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PORTFOLIOYASMINA BENABDERRAHMANE

2017

DIE HECKE 2008, tirage argentique baryté mat monté sur alu, édition de trois +2 E.A., 120 x 180 cm.

«Ce que l’on voit, où ce qui est donné à voir serait ou ne serait pas véritablement ce que l’on voit.»

On peut alors se poser la question de savoir si dans mes photographies ou dans mes films, on ne se contente pas seulement de reproduire la réa-lité, l’acte même d’imager ou en quelques sortes si ces artifices créent toujours une fiction.

Le vrai, le faux, la réalité, l’apparence, les faux semblants, la mascarade: j’observe et sonde la force, les raisons profondes de l’objet représenté. Les images peuvent entretenir une confusion déstabilisante entre la réalité et sa représentation. Au-delà de la visibilité de l’image, il n’y à rien à voir puisque l’image concentre sur elle toute la visibilité.

Visible et invisible s’oppose non comme deux contraires logiques mais la vérité de l’un fait se révèle à la vérité de l’autre. Le simulacre ou l’illusion qui satisfait le regard en saturant le visible. L’image ne renvoie qu’à elle-même et bloque sur elle tout mystère — Eïdon (l’idée) et l’Eïdolon (l’image /phan-tasme). Cette idée prend forme par des détails ou fragments de corps, des séries de portraits qui relèvent des quotidiens, de portraits-paysages, d’objets, de restes, de gravats, d’ossements, d’espaces ou de lieu qui citeraient le corps sans le montrer.

LesphotographiesetfilmsdeYasminaBenabderrahmanevisentàdévoiler lapartdesimu-lacreinhérenteàcesmédiums.Reflétantinvariablementune«inquiétanteétrangeté»,sesœuvres,sanspourautanttémoignerdetrucagesetautresmanipulations,instaurentundécalage,aussiinfini-tésimalsoit-il,synonymed’écartoudeperte.Fixesouenmouvement,sesimagessedonnentainsiàvoirjustemententantqu’imagesetnecherchentpasenpremierlieuàaccentueretencoremoinsàinterpréterceàquoiellesrenvoient.Ilnes’agitpaspourautantdeminimiserlachosereprésentéedanslamesureoùcesontfinalementtoujourslemodèleoulemotifquidonnentàl’artiste,augrédesesflâneries,l’impulsionpremière,luipermettantd’amorcerpuisdeconcrétiserleursdevenirsiconiques.QuecesoientlesjambesdelaprostituéerencontréeàCopenhague(Mascarade),lecouplefilmédanssonséjour(Unematinée),lamaisondissimuléeparunehaie(DieHecke)oulatenteenfouiedansunbois(DasKino),lesélémentsphotographiésoufilmésparYasminaBenabderrahmaneseconvertissenttoujoursendonnéesphotographiquesetfilmiques.Lesopérationsdecadrage,defragmentation,dedéveloppement,dedécoupeetdemontagegarantissentbienentenducetteconversion,toutcommelavolontédesoulignerl’épidermerecouvrantlachairpelliculaire.«Au-delàdelavisibilitédel’image,affirmel’artiste,iln’yarienàvoirpuisquel’imageconcentresurelletoutelavisibilité». ErikVerhagen.

DAS KINO MASACRADE

EROTICA UNIVERSALISHALL À LA RIVIÈRE

L’ANTRE2009,Vued’expositionduDNSEP,

AtelierTosani,ENSBA,Paris.Affiche,impressionlasernoiretblanc

240x403cmmiseenpagedeJulieJoliat

éditiopncatalogueENSBAParis.

« Portrait-Paysage » évoque l’effleurement de fragments de corps et de motifs sous forme stratifié. Elle se révèle grâce au montage. L’érotisme et la pudeur d’un corps en est révélé, image par image.

PORTRAIT-PAYSAGE 2009, film super 8, couleur, muet, numérisé, édition de trois +2 E.A., 3’34’’.

Un effeuillage de visage en grain et en matière suggère l’idée du soulèment de la peau entre l’artificielle et naturelle, elle est comme une révélation regénérative. Un geste, une action. Cette face latente et au repos se dérobe en une enveloppe de beauté protectrice en mutation.

DEMASCARA 2008, film Super 8, muet, noir et blanc, numérisé, boucle, édition de trois +2 E.A., , 1’00’’.

MASQUE DE PRIERE c-print monté sur alu, 90 x 120 cm , édition de trois +2 E.A.- 2010.

CORPS-PAYSAGE 2012, série, édition de trois +2 E.A., , 60 x 60 cm..

MASQUE DE PRIERE 2015, affiche panneau 4m x 3m, Billboard Festival, Casablanca.

Crédit photo: Coline Marotta

COLLECTION MINERALEphotographie argentique noir et blanc cadre bois , édition de trois +2 E.A., 33 x 33 cm - 2011.

‘‘Film is landscape and silence, while video is close-up and sound’’ Vito Acconci.

Dans la rigueur de l’expérimentation, Yasmina Benabderrahmane construit une œuvre doublement sensible et scientifique qui déjoue les points de signifiance du réel. Ses photographies et ses films forment, plus qu’une série, un véritable corpus actant d’un processus de recherche. A hauteur de son regard, le paysage du monde et des corps qui l’habitent, des frag-ments de nature, des éléments d’architecture ou de corps, qui du micro au macro, sont identiquement enregistrés. Difficile de parler de sujet à proprement parler, ou plutôt de prétexte, car précisément ces éléments n’en sont pas dans l’œuvre de Yasmina Benabderrahmane. Sensibles, photo-sensibles , ces éléments apparaissent davantage comme des marqueurs, des structures d’enregistrement du monde. Précisément, l’appréhension du sujet disparaît au profit de l’expérience sensible ; au profit de ce que ces éléments sont en tant que formes, plutôt qu’en tant que représentations. Un processus qui définitivement prend le parti du tangible plutôt que de celui de la projection et des fantasmes qui lui sont associés. Le corps n’est pas ici un élément du romantique, mais toujours cruellement terrestre. Aussi une dichotomie corps / paysage structure-t-elle l’œuvre de Yasmina Benabderrahmane, plaçant ainsi ces fragments sur le même plan physique, phénoménologique, de sujets devenus formes. Pour introduire peu à peu le sentiment de l’érosion qu’a subie la confiance même que nous portons à la seule expérience visuelle et en notre croyance acharnée en un réel signifiant.

Leslie Compan.

Vue d’exposition Primo Piano, Paris, 2011.

Commissariat: Emilia StocchiLieu: Primo Piano,Paris.

Crédit Photo: Constance Nouvel

Vue de projection La Villa Jumelle, Primo Piano, Paris, 2011.

LA VILLA JUMELLE film Super 8, muet, transféré sur dvd, édition de trois +2 E.A., , 14’11’’, photogrammes - 2011.

Là où le langage, comme exténué, lassé de son irrésistible puissance mé-tamorphique, cherche à se taire – cherchant moins sa tombe qu’une aire de repos (un cube, un bloc, une matière hantée par la géométrie : mystère sourd), un berceau où le balancement prendrait soin, avec une solidité inespérée, de la blancheur du silence, là où le langage sensible à son aphonie perd ses mesures et meurt au contact des dernières équerres, l’écoute minérale – une pierre d’eau, un cristal, du sel... - ouvre ses fréquences, conjure cette sorte de « silence radio » d’où ne parviennent plus aucune voix, aucune information, aucun message, et par le prodige de la plus étrange des abstractions sculpte un langage de l’inaudible, langage de lumière minérale issue du plus sombre écart.Les corps s’effacent, les pensées humaines se retirent (meurent-elles alors ?), les dé-serts prennent l’espace ; opacité et transparence se substituent au rythme des nuits et des jours, la terre s’éloigne... et c’est le moment inouï où les pierres, les roches, les failles et l’ordre des minéraux vient au monde, se soudent, solidaires, se forment et se configurent pour construire et perpétuer un monde récusant le vide, conjurant, même muet, le néant. Ordre des choses, ordre des matières, sidérant de reliefs et de beauté insensée. L’énigme est là, multiple, créant (créante, pourrait-on dire) à l’infini le désir d’une parole à venir auquel la science donne ses noms, peut-être sans savoir. Elle appelle un livre – un nouveau livre : celui qui se tient entre nos mains, sous nos yeux, rêvé par Yasmina, au titre de la chance... nom ouvert à la vie.

Daniel Dobbels.

Vue d’exposition La Jeune Création 2013, CentQuatre, Paris, 2013.

STELLE, baryté mat monté sur dibon, 100 x 110 cm - 2013.

STYX film Super 8, muet projection gonflé en 6mm, 29 images, loop- 2013,

https://vimeo.com/82400375

Je suis issue d’une part d’une famille musulmane pratiquante : la représentation du corps est vue comme un sacrilège. D’autre part je suis fille de coiffeurs et ai grandi dans un institut de beauté. Pour autant, le rapport au corps a toujours été un tabou dans ma famille. Cette dichotomie entre le corps pudique dans la sphère intime et le corps public est pour moi source d’étonnement et de fascination. J’aspire à montrer ce que l’on ne voit pas et à détourner ce que l’on voit.

En 2008, j’ai réalisé un film super 8 couleur sur ma grand-mère maternelle d’origine marocaine « Portrait Paysage ». Une description pudique, en motif, en matière et en texture. La renardière est un nouveau portrait en installation à multiples volets, cette fois-ci de ma grand-mère paternelle, rencontrée récemment. J’ai eu envie de saisir et de donner à voir certains fragments de sa vie à travers des anecdotes qu’elle me racontait. Gigi a toujours été une énigme pour moi. Lors de notre première rencontre, un effroi m’est soudainement venu : cette femme, ainsi que sa fille, me ressemblaient —Trait pour Trait. Ma grand-mère paternelle, originaire du Nord-Pas-de-Calais depuis plusieurs générations, vit actuellement dans la banlieue Lilloise. Après plus de vingt-cinq ans d’union, « Gigi » a fuit à l’âge de quarante-cinq ans son mari d’origine algérienne. Ils ont tous deux dirigé des bars- discothèque en Europe ainsi qu’un « Hôtel de passe » à Aachen. Cette femme que j’ai rencontrée pour la première fois à vingt-trois ans a toujours été une énigme pour moi.

Trois films tourné-monté en super 8 et en 16mm présentent de multiples volets en dévoilant le personnage principal : des fragments d’images pour des fragments de vies - ses dires, sa voix rauque et asthmatique, morcelés en souffle continu et en mots - ponctuent l’installation qui s’intitule « La Renardière ». L’image n’est faite que de grain. La pellicule réagit comme la chair: ça souffre, ça vit, ça se travaille, ça se retravaille, ça s’en prend plein la gueule. La pellicule comme un bout de vie, un morceau de vivant. Un corps torturé volontairement ou accidentellement. Un corps interdit et passionnel en devient pernicieux, à la limite blasphématoire. Cette dichotomie entre le corps pudique dans la sphère intime et le corps publique est source d’étonnement et de fascination. Un catalogue de vie que je dissèque comme un corps, morceau par morceau, une suite d’images en matière.

Un catalogue de vie que j’énumère métaphoriquement, en liste descriptive, comme le ferait un enquêteur impliqué, subjectif et touché. (Y.B.)

PANORAMA 16SOLUS LOCUS

Commisariat: Mathieu OrléansScénographie: Ramy Fischler

Studio national des arts contemporain Le Fresnoy

crédits photo: Marc Domage.

LA RENARDIÈRE Installation de film Super 8 et 16mm, sonore (GIGI et LE CALDARIUM /LE SACRIFICE) - 2014.

Production: Le Fresnoy.

Bain céleste... crissement, tréfonds et volupté, est un voyage onirique et apocalyptique (ce dernier adjectif entendu au plus près de son étymologie, « apokaluptein » — découvrir, révéler) à fleur d’une photographie.Grâce à un processus d’altération chimique, issu d’une pratique photographique traditionnelle appelée « mordançage », une masse inerte prend vie dans un bain de révélateur. Un paysage anthropomorphe se dévoile, une chair pelliculaire se révèle. La surface épidermique est le théâtre d’une expérience sensorielle, visuelle et sonore. Un épiderme photosensible se décolle, se meut et devient reste. Les écrans entoilés révèlent un micro-organisme en image et un «micro son». Ils vibrent au contact du son telle une membrane que l’on peut effleurer du bout des doigts et contre laquelle on peut poser l’oreille. Nous engageant dans un voyage infinitésimal dans une matière-objet : la surface mise à nu conserve les diverses traces tel un corps, un paysage magnifié, qui en devient sacré. (Y.B.)

BAIN CELESTE film, HD, couleur, extrait vidéo, 16/9, sonore - 2016.

[…] « Le pli a toujours existé dans les arts ; mais le propre du Baroque est de porter le pli à l’infini. Si la philoso-phie de Leibniz est baroque par excellence, c’est parce que tout se plie, se déplie, se replie. » […] Gilles Deleuze

BAIN CELESTE Installation visuelle, sonore et sensorielle, dimensions variables,

vidéo sonore, 26’47’’ - 2015.Production: Le Fresnoy_crédits photo: Lucie Ménard (haut)

PARCOURS / BIOGRAPHIE

Yasmina Benabderrahmane s’est formée Villa Thiole à Nice auprès de Patrice Giuge. Après son admissibilité à la Villa Arson ainsi qu’aux Beaux-arts de Paris, elle rejoint la capitale et y a passera six ans.(atelier de Patrick Tosani et d’Eric Poitevin). Elle expérimente divers médiums, principalement la photographie et le film. A la suite de son DNSEP en 2010, elle intègre l’Atelier Choi pendant trois années en tant que retoucheuse traditionnelle ainsi qu’au tirage argentique. YB. participe à plusieurs résidences et stages artistiques, en France, en Allemagne à l’UDK - l’Universität der Kunst de Berlin en 2007 et au Nigéria à l’Université de Yabatech à Lagos en 2008. L’artiste partcipera à plusieurs expositions dont le 54e salon d’art contemporain de la ville de Montrouge en 2009, le salon de la Jeune Création en 2013 et réalise en 2011 sa première exposition personnelle à Primo Piano. En 2013, elle intègre Le Fresnoy - Studio National des Arts Contemporains. Elle performera sa pratique filmique auprès d’un réalisateur et artiste plasticien Ben Rivers et passera son diplôme en 2015 avec mention au côté d’Arnaud Petit, célèbre compositeur, qui l’initiera au monde sonore. Depuis, elle poursuit ses recherches et pratiques artistiques entre le Maroc et la France.

ÉTUDES / FORMATIONS

Diplôme du Studio national des arts contemporain - Le Fresnoy, Tourcoing, France.Diplôme National Supérieur des Beaux-Arts de Paris, DNSEP, Juin.ENSBA Paris - Atelier Patrick Tosani / Atelier Eric Poitevin Échange en Allemagne à l’UDK - Universität der Kunst- Atelier Katharina Sieverding et Kristahn, Berlin, Allemagne.Diplôme National des arts plastiques (DNAP), ENSBA, Paris, France.

Yasmina BENABDERRAHMANE

Née le 01/10/1983 à Rueil-Malmaison Vit à Colombes et travaille au Pré-Saint-Gervais.yasmina.beabderrahmane@gmail.com

BOURSES2008 - 2009 : Bourse d’aide aux projets de la ville de Paris.

2008 : Bourse d’échange - TOTAL Nigeria (partenariat avec le Centre culturel français d’Abuja et de l’Alliance Française de Lagos).2007 – 2008 : Bourse de l’Office franco-allemand pour la Jeunesse (OFAJ).

EXPOSITION PERSONNELLE

2011 Primo Piano, première exposition personnelle - commissariat Emilia Stocchi, Paris, France.

2017 EAC Lers Roches - Projection de Bain Céleste - invitation de Leïla Simon pour «Aquarius» exposition personnelle de Charlotte Charbonnelle, Chambon-sur-Lignon, France. FFF _ FESTIVAL DE FILM DE FESSES - La Filmothèque, Paris, France. CHERCHER LE RESEAUX - LA STATION - Garage Mu - Commissariat de Paul Heinz et Noé Grenier , Paris, France. FANTAISIES - Le Celsius - Ateliers ouvert Celsius d’été - Commissariat de Claire Vaudey , Le Pré-Saint-Gervais, France. HOTEL EUROPA - Foire d’Art Vilnius, curaté par Théo-Mario Coppola, Vilnius, Lituanie. SOUS LE COL DE CYGNE - Un projet de l’Asso. Arborescence - Le Triangle Des Bermudes - Ateliers Ouverts 2017, Diedendorf, France.

2016 ROMANTISME NOIR - Le crépuscule des images - EXPRMNTL GALERIE - Duo avec Vincent Lemaire - Curaté de Théo-Mario Coppola , Toulouse, France. LE PARADIS, UN PEU PLUS LOIN - Galerie Dix9_Hélène Lacharmoise - Commissariat de Théo-Mario COPPOLA, Paris, France. GLISSEMENTS _ MUSEE DE FERROCARRIL DE ASTURIAS UNE INVITATION DE PACA - CASA ANTONIO sur une proposition de La Vidéothèque, Gijòn, Espagne. FANZINES! _ Revue composition VII - sur une invitation de Dorothée Davoise et de Sophie Gaucher, Folie L5, La Villette, Paris . FESTIVAL VIS-À-VIS - Carte blanche à Romain Semeteys - Le Châssis invitation par le collectif BLBC/Galerie Düo, Paris, France. FESTIN CHEZ TRIMALCION - Video Night sur une proposition de Théo-Mario Coppola, Atelier La Mine, Montreuil, France. FIAV_ 22ème édition du festival international d’art vidéo de Casablanca - Carte Blanche à Randa Maroufi, Casablanca, Maroc. Festival 100% EXPO, la grande Halle, LA VILLETTE, commissariat de Charles Carcoppino, Paris, France. COORDONNEES, Circuit d’art contemporain Pantin - Le Celsius, Le Pré-Saint-Gervais, France. LA REDITE EN SOMME, NE S’AMUSE PAS DE SA RÉPÉTITION SINGULIÈRE - Palais de Tokyo, curaté par de Sara Favriau & Cécile Welker, Paris, France. GIRLS: En équilibre sur la fine pointe de l’instant. - Galerie Metropolis, Paris, France. Pléorama #1- Video Night , Carte blanche à Johan Decaix, Progress Gallery, Paris, France.

2015 Panorama 17 - Techniquement douce- Le Fresnoy, Studio National des arts contemporain - Commissariat Didier Semin, Tourcoing, France. Billboard Festival- Musée de la villa des arts de Casablanca, Casablanca, Maroc.2014 Espace Clovis XV - Confort moderne, Bruxelles, Belgique. AnyWhere Multiples - AnyWhere Galerie, Paris, France. Panorama 16 - SOLUS LOCUS - Le Fresnoy, Studio National des arts contemporains - commissariat de Mathieu Orléans, Tourcoing, France

2013-2007 Jeune Création 2013, Centquatre - Établissement artistique de la Ville de Paris - Paris, France. Code et systèmes clos, Galerie Perception Park, Paris, France. Les rencontres Traverse Vidéo - Artiste invitée invitée par Simone Dompère -15ème édition - «Faut Voir», Toulouse, France. Made in Choi., commissariat de Choi-Chung Chun, David De Beyter et Yasmina Benabderrahmane - Atelier Choi, Paris, France. Outre Forêt, 6b, commissariat: Mathieu Buard & Joël Riff - Saint Denis, France. Laboratoire 02, Anisgras, Paris Sud galerie, avec Bérangère Hénin et Caroline Yé, Arcueil, France. A Fleur de Peau, sur une proposition de Laure Salmona, inspirée des travaux du Baron, Jean-Louis Alibert, Domaine «les Aliberts», Martiel, Aveyron, France. ENSBA, commissariat PatrickTosani, invitée pour les 50 ans du ministère de la Culture,- octobre, Paris, France. 54ème Salon d’Art Contemporain de la ville de Montrouge - commissariat de Stéphane Corréard - Avril/Mai, Montrouge, France. Galerie de la Royal Guest House of Yabatechnology et Alliance Française du Nigéria- Workshop avec l’artiste photographe J.D.Okhai Ojeikere - Lagos et Abudja, Nigéria. ENSBA - Suite Ornementale, commissariat: Thomas Golsenne, Paris, France.

EXPOSITIONS COLLECTIVES

PUBLICATIONS / PRESSES

2017 artpress2 n°45 mai 2017 – « L’effet Fresnoy » LA PHOTOGRAPHIE A L’EPREUVE par ETIENNE HATT. 2016 REVUE COMPOSITION VII Avec Coraline de Chiara sur une invitation de Dorothée Davoiseet de Sophie Gaucher, création coffret édition et oeuvre original, Le Pré-Saint-Gervais.

2015 TECHNIQUEMENT DOUCE Catalogue d’exposition Panorama 17,Graphisme: Florence Lelièvre, Le Fresnoy, Tourcoing. artpressn°428 décembre 2015 «Techniquement douce»,Texte Etienne Hatt. ArthebdoMedias, magazine sur tablette, e-mag n°14 «Au delà de l’image», Texte de Véronique Godé. Nord éclair, «Techniquement douce». La voix du nord, «Techniquement douce» de Christian Vincent. L’avenir le courrier, «Techniquement douce», Presse Belges.

2014 SOLUS LOCUS, Catalogue d’exposition, Panorama 16, Le Fresnoy, Tourcoing COLLECTION MINERALE Création d’un coffret éditione - oeuvre originale de photographie argentique tiré par l’artiste, Série limité, Heidi editions. 2013 JEUNE CREATION 2013 - Catalogue d’exposition, Paris.

2012 FAUT-VOIR - Catalogue -15ème édition «Les rencontres Traverse Vidéo»,Toulouse.

2011 Dépliant, première exposition personnelle, Primo Piano, Texte écrit par Leslie Compan.

2009 101- Catalogue du 54eme Salon de Montrouge - Feuillet quatre page et texte écrit par Erik Verhagen, Les éditions Particules, Paris. 09 - Catalogue des diplômés des Beaux-arts de Paris de 2009, Les éditions,Graphisme: Julie Joliat. EROTISME AU FEMINIM, Psychologie Magasine, Hors Série, page 111, Paris.