pleine conscience en thérapie cognitive et comportementale

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Pleine conscience en thérapie cognitive et comportementale. Présenté par : Patrice Girard Dans le cadre du cours : Atelier d’observation d’approche cognitive et comportementale. - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: Pleine conscience en thérapie cognitive et comportementale
Page 2: Pleine conscience en thérapie cognitive et comportementale

Il serait dommage de sous-estimer la capacité de transformation de notre esprit. Chacun d’entre nous dispose du potentiel nécessaire pour s’affranchir des états mentaux qui entretiennent nos souffrances et

celles des autres.- Matthieu Ricard

Page 3: Pleine conscience en thérapie cognitive et comportementale

1- Naissance du mouvement de pleine conscience

2- Définition des concepts de méditation et de pleine conscience

3- Pleine conscience en thérapie cognitive et comportementale

4- Les recherches scientifiques sur la pleine conscience en psychologie

5- Référence

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Médecine, neurosciences et psychologie:Physiologie du stress, thérapie cognitive et comportementale

Bouddhisme et Yoga:Méditation de pleine conscience

Schéma adapté de l’Association du Développement de la Mindfulness

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Selon Matthieu Ricard (2008):

Étymologiquement, le mot français “méditation” provient des mots sanskrit et tibétain, bhavana, qui signifie “cultiver”, et gom, qui signifie “se familiariser”.

Donc, on peut en arriver à la définition suivante:

La méditation est une pratique qui permet de se familiarisé avec une vision claire et juste des choses, et de cultiver des qualités que nous possèdons tous en nous mais qui demeurent à l’état latent aussi longtemps que nous ne faisons pas l’effort de les développer.

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1- La famille de la méditation de concentration, qui consiste à focaliser son activité mentale sur un point précis.

2- La famille de la vision pénétrante, dite de pleine conscience ou d’attention vigilante qui consiste à être présent à l’expérience du moment que nous sommes en train de vivre, sans jugement et sans attente.

Dans le contexte de la psychologie occidentale, l’utilisation de la méditation de type mindfulness a été adaptée afin d’augmenter l’attention vigilante et l’habileté à répondre adéquatement aux processus mentaux qui contribuent à la détresse émotionnelle et aux comportements inadéquats (Brown, Ryan, & Creswell, 2007).

Page 7: Pleine conscience en thérapie cognitive et comportementale

Ces modèles visent principalement une définition opérationnalisable de la pleine conscience.

Selon le modèle de Bishop et al.(2004), la pleine conscience constitue une compétence d’ordre métacognitive sous-tendue par deux composantes principales,-l’auto- régulation de l’attention et -l’orientation attentionnelle vers l’expérience. En d’autres termes, ce modèle est essentiellement centré sur l’implication majeure des processus de contrôle du focus attentionnel intervenant durant la pratique de la pleine conscience.

les études suggèrent que le réentraînement attentionnel réduit la vulnérabilité émotionnelle à des stresseurs (Amir et al., 2008; See et al., 2009), et ce, tant sur le plan cognitif, comportemental que psychophysiologique (Heeren et al., soumis).

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En psychologie “la pleine conscience est vue comme un processus de régulation de l’attention afin d’amener une qualité de relation à l’expérience avec une orientation de curiosité, d’ouverture à l’expérience et d’acceptation sans jugement.”

définit la pleine conscience comme un état de conscience qui émerge du fait de porter son attention, de manière intentionnelle, au moment présent, sans juger, sur l’expérience qui se déploie moment après moment.

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Selon Shapiro(2006), il y a trois composante principales à l’état de pleine conscience:

1- L’intention (continuum allant de l’autorégulation à l’auto-exploration et finalement à l’auto-libération).

2- L’attention (état de vigilance prolongée).

3- L’attitude (processus d’observation, d’ouverture à l’expérience et d’acceptation sans jugement).

Pour Shapiro(2006), ces trois axiomes entraînent un changement dans notre relation avec les pensées et les émotions et encourage la modifications des comportements.

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La thérapie de réduction du stress basée sur la pleine conscience (MBSR)- Jon Kabat-Zinn (1982, 1990)

La thérapie cognitive basée sur la pleine conscience(MBCT) - Zindel Segal, Mark Williams et John Teasdale, (2002, 2006)

La thérapie d’acceptation et d’engagement (ACT) - Hayes et al. (1999)

La thérapie comportementale dialectique (TCD)- Linehan (1993)

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.médecine comportementale Objectif de l’approche : Prendre conscience du fonctionnement en pilotage automatique de nos comportement, de nos émotions et de nos pensées:-communications interpersonnelles-ruminations mentales-émotions en relation avec les sensations corporelles-habitudes et encodages comportementaux de la vie quotidienne

Méthode: Investigation de la nature de l’esprit par la méditation de pleine conscience à l’aide d’un programme de 8 semaines.

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Semaines 1 et 2:Scan corporel, 6 jours par semaine, 45 minutes par jour.Assise avec conscience de la respiration, 10 minutes par jour.

Semaines 3 et 4:Alternance entre le scan corporel et le yoga, 45 minutes, 6 jours pas semaine.Continuer l’assise, avec conscience du souffle,15 à 20 minutes par jour.

Semaines 5 et 6:Assise 30 à 45 minutes par jour, en alternance avec le yoga.Commencer la marche méditative.

Semaine 7:Pratiquer 45 minutes par jour en choisissant un ou plusieurs méthodes combinées, sans l’utilisation des enregistrements.

Semaine 8:Revenir aux enregistrements. Faire deux fois, au cours de la semaine, le scan corporel. Poursuivre l’assise et le yoga.

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Initialement développés dans les hôpitaux pour les patients souffrant d’un problèmes de santé chronique, les programmes de réductions du stress ont élargi leurs champs d’application.

Une approche MBSR se révéle efficaces au niveau:-de la prévention contre les rechutes au niveau de troubles affectifs (Astin, 1997)-de l’amélioration de la qualité de sommeil, surtout en se qui concerne la sensation de repos au réveil (Shapiro, 2003)-de l’augmentation de l’activité cérébrale de l’hémisphère gauche=baisse de l’anxiété et affects négatifs et amélioration de l’affect positif.-de la fabrication d’anticorps plus rapide (Davidson et al., 2000)

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La MBCT est une intégration de la thérapie cognitive de Beck et al. (1979) et du programme de réduction du stress de Kabat-Zinn (1990).

Initialement destinée à prévenir les rechutes dépressives chez les patients en rémission d’une dépression unipolaire récurrente ; son indication s’étend aux troubles anxieux ainsi qu’aux autres troubles dominés par un processus psychopathologique de ruminations mentales.

Objectif du programme MBCT:vise la prise de conscience de ce mode de fonctionnement de l’esprit et favorise ainsi la construction d’une nouvelle attitude à l’égard de ces pensées et émotionsLes pensées sont alors vues comme des événements mentaux, indépendamment de leur contenu et de leur charge émotionnelle.

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adopter une attitude de décentration vis-à-vis des patterns ruminatifs qui peuvent déclencher la survenue d’un nouvel état dépres- sif (Teasdale et al., 1995)

on n’essaie pas de changer le contenu des pensées (irration- nelles) mais plutôt de modifier son attitude par rapport à celles-ci

L’efficacité de la MBCT chez des patients atteints de dépressions majeures et récurrentes a été démontrée à mainte reprise lors de nombreuses études empiriques (Kingston, Dooley, Bates, Lawlor, & Malone, 2007; Ma & Teasdale, 2004; Teasdale et al. 2000)

L’étude de Ma & Teasdale (2004) a révélée que les effets positifs les plus remarquables apparaissent chez les patients ayant vécu trois épisodes ou plus de dépression majeure par le passé.

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La finalité est de permettre aux participants de modifier radicalement la manière dont ils entrent en relation avec des patterns de pensées et d’émotions négatives contribuant à la rechute dépressive (Segal et al., 2002).

Selon Teasdale et al. (1995), cette attitude permet de déverrouiller les boucles de rétroactions positives auto-alimentant l’activation des schémas cognitifs émotionnels et entretenant ainsi l’affectivité négative

ce programme de prévention de la rechute dépressive a été adapté de manière spécifique pour la prévention de la rechute dans la dépendance à l’alcool (pour plus de détails, voir Witkiewitz, Marlatt, & Walker, 2005).

prévention de la rechute dépressive auprès de clients en rémission d’épisodes dépressifs majeurs récurrents (Kuyken et al., 2008; Ma & Teasdale, 2004; Teasdale, Segal, Williams, Ridgeway, Soulsby, & Lau, 2000), dans le traitement du trouble dépressif chronique récurrent (Barnhofer, Crane, Hargus, Amarasinghe, Winder, & Williams, 2009; Kenny & Williams, 2007)

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Une série d’études cliniques a démontré l’efficacité de l’apprentissage de la pleine conscience dans la prévention de la rechute dépressive auprès de clients en rémission d’épisodes dépressifs majeurs récurrents (Kuyken et al., 2008; Ma & Teasdale, 2004; Teasdale, Segal, Williams, Ridgeway, Soulsby, & Lau, 2000), dans le traitement du trouble dépressif chronique récurrent (Barnhofer, Crane, Hargus, Amarasinghe, Winder, & Williams, 2009; Kenny & Williams, 2007), dans le traitement du trouble anxieux généralisé (Evans, Ferrando, Findler, Stowell, Smart, & Haglin, 2008), de la boulimie (Baer, Fischer & Huss, 2005), de la détresse psychologique et du névrosisme (Brown & Ryan, 2003), ainsi que du déficit de l’attention avec hyperactivité (Zylowska et al., 2008).Au sein d’échantillons non cliniques, les interventions basées sur la pleine conscience sont associées à une réduction du niveau de psychopathologie générale (Astin, 1997; Heeren & Philippot, sous presse; Williams, Kolar, Reger, & Pearson, 2001), à une diminution de l’intensité et de la fréquence des émotions négatives (Brown & Ryan, 2003; Chambers, Lo, & Allen, 2008), à une réduction du niveau d’anxiété générale (Shapiro, Schwartz & Bonner, 1998), ainsi qu’à une augmentation des capacités attentionnelles et de mémoire de travail (Chambers et al., 2008; Tang et al., 2007), et plus largement des fonctions exécutives (Heeren, Van Broeck, & Philippot, 2009; Tang et al., 2007).

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Une amélioration de la qualité de vie en réponse à ces interventions a également été observée auprès de personnes souffrant de douleurs chroniques (Kabat-Zinn, 1982; Kabat-Zinn, Lipworth, & Burney, 1985; Kabat-Zinn, Lipworth, Burney, & Sellers, 1987; Randolph, Caldera, Tacone, & Greak, 1999), de fibromyalgie (Goldenberg, Kaplan, Nadeau, Brodeur, Smith, & Schmid, 1994; Kaplan, Goldenberg & Galvin, 1993) et d’un cancer (Carlson, Ursuliak, Goodey, Angen, & Speca, 2001; Ledesma & Kumano, 2009; Shapiro, Bootzin, Figueredo, Lopez, & Schwartz, 2003; Speca, Carlson, Goodey & Angen, 2000). Récemment, Griffiths, Camic et Hutton (2009) ont pu observer un effet facilitateur du programme MBCT dans la réhabilitation cardiaque auprès d’adultes. Des recherches pointent également des effets similaires auprès d’enfants et d’adolescents souffrant d’une maladie chronique invalidante (Thompson & Gauntlett-Gilbert, 2008).Une augmentation significative du taux de mélatonine dans l’urine a aussi été observée en réponse au programme MBSR (Massion, Teas, Hebert, Wertheimer & Kabat-Zinn, 1995). La mélatonine est une hormone notamment impliquée dans la régulation des sécrétions hormonales et dans la réponse immunitaire des lymphocytes T. Une amélioration de l’efficacité des séances de photothérapie aux ultraviolets A et B lors la prise en charge de personnes souffrant de psoriasis a été observée lorsque les exercices méditatifs du programme MBSR était pratiqués lors de séances de traitement (Kabat-Zinn et al., 1998). Enfin, l’effet bénéfique de la pratique de la pleine conscience dans le traitement de l’acouphène chronique invalidant a récemment été observé (Philippot, Nef, Clauw, de Romrée, & Segal, soumis).

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Des tentatives d’adaptation clinique des exercices issus des programmes MBCT et MBSR sont en cours auprès d’enfants et d’adolescents. Le lecteur intéressé pourra trouver davantage d’information sur l’opérationnalisation de ces interventions auprès des enfants et adolescents dans Greco et Hayes (2008), Semple, Reid et Miller (2005) ainsi que dans Semple, Lee et Miller (2006). De même, le lecteur intéressé pourra trouver de l’information sur l’implémentation de ces interventions auprès des personnes âgées dans Smith (2006).

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Un protocole de 8 séances de 2 heures chacune

Objectif du programme:- Distanciation des pensées dépressives et stopper le processus des ruminations.

Programme qui allie:-Explication pédagogique des ruminations dépressives et des signes clinique de cette maladie-Utilisation de la pleine conscience au quotidien comme « baromètre » de l’humeur et des pensées pour adopter des stratégies plus efficaces avant que la dépression ne s’installe-Acceptation inconditionnelle de soi et du monde tel qu’il est -Mise en place de stratégie concrètes lorsque la dépression menace

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Hexaflex des processus pathologique et thérapeutique.

Source: www.egide-altenloh.com

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Actions engagéesLutte

ValeursSouffrance

Publiquement observable

Observableà l’intérieur

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Approche comportementale

Pratique zen de la pleine conscience

Philosophie dialectique

Les fondements de la TCD de Marsha Linehan (1993)

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Le but de la TCD est d’avoir une vie qui vaut la peine d’être vécue.Un comportement efficace pour remplacer un compportement problématique

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des exercices de pleine conscience ont été intégrés dans un certain nombre de protocoles cliniques pour des troubles spécifiques tels que le trouble anxieux généralisé (p. ex., Roemer & Orsillo, 2003; Wells, 2002), l’état de stress post-traumatique (p. ex., Wolfsdorf & Zlotnick, 2001), l’abus de substance (Breslin, Zack, & McMain, 2002; Marlatt, 2002) ou encore les troubles alimentaires (p. ex., Telch, Agras, & Linehan, 2001).

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Les approches MBSR et MBCT sont largement orientées vers la pratique méditative de la pleine conscience, tandis que les approches ACT et DBT se focalisent davantage sur des exercices dits de pleine conscience.

Les programmes MBSR et MBCT travaillent des stratégies d’acceptation, alors que les techniques ACT et DBT focalisent sur des stratégie de changement comportementaux

Les approches MBSR et ACT ont été développées pour traiter un large spectre de problématiques, tandis que les approches MBCT et DBT focalisent sur des problématiques spécifiques.

Les approches MBSR et MBCT sont appliquer en thérapie de groupe, tandis que la thérapie ACT s’applique individuellement. Pour ce qui est de DBT, elle est est un mélange de séances individuelles et collectives.

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Les premiers travaux d’analyse de la pertinence d’une approche de pleine conscience ont été effectués par :-Baer & al. (2003)-Bishop & al. (2004)-Grossman & al. (2003)Ils ont suggérés l’efficacité des interventions de pleine conscience sur des symptômes physiques et psychiques.

Hofmann, Sawyer, Witt & Oh (2010), postulent que la méditation basée sur la pleine conscience produit des résultats parfaitement vérifiables.

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(Mindfulness, psychology and randomized controlled trial)

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Mindful Attention Awareness Scale (MAAS; Brown & Ryan, 2003)

Freiburg Mindfulness Inventory (FMI; Buccheld, Grossman, & Walach, 2001)

Kentucky Inventory of Mindfulness Skills (KIMS; Baer, Smith, & Allen, 2004)

Cognitive and Affective Mindfulness Scale (CAMS; Feldman, Hayes, Kumar, & Greeson, 2004)

Mindfulness Questionnaire (MQ; Chadwick, Hember, Mead, Lilley, & Dagnan, 2005)

Five Facets Mindfulness Questionnaire (FFMQ; Baer, Smith, Hopkins, Kriestemeyer, & Toney, 2006; Baer et al., 2008)

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Une des principales réside dans le fait que les interventions basées sur la pleine conscience ne sont pas Non caractérisées par l’établissement d’un objectif thérapeutique précis (Baer, 2003; p. ex., la modification d’un comportement cible ou d’un pattern de pensées)

Une autre divergence réside dans le fait que, contrairement aux interventions comportementales et cognitives, les interventions basées sur la pleine conscience ne visent pas à modifier le contenu des pensées irrationnelles, mais l’attitude par rapport à celles-ci.

Enfin, une autre divergence est le fait qu’une pratique personnelle de la pleine conscience par l’intervenant est essentielle et une condition nécessaire en vue d’être intervenant (Segal et al., 2002). Ce type de relation amène l’intervenant à jouer un rôle de modèle vicariant dans l’apprentissage d’un processus de développement personnel. Cette manière de considérer la relation thérapeutique est d’ailleurs une des caractéristiques de la troisième vague (pour plus de détails à ce sujet, voir Wilson & Dufrene, 2009).

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Berghmans, C., Tarquinio, C., & Strub, L. (2010). Méditation de pleine conscience et psychothérapie dsns la prise en charge de la santé et de la maladie. Santé mentale au Québec, XXXV, 1. 49-83

Heeren, A. & Philippot, P. (2009). Les interventions basées sur la pleine conscience. Revue francophone de clinique comportementale et cognitive, 14, 13-23.

Kabat-Zinn, J. (2009). Au coeur de la tourmente, la pleine conscience: Le manuel complet de MBSR, ou rédustion de stress basée sur la mindfulness.Éditions J’ai Lu. Paris

Kabat-Zinn, J. (2009). L’éveil des sens: Vivre l’instant présent grâce à la pleine conscience. Éditions des Arènes. Paris

Kotsou, I. & Heeren, A. (2011). Pleine conscience et acceptation: Les thérapie de la troisième vague. Groupe De Boeck. Bruxelles

Ricard, M. (2008). L’Art de la méditation. Nil éditions. Paris

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