portfolio 2013 paul barrère

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P AUL BARRERE [I ngénieur ] * [A rchitecte ] 2010-2013

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Paul Barrère ingénieur architecte Portfolio de master d'architecture

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Page 1: Portfolio 2013 Paul Barrère

PAUL BARRERE[ I n g é n i e u r ] * [ A r c h i t e c t e ] 2 0 1 0 - 2 0 1 3

Page 2: Portfolio 2013 Paul Barrère

2

Page 3: Portfolio 2013 Paul Barrère

3

Paul BARRERE21 Janvier 1988

90 Avenue Mozart, 75016 [email protected]

+33 6 26 33 80 75

Architecte de l’Ecole de LyonSpécialité Patrimoine

Ingénieur de l’Ecole Centrale de LyonGénie Civil et Développement Durable

Classes préparatoires MPSI / MP*Baccalauréat Mention Très Bien

ARCHITECTURE INGENIERIE DESSIN

Projets de master au sein des départements Histoire & Patrimoine ; Pratiques et Processus de l’Innovation ; Architecture, Formes et Transformations.

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE 4Projet urbain à Lyon de 10 Ha sur

une usine d’automobile 1900/1920

WORKSHOPS 12A Istanbul sur le quartier de Karakoy

Au musée Gallo-Romain de Lyon

AUX PORTES DE l’ESS 14Architecture événementielle à Cordoue

pour l’Economie Sociale et Solidaire

PART-DIEU VILLE-PAYSAGE 16 Projet urbain à Lyon de 30 Ha sur

un quartier des années 70 / 80

“LA LUMIERE DANS 21LE DESSIN D’ARCHITECTURE” Mémoire

Projets d’ingénierie réalisés lors des stages de 2ème (2 mois) et 3ème années (5 mois) à l’école Centrale.

THERMOAERAULIQUE 22D’UN ATRIUMBureau d’études HQE Etamine à Lyon

REINGENIERIE 23DU LOGICIEL SOLENELaboratoire CERMA de l’Ecole

d’Architecture de Nantes

Sélection de dessins issus de ma pratique personnelle.

ENCRE OU CRAYON 24 DE PAPIER

ENCRE ET CRAYONS 25DE COULEURS

Page 4: Portfolio 2013 Paul Barrère

ARCHITECTURE 4DESSININGENIERIE

L’USINEDES SAVOIR

FAIRE2013AVEC MARION GERBEAUXET CLAIRE LEROY

PROJET URBAIN DE 10 HAPATRIMOINE AUTOMOBILELYON 3EME

« La positivité [de Lyon et St-Etienne] est condensée dans le «savoir-faire». [...] dans ces deux villes, «on pense avec les mains». »P. Dujardin, politologue L’activité industrielle de l’usine RVI s’est terminée en 2000 et elle représente un des derniers témoins de l’histoire automobile lyonnaise. Le sujet consiste à réfléchir à un autre projet de reconversion que celui en cours de réalisation. Nous considérons la nappe de sheds à la hauteur des enjeux urbains, et travaillons par strates en réactivant le site sur le long terme par l’installation d’un pôle des Savoir-Faire.

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire

Intentions et gestion de projet

PFE AFT 2013

UN PROJET INSCRIT DANS LE TEMPSUne gestion de projet intégrée: Maîtrise d’OEuvre Urbaine

LES INTENTIONS

Le Plan-Guide

Transmettre la mémoire

Appropriation du site Ré-insertion dans l’économie «Le déchet n’existe pas»

Traiter la pollution

Développer un projet durable

Etat projeté en l’an 2000

Etat des lieux en l’an 2000

Le quartier

POSITION FACE AU PROJET REEL

L’activité industrielle s’arrête en 2000. Le Grand Lyon met en place un projet urbain qui conduit au démantelement de l’usine. Seule une épaisseur de 12m de sheds est conservée. Pour un ténèment représentant en surface le tiers de la Part-Dieu, l’usine a été banalisée en un morceau de ville quelconque. Cette orientation ne nous semble pas pertinente pour un tel site, et en conséquence nous réécrivons l’histoire à partir de 2000.

PRENDRE LE TEMPS

Le Temps est notre concept-clé. Nous proposons une histoire continue et dans le dialogue. C’est ainsi que nous pourrons exploiter au mieux le potentiel de l’Usine et répondre aux enjeux urbains. Le projet développe donc une gestion particulière, afin de s’affranchir des temporalités politiques et économiques classiques.

Une gestion de projet inspirée de l’expérience de l’équipe de Chemetoff à l’Île de Nantes

LE PÔLE DES SAVOIR-FAIRE

Un programme mixte Plan programmatique

Centre sportif

Jardinpublic

Café “Slow-food”

Maison du projetMaison de quartier

Espace des mémoires

BibliothèqueCentre de conférence

AFPIA FCMB

RecyclothèqueLaboration dépollution

Galerie d’exposition artisanat SEPR RU Altermarché

Restaurant inter-entreprise

202020162012200520001998

202020152010200520001998PROJET PROPOSÉ

Dépollution par les plantes

Recherche d’investisseurs

Concours + lancement projet urbain

Implantation des programmes structurantsImplantation des autres programmes

Réhabilitation des sheds

Permanence à la maison du projet

Relai de la MOE Urbaine pris par le STAP

FricheRecherche d’investisseurs

Construction du campus SEPR-AFPIA-FCMB

PROJET REEL

Démolition de l’usine

Construction des autres programmes

SLOW-LIFE + HIGH-LIFE = EQUILIBRE

LES METIERS MANUELS A L’HONNEUR

«Cette positivité [de la ville de Lyon] est condensé dans le savoir-faire. [...] J’aime dire que, dans ces villes [Saint-Etienne et Lyon], on «pense avec les mains». La science est constamment appliquée.»

P. Dujardin, politologueArchéologie Industrielle n°54, 2009

Nous proposons d’installer sur le site RVI un Pôle des Savoir-Faire, regroupant enseignement, activités économiques, et équipements pour le quartier. Ce programme vise à assurer le lien entre activités d’avenir et activités antérieures. Il cherche à redonner sa place au travail manuel, dans une société mondialisée où la production est déconnectée de la consommation.

Nous reprenons du projet réel les programmes des centres de formation : la SEPR, l’AFPIA et la FCMB, pertinents dans le contexte de notre projet. Nous faisons également la part belle aux professionnels (entreprises et artisanat), afin de connecter études et métiers et de promouvoir les échanges. Au sein de ce campus, les programmes communs sont mutualisés : médiathèque, espaces de restauration, centre sportif et locaux associatifs.

Essences envisageables pour une pollution aux hydrocarbures

Assylum Brassica juncea

PeuplierQuenouille SauleThlaspi Zea maïsScirpe

- écologique - paysagère- financière (100 fois moins cher)- inscrite dans un temps long (5 à 10 ans)

La phytoremédiation, une alternative :

Qté d’arbres

Ce campus combine deux styles de vie : le Slow-Life et le High-Life. Le premier est inspiré par le mouvement italien Citta-Slow qui favorise la lenteur, les souvenirs, la détente. Le second symbolise le travail, l’intensité, l’action. L’équilibre de ces états permet l’épanouissement personnel.

L’usine

1

Site

Vue d’ensemble du projet

ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 1 : Contexte et enjeux 4Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY

LOCALISATION ET ECHELLE DU SITE DE LA RUE FEUILLAT

Lyon 3

Villeurbanne

métro D

SITE

Lyon 8

Part-DieuPresqu’Ile

Une parcelle stratégique dans Lyon

Un îlot de 9.7 Ha

Gratte-Ciel de Villeurbanne

Bellecour

Hôtel-DIeu

Musée Confluence

Halle Tony Garnier

Campus ENTPE-ENSAL

Gare Perrache

ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 1 : Contexte et enjeux 9Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY

PATRIMOINE ET RENOUVELLEMENT URBAIN

La nappe de shed, socle du projetSource: Catalogue Rocher-Schneider Véhicules Industriels, 1933

ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 1 : Contexte et enjeux 12Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE

ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 1 : Contexte et enjeux 7Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY

LE PROJET DU GRAND LYON

Plan masse en 2000

Les nouveaux acteurs :

SEPRSociété d’Enseignement Professionnel du Rhône, fondée en 1864 par Arlès DUFOUR

AFPIA SUD-ESTAménagement de l’habitat

FCMBFédération Compagnonique des Métiers du Bâtiment

Plan masse prévu en 2020

JardinBibliothèque

Parc d’activités FCMB

SEPR

SEPR

Logements

AFPIA

ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 1 : Contexte et enjeux 7Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY

LE PROJET DU GRAND LYON

Plan masse en 2000

Les nouveaux acteurs :

SEPRSociété d’Enseignement Professionnel du Rhône, fondée en 1864 par Arlès DUFOUR

AFPIA SUD-ESTAménagement de l’habitat

FCMBFédération Compagnonique des Métiers du Bâtiment

Plan masse prévu en 2020

JardinBibliothèque

Parc d’activités FCMB

SEPR

SEPR

Logements

AFPIA

Le site en 2000 après un siècle d’industrie

Le projet du Grand Lyon pour 2020Localisation du site de 10Ha de la Rue Feuillat La nappe de sheds est patrimoine

Projet du Grand LyonTemps fragmenté, saturation du site

Projet proposéTemps continu, avenir ouvert

ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 1 : Contexte et enjeux 10Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY

LA VILLE SUR LA VILLE : UN PALIMPSESTE

NATURE

USINE

VILLE

« La ville de Lyon opère sur le mode du palimpseste. »

« C’est le paradoxe « lyonnais » : il naît d’une sédimentation urbaine [...] qui donne l’impression de la stabilité, quand le renouvellement continu des activités [...] rend peu lisibles les conditions de la fortune passée et présente. »

P. Dujardin, politologue

Archéologie Industrielle n°54, 2009

NATURE

USINE

VILLE

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire

Intentions et gestion de projet

PFE AFT 2013

UN PROJET INSCRIT DANS LE TEMPSUne gestion de projet intégrée: Maîtrise d’OEuvre Urbaine

LES INTENTIONS

Le Plan-Guide

Transmettre la mémoire

Appropriation du site Ré-insertion dans l’économie «Le déchet n’existe pas»

Traiter la pollution

Développer un projet durable

Etat projeté en l’an 2000

Etat des lieux en l’an 2000

Le quartier

POSITION FACE AU PROJET REEL

L’activité industrielle s’arrête en 2000. Le Grand Lyon met en place un projet urbain qui conduit au démantelement de l’usine. Seule une épaisseur de 12m de sheds est conservée. Pour un ténèment représentant en surface le tiers de la Part-Dieu, l’usine a été banalisée en un morceau de ville quelconque. Cette orientation ne nous semble pas pertinente pour un tel site, et en conséquence nous réécrivons l’histoire à partir de 2000.

PRENDRE LE TEMPS

Le Temps est notre concept-clé. Nous proposons une histoire continue et dans le dialogue. C’est ainsi que nous pourrons exploiter au mieux le potentiel de l’Usine et répondre aux enjeux urbains. Le projet développe donc une gestion particulière, afin de s’affranchir des temporalités politiques et économiques classiques.

Une gestion de projet inspirée de l’expérience de l’équipe de Chemetoff à l’Île de Nantes

LE PÔLE DES SAVOIR-FAIRE

Un programme mixte Plan programmatique

Centre sportif

Jardinpublic

Café “Slow-food”

Maison du projetMaison de quartier

Espace des mémoires

BibliothèqueCentre de conférence

AFPIA FCMB

RecyclothèqueLaboration dépollution

Galerie d’exposition artisanat SEPR RU Altermarché

Restaurant inter-entreprise

202020162012200520001998

202020152010200520001998PROJET PROPOSÉ

Dépollution par les plantes

Recherche d’investisseurs

Concours + lancement projet urbain

Implantation des programmes structurantsImplantation des autres programmes

Réhabilitation des sheds

Permanence à la maison du projet

Relai de la MOE Urbaine pris par le STAP

FricheRecherche d’investisseurs

Construction du campus SEPR-AFPIA-FCMB

PROJET REEL

Démolition de l’usine

Construction des autres programmes

SLOW-LIFE + HIGH-LIFE = EQUILIBRE

LES METIERS MANUELS A L’HONNEUR

«Cette positivité [de la ville de Lyon] est condensé dans le savoir-faire. [...] J’aime dire que, dans ces villes [Saint-Etienne et Lyon], on «pense avec les mains». La science est constamment appliquée.»

P. Dujardin, politologueArchéologie Industrielle n°54, 2009

Nous proposons d’installer sur le site RVI un Pôle des Savoir-Faire, regroupant enseignement, activités économiques, et équipements pour le quartier. Ce programme vise à assurer le lien entre activités d’avenir et activités antérieures. Il cherche à redonner sa place au travail manuel, dans une société mondialisée où la production est déconnectée de la consommation.

Nous reprenons du projet réel les programmes des centres de formation : la SEPR, l’AFPIA et la FCMB, pertinents dans le contexte de notre projet. Nous faisons également la part belle aux professionnels (entreprises et artisanat), afin de connecter études et métiers et de promouvoir les échanges. Au sein de ce campus, les programmes communs sont mutualisés : médiathèque, espaces de restauration, centre sportif et locaux associatifs.

Essences envisageables pour une pollution aux hydrocarbures

Assylum Brassica juncea

PeuplierQuenouille SauleThlaspi Zea maïsScirpe

- écologique - paysagère- financière (100 fois moins cher)- inscrite dans un temps long (5 à 10 ans)

La phytoremédiation, une alternative :

Qté d’arbres

Ce campus combine deux styles de vie : le Slow-Life et le High-Life. Le premier est inspiré par le mouvement italien Citta-Slow qui favorise la lenteur, les souvenirs, la détente. Le second symbolise le travail, l’intensité, l’action. L’équilibre de ces états permet l’épanouissement personnel.

L’usine

1

La ville sur la ville : un palimpseste

Page 5: Portfolio 2013 Paul Barrère

5

Le Pôle des Savoir-Faire regroupeenseignement, activités économiqueset équipements pour le quartier. Nous reprenons du projet réel les programmes des centres de formation : la SEPR, l’AFPIA et la FCMB. Ce campus combine deux styles de vie : le Slow-Life et le High-Life. Le premier favorise la lenteur, les souvenirs, la détente. Le second symbolise le travail, l’intensité, l’action. L’équilibre de ces états permet l’épanouissement personnel.

Pour metttre en place ce programme, le Temps est notre concept-clé.C’est ainsi que nous pourrons exploiter au mieux le potentiel de l’usine. Le projet développe donc une gestion particulière, inspirée par le plan guide de l’île de Nantes de A. Chemetoff. Notamment, la dépollution par les plantes, peu coûteuse, efficace, est la technique de dépollution retenue. La reconquête du site est pensée dans un scénario global.

INTENTIONS ET GESTION DE PROJET

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire

Intentions et gestion de projet

PFE AFT 2013

UN PROJET INSCRIT DANS LE TEMPSUne gestion de projet intégrée: Maîtrise d’OEuvre Urbaine

LES INTENTIONS

Le Plan-Guide

Transmettre la mémoire

Appropriation du site Ré-insertion dans l’économie «Le déchet n’existe pas»

Traiter la pollution

Développer un projet durable

Etat projeté en l’an 2000

Etat des lieux en l’an 2000

Le quartier

POSITION FACE AU PROJET REEL

L’activité industrielle s’arrête en 2000. Le Grand Lyon met en place un projet urbain qui conduit au démantelement de l’usine. Seule une épaisseur de 12m de sheds est conservée. Pour un ténèment représentant en surface le tiers de la Part-Dieu, l’usine a été banalisée en un morceau de ville quelconque. Cette orientation ne nous semble pas pertinente pour un tel site, et en conséquence nous réécrivons l’histoire à partir de 2000.

PRENDRE LE TEMPS

Le Temps est notre concept-clé. Nous proposons une histoire continue et dans le dialogue. C’est ainsi que nous pourrons exploiter au mieux le potentiel de l’Usine et répondre aux enjeux urbains. Le projet développe donc une gestion particulière, afin de s’affranchir des temporalités politiques et économiques classiques.

Une gestion de projet inspirée de l’expérience de l’équipe de Chemetoff à l’Île de Nantes

LE PÔLE DES SAVOIR-FAIRE

Un programme mixte Plan programmatique

Centre sportif

Jardinpublic

Café “Slow-food”

Maison du projetMaison de quartier

Espace des mémoires

BibliothèqueCentre de conférence

AFPIA FCMB

RecyclothèqueLaboration dépollution

Galerie d’exposition artisanat SEPR RU Altermarché

Restaurant inter-entreprise

202020162012200520001998

202020152010200520001998PROJET PROPOSÉ

Dépollution par les plantes

Recherche d’investisseurs

Concours + lancement projet urbain

Implantation des programmes structurantsImplantation des autres programmes

Réhabilitation des sheds

Permanence à la maison du projet

Relai de la MOE Urbaine pris par le STAP

FricheRecherche d’investisseurs

Construction du campus SEPR-AFPIA-FCMB

PROJET REEL

Démolition de l’usine

Construction des autres programmes

SLOW-LIFE + HIGH-LIFE = EQUILIBRE

LES METIERS MANUELS A L’HONNEUR

«Cette positivité [de la ville de Lyon] est condensé dans le savoir-faire. [...] J’aime dire que, dans ces villes [Saint-Etienne et Lyon], on «pense avec les mains». La science est constamment appliquée.»

P. Dujardin, politologueArchéologie Industrielle n°54, 2009

Nous proposons d’installer sur le site RVI un Pôle des Savoir-Faire, regroupant enseignement, activités économiques, et équipements pour le quartier. Ce programme vise à assurer le lien entre activités d’avenir et activités antérieures. Il cherche à redonner sa place au travail manuel, dans une société mondialisée où la production est déconnectée de la consommation.

Nous reprenons du projet réel les programmes des centres de formation : la SEPR, l’AFPIA et la FCMB, pertinents dans le contexte de notre projet. Nous faisons également la part belle aux professionnels (entreprises et artisanat), afin de connecter études et métiers et de promouvoir les échanges. Au sein de ce campus, les programmes communs sont mutualisés : médiathèque, espaces de restauration, centre sportif et locaux associatifs.

Essences envisageables pour une pollution aux hydrocarbures

Assylum Brassica juncea

PeuplierQuenouille SauleThlaspi Zea maïsScirpe

- écologique - paysagère- financière (100 fois moins cher)- inscrite dans un temps long (5 à 10 ans)

La phytoremédiation, une alternative :

Qté d’arbres

Ce campus combine deux styles de vie : le Slow-Life et le High-Life. Le premier est inspiré par le mouvement italien Citta-Slow qui favorise la lenteur, les souvenirs, la détente. Le second symbolise le travail, l’intensité, l’action. L’équilibre de ces états permet l’épanouissement personnel.

L’usine

1

INTENTIONS

UNE STRATEGIE AU COURS DU TEMPS

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire

Intentions et gestion de projet

PFE AFT 2013

UN PROJET INSCRIT DANS LE TEMPSUne gestion de projet intégrée: Maîtrise d’OEuvre Urbaine

LES INTENTIONS

Le Plan-Guide

Transmettre la mémoire

Appropriation du site Ré-insertion dans l’économie «Le déchet n’existe pas»

Traiter la pollution

Développer un projet durable

Etat projeté en l’an 2000

Etat des lieux en l’an 2000

Le quartier

POSITION FACE AU PROJET REEL

L’activité industrielle s’arrête en 2000. Le Grand Lyon met en place un projet urbain qui conduit au démantelement de l’usine. Seule une épaisseur de 12m de sheds est conservée. Pour un ténèment représentant en surface le tiers de la Part-Dieu, l’usine a été banalisée en un morceau de ville quelconque. Cette orientation ne nous semble pas pertinente pour un tel site, et en conséquence nous réécrivons l’histoire à partir de 2000.

PRENDRE LE TEMPS

Le Temps est notre concept-clé. Nous proposons une histoire continue et dans le dialogue. C’est ainsi que nous pourrons exploiter au mieux le potentiel de l’Usine et répondre aux enjeux urbains. Le projet développe donc une gestion particulière, afin de s’affranchir des temporalités politiques et économiques classiques.

Une gestion de projet inspirée de l’expérience de l’équipe de Chemetoff à l’Île de Nantes

LE PÔLE DES SAVOIR-FAIRE

Un programme mixte Plan programmatique

Centre sportif

Jardinpublic

Café “Slow-food”

Maison du projetMaison de quartier

Espace des mémoires

BibliothèqueCentre de conférence

AFPIA FCMB

RecyclothèqueLaboration dépollution

Galerie d’exposition artisanat SEPR RU Altermarché

Restaurant inter-entreprise

202020162012200520001998

202020152010200520001998PROJET PROPOSÉ

Dépollution par les plantes

Recherche d’investisseurs

Concours + lancement projet urbain

Implantation des programmes structurantsImplantation des autres programmes

Réhabilitation des sheds

Permanence à la maison du projet

Relai de la MOE Urbaine pris par le STAP

FricheRecherche d’investisseurs

Construction du campus SEPR-AFPIA-FCMB

PROJET REEL

Démolition de l’usine

Construction des autres programmes

SLOW-LIFE + HIGH-LIFE = EQUILIBRE

LES METIERS MANUELS A L’HONNEUR

«Cette positivité [de la ville de Lyon] est condensé dans le savoir-faire. [...] J’aime dire que, dans ces villes [Saint-Etienne et Lyon], on «pense avec les mains». La science est constamment appliquée.»

P. Dujardin, politologueArchéologie Industrielle n°54, 2009

Nous proposons d’installer sur le site RVI un Pôle des Savoir-Faire, regroupant enseignement, activités économiques, et équipements pour le quartier. Ce programme vise à assurer le lien entre activités d’avenir et activités antérieures. Il cherche à redonner sa place au travail manuel, dans une société mondialisée où la production est déconnectée de la consommation.

Nous reprenons du projet réel les programmes des centres de formation : la SEPR, l’AFPIA et la FCMB, pertinents dans le contexte de notre projet. Nous faisons également la part belle aux professionnels (entreprises et artisanat), afin de connecter études et métiers et de promouvoir les échanges. Au sein de ce campus, les programmes communs sont mutualisés : médiathèque, espaces de restauration, centre sportif et locaux associatifs.

Essences envisageables pour une pollution aux hydrocarbures

Assylum Brassica juncea

PeuplierQuenouille SauleThlaspi Zea maïsScirpe

- écologique - paysagère- financière (100 fois moins cher)- inscrite dans un temps long (5 à 10 ans)

La phytoremédiation, une alternative :

Qté d’arbres

Ce campus combine deux styles de vie : le Slow-Life et le High-Life. Le premier est inspiré par le mouvement italien Citta-Slow qui favorise la lenteur, les souvenirs, la détente. Le second symbolise le travail, l’intensité, l’action. L’équilibre de ces états permet l’épanouissement personnel.

L’usine

1

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire

Intentions et gestion de projet

PFE AFT 2013

UN PROJET INSCRIT DANS LE TEMPSUne gestion de projet intégrée: Maîtrise d’OEuvre Urbaine

LES INTENTIONS

Le Plan-Guide

Transmettre la mémoire

Appropriation du site Ré-insertion dans l’économie «Le déchet n’existe pas»

Traiter la pollution

Développer un projet durable

Etat projeté en l’an 2000

Etat des lieux en l’an 2000

Le quartier

POSITION FACE AU PROJET REEL

L’activité industrielle s’arrête en 2000. Le Grand Lyon met en place un projet urbain qui conduit au démantelement de l’usine. Seule une épaisseur de 12m de sheds est conservée. Pour un ténèment représentant en surface le tiers de la Part-Dieu, l’usine a été banalisée en un morceau de ville quelconque. Cette orientation ne nous semble pas pertinente pour un tel site, et en conséquence nous réécrivons l’histoire à partir de 2000.

PRENDRE LE TEMPS

Le Temps est notre concept-clé. Nous proposons une histoire continue et dans le dialogue. C’est ainsi que nous pourrons exploiter au mieux le potentiel de l’Usine et répondre aux enjeux urbains. Le projet développe donc une gestion particulière, afin de s’affranchir des temporalités politiques et économiques classiques.

Une gestion de projet inspirée de l’expérience de l’équipe de Chemetoff à l’Île de Nantes

LE PÔLE DES SAVOIR-FAIRE

Un programme mixte Plan programmatique

Centre sportif

Jardinpublic

Café “Slow-food”

Maison du projetMaison de quartier

Espace des mémoires

BibliothèqueCentre de conférence

AFPIA FCMB

RecyclothèqueLaboration dépollution

Galerie d’exposition artisanat SEPR RU Altermarché

Restaurant inter-entreprise

202020162012200520001998

202020152010200520001998PROJET PROPOSÉ

Dépollution par les plantes

Recherche d’investisseurs

Concours + lancement projet urbain

Implantation des programmes structurantsImplantation des autres programmes

Réhabilitation des sheds

Permanence à la maison du projet

Relai de la MOE Urbaine pris par le STAP

FricheRecherche d’investisseurs

Construction du campus SEPR-AFPIA-FCMB

PROJET REEL

Démolition de l’usine

Construction des autres programmes

SLOW-LIFE + HIGH-LIFE = EQUILIBRE

LES METIERS MANUELS A L’HONNEUR

«Cette positivité [de la ville de Lyon] est condensé dans le savoir-faire. [...] J’aime dire que, dans ces villes [Saint-Etienne et Lyon], on «pense avec les mains». La science est constamment appliquée.»

P. Dujardin, politologueArchéologie Industrielle n°54, 2009

Nous proposons d’installer sur le site RVI un Pôle des Savoir-Faire, regroupant enseignement, activités économiques, et équipements pour le quartier. Ce programme vise à assurer le lien entre activités d’avenir et activités antérieures. Il cherche à redonner sa place au travail manuel, dans une société mondialisée où la production est déconnectée de la consommation.

Nous reprenons du projet réel les programmes des centres de formation : la SEPR, l’AFPIA et la FCMB, pertinents dans le contexte de notre projet. Nous faisons également la part belle aux professionnels (entreprises et artisanat), afin de connecter études et métiers et de promouvoir les échanges. Au sein de ce campus, les programmes communs sont mutualisés : médiathèque, espaces de restauration, centre sportif et locaux associatifs.

Essences envisageables pour une pollution aux hydrocarbures

Assylum Brassica juncea

PeuplierQuenouille SauleThlaspi Zea maïsScirpe

- écologique - paysagère- financière (100 fois moins cher)- inscrite dans un temps long (5 à 10 ans)

La phytoremédiation, une alternative :

Qté d’arbres

Ce campus combine deux styles de vie : le Slow-Life et le High-Life. Le premier est inspiré par le mouvement italien Citta-Slow qui favorise la lenteur, les souvenirs, la détente. Le second symbolise le travail, l’intensité, l’action. L’équilibre de ces états permet l’épanouissement personnel.

L’usine

1

Traiter la pollution

2000 Réhabilitation 2010 Jardin de quartier 2015 Reconquête 2020 Réactivation 2050 ? Vers le futur

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire

Intentions et gestion de projet

PFE AFT 2013

UN PROJET INSCRIT DANS LE TEMPSUne gestion de projet intégrée: Maîtrise d’OEuvre Urbaine

LES INTENTIONS

Le Plan-Guide

Transmettre la mémoire

Appropriation du site Ré-insertion dans l’économie «Le déchet n’existe pas»

Traiter la pollution

Développer un projet durable

Etat projeté en l’an 2000

Etat des lieux en l’an 2000

Le quartier

POSITION FACE AU PROJET REEL

L’activité industrielle s’arrête en 2000. Le Grand Lyon met en place un projet urbain qui conduit au démantelement de l’usine. Seule une épaisseur de 12m de sheds est conservée. Pour un ténèment représentant en surface le tiers de la Part-Dieu, l’usine a été banalisée en un morceau de ville quelconque. Cette orientation ne nous semble pas pertinente pour un tel site, et en conséquence nous réécrivons l’histoire à partir de 2000.

PRENDRE LE TEMPS

Le Temps est notre concept-clé. Nous proposons une histoire continue et dans le dialogue. C’est ainsi que nous pourrons exploiter au mieux le potentiel de l’Usine et répondre aux enjeux urbains. Le projet développe donc une gestion particulière, afin de s’affranchir des temporalités politiques et économiques classiques.

Une gestion de projet inspirée de l’expérience de l’équipe de Chemetoff à l’Île de Nantes

LE PÔLE DES SAVOIR-FAIRE

Un programme mixte Plan programmatique

Centre sportif

Jardinpublic

Café “Slow-food”

Maison du projetMaison de quartier

Espace des mémoires

BibliothèqueCentre de conférence

AFPIA FCMB

RecyclothèqueLaboration dépollution

Galerie d’exposition artisanat SEPR RU Altermarché

Restaurant inter-entreprise

202020162012200520001998

202020152010200520001998PROJET PROPOSÉ

Dépollution par les plantes

Recherche d’investisseurs

Concours + lancement projet urbain

Implantation des programmes structurantsImplantation des autres programmes

Réhabilitation des sheds

Permanence à la maison du projet

Relai de la MOE Urbaine pris par le STAP

FricheRecherche d’investisseurs

Construction du campus SEPR-AFPIA-FCMB

PROJET REEL

Démolition de l’usine

Construction des autres programmes

SLOW-LIFE + HIGH-LIFE = EQUILIBRE

LES METIERS MANUELS A L’HONNEUR

«Cette positivité [de la ville de Lyon] est condensé dans le savoir-faire. [...] J’aime dire que, dans ces villes [Saint-Etienne et Lyon], on «pense avec les mains». La science est constamment appliquée.»

P. Dujardin, politologueArchéologie Industrielle n°54, 2009

Nous proposons d’installer sur le site RVI un Pôle des Savoir-Faire, regroupant enseignement, activités économiques, et équipements pour le quartier. Ce programme vise à assurer le lien entre activités d’avenir et activités antérieures. Il cherche à redonner sa place au travail manuel, dans une société mondialisée où la production est déconnectée de la consommation.

Nous reprenons du projet réel les programmes des centres de formation : la SEPR, l’AFPIA et la FCMB, pertinents dans le contexte de notre projet. Nous faisons également la part belle aux professionnels (entreprises et artisanat), afin de connecter études et métiers et de promouvoir les échanges. Au sein de ce campus, les programmes communs sont mutualisés : médiathèque, espaces de restauration, centre sportif et locaux associatifs.

Essences envisageables pour une pollution aux hydrocarbures

Assylum Brassica juncea

PeuplierQuenouille SauleThlaspi Zea maïsScirpe

- écologique - paysagère- financière (100 fois moins cher)- inscrite dans un temps long (5 à 10 ans)

La phytoremédiation, une alternative :

Qté d’arbres

Ce campus combine deux styles de vie : le Slow-Life et le High-Life. Le premier est inspiré par le mouvement italien Citta-Slow qui favorise la lenteur, les souvenirs, la détente. Le second symbolise le travail, l’intensité, l’action. L’équilibre de ces états permet l’épanouissement personnel.

L’usine

1

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire

Intentions et gestion de projet

PFE AFT 2013

UN PROJET INSCRIT DANS LE TEMPSUne gestion de projet intégrée: Maîtrise d’OEuvre Urbaine

LES INTENTIONS

Le Plan-Guide

Transmettre la mémoire

Appropriation du site Ré-insertion dans l’économie «Le déchet n’existe pas»

Traiter la pollution

Développer un projet durable

Etat projeté en l’an 2000

Etat des lieux en l’an 2000

Le quartier

POSITION FACE AU PROJET REEL

L’activité industrielle s’arrête en 2000. Le Grand Lyon met en place un projet urbain qui conduit au démantelement de l’usine. Seule une épaisseur de 12m de sheds est conservée. Pour un ténèment représentant en surface le tiers de la Part-Dieu, l’usine a été banalisée en un morceau de ville quelconque. Cette orientation ne nous semble pas pertinente pour un tel site, et en conséquence nous réécrivons l’histoire à partir de 2000.

PRENDRE LE TEMPS

Le Temps est notre concept-clé. Nous proposons une histoire continue et dans le dialogue. C’est ainsi que nous pourrons exploiter au mieux le potentiel de l’Usine et répondre aux enjeux urbains. Le projet développe donc une gestion particulière, afin de s’affranchir des temporalités politiques et économiques classiques.

Une gestion de projet inspirée de l’expérience de l’équipe de Chemetoff à l’Île de Nantes

LE PÔLE DES SAVOIR-FAIRE

Un programme mixte Plan programmatique

Centre sportif

Jardinpublic

Café “Slow-food”

Maison du projetMaison de quartier

Espace des mémoires

BibliothèqueCentre de conférence

AFPIA FCMB

RecyclothèqueLaboration dépollution

Galerie d’exposition artisanat SEPR RU Altermarché

Restaurant inter-entreprise

202020162012200520001998

202020152010200520001998PROJET PROPOSÉ

Dépollution par les plantes

Recherche d’investisseurs

Concours + lancement projet urbain

Implantation des programmes structurantsImplantation des autres programmes

Réhabilitation des sheds

Permanence à la maison du projet

Relai de la MOE Urbaine pris par le STAP

FricheRecherche d’investisseurs

Construction du campus SEPR-AFPIA-FCMB

PROJET REEL

Démolition de l’usine

Construction des autres programmes

SLOW-LIFE + HIGH-LIFE = EQUILIBRE

LES METIERS MANUELS A L’HONNEUR

«Cette positivité [de la ville de Lyon] est condensé dans le savoir-faire. [...] J’aime dire que, dans ces villes [Saint-Etienne et Lyon], on «pense avec les mains». La science est constamment appliquée.»

P. Dujardin, politologueArchéologie Industrielle n°54, 2009

Nous proposons d’installer sur le site RVI un Pôle des Savoir-Faire, regroupant enseignement, activités économiques, et équipements pour le quartier. Ce programme vise à assurer le lien entre activités d’avenir et activités antérieures. Il cherche à redonner sa place au travail manuel, dans une société mondialisée où la production est déconnectée de la consommation.

Nous reprenons du projet réel les programmes des centres de formation : la SEPR, l’AFPIA et la FCMB, pertinents dans le contexte de notre projet. Nous faisons également la part belle aux professionnels (entreprises et artisanat), afin de connecter études et métiers et de promouvoir les échanges. Au sein de ce campus, les programmes communs sont mutualisés : médiathèque, espaces de restauration, centre sportif et locaux associatifs.

Essences envisageables pour une pollution aux hydrocarbures

Assylum Brassica juncea

PeuplierQuenouille SauleThlaspi Zea maïsScirpe

- écologique - paysagère- financière (100 fois moins cher)- inscrite dans un temps long (5 à 10 ans)

La phytoremédiation, une alternative :

Qté d’arbres

Ce campus combine deux styles de vie : le Slow-Life et le High-Life. Le premier est inspiré par le mouvement italien Citta-Slow qui favorise la lenteur, les souvenirs, la détente. Le second symbolise le travail, l’intensité, l’action. L’équilibre de ces états permet l’épanouissement personnel.

L’usine

1

Développer un projet durable

Abandon 2005

Valoriser le patrimoine

ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 2 : Ambitions et programme 18Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY

Source: Catalogue Rocher-Schneider Véhicules Industriels, 1933

VALORISER LE PATRIMOINE ARCHITECTURAL

Présence de détails touchants

ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 2 : Ambitions et programme 18Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY

Source: Catalogue Rocher-Schneider Véhicules Industriels, 1933

VALORISER LE PATRIMOINE ARCHITECTURAL

Présence de détails touchants

ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 2 : Ambitions et programme 31Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY

GESTION DE PROJET : LES ACTEURS

Maîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre UrbaineMaîtrise d’Œuvre Urbaine«Aménageur»

Choisie après un concoursChoisie après un concours

Maîtrise d’Ouvrage Urbaine«Mission RVI»

Rattachée directement au Grand Lyon

Maîtrise d’Œuvre

Particulier

Maîtrise d’Ouvrage Particulier

Public

Ville de Lyon

Grand Lyon

cahier des charges pour la MOE urbaine

Donne le

cap

Retour

sur ex

périe

nce

Participation

Information

CONCERTATION

Conception architecturale

Choisit conjointement avec la MOE

urbaine

DIALOGUE

Droit de regard

Se porte candidat p

our

l’acquisi

tion d’un

terrain

Aide à préciser son projet

Fait é

voluer le

projet

archi

tectur

al

Fait é

voluer le

projet

urbain

Fait évoluer le projet urbain

Une gestion de projet innovante

Un programme mixte

Page 6: Portfolio 2013 Paul Barrère

ARCHITECTURE 6DESSININGENIERIE

STRATEGIEPATRIMONIALE

AVAP GRANGE-BLANCHE : UNE CENTRALITE, UN SYSTEME TEMOIN DU XXe siècle

Plan local d’urbanisme projeté

Aire années 30

ZAC Feuillat

AVAP Grange-Blanche

Plan local d’urbanisme actuel

UCUCp

EBPEléments protégés MH

Végétation classéeVégétation à mettre en valeur

Musée

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire

Stratégie patrimoniale

1920-1934Hôpital E. HerriotTony Garnier

1899Villa Lumière

1912Villa BerlietDécor Gruber et Majorelle

1900-1920Usines Rochet-Schneider et Zénith

1920-1934 Chapelle par L. ThomasSculpture G. Salendre

1933Faculté d’infirmières Rockefeller, P. Bellemain

1930Faculté de pharmacieRockefeller, P. Bellemain

1972Tour du Centre International de Recherche contre le Cancer

1989Fresque des transports sur le Hangar du Sytral (1902) par la Citéde la Création

1998Restauration duHangar du Premier Film

GRANGE-BLANCHE : FUTURE CENTRALITE SECONDAIRE DE LYON

Une étape clé dans le cheminement vert de LyonUne centralité parmi d’autres sans concurrence Un pôle complémentaire au réseau universitaire

Presqu’île

Usine des Savoir-Faire

Jardin des HauteursBlandan

Miribel-JonageTête d’OrGerland Parilly

Usine des Savoir-Faire

Parc de dépollution de l’Usine

Gratte-Ciel

Part Dieu

Confluence

Bio-Pôle deGerland

Carré de Soie

La Duchère

ECL et EM Lyon

Campus dela Doua

ENTPE-ENSAL

Université Lumière

Manufacture des Tabacs

Grange-Blanche

Université de Bron

DES FACADES DE 500m EN DIALOGUE AVEC LA VILLE

Façade Feuillat : Uniformité mystérieuse

Façade Rochaix : Jeu de variations

PFE AFT 2013

Façade Albert-ThomasPorte commerçante

Façade LacassagneJardin derrière le mur

Comparaison façades Feuillat / Rochaix

Rochaix, les artisans s’exposent

Eclaté structurel de la nouvelle façade Rochaix

structure acier

sheds existants

armature secon-daire métallique

panneaux de façade

gouttières

Pour maîtriser les transformations engendrées par notre projet sur le tissu urbain environnant, nous créons une AVAP.

Cette Aire de Valorisation de l’Architecture et du Patrimoine remédie aux protections fragmentées aujourd’hui en place. Elle permet de rassembler en système les éléments patrimoniaux isolés, pour mettre en valeur cet ensemble cohérent témoin du XXe siècle à Lyon. Les limites ont été déduites d’un travail de repérage sur site et d’une analyse historique.

Avant 1950 2000

2010 2020

Six Ha de Sheds en ville: une situation unique en France

Archives: catalogue Rochet-Schneider Véhicules Industriels 1933

Humaine, touchanteUNE HISTOIRE SUR 100 ANS

L’usine automobile est bâtie par Rochet-Schneider en 1900, et occupée par les Carburateurs Zénith, le grand inventeur Berliet vers 1960 et finalement Renault Véhicules Industriels. C’est un lieu symbolique et un des seuls témoins restants de l’aventure automobile lyonnaise.

RESILIENCE DE L’USINE

Nous considérons que la nappe de sheds de 500m par 200m entre spontanément en résonance avec l’importance des enjeux de la ville. La monumentalité de l’usine constitue un socle à la réponse urbaine.

L’USINE, MOTEUR DE DEVELOPPEMENTLe pôle des Savoir-Faire apporte un dynamisme à Grange-Blanche qui affirme ce quartier comme centralité secondaire.

L’OUVERTURE DE L’ÎLOTPAR LES QUATRE FACADES

Sous-ensemble majeur de cette AVAP, l’Usine vient communiquer avec le quartier à travers un traitement unitaire sur les façades : sur Albert Thomas et Lacassagne, les façades sont de véritables portes sur le site, sur Rochaix et Feuillat l’usine se donne à voir.

2

A LA HAUTEUR DES ENJEUX URBAINS, LA NAPPE DE SHEDS EST PATRIMOINE

AVAP GRANGE-BLANCHE : UNE CENTRALITE, UN SYSTEME TEMOIN DU XXe siècle

Plan local d’urbanisme projeté

Aire années 30

ZAC Feuillat

AVAP Grange-Blanche

Plan local d’urbanisme actuel

UCUCp

EBPEléments protégés MH

Végétation classéeVégétation à mettre en valeur

Musée

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire

Stratégie patrimoniale

1920-1934Hôpital E. HerriotTony Garnier

1899Villa Lumière

1912Villa BerlietDécor Gruber et Majorelle

1900-1920Usines Rochet-Schneider et Zénith

1920-1934 Chapelle par L. ThomasSculpture G. Salendre

1933Faculté d’infirmières Rockefeller, P. Bellemain

1930Faculté de pharmacieRockefeller, P. Bellemain

1972Tour du Centre International de Recherche contre le Cancer

1989Fresque des transports sur le Hangar du Sytral (1902) par la Citéde la Création

1998Restauration duHangar du Premier Film

GRANGE-BLANCHE : FUTURE CENTRALITE SECONDAIRE DE LYON

Une étape clé dans le cheminement vert de LyonUne centralité parmi d’autres sans concurrence Un pôle complémentaire au réseau universitaire

Presqu’île

Usine des Savoir-Faire

Jardin des HauteursBlandan

Miribel-JonageTête d’OrGerland Parilly

Usine des Savoir-Faire

Parc de dépollution de l’Usine

Gratte-Ciel

Part Dieu

Confluence

Bio-Pôle deGerland

Carré de Soie

La Duchère

ECL et EM Lyon

Campus dela Doua

ENTPE-ENSAL

Université Lumière

Manufacture des Tabacs

Grange-Blanche

Université de Bron

DES FACADES DE 500m EN DIALOGUE AVEC LA VILLE

Façade Feuillat : Uniformité mystérieuse

Façade Rochaix : Jeu de variations

PFE AFT 2013

Façade Albert-ThomasPorte commerçante

Façade LacassagneJardin derrière le mur

Comparaison façades Feuillat / Rochaix

Rochaix, les artisans s’exposent

Eclaté structurel de la nouvelle façade Rochaix

structure acier

sheds existants

armature secon-daire métallique

panneaux de façade

gouttières

Pour maîtriser les transformations engendrées par notre projet sur le tissu urbain environnant, nous créons une AVAP.

Cette Aire de Valorisation de l’Architecture et du Patrimoine remédie aux protections fragmentées aujourd’hui en place. Elle permet de rassembler en système les éléments patrimoniaux isolés, pour mettre en valeur cet ensemble cohérent témoin du XXe siècle à Lyon. Les limites ont été déduites d’un travail de repérage sur site et d’une analyse historique.

Avant 1950 2000

2010 2020

Six Ha de Sheds en ville: une situation unique en France

Archives: catalogue Rochet-Schneider Véhicules Industriels 1933

Humaine, touchanteUNE HISTOIRE SUR 100 ANS

L’usine automobile est bâtie par Rochet-Schneider en 1900, et occupée par les Carburateurs Zénith, le grand inventeur Berliet vers 1960 et finalement Renault Véhicules Industriels. C’est un lieu symbolique et un des seuls témoins restants de l’aventure automobile lyonnaise.

RESILIENCE DE L’USINE

Nous considérons que la nappe de sheds de 500m par 200m entre spontanément en résonance avec l’importance des enjeux de la ville. La monumentalité de l’usine constitue un socle à la réponse urbaine.

L’USINE, MOTEUR DE DEVELOPPEMENTLe pôle des Savoir-Faire apporte un dynamisme à Grange-Blanche qui affirme ce quartier comme centralité secondaire.

L’OUVERTURE DE L’ÎLOTPAR LES QUATRE FACADES

Sous-ensemble majeur de cette AVAP, l’Usine vient communiquer avec le quartier à travers un traitement unitaire sur les façades : sur Albert Thomas et Lacassagne, les façades sont de véritables portes sur le site, sur Rochaix et Feuillat l’usine se donne à voir.

2

A LA HAUTEUR DES ENJEUX URBAINS, LA NAPPE DE SHEDS EST PATRIMOINE

L’usine a été occupée pendant 100 ans. Sa nappe de sheds s’étend sur 500m par 200m. Cette résilience et cette monumentalité constitue un socle naturel à la réponse urbaine.

Pour maîtriser les transformations engendrées par notre projet nous créons une AVAP. Cette Aire de Valorisation de l’Architecture et du Patrimoine remédie aux protections fragmentées. Elle valorise un ensemble témoin du XXe siècle à Lyon. Un repérage sur site a déterminé les limites. L’usine vient communiquer avec le quartier à travers un traitement unitaire sur les façades. Sur Thomas et Lacassagne, elles sont de véritables portes sur le site, sur Rochaix et Feuillat l’usine se donne à voir.

Plan local d’urbanisme projeté

Av. LacassagneRue Rochaix

Rue Feuillat

Cours A.Thomas

Plan local d’urbanisme actuel

AVAP GRANGE-BLANCHE : UNE CENTRALITE, UN SYSTEME TEMOIN DU XXe SIECLE

DES FAÇADES DE 500m EN DIALOGUE AVEC LA VILLE

Façade Albert Thomas Porte commerçante

Façade FeuillatUniformité mystérieuse

Façade RochaixJeux de variations

Façade LacassagneJardin derrière le mur

Façade Feuillat : 500m de façade historique

Façade Rochaix : 500m de façade contemporaine

Les artisans s’exposent Rue Rochaix

Page 7: Portfolio 2013 Paul Barrère

7

Nous intervenons par stratification. A la strate «Usine», nous ajoutons les strates «Nature» et «Ville» pour intégrer l’usine à la ville.

Les galeries existantes (High-Life) sont étendues et complétées par des ruelles en chicane. Elles fonctionnent à la manière des passages couverts du 19e siècle. Un système de passerelles (Slow-Life) est mis en place pour se promener sur les sheds, qui est animé par un ensemble de programmes (café, jeux pour enfants etc).

Sous les sheds, les surfaces sont réinvesties par des ateliers d’artisans, et des extensions à structure béton armé et façades légères sont ajoutées et viennent investir les hauteurs.

L’attractivité du lieu est assurée par trois pôles : un jardin public avec un centre sportif ; une place publique dénommée le Forum avec sa Médiathèque des Savoir-Faire ; un pôle marchand avec un Alter- Marché de quartier et des bureaux.

SYSTEMES URBAINS

Plan masse 2020

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire

Systèmes urbains

ARCHITECTURE DU RESEAU DE PASSERELLES

ARCHITECTURE DES CONNEXIONS VERTICALES

Le réseau de passerelles monte au-dessus de la nappe de sheds et relie l’usine aux extensions du projet. Inspiré des jardins anglais, il offre à l’usager un choix à chaque intersection et propose des directions en biais par rapport aux sheds, afin de mettre en valeur leur homogénéité et d’avoir une approche dynamique.

L’attractivité du lieu est assurée par trois pôles :- un jardin public au nord avec notamment un centre sportif ;- une place publique, le Forum, au centre avec la Médiathèque des Savoir-Faire comme programme attracteur principal ;- un pôle marchand au sud avec l’Alter-Marché de quartier, des restaurants, commerces et bureaux.

La continuité urbaine entre les trois pôles et avec la ville est assurée par la création de nouvelles circulations qui viennent compléter l’ancien réseau de l’usine.

Deux principes de cheminement sont proposés et reprennent les deux ambiances présentes sur le site : High-Life et Slow-Life. Elles permettent deux types de déambulation : de grands couloirs clairs principaux et des ruelles secondaires dans une logique de promenade et de surprise.

Le réseau de passerelles interagit avec le patrimoine et le met en valeur en de nombreux endroits. Le visiteur découvre le patrimoine industriel de manière ludique.

La conception des passerelles donne la priorité à la légèreté.Elle s’inspire du style architectural industriel en faisant écho aux éléments fins et courbes de l’architecture existante. Le module élémentaire de la passerelle est ainsi constitué d’un double profilé métallique courbe qui s’appuie sur des poteaux en béton armé espacés de 20m.

Les connexions verticales ponctuent le réseau de passerelles. Elles assurent des liaisons directes entre les strates RDC/passerelles/extensions.Elles sont accessibles depuis les grands axes de circulation du RDC par un petit espace vert. Ces éléments de connexion sont solides et autonomes par souci de réversibilité de l’intervention. Mais ils participent à la solidarité des différentes strates en venant contreventer régulièrement le réseau de passerelles.

ORGANISATION DE LA STRATE DU REZ-DE-CHAUSSÉE

Trois polarités sur le site

Une séquence au dessus des sheds ...

Plan

Elévation

Coupe

Elévation transversale Elévation longitudinale

Hiérarchie des modes d’accès

Principe de choix Principe d’angle

Circulations verticales assurant la desserte des extensions

Inscription de nouvelles galeries dans le réseau existant Deux types de circulation: grandes perspectives et ‘‘chicanes’’

Grandes galeries en perspective

Ruelles en chicane

Rues Circulations créées Circulations existantes

Réseau de passerelles

PFE AFT 2013

Accès voiture limitéAccès voiture interditStation Vélov’Parking LPA

Accès piétonAccès véloAccès voitureAccès pompiers

Centre sportif

Médiathèque des Savoir-Faire

RestaurantsENtreprisesMarché de quartier ‘‘alter-marché’’

Poutre acier

Caillebotis métallique

Chapiteau acier

Poteau en béton armé

Fondation béton armé

IPN en acier

Panne transversale en acier

Garde-corps en grillage fin et main courante en bois

UNE NOUVELLE STRATE DE CIRCULATION : LES PASSERELLES

Eclaté structurel d’un module de passerelle

3

Connexions avec le rez de chaussée

Etapes Slow-Life

Etapes High-Life

3m

8m

0 2 5 10 20 m

0 2 5 10 m0 2 5 10 m

0 2 5 10 20 m

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire

Systèmes urbains

ARCHITECTURE DU RESEAU DE PASSERELLES

ARCHITECTURE DES CONNEXIONS VERTICALES

Le réseau de passerelles monte au-dessus de la nappe de sheds et relie l’usine aux extensions du projet. Inspiré des jardins anglais, il offre à l’usager un choix à chaque intersection et propose des directions en biais par rapport aux sheds, afin de mettre en valeur leur homogénéité et d’avoir une approche dynamique.

L’attractivité du lieu est assurée par trois pôles :- un jardin public au nord avec notamment un centre sportif ;- une place publique, le Forum, au centre avec la Médiathèque des Savoir-Faire comme programme attracteur principal ;- un pôle marchand au sud avec l’Alter-Marché de quartier, des restaurants, commerces et bureaux.

La continuité urbaine entre les trois pôles et avec la ville est assurée par la création de nouvelles circulations qui viennent compléter l’ancien réseau de l’usine.

Deux principes de cheminement sont proposés et reprennent les deux ambiances présentes sur le site : High-Life et Slow-Life. Elles permettent deux types de déambulation : de grands couloirs clairs principaux et des ruelles secondaires dans une logique de promenade et de surprise.

Le réseau de passerelles interagit avec le patrimoine et le met en valeur en de nombreux endroits. Le visiteur découvre le patrimoine industriel de manière ludique.

La conception des passerelles donne la priorité à la légèreté.Elle s’inspire du style architectural industriel en faisant écho aux éléments fins et courbes de l’architecture existante. Le module élémentaire de la passerelle est ainsi constitué d’un double profilé métallique courbe qui s’appuie sur des poteaux en béton armé espacés de 20m.

Les connexions verticales ponctuent le réseau de passerelles. Elles assurent des liaisons directes entre les strates RDC/passerelles/extensions.Elles sont accessibles depuis les grands axes de circulation du RDC par un petit espace vert. Ces éléments de connexion sont solides et autonomes par souci de réversibilité de l’intervention. Mais ils participent à la solidarité des différentes strates en venant contreventer régulièrement le réseau de passerelles.

ORGANISATION DE LA STRATE DU REZ-DE-CHAUSSÉE

Trois polarités sur le site

Une séquence au dessus des sheds ...

Plan

Elévation

Coupe

Elévation transversale Elévation longitudinale

Hiérarchie des modes d’accès

Principe de choix Principe d’angle

Circulations verticales assurant la desserte des extensions

Inscription de nouvelles galeries dans le réseau existant Deux types de circulation: grandes perspectives et ‘‘chicanes’’

Grandes galeries en perspective

Ruelles en chicane

Rues Circulations créées Circulations existantes

Réseau de passerelles

PFE AFT 2013

Accès voiture limitéAccès voiture interditStation Vélov’Parking LPA

Accès piétonAccès véloAccès voitureAccès pompiers

Centre sportif

Médiathèque des Savoir-Faire

RestaurantsENtreprisesMarché de quartier ‘‘alter-marché’’

Poutre acier

Caillebotis métallique

Chapiteau acier

Poteau en béton armé

Fondation béton armé

IPN en acier

Panne transversale en acier

Garde-corps en grillage fin et main courante en bois

UNE NOUVELLE STRATE DE CIRCULATION : LES PASSERELLES

Eclaté structurel d’un module de passerelle

3

Connexions avec le rez de chaussée

Etapes Slow-Life

Etapes High-Life

3m

8m

0 2 5 10 20 m

0 2 5 10 m0 2 5 10 m

0 2 5 10 20 m

Galeries : foire, brocante, marché

Ruelles : détour végétalIntervention par strates :Construire la ville sur la ville

Organisation de la strate du rez-de-chaussée

Page 8: Portfolio 2013 Paul Barrère

ARCHITECTURE 8DESSININGENIERIE

ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 3 : Systèmes urbains 51Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY

Promenade sur la mer de sheds

LE RESEAU DE PASSERELLES Concept

Concept : promenade sur la mer de shed Vie de nuit Vie de jour

SEQUENCES PLANS, ELEVATIONS ET DETAILS TECHNIQUES

LES CONNEXIONS VERTICALES

Depuis la verrièreBelle-Epoque

L’extension masque une surprise

Choix d’unedirection

Eclaté structurel Plan et élévations

Traversée de la Galerie d’Art

Page 9: Portfolio 2013 Paul Barrère

9

Coupe Nord-Sud

SYSTEMES ARCHITECTURAUX

Le Forum est la place publique au coeur du projet. Ses bâtiments sont réalisés en 2015. Au portail Feuillat succède la verrière Belle-Epoque, qui se prolonge en une galerie moderne. Le Forum dessert les programmes majeurs du site au rez-de-chaussée et au niveau des passerelles. C’est un lieu pédagogique pour le visiteur puisque la structure est peu à peu mise à nu. C’est aussi un endroit privilégié pour la mise en relation visuelle du rez-de-chaussée et des passerelles, notammentavec l’escalier principal.

1. Médiathèque2. Galerie d’Art3. Recyclothèque4. Café Slow-Food5. Place du Forum6. Maison du Projet7. Maison de quartier8. Espace des Mémoires Berliet9. Ateliers d’artisans10. Cours communes11. Boutiques12. Escalier13. Connexionverticale

Le Forum : la structure se déshabille

Le portail Rue Feuillat, porte du Forum

Coupe Est-Ouest

Page 10: Portfolio 2013 Paul Barrère

ARCHITECTURE 10

LA MEDIATHEQUE DES SAVOIR-FAIRE

La médiathèque est un exemple de grandes extensions. Les formes architecturales de celles-ci contrastent avec l’usine par le dynamisme géométrique des façades, la variété des volumes, leur structure porteuse en béton, massive, en contrepoint avec la légèreté métallique.

Cette médiathèque présente la particularité d’associer une bibliothèque de campus et de quartier. Le hall prolonge le forum (accueil, un cybercafé etc.) Le premier étage est Slow-Life (espace enfants, musique, jeux vidéos), desservi par les passerelles.

La structure en béton armé forme un squelette qui prend racine dans le sol en béton de l’usine.

INGENIERIE DESSIN

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY ClairePFE AFT 2013

LEGENDE1. Ecran en verre2. Fixation métallique3. Panneau massif bois contrecollé 19mm4. Montant bois massif

5. Double-vitrage 6. Dalle alvéolée7. Béton de remplissage8. Faux-plafond9. Poutre en béton armé H=1m au niveau du poteau porteur

Au RDC, le grand hall de 7m de haut est fortement connecté à la place du Forum. Il présente ainsi une façade entièrement vitrée avec des activités telles qu’un cyber-café.Le R+1 est en forte connexion avec le réseau de passerelles, qui s’introduit directement dans le bâtiment pour créer un sous-espace de détente : un café-lecture. De façon plus large, le R+1 en entier est dédié au Slow-Life.

Les formes architecturales des extensions se veulent en contraste avec l’usine :- Dans une approche contemporaine, elles introduisent des angles et des développés de façade, adaptés à des usages et un apport solaire différent de sous les sheds; - Les éléments porteurs sont massifs et émergent du sol en béton, afin de mettre en valeur, par contraste, la structure légère en métal de l’usine.

Cependant, leurs liens avec l’usine sont étroits : - Les RDC respectent la trame orthogonale de l’usine afin de ne pas la déstabiliser ;- Les angles introduits dans les développés de façade rappellent le découpé des sheds;- Les motifs, notamment celui du puits central de la Médiathèque, démultiplie le croisillon des poutres métalliques.

LEGENDE PLAN R+17. Café lecture Slow-Life8. Accueil 9. Espace enfance10. Espace petite enfance11. Espace BD12. Espace CD13. Films et jeux vidéos14. Salle de projection

LOCALISATION DE LA MEDIATHEQUE

coupe est-ouest

coupe nord-sud

MEDIATHEQUE DES SAVOIR-FAIRE : ELEMENT MAJEUR DU FORUM

Plan du Rez-de-Chaussée

1

26

3

5

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Plan du R+1 niveau de passerelles

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0 2 5 10 20m

FORUMGalerie d’ArtPassageAteliers Passage Verrière Belle-époque Rue FeuillatOuest

Rue RochaixEst

LE FORUM : COEUR DU SITE ET COEUR DE QUARTIER

Coupe est-ouest sur le site

Coupe nord-sud partielle sur le site

Systèmes architecturaux

Passage Passage Médiathèque des Savoir-FaireMagasinsCafé-Restaurant Slow Life FORUM SudNord

Détail de la façade double-peau Nord

+++

++ =

1 2

3 4

SYSTEME STRUCTUREL

ECLATE STRUCTUREL

1. Suppression des sheds à l’emplacement du RDC, pour accueillir un large hall ;2. Construction de la structure en béton armé de l’extension : trois noyaux porteurs sont composés d’éléments obliques qui viennent se retourner à chaque niveau et forment un réseau de poutres horizontales à encorbellement qui porte les étages ;3. Pose de dalles alvéolées en béton préfabriquées pour former les planchers ;4. Construction de façades en bardage bois plus ou moins ajourées suivant l’ambiance désirée.

LEGENDE

1. Substrat pour végétation extensive 80mm2. Lé de protection3. Lé d’étanchéité bi-couche4. Panneau bois contrecollé 30mm5. Isolation laine de bois 400mm6. Contre-lattage7. Sous-couverture8. Isolation laine de bois 180mm9. Montant 160mm10. Panneau fibre de bois isolant11. Lattage horizontal 30mm12. Lambris vertical mélèze

Détail des façades à bardage bois

Détail du système structurel

Vue du Hall d’entrée

LEGENDE PLAN RDC1. Forum2. Hall3. Accueil, emprunts4. Cyber-Café5. Lecture de périodiques6. Archives

Eclaté structurel

0 2 5 10 20

0 2 5 10 20m

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0 10 20 50 100mm

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0 2 5 10m

5

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY ClairePFE AFT 2013

LEGENDE1. Ecran en verre2. Fixation métallique3. Panneau massif bois contrecollé 19mm4. Montant bois massif

5. Double-vitrage 6. Dalle alvéolée7. Béton de remplissage8. Faux-plafond9. Poutre en béton armé H=1m au niveau du poteau porteur

Au RDC, le grand hall de 7m de haut est fortement connecté à la place du Forum. Il présente ainsi une façade entièrement vitrée avec des activités telles qu’un cyber-café.Le R+1 est en forte connexion avec le réseau de passerelles, qui s’introduit directement dans le bâtiment pour créer un sous-espace de détente : un café-lecture. De façon plus large, le R+1 en entier est dédié au Slow-Life.

Les formes architecturales des extensions se veulent en contraste avec l’usine :- Dans une approche contemporaine, elles introduisent des angles et des développés de façade, adaptés à des usages et un apport solaire différent de sous les sheds; - Les éléments porteurs sont massifs et émergent du sol en béton, afin de mettre en valeur, par contraste, la structure légère en métal de l’usine.

Cependant, leurs liens avec l’usine sont étroits : - Les RDC respectent la trame orthogonale de l’usine afin de ne pas la déstabiliser ;- Les angles introduits dans les développés de façade rappellent le découpé des sheds;- Les motifs, notamment celui du puits central de la Médiathèque, démultiplie le croisillon des poutres métalliques.

LEGENDE PLAN R+17. Café lecture Slow-Life8. Accueil 9. Espace enfance10. Espace petite enfance11. Espace BD12. Espace CD13. Films et jeux vidéos14. Salle de projection

LOCALISATION DE LA MEDIATHEQUE

coupe est-ouest

coupe nord-sud

MEDIATHEQUE DES SAVOIR-FAIRE : ELEMENT MAJEUR DU FORUM

Plan du Rez-de-Chaussée

1

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0 2 5 10 20m

Plan du R+1 niveau de passerelles

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FORUMGalerie d’ArtPassageAteliers Passage Verrière Belle-époque Rue FeuillatOuest

Rue RochaixEst

LE FORUM : COEUR DU SITE ET COEUR DE QUARTIER

Coupe est-ouest sur le site

Coupe nord-sud partielle sur le site

Systèmes architecturaux

Passage Passage Médiathèque des Savoir-FaireMagasinsCafé-Restaurant Slow Life FORUM SudNord

Détail de la façade double-peau Nord

+++

++ =

1 2

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SYSTEME STRUCTUREL

ECLATE STRUCTUREL

1. Suppression des sheds à l’emplacement du RDC, pour accueillir un large hall ;2. Construction de la structure en béton armé de l’extension : trois noyaux porteurs sont composés d’éléments obliques qui viennent se retourner à chaque niveau et forment un réseau de poutres horizontales à encorbellement qui porte les étages ;3. Pose de dalles alvéolées en béton préfabriquées pour former les planchers ;4. Construction de façades en bardage bois plus ou moins ajourées suivant l’ambiance désirée.

LEGENDE

1. Substrat pour végétation extensive 80mm2. Lé de protection3. Lé d’étanchéité bi-couche4. Panneau bois contrecollé 30mm5. Isolation laine de bois 400mm6. Contre-lattage7. Sous-couverture8. Isolation laine de bois 180mm9. Montant 160mm10. Panneau fibre de bois isolant11. Lattage horizontal 30mm12. Lambris vertical mélèze

Détail des façades à bardage bois

Détail du système structurel

Vue du Hall d’entrée

LEGENDE PLAN RDC1. Forum2. Hall3. Accueil, emprunts4. Cyber-Café5. Lecture de périodiques6. Archives

Eclaté structurel

0 2 5 10 20

0 2 5 10 20m

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0 10 20 50 100mm

0 10 20 50 100mm

0 2 5 10m

5

La médiathèque : élément marquant du Forum

Le RDC prolonge le Forum

1. Structure existante en acier

2. Noyaux porteurs béton 3. Poutres se ramifiant à partir des noyaux

4. Poutres formant un réseau à chaque étage

5. Planchers formés de dalles alvéolaires

6. Les façades légeresà ossature bois

La façade double-peau au nord

Coupe nord - sud, de la façade nord au puits de lumière

Le hall d’accueil : rapport structure ancienne / nouvelleLe R+1 est l’étage Slow-Life

L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY ClairePFE AFT 2013

LEGENDE1. Ecran en verre2. Fixation métallique3. Panneau massif bois contrecollé 19mm4. Montant bois massif

5. Double-vitrage 6. Dalle alvéolée7. Béton de remplissage8. Faux-plafond9. Poutre en béton armé H=1m au niveau du poteau porteur

Au RDC, le grand hall de 7m de haut est fortement connecté à la place du Forum. Il présente ainsi une façade entièrement vitrée avec des activités telles qu’un cyber-café.Le R+1 est en forte connexion avec le réseau de passerelles, qui s’introduit directement dans le bâtiment pour créer un sous-espace de détente : un café-lecture. De façon plus large, le R+1 en entier est dédié au Slow-Life.

Les formes architecturales des extensions se veulent en contraste avec l’usine :- Dans une approche contemporaine, elles introduisent des angles et des développés de façade, adaptés à des usages et un apport solaire différent de sous les sheds; - Les éléments porteurs sont massifs et émergent du sol en béton, afin de mettre en valeur, par contraste, la structure légère en métal de l’usine.

Cependant, leurs liens avec l’usine sont étroits : - Les RDC respectent la trame orthogonale de l’usine afin de ne pas la déstabiliser ;- Les angles introduits dans les développés de façade rappellent le découpé des sheds;- Les motifs, notamment celui du puits central de la Médiathèque, démultiplie le croisillon des poutres métalliques.

LEGENDE PLAN R+17. Café lecture Slow-Life8. Accueil 9. Espace enfance10. Espace petite enfance11. Espace BD12. Espace CD13. Films et jeux vidéos14. Salle de projection

LOCALISATION DE LA MEDIATHEQUE

coupe est-ouest

coupe nord-sud

MEDIATHEQUE DES SAVOIR-FAIRE : ELEMENT MAJEUR DU FORUM

Plan du Rez-de-Chaussée

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Plan du R+1 niveau de passerelles

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0 2 5 10 20m

FORUMGalerie d’ArtPassageAteliers Passage Verrière Belle-époque Rue FeuillatOuest

Rue RochaixEst

LE FORUM : COEUR DU SITE ET COEUR DE QUARTIER

Coupe est-ouest sur le site

Coupe nord-sud partielle sur le site

Systèmes architecturaux

Passage Passage Médiathèque des Savoir-FaireMagasinsCafé-Restaurant Slow Life FORUM SudNord

Détail de la façade double-peau Nord

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SYSTEME STRUCTUREL

ECLATE STRUCTUREL

1. Suppression des sheds à l’emplacement du RDC, pour accueillir un large hall ;2. Construction de la structure en béton armé de l’extension : trois noyaux porteurs sont composés d’éléments obliques qui viennent se retourner à chaque niveau et forment un réseau de poutres horizontales à encorbellement qui porte les étages ;3. Pose de dalles alvéolées en béton préfabriquées pour former les planchers ;4. Construction de façades en bardage bois plus ou moins ajourées suivant l’ambiance désirée.

LEGENDE

1. Substrat pour végétation extensive 80mm2. Lé de protection3. Lé d’étanchéité bi-couche4. Panneau bois contrecollé 30mm5. Isolation laine de bois 400mm6. Contre-lattage7. Sous-couverture8. Isolation laine de bois 180mm9. Montant 160mm10. Panneau fibre de bois isolant11. Lattage horizontal 30mm12. Lambris vertical mélèze

Détail des façades à bardage bois

Détail du système structurel

Vue du Hall d’entrée

LEGENDE PLAN RDC1. Forum2. Hall3. Accueil, emprunts4. Cyber-Café5. Lecture de périodiques6. Archives

Eclaté structurel

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L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY ClairePFE AFT 2013

LEGENDE1. Ecran en verre2. Fixation métallique3. Panneau massif bois contrecollé 19mm4. Montant bois massif

5. Double-vitrage 6. Dalle alvéolée7. Béton de remplissage8. Faux-plafond9. Poutre en béton armé H=1m au niveau du poteau porteur

Au RDC, le grand hall de 7m de haut est fortement connecté à la place du Forum. Il présente ainsi une façade entièrement vitrée avec des activités telles qu’un cyber-café.Le R+1 est en forte connexion avec le réseau de passerelles, qui s’introduit directement dans le bâtiment pour créer un sous-espace de détente : un café-lecture. De façon plus large, le R+1 en entier est dédié au Slow-Life.

Les formes architecturales des extensions se veulent en contraste avec l’usine :- Dans une approche contemporaine, elles introduisent des angles et des développés de façade, adaptés à des usages et un apport solaire différent de sous les sheds; - Les éléments porteurs sont massifs et émergent du sol en béton, afin de mettre en valeur, par contraste, la structure légère en métal de l’usine.

Cependant, leurs liens avec l’usine sont étroits : - Les RDC respectent la trame orthogonale de l’usine afin de ne pas la déstabiliser ;- Les angles introduits dans les développés de façade rappellent le découpé des sheds;- Les motifs, notamment celui du puits central de la Médiathèque, démultiplie le croisillon des poutres métalliques.

LEGENDE PLAN R+17. Café lecture Slow-Life8. Accueil 9. Espace enfance10. Espace petite enfance11. Espace BD12. Espace CD13. Films et jeux vidéos14. Salle de projection

LOCALISATION DE LA MEDIATHEQUE

coupe est-ouest

coupe nord-sud

MEDIATHEQUE DES SAVOIR-FAIRE : ELEMENT MAJEUR DU FORUM

Plan du Rez-de-Chaussée

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Plan du R+1 niveau de passerelles

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FORUMGalerie d’ArtPassageAteliers Passage Verrière Belle-époque Rue FeuillatOuest

Rue RochaixEst

LE FORUM : COEUR DU SITE ET COEUR DE QUARTIER

Coupe est-ouest sur le site

Coupe nord-sud partielle sur le site

Systèmes architecturaux

Passage Passage Médiathèque des Savoir-FaireMagasinsCafé-Restaurant Slow Life FORUM SudNord

Détail de la façade double-peau Nord

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SYSTEME STRUCTUREL

ECLATE STRUCTUREL

1. Suppression des sheds à l’emplacement du RDC, pour accueillir un large hall ;2. Construction de la structure en béton armé de l’extension : trois noyaux porteurs sont composés d’éléments obliques qui viennent se retourner à chaque niveau et forment un réseau de poutres horizontales à encorbellement qui porte les étages ;3. Pose de dalles alvéolées en béton préfabriquées pour former les planchers ;4. Construction de façades en bardage bois plus ou moins ajourées suivant l’ambiance désirée.

LEGENDE

1. Substrat pour végétation extensive 80mm2. Lé de protection3. Lé d’étanchéité bi-couche4. Panneau bois contrecollé 30mm5. Isolation laine de bois 400mm6. Contre-lattage7. Sous-couverture8. Isolation laine de bois 180mm9. Montant 160mm10. Panneau fibre de bois isolant11. Lattage horizontal 30mm12. Lambris vertical mélèze

Détail des façades à bardage bois

Détail du système structurel

Vue du Hall d’entrée

LEGENDE PLAN RDC1. Forum2. Hall3. Accueil, emprunts4. Cyber-Café5. Lecture de périodiques6. Archives

Eclaté structurel

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L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY ClairePFE AFT 2013

LEGENDE1. Ecran en verre2. Fixation métallique3. Panneau massif bois contrecollé 19mm4. Montant bois massif

5. Double-vitrage 6. Dalle alvéolée7. Béton de remplissage8. Faux-plafond9. Poutre en béton armé H=1m au niveau du poteau porteur

Au RDC, le grand hall de 7m de haut est fortement connecté à la place du Forum. Il présente ainsi une façade entièrement vitrée avec des activités telles qu’un cyber-café.Le R+1 est en forte connexion avec le réseau de passerelles, qui s’introduit directement dans le bâtiment pour créer un sous-espace de détente : un café-lecture. De façon plus large, le R+1 en entier est dédié au Slow-Life.

Les formes architecturales des extensions se veulent en contraste avec l’usine :- Dans une approche contemporaine, elles introduisent des angles et des développés de façade, adaptés à des usages et un apport solaire différent de sous les sheds; - Les éléments porteurs sont massifs et émergent du sol en béton, afin de mettre en valeur, par contraste, la structure légère en métal de l’usine.

Cependant, leurs liens avec l’usine sont étroits : - Les RDC respectent la trame orthogonale de l’usine afin de ne pas la déstabiliser ;- Les angles introduits dans les développés de façade rappellent le découpé des sheds;- Les motifs, notamment celui du puits central de la Médiathèque, démultiplie le croisillon des poutres métalliques.

LEGENDE PLAN R+17. Café lecture Slow-Life8. Accueil 9. Espace enfance10. Espace petite enfance11. Espace BD12. Espace CD13. Films et jeux vidéos14. Salle de projection

LOCALISATION DE LA MEDIATHEQUE

coupe est-ouest

coupe nord-sud

MEDIATHEQUE DES SAVOIR-FAIRE : ELEMENT MAJEUR DU FORUM

Plan du Rez-de-Chaussée

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FORUMGalerie d’ArtPassageAteliers Passage Verrière Belle-époque Rue FeuillatOuest

Rue RochaixEst

LE FORUM : COEUR DU SITE ET COEUR DE QUARTIER

Coupe est-ouest sur le site

Coupe nord-sud partielle sur le site

Systèmes architecturaux

Passage Passage Médiathèque des Savoir-FaireMagasinsCafé-Restaurant Slow Life FORUM SudNord

Détail de la façade double-peau Nord

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SYSTEME STRUCTUREL

ECLATE STRUCTUREL

1. Suppression des sheds à l’emplacement du RDC, pour accueillir un large hall ;2. Construction de la structure en béton armé de l’extension : trois noyaux porteurs sont composés d’éléments obliques qui viennent se retourner à chaque niveau et forment un réseau de poutres horizontales à encorbellement qui porte les étages ;3. Pose de dalles alvéolées en béton préfabriquées pour former les planchers ;4. Construction de façades en bardage bois plus ou moins ajourées suivant l’ambiance désirée.

LEGENDE

1. Substrat pour végétation extensive 80mm2. Lé de protection3. Lé d’étanchéité bi-couche4. Panneau bois contrecollé 30mm5. Isolation laine de bois 400mm6. Contre-lattage7. Sous-couverture8. Isolation laine de bois 180mm9. Montant 160mm10. Panneau fibre de bois isolant11. Lattage horizontal 30mm12. Lambris vertical mélèze

Détail des façades à bardage bois

Détail du système structurel

Vue du Hall d’entrée

LEGENDE PLAN RDC1. Forum2. Hall3. Accueil, emprunts4. Cyber-Café5. Lecture de périodiques6. Archives

Eclaté structurel

0 2 5 10 20

0 2 5 10 20m

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5L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY ClairePFE AFT 2013

LEGENDE1. Ecran en verre2. Fixation métallique3. Panneau massif bois contrecollé 19mm4. Montant bois massif

5. Double-vitrage 6. Dalle alvéolée7. Béton de remplissage8. Faux-plafond9. Poutre en béton armé H=1m au niveau du poteau porteur

Au RDC, le grand hall de 7m de haut est fortement connecté à la place du Forum. Il présente ainsi une façade entièrement vitrée avec des activités telles qu’un cyber-café.Le R+1 est en forte connexion avec le réseau de passerelles, qui s’introduit directement dans le bâtiment pour créer un sous-espace de détente : un café-lecture. De façon plus large, le R+1 en entier est dédié au Slow-Life.

Les formes architecturales des extensions se veulent en contraste avec l’usine :- Dans une approche contemporaine, elles introduisent des angles et des développés de façade, adaptés à des usages et un apport solaire différent de sous les sheds; - Les éléments porteurs sont massifs et émergent du sol en béton, afin de mettre en valeur, par contraste, la structure légère en métal de l’usine.

Cependant, leurs liens avec l’usine sont étroits : - Les RDC respectent la trame orthogonale de l’usine afin de ne pas la déstabiliser ;- Les angles introduits dans les développés de façade rappellent le découpé des sheds;- Les motifs, notamment celui du puits central de la Médiathèque, démultiplie le croisillon des poutres métalliques.

LEGENDE PLAN R+17. Café lecture Slow-Life8. Accueil 9. Espace enfance10. Espace petite enfance11. Espace BD12. Espace CD13. Films et jeux vidéos14. Salle de projection

LOCALISATION DE LA MEDIATHEQUE

coupe est-ouest

coupe nord-sud

MEDIATHEQUE DES SAVOIR-FAIRE : ELEMENT MAJEUR DU FORUM

Plan du Rez-de-Chaussée

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Plan du R+1 niveau de passerelles

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FORUMGalerie d’ArtPassageAteliers Passage Verrière Belle-époque Rue FeuillatOuest

Rue RochaixEst

LE FORUM : COEUR DU SITE ET COEUR DE QUARTIER

Coupe est-ouest sur le site

Coupe nord-sud partielle sur le site

Systèmes architecturaux

Passage Passage Médiathèque des Savoir-FaireMagasinsCafé-Restaurant Slow Life FORUM SudNord

Détail de la façade double-peau Nord

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SYSTEME STRUCTUREL

ECLATE STRUCTUREL

1. Suppression des sheds à l’emplacement du RDC, pour accueillir un large hall ;2. Construction de la structure en béton armé de l’extension : trois noyaux porteurs sont composés d’éléments obliques qui viennent se retourner à chaque niveau et forment un réseau de poutres horizontales à encorbellement qui porte les étages ;3. Pose de dalles alvéolées en béton préfabriquées pour former les planchers ;4. Construction de façades en bardage bois plus ou moins ajourées suivant l’ambiance désirée.

LEGENDE

1. Substrat pour végétation extensive 80mm2. Lé de protection3. Lé d’étanchéité bi-couche4. Panneau bois contrecollé 30mm5. Isolation laine de bois 400mm6. Contre-lattage7. Sous-couverture8. Isolation laine de bois 180mm9. Montant 160mm10. Panneau fibre de bois isolant11. Lattage horizontal 30mm12. Lambris vertical mélèze

Détail des façades à bardage bois

Détail du système structurel

Vue du Hall d’entrée

LEGENDE PLAN RDC1. Forum2. Hall3. Accueil, emprunts4. Cyber-Café5. Lecture de périodiques6. Archives

Eclaté structurel

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Page 11: Portfolio 2013 Paul Barrère

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C’est un autre exemple de grande extension. Elle symbolise la démarche durable à travers le recyclage

LES ATELIERS

Les sheds sont investis par des ateliers. Les cloisons en bois sont flexibles et des joints creux font ressentir la continuité du sol et du plafond

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L’USINE DES SAVOIR-FAIRE BARRERE Paul - GERBEAUX Marion - LEROY Claire

Systèmes architecturaux

PFE AFT 2013

Le café-restaurant est un exemple de programme intégré au RDC dans l’usine existante et émergeant de la nappe de shed avec une petite extension au niveau des passerelles.

LE FORUM

1. Médiathèque2. Galerie d’Art3. Recyclothèque4. Café Slow-Food5. Place du Forum6. Maison du Projet7. Maison de Quartier8. Espace des Mémoires Berliet9. Atelier d’Artisans10. Cours communes privées11. Boutiques12. Escalier sculptural13. Connexion verticale

Au portail Feuillat succède la verrière Belle-Epoque, qui se prolonge en une galerie moderne s’ouvrant sur le Forum. Celui-ci dessert les programmes majeurs du site au rez-de-chaussée et au niveau des passerelles. Le Forum est un lieu «pédagogique» pour le visiteur puisque la structure est peu à peu mise à nu, donnant à comprendre la composition de l’usine. C’est aussi un endroit privilégié pour la mise en relation visuelle du rez-de-chaussée et des passerelles, notamment avec l’escalier principal.

L’architecture que nous proposons au niveau du Forum met en place des valeurs communes et vise à explorer le potentiel du concept de système architectural. Ces bâtiments sont réalisés en 2015, à une époque où le site se réactive progressivement.

CAFE-RESTAURANT SLOW-FOOD

RECYCLOTHEQUE

JARDIN LACASSAGNE

Rez-de-chaussée Niveau des passerelles

Entrée principale par le Portail Feuillat Place du Forum Ateliers sous les sheds

Rez-de-chaussée Niveau des passerelles

Le Pavillon : Se rassembler, Ecouter, Se divertir

Façade symbolique du recyclage

RDC de la Recyclothèque

Fonctionnement

Eclaté structurel

Halle aux matériaux: Donner, Chiner Atelier léger : Restaurer, Peindre

La Cheminée : Se promener, Découvrir, Admirer

L’entrée du jardin depuis Lacassagne

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LE FORUM : COEUR DU SITE ET LIEN ENTRE LES STRATES

La Recyclothèque est un exemple de programme présentant un espace sous sheds existants et une grande extension. Elle incarne la dimension durable de notre projet : on vient y apprendre à réutiliser les objets. L’espace sous les sheds est investi de différentes manières, par exemple par des ateliers d’artisans. La continuité du béton au sol et de la toiture des sheds est soulignée par les cloisons.

Un des pôles secondaires du projet, le jardin Lacassagne, au nord du site, est un havre de paix et de verdure. Il symbolise le parc verdoyant qu’a pu être le site à l’époque de sa dépollution et met en scène la structure métallique de l’usine.

0 5 10 20 50 m 0 5 10 20 50 m

ENSAL - M2 AFT - 27/06/13 Partie 4 : Systèmes architecturaux 91Paul BARRERE / Marion GERBEAUX / Claire LEROY

JARDIN LACASSAGNE Concept

Imaginaire d’un parc généreuxImaginaire d’un parc généreux

Le Café-Restaurant en allant vers le Forum Un atelier derrière la façade Feuillat

Façade principale vers LacassagneFonctionnement au niveau des sheds Atelier léger : apprendre à réparer les meubles

La végétation entre la structure L’entrée côté avenue Lacassagne

LE JARDIN LACASSAGNE

Au nord du site, c’est le lieu témoin du jardin de dépollution. Il constitue un lieu paisible.

SLOW-FOOD

C’est un exemple de petite extension. Le restaurant se situe sous les sheds et le bar au R+1.

CAFE-RESTAURANT

LA RECYCLOTHEQUE

Page 12: Portfolio 2013 Paul Barrère

ARCHITECTURE 12DESSININGENIERIE

WORKSHOPSACCESSEABILITY

Parc le long de la Corne d’Or Pont de Karakoy

“Grand Magasin”

“Grand Magasin”Hall public

“Grand Magasin” Place

Le port comme verrou Le port modernisé et rééquilibré

Médiathèque d’Istanbul Extension de l’université Mimar SinanMusée de la ville

Musée de la villeSalle de Concert

Hall publicMusée de la ville

Vue sur la mer à travers le Hall des PassagersConnexion

Hall des Passagers Médiathèque Extension de Mimar Sinan Port

LE QUAI CULTUREL

REPENSER LE BORDDE MER

Uskudar

Haydarpasa

Kadikoy

2013AVEC BUSRA GUVEN (ISTANBUL) MIRKO SISTO (TURIN)ET OLCAY TIMUR (ISTANBUL)

PROJET URBAIN ISTANBUL

Le sujet porte sur le bord de mer de Galata, qui donne sur Sainte-Sophie. Il s’inscrit dans un scénario plus large où une promenade piétonne est aménagée le long du Bosphore.Le projet propose d’accéder à la mer. Le port des bateaux de croisière est reconfiguré pour mieux le connecter à la ville moderne. L’espace dégagé est investi par des fonctions culturelles organisées autour de l’historique Hall des Passagers. Il est proposé d’y créer la première médiathèque d’Istanbul. Des programmes culturels sont implantés à l’emplacement des anciennes fortifications génoises.

Page 13: Portfolio 2013 Paul Barrère

13

2013AVEC ALIX DUMASCLAIRE GALLEYRANDFANNY LAGERET ANAIS LAMBERTON

PARC ARCHEOLOGIQUELYON 5ÈME

Il était proposé de travailler la scénographie du musée Gallo-Romain de Zehrfuss. Notre projet considère le parc archéologique comme priorité.Celui-ci est pensé comme étape du Parc des Hauteurs. Un centre d’interprétation est installé ainsi qu’un café/boutique avec vue panoramique, clarifiant l’accès au parc. Un restaurant est créé dans la Maison des Cèdres et le «temple de Cybèle» est donné à la compréhension. Une signalétique sobre mais présente, ainsi que des oeuvres d’art exposées à l’extérieur renforcent la lecture du lieu et accompagnent le visiteur dans l’ascension de Fourvière.

Basilique Fourvière Antiquaille Couvent de la Visitation Cimetière de Loyasse Fort de Loyasse

Centre LugdunumBoutiqueCafé

BALADES ROMAINES

SIGNALETIQUE

Guider, informer, cadrer Mettre en scène Textes en relief sur panneau métalComprendre Observer

1. Une entrée clarifiée

AccèsFourvière12

3

Les pontons du sanctuairede Cybèle

Restaurant “Les Cèdres”

Café / Boutiqueet Centre LugdunumProlongement extérieur

Art contemporain / Art romain

Le Parc des Hauteurs : parcourir Lugdunum

Eglise Saint PaulMusée GadagnePalais de justiceCathédrale Saint JeanEglise Saint Georges

2. Rampe en cohérence avec le musée 3. Les pontons pour lire le “Sanctuaire de Cybèle”

AMBIANCES

Parcours Parc des HauteursParcours sur le site

MontéesPoints de vues

Entrée Parc Archéologique

Port

Page 14: Portfolio 2013 Paul Barrère

ARCHITECTURE 14

AUX PORTESDE L’ESS

2012AVEC CLAIRE GALLEYRANDET CHAYMA OUESLATI

ARCHITECTURE EVENEMENTIELLECORDOUE

L’objectif de ce travail est de concevoir un «objet spatial» pour promouvoir l’Economie Sociale et Solidaire (ESS). Nous voulons contribuer à unifier la diversité de l’ESS. Dans ce but, un projet d’utilité publique est mené dans toute la ville de Cordoue, impliquant les acteurs de l’ESS et les citoyens. Dans un centre de recherche, les premiers se rencontrent pour mieux collaborer. Au sein des Portes, architectures dispersées dans le tissu urbain, les habitants viennent participer au travail de coopération. Les Portes sont animées d’un mouvement perpétuel, présentent une forme changeante, à l’image de l’ESS, et elles s’ouvrent à l’approche d’une personne pour délivrer leurs informations.

Un concept désincarné ?

Une porte sur une place de Cordoue

NOTRE VISION DE L’ESS

DEROULEMENT DU PROJET PUBLIC

Une diversité regroupéearbitrairement ?

Des acteurs aux valeurs communes Une richesse

Présentation

CommunicationCoopération

Vote des habitants Réalisation du projet

Expression des besoins

DESSININGENIERIE

Page 15: Portfolio 2013 Paul Barrère

15

UN PROGRAMMEINTERACTIF

UNE CINEMATIQUE SURPRENANTE

UNE MATERIALITECOMPLEXE

Polycarbonatenid d’abeille

légerrésistantperception changeante

MAQUETTE AUX GRANDS ATELIERS

DETAILS TECHNIQUES

SCENARIO

UN

ITE

MO

UVE

MEN

T D

IVER

SITE

Charnières verticales Charnières acryliques améliorées

Charnières non structurelles Elastomère souple translucide

1. Roulement à billes2. Tube télescopique3. Cric pneumatique4. Renforcement5. Guidage du mât6. Encastrement7. Panneaux solaires

1. Vue en direct du centre de recherche2. Plan interactif de l’ESS à Cordoue3. Dépôt des propositions4. Tapis sensitif de détection

Cycle ouverture et fermeture

Consultation des informations

1

2

3

4

Détection et ouverture

Page 16: Portfolio 2013 Paul Barrère

ARCHITECTURE 16

Pour aborder le quartier de la Part-Dieu dans son immensité, nous avons choisi de travailler le site comme un élément du paysage lyonnais pour pouvoir le modeler avec liberté et le ramener à une échelle respectueuse du piéton.

Cette position spatiale amène à deux propositions principales : considérer la ligne TGV comme un « fleuve ferroviaire » et revaloriser l’ensemble du carré Part-Dieu à travers une intervention marquée sur le centre commercial et la « dalle ».

2011AVEC MAUD DUPHIL ET GIORGIA CICALESE

PROJET URBAIN DE 30 HALYON 3ÈME

Fruit depuis les années 70 d’une histoire tumultueuse, le quartier a aujourd’hui une image négative : la gare est saturée, le boulevard Vivier-Merle encombré, le centre commercial désuet et la «dalle» délabrée. La Part-Dieu fait actuellement l’objet de nouvelles intentions de la part de la municipalité pour le doter de plus de tours et d’un urbanisme de ville générique et mondialisée.

Notre proposition considère différemment les enjeux réels du lieu. Notre analyse des échelles européenne, française et régionale nous conduit à penser le quartier comme une centralité à destination de tous les citoyens. Cette centralité doit être développée pour servir de lien entre l’hyper-centre de Lyon - la Presqu’île - et Villeurbanne.

IntentionsResituer l’échelle du quartier Part-Dieu Requalifier les liaisons

Cité InternationaleTransobordeur

Brotteaux

Part-Dieu

Manufacture des Tabacs

Parc Blandan

Jean Macé

Perrache

S’approprier la limite

Confluence

Gorge de LoupGare de Vaise

Confluence phase 2

Oullins

Inscrire le quartier dans l’identité lyonnaise

ENSAL /// M1 HP /// Christian MARCOT / Paolo AMALDI / Jacques VIALETTES Paul BARRERE / Giorgia CICALESE / Maud DUPHIL 2

La Part-Dieu, c’est.... INFINI

=> La Part-Dieu, c’est.... un morceau de la Ville-Paysage

(A) Fourvière(B) Croix-Rousse(C) La Duchère(D) Part-Dieu

Fourvière Presqu’Ile Part-Dieu Gratte-ciel

“fleu

ve fe

rrov

iaire

Saôn

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Rhôn

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Les collines de Lyon(A) Fourvière(B) Croix Rousse(C) La Duchère(D) La Part-Dieu

ENSAL /// M1 HP /// Christian MARCOT / Paolo AMALDI / Jacques VIALETTES Paul BARRERE / Giorgia CICALESE / Maud DUPHIL 3

IntentionsResituer l’échelle du quartier Part-Dieu Requalifier les liaisons

Cité InternationaleTransobordeur

Brotteaux

Part-Dieu

Manufacture des Tabacs

Parc Blandan

Jean Macé

Perrache

S’approprier la limite

Confluence

Gorge de LoupGare de Vaise

Confluence phase 2

Oullins

Inscrire le quartier dans l’identité lyonnaise

ENSAL /// M1 HP /// Christian MARCOT / Paolo AMALDI / Jacques VIALETTES Paul BARRERE / Giorgia CICALESE / Maud DUPHIL 2

Fourvière Presqu’Ile Part-Dieu Gratte-ciel“fl

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Saôn

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Rhôn

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Les collines de Lyon(A) Fourvière(B) Croix Rousse(C) La Duchère(D) La Part-Dieu

ENSAL /// M1 HP /// Christian MARCOT / Paolo AMALDI / Jacques VIALETTES Paul BARRERE / Giorgia CICALESE / Maud DUPHIL 3

Part-Dieu Gratte-CielPresqu’ÎleFourvière

3. S’approprier la limite ferroviaire

2. Requalifier les liaisons

IntentionsResituer l’échelle du quartier Part-Dieu Requalifier les liaisons

Cité InternationaleTransobordeur

Brotteaux

Part-Dieu

Manufacture des Tabacs

Parc Blandan

Jean Macé

Perrache

S’approprier la limite

Confluence

Gorge de LoupGare de Vaise

Confluence phase 2

Oullins

Inscrire le quartier dans l’identité lyonnaise

ENSAL /// M1 HP /// Christian MARCOT / Paolo AMALDI / Jacques VIALETTES Paul BARRERE / Giorgia CICALESE / Maud DUPHIL 2

1. Resituer l’échelle du quartier Part-Dieu

IntentionsResituer l’échelle du quartier Part-Dieu Requalifier les liaisons

Cité InternationaleTransobordeur

Brotteaux

Part-Dieu

Manufacture des Tabacs

Parc Blandan

Jean Macé

Perrache

S’approprier la limite

Confluence

Gorge de LoupGare de Vaise

Confluence phase 2

Oullins

Inscrire le quartier dans l’identité lyonnaise

ENSAL /// M1 HP /// Christian MARCOT / Paolo AMALDI / Jacques VIALETTES Paul BARRERE / Giorgia CICALESE / Maud DUPHIL 2

IntentionsResituer l’échelle du quartier Part-Dieu Requalifier les liaisons

Cité InternationaleTransobordeur

Brotteaux

Part-Dieu

Manufacture des Tabacs

Parc Blandan

Jean Macé

Perrache

S’approprier la limite

Confluence

Gorge de LoupGare de Vaise

Confluence phase 2

Oullins

Inscrire le quartier dans l’identité lyonnaise

ENSAL /// M1 HP /// Christian MARCOT / Paolo AMALDI / Jacques VIALETTES Paul BARRERE / Giorgia CICALESE / Maud DUPHIL 2

4. Inscrire le quartier dans l’identité lyonnaise

PART-DIEUVILLE-PAYSAGE

DESSININGENIERIE

Page 17: Portfolio 2013 Paul Barrère

17

L’arrivée du fleuve ferroviaire

Effritement de la vallée

La conquête végétale de Garibaldi

Emergence d’une architecture

Cristaux mis à jour par l’érosion

Formation tectonique de Vivier Merle

La conquête végétale de Garibaldi

Le site La butte

A l’échelle urbaine, la voie ferrée sépare le quartier. En traitant ses abords comme les berges d’un fleuve, nous créons un lieu pratiqué par les habitants (promenades, voies modes doux). Le fleuve ferroviaire relie les espaces verts majeurs. Des accès à la gare sont rajoutés le long des voies pour remettre le train au coeur de la ville.A l’échelle du quartier, le centre commercial s’ouvre sur la rue Garibaldi par des pentes commerçantes ; le hall principal devient un puits de lumière qui permet d’accéder au toit. Là-haut, des formes évoquant une nature abstraite accueillent de nouvelles boutiques du centre commercial.

Coupe-concept Est-Ouest

Axonométrie-concept

HISTOIRE GÉOLOGIQUELA VILLE-PAYSAGE

Le Fleuve(la gare)

Le Fleuve

La Vallée(Vivier-Merle)

La Vallée

Les Pentes

Les Pentes

Rue Garibaldi

Rue Garibaldi

Les Plateaux(le centre commercial)

Les Plateaux

Page 18: Portfolio 2013 Paul Barrère

18ARCHITECTURE

ATMOSPHERES

Les Plateaux (le Centre Commercial)

Les Berges Forestières du Fleuve Ferroviaire (la Gare)

Les Pentes Commerçantes (la Dalle) La Vallée Lumineuse (Vivier-Merle)DESSININGENIERIE

Page 19: Portfolio 2013 Paul Barrère

19

PLAN-MASSE

ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL

Se déplacer vers toute l’agglomération lyonnaise

Se déplacer dans toutel’agglomération lyonnaise

ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL

Profiter des berges ferroviaires

Profiter des Berges Ferroviaires

Vue depuis le Sud-Est

ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL

Descendre du train

ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL

Rejoindre les halls

ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL

Rejoindre les halls

Rejoindre les halls

Descendre du train

ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL

Descendre du train

ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL

Profiter des berges ferroviaires

ENSAL//M1 Histoire et Patrimoine Paul BARRERE//Giorgia CICALESES//Maud DUPHIL

Profiter des berges ferroviaires

UNE GARE RÉORGANISÉE

Page 20: Portfolio 2013 Paul Barrère

ARCHITECTURE 20

S’appuyant sur l’âme du lieu et les éléments existants, ce paysage de la Part-Dieu valorise le patrimoine et équilibre nature et architecture. C’est une nouvelle harmonie qui est composée pour le quartier.

COUPE EST-OUESTSTRUCTURES, AMBIANCES

Parvis végétal de l’Auditorium Les pentes commerçantes Sur les quais de la gare

Perspective sur les pentes commerçantes

Coupe Est-Ouest

Nouvelle station de métro Rue Garibaldi verteDESSININGENIERIE

Page 21: Portfolio 2013 Paul Barrère

21

2011

MÉMOIRE DE MASTERDIRECTRICE D’ETUDES ANTONELLA MASTRORILLI

Pour la représentation de son projet, l’architecte dispose aujourd’hui d’une riche palette d’outils, analogiques ou numériques. A travers la question particulière de la représentation de la lumière et de l’ombre dans le dessin d’architecture, il s’agit de se demander comment évolue une représentation et quels sont les facteurs conditionnant sa transformation. Une approche historique est retenue. Le mémoire a montré que deux temps pouvaient être distingués : une première période qui s’étend jusqu’au début du XXe siècle, que nous avons appelé «lumière Beaux-Arts», puis un second temps, dans laquelle nous nous

inscrivons encore, et qui démarre au début du XXe siècle en se juxtaposant avec la fin de la première période. Nous avons appelé ce moment «lumière phénoménologique».Dans la «lumière Beaux-Arts», l’enjeu principal est de faire ressortir les jeux de volumes des bâtiments. Ce qui est en adéquation avec l’architecture à l’antique qui est caractérisée par sa richesse volumétrique. L’ombre est alors au centre des préoccupations. Les dessins sont en noir et blanc, ou utilisent des couleurs légères. Le lavis est une technique dominante, elle consiste en la dilution d’encre dans de l’eau, ce qui permet d’obtenir des dégradés subtils d’ombres. L’école des Beaux-Arts du XIXème siècle porte cette représentation à sa perfection et de nombreux traités sont écrits pour constituer un savoir complet autour de la question. Au début du XXe siècle, l’architecture à l’antique tombe en désuétude. Une nouvelle représentation de la lumière émerge. L’intérêt est désormais plutôt accordé à la lumière qu’à l’ombre. Dorénavant, la lumière est matérialisée dans les dessins. Les couleurs sont utilisées avec générosité, et de nouveaux moyens

graphiques sont introduits (aquarelle, craies, pastel). Le dessin d’architecture ne se contente plus de tracer les ombres portées, il montre désormais les réflexions, les effets de la lumière sur les matériaux complexes comme les laques. Cette évolution a été permise par l’intérêt accordée à la perception de l’architecture par l’individu.Les changements apportés par les moyens informatiques actuels sont un prolongement naturel de ce mémoire. La question peut aussi être étudiée dans l’autre grand moyen de représentation de l’architecte : la maquette.

BIBLIOGRAPHIE

BOULLE Etienne-Louis, Architecture : essai sur l’Art. vers 1790-1800

DUBOY Philippe, Jean-Jacques Lequeu : une énigme. Paris, Hazan, 1987

PILLET Jules-Jean, Traité de perspective linéaire, Paris, Delagrave, 1885

SCHEERBART Paul, Glasarchitektur, 1914, trad. fr. L’Architecture de verre

LEBEL Jules, Principes rationnels du lavis de relief, Paris, 1922

MINNAERT Marcel, The Nature of Light and Colour in the Open Air, 1954

RASMUSSEN Steen Eiler, Experiencing Architecture, 1960,

HOLL Steven, PALLASMA Juhani, PEREZ-GOMEZ Alberto, Questions

of Perception : Phenomenology of Architecture. A&U Special Issue, 1994.

ZUMTHOR Peter, Atmospheres : Architectural Environments.

Surrounding Objects, 2006

LUMIERE BEAUX ARTS Julien Guadet, 1867

LUMIERE PHENOMENOLOGIQUE Steven Holl, 2000

LA LUMIERE DANS LE DESSIN

D’ ARCHITECTURE

Page 22: Portfolio 2013 Paul Barrère

22

THERMOAREAULIQUE

D’UN ATRIUM2011

BUREAU D’ÉTUDES HQE ETAMINELYON

Ce travail de fin d’étude de l’Ecole Centrale de Lyon s’est déroulé pendant cinq mois au sein du bureau d’étude ETAMINE (Lyon), spécialisé dans la Haute Qualité Environnementale. Les vingt ingénieurs de l’entreprise évaluent les performances énergétiques et le confort dans le neuf et la réhabilitation. L’objectif de ce travail est de mieux modéliser la ventilation naturelle dans les grands volumes, à l’aide d’une simulation thermoaéraulique. A la différence d’une simulation thermique, qui prend uniquement en compte les capacités thermiques des matériaux, une simulation thermoaéraulique modélise aussi les déplacements d’air entre les pièces et avec l’extérieur. Or, le déplacement de l’air chaud vers le haut dans un atrium vitré est un phénomène physique déterminant, qui

nécessite un tel type de simulation. Les logiciels TRNSYS (modèle thermique) et CONTAM (modèle aéraulique) ont été employés. Les bureaux d’étude actuels utilisent majoritairement la simulation thermique. Les modèles thermoaérauliques sont, d’un côté, plus respectueux de la réalité, et de l’autre côté, plus lourds à manier. Les avantages et inconvénients de ce nouveau type de simulation doivent donc être étudiés. Un projet d’un établissement d’enseignement supérieur et de recherche à Grenoble, comportant un atrium ventilé naturel est utilisé comme exemple d’application. Dans un premier temps, un modèle thermoaéraulique a été choisi. Il a été validé sur le projet de Grenoble. La simulation a établi des résultats pour la conception générale d’un atrium. Les questions techniques et scientifiques rencontrées ont été approfondies et les méthodes développées résumées dans desoutils internes réutilisables. Une capitalisation de la connaissance autour de la ventilation naturelle a donc été mise en place au sein du bureau d’études.

L’atrium étudié

Effet de la modélisation de la ventilation naturelle sur le mois de juin

Effet de la modélisation de la ventilation naturelle sur une journée de juilletDESSININGENIERIEARCHITECTURE

Page 23: Portfolio 2013 Paul Barrère

23

REINGENIERIEDU LOGICIEL

SOLENE2010

LABORATOIRE CERMA ECOLE D’ARCHITECTURE DE NANTESNANTES

Ce stage de deux mois a pris place en 2e année d’Ecole Centrale de Lyon. Il a été réalisé au laboratoire CERMA de l’école d’architecture de Nantes. Ce laboratoirea développé un logiciel d’éclairage, Solène, qui nécessite une réingénierie. Solène calcule, par exemple, les éclairements sur une géométrie en tenant compte des matériaux, du soleil, du ciel etc. Le calcul repose sur la méthode de radiosité. Une réingénierie consiste en un nettoyage du code source et une réorganisation de l’architecture logicielle. Le code source actuel est issu de nombreuses années où différents utilisateurs ont apporté leur manière de programmer, leurs fonctions, sans véritable harmonisation. Les deux missions du stage s’inscrivent dans cette démarche : étude du

potentiel du logiciel ParaView, dédié à la visualisation de données complexes (par exemple de mécanique des fluides) pour les résultats Solène, et mise en place d’une approche «métiers», proposant un formalisme XML pour manipuler les fonctions du noyau de calcul hors de son interface utilisateur graphique. L’intérêt d’XML réside dans son universalisme et sa simplicité, il structure par exemple les pages Internet. Malgré quelques réserves, l’intérêt de l’utilisation de ParaView a été confirmé. De plus, un fascicule deprésentation destiné au laboratoire, d’une cinquantaine de pages, a été rédigé. L’approche métiers a étéexplorée de manière significative. Un formalisme XML a été proposé, il doit évoluer encore pour arriver àune version définitive. Les principaux métiers relatifs à l’éclairage ont été recensés, une quarantaine defonctions élémentaires ont été écrites, ainsi qu’une dizaine de feuilles de transformation XSLT. XSLT permet de transformer un document XML en un autre document du même type, ou texte, HTML etc.

Résultats de simulations sur la pelouse du stade Marcel Saupin à Nantes, visualisés dans ParaView

Représentation d’un processus standard de calcul de flux lumineux

Interface du logiciel ParaViewInterface du logiciel Solene

Page 24: Portfolio 2013 Paul Barrère

DESSIN 24

ENCRE OUCRAYON DE

PAPIER

ARCHITECTURE INGENIERIE

Sélection de dessins réalisés pour ma pratique personnelle.

Page 25: Portfolio 2013 Paul Barrère

25

ENCRE ETCRAYONS DE

COULEURS