H

•0

•u

3

•H -<d

M

+J

41

X

JS

ai

u

u

ai ai

-P

JS

x

u

ai ai

fri U

a

ai u

3

ai JS

co

«H

-<

1

O 1

01

^ q

) C

M

U

3

-H

01

-a

js

3 VO

J

ai «

TJ

rH

ta

M

P

<d

c

Ql-H

XD a

(Q

âN

0

* l«l

Û.&

H

H

ai oa

u

•H

• id

x

r-4

01

3

~

"9 ai <

-* u

-u

«

0

X

U

>

41

XD

JJ

G

3

XD

rg

ai

D>

r-l

V4 41

-ri

3

*i G

a

>

u

«d

/«i id

*o

J

S

Oi

-P

(0

0

-10

3

-r| r-l

r-l C

O

J3

O

C

-H

•H

-4

ja

4-1

id

m

—.

x

4-1

ja

41

41

•O

rH

e

o

-H

41

m

4i 4J

en

S

2

0

0

ri O

J

S

•H

«S

•H

>

«41

ja

«

• id

•P

C

C

xu

o

ai •H

-

(•

PC

3

«S

O

O

ri

»I S

I 3

4J

cl5

o

o

e

-4 fa

ai

•p

g

•ri 1.

3

opos Jie •

doc

S.5 2

«1 =

ai 3

ai •p

45 u

x

^

ai ~

•P

c

<d

Q)

-*^

ai i

D

ai «S

a

3

s

o

>

ta

ai ri 3

41

JS

O

CN

-<

1

O 1

01

m

4) evi

M

3

-r«

01

•a

JS

M

£2

TJ

Tl

a P

01

r-l M

S

ai •a

e

i 3

•a

4J

•H

id

M

•P

X

41

41

•P

X

41

•P

3

•O

C

41

§ X

ai i 41

1-4

<-t

•H

41

>

id

1-4 «

X

D 41

e

n 1-4

-ri

10

T3

Oi

XD

-H

M

U

•H

rH

C

•*

2

« a

id

41

•P §• <41

3

JS

•O

+>

O

C

-H

O

rH

•n

ja

4J

-H

o

ja

ai u

«

ri

4-4

0

U

«o

o

fO

•T4 J

S

o 1 C

M

VO

n

CN

1

•ri "O

O

ai

m

ri •

o

JS

ri ai

o

ta

c

<d

•a

c

-H

•O

c

o

fa •

B 41

-a

41

•H

o

T|

4-1

U

jd

1-4

ta

41

ri O

l jd

T3

ai M

•H

id

•P

e

ai

a

3

o

0

•o

ai ta

>i r-l id

G

a

-H

ai •O

01

•ri id

Ü4

G

id

M

im

1

01

•ri id

r-l en

e

id

ai u

•ri id

r-l 3

•§

U

$

4J

C

<d

01

•-i r

•ri •P

3

C

ai

ta

<M

ai -H

o

1

ai •P

i a

41

•d

c

0

•ri •P

U

<d

u

+j X

41

M

41

4-4

r-l •H ai

>

id

r-l ai •a

ai •P

x

ai •P

3

•a

ai ai •H

u

O

i 41

OS

1

ai u

ta •H

r4

id

c

ai | o

R S 4J

41

rH

01

C

(B

73

01

XD

M

XD

01

G

•H

ai •w

41

rH

o

mots a

41

r-l o

41

>

<d

c

0

•H

•P

Ü

<d

TJ

XD

ri 1

T4

O

-4

C

Tl

4-1

41

r-l rH

3

ja 3

•O

XD

i-l <0

U

4J

C

o

o

01

M

•H

id

•-H

3

•s

U

O

> ai r-l

ri

O 1

C«-CM

•H

T) 3 ai

ta ai u

3 ai JS

o CM

I

ta ai M

3 ai JS

00

•-3 rn

ai 3

D*

-ai JS

•P

0

<o

3

<o

id

H4

" 41

•p

X

ai •P

3

•a

41

01

>i F-l «

5 i

"áT

r-i o

u

•p

(S

0

u

ri 41

4-i 1

01

c

o

Tl

4J

Tl c

•H

<M

XD

•O

01

ai 4-1

M

3

0

U

in

ri O

| ao

CM

•ri T3

ai M

-a

c

ai >

i-l id

•ri rH

•ri a

id

M

-l

u

<0

fi 01

01

0

T3

ai •a

4-1

T|

10

u

•P

X

41

0) ai u

3 ai

JS

o

n 1

01

ai u

3

ai JS

ao

Annexe

2 - pag

e 2

CO

u 3 O O CU

-a en id

a,

•--I

-a c 3

«-I 1 rn

i-l •H

0 >

1

» >-H

<0 u

4->

tí 0 o

3

•Ü

c 0 •H

4

J 0 cu

Vi

u

0 o

CO

cu

u

3 cu

JS

o

CM

CM

O 1

1 SH

CA

ai cu

,-.

S-l

3 •ri

CP

-O

fit u

id

c

o

S

su

en

•H

iH

§ 1-1 •

0 in

C

r» ffi

l-l -

H

rd

C

C

0 0

•ri -ri

•P -P

id

id

c co

U

-ri d>

H

4->

<d

5 g 0

0 C

u

xu

id

§ i-i

c eu

•o

eu

J

S-l ai

•• -H

(H

eu u

•P

3

X

0 eu

u

4-1 3

3 -a

•a u

a -ri

cu id

1 U X

X

u

a

• •

ai eu

CO ->-l

>i

H

i-( M

l) Id

C

A

c id C

- eu

<H

CO

ai

c -a

o

-r|

ai -u

-H

id

en o

0 -H

r-i

fi

•8-â o

a

fi. •U

C

A

Ml)

0)

S

-O

o

o

fi CM

O

CN

1 *->

CN

1

•ri •O

O

CU

m

u •

0 fi

u ai o

S

ai i-l u

•H

4J

u

id

§ CA

/CU

l-l a id •o

CO

CU

o

1-1

u

u

eu

X

u 1

0) 4->

X

eu

p

3 •O

c 0

tH

4->

m "co

04

i •P

eu

i-i en

-P

0 u

u

O) 4J c H

.. 0) CO

0 c 1-4 3

a co

01 4-) /O

l >

iJS

f-i id

c id iH

eu

•a

eu

•H

en

0 •-i 0 -0 0 fi 4->

M

l) S

O« 0 l-l O

i

X

3 01 Q

0) 3 D

i 0

rH

id

•r|

Q eu

•0

CM

O 1

m

-ri T3 3 eu

•n

co

01 M

3 eu

fi o

CM

1

CA

eu

i-i 3 eu

fi 00 «-H

CA

& 8 eu

4-1

eu

14

-u

0 c n

3 a CA

eu

•U

<eu

fi Ck

0 u

a, x 3 eu

-o

•• eu

•P

X

eu

4->

3 •0

C

0 •

H

•p

id

en

0 l-i l-i eu

•P

c •H

rH

l-l 3 CO

o

m

£ CM

O

CM

1

-1

rf 1

•H

T>

O

eu n

i-i

-O

Ä

C

01 O

>

-H

CI) •-i

o u

4J c 0 o

0) •o

eu

u

c id M

l) co

2 a /O

l •H

X

3 eu

-0 <d

^ eu

•O

c 0 •H

CO

H

>

MJ)

1-4 O

l

C

eu

co

•H

3 G<

O

id

CA

CU

"O

c 0 •r)

CO

•H

>

Ml)

a

o

m

JS

CM

*-l

CM

O

1 1

r- o

m

H

•O fi

C

3 O

rH

-

H

eu ai

S «i

.2 ** •H

3

Ü

•a

1« 8 >

0)

o co

71 <« tí

u

id

Oi

co Hj

•P «

id

§co

« *"

o cu

"H rH

C

U

• •iH

I

- co

eu

*

** o>

•P

~a

CA C

O

Ol

Ol

_ 3

rH T

J /O

l O

l fi

U

m

4-1

x Ol

4-1 O

l

Ol

g eu 4-1

c

i-i 4-1 C o Ü

01

01 01

O -ri

id

U

Ml)

3

w co

CM

O 1

CO

-H

-0 l-l id

S

01

u

3 01 fi o

CM

1

CO

cu

l-l 3 cu

fi CO

*-l 4-1 U

01 -H

01

4-1

4-1

+1

X ld

-H

eu u

u

4J

-H -H

CO

C

0<

/Ol

-H

X

M

0>

Ol M

l) id

a

» >0 co

M

l) ••

l-l eu

q

3 H

3-0

o

01 «

H

n

o

4-1 01

» 01

en

<d

en

C

•d

rH

0) •0

co

c 0 •H

•P

0 2

O

m

J=

CM

O

CM

1

-H

i tH

>a o

(U

m

S-l

• U

fi

S-l eu o

S

-i

co

eu

S-l •

*

eu id

rH

+

J

o

c SH

O)

•>-> i

c 3

0 0

Ü

0 -0

3 •O

co

ai a

en

0 rd

•H

e

n

P

C

o

id

eu i-H

S-t H

CA

o eu

co eu SH 3 eu

£

o

CM

CM

1

O 1

CO

O

01 -H

l-l

3 •H

01

-a

Ä

3 01 0

3 1-3

-

H

CO

eu

en

rd

en

c id i-H

CO

0>

hJ o

n

CM

£ o

1 CM

«-H

rH

«-4

1 •rH

•O

O

Cl)

n

SH •

"O

fi C

eu

o

>

-H

co eu en •d

c« c id

i-H

10 d) "0 ai

tH

<0 tion - r id

g 0 4H C

T

H

rH

ai

•a 01 fi Ü

u

0) £ o

a) u

id

rH

•U

01

eu

en

id

X o

0 4-1 CO

eu

rJ o

n

A

CM

CM

rH

o

1 1

*tf rH

O

m

•r( •

-0 fi

30

rH

01 rH

0 u

•p

'S. 3 •a

ai CA

•ri à la cr d) o

id

<4H

en

eu 3 tr

•H

4J (0 Id

rH

O

i

CO

0) rH

"• ai

4J X

01 4-1

3 -0 01 CO

>

1 rH

id

c rd »

CA eu u a <

a fi o

C

M

CM

1

O 1 C

O

in

eu

rH

M

3 •H

01

•O

£ u

id

c

o

S —

0) rH

rH

•H

!H

o>

U

O) >

id

cu CO >

i n - Anal 0 -r(

•P

id

rH

3 g 0 I4H

eu

U

•• 01 4J X

01

•p

0)

ê a eu

r-t

U

3 CO

<-t

•H

id

>

id

u

EH O

n

CM

fi o

1 C

M

Vu ~

* r

H

1 T

I

"O

O

eu n

>H

O fi

u

eu o

a

-H

es différentes

rH

U

3 CO

eu 0

i

3 0 SH en

eu

ravaux d

EH

CM

i e

s o

-* 0

*0 /*d

id

co

r~

cu r->

04 e

n

rH

3 •O

a)

-0 3 id

x

d) 0

) U

"0

d) C

•O

-H

ri

M

o en

xi

*e 3

T3

•o

CO

c c

0 0

•H

-ri

4J -P

id

id

4J

-P

c c

eu eu

CO C

A

Ml)

Ml)

u u

a,

Oi

CA

eu 3 d) fi

O

CM

CM

1 O 1

CO

P~ 0)

-. VI 3

•H

d) TJ

Ä

3 d) CO 1-3

^

H

CO

d) 3

3 T3

D<

-H

d) •P

ri

id

-H

a m

U rH

0

3 MH

Ä

c

id

-H

O

0 (0

>

d) 3

» W

CO

•H

-r|

c -o

£ id

u

o< eu

P

01 -o

co

d)

3 i-H

cd

i-H

d

) d) SH

>

d)

3 TJ

0 U

C

0

fi CO

CU

3 -H

73

•P

C

d) 0

T|

CO P

cu

id

>

CO

•H

-H

Ä

rH

O

-ri

M

P

id

D

CA 1

d) ij

CM

S

C

0

en

d) rH

4J x

» d) C

M

P

0

3 C

•O

«

eu <;

co m

>1 H

rH

C

O

id

D

S" d)

» -0

d) C

A

rH

4J

•0 -H

ri

Id

•P

ri

C

P

0 X

U

eu

^-i

o

rH

C

•H

P d)

rH

rH

3 A

CM

O 1

00 r-l

•H

•o

d) U

n

c tu

>

fi CN

rH

1

O

n •

Ä

O

rH

An

nex

e 3

0)

ß CU IT)

CT! cn

p

»

cn ro

Tj<

o

o

oo_ o

•P

0

•P

oo ro

en

en es

ro

co

0)

en •

H

u

IT) te

o

en

m te

CM

0

0

in

ro

<U enn

>i

0 a

en

CM

*-*

m

ro

T-l

ro

ro

«-i

*-i

en

<o

en

<*

CM

v-1

1

1

CM

1

-r*

<f te

m

1-H

G0 te

en

en

& m

•«a

1 O

C

N ro

ro

I

^H

PO

ro

<-l

TH

«-H

i-H

*-l

J

^

4 r-l

•**

CO OUR

U

co

u

Q

CO

&H

<

ÊH

H

) D

CO

H

(U

HU

C

c

flj

(U

M

AU

•H

a

<U

Vl

0H

H ota

•u •

H

4J

C

0

o

0) ro

10

00

ro

«H

in

o r

m *

ro

O

«»

•«

*

in

r->

CM

*-H

en

00

CM

in *

t-i

ro

r-ro

O

O

CM

O

CM

V0

ro

m te

ro

•* O

«

ro

ro

en

CM

«•H

CM

ro

ro

m %

*-H

CM

^ <sr

in «i

ro

CM

O

ro

in te

r-

00

ro

o

00

CM

m te

r

o

«»

m

CM

m

CM

CM

in r

ro

in te

00

ro

O

Tf

m

en

ro

m

M

4J C

O

o

0)

CM

CM

r \

ro

en

te

o

ro

m

te te

ro

^" en

CM

vo i-t

ro te

ro

in

p* te

«¿>

ro te

ro

H +J C

0

u

M

<U

ro

in

ro te

CM

m te

te

va CM

en

p-

CM

ro

en en

p

» r

-ro

te

ro

ro

ro

te te

*-i

en te

O

o

ft

2

Ñ

ä

Q

2

H

a

o

u

CQ

D

O

en

co

D

Q

Ü!

• O

< YEN

<

* >

t

« OTO

OQ

Z

q

s,

D EHO

Q

M

• ft

• s M

S

W

Q

3

Q

S

a

C)

03

CO

g

2 •s.

w

CQ C

i) W

H ft

C3

O

D O O ¡S

a

o

o

03

H

H

m

¡3

<"

s <

Q

O

<

O

«

3 g

o

Q

O

ft

<

2

H

a

C5 O H

<

CO

03 O •J

U

1

a

o

CO CO

ü

CO

• C

M

8 o

N

An

nex

e 4

2 D

O

O

Ol

W

û

s § Z O

o

w

*J

(U

Ml)

C

a

id

<u

S

•H

§ (U

Q

0) KD C C id

a) TS co n 3

0

u

3 rd

ai c

•H

id

S

O

TS

<u rH

<o

<o

rH

u

co

c

C

0

id

co

•o

0) CO

T)

CD

CO +

J •H

CD 3 D

* <D

U

CO id

>

i rH

co id

cu c

ü id

G

-id

r-i

co co

<u •H

>Ö CO co

TS iw

K

D

C

Q

o

•H I

+J

Id

CD •

P

c

CD •H

-O ft

HD Id

O

O 'CD

VI) fc

os cu

o

rH

CN

o

-H

i

•^ i

CO -H

CD TS

H CD

3 M

CD

T> J

3

c

0) O

> -H

c

-H

n G

o

b CD -O

O -.H +J

CD CO >

i rH

id

C

id

CD

•a

CD M

-H id

•a o 3 C 0) •p c

o

o

(U

•o

CD CO >

i rH

id

G

id

O CD co >

i rH

id

o i

co CD U 3 CD

Ä O CN I

CO CD

-H

U

3

•H

CD

TS

Ä

3

CO

iJ

-<

CD C0 >

i

id

C id

CD

•p

3 T

3

O

U

CO

eu n 3 CD

Xi O

O

I

rH

en ^

i

•H

ai

u eu

CD

S

co

H

SI (0

•H

ft-

O

•H

•P <d +J

c

CD

5 a)

•P CD

C O •H •

P

id

CD

HD

•P

O

O

C

0 c

•H

3

,H ^

•H _i

CD

TS

>

S3

01

&

PS

H

Z fa

O

CD

3

t3

CD

rH

-P

O

X

rH

CD

C

•H

•P

CD

CD

r-l

U

H

C

3

<D

CQ

M

H

D

3 "4-1

"

Ü

HD

M

C

CD

CD

a

<d o

S*

I <N

»H r-l

CN

I

•H

•O

O

CD

m

u

• C

CD

O

>

-H

C 3 3 O ft

CO CD C

•rH

CD rH

id

ja

CO

CD

TS

O

CD Cn C id

M

•p

HD

CD •P X

CD

CD

id

•p

c

CD

S

O

3

X!

O

O

-o

•p CD C

CD CD

01 >

i C0

id

c

id

CD

Xi u

V4 CD

rH

Xi

O CD

CD T

¡ M

CD

CD

M

T

¡ 3

HD O

4J

O

C

04

01

CD U 3 (D Xi © C

N

•H

| O

I

01

rj«

CD C

N U

3 •H

CD -O

Xi

G 3 0

0 r-J

*

H

C O •H •

P

id

•P

O ft CD

<<d

CD U

•H id

14-4 I

U •H

O >

id

01

CD

C CD

O > 3 CD -P (d

•p ¡H

o

CD

CD -O

•P •H (d

H

•P

CD

CD •

P

X

CD -P

3 CD

"S •p

W

O

en

CN

o I

I m

C

N

O

m •H

• TS

Xi

U id

o S

-H

CD

HD

01

-H

rH

-H

•P

3

•P

CD

CD

3

C

C

0

o

M

1-1

«<D

TJ

D

Q

U

id

rH

U

3

01

C

O •H

•P

id

rH

3

•P

•H

ft

id

u

S tó

CD

•a

G

O

•H

•P

id

01

•H

•P

s

p

0

4-1

C

•H

B

•H

s CD

•P

X

CD

•P

3

-a

<D

01

>i

rH

(d

£ «• CD

rH

O

!H

•P

C

0

u

01 CD U 3 CD

Xi *-i

O

O

I rH

CN I

•H

01

<0

CD

CD U O U

Xi

CD

3

CO

01 CD 3 O

1

/O)

Xi •p

o

-H

O

fi

O I

C

N

00

rH

CN

I

•H

•O

CD !H

C a) o

>

rH

O

CD ft

•H

U

C

•H

ft

C CD

CD KD C U

3 O

•P

u

o

ft

01

c

id

u

•P

CD

-a

CD

a

<d

>

rH

01

A

-P

0

C

¡H id

*&

C

-H

3

CD

01

!H

C

3 CD

0

ft 4J

CD

H

D

!H 01

3

-P

co

c 01

Id

id

-

H

T3

CD

3

M

-P

•P KD

«D

JH

3

3

*&

id

-

CD

G

U

A

01 -H

M

rH

3

O

-P

O

C

id

CD

-P p

j H

D

(D

rH

<o

M

-P

C

O

Ü

3

•O

C

0

•H

+J

o

CD

SH

U

O

U

CO CD V

I 3 CD

rC

co

o I rH

m

•H

C 3

01 CD U 3 CD 43

O

CN

C

N

O

rH

I

u

CD

•H

•o

o

CD

rH

<0

•P

C

O

U

(D

01

3

>i

•Ö

rH

id

c

id

C o

•H

+J

rH

O

CD

a) o

o

CD

•H en o

rH

O

-a

o

X!

-P

HD

S co CD U 3 CD

Xi en

CN

rH

O I I

CN

01 •H

CD •Ü

M

d) 3

U CD

Ü X

i U CD

l£>

S <-•

•H

Ü

CD >

,<

d i

,(D

10 >

i rH

id

c

id

c

CD

0

•p -J

CD O

•P

G

3 •O

C 0 -H

•p

I

G CD -H SH

id

-H en

O

>

•H

Í-I 3 CD

4J

ld

rH

4J U

»

O

ft

a> x

01 CD

>i

-rH

rH

id

-

G

id

a)

- T

3 CD

4

J

>!

CD

•P

CD

TS

CD •H en

3 O

-O rH

o

ai •O

oi

O

-H

X!

M

•P ft

HD

CD

S

K

01 CD U 3 CD

J3

CO

CM

O I

I

01

CD U

3

•H

CD

-a

Ä

3 CD vo

*n

rH

An

ne

xe

4 -

pa

ge

2

co eu

•u

i

CD »H «O

I 3 s ta

e 01

u CO a> o> (0

o> c (0 ça eu

u 3 (U

O CN

CN O I I

ta •*

eu •a

u

ai

s

U

0) <a

A c ai

co >

o u +J c o o v 3 >

C 0 >

s I «

2 •H 10 •p s 9> u o

•o

ai CD O» a o» c 10

01 »

H

(U 3

CN

O I

T3

Ä

B

3 VO

a>

<o v

xu

m

-u

0) C

oi

a) 0»«CU s

Ü a

a

rH jj

m

en

«

v

a

a) 4J

^ 0) r-l

eu

§3

10 ai

a 3

«H

ü

KD

•8o

33

c

a>

Q

3

o

0

•o

10

J

0)

4J

M

0)

•kl -

1

01

o

ai •P

M

"9

«

(0

Oi-

iO

m

§ r-l rH r-l

«

a» i

•0

4J

t

e ai

o -¿ 3

-P

•O

o

C

a>

>

a

H

J

•p

•0

~

O

X)

•H

-

^

i.

ai ai

m

-H

>i -U

r-l

3

m

o

o 3 a e o s •

H

01

§ O <d M-i

m ai

JS ë--4

-H

O*

O

ai a>

-u •a

a *

2

üg

o ai •

P

u ai

ai

m

m

o u 4-1 e o u ai

•o ai u c 10

<ai ca

o ci

CN o

i

co o

•H •

•O -fi

u id o

s —

o s I m 3 U 3 10 a

ai <ai r-4

A

2*

•P

S

e

s

o -

O

"O

3

•a e o •

H

•P

U ai u u o u

ca ai s ai

A en C

N >-l

o i i

en

•O

ai u

Ü

u

ai

s

u

3

ai

JC

VA

fH

i 3 m a>

H a 3 3 10 n

<eu

e o •H •

P

10 n •P

3 •P

ai

§ •H •

P

10 U û

i X

H

ta ai u 3 ai

A

CN I

O i m

o ai

~> u

3 •M

ai •o

A

3 ai io 1-3

,

H

ai

•P

0> s

•H

ai •a e u >

ë 10 u •p

X ai

s m en B

•H

13

X

(0

3 ai

id

A

a>

ca

a

<ai -P

n

o

ai 0)

1->

.3 3 ta

I

: a

a

ai

-H

o>

<o

a

<

H

en o

»

B

B

(0 (O

ai •

P

x ai •P

3

C5 ca

B

M

0

3

-H ai

0

-P

<0 U

3

J3 s

3

-H M-i

fl

U

O

•p

B ca

P •

H

-H

M

b

Q

(0

ca CD u 3 ai

o CN

"8 CD kl 3

M eu

"O

Ä

B

a) oo >

-<

I 8 4J 10

O IM ai ai

•a ai o

•H

U M ai x ai

s ca en B

•H

"O 10

ai A 4J U «

C0

h

3 "O C o •

H

p u

eu ai

u

<a

u

A

ca U) M 3 ai

CN O I

"O A

G 3 V0

rJ

-H

ai o> •o

S-ca

a> M

-H •d •

P

B a> o o •o ai

2 ai

u m ft

•P ai ai o» « CO

01

ca B ca ai

& en B 0 m ai

-. •o

-• ro

ai >

rH

01

O

-H

M

u

4-1

ai ai

o

CN CN

-H O I I

in

-* O

n T

Í •

•O -fi

id

o

S —

3 ca •

P

CD ca CD

a u •d

a 01 •p

M a co

s u co a)

h 3 co

co

a •d •

H

•• 5 b

co

Z

-H

1-4

0) ^

* 9

\ co

u •H

d)

>

-H

O

B

-H

M

•O id

3

U

id

co

s

•P

B

h

ci) ro

i a

u co

0 -H

•O fi

n 01

s

>o o

01

3,9 •-i id

ro

u

58 CO

dl 3 0)

CN J3

O i en

V0 ^»

fH

CO •H

01

•a

M

ai s

i-i ai

u A

M 0) v0

S

-H

<d •P x ai

s fi O fi O o ai tJ G 0)

U ai •P •P ai

•H

- ca

s ai >

o M m

4j

ai S

> o

-w u

-P u

ai ai

•a O

i CO

CU U

U CU

fi a.

>d HU

Ol w

"O cu u 3 ai

CN I

O I

01 r-

ai M 3 ai

A

•a 3 ai

VA 1-3 "-i

ai A U U ai A O ai M ai

•a ca 4-1 •H (d

•P

X ai

o •p

•p

B

ai

•H

• O

C

N

ca co o

\ s

-< 0

•H 1

4J

id

co

g 2 O

-H

<

u id

C

-P

u

•d

«M

CO

ai

3

D*

•H

•P

co

id

I-H)

Oi

n

ai

x eu

CU i-I •

O

>•*

C

-H

Oi

id u

CO

ai

tri

w

c

ai

I ai > id

ai

01

>

r-l id

S5

CN

O

00

*H

•H

"O

eu

u

•a

G

ai

>

01

ai

u

3

ai

A

O

CN

1

01

ai

u

3

eu

J:

es

v-4

ai A

U

U

eu

X u

eu

M

id

r-l

eu

"O

•P

ft

id

M

4-1

X

cu

m eu

•H

O» u

eu

t-H

) H

«

«

p-4

H

•H

U

3

s CD

>0

eu

t-H

r-l

•H

h

Ol

Ü

CD

>

•d

eu

0]

• • • fi

0

-4

4J

id

3

-H

<d

>

«eu

>0

•H

•d

CO

ca

cu

i

CO

ki

3

Q

CJ

3

t-i-

O

>H

«

S

CN

O

en

*-4

•H

•a

a>

s

id

ca

C

•H

b

01

eu

ki

3 ai £

O

^H

1

01

eu

ki

3

ai

A

co

An

nex

e 5

ß

c

<D

>!

0

S

l-l

«J

V

0

+J

0) cn

•1-1

M

ft

O) u

CM

*—t

GO

in «

CM

•H

m *

CO

t-»-i

m

en ^

o

m

C"«

^ n

Tf

o

•-t

en

o

TH

in *

m

^ u

«-t

«-H

0) c

c

(U

CM

r-

co

m

CM

n

CM

* *

* rt

CM

>-H

01

Od

D

O

U

oi

W

O

en

E-; <S

S o

01

w

«

eu

MU

c

c

«

(D

S

<<D

•A

3 <u

Q

-H

flj

•P

0

4J •

U

4J

C

0 Ü

<D

ro

lO

m

in ^

<a>

t-i

J"

<*

m ^

*-i

in *

m

CO

m

*-»

o

T-l

1

m

r-* m

ro

in ^

ro

»H

n

in

«•H

in *

m

m

ro

*-H

CO

CM

1

U

.0 c

0

u

CM

in

en in

m

m

CM

| T

H

*-H

in

o

in

M

C

o

y

u

m

CM

en <-i

o m

C

M

U

«

• J

H

X

H

a

<

o

tsi

2

¡Œ

S s

¡2

hC

<

• U

O

X

H

«C

• O

i H

á

• s

H

m

o

o

H

Ej

<

2

H

En

D

O

03

01

H

J

<

D

O

3 O

PQ

O

OQ

• S

M

%

CD

<