La Compâgnie Cîrconflexe

présente

La Guerre

estfinie

Théâtre de rueCréation 2017

Revisite bulresque de l’Odyssée d’Homère

Contact :diffusion@cirflexe.com

06 87 32 89 07

Spectacle écrit et mis en scène par :Yannick Petit-Jean

Assisté de :Christelle Jacquaz

Avec :Benoît CostaEmeline CoquetYannick Petit-JeanPhoto : Fleuric Dupau-Delmas - Avril 2017 - Festival Place Libre

RésuméL’Olympe ne fait plus recette. Zeus a donc eu une idée : ouvrir un bar ! Car comme il le dit si bien : « le divertissement, c’est la religion de l’avenir ! » Mais le Calypso n’attire qu’une clientèle de morts qui n’ont ni prières, ni sacrifices à offrir pour régler leurs consommations. Il faut dire que suite à la Guerre de Troie, les Enfers débordent. Un vivant est là pourtant, et ce depuis sept ans : Ulysse, an-cêtre de Rambo et vrai pilier de bar. Durant ses délires post-traumatiques, il convoque Cassandre, Hélène, Agamemnon... et prend le public à témoin en les confondant avec ses anciens bataillons. Mais rassurez-vous, tout finira bien avec l’arrivée de Pénélope...

Fiche de présentationsynthétiqueType de spectacle : Spectacle de théâtre de rue tout public à partir de 10 ansDurée du spectacle : 55 minutesJauge : 300 à 400 personnesBesoins techniques :• Deux prises de 16A/220 volts• Représentations diurnes et nocturnes possibles (les représentations nocturnes bénéficient d’une création lumière sur-mesure)

Autres informations techniques : Cf. fiche technique détailléeDImensions de l’aire de jeu :• Espace plat de 4m d’ouverture et de 4m de profondeur• Hauteur nécessaire de 2m50

Scénographie :Le spectacle réunit trois comédiens au-tour d’un décor de bar (composé d’un comptoir et d’un panneau de fond).Le public est installé directement au sol ou, si l’organisateur en met à dispo-sition, sur des chaises et des bancs. En tous les cas, l’espace de jeu se situe né-cessairement au même niveau que celui du public (autrement dit : pas de scène).De plus, la compagnie dispose de son propre matériel d’éclairage et de sono-risation. Ceci étant, les comédiens eux-mêmes ne sont pas sonorisés.Equipe en tournée : 3 comédiensPrix de vente : Nous contacter(diffusion@cirflexe.com / 06 87 32 89 07)

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La compagnieLa Compâgnie Cîrconflexe fait ses premiers pas dans le théâtre de rue durant l’été 2010 avec deux créations : Le trésor des bonimenteurs et Télé-friction, spectacles qui connaîtront l’un comme l’autre plusieurs vies.

Dès cette première saison, le choix est fait de jouer à la fois dans de petites communes ne disposant pas toujours de lieux de spectacle et dans des festivals. Le premier festival à accueillir la Compâgnie est celui d’Aurillac : une authentique aventure pour une troupe qui débute dans le domaine des arts de la rue !

En 2013 puis en 2014, Cîrconflexe explore de nouvelles voies avec un spectacle à mi-chemin entre le théâtre de rue et le théâtre itinérant, inspiré de la vie de la Compâgnie : Le (vrai) dépôt de bilan.

En 2016, la Compâgnie Cîrconflexe pose les bases d’une toute nouvelle création, pleinement destinée à la rue : La guerre est finie. Ce spectacle, inspiré de L’Odyssée d’Homère, met en scène toute une galerie de personnages et en premier lieu Ulysse, pilier de bar souffrant d’un syndrôme de stress post-traumatique lié à la Guerre de Troie. Durant l’été, une première maquette est présentée lors d’une courte série de représen-tations, notamment sur le festival Bastid’Art, dans le Lot-et-Garonne.

Début 2017, la Compâgnie Cîrconflexe achève la création de La guerre est finie. La première représentation a eu lieu à Montreuil le 16 avril 2017 lors du festival Place Libre organisé par la compagnie Acidu. Le Calypso a ensuite notamment accueilli le public de Chalon dans la Rue et celui du festival d’Aurillac.

Juillet 2017 - Festival Chalon dans la Rue(Chalon-sur-Saône, Saône-et-Loire)

La guerre est finieNote d’intentionQuel est le point commun entre une ville antique assiégée par des guerriers qui ressemblent à des touristes et un bar tenu par un couple de dieux déchus et dont la déco est restée bloquée dans les années 90 ? Entre un héros perdu comme personne et une belle - Hélène de son prénom - qui en a plus qu’assez d’être prise pour une poire ? Faut-il avoir peur d’un « psyclope » qui semble obnubilé par Œdipe ?... Et enfin, quel est le rôle que peuvent bien jouer des sirènes - surgelées ou non - pendant une soirée karaoké ?

Il faut dire qu’avec La guerre est finie, nouvelle création de théâtre de rue de la Compâgnie Cîrconflexe, nous avons fait le choix de revisiter l’un des mythes fondateurs de notre civilisation et de proposer une vision burlesque, fantaisiste et drôle de L’Odyssée d’Homère.

Notre histoire commence comme il se doit avec Ulysse... mais un Ulysse échoué dans un bar appelé « Le Ca-lypso ». Tel une île suspendue entre le passé et le futur, entre le monde des mortels et celui des immortels, ce bar est tenu par Zeus et Héra, dieux sans Olympe fixe depuis peu. Un lieu dans lequel des héros ordinaires viennent chercher leur dose d’oubli, un oubli mythique, mi-éthylique...

Ce sont donc les thèmes du traumatisme, de l’oubli et du retour au foyer qui sous-tendent l’écriture de La guerre est finie. Car dans la société qui est la nôtre aujourd’hui, nous portons tous notre propre traumatisme, que celui-ci soit guerrier, social ou amoureux. Ceci étant dit, et comme cela a été le cas avec les précédentes créations de la Compâgnie, nous souhaitons avant tout proposer un spectacle drôle et « faire les choses sé-rieusement sans nous prendre au sérieux » !

Yannick Petit-Jean, metteur en scène

ScénographiEPour la création du décor de La guerre est finie, nous avons fait appel à la plasticienne Delphine Trouche, qui a accueilli avec enthousiasme notre souhait de revisiter le périple d’Ulysse. Grâce à son expérience, à son sens de l’esthétique, mais également grâce à son humour, elle nous a rapidement suivie dans la vision à la fois contemporaine et décalée que nous souhaitions proposer d’un mythe qui peut paraître si loin de nous... et pourtant !

La guerre est finie se déroule dans un décor unique, celui d’un bar dont la décoration est entièrement inspi-rée des années 90. Ambiance Miami Vice, néons, couleurs fluo et chaîne en or qui brille sont au rendez-vous avec un second degré assumé qui nous permet - sans tomber dans le travers de la caricature - d’explorer le burlesque de personnages drôlement tragiques…

rapport au publicLa guerre est finie est conçu comme un spectacle de théâtre de rue fixe avec installation du public en de-mi-cercle. Ce public est invité à naviguer entre différents rôles au gré de l’état mental d’Ulysse : de clientèle du bar Le Calypso, il se retrouve soudain sollicité d’incarner l’armée grecque… avant de retrouver l’espace-temps du Calypso, un lieu qui, à l’usage, peut se révéler ne pas être de tout repos.

Cette installation en demi-cercle est rompue par l’intrusion dans le public de bon nombre de personnages : Héra qui, en tant que serveuse du Calypso distribue de véritables consommations aux spectateurs-victimes de la Guerre de Troie, mais également le Psyclope, dont l’une des obsessions est d’évaluer l’état de décom-position de ces mêmes victimes, ou encore Pénélope, papillonnant à la recherche d’un Ulysse qu’elle n’a pas vu depuis vingt ans et a bien du mal à reconnaître.

Mais le franchissement de la frontière qui sépare l’espace de jeu de celui du public ne se réduit pas à un simple enjeu scénographique. En travaillant sur l’intégration dramatique du public, notre volonté est de rendre plus sensible la problématique qui est celle d’Ulysse : perte des repères, perte de sens, questionne-ment sur sa place dans la société… Sans porter de jugement moral, sans apporter de solution miracle, nous voulons simplement rendre palpable la proximité qui nous unit à Homère et aux mythes fondateurs de notre civilisation, afin de créer un moment de partage et de rencontre.

costumes

Tout comme le décor, les costumes des personnages qui peuplent La guerre est finie sont inspirés des années 90 et plus particulièrement de la culture cinéma et télévisuelle de cette décennie.

Voici un aperçu des sources d’inspiration qui ont été celles de Delphine Trouche et la façon dont elle les a transposées pour la création des principaux personnages de La guerre est finie.

Héra et Zeuspatrons du bar« Le Calypso »

Février 2017 - Sortie de résidenceaux Z’Accros d’ma Rue (Nevers)

HélèneetAgamemnon

Août 2016 - Festival Bastid’Art(Miramont-de-Guyenne, Lot-et-Garonne)

Juillet 2017 - Fête de l’été(Ploeren, Morbihan)

PénélopeetUlysse

L’équipe

Yannick Petit-Jeanauteur, metteur en scène et comédien

Dans le cadre de sa formation à l’École de théâtre Les Enfants terribles, Yannick participe à plusieurs pièces : en 2003, Je persiste et Signe je m’appelle Jacques Brel, création et mise en scène de Valérie Antonijevich ; en 2004, Le parcours de Lotte de Botho Strauss, mise en scène de Michel Lopez ; en 2005, Le songe d’une nuit d’été de William Shakespeare, mise en scène de Fabrice Eberhard, Kroum l’ectoplasme de Hanokh Levin, mise en scène de Maxime Leroux et Les papillons de nuit de Michel Marc Bouchard, mise en scène de Maxime Leroux.Une fois sa formation terminée, il participe une première fois au Festival de Col-lioure, sous la direction de Fabrice Eberhard, et joue dans Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare.

Il multiplie les expériences en animant des ateliers-théâtre en maison de retraite et en partant en Inde afin de participer à l’International children’s festival of performing arts (New Delhi). De retour en France, il joue au Théâtre du Nord-Ouest ainsi qu’au Sudden Théâtre dans Coriolan de Shakespeare, mise en scène d’Audrey Sourdive, avant de collaborer une nouvelle fois avec Fabrice Eberhard en 2009. Il joue alors dans L’Avare de Molière. En parallèle, il participe à la Compâgnie Cîrconflexe depuis sa création.

Emeline Coquetcomédienne

Emeline suit l’enseignement de l’École Internationale de Théâtre Jacques Lecoq avant d’intégrer l’École des Enfants Terribles en 2006. En 2008, elle joue au Théâtre des Enfants Terribles dans Vous connaissez mon beau-frère ? mis en scène par Fabrice Eberhard. Cette participation lui permet d’intégrer la Compagnie du Boramar en 2009, compagnie créée et dirigée par Fabrice Eberhard. Elle participe alors à la VIe édition du Festival de Théâtre de Collioure, dont Fabrice assure la direction artistique. Elle y est à la fois comédienne (dans L’Avare de Molière) et chargée de communication. En parallèle, elle fait ses premiers pas en tant que conteuse au sein du Théâtre de Bob.En 2010, elle joue dans L’Eveil du printemps de Franck Wedekind avec la compagnie Après nous le déluge. C’est cette même année qu’elle intègre la Compâgnie Cîrconflexe. Depuis, elle a participé à la création de l’ensemble des spectacles de Cîrconflexe. En 2017, elle intègre la compagnie Ladgy Prod et y fait ses premiers pas en tant que marionnettiste dans le spectacle jeune public Plouf !.

Benoît Costacomédien

Après un DEUG en Sciences Humaines et Sociales, Benoît change de voie et se forme pen-dant deux ans au Studio 34, aux cours de Valia Boulay, Philippe Brigaud et Jacques Garsi.Dès la fin de son cursus, il enchaîne les expériences théâtrales dans plusieurs com-pagnies, dont la création pluri-artistique Défense d’entrer de Faustine Berardo, les pièces d’Alexis Ragougneau (Les Chaises Electriques, Bastringue, Les Iles Ker-guelen...) ou encore Arthur Rimbaud, rives de papier d’Elodie Poincet et Claire Chevalier, mais aussi les projets cinématographiques, dont les courts-métrages de Rémy Jaladieu, Fabien Tran Minh ou Tom Gutt, et récemment la première saison de Room service, web-série de dix épisodes réalisée par Simon Ménard.Personnalité touche-à-tout, il coréalise avec Joelison Rasolomanana le clip Jour

de Pluie pour le groupe Munshy. Il devient également le régisseur général de La Nébuleuse d’HIMA, collectif musical et visuel, tout en continuant l’écriture de scénarios et de nouvelles. Il intègre Cîrconflexe fin 2016 et endosse le marcel rose d’Ulysse.

Delphine TroucheArtiste peintre et plasticienne

Née en 1982 à Avignon. Vit et travaille à Paris.Delphine a passé ses étés à la Grande-Motte en rêvant de Miami Beach. Sa peinture absorbe donc naturelle-ment ces fantasmes tropicaux, imprimés kitsch et fluorescences eighties.Elle développe une peinture résolument abstraite bien que les signes qui s’y combinent soient parfois figura-tifs. Ces signes – ou objets - sont des fantômes de la mémoire populaire collective : à peine sont-ils énoncés qu’ils changent immédiatement de statut, tels les palmiers, souvent représentés, qui sont tour à tour trame, icône, vignette, silhouette colorée. Si ces objets - ou signes - peuvent évoquer une narration, l’absence de contexte les en éloigne. Par leur isolement, ils laissent la place à la fiction intime.C’est la couleur ici le vrai maître, Grand Architecte de paysages abstraits, sentimentaux, non gravitationnels, auratiques.Afin de sortir d’un éventuel formatage lié au médium, l’artiste joue avec des blocs de l’histoire de la peinture abstraite, moderniste et géométrique à l’image des éclats et débris représentés dans ses œuvres. Explosive, colorée et plurielle, sa peinture est à la recherche d’un ailleurs où la dimension physique et métaphysique règne.C’est donc tout naturellement que Delphine a rejoint la création de La guerre est finie et a mis ses talents au service d’un décor qui intègre justement un splendide palmier rose dont la silhouette se découpe grâce à une guirlande lumineuse…Site : delphinetrouche.com

CHristelle JacquazAssistante à la mise en scène

Comédienne-actrice, cascadeuse et modèle-vivant, Christelle a commencé sa formation en Suisse, avant de partir aux Etats-Unis puis en Espagne, pour s’ins-taller ensuite à Paris. Elle y a suivi divers cours de théâtre, parmi lesquels Péri-mony et Les Enfants Terribles.Elle a tourné pour Nina Companeez, Julien Seri, Patrick Alessandrin, Pierre Isoard... et a joué sur scène sous la direction de Valérie Antonijevich, Charlotte Rondelez, Fabrice Eberhard…En parallèle, et ce depuis 2011, elle a mis en scène dans des églises trois ora-torios composés par Olivier Rossel (Compagnie Abigail) et au Théâtre de Nesle, puis au Pixel Théâtre L’Aide-Mémoire de Jean-Claude Carrière. Christelle rejoint Cîrconflexe fin 2015.

16 juin 2018 - Festival Les Nocturbaines (Paris)Photo : Fanny Jacquet

Extraits de texteZeus (au public) : Besoin de rien ?

Ulysse : Ah si !Héra (qui jusque là ignorait Ulysse) : Quoi !?Ulysse : Un petit verre ne serait pas de refus.

Héra (à Zeus) : Qu’est-ce qu’il fait encore là, lui ? (En attrapant Ulysse par le col pour le faire sortirdu bar) : Allez, le poivrot, dehors !Ulysse : Mon nom est personne !

Zeus (rattrapant Héra) : On a un mortel toujours vivant qui croit encore en nous et toi, tu veux le virer ?Ulysse : Si je puis me permettre… Je suis plutôt un agnostique pessimiste, c’est-à-dire que je crois en une

force supérieure qui nous veut du mal. (A Héra, montrant son verre qui est vide) Mon cheval pour un verre servi avec le sourire. Tu me l’ajoutes à mon ardoise, ma déesse ?

Héra : La maison ne fait pas crédit aux agnostiques !Ulysse : Qu’est-ce que je disais ! Une force supérieure qui nous veut du mal !!…

Zeus : C’est bon Héra, c’est pour moi !Ulysse : Merci camarade !

Héra : Camarade ? De mieux en mieux !

Ulysse (à Agamemnon) : Tu dis aux Troyens qu’ils ont gagnés.Agamemnon : Ok !Ulysse (à Agamemnon qui s’apprête à partir) : Attends ! Tu leur fais CROIRE qu’ils ont gagné ! Ensuite, vous allez vous cacher, je me déguise…Il met la tête de cheval.Agamemnon : En âne.Ulysse : En cheval ! En cheval de Troie !! Ensuite, tu m’offres en présent aux Troyens et le soir venu, quand ils seront trop bourrés d’avoir fêté leur victoire, je vous ouvre les portes et vous en entrez dans la ville.Agamemnon : Et on fait quoi une fois dans la ville ?Ulysse : Une fois dans la ville…? J’sais pas moi… On fait du shopping, on visite les monuments historiques et s’il y a un appart qui nous plaît, on en profite pour l’acheter.Agamemnon (une nouvelle fois prêt à partir) : Ok !Ulysse : Mais tu es débile ou quoi ? Une fois à l’intérieur, on les massacres, on les trucide, on génocide !Agamemnon : Et tu as besoin de te déguiser en âne pour ça ?Ulysse : En cheval ! Un cheval de Troie !!Agamemnon (après un temps de réflexion) : Et l’appart on l’achète ou pas ?

Ulysse : Qu’est ce que ça veut dire ?Polyphème : Que vous voulez coucher avec votre maman !

Ulysse : Pardon ?Polyphème : Votre maman, vous la désirez ?

Ulysse : Pas du tout ! Écoutez, je crois qu’il y a un petit malentendu… La seule question que je me pose, c’est comment retourner à Ithaque.

Polyphème : Pour retrouver votre maman et lui faire l’amour !!Ulysse : Elle est morte ma mère !

Polyphème : Nécrophilie ! De mieux en mieux !Ulysse : Vous êtes malade !

Elle prend une paire de ciseau dans son panier et la tend à Ulysse.Polyphème : Tenez ! Et vous ferez tourner aux autres quant vous aurez fini !

Ulysse (en prenant les ciseaux) : Qu’est-ce que vous voulez que je fasse de cette paire de ciseaux ?Polyphème : Que vous vous creviez les yeux.

Ulysse : Qui est-ce qui se crève les yeux ?!Polyphème : Les tarés qui veulent coucher avec leur mère .

Ulysse : Mais je ne veux pas coucher avec ma mère ! Je veux juste rentrer chez moi !Polyphème : Pour tuer votre père !

Ulysse : Quoi ? Mais non, je l’aime, mon père !Polyphème : Je vois...

Ulysse : Vous voyez quoi ?Polyphème (avec un sous entendu) : Vous aimez votre père…

Fiche technique détailléeType de spectacle : Spectacle de théâtre de rue tout public (à partir de 10 ans)Equipe : 3 comédiensDurée : 55 minutes (Possibilité d’enchainer deux représentations. Le cas échéant, prévoir un minimum d’1h30 entre la fin de la 1ère représentation et le début de la 2e)Jauge : 300 à 400 personnesSonorisation :Les comédiens ne sont pas sonorisés et le choix d’un lieu relativement intimiste est donc souhaitable. Ceci étant, une paire d’enceintes (LD PLAY 12A) est installée de part et d’autre du décor pour le passage d’une bande-son.Le branchement de ces enceintes nécessite une prise 16A/220V.La régie son est assurée par les comédiens, de l’arrière du décor.Lumière :Représentations diurnes et nocturnes possibles. Les représentations nocturnes (ou tout du moins à la tombée de la nuit) bénéficient d’une création lumière sur-mesure. Le matériel d’éclairage est fourni par la Compâgnie et nécessite une seconde prise 16A/220V : • Face : deux projecteurs MULTIBEAM 600W sur pieds,

• Avant-scène : deux projecteurs PAR 56 LED,• Contre : un projecteur PAR 56 LED complémentaire,• Et un bloc de puissance compact DMX 4x4A avec PC10/16A.

A noter qu’il est préférable d’attribuer à la sonorisation et à l’éclairage des prises qui dépendent de circuits d’alimentation indépendants l’un de l’autre.Tout comme pour le son, la régie lumière est assurée par les comédiens, de l’arrière du décor.Récapitulatif des besoins techniques :

• Lieu intimiste• Représentations diurnes ou nocturnes• Deux prises de 16A/220 volts(appartenant à des circuits d’ali-mentation indépendants)

Espace scénique :• Espace plat de 4m50 d’ouver-ture et de 5m50 de profondeur• Hauteur nécessaire de 2m50• Le décor est constitué d’un bar et d’un fond de scène qui fait office de coulisse

Montage et mise : 45minDémontage : 45minContact technique :technique@cirflexe.comSchéma d’implantation :Ci-contre

En 2016, Ulysse a buses premiers verres...

21 mai : Tremplin CIRéZIK (Saint-Colomb-de-Lauzun, Lot-et-Garonne)4 juin : Jardin partagé ECObox (Paris 18e)

29 juillet : Nantheuil (Dordogne)30 juillet : 13e festival Saint-Chély d’Arte (Saint-Chély-d’Apcher, Lozère)

2 août : Alénya (Pyrénées-Orientales)3 août : Festival Bouillon de Culture (Saillagouse, Pyrénées-Orientales)

Du 4 au 7 août : 22e Festival Bastid’Art (Miramont-de-Guyenne, Lot-et-Garonne)

Représentations 201716 avril : Festival Place Libre

Montreuil (Seine-Saint-Denis)7 juillet : Fête de l’été de Ploeren (Morbihan)

14 juillet : Festival Quartiers Libres à Etaples (Pas-de-Calais)Du 20 au 23 juillet : Festival Chalon dans la Rue

(Chalon-sur-Saône, Saône-et-Loire)1er août : Guissény (Finistère)2 août : Quéven (Morbihan)

Du 23 au 26 août : Festival d’Aurillac (Cantal)8 septembre : Guinguette Pirate(Montreuil - Seine-Saint-Denis)

9 septembre : Estivale d’Hermeland(Saint-Erblon, Ille-et-Vilaine)

Représentations 201824 avril : Le Bourget (Seine-Saint-Denis)

10 juin : Festival Sous les Pêchers la Plage, Montreuil(Seine-Saint-Denis)

16 juin : Festival Les Nocturbaines (Paris 20e)6, 7 et 8 juillet 2018 : Festival Sorties de Bain, Granville (Manche)

18 juillet : Lesneven (Finistère)19 juillet : Hédé-Bazouges (Ille-et-Vilaine)

Du 22 au 25 août : Festival d’AurillacCollectif Mireille Cauchier

15 septembre : Festival La Valse des AsValréas (Vaucluse)

6 octobre : Tocane-Saint-Apre (Dordogne)16 novembre : Chaville (Hauts-de-Seine)

Fin 2018 : Théâtre El Duende, Ivry (Val-de-Marne) – Option

Août 2016Avec comme support la Guerre de Troie et Ulysse, Yannick Petit-Jean, acteur de la troupe, a revisité L’Odyssée à sa manière et en a fait un spectacle dé-

lirant. « J’ai relu Homère et je me suis aperçu que tout en étant très loin, celui-ci n’en est pas moins très proche de notre siècle », dit-il. On y retrouve Ulysse, alcoolique dont l’armé a mangé le cheval, ne lui laissant que la tête, Agamemnon, Hélène, folle de son corps, et Pénélope, en mégère.Un spectacle hilarant et déjanté qui se passait au Calypso-Bar et se termine par les retrouvailles d’Ulysse et Pénélope.

Août 2018La Compâgnie Cîrconflexe a tiré les oreilles de ce brave Homère avec un relookage de son Odyssée. Les personnages, comme Ulys-se, Zeus, Pénélope, le cyclope Polyphème, les sirènes… y sont pré-sents, mais c’est un bar des années 90 la scène centrale ! Les trois acteurs en tirent une mise en scène burlesque et La guerre est finie fait fi des dieux et des croyances avec délectation.

Lu dans la presse

Juin 2018 (TT)Cela fait sept ans que la guerre de Troie

est finie, mais l’Olympe n’est pas redevenue cette villégiature pai-sible où les dieux aimaient festoyer et contempler le monde. Zeus décide donc d’ouvrir un bar. Malheureusement, peu sont enclins à payer l’addition. Même pas une petite prière ou un sacrifice de temps en temps. Ulysse, devenu un pilier de bar, vit aussi à crédit. Il n’est pas prêt de rentrer à Ithaque. Il fallait la folie douce de la Compâgnie Cîrconflexe pour transposer dans une ambiance Mia-mi Vice, aux couleurs fluo, L’Odyssée d’Homère, l’un des poèmes fondateurs de notre civilisation. Yannick Petit-Jean et ses facétieux acolytes incarnent, avec une fantaisie décomplexée, toute une sé-rie d’aventures invraisemblables. Irrésistiblement drôle !

Thierry Voisin

Juillet 2017 - Festival Chalon dans la Rue

10 juin 2018Festival Sous les pêchers la plage, Montreuil

Informations pratiquesLa Compâgnie Cîrconflexe est une association loi 1901.

Siège social : Maison des Associations – 41-43 rue Raymond du Temple – 94300 VincennesNuméro de Siret : 483-169-124 00029

Code NAF : 9001ZLicences d’entrepreneur de spectacle : 2-1106919 et 3-1106920.

Pour en savoir plus sur la Compâgnie, le mieux, c’est encore de visiter notre site internet :www.cirflexe.com

Et si vous souhaitez contacter la Compâgnie, vous avez le choix :Vous pouvez nous envoyer un mail : contact@cirflexe.com

Ou contacter directement notre chargée de diffusion : 06 87 32 89 07 / diffusion@cirflexe.com

Nous serons ravis de répondre à toutes vos questions !

SoutiensLa Compâgnie Cîrconflexe est soutenue par :

La Mairie de Vincennes (Val-de-Marne)Mme Laurence Abeille, députée du Val-de-Marne

(dans le cadre de sa réserve parlementaire 2017)L’agence locale Bords de Marne du Crédit Agricole

La compagnie Sham(Le Bourget, Seine-Saint-Denis)L’association Bastid’Art

(Miramont-de-Guyenne, Lot-et-Garonne)Le Centre de Création Artistique et Technique NIL OBSTRAT

(Saint-Ouen-l’Aumône, Val d’Oise)L’Association Alarue et les Z’Accros d’ma Rue

(Nevers, Nièvre)