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Revue de la paroisse Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus des Hauts du Lyonnais

N°261 / mars 2020 / Trimestriel

www.paroisse-sainte-therese-69.fr

AVEIZE - COISE - DUERNE - GRÉZIEU-LE-MARCHÉ - LA-CHAPELLE-SUR-COISE - LAMURE - LARAJASSE - L’AUBÉPIN - MEYS - POMEYS - ST-ANDRÉ-LA-CÔTE - ST-MARTIN-EN-HAUT - ST-SYMPHORIEN-SUR-COISE - YZERON

PâquesPâques

Retrouvez Retrouvez également les également les religieux de religieux de nos villagesnos villages

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ÉDITOPAGE

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LA VIE DE LA PAROISSEChrist ressuscité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4A la croisée des routes . . . . . . . . . . . . 5Préparation au baptême . . . . . . . . . . . 6Temps fort au Centre Médical . . . 6Première communion . . . . . . . . . . . . . . 7Séparés / Divorcés . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8

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DOSSIERLes religieux de nos villages

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JOIES DE TOUSPEINES DE TOUS

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VIE DES VILLAGESAveize . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18Les 3 Clochers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19Saint Martin en Haut . . . . . . . . . . . . . 20Grézieu le Marché . . . . . . . . . . . . . . . . . 21La Mure . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22Coise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22

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INFOS, CONTACTPAGE

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SommaireSommaire

Revue Présence N°261 / mars 2020

Revue de la paroisse Sainte-Thérèse de l’Enfant Jésus des Hauts du Lyonnais

Directeur de la publication : Père Ollagnier

Comité de rédaction : Thérèse Zouaoui, Rose Marie Abba, Marie-Thérèse Ragey, Jean-Pierre Jouve

Présence : 12, place de l’église - 69850 St-Martin en Haut Tél . 04 78 48 61 20

Conception graphique et impression : IML Communication - 69850 St-Martin-en-Haut Tél . 04 78 19 16 16 - www .iml-communication .fr

Dépôt légal : A parution / ISSN : 1953-3721

Crédit photos : Présence, sauf mention contraire

➔ PROCHAIN SUJET

L’argent Textes à rendre avant le 18 mai 2020 . paroisse .presence@gmail .com

CÉLÉBRATIONS DE PÂQUES

Dans cet encart, nous annoncions les célébrations de Pâques.

Compte-tenu des directives, nous savons qu’aucune célébration ne pourra avoir lieu. Nous vous recommandons, pour ceux qui le peuvent, de suivre l’actualité de l’Eglise et de notre paroisse sur le site : http://paroisse-sainte-therese-69.fr

Nous resterons ainsi en communion de prières avec tous les chrétiens du monde qui prient pour que Dieu soit aux côtés de ceux qui souffrent et de ceux qui soignent et pour qu’il éloigne de nous ce fléau.

NOS RELIGIEUXEN IMAGES

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ÉditorialÉditorial

Merci à toutes celles et ceux qui, dans le numéro précédent ou dans celui-ci nous ont fait partager leur « oui »à la vie religieuse . Nous retrou-verons parmi les témoignages, des hommes qui se sont engagés dans la spiritualité des Maristes .

Réjouissons-nous d’avoir sur le ter-ritoire de la Paroisse le très beau site de La Neylière, lieu de vie d’une communauté vivante et rayonnante de Pères Maristes, sans doute à l’origine de plusieurs vocations . Cette maison est un lieu de tradition rappelant les origines de la congré-gation . C’est un lieu d’accueil et de rencontres proposant des sémi-naires, des conférences, …ouvert aux amis et visiteurs qui peuvent se joindre aux offices . La présence mariste est aussi marquée dans la région par plusieurs établissements portant le nom de Champagnat . Marcellin Champagnat fut le fonda-teur de la congrégation des Frères Maristes qui ont largement par-ticipé à l’éducation des enfants sur plusieurs générations . Nous connaissons les calendriers propo-

sés par ces écoles qui ont grands succès grâce à leurs chiffres bien visibles, leurs belles illustrations et leurs prières à Marie .

Rendons grâce pour toute la richesse de ces vies religieuses, rat-tachées à diverses congrégations, qui ont éclot dans nos Monts du Lyonnais . Renonçant à une vie de famille, ces hommes et ces femmes, en lien très fort à Dieu, ont donné leur vie au service du prochain . Ils sont des témoins de la présence de Dieu parmi nous, vivant, ressuscité et qui a besoin de nous pour conti-nuer son œuvre parmi les hommes .

Chacun de nous est appelé à se faire témoin actif de l’amour de Dieu . Les religieux le sont dans leurs actions auprès des plus petits et des plus nécessiteux mais nous pouvons tous le devenir à notre niveau . Comme les enfants du caté témoin de la tendresse de Dieu auprès des plus fragiles au centre de l’Argentière ; comme tous ceux qui s’engagent sur « les routes » de réflexion pro-posées par la paroisse pour rendre

notre Eglise plus présente, plus atti-rante, plus ouverte à tous…

Au pied de la croix Jésus a confié Marie au disciple qu’il aimait et il a confié Jean à sa mère .

Lui qui ne serait plus présent à eux de la même manière a voulu qu’ils posent ensemble les bases de l’Eglise . Nous sommes tous ce disciple que Jésus aime et à qui il confie sa mère . Nous recevons tous Marie comme exemple : penser, juger, sentir et agir en toutes choses comme Marie c’est la spiritua-lité mariste . Elle peut éclairer notre approche de Pâques si, à la manière de Marie et en union avec tous les religieux qui consacrent du temps à la prière, nous savons nous mettre à l’écoute du christ ressuscité .

Que la joie de Pâques puisse être dans le monde un signe de renou-veau après les temps difficiles que vit la planète toute entière .

Marie-Thérèse RAGEY


Tous témoins du Ressuscité !Ce numéro de Présence, comme prévu, va nous permettre de continuer la présenta-tion d’autres religieux et religieuses issus de chez nous (suite du n° de sept 2019).

VOTRE ENCART PUBLICITAIRE iciRenseignements : 04 78 19 16 16


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La Vie de la ParoisseLa Vie de la Paroisse


Pour mieux appréhender la fête de Pâques, nous vous proposons en quelques paragraphes de resi-tuer la genèse de notre Foi dans l’histoire du peuple de Dieu.

Dieu a voulu l’homme debout et libre . Et de la plus lointaine des époques l’homme a cheminé très souvent orgueilleusement, maladroitement, brisé et exténué, en opposition avec son Dieu . A travers le temps l’hu-manité s’est affrontée à Dieu tout en l’appelant à l’aide ! Malgré Abraham, … Moïse, … Isaïe, … et tous les pro-phètes ce peuple à la tête dure se détourne souvent de son Seigneur . Et l’on suit ses errements tout au long des soixante-treize livres de la Bible, et plus particulièrement des quarante-six livres qui constituent l’Ancien Testa-ment, l’histoire du monde ancien .

Or voici qu’un temps nouveau s’an-nonce celui du Messie attendu depuis des millénaires . L’annonce faite à Marie en est le premier signe . Et voici que la rencontre extraordinaire, entre Marie, future mère de Jésus et Elisabeth, future mère de Jean (Le Baptiste), marque de façon irré-vocable la naissance de l’Humanité Nouvelle . Elisabeth symbole d’un monde ancien prêt à disparaitre s’in-cline face à Marie la mère du monde nouveau : « tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni » .

Jésus qui nait pauvre est pourtant reconnu aussitôt comme la lumière du monde par les bergers et les mages, et comme un rival par Hérode . Avec Joseph et Marie il vivra quelques temps en immigré en Egypte, « D’Egypte j’ai appelé mon fils » avait dit le prophète . Puis Joseph va s’ins-

taller à Nazareth, ainsi sera accomplie la parole des prophètes « Il sera appelé Nazaréens » … On ne sait rien ou presque de son enfance ou de son adolescence, hormis son escapade auprès des docteurs de la Loi dans le temple : « Comment se fait-il que vous m’ayez cherché ? Ne saviez-vous pas qu’il me faut que je m’occupe d+es affaires de mon Père ? » .

Vers 30 ans Jésus reçoit le baptême que Jean administre pour le pardon des péchés à ceux qui reçoivent son message, en une immersion dans l’eau vive qui prépare au règne mes-sianique . La vie publique de Jésus

débute ainsi . Relatée par les évan-giles sa prédication et sa vie nous conduisent à la connaissance de celui qui est vrai Dieu et vrai Homme . A travers ses voyages, ses paroles, ses miracles, Il appelle tous les hommes à une vie nouvelle dans l’Amour de Dieu et du prochain… Cependant vécu comme dangereux agitateur par le pouvoir juif de son époque, Il

est arrêté, condamné, et meurt cru-cifié . Ses disciples sont désorientés, déçus, angoissés, ils avaient mis tant d’espoir en lui sans souvent bien comprendre ce qu’Il leur avait expli-qué, souvent en paraboles, « Mon Royaume n’est pas de ce monde » … « Détruisez ce temple, et en trois jour je le relèverai . » …

A l’aube du troisième jour Il est vivant ressuscité ! La résurrection de Jésus est un véritable séisme pour ses disciples, pour chacune et chacun de nous. C’est l’Extraor-dinaire de notre Foi, c’est l’appel à la vie en plénitude. Pâques est la solennité la plus importante (juste devant Noël) pour les chrétiens. Si nous ne croyons pas à la Résurrec-tion de Jésus, le Christ, alors notre Foi est vaine. Pourquoi ne pas méditer la simplicité de la parole de Sainte Bernadette à ses détrac-teurs : « Je ne suis pas chargée de vous le faire croire. Je suis chargée de vous le dire ». En effet nous res-tons libres de dire et de croire que :

« Christ est ressuscité, Oui, il est vraiment ressuscité, Alléluia ! ».

N.B - On ne compte plus le nombre d’articles et d’enquêtes publiés sur le Saint - Suaire, le fameux linceul qui aurait enveloppé le corps de Jésus-Christ après sa descente de la croix. Si la documentation sur le sujet est assez conséquente, une étude récente publiée par le docteur Bernardo Hontanilla Calatayud, directeur du service de chirur-gie plastique, reconstructive de la clinique universitaire de Navarre (Espagne) apporte un éclairage nouveau. Sa thèse : « la figure qui apparaît dans le linceul ne correspond pas à une personne inerte, comme on le croyait jusqu’à présent, mais à une personne vivante qui se lève ».

Robert Ville

« CHRIST EST RESSUSCITÉ, OUI, IL EST VRAIMENT RESSUSCITÉ, ALLÉLUIA ! »


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À LA CROISÉE DES ROUTES

PARTAGER LA PAROLE DE DIEU ET LA VIVRE

• Dans le cadre du projet des 4 routes mis en œuvre au sein de notre paroisse, Le groupe par-tager la Parole et la vivre vous propose durant le carême, la lecture de l’Evangile une demie heure avant la messe, dans l’église, avec 2 animateurs . (Voir agenda) .

• Il ne s’agit pas de remplacer le tra-vail réalisé par l’équipe liturgique du jour mais de proposer à tous ceux qui le désirent l’Evangile du jour pour mieux s’en rappeler et le vivre au cours de notre semaine .

• Continuer le groupe partage d’évangile aux Charmattes

RENOUVEAU DE NOS CELEBRATIONS

• Proposer de temps en temps des messes différentes : une première messe autrement a eu lieu en novembre . Une prochaine messe est proposée dans l’agenda .

• Réfléchir sur les besoins des équipes liturgiques (voir agenda) .

SORTIR ET ALLER A LA RENCONTRE DE L’AUTRE

• Témoignages sur les collectifs ou groupes existants : Migrants (apéro chantant le 9 février à la salle des arcades) – Croix-rouge (banque alimentaire) – CMR (ali-mentation solidaire) – HEPAD et fraternité vécue .

• Rencontre vécue le 19 jan-vier à l’église de l’Annonciation Lyon Vaise : Séparés, divorcés, en nouvelle union et ceux qui les entourent avec Mgr Michel Dubost et Françoise BLAISE psy-chologue .

• Projet de groupe de parole pour

les personnes en deuil avec une psychologue Dominique NODIN .

A LA RENCONTRE DES JEUNES

• Une rencontre avec les lycéens de Champagnat a eu lieu le 9 janvier : les jeunes proposent d’animer une messe le 15 février à St Symphorien – une messe de lan-cement des BOBS – une messe de retour des BOBS de Lourdes . Pour eux rejoindre l’Eglise passe avant tout par le SERVICE (bobs – visites de personnes âgée en résidence…

• Valoriser ce qui existe : le MEJ – la participation des familles aux messes (Avent - Noël – semaine Sainte …)

• Lancement d’un SPIRIT-BRUNCH (voir agenda) .

• Comment rejoindre les jeunes familles de 30 à 45 ans ?

• Réflexion à porter autour de la mise en place d’une aumônerie paroissiale

Les routes restent ouvertes à tous ceux qui souhaiteraient intégrer un groupe !!! contact : 04.78.48.61.20

L’équipe d’animation pastorale

Le samedi 1er février, 52 personnes étaient présentes pour ce premier carrefour des quatre routes lancées le 28 septembre 2019 :

AGENDA

Voici ce que les différents groupes souhaitaient

proposer :

• Dimanche 8 mars à 10h en l’église de Saint Martin en Haut, Découverte et partage d’évangile suivie de la messe à 10h30 .

• Dimanche 15 mars à 9h30 en l’église de Pomeys, Décou-verte et partage d’évangile suivi de la messe à 10h .

• Samedi 28 mars de 9h30 à 11h30 à St Martin (lieu à défi-nir) : Rencontre des équipes liturgiques de l’ensemble paroissial .

• Samedi 25 avril messe à 18h en l’église de la Chapelle sur Coise avec partage d’évangile . Un pique-nique partagé est proposé après la messe .

• Dimanche 15 mars de 11h à 13h : « Spirit Brunch » dans le bâtiment de la cure de POMEYS pour les jeunes de 17 à 30 ans . (Apporter sucré ou salé pour le brunch partagé) tel . C . MARTIN : 07 .60 .44 .98 .07

• Mercredi 24 juin à 18h30 : pro-chaine croisée des routes suivi d’un repas partagé . (Lieu à confirmer) .



Le samedi 11 janvier à la chapelle de la providence à Larajasse, Charline CUISSARD de Grézieu le marché, LeÏa GIAUFFRET de Duerne, Victoria CARADEC, Zoé et Marin ROUSSEAU de St André la Côte vivaient l’accueil en Eglise avec leurs familles et groupes de caté puis le dimanche 9 février devenaient catéchumènes avec le signe de la croix et la remise de la parole pour la route.

Cette 2ème étape a été vécue lors de la messe dominicale en l’église de COISE où les enfants, entourés des animateurs paroissiaux et de leurs familles étaient accueillis cha-leureusement par l’équipe liturgique .

La troisième étape sera vécue le samedi 14 mars à la chapelle de la providence autour du rite péniten-tiel . La quatrième étape, qui est le sacrement du baptême sera vécue pour Leïa lors des premières com-munions le 3 mai à AVEIZE, pour Victoria, Zoé et Marin lors des pre-mières communions le 21 juin à ST ANDRE LA COTE et pour Charline suivant le choix de la famille .

La préparation se fait pour les enfants avec Severine Hasler, Emi-lie Granjon et Véronique Lucet, pour les parents avec Christiane Martin, responsable de la catéchèse et le Père Guy Ollagnier . Pour tous ren-seignements pour les baptêmes d’enfants de 7 à 12 ans vous pou-vez contacter Christiane MARTIN au 07 .60 .44 .98 .07

5 ENFANTS DE 7 À 12 ANSSE PRÉPARENT AU BAPTÊME !

6 Revue Présence N°261 / mars 2020


Une manière de vivre pleinement le thème de la tendresse vu en catéchèse a été de le concréti-ser en découvrant la souffrance des autres et en partageant de vrais instants de tendresse !

Cela en confectionnant ensemble des bonhommes tendresse tout en échangeant sur les faits divers trouvés dans les journaux et en par-tageant deux chants « Toi + moi »

« On écrit sur les murs » et un goûter .

Des patients avec des visages plu-tôt éteints se sont mis à sourire… D’autres qui n’ont pas beaucoup de réaction par rapport à leur entou-rage se sont émerveillés…chacun s’aidait mutuellement… De petites larmes ont perlés le long de joues qui n’avaient pas, depuis très long-temps côtoyés des enfants ! Quel bonheur !

RÉFLEXION D’UNE FAMILLE DE PATIENTS

« J’ai assisté hier à une parfaite après-midi de partage. Il régnait une fébrilité créative et une joie com-mune de participer incroyable. Je regardais aussi le regard des autres malades plus passifs, je voyais leurs yeux admiratifs et pleins d’amour sur les enfants ! C’était comme s’ils sortaient d’un profond sommeil et

TEMPS-FORT AVEC LE CENTRE MÉDICAL DE L’ARGENTIÈRE LES 5 ET 12 FÉVRIER

« ON BRICOL’,ON DISCUT’ & ON CHANT’ENSEMBLE AVEC LES CM1 DE GROUPE KT »


7Revue Présence N°261 / mars 2020

La Vie de la ParoisseLa Vie de la Paroissed’un seul coup se réanimaient et revenaient à la vie et au bonheur. Cette transformation de leur attitude et la démonstration de leur présence effective et de leur participation pleine et entière m’a profondément émue et enthousiasmée ; après les enfants ont chanté et c’était magique !

Un grand merci à toutes les per-sonnes qui ont mis en place cet événement et y ont contribué ; la magie existe encore, la magie de l’amour, de la joie partagée, et la magie des enfants ! C’était un après-midi merveilleux ! »

RÉFLEXIONS D’ENFANTS

« Quand nous sommes arrivés, nous

sommes allés dans une salle où il y avait des personnes handicapées. Nous avons réalisé avec elles un bonhomme avec une bouteille. Sur cette bouteille, nous avons collé des faits divers tristes qu’on a recouvert avec des photos de joie. Nous avons chanté et après, nous avons goûté.

Ce que j’ai ressenti, c’est que tout le monde a souri et avec beaucoup de bonheur et d’amour.

Ce que j’ai retenu de cette ren-contre, c’est que tout le monde peut être gravement blessé et que tout le monde peut aider, d’une manière ou d’une autre. Exemple : un sourire, un cadeau, un bon geste. En tout cas, je pense qu’on a tous passé un bon moment, du plus petit jusqu’au plus grand

Je me souviendrai toujours de cette rencontre !

Nous avons passé une bonne jour-née tous ensemble. »

RÉFLEXIONS DE PARENTS « Nous ne nous sommes même pas posées de questions, c’était une évidence pour nous ! A la fin de la réunion nous savions que nous venions ! Cela permet aux enfants de prendre conscience que tout n’est pas facile dans la vie ! A renou-veler »

« Soyons des compagnons, aidons ceux qui souffrent. Ecoutons, entou-rons avec beaucoup d’amour » (chant CM1).

Anne et Christiane

101 enfants se sont retrou-vés pour une journée retraite à Aveize le samedi 15 février.

La matinée a commencé autour de la Pâque de Jésus et des dis-ciples d’Emmaüs avec une pièce de théâtre pour se poursuivre par une réflexion et célébration du pardon . L’après-midi les enfants tournaient sur 5 ateliers : Quiz de l’autel et prière Eucharistique, gestes de la messe, partage d’évangile et découverte de l’aumônerie .

Un grand merci aux nombreux accompagnateurs et aux catéchistes ! Merci aux personnes qui ont pris un peu de leur temps pour venir ani-mer les ateliers, la pièce de théâtre,

le diaporama . Merci à l’équipe relais d’Aveize qui nous accueille toujours très chaleureusement et qui se fait cheville ouvrière des temps-forts de la première communion . Merci au Père Claude Vincent et au Père Guy Ollagnier qui nous ont entourés de leur présence fort enrichissante !

Merci aux enfants qui ont su appré-cier pleinement cette journée par leur qualité d’écoute et de participation en se faisant eux-mêmes disciples d’Emmaüs pour transmettre à leurs parents ce qu’ils avaient appris lors de cette journée !

Un grand merci au Père Guy Ollagnier qui m’accompagne et me soutien dans ma mission de coordination

auprès des catéchistes et qui s’est se faire témoin de foi auprès des familles ! C’est une grande chance et une belle ouverture pour notre paroisse que d’avoir une équipe de prêtres qui sachent se faire proches de chacun !

Christiane MARTIN coordinatrice catéchèse 07 .60 .44 .98 .07

LES MESSES DE PRE-MIERES COMMUNION AURONT LIEU A 10H

• 3 Mai : Lamure - Yzeron - Gre-zieu - Aveize + 1 baptême 7-12 ans

• 10 mai : Coise - Pomeys

• 17 Mai : St Martin - St Sympho-rien

• 21 Mai : Meys

• 21 Juin : St André la Côte + 2 baptêmes 7-12 ans

EN MARCHE VERS LA PREMIERE DES COMMUNIONS !




SESSIONS

Vous avez vécu une séparation ou un divorce . . . vous vivez seul(e) aujourd’hui . . .

CANA Espérance vous propose des week-ends pour prendre du temps pour vous, avec d’autres vivant une expérience similaire .

Pour trouver un soutien à travers l’écoute, la prière et les temps fra-ternels .

Des week-ends également pour (re)trouver un chemin de foi et entendre l’appel que le Seigneur adresse à chacun .

COMMUNAUTÉ DU CHEMIN NEUF - CANA ESPÉRANCE

Séparés, divorcés, vivant seuls

WE CANA Espérance du 4 au 5 mai 2019

Les Pothières (69) - Maison Cana

S’inscrire :

Pastorale - 6, avenue Adolphe Max - 69321 Lyon Cedex 05 - 04 78 814 830 - famille@lyon .catholique .fr

GROUPE REVIVRE

Lieu d’accueil, de fraternité et de rencontre pour les personnes concernées par le divorce .

Séparés, divorcés, divorcés-rema-riés, sortez de votre solitude, de votre isolement, vous êtes attendus .

Le groupe se réunit toutes les 6 semaines autour d’un thème choisi en commun .

Il vit des temps de convivialité,

des temps forts comme la journée Revivre ou un weekend de retraite .

Lieu de rencontres : Saint-Viateur 3 rue Henri Barbusse à Oullins .

Vous souhaitez un temps de prière à l’Église à l’occasion de votre rema-riage civil, nous sommes à votre écoute . N’hésitez pas à contacter les responsables :

Claude Monnier :

Tel: 06 09 02 45 72

Danielle Riosset Wilhème :

Tel: 06 98 07 62 93

Email: [email protected]

SÉPARÉS / DIVORCÉS

Pour les personnes vivant seules après une séparation ou un divorce, trouver un lieu d’écoute, de prière, de partage fraternel. Retrouver un chemin de foi et d’espérance, pour choisir quelle direction prendre.


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SEMAINE CANA ESPÉRANCE : UN TEMPS DE « RESTAURATION »


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DossierDossier


Voici la suite des témoignages des religieux et religieuses originaires des monts du Lyonnais, vous trouverez également des precisions sur l’esprit mariste ainsi que la présentation des fondateurs des pères et frères maristes .

Retrouvez les religieux Retrouvez les religieux de nos villagesde nos villages

« Si durant mes activités, je me suis battue pour les enfants en détresse, au soir de ma « Si durant mes activités, je me suis battue pour les enfants en détresse, au soir de ma 

vie je me consacre à l’adoration de Dieu, c’est vers cette source de lumière que monte vie je me consacre à l’adoration de Dieu, c’est vers cette source de lumière que monte 

ma prière pour l’humanité tant aimée…»                 ma prière pour l’humanité tant aimée…»                 Sœur EmmanuelleSœur Emmanuelle

Frère Jean Vincent , né le 11 avril 1938 à la maternité de saint Martin en Haut, mes parents habitant le hameau du Bayard puis, en 1939 de Fontfroide.

Je suis actuellement à saint Genis Laval pour accompagner nos frères âgés résidant à l’HEPAD du Montet .

Ma vocation est née à l’école des frères où l’un d’eux a su me faire miroiter la beauté d’une vie consacrée à faire le bien .

Je suis donc frère mariste, ma congrégation ayant pour

but l’éducation chrétienne de la jeunesse par le biais de l’enseignement . En fait, je n’ai enseigné que de 1959 à 1974, après quoi, je me suis orienté vers l’accompagne-ment des personnes âgées puis des frères âgés .

Quelques mots personnels sur la pertinence de l’Evangile aujourd’hui :

L’Evangile nous présente Jésus toujours préoccupé des petites gens, des malades, des marginalisés (pestiférés), des étrangers . Il me semble que c’est un appel lancé aujourd’hui à chacun mais aussi à nos communautés qu’elles soient congréganistes, paroissiales ou munici-pales, à se bouger pour l’accueil des immigrés .

Frère Jean VINCENT

FRÈRE JEAN VINCENT


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DossierDossier


Je suis née le 5 décembre 1936 à Saint Martin en Haut, à la maternité des Sœurs Trinitaires, dans une famille d’ouvriers.

J’ai appartenue à la JOC de 1950 à 1958, travaillant à Thurins dans une usine de vêtements professionnels .

DIEU, je l’ai rencontré dans ma toute petite enfance et je lui ai toujours fait confiance . Chez nous, la porte était toujours ouverte… Jésus et les autres étaient de la même source . C’est peut être pour cela que je suis entrée chez

les Sœurs Hospitalières de Notre Dame de la Pitié de Lyon qui sont nées à l’Hôtel-Dieu officiellement en 1680, à la demande des servantes de l’Hôpital et dont le cha-risme est la compassion . Pour elles, vivre la miséricorde pour témoigner de la compassion de Dieu et entendre cette parole de Jésus : ce que vous avez fait au plus petit d’entre les miens, c’est à moi que vous l’avez fait .

Après deux ans de noviciat et des études d’infirmière, j’ai travaillé à Giens et à Edouard Herriot à Lyon en pédia-trie . Des changements de communauté m’ont conduit au Centre Hospitalier Lyon Sud jusqu’à la retraite .

Actuellement, je suis membre d’Amnesty International, depuis 40 ans . Ce qui m’a permis d’accompagner des réfugiés politiques, en particulier africain .

Je suis également membre d’une association de déve-loppement qui travaille avec un partenaire associatif au Congo/Brazzaville . Partenaire qui travaille pour la sécurité alimentaire, le respect de la biodiversité, le développe-ment local… Bref, pour un développement intégré de la population du Sud avec une économie locale réelle .

Concrètement, nous avons un Centre Agricole près de Brazzaville . Là, on forme les paysans, volontaires et appartenant à un groupement paysan national reconnu et surtout des femmes, à l’agroécologie . Nous créons également des groupements de femmes maraichères dans les villages autour d’une grande ville du sud . Elles sont également volontaires pour travailler ensemble, ce qui leur permet d’être autonomes financièrement, étant soutien de famille .

Si cela peut intéresser des paysans des monts du Lyon-nais, il y a toujours des possibilités de travailler ensemble et de différentes manières…

Tant que Dieu me donne la santé, je vais de l’avant . Res-tez dans ses pantoufles est très mauvais pour le moral… nous sommes tous sur notre terre pour vivre ensemble . La solidarité est le ciment qui nous donne une raison de vivre .

Sœur Marguerite JACQUEMETTON

SŒUR MARGUERITE JACQUEMETTON

FRÈRE JEAN BONNARD

Pendant longtemps la mission d’un Frère Mariste en France était l’enseignement.

Notre fondateur, Marcellin CHAMPAGNAT est un contem-porain du Curé D’Ars .

Il est nommé vicaire à La Valla en Gier, près de St Cha-mond .

Il s’aperçoit que suite à la révolution, les enfants ne connaissent pas le catéchisme et que la plupart ne savent ni lire ni écrire .

Dès 1817, il rassemble des jeunes qui vont faire le caté-chisme dans les hameaux… puis souvent, à la demande des maires, il ouvre des écoles . A sa suite, les Frères Maristes développent les écoles jusqu’aux années 1960 .

Après cette date et grâce aux contrats avec l’état,

des enseignants laïcs peuvent « vivre » en enseignant . Quelques Frères choisissent des activités diverses : édu-cateurs de rue, visiteurs de prisons …

Nos communautés vieillissantes souvent rattachées à une paroisse partagent « l’Esprit Champagnat », notam-ment sa dévotion à Marie : « Tout à Jésus par Marie »

Depuis ma retraite (1995), j’ai travaillé comme aide-infir-mier à St Genis Laval pendant 12 ans . Notre infirmerie devenue E .H .P .A .D . compte 47 lits dont les 2/3 sont occupés par les Frères . Les places disponibles sont réservées en priorité aux St Genois et St Genoises .

Je termine en saluant la compétence et l’amabilité du personnel de l’E .H .P .A .D .

Jean BONNARD, Frère Mariste, né le 03 mai 1937 à St Martin en Haut


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DossierDossier


Je suis né le 26 juin 1947 à Grézieu le Marché, dans une famille d’agriculteurs dont je suis l’aîné de 9 enfants.

Dès l’âge de 9 ans, je suis allé en classe à Chazelles, dans l’école des Frères et petit à petit, leur exemple a fait naître en moi le désir de devenir frère à mon tour . Cette idée a germé à un moment précis : le frère le plus âgé de la commu-nauté est décédé subitement dans l’église de Chazelles, un certain 23 mai 1958, pendant la prière du mois de Marie . Et le lendemain, en

apprenant la nouvelle, l’idée qu’un autre frère viendrait le remplacer m’est venue en tête . J’ai compris que c’était un signe que le Seigneur me faisait… . C’est le point de départ de ma vocation de Frère mariste . Mon engage-ment par les vœux perpétuels dans cette congrégation aura lieu le 8 décembre 1974, à 27 ans .

Après avoir exercé ma mission après des jeunes, dans l’enseignement et la catéchèse, et rempli diverses fonc-tions au service de ma congrégation, notamment à Rome, je suis actuellement membre de la communauté de Saint-Genis-Laval . C’est une communauté de 32 membres qui est insérée dans un EHPAD car la grande majorité de mes confrères sont ici à cause de problèmes

de santé et de vieillissement . Quelques frères de notre communauté ne sont pas ici pour des raisons de santé mais pour exercer une mission de présence, d’accom-pagnement pour ceux qui en ont besoin . C’est mon cas .

Notre congrégation des Frères maristes a été fondée par le P . Marcellin Champagnat en 1817 pour s’occuper principalement de l’éducation et surtout de l’éducation chrétienne des enfants et des jeunes . Née dans un petit village des environs de Saint-Étienne, elle s’est répandue dans les 5 continents et exerce sa mission dans 80 pays aujourd’hui . Le charisme est fortement marqué par la dimension mariale . L’exemple de Marie qui est la « pre-mière en chemin » pour suivre Jésus est notre référence principale . C’est son exemple qui inspire nos actions et nous guide dans toutes les dimensions de notre vie .

Aujourd’hui, l’Église rencontre des difficultés pour pour-suivre sa mission d’annoncer Jésus-Christ, pour montrer un chemin de bonheur . Elle est souvent peu écoutée, et même critiquée . Et dans ce contexte où l’humanité s’in-terroge sur son avenir, le message de l’Évangile a une opportunité formidable pour ouvrir un chemin de bonheur pour chaque personne humaine et pour l’humanité tout entière . Pour moi, c’est un appel à vivre et faire grandir l’espérance en moi et autour de moi . « A qui irions-nous, Seigneur ? Tu as les paroles de la vie éternelle » .

F. Jean RONZON

FRÈRE JEAN RONZON

Née le 2 avril 1936, je suis ori-ginaire de Gimio à Larajasse. Je m’appelle Soeur Marie- Hélène GRANJON et suis reli-gieuse de la Congrégation des Soeurs des Sacrés Coeur de Jésus et de Marie depuis le 2 août 1955; date de mon premier engagement par des voeux.

Les services qui m’ont été confiés m’ont conduite à être le plus souvent auprès de nos soeurs aînées au Mans et à Poitiers . Cependant, j’ai aussi vécu en communauté d’insertions à Nancy et à Charleroi (Belgique) .

Si j’ai choisi de suivre le Christ dans la Congrégation des Sacrés Coeurs c’est que j’ai été très marquée par le témoignage, par la qualité de vie humaine et spirituelle des soeurs de la communauté de Larajasse . Leur pré-

sence au prie Dieu de l’adoration a eu sur ma vocation un impact fort et durable .

Le charisme de notre famille religieuse qui compte également avec une branche masculine et une frater-nité séculière, est ainsi défini dans nos Constitutions : «contempler, vivre et annoncer au monde l’Amour de Dieu incarné en Jésus . . . Marie, sa mère, est notre modèle de foi en l’Amour .»

Notre charisme est d’une grande actualité et d’une belle pertinence dans et pour le monde

d’aujourd’hui . Participer pleinement et activement à la construction d’une civilisation de l’Amour par la prière, la vie fraternelle et l’esprit missionnaire est notre façon de promouvoir la communion dans l’Eglise et dans le monde, surtout là où l’Amour est méconnu .

Soeur Marie-Hélène GRANJON

SŒUR MARIE-HÉLÈNE GRANJON


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SŒUR MATHILDE VENET

Je suis née le 1er Septembre 1985 à Grézieu le Marché. J’ai eu la joie de grandir dans les Monts du Lyonnais, où je reviens régulière-ment.

J’ai été consacrée dans l’ordre des vierges consacrées, dans le diocèse de Saint Etienne, il y a 4 ans, à l’aube de mes 30 ans .

Notre vocation de vierge consacrée est née dès les débuts de l’Eglise . La vierge consacrée est signe, au cœur du monde, de l’Eglise-Épouse du Christ .

Aujourd’hui, comme chrétien, nous sommes fortement interpellés pour témoigner de notre espérance et du don de l’amour du Christ pour toute notre humanité . Le défi est grand, mais je crois que c’est pour une plus grande joie et paix!

Actuellement, j’ai deux missions, confiées par mon évêque, une comme aumônier d’hôpital, à l’Hôpital Nord de St Etienne et une pour suivre des études en théologie .

«Vie et joie à vous qui cherchez Dieu» (Ps 68)

Soeur Mathilde VENET

En ce 19 mai 2018, me voici dans l’église de Larajasse pour la messe d’ouverture de la fête des classes en 8. Et avec beaucoup d’émotion, je me prends à laisser ma mémoire vagabonder dans une foule de souvenirs. Toute ma vie retrouve ses racines dans ce petit village des Monts du Lyon-nais!

Quel événement que cette naissance… et ce baptême, ici dans cette église! Le premier garçon d’une famille de six enfants à la Côte . Des parents comblés et une mamie Bor-det, la marraine, tout aussi comblée . Cette marraine qu’en ce moment je sens si présente .

Mon enfance à la ferme, elle est celle de tous les petits gar-çons de mon âge . Mais dans cette église, en ce moment, c’est ma communion dite „privée” . J’ai 6 ans ½ en ce 14 avril 1945 . Je suis ici à la table de communion entre Papa et maman Véricel . Je suis très heureux …et j’aimerais bien un jour être comme mon maître d’école . Je l’adore . Il fait chan-ter et puis il est tout jeune . ( Fr . Louis-Régis avait 20 ans !)

Où en sommes-nous de notre messe de ce matin! Je ne sais plus trop! Ma pensée, mon coeur continuent a revivre un passé toujours aussi présent .

Ce matin, je suis là comme bien souvent, fier d’être enfant de choeur, même si le Père Ressicaud me fait peur, tout comme j’appréhende de me retrouver en classe avec la „Mirette”… . ses coups de règles sur la tête pendant les dic-tées… et les deux fessées devant toute la classe . . .Vraiment je ne suis pas un modèle d’élève . Mais après tout, tout le monde est logé à la même enseigne . Je n’en suis pas plus traumatisé que ça . Cela ne m’empêchera pas de continuer

à suivre les rencontres de la Croisade Eucharistique des enfants .

… Dans cette église, c’est dimanche! Nous sommes cachés derrière l’autel . Les garçons, nous sommes bien encadrés par les chantres autour de l’harmonium sous la grande croix et par les frères qui depuis la hauteur de leurs stalles veillent à ce que nous soyons sages .

Et comme nous sommes sages ! Il ne s’agit pas de bouger !

Ce sera fr . BELLET Delphin qui m’aidera à réaliser mon rêve d’enfant . Il convaincra mes parents de me laisser partir en pension au juvénat des frères maristes: temps d’étude et de formation, mais aussi de découverte de Marcellin Cham-pagnat, ce jeune vicaire de La Valla-en .Gier qui, en 1817 fondera la première école mariste avec quelques jeunes du village . Il répondait à une urgence de l’après-révolution fran-çaise, Les enfants des campagnes n’avaient pas d’école . L’audace et la foi de ce jeune vicaire de 27 ans me facsine encore .

Mes premiers engagements comme frère? J’avais alors 18 ans .

Mes engagements définitifs? Je les ai prononcés en Répu-blique Centrafricaine . J’avais 26 ans .

Entre temps, il y a eu le temps des études, quelques années d’enseignement à Saint-Genis-Laval le service militaire en Afrique centrale, où ensuite je suis donc resté comme ensei-gnant dans le collège mariste de Berbérati .

De mes six années en Afrique, j’ai rapporté cette question lancinante: combien de temps le monde pourra-t-il sup-porté une telle disparité entre les pays dits riches et les pays du Tiers-Monde?

En juillet 1968, je rentrais donc définitivement en France

FRÈRE RÉMI VÉRICEL



DossierDossierpour amorcer une carrière qui s’est révélée variée et riche en aventures . Une carrière au sein d’ une communauté de frères au service des jeunes, en liens étroits avec de nom-breux laîcs, bien souvent tout autant maristes que moi . Ensemble nous avons vécu « la Communauté Educative Mariste » pour une éducation humaine et spirituelle des enfants et des jeunes, à la manière et avec l’esprit de Mar-cellin Champagnat .

C’est ainsi que je me suis retrouvé profesesur d’anglais et de français, à St . Laurent-de-Chamousset pendant 4 ans, puis Directeur de Collège à Megève . Après sept années dans cette belle station de sport d’hiver, mes frères m’ont choisi pour être leur provincial pendant sept ans, service d’anima-tion des communautés des frères et de leurs oeuvres, avec évidemment de nombreux déplacements en France, mais aussi en Afrique et jusqu’en Nouvelle-Calédonie .

En 1989, c’était la chute du mur de Berlin et la fin du rideau de fer .

C’est alors que mon Supérier Général m’a demandé, ainsi qu’à quelques frères hongrois exilés en France de partir en Hongrie refonder une présence mariste .

Depuis ce temps-là, me voici donc en Hongrie . .Après le dif-ficile apprentissage de la langue nous nous sommes lancés dans l’aventure de fonder un Centre Scolaire de la mater-nelle au lycée dont j’ai été le directeur . Puis nous avons voulu nous tourner vers les plus pauvres en fondant un centre social au service de la communauté tsigane, puis en 2009 une petite école primaire également à 95 % tsigane… cette communauté arrivée en Europe au XV ème siècle et vivant toujors en marge des sociétés européennes .

Après un court séjour de cinq années en France, à Mul-house, de 2012 à 2017, je suis reparti vivre ma retraite de façon un peu plus active au service d’une communauté nouvelle à Budapest, la capitale . . . communauté d’animation pastorale en lycée et en université .

En conclusion, je voudrais répondre à la question que j’ai souvent entendu : comment as-tu fait pour rester frère? Je

ne puis donner de réponse claire, car cela tient du mys-tère même de toute vie, du mystère même de Dieu dans toute vie humaine . Toute vie est unique . Et aucune voca-tion humaine ne peut non plus se figer dans un statut établi d’avance!

Comme tout un chacun, j’ai eu des périodes de doute, de difficulté . Mais les événements, mon attachement au Père Champagnat et à la congrégation des frères maristes, ainsi que mes responsabilités m’ont aidé, m’ont motivé . Les nombreux amis et amies tout au long de ma vie religieuse et professionelle ont aussi été un soutien merveilleux .

Alors je crois que si j’avais 20 - 30 ans aujourd’hui, je serais prêt à retenter l’aventure d’une telle vie, une vie partagée avec des frères, au service des jeunes de ce monde, tout particulièrement de ceux en situation de difficulté . Je vous prie de croire qu’il y a de quoi s’occuper et qu’on ne s’en-nuie pas!

Budapest, ce 24 mai 2018Frère Rémi VÉRICEL

SŒUR CHANTAL (CÉCILE) BLANCJe suis née le 26 février 1928 à St Symphorien sur Coise dans une famille de cinq enfants. Je suis entrée chez les Sœurs Trinitaires à St Martin en Haut en 1951 où j’ai fait ma profession religieuse le 11 septembre 1954.

J’ai été envoyée en mission à Thurins, puis à St Martin jusqu’en 1956 . De là, je suis partie à Haute-Rivoire au service des personnes âgées de la Maison de retraite . La vie n’était pas toujours facile au plan organisation maté-rielle, mais j’ai apprécié de vivre dans ce village bien rural

au milieu d’une population très accueillante .

De 1969 à 2008, j’ai été en communauté à St Martin en Haut pour les différents services communautaires, en par-ticulier la cuisine jusqu’à mon arrivée à l’âge de la retraite .

En 2008, je suis arrivée à Claveisolles où j’ai passé deux ans avec les sœurs aînées, partageant leur vie de prière et d’activités toutes simples de retraitées . Le 10 janvier 2010, je suis entrée à l’EHPAD de Pierre Garraud, rue commandant Charcot à Lyon où je vis actuellement .

Soeur Chantal (Cécile) BLANC


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SŒUR CLAUDIA FOURNELJe m’appelle Claudia FOURNEL. Je suis née le 30 octobre 1924 à St Martin en Haut, dans une famille de 5 enfants (4 filles et 1 garçon). Mes parents étaient agriculteurs.

Depuis 4 ans, je suis à l’EHPAD Saint Camille à Lyon 5ème, en face de la Clinique Charcot où j’ai été

opérée d’un cancer .

En famille, j’ai vécu dans un monde très religieux (prêtres, religieuses) et tout près de la Congrégation des Sœurs Trinitaires, où j’avais une tante .

Je me sentais appelé à la vie religieuse plutôt que le mariage, mais une vie religieuse au milieu du monde .

Je suis entrée chez les Sœurs Trinitaires (fondateur le Père Animé) en 1944 . J’ai exercé différents services, écoles, séminaire…puis étude de travailleuse familiale . J’ai exercé cette profession de nombreuses années en milieu rural . Présence toute simple dans les familles où je partageais leurs joies et leurs peines .

Puis un regroupement de Congrégation ayant le même charisme, avec les Sœurs de l’Enfant Jésus de Clavei-solles, et ensemble nous avons pris le nom de Sœurs du Monde Rural .

Quelques années plus tard, avec le manque de voca-tion et voulant garder un dynamisme, une recherche se fait avec les Sœurs du Prado, qui aboutie à une fusion . Depuis 2004, nous sommes devenues Sœurs du Prado, congrégation internationale .

Notre charisme, connaître Jésus Christ par la prière, la contemplation pour être témoin de son amour dans le monde, là où nous sommes .

Pour moi, aujourd’hui, vivre au milieu des résidents comme tout le monde dans cet Ehpad . Je me suis très bien adaptée et en suis heureuse . (cet Ehpad a été fondé par la société des Prêtres Camilliens pour le soin des malades et des vieillards ; aujourd’hui géré par un conseil d’administration laïc) .

Soeur Claudia FOURNEL

Jean Guyot, frère mariste, né le 26 mars 1933. J’ai passé mon enfance au hameau de Chazette, à Larajasse.

Ma mission, j’en ai rêvé dès l’âge de 10 ans : être éducateur de la jeunesse . Je l’ai reçue comme un appel, une vocation grâce à ma famille .

Enseignant pendant 40 ans, dans les Collèges catho-liques à St Laurent, à Tarare, à St Martin en Haut, à Cassel, j’ai toujours trouvé joie et profondeur de vie dans le charisme mariste .

Pendant ces années de ma carrière apostolique j’ai aidé les jeunes à bâtir leur avenir . Ils y ont mis leur intelligence et leur coeur .

Comme retraité, depuis 1994, j’en ai accompagné

d’autres dans la Catéchèse, le soutien scolaire, dans l’animation de la prière partagée .

Aujourd’hui, je réalise que le message de l’Evangile s’har-monise bien avec ma mission qui est vivre ma foi avec les autres .

C’est un enrichissement de tous les jours : projets, rela-tions, dialogue . La « Fraternité Mariste » composée de Chrétiens laïcs, hommes et femmes, nous permet de vivre le charisme .

Celui-ci devient alors alliance pour construire un monde meilleur : être témoins dans tous nos lieux de vie, dans la paroisse Saint Jean XXX du Pays de Tarare .

Merci à la vie pour les matins qui me réservent des heures de bonheur à vivre avec les frères de ma Communauté . Elle nourrit ma spiritualité dans l’ordinaire des jours .

Frère Jean GUYOT

FRÈRE JEAN GUYOT


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J’ai été pendant 40 ans enseignante à Chazelles-sur-Lyon, au collège Raoul Follereau (dirigé par les Frères Maristes jusqu’en 2007) et je peux témoigner de cet esprit .

Notre établissement, sous tutelle mariste, s’inscrit dans une tradi-tion éducative qui remonte à Saint Marcellin Champagnat, fonda-teur des Frères Maristes au XIXème siècle (actuellement présents dans 79 pays) . À chaque rentrée, nous avions un temps de réflexion sur la vision mariste de l’éducation, en nous appuyant sur le T .R .E .M . (Texte de Référence de l’Éduca-teur Mariste), un document sur la mission éducative mariste . Cinq valeurs y étaient exprimées et déve-loppées :

• la présence et l’écoute

• l’attention aux plus défavorisés

• la simplicité

• l’esprit de famille

• le travail et la créativité

… sans oublier la proposition de la foi : prières, célébrations, caté-chèse…

Comme professeur principal, je m’étais engagée, en faisant beau-coup de formations, à assurer la catéchèse et, dans les années 70, 80 et 90, chaque trimestre, nous avions un « temps fort » à la Ney-lière . Les jeunes, volontaires, étaient nombreux (parfois 80 élèves d’un même niveau participaient) et nous avons toujours été très bien accueil-

lis : on avait trois ou quatre salles à notre disposition, ainsi que la petite chapelle ou le petit bois au fond de la propriété pour nos temps de prière . En 2008/2009, on a même réussi à organiser, sur ce même lieu, des « défis de lecture » pour les 6èmes avec le collège Champagnat de Saint-Sym, et tout cela dans un esprit vraiment fraternel .

J’ajouterai que, pour moi, l’esprit mariste, c’est avant tout l’accueil et la simplicité . Ainsi, quand je vais à la messe à la Neylière, une ou deux fois par mois, je suis toujours très touchée par cet esprit d’échange, de partage et par la chaleur de l’ac-cueil qui fait qu’on se sent bien .

Bernadette JOUVE

« PÈRES MARISTES, FRÈRES MARISTES... L’ESPRIT DE MARIE »

La Société de Marie, fondée par Jean-Claude Colin, est une congrégation catholique religieuse composée de prêtres et de frères dont les membres vivent en communautés réparties dans 26 pays à travers le monde. Les Maristes sont appelés à penser, juger, sentir et agir en toutes choses comme Marie : c’est ce qu’on appelle la spiritualité mariste.



DossierDossier

Jean-Claude COLIN est né le 7 aout 1790 à Saint-Bonnet-le-Troncy (dans le département du Rhône) . dans une famille de tisserands culti-vateurs . À la mort de ses parents, il n’a que cinq ans . Il est alors recueilli par son oncle . En 1814, il devient séminariste à Lyon avec, pour condisciples Jean-Marie Vianney (le futur curé d’Ars) et Marcellin Cham-pagnat (le futur fondateur des Frères Maristes) . Il est ordonné prêtre en 1816 . Devenu vicaire à Cerdon, dans l’Ain, il met par écrit les bases de la congrégation des Pères Maristes, ou Société de Marie, vouée à la Vierge Marie, qu’il fonde en 1822 . Sa congrégation est approuvée par le pape Grégoire XVI en 1836, pour accomplir son ministère en France, mais avec la responsabilité particulière des nouveaux territoires qui viennent de s’ouvrir en Océanie

de l’Ouest, dans le Pacifique Sud . Cette année-là, une première mis-sion part en Océanie . Jean-Claude Colin reste en France, En 1850, il achète une maison à La Neylière à Pomeys, où il construit un centre de formation . C’est là qu’il se retire en 1854 jusqu’à sa mort le 28 février 1875 . Sa cause en béatification a été ouverte en 1908 . Elle a été renouvelée ses dernières années .

Le musée de l’Océanie et l’espace Colin, dans les locaux de la Neylière, méritent d’être visités . .

Marcellin CHAMPAGNAT est né le 20 mai 1789 à Marlhes (dans le Pilat, département de la Loire), neuvième enfant d’une famille modeste d’agri-culteurs et marchands . À 14 ans il rencontre un prêtre et se sent appelé par Dieu . En 1805, à 16 ans, il entre au petit séminaire de Verrières-en- Forez où il travaille dur (il n’a alors pratiquement aucune instruction), puis c’est le grand séminaire de Lyon en 1813 . Là, il côtoie Jean-Marie Vianney (futur curé d’Ars) et Jean-Claude Colin (futur fondateur de la Société de Marie) . Ordonné prêtre en

1816, il est nommé vicaire à La Val-la-en-Gier, près de Saint-Chamond . La rencontre avec un adolescent de 17 ans, mourant sans connaître Dieu, le bouleverse profondément et le pousse à mettre à exécution son projet de création de la congrégation des Petits Frères de Marie, ou Frères Maristes, avec pour objectif l’éducation chrétienne de la jeunesse («Je ne puis voir un enfant sans avoir le désir de lui faire connaître combien Jésus-Christ l’a aimé») . Le 2 janvier 1817, seulement 6 mois après son arrivée à La Valla, Marcellin réunit ses deux premiers disciples: le pre-mier noviciat des Petits Frères de Marie ou Frères Maristes, est né . En 1825 il est déchargé de sa tâche de vicaire et se consacre désormais au développement de sa congré-gation et à la formation des frères enseignants . . Il ouvre des écoles et participe à la construction de Notre Dame de l’Hermitage, se dépensant sans compter… jusqu’à y laisser sa santé . Épuisé par la tâche, il meurt le 6 juin 1840, laissant à ses frères ce message: «Qu’il n’y ait parmi vous qu’un même coeur et un même esprit . Qu’on puisse dire des Petits Frères de Marie comme des pre-miers chrétiens: voyez comme ils s’aiment»! Preuve de son rayonne-ment dans le monde de l’éducation, de nombreux établissements d’en-seignement de notre région portent son nom .

Canonisé par le pape Jean-Paul II le 18 avril 1999, Il devient alors Saint Marcellin Champagnat .

J.P. JOUVE

QUI SONT JEAN-CLAUDE COLINET MARCELLIN CHAMPAGNAT ?

Tous deux sont des prêtres à l’origine de tout ce qui touche au monde Mariste. Il ne faut cependant pas les confondre.

Jean-Claude Colin

Saint Marcellin Champagnat



FUNÉRAILLESLe 13 novembre à St Martin : Edmond Bazus âgé de 96 ans

Le 16 novembre à Coise : Anna Gonon âgée de 96 ans

Le 18 novembre à Lamure : Elise Bouchut née Couturier âgée de 92 ans

Le 21 novembre à St Symphorien : Cesare Baldazzi âgé de 79 ans

Le 22 novembre à St Symphorien : Yvan Barochet âgé de 21 ans

Le 28 novembre à Larajasse : Jacques Guyot âgé de 89 ans

A Coise : Maurice Plévy âgé de 86 ans

Le 29 novembre à St André la Côte : Suzanne Tisson âgée de 92 ans

Le 3 décembre à Larajasse : Jeannine Grange née Granjon âgée de 91 ans

A Yzeron : Claudius Crozier âgé de 85 ans

A St Martin : Marie-Louise Hassler née Besson âgée de 84 ans

Le 6 décembre à St Symphorien : Claudia Bouchut née Chillet âgée de 100 ans

Le 7 décembre à Grézieu le Marché : Jean Ploivy âgé de 88 ans

A Meys : Mickaël Odin âgé de 37 ans

Le 14 décembre à St Martin : Marinette Mansot née Véricel âgée de 93 ans

A Aveize : Georgette Villard née Blanchard âgée de 84 ans

Le 16 décembre à St Symphorien : Odette Séon née Joly âgée de 94 ans

Le 24 décembre à St Symphorien : Henri Noca âgé de 92 ans

Le 28 décembre à St Martin : Annie Terrade âgée de 59 ans

Le 2 janvier à Pomeys : Joseph Bourrin âgé de 64 ans

Le 7 janvier à la Chapelle sur Coise : Claude Moretton âgé de 94 ans

Le 13 janvier à St Martin : Bernadette Bonnard née Murigneux âgée de 78 ans

A Pomeys : Maurice Grégoire âgé de 86 ans

Le 14 janvier à St Martin : Jeanne Poloce née Rivoire âgée de 98 ans

A Aveize : Claudia Rageys née Viricel âgée de 82 ans

Le 17 janvier à St Symphorien : Jean Vourlat âgé de 91 ans

A Coise : Louis Aujard âgé de 93 ans

Le 27 janvier à St Martin : Alice Marnas née Chambe âgée de 99 ans

Le 29 janvier à St Martin : Lucette Bert âgée de 96 ans

A Pomeys : Germaine Goutagny âgée de 94 ans

Le 30 janvier à St Martin : Marie-Louise Martinière née Varagnat âgée de 93 ans

Le 3 février à St Symphorien : Michèle Anastaze née Garbit âgée de 76 ans

Le 8 février à St Symphorien : Marguerite Bouvier née Jallabert âgée de 98 ans

Le 11 février à Larajasse : Gabriel Ravoire âgé de 83 ans

Le 12 février à Larajasse : Joseph Richard âgé de 85 ans

Le 14 février à St Symphorien : Irène Grangy née Mazille âgée de 79 ans

Le 18 février à Yzeron : Pierre Chol âgé de 91 ans

A Grézieu : Hélène Plévy née Blanchon âgée de 98 ans

Le 28 février à Aveize : Georgette Vernay née Thizy âgée de 74 ans

Le 29 février à la Chapelle sur Coise : Marie Dupré née Bissardon âgée de 84 ans

A St Symphorien : Emile Bouteille âgé de 86 ans

Le 3 mars à St Symphorien : Jean-Pierre Vial âgé de 80 ans

Le 7 mars à St Martin : Sœur Jeanne-Marie Broallier âgée de 83 ans

Le 1er septembre à Aveize : Maxime, Quentin, Clément Granjon fils de Raphaël et Emilie Stachowicz

Le 10 novembre à St Symphorien sur Coise : Zélie Raymond Grange fille de Tommy Raymond et Perrine Grange

Le 24 novembre à St Symphorien sur Coise : Cassiopée Bouteille fille d’Alexandre et Flore Jacoud (de Villeurbanne)

Le 26 janvier à St Martin : Ethan Gay-Peiller fils de Thomas et Mélanie Besson

Juliette Thizy fille d’Antoine et Marjorie Notin (de Larajasse)

Le 1er mars à St Symphorien : Jules Guinand fils de Frédéric et Marlène Grange (de Grézieu)

Mélyna Reynard fille de François et Karine Romand (de Duerne)

Le 8 mars à St Martin : Mathis Magnet fils de Jean-Christian et Emilie Marnas (de Lyon)

Malo Perrichon fils de Richard et Cindy Gandin (de Larajasse)

Joies de tous, Peines de tousJoies de tous, Peines de tous

BAPTÊMES


Les Elles de la 205 Bonjour, nous sommes 3 amies du lycée : Justine d’Aveize, Marine et Alix de St Galmier .Nous avons créé notre association à but humanitaire qui s’ap-pelle «Les Elles de la 205», située sur la commune de Saint Galmier, dans la Loire (42) . Nous allons participer à l’Europ’raid du 1 au 22 Août 2020 . C’est un raid humanitaire sur 10 000 kilomètres à travers 20 pays d’Europe, sur 23 jours en Peugeot 205 . Notre objectif est d’acheminer 100 kilogrammes de four-nitures scolaires et /ou sportives au sein des écoles de l’Europe de l’Est . Ce qui nous tient le plus à cœur dans cette aventure, c’est surtout faire un geste humanitaire pour aider des écoles défa-vorisées des pays de l’Europe de l’Est . Ce n’est pas une course entre chaque équipage mais plutôt de l’entraide, si on a un problème avec la voiture (même si on a des voitures de méca-niciens de l’Europ’raid qui nous suivent durant tout le trajet), ou les langues étrangères (en 20 pays ou l’on va entendre de nombreuses langues différentes) . C’est aussi un raid sportif car on va en moyenne effectuer 500 km par jour (nous alternerons toutes les 3 pour conduire) . On participe également à l’Europ’aid pour découvrir des paysages très variés d’un pays à un autre .Il y a une grosse préparation pour pouvoir faire ce raid :• le budget : faire des évènements, des ventes, des soirées . . .

et trouver des sponsors (ce qui n’est pas toujours simple)• faire les réparations obligatoires sur la voiture

Nous avons également une page Facebook où nous postons des publications concernant l’avancée de notre raid humani-taire : Les Elles de la 205 - Europ’raid 2020Merci d’avance,

Justine THIZY

Aveize à l’heure de l’Opéra…Le dimanche 5 Avril 2020, la messe des Rameaux célébrée

à AVEIZE à 10h sera animée par la chorale du groupe Syl-valyon .

Ce groupe, auquel participe notre compatriote Danielle Bellion, est animé par Guy Lathuraz, chanteur à l’opéra de Lyon .

Il participe à la diffusion de la musique chorale liturgique écrite par le Père André Gouses à l’Abbayes de Sylvanès dans l’Aveyron .

Une Quête de beauté spirituelle à partager…

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AVEIZE


Vie des VillagesVie des Villages

L’association des familles accueille les bébés nés en 2019 à sa journée d’hiver ‘‘Jeux’mange’’

Le 9 février le triathlon des Mons du Lyonnais accueille plus de 200 équipes pour le ‘‘Bike and Run’’

Le partage du pain au cours de la pièce de théâtre de l’Evangile d’Emmaüs lors de la journée retraite de la première communion


CENTRE SCOLAIRE ST MARTINÉCOLE LA MADONE YZERONÉCOLE SAINT MARTIN 04 72 49 87 48

Anglais, Informatique, Ateliers MONTESSORI, Étude, GarderieCOLLÈGE : 04 78 48 60 08

Diplômes de CAMBRIDGE, Numérique, Séjours linguistiques, Théâtre, Pass multisports, Aide aux devoirs

http://centrescolaire-saintmartin.com

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LES 3 CLOCHERS

Ecole St Francois : temps de partage Cette année encore, la célébration du 8 décembre a réuni de nombreux enfants, parents, paroissiens, résidents de la maison de retraite autour du Père Guy Ollagnier .

Animé par un chœur d’enfants très enjoués, ce temps de prière a été un réel moment de partage . Les enfants nous ont aussi fait revivre l’histoire du 8 décembre grâce à un conte mimé . Quelle joie de se retrouver ensuite à la maison de retraite pour un moment de convivialité !

Ce 2ème dimanche de l’Avent nous a permis de continuer, dans la joie, notre route vers Noël . Merci à tous !

L’équipe enseignante

Au service des autres ...La sécurité des personnes et des biens a été une nou-velle fois au cœur des interventions en 2019 . Tout au long de l’année des formations nous permettent de développer nos compétences et d’utiliser le nouveau matériel ; les recyclages nous maintiennent à niveau . Nous côtoyons ainsi des sapeurs-pompiers des casernes alentours avec lesquels nous sommes ame-nés à travailler en intervention .

La traditionnelle tournée des calendriers est un bon moyen de rencontrer la population, d’échanger avec elle et de connaître géographiquement la commune . Nous en profitons pour remercier les habitants de l’accueil chaleureux qui nous est réservé chaque année !

Maryline

Adieu Jo Jo Richard est arrivé sur Lara-jasse en 1987 ; il a habité au Grand Petit avant de venir sur le village anticipant un départ que les médecins annonçaient proche .

Homme d’action, il a rapi-dement souhaité faire partie de l’équipe de la Paroisse . En charge des affaires éco-

nomiques, il a assumé son rôle efficacement . C’est lui qui est à l’origine de l’emplacement actuel du tabernacle dans

l’église . Celui-ci ayant été stocké dans la chapelle du cime-tière durant les travaux de restauration, Jo a eu l’initiative de lui redonner place dans l’église en le mettant en valeur sur une colonne . C’est avec lui aussi que les ambons amovibles et décorés ont été pensés et mis en place . Il a également participé au laborieux inventaire des objets liturgiques clas-sés .

Jo était quelqu’un sur qui on pouvait compter : son inves-tissement tant dans la municipalité que dans la paroisse le prouve . C’était un homme courageux qui malgré son long combat contre la maladie a su garder une vie sociale impor-tante et nous aimions le rencontrer .

Avec Odette et leurs 4 filles nous le confions à Dieu .


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ST MARTIN EN HAUT

Mi-décembre, le Père Ollagnier, curé de la paroisse Ste Thérèse dont fait partie St Martin en Haut, reçoit un coup de fil de Paris, de la famille du Père Claude Animé, fondateur des Sœurs Trinitaires .

Claude Animé, ordonné prêtre de St Sulpice juste avant la révolution, envoyé par le diocèse de Lyon, arrive à St Martin en Haut le 8 février 1793 . Travesti en paysan, sous le nom d’em-prunt d’Alban, il exerce son ministère clandestinement pendant 4 ans, grâce à la protection des paroissiens qui s’in-génient à lui aménager des cachettes dans les granges . Malgré tout, il conti-nue d’exercer son ministère, célébrant la messe sans se faire repérer . Il se sert d’un calice un peu spécial, en verre épais . Pour les non-initiés, on pourrait croire à un verre à vin .

Après la signature du Concordat, il aurait dû rependre la direction d’un petit séminaire . Cependant, après avoir passé toutes ces années dans les Monts du Lyonnais où tant de fois les gens lui avaient sauvé la vie, il demande à ses supérieurs l’autori-sation de continuer à desservir cette paroisse . La permission lui fut accor-

dée et il y resta 36 ans, jusqu’à sa mort .

Le 26 décembre 2019, quatre membres de la famille du Père Animé étaient attendus dans notre Com-munauté pour le repas de midi . Malheureusement, par suite des grèves, les trois personnes de Paris n’ont pas pu être parmi nous . Heureu-sement, Mme Perron de Saint-Sorlin avait apporté le calice . Evidemment, le Père Ollagnier était présent, ainsi que Pierre Courbière en tant qu’historien local et Nathalie Chambe de l’équipe Relais, représentant la Paroisse . Moment d’intense émotion parmi nous lors de la remise du calice, suivi des signatures de la Convention de dépôt qui atteste que ce calice a bien été remis à la paroisse .

Communauté des Charmattes

Un imprévu peu ordinaire


Le collectif Bénin toujours généreux et à l’écoute

Comme chaque début d’année il est de tradition de réunir le collectif local d’aide au Bénin pour faire le point sur les actions entreprises et celles pré-vues .

Ce samedi 25 janvier, le père Claude Vincent des Missions Africaines, qui a vécu de nombreuses années au Bénin, a donné un compte rendu

financier des dons encaissés et de leur utilisation au service des communau-tés Béninoises, en particulier du foyer Sainte Marie Goretti de Sô-Canxwé . Un foyer tenu par des sœurs qui recueillent des filles que leurs proches ont voulu marier de force .

En les protégeant, les sœurs apprennent un métier à ces jeunes Béninoises (50 à 60) pour leur assu-rer une insertion sociale . Le collectif apporte, par ses dons, une aide finan-cière à ce foyer .

Comme prévu l’année dernière l’aide a consisté à la construction de douches et d’une buanderie . Il reste encore quelques travaux pour terminer le projet . Les dons de cette année le permettront .

D’autres projets se sont concrétisés : une boutique de vente de fournitures scolaires et une mercerie . Le père Vincent était accompagné de trois sœurs Missionnaires du Sacré-Cœur .

Elles sont intervenues pour expliquer leur mission en Afrique, aussi bien au Bénin qu’au Togo .

Sœur Paulette, infirmière, a eu, durant de nombreuses années, la charge des handicapés mentaux et autres, des épileptiques, des victimes de la poliomyélite .

Sœur Reina, également infirmière était sœur hospitalière dans un milieu rural . Elle était en pédiatrie . Elle a connu la malnutrition des enfants dans ce milieu défavorisé . En fin de réunion sœur Paulette lançait une invitation . « Tout ce que nous faisons ne peut se faire qu’avec des dons, la mission doit continuer, j’invite les jeunes de chez vous à nous rejoindre pour pour-suivre cette mission, pour moi ce fut 40 années de joie malgré toutes les difficultés rencontrées .

Note : pour un don contacter le 04 78 48 66 21 ou solangefournel@orange .fr




Brioches des Bénévoles

Le Père Ollagnier et l’équipe relais ont invité les béné-voles actifs dans notre communauté paroissiale St Martinoise pour un après midi convivial .

Le Père Guy a remercié toutes les personnes pré-sentes .Par la voix de Présence que soient remerciés chaleureusement les membres absents qui rendent aussi de nombreux services .

Après ce temps d’accueil nous donnons le bilan des actions menées au cours de l’année écoulée:

Pendant les Messes et célébrations:

• Coin des enfants dans l’église en haut de la nef gauche; les familles sont invitées à utiliser les livres et coloriages à disposition sur la table .

• Luminions pour les défunts de la semaine, inten-tions de quarantaines et d’anniversaires avec un membre de la famille (sans obligation) .

• Installation d’une croix sur le muret de la cure .Merci à l’équipe technique de la commune .

Nous avons émis quelques pistes de réflexions pour 2020 :

• A la sacristie sera posé un classeur de fiches pra-tiques pour les équipes liturgiques et funérailles .

• Installation d’une table près des fonds baptismaux pour consulter le classeur de l’histoire de notre église, et mise à disposition d’un livre d’or .

• Voir pour mettre en place une croix dans la cha-pelle de Rochefort .

• Réflexion et devis pour améliorer la sonorisation de l’église .

• Préparation d’un texte explicatif pour chaque vitrail .

Pour terminer Pierrot Courbière a visionné et com-menté les vitraux de l’église . Il nous a fait apprécié les differentes couleurs, nous le remercions pour la recherche et sa transmission de l’histoire .

Nous clôturons ce moment par le verre de l’amitié et quelques parties de cartes .

Louis BRUYERE St Martin

Grézieu se souvient d’Hélène PlévyLe 18 février ont eu lieu les funérailles de madame Hélène Plévy . Une foule nombreuse était rassemblée dans l’église de Grézieu pour rendre un hommage mérité à une figure marquante de notre village .

Hélène Blanchon est née à Grézieu-le-Marché le 17 novembre 1921 . Après ses études à Grézieu et à L’Arbresle, elle a travaillé dans diffé-rents bureaux de poste, dont le dernier à Saint-Symphorien-sur-Coise .

Le 25 juillet 1945, elle a épousé Joseph Plévy . Ils ont eu la douleur de perdre en bas âge leurs deux premiers enfants, puis sont venus Jacques (Jacky, successeur de son père à la tête de l’entreprise de machines agricoles) et Régine .

Tout en accompagnant son mari dans l’entreprise, madame Plévy s’est investie dans le bénévolat et la vie du village, comme conseillère municipale (12 ans), adjointe (6 ans) et maire de 1983 à 1989 (une exception à cette époque où toutes les communes du secteur étaient dirigées par des hommes) . De nombreuses réalisations ont marqué son mandat . On lui doit notamment le nouveau stade de football, les lotissement de la Péricole et des Eglantines (OPAC), l’agrandissement du cimetière et les cérémonies et festivités célébrant le centenaire de l’église en 1987 (avec le Père Besson) .

Que ce soit en tant qu’élue ou dans sa vie privée, tous les témoignages ont fait ressortir ses grandes qualités : rigueur, courage, ouverture d’esprit, élégance sens de l’humour et de la répartie, patience et tact .

Deux hommages officiels lui ont été rendus :

- le 7 février 1981 le président de la république l’a élevée au grade de Chevalier dans l’Ordre National du Mérite (décoration remise par le préfet du Rhône) ;

- le 18 mai 1991, pour les 24 années qu’elle a consacrées au service de la commune, elle a reçu la Médaille d’Honneur des Collectivités Locales .

En 2014, madame Plévy a choisi d’intégrer la maison de retraite de Larajasse, où, malgré le déclin de ses forces physiques, sa bonne humeur, son esprit et sa gentillesse (et toutes les qualités citées plus haut) ont marqué son entourage jusqu’à ses derniers jours .

Le samedi 15 février, madame Plévy s’est éteinte entourée des siens .

Comme ses enfants et petits enfants ont dit leur fierté de ce qu’elle leur avait apporté par l’exemple de sa vie, les Grézollaires peuvent être fiers d’avoir été ses administrés .

J.P JOUVE

GRÉZIEU LE MARCHÉ




Un peu d’histoire

Le 5 Mars 1862 le cardinal De Bonald autorisait la construc-tion de l’église de Lamure pour constituer une nouvelle paroisse (celle du Mazel) .

Cette église était inaugurée le 5 Janvier 1864 .

A l’intérieur se trouvent plu-sieurs tableaux dont un particulièrement remarquable .

Cette peinture était accrochée dans l’église depuis longtemps peut être depuis le début . Il y a vingt ans lorsque l’église a été rénovée le tableau a été enlevé et entreposé dans la sacristie et il n’a jamais été réinstallé vu son mauvais état .

C’est là que des personnes des archives départementales du Rhône ont pu le voir alors qu’elles faisaient un inventaire de tous les objets des églises de Larajasse .

Elles ont tout de suite vu, mal-gré son état un peu détérioré, que ce tableau n’était pas

banal bien que la signature n’y apparaissait pas .

Les services de la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles) ont décidé de classer ce tableau comme monument historique . Mais cela n’a pas empêché que le tableau a continué à dormir tranquillement dans la sacris-tie .

La municipalité de Larajasse a décidé en 2018 de faire res-taurer ce tableau avec l’aide financière et un suivi de la DRAC . C’est ce qui a été réalisé au premier semestre 2019 dans l’atelier d’une res-tauratrice professionnelle de Lyon Catherine Lebret . C’est elle qui a découvert la signa-ture et la date en enlevant les couches de vernis . Le cadre aussi a été restauré par un professionnel Philippe Boulet .

En fait, ce tableau date de 1790 et a été réalisé par Nico-las Guy Brenet peintre français réputé mort en 1792 . C’est une version d’une partie d’un triptyque peint pour l’église de Nemours qui représente St Sébastien transpercé de flèches et à ses pieds Ste Irène . D’ailleurs ce thème a été mis en scène pour la jour-née du patrimoine .

Lors d’une randonnée, n’hési-tez pas à pousser la porte de l’église de Lamure pour admi-rer ce chef d’oeuvre .

LA MURE


COISE

Théâtre 2020 Troupe et Technique dans décor amazonien

Carton plein pour les clowns lors de la soirée des Familles

La sphère de Coise, 118 roues, portée par les bénévoles, arrive à St Symphorien sur Coise

Famille et Amis invités par Dédette pour ses 90 ans



ContactContactCURÉ Père Guy Ollagnier 04 78 48 61 20

PRÊTRES AUXILIAIRES Père Raymond Thollot 09 80 76 68 06 Père André Seytre 06 89 45 41 18

PRÊTRES RENDANT DES SERVICES Père Michel Cartéron 04 72 49 00 36 Père Claude Vincent 06 33 13 64 01 Pères de la Neylière 04 78 48 40 33

DIACRES Pierre Mirabito 04 78 44 43 54 Jérôme Gros 09 86 59 22 26

SERVICES

EVEIL À LA FOI 04 78 48 61 20

CATÉCHÈSE Christiane Martin 07 60 44 98 07

BAPTÊMES ET MARIAGES Pierre Mirabito 04 78 44 43 54

PASTORALE SCOLAIREn Lycée professionnel Jean Monnet

et Collège Saint Martin Elisabeth Gros 09 86 59 22 26

n Collège et lycée Champagnat Jérôme Gros 09 86 59 22 26

MOUVEMENTS

n Secours Catholique Marie Bourrin 04 78 44 53 22

n Mouvement Chrétien des Retraités (MCR) Cécile Françon 04 78 44 42 86

n Action Catholique des Femmes (ACF) Francia Pavoux : 04 26 01 15 62

n Brancardiers de Lourdes : Gérard Fayolle 06 80 98 37 12 Ch Bolusset : 04 78 48 46 36

n Pastorale des Malades M. CL Nesme : 04 78 48 61 44

SECRÉTARIAT

- Lundi, mardi et jeudi de 9h à 12h et de 14h à 17h - Mercredi de 9h à 12h - Vendredi de 9h à 12h et de 14h à 16h15

Tel : 04 78 48 61 20 ou 09 67 27 61 20 E-mail : paroisse saintetherese@orange .fr

Pour tout renseignement concernant les mariages et les baptêmes, s’adresser au secrétariat de la paroisse aux heures d‘ouverture .

En cas de décès, contacter directement les pompes funèbres qui feront elles-mêmes le nécessaire auprès de la paroisse .

Nous vous communiquons ci-dessous quelques chiffres importants de l’année 2019 .

• Fuel – Eau – Electricité – Gaz : 30582€

• Frais de déplacements, salaires, charges sociales : 43686€

• Contribution versée au diocèse : 25316€

• Offrandes messe (reversées intégralement au diocèse) : 41659 €

• Quêtes : 79941 €

• Offrandes pour baptêmes, mariages, funérailles : 24578 €

• Offrandes pour cierges dévotion : 5985 €

Merci pour votre participation et votre générosité qui permet à notre Paroisse de pourvoir aux moyens de sa mission auprès de tous .

Sacrements célébrés en 2019 :

• Baptêmes : 103

• Mariages : 13

• Funérailles : 112

Père Guy Ollagnier, Régine, Monique, Nicole

FINANCES

OFFRANDES DE MESSEVu les normes diocésaines applicables depuis le 01/01/2014

Vu la décision de la Conférence des évêques de France ;

A partir du 1° avril 2020, les montants conseillés pour les offrandes de messe seront fixées ainsi :

• Messe :18€

• Neuvaine de messe : 180€

• Trentain de messe : 580€

Fait à Lyon, le 17 février 2020-03-16 Mgr Michel Dubost, Administrateur Apostolique du diocèse de Lyon

Vos idéescommuniquent

04 78 19 16 16www.iml-communication.fr

69850 St-Martin-en-Haut


JOSIANE VIRISSEL 06 73 08 21 90

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Les religieux de nos villagesLes religieux de nos villages

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Mathieu SEGUYSpécialiste Monts du Lyonnais

06 40 06 44 37

Vitrine :www.mathieu.seguy.capifrance.fr


pâques - saint martin en haut | un site du diocèse de...

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