perle martin l'arbre de vie le lapacho

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Perle tv\artin

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Health & Medicine


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  • Perle tv\artin

  • .c t

  • Pere Martin

    Perle MARTIN, auteur-diteur, 1987

  • Prambule 1re partie

    Chapitre 1 e Pourquoi avoir crit ce livre ? p. 19

    Chapitre 2 e Introduction au phnomne cancer p. 25

    Chapitre 3 e Comment natrait la premire

    cellule cancreuse ? p. 31 e Ouvertures nouvelles p. 33 e Traitements actuels p. 37 e Cancer : mot tabou p. 38

    2 partie Chapitre 1 e L'Arbre de Vie : p. 45

    LeLapacho, sadcouverte p. 46

    Chapitre 2 Les diffrentes approches des maladies p. 56 Qui s'intresse au Lapacho ? p. 59

    3 partie Chapitre 1 e La ralit cancrologique p. 67 e Tout est-il fait pour gurir le cancer ? p. 68 e Peut-on dpister le cancer ? p. 76 Chapitre 2 e Payez et taisez-vous p. 81 Chapitre 3 e Une ral it inconnue du publ ic p. 87 Chapitre 4 e Ouel avenir pour le Lapacho p. 91

    en France ?

    4 partie Chapitre 1 Le cancer, une maladie pas

    comme les autres ? Oui et non p. 99 Il faut dsacraliser le cancer p. 101 e Le rle du mdecin p. 108 e Bizarre p. 115

    - Les tmoignages p. 117 - Les adresses - Les rfrences p. 151 - Epilogue p. 157

    Mais il n'y a pas que le Lapacho ! Le renchantement de la mdecine.

  • Ce livre se veut un livre d'espoir. Il faut lutter et chercher une issue jusqu' la trouver. Elle existe presque toujours.

  • LE prsent document n 'a aucune prtention littraire et encore moins. scientiftque au sens habituel. Il n 'entend ni se substituer aux mdecin.~ ni qum a nder la m oindre a ttention des prof ession -nels de la sant.

    A ce titre , il ne s 'adresse donc pas aux mdecins, qui sont p a r fo rmation et donc pa r dfinition sceptiques toute proposition nouvelle qui ne vient p as de leurs pairs, et de m anire off u;ielle .

    Il n 'est pas non plus un document polmique . E t si certains le ressentaient comme tel, qu'ils sachent bien que l n 'es t p as notre intention.

    1 l serait plutt une aide pour dbloquer dRs situations f tges. De trs nombreux ouv rages existent sur le ca ncer dont la Lecture est la porte de tous . Ces trava ux font le tour du problme de manire trs labore. C 'est p ourquoi notre docu-ment n 'est p as technique .

    Il veut fai re passer une info rmation , et une seule, p a r une lecture courte et facile .

    Ce postulat f ormul, nous affichons trs m od este m ent no tre a mbitio n qui es t celle d ' informe r . D 'crire qu 'il exis te un produit na turel vendu aux Eta ts-Unis , de ma nire tout fa it a utorise , qui aurait la capacit de prf ve nir certains typ es de ca ncers.

    Ce produit a p our nom Lapacho et les lndien.'i l'appellent l'Ad ) re de Vie .

    La. lecture de ce livre se propose tout w1 chacun qui a ou aurait intrt une recherche personnelle sur la m aladie elu ca ncer. En effet. qui n 'a da ns son entourage rut ca ncreux ?

  • Recherche personnelle soit parce que l'on veut se prmunir contre ce flau , soit parce qu 'en dsespoir de cause on peut tre curieux de savoir s'il existe, quelque part , un produit encore in-connu du grand public mais qui a.urait dj donn des rsultats fa vorables.

    Nous devons galement faire remarquer que tout au long de notre dveloppement , nous parlerons au mode conditionnel et qu.e nous ne prononcerons jamais le mot (( g urir en vo-quant le produit , objet de notre propos.

    Pourquoi agissons-nous ainsi ? Pour viter les problmes futurs qui ne

    manqueront p as d 'ailleurs, malgr ces prcau-tions, de nous arriver tt ou tard de toute faon , de la part de ceux qui auront un intrt direct et pcuniaire dmolir rwtre iuformation .

    En employant le mode conditionnel et sans prtendre jamais une quelconque volont dli-bre de donner des conseils mdicaux, nous pensons ainsi (du moins nous l 'esprons) ne pas tre attaqu et accus d 'exercice illgal de la mdecine .

    A chacun son mtier :

    - les mdecins soignent ; - les chercheurs et scientifiques

    cherchent ; - et nous, nous inforrnons , ' c est

    tout . Ces prcautions prises, il vous appartient de

    sa voir lire et de deviner le non-dit .

  • ' futlie--

  • ~L'~A=R=B=R=E~D=E~V~I=E-~L=E~L=A~P=A=C=H=0 _________________ 1g --

    ____ c __ h_aQitre 1

    POURQUOI A VOIR CRIT CE LIVRE ?

    LA gravit du sujet trait dans ce livre est telle que nous avons mis plus d'un an crire la moindre ligne. On ne peut impunment mettre la disposition d'un public plus ou moins averti , voire crdule, des informations qui se rvleraient inexactes et qui pourraient, pour certains, tre vecteurs d 'espoir tout fait infond.

    Il est possible qu ' la parution de notre propos, des journalistes se prcipitent vers les lieux et adresses indiqus, pour vrifier l'exactitude de ce que nous avanons. Certains de ceux-ci font bien leur mtier, d 'autres n 'ont de got que pour la polmique ou la salissure gratuite, mais toujours leur opinion sera sub-jective.

    Voyez comment est crite l'histoire, selon qu 'elle sera vue avec les yeux du cur ou ceux de la raison.

    Chacun y trouvera midi sa porte . Notre objectif est d'attirer l'attention de ceux qui pourraient s'intresser au cancer mais, ce faisant, avec beaucoup de prudence.

  • -- 20 ----------------~L~'A=R=B=R=E~D=E~V~IE=-~L=E~LA==P~A=C~H~O

    Nou vous proposons dans le prsent document, avec le: plus extrmes rserves et beaucoup de prcautions, la dcouverte d'une voie nouvelle et sup-plmentaire '' celles actuellement connues de prven-tion du cancer.

    Cette voie pourrait tre considre comme faisant partie de votre hygine de vie, au mme titre que tout ce que vous faites pour vous sentir bien dans votre peau. Si, en plus, elle vous apporte autre chose d'inespr, eh bien tant mieux !

    La premire fois que nous avons lu le nom de >, produit anticancreux, ce fut dans le journal d 'un consultant financier et boursier. L'auteur de ce journal mensuel et confidentiel dveloppe chaque mois divers sujets d'ordre conomique : il aime traiter de la go-politique afin d 'essayer, par sujets interposs, d 'expliquer les mcanismes et les lois non crites qui prsident aux destines de l'conomie et de la finance internationales. Personne n'est matre ni de l 'un ni de l'autre et on peut toujours gloser. Cela couvre des pages et ne fait de mal personne. En ce qui nous concerne, notre consultant crit bien, sa plume est alerte. Nous prenons plaisir le lire.

    Dans son mensuel du mois d'aot 1985, il crivait qu'il s'arrachait les cheveux de n'avoir pas ragi plus tt une nouvelle qui et d, normalement, le faire bondir. Il avait manqu de flair et ne se le pardonnait pas.

    Il racontait avoir entendu parler d 'une simple d-coction, oui , d 'une simple dcoction aux proprits curatives sur certains types de cancers.

    Ce produit s appelait le Lapacho et il allait tre commercialis sous cette appellation par une socit amricaine cote en bourse en prvention du cancer.

    Notre boursier suivait cette socit depuis long-temps et il prconisait 1 'achat de ces actions aux abonns de sa Lettre confidentielle. Cet achat promettait des gains substantiels.

    Le consultant n 'avait pas non plus tabli de suite de

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO ======~~~~==~~~--------------- 21 --

    relation, qu 'il devina plus tard, entre le Lapacho et la socit qui en avait fait la dcouverte.

    Cet homme comprit quelque temps aprs qu'il allait s 'agir d ' intrts financiers absolument colossaux. Ima-ginez le bouleversement et les perspectives qui s 'of-fraient cette socit !

    Si une simple dcoction avait la capacit de rduire les cancers, c'tait littralement une rvolution.

    L'article de notre consultant, bien que dithyram-bique, nous laissa incrdules, car nous tions habitus ses conseils mais aussi ses envoles lyriques.

    Il crivait galement que le Lapacho allait tre commercialis aux U.S.A. , au Canada et aussi dans le reste du monde. Colossal.. . Il ajoutait qu 'un livre avait t crit sur le Lapacho et sur les rsultats obtenus sur des malades atteints du cancer, en Amrique et au Canada. Ce livre existe et a pour titre Second opinion : Lapacho and the cancer controversy. '' L'auteur est Bill Wead (Ed. Rostrum Communication lnc).

    Dans l'immdiat, nous n 'avons pas trop ragi , ni prt grande attention cet article tant il paraissait excessif. Si un produit miracle existait vraiment, comment se faisait-il qu ' il ne ft pas connu, et qu 'avec les efforts dploys dans la recherche sur le cancer, il ne ft pas partie de la panoplie des remdes.

    Nous n 'tions ni au bout de nos peines ni de nos surprises lorsque nous avons fouill le pourquoi de la dernire interrogation ci-avant nomme. Interrogation laquelle nous vous apporterons quelques lumires dont vous serez seuls juges, mais dont l'aberration n 'a d 'gale que la ralit dissimule.

    Nous avons relu l'article en question, mais de faon moins superficielle. L'auteur donnait des rfrences, donc des choses vrifiables, mais qui ne nous invitaient pas pour autant imaginer, crire quoi que ce soit sur le Lapacho et le cancer.

    Notre dcision d'crire ce document fut prise aprs que, sur plusieurs de ses lettres confidentielles et au

  • -- 22 ----------------=L~'A=R=B~R=E~D=E~V~IE~=L=E~L=A=P~A=C~H~O

    fil des mois, le consultant eut rdig de nouveaux articles sur le Lapacho et ses bienfaits. Le sujet revenait souvent.

    La vracit de ce qu'il avanait nous parut alors suffisamment tablie pour que nous osions faire le commentaire de notre ouvrage. Si notre consultant avait affabul, c'en et t fait de son crdit.

    Nous avons donc command au Canada le livre trs bien charpent de Bill Wead. Le document mit neuf mois pour nous parvenir en France et, sans doute, ne sommes-nous pas plus d'une dizaine de personnes avoir russi nous le procurer si nous en jugeons par sa lenteur nous parvenir.

    Notre consultant citait en outre un journal brsilien, le 0 Cruzeiro , qui, le 18 mars 1967, avait consacr un article la une sur le produit en question et sur les mdecins qui, dans les villes de Piracicaba et Americana, au Brsil , traitaient des cancreux avec le Lapacho et, semblait-il, avec un certain succs, sinon avec un succs certain.

    Pour nous, la dcision de livrer ces informations tait alors prise.

    Nous n'ignorons pas les consquences de toute sorte que pourrait ventuellement provoquer ce livre. Mais nous vivons dans un pays o, grce au ciel , la libert, et notamment la libert d 'expression, est le droit essentiel. Aussi , avons-nous dcid, aprs mre r-flexion , de publier celui-ci dans un simple but d ' infor-mation.

    Chacun de nos lecteurs saura tirer pour lui ce qui lui convient, car, aprs tout, notre socit est suffisamment adulte pour effectuer ses choix.

    Nous ne possdons pas encore de tmoignages en France, issus de personnes qui aient consomm ce Lapacho, mais notre prochaine dition aura, sans doute, supprim la prsente rserve.

    Les tmoignages dont nous parlerons titre docu-mentaire sont ceux de cas vcus au Canada et aux U.S.A. Il est bien vident que seuls les personnages qui

  • =L'=A=R=B~R=E~D~E~V~I=E- =L=E~L=A~P~AC~H~0----------------- 23 --

    ont rchapp au cancer peuvent en parler. Les autres ne sont plus l pour le faire, bien qu'ils aient peu ou prou pris du Lapacho.

    En clair, cela signifie : prudence extrme.

    La lecture de ce livre doit s 'effectuer comme celle d'un document et au second degr. La finalit tant de faire savoir qu 'il existe, dans certaines parties du monde, des remdes appliqus de manire empirique et qui procurent souvent, mais pas toujours, des rmissions de certains types de cancers.

    Cependant, informer pour informer ne veut rien dire si l'information diffuse n'est pas d'importance capitale.

    Comment en sommes-nous arriv dterminer que cette nouvelle possibilit de prvention du cancer par le Lapacho tait trs importante, encore une fois, en y accordant toutes les rserves ncessaires.

    Nous aurions pu considrer l'information Lapacho sans grand intrt, l'instar de certaines nouvelles relatives des dcouvertes ou inventions gniales et qui paraissent de temps autre et qui tombent dans 1 'oubli : soit faute de suites possibles, soit plus gravement lorsqu'on les occulte volontairement.

    Il en a t ainsi par exemple du moteur eau qui, soit dit en passant, fonctionne au Brsil. En Europe, personne n'en a voulu. Il existe. Il fonctionne. Mais sa gnralisation entranerait des bouleversements cono-miques et, par voie de consquence, sociaux, difficiles contrler dans notre modle de socit de consommation et d'Etats organiss. Toute modification de structures non contrle provoquerait l'clatement de notre systme conomique, de celui des valeurs, duquel nous ne sortirions pas forcment gagnants. Il est des tats d'quilibre qu 'il faut parfois ne pas dsorganiser au risque d'un pril pire que le mal existant. Mais tel n 'est pas le cas pour le cancer, dont vous allez dcouvrir qu 'il faut au contraire lever l'cran de fume qui l'entoure.

    Notre dcision ditoriale a donc t motive aprs que nous nous fmes pos les questions suivantes :

  • -- 24 ----------------~L~'A=R=B=R=E~D=E~V~IE~ ~L=E~L=A=P~A=C~H~O

    1. Pourquoi les groupes financiers s'intressent-ils la commercialisation du Lapacho aux U.S.A. et au Canada?

    2. Pourquoi dans le plus grand secret un systme de distribution se met-il en place l'chelle de la plante organis par les Amricains ? (pensez au ginseng et vous comprendrez).

    3. Pourquoi les financiers suisses s'intressent-ils aussi ce produit ? (Combien y a-t-il de labora-toires pharmaceutiques en Suisse ?)

    4. Pourquoi le journal financier et conomique amricain Financial genius , en septembre 1985 (sauf erreur) consacrait-il un article intitul Amazing News on the cancer front concer-nant les socits intresses par le Lapacho que sont : Olivier Management et Aricana ? On peut vrifier 1 'authenticit de cet article en crivant : Copyright : lnsider Report Larry Abraham, Phoenix AZ, 85069 U.S.A.

    5. Pourquoi un clbre institut cossais tudie-t-il les proprits du Lapacho ?

    6. Pourquoi semble-t-il, et sauf erreur, un clbre institut franais et aussi certains pidmiologistes franais tudient-ils discrtement le Lapacho en France?

    7. Pourquoi le professeur Todd l 'hpital L.c Monterrey au Mexique fait-il ses applications de Lapacho sur les cancreux volontaires dans le plus grand secret ?

    Pas de fume sans feu ! Et c'est ce qui nous fait croire, mais nous n'engageons que nous, que le Lapacho n 'est pas un produit ordinaire et sans lendemain sur le traitement des cancers.

    C'est pour toutes ces raisons qu 'il nous semble bon de faire savoir que le Lapacho est peut-tre une ouverture sur ... , disons, la prvention du cancer.

    D'autres raisons nous ont fait souhaiter la parution de cet ouvrage. Vous allez les dcouvrir plus loin.

  • =L'~A~R=B~RE~D~E~V~IE~L=E~LA~P~A~C~H~0~---------------25--

    ___ ch_aQitre 2

    INTRODUCTION , ' AU PHENOMENE cc CANCER

    PouR la plupart des gens, le cancer est un mot terrible, mais dont le contenu, c'est--dire la manire dont il dtruit l'organisme, est totalement inconnu.

    Tout se passe comme si le nez de chacun de nous tait coll un tableau dont on voudrait voir la totalit des couleurs et des dtails. Le recul ncessaire nous manque pour l'observation et l'analyse de son volution.

    Qu 'est-ce que le cancer ? Comment se forme-t-il ? Nous ne vous apprendrons rien en vous disant que

    personne, aucun savant mme, ne sait vraiment ce qu 'est le cancer et comment il se forme.

    Si les spcialistes de la recherche sur le cancer savaient rellement ce qu 'est un cancer, cette affection ne serait plus que banale et soigne comme telle avec

    ' sucees. Or, les chercheurs en sont rduits des hypothses

    dont nous allons, mais succinctement, vous parler.

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO -- 26 -------------------------------------

    Les lignes qui suivent, vous pourriez les lire vous-mmes dans n'importe quel ouvrage de vulgari-sation.

    Notre propos n'tant pas d'ordre scientifique, nous ne donnerons que la dfinition du Petit Larousse )) .

    Cancer : Tumeur maligne forme par la multiplica-tion dsordonne de cellules d'un organe.

    Les prolifrations cellulaires des cancers ont ten-dance s'accrotre, dtruire les tissus sains ; se rpandre dans l'organisme sous forme de mtastases et rcidiver.

    Mais tous les cancers ne rpondent pas toujours ces critres.

    Ils peuvent se subdiviser : Les pitheliomas (ou carcinomes) sont les plus

    frquents (peau et muqueuses) ; Les sarcomes (tissus conjonctifs) ; Les mlanomes malins (tissus pigmentaires,

    etc.). Il existerait trois grands groupes majeurs de cancers

    et plus de cent sous-classifications qui seraient la cause unique ou conjugue des taux de dcs par cancer.

    Ci-aprs et d'aprs l'O.M.S. (Organisation Mondiale de la Sant) les pourcentages de mortalit selon les pays.

    Causes France G.-B. R.F.A. Sude U.S.A.

    Maladies vasculaires 31,10 50,80 47,20 54,10 31,50 Tumeurs (cancers) 23.00 22,00 22,70 22,50 20,60 Accidents 8,80 3,50 6 ,60 6,90 8 ,20

    On a tout dit et plus encore sur les origines et les causes de la survenance du cancer. Mais force est de constater que le problme est si vaste, l'pidmiologie si complexe, que ce qui paraissait tre des vrits hier encore n'est plus forcment vrai aujourd'hui.

  • =L'~A~R=B~R~E;D~E~Y~IE~=LE~LA=P~A=C=H~0~--------------- 27 --

    Alors que l'on attribuait certains cancers notre environnement : insecticides, herbicides, additifs alimen-taires, pollution respiratoire, etc., il semblerait prouv aujourd'hui que ces emplois et contraintes n'aient pas fait augmenter de manire significative le taux de cancers. Il semblerait aussi que notre monde dit moderne dans nos pays industrialiss haut niveau de vie (Europe occidentale, Scandinavie, Etats-Unis), par son haut degr d'industrialisation, ne soit pas non plus un facteur global dterminant de frquence du cancer . .

    Par contre, l'tude par localisation de types de cancers pourrait, selon certains chercheurs, amener constater que la faon de se nourrir, entre autres causes, dterminerait certains types de cancers. Les tudes montreraient que 80 % des cancers sont lis aux conditions de vie.

    Ainsi, pour exemples, nous citerons M. le Professeur Tubiana, dans son livre Cancer dans la collection Que sais-je ,,, no 11 (P.U.F.).

  • __ 2s ----------------~L~'A~R=B~R=E~D~E~V~IE~-L~E~LA~P~A=C~I~IO

    rpandu aux Etats-Unis qu 'au Japon. Or, la diffrence la plus importante entre les deux pays rside dans les habitudes alimentaires. "

    Hygine de vie et cancer

    Les statistiques donnent une frquence d'augmen-tation du cancer du sein chez la femme, alors que les cancers du col de l'utrus diminuent, consquence de l'amlioration de l'hygine gyncologique et du d-pistage par frottis vaginal.

    Dans le mme temps, ce cancer demeure le plus meurtrier des cancers fminins , toujours selon M. le Professeur Tubiana.

    Par contre, le cancer de l'estomac serait en diminution rapide. Hypothse avance : la diminution de la consommation de poissons et de viandes sals ou fums, et l 'augmentation de la consommation de laitages, de lgumes et de fruits frais.

    Le tabac et l 'alcool

    Nous citons : Les fumeurs ont une potentialit de frquence de cancer augmente par le contact de la fume avec les tissus : bouche, pharynx, larynx, sophage (partie haute), trache, bronches et vessie, parce que les produits de catabolisme du tabac sont excrts par ces voles.

    Ce phnomne atteint et touche autant les femmes que les hommes. A cet effet pervers s'ajoute celui de la consommation d'alcool et vice versa, l'un des facteurs aggravant l'autre par un effet cumulatif dsastreux.

    Mais alors comment expliquer le cancer de la gorge de quelqu'un qui vit toute la journe dehors, ne fume pas et ne boit pas ?

  • =L'=A=R=B.:..::R=E-=D=E:.....;Y:....::I=E- -=L=E-=L=A:=....P=AC= H= O=--------- 2g _

    L'alimentation

    Citant toujours M. le Professeur Tubiana, il faut noter qu'il existe, dit-il , (( une corrlation entre la consomma-tion moyenne des graisses d 'origine animale, ou ce qui revient au mme, de viandes, dans diffrents pays, et la frquence de certains cancers, notamment ceux du colon, du sein et de la prostate. Les Japonaises vivant au Japon ont peu de cancers du sein, alors que celles migres aux Etats-Unis en ont : peu si elles y sont arrives 1 'ge adulte, mais en ont un nombre interm-diaire entre les Amricaines et les Japonaises, si elles sont arrives pendant leur jeunesse, ce qui suggre le rle des produits lacts pendant l'adolescence.

    Cependant, les mcanismes sont encore hypoth-tiques : modification de la flore intestinale lie un transit plus lent chez les individus 1 'alimentation carne pour lesquels le bol fcal est plus petit, et formation de cancrognes du fait de l'action des bactries sur les acides biliaires et les drivs du cholestrol, modification de 1 'quilibre hormonal.

    Au total, 1 'alimentation intervient dans de nombreux mcanismes dans la carcinogense. "

    Il semblerait, d'aprs les tudes et les statistiques (la prudence s'impose) que certains cancers soient dter-mins, peut-tre aussi, par le type de profession exerce.

    Le soleil

    Malgr le bien-tre physique et psychologique qu'il procure, dans les cas d'expositions trop prolonges ou rptes, le soleil pourrait tre l'origine de certains cancers de la peau, mais la majorit est facilement curable.

    Seuls les mlanomes sont graves. En bref, selon Doll et Peto, les prescriptions

    mdicales seraient l'origine d'environ 1 % des cancers (0,5 % d aux examens radiologiques ; 0,5 % d aux

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO -- 30 ----------------~====~~~~~==~~

    strognes). L 'irradiation naturelle serait d 'environ 1 %. 25 % des cancers seraient la consquence d'habitudes alimentaires.

    Ceci dit, il faut savoir qu 'un tre humain ne subit pas seulement l'effet d'un seul agent carcinogne, mais de plusieurs la fois, qu'ils soient des agents physiques ou chimiques et, de ce fait, le cancer serait la rsultante de ce faisceau d'agents.

  • =L'~A~R=B=RE~D=E~V~IE~~L=E~L=A~P~A~C~H~0---------------- 31 --

    _ _ _ ch_aQitre 3

    COMMENT NAITRAIT LA PREMIRE CELLULE CANCREUSE ?

    TOUTES les lignes qui prcdent et qui suivent sont des hypothses mises par les chercheurs sur les facteurs dterminants ventuels de la naissance des cellules cancreuses.

    Ce qui importe, c'est de savoir comment natrait la premire cellule cancreuse.

    C'est aprs cette recherche que tout le monde court. Les avis des chercheurs divergent. Un vritable laby-rinthe !

    Diverses hypothses sur les origines du cancer. Comment la premire cellule deviendrait canc-

    reuse?

    Le processus de formation de cancer ou carcino-gnse rsulterait de l'altration des molcules d'A.D.N.

    Le gnome (ou gnotype) : c'est 1 'ensemble des facteurs hrditaires constitutionnels d'un individu ou d'une ligne.

  • -- 32 --------------~L~'A~R~B~R~E~D~E~V~I~E-~L~E~L~A~P~A~C~H~O

    Ce gnome, qui est en langage plus clair, notre individu, agit comme un ordinateur o toutes les informa-tions sont centralises au travers de milliards de cellules nous constituant.

    Le corps humain fonctionne par un systme extraor-dinairement compliqu et harmonieusement ordonn de l 'infiniment petit (que nous n'aurons pas la prtention de vous dcrire). Tout se passe, en l'tat actuel des connaissances, au niveau de la molcule.

    En bref, il semblerait que, si pour une cause indtermine, une molcule d 'A.D.N. a t lse, cette altration est mmorise par la molcule. Cette opration se reproduit chez une nouvelle molcule et se transmet ensuite la cellule fille : cette action s'appelle une mutation qui transmettra ce qu'on nomme des erreurs.

    Ces erreurs (parce que non conformes aux cellules saines) sont ainsi reproduites indfiniment jusqu' l'alt-ration des proprits de la cellule. Se rptant l'infini, ces aberrations se multiplieront sans cesse.

    Pour autant qu 'il s'agisse d'agents (car dans ce domaine les avis sont partags), tous les agents cancrognes peuvent modifier de faon peut-tre per-manente les caractristiques des molcules d'A.D.N. et y provoquer des altrations qui donneraient naissance un cancer dont le processus d'laboration serait plus ou moins long (des annes parfois).

    Si on admet cette hypothse qui est la plus classique, pour comprendre ce qui prcde, et appr-hender intellectuellement le processus d 'laboration d'un cancer, il faut peut-tre comparer et dfinir ce qu 'est une cellule normale (et saine) et une cellule cancreuse.

    Cellule saine : Pour qu'un organisme fonctionne, il faut que les cellules qui naissent remplacent exactement celles qui meurent.

    Le corps humain porte environ 600 milliards de cellules. Quotidiennement, 200 milliards de cellules meu-rent dont une grande partie se recre simultanment.

    Un systme de rgulation veille ce bon quilibre et ce que chaque cellule qui meurt soit remplace par une

  • =L'~A~R=BR~E~D=E~V~IE~L=E~L=A~P~A~C~H~0~--------------- 33 --

    nouvelle cellule ayant la mme fonction et la mme position.

    Ainsi fonctionnent les cellules saines ! Cellule cancreuse : La cellule cancreuse quant

    elle, pour une raison encore inconnue, et sur laquelle se penchent les chercheurs, n'obirait plus aux ordres du gnome et synthtiserait ses propres facteurs de stimu-lation. Ces derniers lments produiraient des cellules de manire anarchique, se multipliant leurs propres rythmes.

    Prolifrant sans cesse, elles forment une tumeur, puis envahissent tout le corps si on ne peut stopper cette prol itration.

    Ces tumeurs peuvent tre de deux types :

    Les tumeurs bnignes qui peuvent atteindre de gros volumes, mais n'infiltrent pas les tissus avoisinants ; ce sont les goitres, les fibromes d 'utrus, les polypes de l'intestin ;

    - Et, malheureusement, le second type de tu-meurs, dites tumeurs malignes qui infiltrent les tissus voisins. Quand ces cellules s'tendent sans cesse, elles crent ce qu 'on appelle les mtastases.

    Telle est la supposition communment admise actuellement dans le penser mdical traditionnel et qui n'est peut-tre qu 'une impasse.

    Si 1 ' intellect scientifique n 'est pas capable d 'admettre d 'autres hypothses alors la rsolution du cancer de manire scientifique n 'est peut-tre pas assure pour demain.

    Evidemment, cette conclusion n'engage que nous.

    LES OUVERTURES NOUVELLES

    TOUTEFOIS, certains chercheurs ont d 'autres hypothses proposer, ainsi MM. les Professeurs Isral et J. -P. Escande.

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO -- 34 ----------------~====~~~-=~~~~

    Nous les citons parce qu 'ils ont fait paratre leurs propres hypothses de travail et qu 'elles sont connues et publies.

    Evidemment, bien d'autres chercheurs travaillent dans l'ombre, qui ont des solutions proposer ... pour autant qu'on leur laisse cette facult.

    M. le Professeur Jean-Paul Escande, quant lui , dans son livre : La deuxime cellule , (Ed. Grasset, 1983), propose une autre explication.

    Il parle de liaison symbiotique )) et de retour embryonnaire . Mais il voque aussi l'immunologie donc la prvention.

    Il y voque aussi le terme virus et il dit : Aujourd'hui, en effet, on sait que les virus possdent des gnes capables de transformer les cellules. Cette nouvelle fit l'effet d 'un coup de tonnerre ! "

    Les ponts coups

    Pour expliquer en bref, et sauf erreur d'interprtation de thorie, M. le Professeur J.-P. Escande nous fait savoir que les cellules saines communiquent entre elles.

    En cas de cancer, dit-il , les cellules s 'isolent les unes des autres et ne mettent plus en place ces communications qu'elles savaient si bien tablir dans un tissu normal.

    Un pithlium qui se cancrise voit ses cellules se transformer, oui, mais aussi se couper les unes des autres. Puis les divisions successives de ces isoles aboutissent un no-pithlium, ensemble de cellules cette fois rellement indpendantes, pompant et rejetant dans le liquide qui les baigne les ingrdients de leur mtabolisme.

    On imagine fort bien les consquences d 'un tel tat de fait : les cellules ne communiquent plus. A l 'vidence, tout un systme de rgulation s 'effondre. ,

  • -

    =L'=A=R=B=R=E~D=E~Y~I=E-~L=E~L=A~P=A=C=H=0----------------- 35 --

    Le cancer n'a d'autre projet que celui d'en-vahir. Le cancer est un programme d'invasion. ( La deuxime cellule , Ed. Grasset, 1983).

    M. le Professeur J.-P. Escande s 'insurge contre le dogme qui veut que toutes les cellules cancreuses soient identiques en se multipliant et fabriquant toujours de semblables molcules. Il n'admet pas cette thorie monomorphisme.

    Avec cette hypothse de monomorphisme et d'iden-tit parfaite des cellules, on aurait pu en tuant une cellule les tuer toutes. Il fallut dchanter. Certains repaires paraissaient inaccessibles et constituaient autant de foyers d'o pouvait redmarrer une maladie en appa-rence gurie. D'o les reprises de cancers que l'on croyait guris.

    Mais la thorie actuelle propose, par des moyens d 'analyse trs fine que : les cellules d'un mme foyer tumoral ne sont pas identiques. Ces cellules n'ont pas toujours le mme statut, ni le mme plan.

    Voil du neuf, dit M. le Professeur J.-P. Escande, et dont il faut tirer les consquences. Lorsque 1 'on traite un cancer par des drogues actives et que l'on obtient un rsultat apprciable, ne tue-t-on pas seulement une partie des cellules en demeurant inefficace sur quelques autres jusque-l en nombre peu important mais qui, justement, trouvant le champ libre, vont dsormais pouvoir s 'panouir. Pour peu que des environnements lointains sachent, ou puissent s 'adapter ces cellules-l, l'avenir du malade sera dsormais compromis, et la guerre totale " n 'aura d 'issue que dans le dsastre final. (J.-P. Escande, La deuxime cellule , Ed. Grasset, 1983).

    Hypothse hardie qui peut expliquer bien des checs car, en fait, si cela se vrifie, c'est donc que l'organisme a perdu sa potentialit de dfense immuni-taire par l'agression trop forte des thrapies usuelles.

    Que faire pour rtablir ces dfenses ? N'allez pas croire que de telles hypothses de travail

    soient admises avec facilit par l'intelligentsia scienti-

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO --36 --------------~~~~~~=-~~~~~

    tique. Vous allez constater que les dcouvertes et leurs applications ne se font pas sans mal, au nom du dogme.

    Plus que partout ailleurs, la cancrologie repose sur des dogmes, tout le moins contraignants. Si couram-ment accepts qu 'ils semblent aller d 'eux-mmes. '' En fait, la situation est un petit peu plus complique qu 'il n 'y parat. Comme tout domaine ne pouvant se rfrer une dfinition prcise- il n'y a pas de dfinition du cancer. La cancrologie s 'est subdivise en coles de penses si l'on veut tre aimable , en chapelles, pour qui souhaite ne pas masquer son agacement. >>

    Les coles de pense sont actives, militantes, et ne vnrent pas les mmes dogmes, ni vraiment les mmes dieux. Il y a donc quelque risque remettre en cause, sans nuances, les dogmes de la cancrologie. Ce qui est dogme pour les uns n'est que bi/lev/se pour les frres ennemis. La dogma-tique cancrologique est donc un pot-pourri.

    Ainsi s 'exprime M. le Professeur J.-P. Escande ( La deuxime cellule )), Ed. Grasset, 1983) qui n'a pas peur des mots pour souligner une ralit peu connue du grand public et qui nous incite vous proposer la voie nouvelle du Lapacho.

    Autre hypothse mise : la cellule cancreuse serait un enogne, c 'est--dire un gne drgl.

    Il est inutile de dvelopper ici d'autres thories sur l'origine et la nature des cancers car il n'est pas, rptons-nous, dans notre projet de dvelopper un sujet scientifique.

    Ce qui nous intresse, c 'est de savoir pourquoi la science avance si lentement et de savoir qu'en dpit de ce qui se passe entre les hommes de science et leurs coles de penses, il existe des moyens de rchapper au cancer. Moyens dont on ne veut pas parler, peut-tre parce qu'ils n 'ont pas l' infaillibilit qu'on voudrait pouvoir attendre d'un remde. Qui connat rien d 'infaillible ? L'absolu n 'existe pas.

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO ======~~=-~==~==~--------------- 37 --

    Dans le droit fil de ce qui prcde, nous connaissons, tous, les moyens actuels officiels de traitement du cancer qui rpondent parfois, mais hlas ! pas toujours ni longtemps notre attente.

    TRAITEMENTS ACTUELS DU CANCER

    LA chirurgie dont le but est d 'radiquer, autant que faire se peut, la tumeur maligne et par amplification, si possible les mtastases qui auraient pu faire tache d'huile ou envahissement. Mais une question de pre-mire importance se pose : o commencent et o s'arrtent les mtastases ?

    On peut admettre, la rigueur, selon la thorie dogmatique ,, du cancer, que le cancer est enlev (la tumeur cancreuse).

    Mais qu'en est-iJ des mtastases qui peuvent se nicher n 'importe o selon la nouvelle thorie que souligne M. le Professeur J.-P. Escande ?

    Alors la chirurgie rsout-elle tous les problmes d'limination poss par la prolifration cancreuse ?

    La radiothrapie. Elle permet parfois d'viter ou de rduire le traumatisme chirurgical (si l'on peut dire). Son but est de faire perdre la capacit de division de la cellule malade. Mais on n'obtient pas toujours sa disparition immdiate... et pour cause !

    Ici encore, qu'en est-il des mtastases selon la thorie moderne de prolifration ? Quant viter la capacit de division cellulaire ?

    La chimiothrapie. c e~t l'ingestion de produits radioactifs qui agissent sur les cellules malades, mais aussi sur les tissus sains, hlas !

    Sans commentaires.

    Toutefois, bien qu'imparfaits, ces moyens sont les seuls officiels et admis pour nous soigner actuellement.

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO -- 38 ----------------~==~~~~----~~~

    Et il n'est pas question de s'en passer jusqu' ce que d'autres thrapies, qui pourtant existent et ne sont pas utilises, soient reconnues et officialises.

    Nous allons, quant nous, vous proposer d 'autres horizons et avec vous, nous allons nous poser quelques questions sur le pourquoi des lenteurs des dcouvertes sur le cancer et du refus d 'appliquer ce qui existe parfois depuis fort longtemps.

    CANCER : MOT ABSOLU CANCER : MOT TABOU

    LE second but avou de ce livre est de tenter de changer les mentalits. D'abord celle du lecteur que vous tes si vous avez quelque intrt au cancer, parce que le secret, le dogme et les positions sociales et financires des prposs au cancer sont trop lourdes supporter et freinent tout progrs.

    L'auteur d 'un livre paru sur le cancer nous a avou : Il y a longtemps que le cancer serait guri si on l'avait voulu. "

    Phrase lourde de sens et dont nous laisserons 1 'entire responsabilit son auteur que nous ne citerons pas en clair.

    Cette phrase, que nous n 'avons pas prise trs au srieux ni au pied de la lettre ne s'est pas rvle dnue de vrit, vous allez le voir.

    Aussi, face cet tat de chose, chaque malade potentiel que nous sommes tous doit se prendre en charge et ne pas attendre tout son salut des autres, en matire de cancer.

    Aucune autre maladie dont nous pourrions tre atteint ne suscite plus que le cancer de mainmise sur la maladie et le malade. C 'est intolrable quand on connat des vrits qui ne sont pas toutes bonnes dire, mais que nous osons tout de mme dire.

  • -

    :.L'~A~R~B:!.!A~E~D~E=--V~I:..:E:....:~L~E~L~A~P~A~C~H~O~-------- 39 _

    Pour ne pas tre trait de menteur, d 'ignorant, de botien ou d 'iconoclaste, nous nous contenterons de citer quelques grands mdecins et chercheurs qui, eux, ont le courage de dnoncer un systme pour le moins ... vici .

    Les invectives et les anathmes n'y changeront rien. Le temps des bulles mmes, mdicales ou pseudo-scientifiques, est rvolu.

    En mme temps que nous parlerons des pesanteurs paralysantes que certains imposent tous, nous devons louer les travaux, l'abngation, la richesse intellectuelle de ceux, les plus nombreux, qui essaient de faire avancer les choses : parce qu 'ils aiment le mtier qu 'ils exercent et ensuite parce qu 'ils respectent les individus, leurs malades en leur qualit d 'tre humain.

    Cancer : son impact

    Pourquoi avoir cette dmarche ?

    Parce que le phnomne cancer implique trop l'individu dans ce qu'il a de plus cher.

    Sa propre personne d 'abord, son milieu familial ensuite.

    Le cancer dstructure la cellule familiale . Son impact se prolonge au plan social , ensuite, car il intresse l'ensemble de la socit. Il ne peut tre, enfin, dissoci de la dmarche philosophique des mdecins, donc dontologique.

    Le cancer, par toutes ses incidences, est un problme de sant qui nous concerne tous directement.

    Quand on sait, selon les pidmiologistes, qu 'une personne sur quatre est victime ou sera victime du cancer, on ne peut rester indiffrent ce fait de socit et une pareille certitude.

    Tout ceci concerne la recherche mdicale , 1 'ensemble des personnes charges des problmes de sant, mais il nous concerne aussi directement dans nos chairs en tant qu 'individu.

  • -- 40 ----------------~L~'A=R=B=R=E~D=E~V~IE=- ~L=E~L=A=P~A=C=H~O

    A ce titre, n'tant pas des souris blanches, nous ne pouvons laisser seulement les professionnels du monde mdical et scientifique rsoudre ce problme, ni prendre possession de notre personne, ni nous manipuler.

    Nous sommes tous intresss et partie prenante la solution. Nous devons participer, non pas seulement financirement, c 'est dj fait, mais intellectuellement l'laboration d 'hypothses et de leurs consquences.

    A problmes multiples, solutions multiples. Notre participation cette rsolution doit tre active.

    Active faire voluer les mentalits de ceux qui dtiennent le pouvoir de dcision et qui ne reprsentent qu'un pour mille, ou moins encore, des mdecins et scientifiques. Ce sont les gardiens d'un dogme dpass et maintes fois ridiculis par les ralits qu'ils ne veulent pas admettre.

    Dans le domaine du cancer, et pratiquement dans ce seul domaine mdical, il existe une poigne d'hommes qui ont le monopole oui, il s'agit bien d 'un monopole -et qu'ils ne veulent pas abandonner, du traitement du cancer et qu 'ils considrent comme une chasse garde.

    Intolrable !

    Nous ne pensons pas, du moins, nous ne pensons plus, que la rsolution du problme pos par cette maladie qu'est le cancer, soit uniquement un problme pcuniaire.

    Jusqu ' prsent, les fonds dpenss pour la re-cherche sur le cancer semblent tomber dans un tonneau sans fond ... pour rien ou si peu, par rapport ce qu'il est permis d'esprer.

    Mais soyez sans crainte. Bien que le tonneau soit sans fond , cela ne signifie pas pour autant que l'argent ne serve rien ni personne ... Il y a toujours des retombes pour quelqu'un.

    Attention, nous ne parlons pas de malversations. Nous voulons dire que cette situation est trs confortable pour quelques-uns.

  • =L'~A=R=B=R=E~D~E~V=IE~ =LE~LA~P=A=C=H=0---------------- 41 --

    La gurison du cancer est pour bientt (dit-on)

    Depuis combien d 'annes entendez-vous cela? Vingt ans, trente ans, quarante ans ?

    Nous sommes totalement anesthsis par des gens aux ordres .

    Rveillons-nous zombies que nous sommes. En son temps (les poques changent, 1' Homme

    demeure) Louis Lumire eut un mot terrible propos d 'un mal qui ravageait les populations, comme le cancer aujourd 'hui : cc La tuberculose fait vivre plus de gens qu'elle n'en tue >> dit-il.

    Puisse-t-il ne pas en tre de mme aujourd'hui pour les grands maux de notre socit hyper-mdicalise !

    Le public est fatigu de cette conduite en bateau et de ces espoirs toujours dus, de ces victoires re-pousses. Il n 'y a aucune insolence dire cela.

    Mais ce dont il est le plus fatigu, c'est des querelles intestines des chercheurs qui ne sont que querelles d'coles et de prsances qui freinent la recherche et les solutions possibles comme le dmontrent les propos cits dans les pages prcdentes de M. le Professeur Escande et comme l'affirment bien d'autres.

    Le rsultat de cet attentisme et de cet ostracisme est le blocage du systme. Pendant ce temps, de peur d 'essayer des moyens hardis, on laisse mourir des gens en les soignant avec des moyens tout fait inadquats. C 'est comme vouloir faire fonctionner une fuse au charbon.

    Alors mourir pour mourir, autant mourir en luttant.

    Mme si des solutions d'avant-garde aboutissent souvent des impasses, on doit les tenter puisque de toute faon, en l'tat actuel des choses, les rsultats sont, la plupart du temps, des impasses ... Mais elles sont officielles . La belle mort que voil !

    C 'est pourquoi nous proposons le Lapacho ... titre prventif.

  • ----------t:Leetu&.te fttVetie---

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO ~====~~=-~~~~=----------------- 45 --

    L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO

    _ ___ c_h __ aQitre 1

    Nous aurions souhait dans la foule de ce qui prcde immdiatement vous expliquer les pesanteurs qui freinent la rsolution de la maladie du cancer et, par l-mme, vous faire faire le cheminement qui conduit une prise de conscience qui est la suivante :

    e En plus de la thrapie officielle, prenez-vous en charge et n'attendez pas le messie. Votre salut passe par vous avant toute chose. En plus clair, il faut accepter la mdecine officielle que vous prconise le docteur. Et il faut faire accepter par votre mdecin (qui ne sait pas tout) ce que vous savez sur d'autres mdecines non reconnues officiellement mais qui, souvent, don-nent de bons rsultats. Ainsi , si votre mdecin en a le courage, il pourra, en professionnel qu 'il est, mieux vous conseiller sur deux thrapies : la sienne et la vtre conju-

    , guees.

  • -- 46 ----------------L-'~A~R~B~R=E~D~E~V~I~E~~LE~L~A~P~AC~H~O~

    Nous reviendrons donc aprs la lecture du chapitre Lapacho sur un tat de fait qui est dnonc avec beaucoup de virulence et de courage par certains matres penser du cancer. Ces matres entendent dpassionner le dbat, dpasser l 'hypocrisie actuelle qui entoure le cancer, et faire clater une structure qui dessert la science. Vous verrez, c 'est instructif .. . mais triste parce que nous en faisons les frais .

    Si aprs la lecture des pages prcdentes, vous avez dcid de vous prendre en charge afin de ne pas vous laisser envahir par un cancer, peut-tre trouverez-vous quelque intrt dcouvrir ce qui se passe outre-Atlantique.

    Nous nous adressons aux personnes qui savent qu 'elles ne pourraient, un jour, tout attendre des soins actuels. Aux personnes qui dsireraient se prmunir.

    A nouveau , nous rptons (nous voulons viter les problmes) que le Lapacho pourrait prvenir le cancer.

    Seuls les tmoignages relats la fin du prsent ouvrage, parce que vridiques, voquent des rmissions de cancers.

    Le vieux dicton Mieux vaut prvenir que gurir n'a jamais t aussi vrai et d 'une telle actualit.

    LA DCOUVERTE DU LAPACHO EN TANT qUE PRODUIT ANTICANCEREUX

    Ou 'est-ce que le Lapacho ?

    Le Lapacho est un arbre que l'on rencontre en Amrique du Sud, au Brsil , en Argentine.

    Il porte d'autres noms populaires qui sont l'lpe Roxo et le Pau d'Arco, selon les rgions o il crot.

    Sur 256 varits de cet arbre, seules deux varits possderaient des proprits curatives d'une efficacit

    , 0

    supeneure.

  • =L'=A=R=B=R=E~D=E~V~I=E-=L=E~L=A~P=A=C=H=0----------------- 47 --

    Depuis toujours, les Incas, qui connaissent bien les proprits des plantes, absorbent du Lapacho en soins et en prvention de nombreux maux. Ce produit semble bien soigner diverses maladies. Ils l'appellent l'Arbre de Vie ou l'Arbre divin.

    De manire bien tablie, nous savons que les peuplades, dites primitives, possdent fond le secret de gurisons nombreuses, grce aux plantes.

    Pour mmoire, nous rappelons que la quinine, tire de l 'arbre le quinquina, a ananti le paludisme et la malaria. Cette dcouverte nous vient des Indiens d'Am-rique qui taient prservs de ces maladies. Ce sont ces mmes Indiens qui se soignent avec le Lapacho.

    Le Lapacho est de la mme veine que la quinine quant aux rsultats futurs.

    Qui pourrait dire, aujourd'hui, que la quinine n'a pas limin le paludisme ? Pourtant, ce produit mit des dcennies avant d'tre accept et utilis de manire intensive mdicalement. Toujours l'hostilit face la nouveaut dans l'esprit des gens !

    Le Lapacho recevra peut-tre le mme accueil de refus avant d'tre accept d'ici plusieurs annes.

    Le nom botanique de cette bignonace qu'est le Lapacho est : Tecoma curialis.

    Ne vous prcipitez pas chez votre pharmacien ou chez votre herboriste. Ils ne trouveront pas ce nom dans leur dictionnaire de botanique.

    Personne en France n'est capable de donner le moindre renseignement sur le Lapacho - Tecoma curialis.

    Lorsque nous avons effectu nos recherches sur le Tecoma curialis, nous avons interrog : les universits, les coles de botanique, les coles d 'agriculture, le Musum d'histoire naturelle et enfin le laboratoire de phanrogamie, Paris, ultime recours.

    Personne ne connat cette espce.

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO -- 48 --------------~~====~~~~~~====

    En dsespoir de cause, le laboratoire de phanro-gamie nous a donn l'adresse du plus clbre botaniste du monde, Saint-Louis dans le Missouri, aux U.S.A.

    Nous nous sommes adress ce botaniste dont nous tairons le nom dans ce livre car nous n'avons pas son autorisation. Il nous a rpondu avec une extrme gentillesse (nous pouvons vous communiquer son adresse par lettre prive).

    Vous pourrez lire le texte de notre lettre par laquelle nous lui demandions ce qu'tait ce Tecoma curialis sans rien lui dire de ce que nous souhaitions savoir exactement. Nous n'avions galement fait ni rf-rence ni commentaire une quelconque valeur curative ou autre.

    Vous lirez, la suite de notre lettre, sa rponse o il indique que le Tecoma curialis est le synonyme du Tabebuia impetiginosa, et il ajoute : pris sous forme de dcoction, il est rput soigner le cancer.

    Nous ne pouvons vous dire mieux, ni plus.

  • 1 4, rue

    t le 10 OCTOBRE 1986

    FRANCE

    DrA~.~ Herbarium 2345 TOWER GROVE Avenue P.O. BOX 299

    SAINT LOUIS MISSOURI 63166

    U. S. A.

    Cher Monsieur, Je fais des recherches sur une espce vgtale

    et pour laquelle aucun document, ni aucun livre de botanique ne contient la dfinition en France.

    J'ai interrog les Universits, les racults de Sciences et de Botanique, ainsi que les Ecoles d'Agriculture et enfin, le MUSEUM NATIONAL D'HISTOIRE NATURELLE PARIS, qui m'a renvoy au Laboratoire de Phanrogamie : personne, vous lisez bien, personne ne connait l'espce dont je vais vous parler.

    Le laboratoire de Phanrogamie me renvoie vous en dernier recours. (photocopie de sa lettre jointe}.

    Il s'agit d'un arbre qui est appel de son nom botanique, sauf erreur :

    TECOMA CURIALIS

    Le nom populaire varie selon les rgions d'Amrique du Sud o il pousse, et il peut tre aussi appel : LAPACHO, ou IPEROXO, ou PAU D'ARCO.

    Au BRESIL ~ l'IPEROXO est l'arbre national, mais l'espce TECOMA CURIALIS n'est pas semble t-il, connue.

    Il existe quelques 256 espces diffrentes d'IPEROXO ou LAPACHO.

    Le LAPACHO est commercialis aux Etats Unis sous forme de plante prendre en infusion, par la Socit :

    HERBAL CARE LTD P.O. BOX 92 POINT ROBERTS WA. 98281 (U .S.A .) Tel. (604} 684 5877

    Je souhaiterais avoir le maximum de renseignements sur ce LAPACHO- TECOMA CURIALIS, ainsi que , si possible, une photo couleur de l'arbre, et une photo couleur de ses feuilles.

    Ces , . ~cnseignem~nts mc sont indispensables ct urgents, et je vous s~~ais .trs reconnaissant de bien vouloir me les faire parvenir ds ue possible.

    Avec mes plus vifs remerciements, je vous prie d'agrer, Cher Docteur., L'expression de mes salutations distingues.

  • Missouri Botanical Garden

    Mr. 4 Rue

    FRANCE

    Dear Mr.

    29 October 1986

    Thank you very much for your 1etter of 10 October 1986. I ean inform you that Tecoma curia1is is, in fact, a synonym of Tabebuia impetiginosa. That is the main species that has been so1d in the States as a tea that reputed1y cures cancer. Unfo~tunately, there has been a tremendous amount of confusion as to the correct scientific name, but in my circumscription of specifie limits, there are only two closely re1ated species in this complex of the genus in Brazi1, ! impetiginosa, with more or less entire leaflet margins and growing mostly in the interior, and! heptaphylla, with serrate leaflet margins, longer petiolules and growing mostly in the coastal area. Tabebuia impetiginosa ranges from Mexico to Argentina.

    Incidentally, ''ipe roxo'' is not the national tree of Brazil; that honor is reserved for Tabebuia serratifolia, a yellow-flowered species.

    AG:nw

    Sincerely,

    Cura tor of Botany

    P.O. Box 299 SI. Lo uis. M 1ssour1 631 660299

    Telephone: Te leJC Ca bles:

    (31 4) 5 77 5100 466224 MOBOT Cl MOBOTSTL

  • '

    L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO =-=-==.:..:=--=:.=.-..::....::..::=---=-=..::..:......:~::...:....:=c__ _________ 51 -

    TRADUCTION DE LA LETIRE DU BOTANISTE

    . Cher Monsieur ,

    Merci pour votre lettre du 10 octobre 1986. Je peux vous informer que le Tecoma curialis est en fait un synonyme de Tabebuia impetiginosa.

    C'est l'espce principale qui est vendue aux Etats-Unis comme th rput soigner le can cer. Malheureusement, il y a beaucoup de confusion au regard du nom scientifique correct, mais dans ma circonscription il y a seulement deux espces (de ce complexe) au Brsil : T. impetiginosa, avec un feuillage plus ou moins entier et qui pousse presque toujours l'intrieur ; et le T . hepta-phylla avec des feuilles plus longues et qui pousse plus prs des ctes.

    Le T. impetiginosa pousse du Mexique l'Argentine.

    Incidemment

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO -- 52 ----------------~~~~~--------~--

    Le Lapacho face la science (mdecine)

    Comment agirait le Lapacho ? Pour l'instant, per-sonne ne le sait vraiment, mais on pense qu'il rtablit les fonctions immunitaires. Ainsi, il permettrait l'organisme de repousser les agressions de toutes sortes. On doit, pour le moment, se contenter seulement d'observer les effets de ce produit. Et bien qu'il soit l'objet d'tudes trs srieuses, il n'a pas livr ses secrets. Cela ne saurait tarder, du moins nous l'esprons.

    La dcouverte du Lapacho

    Comme pour beaucoup de dcouvertes, il existe dans la vie quotidienne des ralits que nous avons sous les yeux et qui ne sont videntes personne, sauf parfois des gens simples qui ont gard une sorte de navet primitive que nous devrions qualifier de sagesse.

    Pour ces personnes, il est normal d'accomplir certains actes parce que c 'est l'habitude et la tradition. C'est l'hritage du pass, fait de milliers d'annes d'exprience. Il semble qu'il en aille de mme pour la dcouverte des proprits du Lapacho, utilis par les Indiens comme un Arbre de Vie.

    Cette appellation est puissamment vocatrice. L 'Arbre de Vie. S'il pouvait vraiment tre cet arbre de vie que nous attendons tous ! Quel espoir ! Ne rvons pas trop. Mais soyons nanmoins pragmatiques.

    Comment le Lapacho est-il devenu le remde utilis par les Amricains ?

    Dans son livre, Bill Wead, l'auteur de Second opinion Lapacho and the cancer controversy >> (Roscrum communication lnc. 1985), nous raconte son histoire.

    M. Acorsi , professeur de botanique Sao Paulo, au Brsil, enseignait, en 1960, dans une cole d'agricul-ture ...

    Un jour, un de ses amis lui demanda s'il connaissait le Pau d'Arco, appel aussi Lapacho. En qualit de

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO ===-==:.......;:..:c=-...=.=.-=::..:::.:......::...:=-=...:.=---------- 53 -

    botaniste, il n 'ignorait pas l'existence de cet arbre, mais il ne savait rien de ses ventuelles proprits.

    Pensant l'intresser, son ami lui fit part alors d'une histoire qui, pour banale qu'elle ft en son dbut, allait bouleverser en son dnouement les hommes, les habitudes, les institutions et le monde mdical de la petite ville o elle se droulait.

    Un ami du narrateur avait eu un cancer de la prostate mtastas, et ses chances de survie, aprs les traitements mdicaux classiques, taient de deux mois environ, selon les mdecins.

    Quelqu 'un conseilla alors au malade, en dsespoir de cause, de boire une dcoction spciale, tire d'une corce d 'arbre, le Pau d'Arco ou Lapacho.

    Quand on sait les souffrances qu'inflige un cancer dans les derniers moments d 'un malade, on imagine aisment que l'on puisse tenter n 'importe quoi pour les adoucir et fournir un peu de rpit, dfaut d 'espoir.

    Il absorba donc du Lapacho et, au bout de quinze jours de cure, raison de 7-8 tasses par jour, les douleurs avaient cess.

    Au vingtime jour, il se levait, lui qui tait alit, bout de force, attendant la mort.

    Son tat s 'amliora chaque jour davantage et cet homme, qui n'avait plus que quelques jours vivre quand il commena boire du Lapacho, tait toujours vivant et mme bien vivant trois ans aprs .. . et en bonne sant.

    M. le Professeur Acorsi voulut en savoir plus car il venait de soulever un voile qui cachait des merveilles et il entendait bien aller jusqu'au bout de sa logique en sa qualit de scientifique. Il rechercha la personne qui avait conseill le Lapacho au vieil homme cancreux, pour remonter la source de l'information.

    Cette personne tait un dentiste. Pour se permettre de recommander un tel produit, fallait-il qu 'il connt parfaitement les proprits du Lapacho ? Le dentiste collabora et il donna au Professeur Acorsi d 'autres

  • -- 54 ----------------~L~'A=R=B=R=E~D~E~V~IE~~L=E~LA==P~A~C~H~O

    exemples de personnes qui consommaient du Lapacho, pour leur plus grand bien, semblait-il.

    Ainsi, il raconta la gurison du cancer d 'une jeune fille.

    Malade aussi du cancer, elle usa de Lapacho grce une vieille servante indienne qui connaissait les pouvoirs gurisseurs de cette corce d 'arbre et savait o s 'en procurer. La jeune fille gurit et fit savoir autour d'elle, aprs une promesse spirituelle , comment elle fut soigne et gurie.

    Les sceptiques furent plus nombreux que ceux qui crurent cette gurison. C'tait ou plutt cela paraissait trop simple. Du Lapacho, et hop ! voil des malades qui se lvent et marchent.. . C'tait presque biblique !

    Quoi qu'en pensrent les gens, la jeune fille ne s 'en soucia pas. Elle tait vivante et en bonne sant. C 'tait tout ce qui comptait pour elle, chacun sachant qu'il n'y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.

    La nouvelle connue, beaucoup de personnes se mirent boire cette fameuse dcoction, a titre prventif. Elles considraient, tout comme les indiens, que le Lapacho avait des vertus mdicinales.

    Si ce Lapacho provoquait des rmissions de mala-dies et de cancers, il agirait, plus forte raison, titre prventif. Il tait vendu au Brsil (en 1960) en officine et sans ordonnance.

    De chuchotements en chuchotements, de rmis-sions en rmissions (nous ne savons pas vraiment s'il s'agit de gurisons pour utiliser ce dernier terme), la nouvelle se rpandit.

    M. le Professeur Acorsi ne put qu'tre intrigu : il pousse ses recherches plus loin et, sa grande surprise, il dcouvre que, dans certaines villes du Brsil, entre autres Americana, San Andrea et Piccacicaba, des mdecins soignent depuis longtemps avec le Lapacho des malades atteints de cancer, et ce, dans les hpitaux municipaux, avec un certain succs.

  • L'ARBRE DIE YliE LE LAPACHO ======~~=-==~~===----------------- 55 --

    Un journal brsilien, le 0 Cruzeiro , s'empare de l'affaire, fait une enqute suivie d 'un article. C'est alors un grand coup de tonnerre ! Telle une bombe, l'article provoque un toll gnral.

    Une foule de gens voulant acqurir ce produit envahit l'hpital de San Andrea et le domicile de M. Acorsi.

    Ces mouvements de foule, l'motion souleve, frappent l'esprit de tous, jusques et y compris le corps mdical du pays.

    L'hpital doit annoncer que le Lapacho est en rupture de stock. L'affaire fait tant de bruit que les rescaps du cancer grce au Lapacho dont les tmoignages avaient t publis, ne veulent plus rien dire. L'hpital est censur et somm de ne plus faire de dclarations.

    Cependant, la relation journalistique des cas de rmissions de cancer avait fait trop de bruit, trop de vagues et intress trop de gens pour qu'elle pt tre enterre aussi facilement. Les journalistes en firent leurs choux gras .

    C'est alors que les scientifiques brsiliens et amri-cains s'intressrent ce fameux Lapacho. Ils tudirent pourquoi et comment cet arbre pouvait bien exercer un effet quelconque sur certaines maladies, mais surtout sur le cancer, et ils tombrent dans un pige.

    Ce pige consistait, selon la logique scientifique occidentale, n'tudier qu 'un seul des composants du Lapacho qui tait cens, ou suppos tre, l'origine des rsultats de rmissions constates de manire empi-

    nque.

    Les chercheurs firent preuve de rigueur scientifique mais en mme temps de manque d'imagination. Ils ne manifestrent aucun pragmatisme, de manire insou-ciante, ou peut-tre de manire dlibre.

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO -- 55 ----------------~====~~~~~==~~

    LES DIFFRENTES APPROCHES DES MALADIES DE L'HOMME

    A travers le monde, existent diffrentes coles de penses philosophiques, sociales, mais et surtout scien-tifiques.

    Les chercheurs amricains ne raisonnent pas comme les savants europens et surtout les Franais. Ils prennent plus de risques au-del de l'Atlantique : dj deux coles de penses.

    Mdecins et chercheurs orientaux (Chine, Japon) ne raisonnent pas non plus comme leurs confrres occi-dentaux : encore deux coles de penses fondamentale-ment diffrentes. Dj, ainsi , se dessinent des sous-classifications et divisions qui naissent de ce qui prcde.

    L'cole orientale ne dissocie rien de l'individu, le considrant comme un tout '' dont rien ne doit tre distrait pour le soigner.

    L'acupuncture est l'image mme de ce que nous voulons expliquer. Pour soigner la tte, il faudra peut-tre piquer le pied et, pour soigner le pied, il faudra peut-tre piquer l'oreille. Mais la finalit vise, c 'est le rtablisse-ment gnral du malade et non seulement 1 'organe malade pris isolment.

    Pour les thrapeutes ne connaissant pas ces techniques, ce sera quelque chose de faux, d'inadmis-sible. Souvenez-vous de ces images de tlvision qui montraient les interventions chirurgicales excutes sous anesthsie par acupuncture. Le patient dialoguait avec son chirurgien pendant l'intervention. Chose inconce-vable mme, le malade se restaurait pendant l'opration.

    Comment un esprit occidental peut-il imaginer de telles choses ? Elles sont pourtant relles.

    Ce n'est pas vrai , c 'est un trucage , ont dit beaucoup de nos mdecins. Nous les laissons leurs opinions car, aprs tout, ils ont le droit de penser.

    Depuis, pourtant, ils commencent admettre ces ralits, mais il aura fallu du temps.

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO ~==~~~~~==~~~--------------- 57 --

    Ce sera la mme raction quand la nouvelle sur le Lapacho sera connue.

    Nous n'en avons cure. Mme si on nous rtorque que ce n'est qu'une vulgaire tisane, cela n'a strictement aucune importance. Ce qui importe, ce sont les rsultats. Tout le reste n'est que littrature.

    Pour reprendre nos comparaisons, l'cole occi-dentale, au contraire, tort ou raison (l'avenir le dira), approche les problmes de sant diffremment.

    Elle apprhende les maladies dans leurs cons-quences, faute de pouvoir souvent en trouver la cause. Elle procde par dduction, de proche en proche, sans examiner globalement le problme, comme le prconisait M. le Professeur A. Dubos.

    Or, quand elle se mit tudier le Lapacho et ses rsultats, que fit l'quipe de savants amricains ?

    Avec son systme de pense rationnelle, elle se cantonna n'tudier qu'un seul des composants du Lapacho : le Lapachol qui avait dj t isol et mis en vidence, ds 1882, . par un Italien, le docteur Emma-nuelo Paterno.

    Preuve s'il en fallait que le Lapacho ne laissait dj pas tout le monde indiffrent.

    Mais qui, en 1882, connaissait vraiment la maladie sous le vocable de cancer ?

    Les tudes amricaines se prolongrent jusqu'en 1970. A cette date, l'quipe de recherches du Cancer National lnstitute , aprs avoir pu tout de mme prouver que le driv Lapachol avait bien une Influence sur certaines tumeurs, dcida que le produit tait sans intrt pour l 'homme.

    Cette quipe abandonna les recherches, semble-t-il officiellement.

    Paralllement et dans le mme temps, une autre quipe de chercheurs amricains, mais appartenant au ministre de l'Agriculture (et non au ministre de la Sant) menait aussi des recherches sur le Lapacho et

  • -- 58 ----------------~L~'A=R=B=R=E~D=E~V~IE=- ~L=E~L=A=P~A=C=H~O

    ses vertus. Quant eux, ils dclarrent que le Lapacho tait moins dangereux que le caf ...

    Bizarre, non ? Qui a fait pression sur le ministre de la Sant pour

    que les recherches soient abandonnes par le C.N.I. (Cancer National lnstitute) ? Nous ne le saurons jamais.

    Ceux qui consommaient du Lapacho ne se sou-ciaient gure du rsultat des recherches et s'en portaient trs bien. Mieux encore. Ceux qui avaient fait des tudes scientifiques comprirent vite que les tudes officielles du C.N.I. (Cancer Nationallnstitute) n'avaient pas de valeur, parce que les chercheurs n'tudirent qu'un seul l-ment isol du Lapacho. Le simple bon sens et d leur dicter d 'tudier le produit en son ensemble et non dissoci.

    L'effet de synergie ne les avait apparemment pas effleurs pour un produit naturel et non de synthse.

    Il semblerait que le Lapacho agisse en produit complet, jusque dans ses plus petits composants. Comme dans un puzzle ou une construction dans lesquels o le moindre lment manquerait : le tout s'effondrerait !

    A l'appui de ces hypothses, des travaux scientifi-ques rcents, mens en Ecosse, donneraient raison cette thorie.

    Peut-tre mme qu'avec un seul lment en moins, le Lapacho serait-il inefficace. L'erreur fut donc d'tre peut-tre trop rationnel et de n'avoir pas largi l'ventail des propositions.

    L'irrationnel peut avoir parfois du bon, et tre empirique n'est pas synonyme d'idiot, ce serait mme le contraire.

    A moins que d'autres considrations, moins scienti-fiques, aient oblig ces chercheurs abandonner leurs travaux, pourquoi les avoir stopps ?

    Bien entendu, les rsultats, dits officiels, du C.N.I. confortrent les sceptiques.

  • =L'~A~R=B=R~E~D~E~V~IE~ =LE~LA=P~A=C=H~O~--------------- S9 --

    Il n'empche, les gens souhaitaient quant eux se procurer du Lapacho et devant cette demande accrue des Brsiliens, il y eut des abus consistant vendre de l'lperoxo (Lapacho) qui ne provenait pas des deux seules espces curatives.

    Aprs ces abus, il semble que la vente du Lapacho, vers les annes 1970, fut interdite au Brsil.

    POURQUOI ET QUI S'INTRESSE AU LAPACHO?

    DEPUIS quelques annes, les tudes ont repris srieusement et avec des moyens financiers consid-rables afin d'arriver synthtiser le produit et le vendre ensuite sous cette forme l'chelle mondiale ; car il est bien sr que la demande dpassera vite l 'offre, le nombre d'arbres n'tant pas illimit .

    La socit amricaine Olivier Management a dpos les brevets ncessaires pour 1 'tude et la sortie sous forme de produit de synthse du Lapacho. Le nom sous lequel elle va commercialiser le Lapacho synthtique est Amakon .

    Olivier Management a une filiale en Suisse Zurich au travers de banquiers suisses.

    Pourquoi votre avis? Vous trouverez, en fin d'ouvrage, les renseigne-

    ments sur Olivier Management. Certains considrent que la dcouverte du Lapacho

    est l'quivalent ou plus encore que celle de la quinine en son temps.

    Le mme scepticisme sera de mise pour son acceptation. Il en est ainsi chaque fois que quelque chose de simple a une rpercussion norme sur un problme de sant et que cette chose fait vaciller des certitudes bien ancres.

  • -- 60 ----------------L~'=A~R=B~R~E~D~E~V~I~E~~LE~L=A~P~AC~H~O

    La pnicilline dcouverte par Fleming connut les mmes difficults auprs de l'autorit mdicale, et le mme rejet.

    Rendez-vous compte ... , il ne manquerait plus que des champignons soignassent , disait-on alors. Et que deviendrions-nous aujourd'hui sans cette pnicilline et ses drivs ?

    Toute une partie de ce document et que vous allez lire plus loin est destine expliquer les mcanismes en place et qui vont se mettre en fonctionnement si le Lapacho se rvle tre un bon produit avec les qualits qu 'on lui prte aux Etats-Unis. Simplicit et efficacit. Il drangera. Et personne n'aime ~tre drang.

    A quand les rsultats officiels ?

    Nous ignorons quand les rsultats officiels des recherches paratront. Mais nous pensons que ce ne sera pas demain.

    Pourquoi ? Parce que comme nous l'avons dj crit, si ce simple breuvage donne des rsultats ines-prs (mais soyons lucide), il y aura toute une partie de l'infrastructure mdicale qui s 'effondrera non sans dommages, car les matriels et infrastructures en place cotent trs trs cher et il faut les amortir.

    Quelle commune mesure peut-il exister entre une cure de Lapacho et un appareillage norme et cotant plusieurs dizaines ou centaines de millions de centimes ?

    Cependant, les gens qui se sentiraient menacs auraient tort car il faudra, nous le rptons, toujours soigner les malades mdicalement, le Lapacho ne venant qu'en complment et comme faisant partie d'une hygine de vie.

    Pour ces raisons d'intrts financiers en jeu, des pressions seront exerces afin que le produit ne soit pas reconnu comme pouvant prvenir le cancer. Du moins, on essaiera de repousser le plus tard possible sa reconnaissance.

  • =-L '..:...:A:.:..:R=B=R=E~D=E=--V-=...;I=E=--=L=E::.....:L=A=P....:.A.::...:C:....:.H.::...:O:::....__ ________ 61 _

    Si donc le Lapacho vous intresse, prenez-le dans le contexte de votre hygine de vie comme vous feriez des cures de magnsium ou comme vous suivriez des rgimes liminant les graisses, l'alcool ou le tabac ... ou un hypothtique cancer !

    Pour votre hygine de vie, vous pratiquez du sport pour tre bien dans votre peau et dans votre tte.

    Bref, vous faites de la prvention. Le Lapacho, c'est aussi de la prvention.

    N'oubliez pas, et nous le rpterons sans cesse, que la vocation de notre livre est de vous informer d 'une hygine de vie, non de vous soigner.

    Nous ne sommes pas mdecins et nous ne pouvons vous en dire plus.

    Nous esprons que vous avez bien reu le message.

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO -- 62 ----------------~====~~~~~==~~

    AVERTISSEMENT

    Avant d'aller plus loin, il nous est absolument indispensable de faire une mise au point :

    1 . Si le Lapacho est consomm aux Etats-Unis et au Brsil sous forme de dcoction, comme anticanc-reuse, cela ne veut pas dire que ce produit soit efficace dans tous les cas de cancers, et nous verrons qu 'il ne russit pas toujours. Il existe des personnes sur lesquelles il n 'a aucun effet. Nous avons vu que des recherches trs fines sur la tumeur cancreuse ont russi dterminer que les cellules d'un mme foyer tumoral ne sont parfois pas identiques.

    De ce fait, les traitements classiques, s'ils tuent bien une partie des cellules cancreuses, en laissent d'autres vivaces, mais avec en plus, l'affaiblissement de l'organisme qui ne peut que moins bien lutter. Partant de ce constat, il faudra donc admettre que le Lapacho pourrait peut-tre donc liminer une partie des cellules cancreuses, mais peut-tre aussi pas toutes parce que son spectre ne serait pas assez large pour tre efficace sur la nature de tous les types diffrents de cancers.

    D'o la consquence que si le Lapacho russit souvent, il pourra aussi chouer et ne pas sauver d'un cancer. Vous auriez donc une possibilit de rmission, non une certitude. Que cela soit bien clair. En outre, il est probable qu'il doit y avoir un moment o l'organisme est si envahi par le cancer que rien ne fera plus rien.

    2. Mise en garde : Nous vous indiquons le Lapacho titre prventif et c'est l'objectif de notre ouvrage. Cela ne veut pas dire, pour autant que, consommant du Lapacho par cures puisque c'est ainsi que les Amricains le prennent, vous ne dveloppiez jamais un cancer. a n'est pas une panace et il a ses

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO ===:...-=.::=--=....:.::..--=:.=.......:=:...=.=~:...._ ________ 63 -

    limites. Le Lapacho vise, semble-t-il, maintenir 1 'organisme en tat de dfense et selon les Amri-cains rtablir 1 'tat de dfense immunitaire dans les cas graves, permettant ainsi de s'en sortir, mais il n'y a pas de remde miracle et universel.

    3. La troisime partie de notre mise au point est capitale. Si vous tes porteur d'un cancer, vous n'avez rien d'autre faire que vous soigner mdicalement et de suivre les thrapies de votre mdecin. Si vous prenez du Lapacho, c'est sous votre entire responsabilit et en plus de votre traitement mdical. Il vaut mieux avoir deux cordes son arc. Ne vous soignez jamais seul sans savoir dans quelle direction vous allez. Vous avez besoin d'un profes-sionnel de la mdecine. Si vous agissiez autrement, ce serait du suicide. Par contre, lorsque vous aurez obtenu votre rmission ventuelle, faites effectuer un bilan par les soins traditionnels et la prise de Lapacho coupls avec votre mdecin et tentez de dterminer comment vous avez russi. Donnez votre thrapeute tous les renseigne-ments et les preuves afin qu'il sache et qu 'il puisse faire sa synthse. Il sera peut-tre surpris. Enfin, il vous faut savoir aussi que les anciens cancreux qui consomment le Lapacho sont, semble-t-il, obligs de le faire longtemps sinon toujours par cures. C'est une contrainte importante. Mais comment font les diabtiques ou les malades du cur ? Ils ont la mme sujtion. Cette contrainte semble bien correspondre l'hypothse de certains chercheurs qui ont pu dter-miner que le cancer fait partie de nous ds la premire cellule. Si donc nous sommes porteurs du cancer, lequel ne se manifeste que lorsque nos dfenses immunitaires baissent, pour une raison inconnue, nous serons obligs de toujours maintenir notre organisme en position de lutter contre la prolifration

    , cancereuse.

  • -- &4 ----------------=L~'A=R=B=R=E~D=E~V~IE~ =L=E~L=A=P~A=C=H~O

    Comment? Justement par le renforcement de notre organisme par des cures. Nous donnerons la fin de ce livre un exemple caractristique de cette hypothse de dfenses immu-nitaires surveiller. Il s 'agit d 'une femme qui a eu un cancer de la langue et qui devait en subir 1 'ablation. Son exemple est chiffrable. Cependant cette dame s'est soigne avec un autre produit que le Lapacho et ce depuis plus de treize ans. Le Lapacho tait alors tout aussi inconnu qu'il l'est encore pour vous aujourd 'hui.

  • ~L_'A~A~B~A~E~D~E~V~IE~~L~E~L~A~P~A~C_H~0 ________________ 67 __

    ___ c_h_aQitre 1

    QUE SE PASSETIL DANS LA RALIT CANCROLOGIQUE ?

    Nous allons maintenant soulever un tout petit peu, mais vraiment peu, le voile dans ce qui se passe sur la gurison du cancer, en rptant nouveau que notre propos n'est pas polmique.

    Nous n'avons pas cette prtention que nous laissons aux professionnels du cancer.

    Eux connaissent bien le problme, le public ne sait rien et nous sommes des bents.

    Alors, si la vrit est la vrit, pourquoi ne pas la dire?

    Qui s'en offusquerait ?

    Celui ou ceux qui aurait (ent) intrt dissimuler. Mais alors cela ressemblerait quoi ?

    La rponse, nous ne la donnerons pas : elle appartient chacun selon sa sensibilit.

  • -- 68 --------------~L~'~A~R=BR~E~D=E~V=I=E~~L~E~L~A~PA~C~H~O

    TOUT EST-IL FAIT POUR , GUERIR LE CANCER ?

    Nous ferons ntre la maxime de M. le Professeur Trudeau, inscrite en franais au fronton de son Institut amricain :

    Gurir quelquefois Soulager souvent

    Consoler toujours. Si une personne sur quatre est destine subir un

    cancer et si prs de 130 000 personnes meurent chaque anne du cancer en France . (l 'quivalent d'une ville moyenne raye de la carte) , nous disons : assez !

    Un des buts de ce livre est de provoquer la curiosit d'abord et d'apporter, un tant soit peu, notre force au levier qui arrivera bien un jour faire clater le monolithisme d'un monde ferm, en dehors duquel il n'y aurait pas de salut , et qui a la prtention de tenir les non-initis (nous) en tat de soumission et de dpen-dance.

    a, c 'est du has be en . Pour ce qui est du cancer, l 'aphorisme primum non

    nocere (d'abord ne pas nuire) est dpass lorsqu'on est rendu un certain stade de non-retour de la maladie. Nous oserons dire que c 'est prcisment nuire par omission que de ne pas tenter autre chose )) parce que cette autre chose ne serait pas, et ne sera pas encore avant longtemps, admise comme thrapie par le pou-voir de dcision )) officiel.

    Si le cancer nous atteint dans notre chair, dans notre tte, si la mdecine officielle est impuissante nous gurir, malgr les moyens actuels connus, rpertoris, codifis, que nous respectons, alors il nous faut, au bord du nant, chercher ailleurs une solution.

    C'est ce que font des hommes et des femmes qui n'ont pas attendu tout leur salut des instances mdicales. Et ils s'en portent bien.

    Notre sant, c'est aussi et avant tout notre problme.

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO ~====~~=-~~~==~---------------- 69 --

    Notre qute va dans le mme sens que celle des chercheurs, mais en attendant, nous prfrons vivre et ne pas entrer dans les statistiques plutt qu 'tre mort et en faire partie.

    La recherche que nous finanons nous doit des explications

    Si peu de rsultats ont t obtenus eu gard au temps pass et aux sommes considrables dpenses pour la recherche sur le cancer, si ces recherches n'ont pas encore donn de rsultats probants, nous sommes en droit de nous poser des questions.

    Se poser des questions ne veut pas dire exiger. Comment pourrait-on exiger quoi que ce soit en matire de dcouvertes : les hommes sont ce qu'ils sont, et l'impossible nul n 'est tenu.

    Ce contre quoi nous nous levons, c 'est contre le climat intellectuel qui entoure les dcouvertes ou les ouvertures que l'on occulte souvent, volontairement, au nom du soi-disant dogme ou pis encore.

    Les querelles d'coles et d'individus n'intressent pas le malade. Les batailles que se livrent entre eux les cliniciens parce qu'ils perdent le monopole de la gurison au profit des biologistes et rciproquement sont nulles.

    Que la recherche clinique qui par dfinition a ses limites perde une partie de son mythe, alors que la biologie prend le dessus, le perdra elle-mme ensuite au profit des immunologistes, est sans intrt et sans vidences.

    Mais l 'vidence du malade potentiel, c 'est l'attente d 'une solution globale et rapide en dehors de ces considrations de chapelles.

    Souvenez-vous de cette expression : SOLUTION GLOBALE.

    Pour expliquer ce que nous venons d'crire, nous citerons M. le Professeur J.-P. Escande, lorsqu 'il dit, faisant allusion la dcouverte d 'une protine

  • -- 70 ----------------~L~'A~R~B~R~E~D~E~V~I~E~2L~E~L~A~P~A~C~H~O

    anormale )) qui provoqua la mort des prsidents Pompidou et Boumediene :

  • ~L'=A=R=B=R=E~D=E~V~I=E-=L=E~L=A~P=AC=H==0----------------- 71 __

    l'apprciation dogmatique de ceux qui en autoriseront l'exprimentation. C'est presque un droit de veto.

    Si ce qui a t dcouvert l'a t soit par accident, soit par dduction, et qu 'on ne puisse pas l 'expliquer, faute de moyens, dans l'immdiat, cette dcouverte sera considre comme caduque et non autorise.

    Et ceci , mme si le procd donne des rsultats positifs sur une maladie.

    Les hautes instances ne tiendront pas compte de ces rsultats et n 'autoriseront pas son application. Il faut que cette dcouverte ait t ralise selon le schma du penser qui fait la loi, en dehors de laquelle rien ne vaudrait.

    Or, et ce qui est plus grave encore, lorsqu'on tudie un produit ou une maladie, en France, plus particuli-rement, on ne les tudie que comme phnomne isol, sans tenir compte de ce que l'individu est un tout indissociable.

    Considrer l'individu malade comme un tout est un mode d'apprciation ~etalement tranger la plupart des thrapeutes occidentaux bien qu 'il faille admettre qu'un lent cheminement se dessine dans cette voie au travers des jeunes mdecins.

    Aussi nous posons la question : Et si le cancer devait tre considr comme une

    maladie globable et non comme une affection isole de telle ou telle partie du corps ?

    Cela expliquerait bien des checs des thrapies traditionnelles : chirurgie, radiothrapie, chimiothrapie.

    Actuellement, pour la plupart de ceux qui se penchent sur ce flau , en l'absence de la connaissance des causes et de la dfinition mme du cancer, les recherches sont effectues sur les consquences.

    La question est peut-tre prise l'envers. Au lieu d'tudier le phnomne cancer en tant que phnomne isol, quelques chercheurs ont compris la ncessit d 'tudier le cancer comme faisant partie d Ln ensemble dans lequel rien ne doit tre dissoci.

  • -- 72----------------~L~'A=R=B=R=E~D=E~V~IE~~L=E~L=A=P~A~C~H~O

    Le problme dissoci ne serait plus accessible une solution autre que parcellaire et non globale.

    Certains malades auraient donc la capacit de se gurir eux-mmes du cancer par l'absolue certitude qu'ils peuvent gurir.

    Le jour o la mdecine sera capable de mesurer la quantit de phromones labores par le cerveau d'un individu, nous aurons compris un des nombreux l-ments de gurison, non seulement du cancer mais de nombreuses maladies. Hypothse gratuite? A voir.

    Evidemment, pour admettre une telle dmarche, il ne faut pas tre soi-mme sclros. Et, ce qui est encore plus difficile, il faut admettre que d'autres puissent avoir raison, avec d'autres thories.

    M. le Professeur Ren Dubos, minent microbiolo-giste, migr aux Etats-Unis il y a plus de cinquante ans pour pouvoir exprimer son savoir dans un pays o on n'est pas jaloux des gnies, travaillait l'Institut Rocke-feller University de New York et disait dans Chercher >> (Mdecine ouverte, Ren Dubos et J.-P. Escande chez Stock) :

    Il faut agir en phnomniste et aussi tre phno-mniste, en ce sens qu 'il est ncessaire de considrer un problme dans son ensemble, sans 1 'analyser dans ses dtails. >>

    Il voulait dire aussi qu 'une grande dcouverte peut se faire d'une manire trs peu scientifique, au sens o on l'entend actuellement, donc de manire empirique. Admettre qu'un dcouvreur peut ne pas faire partie du srail, du creuset scientifique ou d 'une hirarchie de pontifes ncessite une certaine humilit qu'on ne peut avoir que lorsque l'on est grand. Et grand il tait.

    Pour avancer dans cette voie, il est impratif de quitter les sentiers battus et surtout du penser officiel , penser qui rejette tout ce qui n est pas mesurable et quantifiable en l'tat actuel des moyens dont nous disposons. Ce penser officiel voque de drles de choses ...

  • =L'~A=R=B=R=E~D~E~V=IE~ =LE~L=A~P=A=C=H=0---------------- 73 --

    Tant que la philosophie scientifique ne se rformera pas, nous aurons des butoirs infranchissables pour cette maladie particulire qu'est le cancer.

    C 'est ce qu'expliquait M. le Professeur Ren Du bos : La science acquerrait plus de crdit oser dire qu 'il existe des choses qu 'on observe sans pouvoir les connaitre dans leurs mcanismes intimes. Il faut accepter de se satisfaire de 1 'observation globale phnomnolo-gique en attendant que d'autres dcouvertes scientifi-ques permettent plus tard d'en approcher les mca-nismes , (

  • -- 74 ----------------=L~'A=R=B=R=E~D=E~V~IE~ ~L=E~L=A~P~A~C~H~O

    En fait, les dcouvertes scientifiques les plus retentissantes ont toujours lieu partir d 'un phnomne global, mais on l'oublie trs vite, ensuite, comme si on en avait honte. "

    Le; tort des scientifiques, du moins pour certains, car il en est heureusement qui ne sont pas des frileux et possdent une autre dmarche, n'est-il pas de trop scientifiser ?

    La mdecine n'est pas uniquement mathmatique et rationnelle. Elle est aussi pratique et empirique. L'empi-rique ne l'est que pendant le temps o on n'en comprend pas encore le fonctionnement ; il change d'appellation ensuite et son qualificatif devient alors scientifique . Ce n'est qu'une question de temps. Et en plus, la mdecine est aussi un art.

    Il faut donc admettre et accepter l'empirisme s'il provoque des effets gnraux sur un malade. De l 'empirisme nous passons alors au pragmatisme.

    La doctrine officielle consiste ne reconnatre, l'heure actuelle, que ce qui se met en statistiques et rejeter ce qui n'y entre pas. On admet l'exprience scientifique dont on peut rpter les effets.

    Alors pourquoi ne pas admettre les effets rptitifs de l'empirisme ? Cela devient alors du pragmatisme.

    C'est un tort de ne pas agir avec plus d'ouverture d'esprit. C'est une science rductionniste que de ne pas considrer l'homme dans sa totalit.

    Si les recherches dites officielles butent autant dans des impasses en ce qui concerne le cancer, ne faudrait-i l pas en puiser la cause dans cette faon d'tre et d'agir qui ne veut chercher qu'au niveau de la molcule au lieu d extrapoler.

  • =L'=A=A=B=A=E~D=E~V=IE~ =LE~L=A~P=A=C=H=O---------------- ?S --

    Mais cette matire sclrose les meilleures bonnes volonts.

    Gare l'imprudent qui ose ne pas passer sous les fourches caudines de la pense officielle : Une et indivisible . ..

    Et dire que nous sommes l'aube de l'an 2000, rendez-vous compte !

    Toutes ces frilosits existent aussi, mais un degr moindre aux Etats-Unis o la devise est : Osez )) .

    Il existe des mdecins qui trouvent des solutions mats ...

    Pour la recherche sur le cancer, des dcouvertes trs importantes ont t ralises par- certains cher-cheurs ou mdecins.

    Mais voil, ellesfont de l'ombre parfois, aux gens en place. Si le dcouvreur ne jouit pas d'une personnalit suffisante, forte ou d 'appuis ou de moyens pcuniaires, il est tout de suite asphyxi, mis sous l'teignoir, surtout si sa dcouverte n'est pas obtenue selon la norme )) et le dogme.

    S'installe alors la loi du silence qui occulte toute tentative de perce.

    A ce propos, lisez le livre de Simone Brousse, journaliste au journal Vogue )) : On peut vaincre le cancer ,, - L 'Heure des mdecines naturelles )) (Ed. Garancire, 1983).

    Vous y lirez comment, quand un moyen facile qui ne cote pas cher ou quand un produit qui ne cote pas cher non plus a des rsultats sur le cancer, on les limine rapidement afin que le public n 'y ait pas accs. Mais surtout on n'en parle pas.

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO -- 76 --------------~~~~~~-----------

    PEUT-ON DPISTER LE CANCER? IL SEMBLERAIT QUE OUI !

    A ce titre, le livre de Simone Brousse est trs difiant et trs document.

    Vous y dcouvrirez comment le docteur Vernes avait mis au point un appareil et une technique de dpistage du cancer. Le dpistage du cancer avant que la tumeur cancreuse apparaisse.

    En effet, quand la tumeur est prsente, c 'est la manifestation physique de l'envahissement de notre corps par les cellules cancreuses et il est souvent hlas ! trop tard.

    L'avenir est plus la prvention qu ' la gurison. L'idal rside de la possibilit individuelle de procder une dtection ventuelle avant toute manifestation . Les moyens existent !

    Avec la dcouverte du docteur Vernes vous pouviez par un examen assez complet, mais de routine, dpister le mal avant l'envahissement. Ce dpistage tait rem-bours par la Scurit sociale, pre!Jve qu'il avait bien sa fonction et son utilit.

    Cet examen tait ralis au moyen d'un appareil appel le photomtre de Vernes .

    Le docteur Arthur Vernes tait directeur de l'Institut Prophylactique de Paris, 36, rue d'Assas, Paris-6e. Tl. (16.1) 45.44.38.94.

    Son invention fut occulte et combattue. On ne l'utilise plus, bien qu'elle ft reconnue. Elle fut liquide.

    Toutefois, l'Institut Prophylactique on continue faire des tests de dpistage du cancer, mais plus avec la . dcouverte du docteur Vernes, laquelle demandait bien entendu tre perfectionne.

    Beaucoup plus perfectionn, on utilise maintenant le photomtre de Vernes en Belgique.

    On peut se renseigner : Docte:r Mistiaen, Rijselsestratt 114 B 8600, Menen (Belgique). Tl. (19.32) 58.41.48.48, 50.51 .55.87.

  • ~L~'A~R!!B~R:!!E~D~E~V~IE~ ~L~E~L~A~P~A~C:::.H=-=..=0:....__ ________ 77 _

    Ce dpistage est galement pratiqu en France par au moins deux laboratoires dont nous ne pouvons donner ici les coordonnes. L'un est Paris, l'autre Bordeaux.

    Comment est-ce possible, direz-vous, qu 'on n'ait jamais utilis ce qui existait dj ?

    Tout simplement, parce que tout scientifique ne peut faire de dclaration que s 'il y est autoris. Si un tel inventeur passait outre cette interdiction, les foudres des dieux tout-puissants ... et anonymes lui tombe-raient dessus.

    En France, on n 'aime pas les gens qui russissent. Ils drangent ceux qui. .. ne trouvent pas grand-chose.

    Vous n'y croyez pas? Lisez alors ! La deuxime cellule'', M. le Professeur J .-P. Escande n'a pas peur de dire que : Les visionnaires en avance sur leur temps n'ont jamais eu bonne presse, ni bon accueil >> et paraphrasant le pote il ajoute : Le premier qui dit la vrit doit tre excut. >>

    Il poursuit : Les excutions scientifiques des prcurseurs ont toujours eu lieu, et sommairement. >>

    Cet ostracisme est tellement rel et no-tamment celui l 'encontre du docteur Ve rn,es (dont on a moqu l 'invention) que ceux qui ont cout R . T.L. le 8 novembre 1986 , vers 7 heures, et entendu la nouvelle suivante, en seront convaincus.

    Un mdecin de l 'hpital Lariboisire, Paris , avait mis au point une technique et un appareil pour dtecter les tumeurs. Et par effet secondaire, dtecter la prsence d 'un cancer non encore manifest cliniquement. Erreur, ou vrit h ier , est considre comme inverse aujourd'hui.

  • L'ARBRE DE VIE LE LAPACHO -- 78 ----------------~====~~~~~==~~

    Phrases lourdes de sens et qui nous font com-prendre que ce qui se passe dans la ralit n'est pas toujours joli joli. Cela peut vous inciter vous prendre en charge sans attendre le messie scientifique en matire de cancer car les autres disciplines mdicales fonction-nent merveille et ne subissent pas cet ostracisme.

    Peut-tre pensez-vous que nous exagrons! Sachez que rien de ce que nous crivons dans ce

    livre n 'est gratuit. Chaque affirmation a une finalit dont il vous appartient d 'en saisir les liens et le sens.

    En outre, nous n'avanons rien qui ne puisse tre prouv et vrifi.

    Ce livre n'est pas un roman. Il a vocation de document, ce qui ne veut pas dire pour autant qu'il soit une solution tous les maux, tous les problmes cancreux.

    Nous continuons donc encore par M. le Professeur J.-P. Escande que nous citons souvent parce qu'il est connu et n 'a pas peur de dnoncer les choses ou des tats de choses qui sont inadmissibles notre poque, et il 1 'a crit. Elles sont donc du domaine public.

    Il crit dans son livre : La deuxime cellule ,, (Ed. Grasset, 1983) : Beaucoup (de savants) se plaignent du carcan de la science officielle accuse d'ignorer les esprits originaux, pire, de lcher ses chiens de garde pour rcuprer les vads du systme of-ficiel. >>

    Oui, oui, vous avez bien lu. Qu'en pensez-vous?

    Venant d 'un homme du srail , ces propos prennent tout leur sens et leur saveur amre et vous commencez comprendre que la gurison officielle )) du cancer n'est pas pour demain ... , malgr tout ce qui est dit pour vous faire patienter.

    Anesthsis avez-vous dit ?

    Nous avons contact une personne (nous tairons son nom) qui connat bien le monde mdical du cancer, qui a crit sur ce mal, qui est donc trs documente du

  • =L'=A=R=B=R=E~D=E~V=IE~ =LE~LA~P=A=C=H=0---------------- 79 --

    point de vue technique, mdical et philosophique, et qui se bat depuis 17 ans contre ce systme bloqu et vici.

    Nous lui avons demand quelque avis sur 1