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PORT- FOLIO MARIN SAUVAGE 2011-2016

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P O R T -F O L I O MARIN SAUVAGE2 0 1 1 - 2 0 1 6

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Ce portfolio présente de façon antéchronologique une sélec-tion des travaux que j’ai réalisé dans le cadre de mes études en architecture (École Nationale Supérieure d’Architecture de Bretagne et à l’Institut Universitaire d’Architecture de Venise en Italie).Ces travaux sont développés dans une approche sensible de l’architecture.Chaque projet s’appuie sur l’étude détaillé du contexte et le re-questionnement permanent du programme et des usages. L’approche structurelle et technique est aussi prise en compte, chaque réalisation considérant les contraintes et possibilités en fonction du choix des matériaux.

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Architecte D.E.Marin Sauvage138 rue Branville, 14000 CAENTel : +33 07.79.82.21.43@ : [email protected] né le 17 octobre 1991

EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES :Collaborateur d’architecte. Vigier architecture à Bayeux [14]Participation permis de construire, esquisse : - Réhabilitation transformation d’un atelier de menuiserie en résidence principale BBC [50] : relevé, premières esquisses : plan, façades, coupe.- Rénovation extension d’une villa en bord de mer [14] : relevé, modélisation.- Extension d’une maison de campagne [14] : relevé, modélisation.

Collaborateur d’architecte. C. Proux architecte du patrimoine à Rennes [35]Participation phase APD, permis de construire : - Centre archéologique de Carhaix [29] : actualisation des plans, images d’insertions et élévations de concours (accessibilité, normes incendie).- Abbaye de L’Epau [72] : accessibilité de l’accueil, détail de balustrade rampe handicapé.

Participation candidatures, diagnostic aide à l’achat :- Manoirs du 16e et 17e siècles Chateaubourg [35] : relevé et relevé des pathologies, estimatif des travaux pour négociation à l’achat.

Collaborateur d’architecte. Vigier architecture à Bayeux [14]Participation permis de construire : - Rénovation extension d’une villa en bord de mer [50] : relevé, modélisation, premières esquisses (plan, fa-çades, coupe), estimatif.

Collaborateur d’architecte. META architecture à Rennes [35]Participation suivi du chantier, relevé, modélisation, consultation d’entreprises :- Ecole maternelle de Trégueux [22]- Groupe scolaire à Gahard [35]

FORMATION : Architecte diplômé d’état à L’ENSAB.Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Bretagne.

Projet de Fin d’Etude sous la direction de V. Jouve. L’île en chantier, foire d’empoigne à la plaine de Baud, Rennes.

Master 2 : Atelier avec C. Rannou , Séminaire Paysage avec M. le Barzic mémoire : Urbanisme nomade à Burning Man sous la direction de C. Rannou.

Master 1 : erasmus à l’Institut Universitaire d’Architecture de Venise (IUAV).

Licence : ateliers avec A. Schéou, D. Cras, H. Potin, P. Ben Soussan, O. Delepine, et P. Gresham.

Baccalauréat général scientifique (mention Bien).

AUTRES :Volontariat, chantiers participatifs :- Réhabilitation d’une grange en gîte en Charente Maritime [17] : chantier isolation terre-paille compactée.- Rénovation, éco-construction d’une auberge écologique sur le chemin de Compostelle [Asturie, Espagne] : intérieur (enduits terre) et jardin (terrasses, escaliers, maçonnerie).

Membre fondateur du collectif Vert de Gris : Association visant à promouvoir le réemploi en architecture, scénographie et design.

Logiciels :***** : Autocad, Archicad, Sketchup, Photoshop, Indesign, Illustrator, Pack Office**** : Revit, Artlantis ** : Allplan

Langues :Anglais : pratique régulière (TOEIC 915)Italien : bonne maîtrise (erasmus en Italie, BAC mention italien européen)

Permis B (octobre 2010)

20152 mois

Logiciels pratiqués :Archicad, Allplan, Indesign,

Photoshop.

2014 stage 2 mois

Autocad, Artlantis, Sketchup, Photoshop, Excel.

2014stage 1 mois

Autocad, Sketchup, Indesign, Excel.

2012stage 1 mois

Autocad, Sketchup.

2015

2013-2014

2012-20132009-2012

2009

20162 mois

2014-2016

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Foire d’empoigneLa plaine de Baud, une île en chantier.

FEVRIER-JUIN 2015

M2 PFE STUDIO L. DAUBAS – V. JOUVE

R. LABRUNYE - A. BONDON

projet avec M. Moinet

La plaine de Baud est une friche industrielle délimitée par la Vilaine et la voie ferrée. Proche du centre-ville de la gare et de l’université, elle fait l’objet d’un projet de ZAC qui expulse ses habitants et fait table rase de son patrimoine.Nous proposons un contre-projet, basé sur les enjeux sociaux, paysagers, urbains, et patrimoniaux du site.

DÉCOUVERTE ET CHOIX DU SITE : À la recherche d’un site industriel, nous avons redécouvert la plaine de Baud. Alors que les tractopelles finissent de faire disparaître les traces de l’histoire industrielle du lieu, nous avons eu envie de nous pencher sur ce qui reste, bâti entre autres.

CONSTAT ET OBSERVATIONS : Après une phase industrielle au 20e siècle, la ville de Rennes redécouvre la plaine de Baud et souhaite la reconvertir en quartier d’habitation. C’est un site stratégique et une réserve foncière, proche du centre-ville, de l’université et de la gare, qui peut répondre aux besoins en logements de la métropole. Malheureusement, les ZAC font peu cas et de la mémoire du lieu et du patrimoine industriel à la fois en tant qu’objet bâti, mais également en tant que volume de matériaux. De plus, la débauche d’argent, d’énergie et de matière qu’implique la construction de celles-ci nous semble peu en accord avec notre siècle, qui devrait, selon nous, être dominé par la décroissance. La rénovation architecturale et le réemploi de matériaux en sont pour nous des outils. L’arrivée programmée de 5200 habitants et 3700 emplois tertiaires va complètement modifier l’identité du site. À cette échelle (30ha), la ZAC tient plus du nouveau quartier, lequel doit se forger une identité. Au-delà de la mixité de populations et d’équipements, cette identité ne devrait-elle pas se fonder sur l’histoire du lieu, les habitants et les activités encore présentes ?

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Un site à l’échelle de la ville et de ses équipements.

La plaine de Baud, un espace à relier à la ville.

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Palympseste : Un site à l’histoire complexe.

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Un projet de ZAC qui fait table rase de l’existant.ANALYSE : Avant l’arrivée du chemin de fer vers 1857, la plaine de Baud était un espace agricole où se trouvaient le moulin de Joué ainsi que deux fermes, le Petit et le Grand Baud. À cet endroit, la Vilaine était également un lieu de baignade connu sous le nom de gué de Baud. La construction de la ligne de chemin de fer Rennes-Paris enclave la plaine au sud et accélère l’industrialisation de la zone avec l’arrivée en 1919 de l’usine de Soie Artificielle Rennaise en lien avec la Vilaine. Après une faillite rapide, les bâtiments sont revendus par lots à des entreprises de produits agricoles, de charbon, de matériaux de construction et une menuiserie. Elles profitent à la fois de la proximité avec la ville, de la Vilaine sur laquelle circulaient des péniches de sable et de la voie ferrée permettant l’arrivée quotidienne de fret. Pendant la guerre, le site subit des bombardements importants. La fin de la guerre voit l’arrivée de nouvelles activités polluantes, liées notamment au stockage d’hydrocarbures. En 1968, la construction du boulevard François Château et la canalisation de la Vilaine transforment à nouveau radicalement le site. Au fur et à mesure, les entreprises quittent les lieux et gagnent la périphérie pour des questions de place et de desserte.Ces hangars laissés vacants attirent une population d’artistes et de gens du voyage qui s’installent sur la plaine et continuent à la faire vivre jusqu’à aujourd’hui envers et contre tous.

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Contre projet paysager et urbain.PROJET : Nous proposons un contre-projet à la ZAC en révélant la richesse du lieu et ses points forts :

* Son histoire industrielle : sur le site se sont succédé pendant près d’un siècle le moulin de Jouet, l’usine de soie artificielle, différentes entreprises. Chacune à leur manière a impacté le site durablement. Ce lieu fait partie de l’histoire de générations d’ouvriers, d’industriels et leurs familles.

* Son histoire artistique et sociale : depuis 20 ans et le début de la désindustrialisation, le site et ses hangars ont été occupés par des jardiniers du dimanche, des gens du voyage et des artistes qui ont eux aussi marqué l’histoire du lieu et ont continué à le faire vivre.

* Nous voyons la plaine comme une île, dernière friche non bâtie à l’échelle de Rennes, et nous nous appuyons sur l’eau et les rails pour mettre en valeur ce grand espace.

Notre projet se développe de façon concentrique sur les traces existantes.D’abord au cœur des hangars, reconvertis en résidences d’artistes et lieux d’hospitalité ; puis le long de la Vilaine et des rails, avec un port, une station de train et des promenades faisant le tour de la plaine et la connectant à la ville ;Enfin en construisant de nouveaux logements sur les surfaces de parkings inutilisées.Le projet se construit avec les habitants et met notamment en œuvre des matériaux trouvés sur place grâce à un laboratoire et des ateliers de construction centrés sur les matériaux de réemploi.

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PLAN DE SITUATION

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« En s’installant sur les délaissés, les artistes créent de la valeur autre que marchande et spéculative. Ils interrogent les pouvoirs publics et montrent à leur échelle qu’ils sont en mesure de s’occuper de la ville ». Patrick Bouchain

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« Nous cherchons à construire, avec des matériaux humbles, des équipements qui ne modifient pas la valeur foncière des lieux sur lesquels ils s’implantent.Ne pas faire de surenchère qui contribuerait à la gentrification ni, inversement, sombrer dans des esthétiques trop pauvres. Mais c’est un équilibre fragile.» Superuse Studio

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FoyerBureaux

Atelierdécors

Ateliermarionnettes

Plateau 3

Plateau 2

Plateau 1 Stockage

Atelier

R+1 “nord”

Bureau garage

R+1 “sud”

Bureau associatif

PLAN ETAGES

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R+2 “sud”

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Salle de réunion

Salle informatique

Salle informatique

Exposition

Reserve

Salle de projection A

Salle de projection B

Reserve

R+2 “nord”

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La rue piétonne

Halle couverte, vers les atelirs d’artistes

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La rue piétonne

L’entrée de la salle de sport

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La rue Jorge Semprún un jour de concert chez Radio Caroline

Le passage

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Le chapiteau

Radio Caroline, façade ouest

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Jardinage, bricolage et vie nomade sous la serre [D]

Chapiteau et workshop sur la place centrale [A]

LA “SERRE” : Notre projet propose de démonter le hangar de stockage existant pour créer une ouverture vers “L’huilerie”. Nous réemployons ensuite les fermes pour créer un grand jardin couvert reliant quatre nouveaux bâtiments. La serre, équipée de sanitaires et cuisine, permet d’abriter les caravaniers de l’élabo le temps d’un hiver ou d’une réparation ; ils peuvent aussi y faire pousser fruits et légumes sous un climat plus clément.

LA PLACE : Le parking entre les deux entrepôts de stockage devient la place centrale du quartier, lieu de rassemblement et de festivités. Elles est dominée par une grue de 20m de haut permettant de suspendre un chapiteau ou un écran géant quand elle ne sert pas au déplacement des matériaux. Fermée à l’ouest et à l’est par “la serre” et le laboratoire, la place s’ouvre au sud sur le spectacle de la voie ferrée. Au nord, un mur végetal composé d’échaffaudages permet de créer une transition avec les ateliers d’artistes et d’offrir un parcours surelevé.

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Cour des matériaux [F]

Le tram-fret sort du laboratoire de réemploi [E]

LA COUR DE MATERIAUX : Cette petite place à l’arrière du laboratoire sert aux dechargement et au stockage temporaire des matériaux de réemploi prêts à être testés.

LE LABORATOIRE :Ce grand hangar de 6000m² est composé de quatre nefs parallèles accolées à un quai de déchargement de trains. Servant à l’origine de plateforme pour une socièté de transport, il est aujourd’hui en grande partie vide. Notre projet vise à profiter des rails et de ces grands volumes pour en faire un laboratoire de tests pour les matériaux de réemploi en lien avec l’université. Les matériaux issus de chantiers de démolitions rennais arrivent par camions, train ou péniche et sont testés ici avant d’être réemployés pour de nouvelles constructions sur le site.

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Hyper-situationSEPTEMBRE-JANVIER 2013-2014

M2 STUDIO C. RANNOU

projet avec B. Terrien et V. Terroitin

Dans un hameau presque vide aujourd’hui, tenter de créer une dynamique et d’ici 20 ans, arriver à une autonomie alimentaire et énergétique, accueillant une cinquantained’habitants.

L’activité intensive de la porcherie est arrêtée au profit d’une activité maraichère qui redessine et enrichie les terres alentours en lien avec l’écologie du fond de vallée et les forêts qui deviennent nouricières. La place vacante permet d’accueillier deux programmes forts. Une recyclerie, permet d’une part, aux habitants et scolaires de Trédaniel et Moncontour d’apporter leurs vélos, et petits appareils pour apprendre à les réparer ; et accueille d’autre part, jusqu’à 5 artisans qui peuvent utiliser la ressourcerie/recyclerie pour élaborer et vendre leurs créations. L’autre programme essentiel est la salle des fêtes pourvue d’une cuisine et deux étages pour accueillir des salles associatives qui permetent à des associations d’y proposer de multiples activités. C’est aussi un lieu d’accueil temporaire (en dortoir) pour des jeunes qui durant une période donnée peuvent participer à la vie du hameau. Pour installer ces usages dans l’existant, on a cherché à créer des signaux en surélevant certaines tranches de hangars, fabriquant des repères dans le paysage. L’articulation des vieux bâtiments en pierre à mis en lumière la pré-existance de passages étroits. Cette typologie est travaillée à deux reprises, générant un espace tampon, lien entre deux mondes.

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MAQUETTE COUPE SUR LES LOGEMENTS 1/50e

MAQUETTE DE SITUATION 1/200e

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PLAN DE MASSE ET CHRONOLOGIE PROGRAMATIQUE

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PLANS DE RDC ET ETAGES

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VUE SUR LE PASSAGE HABITÉ

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COUPE O-E SUR LA MATERIAUTHEQUE ET LES LOGEMENTS

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PLAN DE LOGEMENT R+1

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Habiter dans une porcherie ?L’espace entre les deux murs en brique de l’ancienne pro-cherie sont utilisées pour créer l’entrée. C’est l’interfce exté-rieur-intérieur, jardin-maison.Des rangements sous plancher sont accessibles grâce à des trappes côté logement et grâce à des tiroir côté atelier. Chaque logement dispose d’un patio extérieur et de balcons ouverts sur le passage couvert ou sur les champs. Les cloi-sons légères permettent de faire évoluer le logement en suivant le rythme de la vie de ses habitants. Les cuisines peuvent être fermées ou ouvertes sur le salon. Chaque logis peut être indépendant ou lié à un atelier en rez-de-chaussé. Celui-ci est facilement modifiable pour y créer un studio à louer ou rendre traversant un atelier. Toutes les habitations ont aussi une pièce en plus.

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Laboratorio integratoOCTOBRE-DECEMBRE 2012

M1 STUDIO A. AYMONINO

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Archittetura e Città

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DETAIL 1

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DETAIL 2

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PLANS COMMERCES ET LOGEMENTS

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PLANS COMMERCES, BUREAUX, RESTAURANT

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ELEVATIONS ETUDES DE DESORDRES ET MATERIAUX

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Salle de concert et résidences

FEVRIER-JUIN 2012

L3 STUDIO P. GRESHAM

Dans le 19e arrondissement, entre le canal de l’Ourcq et la Petite Ceinture, un projet dans un contexte fort. Le projet est dévellopé autour du groupe en résidence (Magma) et de leur univers. L’entrée sur le site se faisant sous les arcades de la petite ceinture, on découvre un grand parvis désertique et une nouvelle série d’arcades qui soutiennes la salle comme un grand vaisseau métallique.

MAQUETTE DE SITE

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PLAN DE RDC

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PLAN ETAGES

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VUE 1 : entrée sous les arcades.

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VUE 2 : sous la salle de concert.

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Maison portraitOCTOBRE-JANVIER 2011-2012

L3 STUDIO O. DELEPINE

A partir du portrait d’un inconnu develloper des images referentes puis des objets et des espaces sous la forme d’abstraction lyrique [cf. Boullé et Aldo Rossi].

Isaac est horloger, fabricant d’automates. Sa maison acceuillant ses petits enfants et son atelier est a son image. Derrière la rigueur d’une trame struc-turelle en acier, des jeux de niveaux en terrasse offrent des vues et des parcours ludiques. Chaque espace est traité comme un engrenage propre qui s’enclenche dans le mécanisme général.

AXONOMETRIE GENERALE

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PLAN DE RDC

PLANS R+1 R+2

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MAQUETTES DE TRAVAIL (INTERIEUR)

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MAQUETTES DE TRAVAIL (FACADE SUD)

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Monument aux bainsMAI-JUIN 2011

L2 STUDIO P. BEN SOUSSAN

projet avec A-S. Bourdais.

Un espace dedié à l’eau et aux soins du corps au coeur de Rennes.Le programme se deploit le long d’une spirale ascendante entourant les circulations verticales. Ainsi se succédent vestiaires, bar gastronomique, bassin chauffé, salle de massage, hammam et salle de fitness.La pente permet aux corps, qu’ils soient allongés ou en mouvement, d’ex-périmenter un nouveau type d’espace avec un panorama à 360°.La trame resserrée de poteaux en acier souligne la verticalité de la facade de verre de plus en plus transparent.Par la suite, ces grands plateaux avec une hauteur de plafond de 6m, peu-vent facilement se reconvertir en espaces d’exposition, librairie, ou amphi-théatres.

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P R O J E T S P E R S O N N E L S2 0 1 5 - 2 0 1 6

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Vert de GrisL’association créée à Rennes en décembre 2014 réunit une dizaine de per-sonnes d’horizons variés autour des questions relatives au réemploi des matér-iaux dans la construction.

Pour plus d’informations : collectifvertdegris.com

Le Brunch des créateurs, 24 et 25 Mai 2015, Hall Martenot, Rennes.

Le projet consiste dans la réalisation d’un partitionnement de l’espace de 1200 m2 de la Hall Martenot pour recevoir les créateurs, le restaurant et les ateliers du Brunch.Cette scénographie doit pouvoir être montée/démontée en une demi-journée.Pour cette scénographie, nous pré-employons des matériaux, c’est à dire que nous les utilisons, avant leur mise sur le marché.Notre projet ne génère pas la fabrication de produits neufs, ne consomme pas de nouvelles matière première, et ne produit pas de déchets.La solution choisis est la suivante : tendre des filets anti-chuttes pour échafaudage à travers le hall. La plus grande portée dépasse les 26 mètres. Les filets nous sont prêtés par un artisan qui les utilisera sur ses chantiers à l’issu du salon.

Brunch des créateurs ©Gaelle Evellin Photographer

Brunch des créateurs ©Gaelle Evellin Photographer

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Chantiers participatifsAu cours du printemps 2016 j’ai pu m’impliquer dans plusieurs chantiers d’éco-construction réhabilitation.

En Charente Maritime pour la réhabilitation d’une grange traditionnelle en gîtes. Après un rejointoiment du mur à la chaux, nous avons réalisé la struc-ture en bois supportant une isolation terre-paille coffrée de 30cm. Cette tech-nique permet une très bonne isolation avec masse thermique et conserve la respirabilité du mur.

En Asturie (Espagne), sur le chemin de Compos-telle, j’ai participé à la rénovation d’une auberge écologique. A l’intérieur par la réalisation d’enduits terre-paille ; et en extérieur par la réalisation de terrasses, murets et escaliers destinés à supporter des buttes de cultures écologiques.