pascale tabard - afp residences retraite · pour les résidents des baux-de-provence p6 le salon de...

Correspondants afp MagazineClémentine Bessahraoui La Presqu’IleNathalie Risso La Calanque - La SeigneurieNicole Bocquelet Lou Mes de Maï – La Bastide du ChevrierSylvie Pardoux Las MélaïesMarie-Claude Beaujon LauladeCharles Brunet La SourceAngélique Jerinte La PéronnièreRomy Pouzerat Les MorellesFlorence Delage Les AuresPatricia Duverger Les DoucetsCéline Bovani Clos des ToursNadia Oulaldj La GénollièreBrigitte Albert Clos AdlerLaurence Laborde Logis du NivernaisCéline Verhaeverbeke Pontreau Saint LucienEmilie Gaston Belvédère Ste ClothildeAnnie Bourgoin Pré Saint JeanCathy Luciani La Bastide des LavandinsAurélie David OurceyreFrançoise Dumain Clos Saint RochAlexandre Villeneuve Saint ThibaultStella Royer Pierre PéricardLucienne Benoit-Filippi SiègeCamille Santoni Ressources Humaines

Le journal du Groupe AFPDirecteur de la publication : Nicolas UtzschneiderRédactrices en chef : Alazaïs Dungelhoeff - Lucienne Benoit-FilippiCréation & Edition : www.Compoceans.comCrédit photo AFP.

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Mag

azin

e

Chères lectrices et chers lecteurs,

Une fois de plus, à travers ce magazine,vous aurez plaisir à découvrir différentsarticles sur la vie des établissements dugroupe AFP.

Mais aussi, vous pourrez apprécierl’engagement des personnels à répondreaux attentes de nos résidents afin de leur offrir un accom-pagnement de qualité. Où le respect, l’écoute, l’enthou-siasme et le professionnalisme rappellent nos valeurs etsuivent notre devise pour « aller plus loin ensemble ».

Très bonne lecture à tous.Pascale Tabard

Directrice de l’EHPAD Laulade à Budelière (Creuse)

Vous souhaitez lire l’AFP Magazine avant tout le monde ? Aumoment même de sa mise en ligne sur notre site internet ? Nous avonsune liste de diffusion électronique ! Dans une démarche écologique etéconomique, nous souhaitons limiter les impressions inutiles de maga-zines papier et les réserver en priorité à ceux qui ne disposeraient pasencore d’un ordinateur connecté à internet.

Merci de nous envoyer un courriel d’inscription à notre liste « AFPMag » auprès de [email protected]

La vie dans nos résidences

Le Clos Adler voyage dans le tempsTéléthon, Source de générosité ! P3

Marche nordique à Ourceyre P4

La Bastide des Lavandins organise sa 1ère

Commission de Coordination Gériatrique P5

Soleil et sable blanc aux Saintes-Maries-de-la-Merpour les résidents des Baux-de-Provence P6

Le salon de l’Abbaye transformé en magasinle temps d’un après-midi P7

Séances d’aromatologie à Saint Thibault P8

Les Anciens donnent de la voix à Laulade ! P9

Un projet de jardin thérapeutiqueau Pré Saint Jean P10

Concert de jazz à Las Mélaïes P11

La résidence la Presqu’île a magnifiquementpréparé ses 10 ans P12

Des chiens visiteurs aux Doucets P13

Un éducateur sportif au Clos Saint Roch P14

La Calanque - La Seigneurie pose unedevinette : qui est qui ? P15

La “veillée” aux châtaignesdu Clos des Tours P16

Après-midi guinguetteaux Logis du Nivernais P17

La cuisine et le restaurant de La Péronnière ?Deux jeunes beautés ! P18

Patricia, employée à Pierre Péricard : sonparcours, son évolution professionnelle P19

Les passionnés de Sainte Clothilde P20

Souvenirs de jeunessepour Roger Rémondet P22

Voyage à Marrakech pour les Aures P23

Portrait d’un métier

Roselyne Pillaut, d’auxiliaire de vie à animatrice,un projet professionnel qui se concrétise P24

Portrait d’une résidente

Marie-Thérèse Labouré, une vie dédiée àl’enseignement et aux enfants… P26

Portrait d’un partenaire

Le partenariat Serenium de La Génollière P27

La vie du groupeL’AFP est très connectée ! P28Le séminaire annuel des directeurs P29

Personnel et non confidentiel

Nouvelles de la Famille AFP P30

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EditoSommaire

mailto:[email protected]

Le vieux Cormenier est un mémorialdu monde rural. Guidé par Pailloux,l’épouvantail, et petit Pierre le long d’unparcours scénographique multi senso-riel, nous avons assisté à des scènesd’antan.

Une immersion dans le début du20e siècle grâce à des effets spéciaux :vents, éclairs, odeurs de miel et glycine.Des films évoquant des lavandières, for-gerons, bourreliers, fermiers au travailétaient projetés sur les murs des bâti-ments. Ce fut une expérience unique,riche en émotions, sensations et souve-nirs pour nos résidents qui ont eu l’im-pression de faire un retour dans leurenfance.

Chaque résident est reparti avec sonmorceau de pain.

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Article rédigé par Brigitte Albert - CorCom de Clos Adler à Valdivienne (Vienne)

Confection des pains par les résidents.


Le Clos Adler voyage dans le tempsArrivés au lieu dit "Chez Bernardeau" sous le soleil, les résidents étaient attenduspour pétrir chacun un pâton de pain afin de le cuire dans l’ancien four à pain.

Les organisateurs sont satisfaitsdes résultats avec 2670 euros collec-tés dont 70 euros par notre résidence.De riches et nombreuses animationsmises en place, la participation descommerçants, sponsors, associationset bénévoles ont largement contribuéà la réussite de cette journée.

Toutefois le mauvais temps àquelque peu freiné les visiteurs. Lesmanifestations se sont plus concen-trées à l’espace Saint-Marc, où l’am-biance assurée fut très appréciée.

Notre maison de retraite La Sourcea été remarquée avec la réalisationd’une fresque en céramique et laparticipation de notre Chorale « LaSource aux chansons ». Il n’y eut pasmoins de quinze choristes et béné-voles pour accompagner nos aînés !

Pour récolter des dons, Thierry etCharles ont vendu des morceaux decéramique pour pouvoir réaliser cettemagnifique œuvre qui finira prochai-

nement accrochée dans notre pôle devie. Merci aux nombreux bénévolespour avoir participé à cette manifes-tation. Pour terminer, les résidents sesont vus offrir crêpes et boissons pour

les remercier de leur participation. Alors tous les protagonistes se

sont donnés rendez-vous pour l’an-née prochaine.

Téléthon, Source de générosité !Après six années de sommeil, Le Téléthon a repris de la vigueur.

Nos résidents ont pu participer à cette manifestation qu’ils apprécient beaucoup.

Notre chœur a du coeur !

Article rédigé par Charles Brunet , CorCom de La Source à Souvigny (Allier)

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La marche nordique, appelée aussiNordic Walking, nous vient de Finlande.Déjà dans les années 50, les skieurs deski de fond s’entraînaient en été à mar-cher avec des bâtons. C’est une autreconception de la marche, beaucoupplus active qui se pratique en plein air,été comme hiver, et qui s’adresse à touspuisqu’il est possible d’en varier l’inten-sité en fonction des capacités de cha-cun…

Le principe est simple : il s’agit d’ac-centuer le mouvement naturel des braspendant la marche. L’ensemble ducorps entre en action et la dépensed’énergie est accrue.

Carlos est un professionnel qui,toutes les six semaines, intervientauprès des résidents pour un cours degymnastique douce. Respiration, mou-vements du corps, jeux de mémoire,équilibre font partie du programme.

Mais Carlos a plus d’un tour dansson sac : un autre atelier a été proposéaux résidents. Ils se demandaient bience qu’ils allaient bien pouvoir faire avecdes bâtons de ski, skier ? Pourtant, il n’yavait pas de neige dans le jardin !

Le personnel et les résidents sontallés chercher leurs vêtements car l’ate-lier se passe à l’extérieur. Un parcours aété tracé avec du matériel adéquat (cer-ceaux, plots…).

Chacun muni de bâtons de ski, nous

voilà partis à faire le tour du jardincomme si nous étions en train de fairedu ski de fond. Ce fut une superbedécouverte pour nous tous : cela per-met d’être en contact avec la nature etde garder une bonne forme physique !

Tous très studieux.

Le planter de bâton.


Marche nordique à Ourceyre Pourquoi y avait-il des bâtons de ski au cours de gym douce ?

Article rédigé par Aurélie David, CorCom d’Ourceyre à Vichy (Allier)

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Cette commission a pour but demettre en commun et d’échanger surles bonnes pratiques en EHPAD, pourassurer la continuité des soins et le bien-être des résidents. Elle permet égale-ment de rencontrer les principaux inter-venants afin de déterminer ensembleles actions à mener pour améliorer laprise en charge de nos résidents.

Afin d’optimiser le temps des méde-cins et des partenaires, nous avons choi-si d’organiser, conjointement avec leCentre Hospitalier du Pays d’Apt etl’EHPAD La Madeleine, ces commissionsrenforçant ainsi notre partenariat sur lebassin du Pays d’Apt.

C ’ e s t a i n s i q u e l e m e r c r e d i19 novembre, La Bastide des Lavandinsa reçu les principaux intervenants etpartenaires des trois établissementsd’Apt. Lors de cette soirée, nous avonsabordé les trois thèmes suivants :

Le rôle et la position du Médecin•Coordonnateur et du MédecinTraitant en EHPAD,Le livret thérapeutique,•Les directives anticipées.•

Les débats animés par le docteurJean-Luc Carlin (médecin coordonna-teur de L’EHPAD La Bastide desLavandins), Mme Guellec (pharmacien-ne au Centre Hospitalier du Pays d’Apt)

et le docteur Déborah Gaudeau (méde-cin coordonnateur de L’EHPAD LaMadeleine) ont donné lieu à de nom-breux échanges sur les bonnes pra-tiques et ont soulevé des questions inté-ressantes qui pourront être débattueslors d’une prochaine commission.

Cette première commission s’estdéroulée en présence de 25 interve-nants médicaux et para-médicaux, dont

le docteur Pierre Jeandel, Directeurmédical pour le groupe et nous nousréjouissons de cette réussite.

Mesdames Amparo Gimenez etDanièle Fregosi (directrice du CentreHospitalier du Pays d’Apt) remercienttous les participants ainsi que PatrickRolland, notre chef de cuisine qui a pré-paré un savoureux buffet et SabrinaMorelle qui a assuré le service.

L’équipe de cuisine.

Danièle FREGOSI et Dr Jean-Luc CARLIN. Amparo GIMENEZ accueille les participants.


La Bastide des Lavandins organise sa 1ère

Commission de Coordination Gériatrique Les établissements recevant des personnes âgées dépendantes sont soumis à l’obligation

d’organiser, deux fois par an, une Commission de Coordination Gériatrique.

Article rédigé par Cathy Luciani, CorCom de La Bastide des Lavandins à Apt (Vaucluse)

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Article rédigé par Nicole Bocquelet et Magali Roux,CorComs de La Bastide du Chevrier - Lou Mes de Maï aux Baux-de-Provence (Bouches-du-Rhône)

9h00 - Nicole et Magali préparent lepique-nique, les fauteuils de plage, lesparasols…10h00 - Roulez jeunesse !Départ des Baux-de-Provence, pour lesSaintes-Maries-de-la-Mer, en chansonset légendes camarguaises.11h30 - Arrivés sur place, nous nousinstallons dans un square, près d’unmanège ancien pour pique-niquer.12h00 - Nous commençons par prendreun petit apéritif accompagné de saucis-son de taureau… Ensuite, comme toutpique-nique qui se respecte : sand-wichs, saucisses, œufs durs, chips, fruitset quelques douceurs en dessert.13h30 - Enfin ! Nous sommes prêtspour la sieste au soleil… Chacun s’af-fuble de son chapeau de paille et s’ins-talle pour se faire dorer la pilule.15h00 - Quelques courageuses enlè-vent leurs chaussures pour goûter lafraîcheur de l’eau et la chaleur du sable.Les sensations et souvenirs d’antanreviennent ainsi qu’une deuxième« jeunesse » provoquée par les bienfaitsde la mer.

Nous sommes tous très détendus etheureux de partager cette journéeensemble, il règne une sorte de paix etde sérénité… Et, bien entendu, toujoursun peu de fantaisie et d’humour.

Le moment du départ approche, unvoile de tristesse apparaît dans chacunde nos cœurs mais promesse est faitede recommencer l’année prochaine…

Un peu d’histoireCapitale de la Camargue, elle est

construite autour de son église desXIe et XIIe siècles et longtemps enser-rée dans une enceinte, la communeconserve encore aujourd'hui trace dece passé historique dans la configura-tion de ses ruelles souvent étroites.

Les Saintes-Maries-de-la-Mer sontaussi un lieu de pèlerinage religieuxdes tziganes du monde entier, ren-dant hommage à Sainte Sarah (lavierge noire) qui se déroule chaqueannée les 24 et 25 mai.

La plage.


Soleil et sable blanc aux Saintes-Maries-de-la-Merpour les résidents des Baux-de-Provence

Aujourd’hui, journée plage ! Nous avons profité du sable chaud, du soleil et des embruns marins.

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Article rédigé par Chloé Denizot - Animatrice de l’Abbaye à Saint-Amant-de-Boixe (Charente)

Cette expo-vente a été mise enplace à la demande d’une résidente. Ils’agissait par ailleurs d’une action fai-sant partie intégrante de son projet devie. Cette résidente souhaitait en effets’offrir de nouveaux vêtements, sansdevoir se déplacer à l’extérieur de larésidence.

Le projet de faire venir un magasinde prêt-à-porter a donc été concrétisé.Des flyers ont été distribués à tous lesrésidents pour les informer ainsi que desaffiches dans la résidence.

A leur arrivée, les intervenants ontinstallé des portants ainsi que des tablesafin de présenter tout un panel de vête-ments et de chaussures pour hommeset femmes.

Les résidents ont ainsi pu faire leursachats, certains étaient accompagnésde leurs familles ; d’autres ont flâné àtravers les étals. Dans l’après-midi, unevingtaine de personnes ont fait le dépla-cement. Certains ont pu bénéficier desretouches gratuites proposées par lemagasin.

Les résidents satisfaits de leursachats étaient ravis de les montrer aupersonnel.

Ce genre d’actions peut permettreaux résidents de continuer à prendredes décisions de manière autonome etde les valoriser. Cette initiative a reçu unfranc succès, nous avons donc pris datepour le printemps.


Le salon de l’Abbaye transformé enmagasin le temps d’un après-midi

Au mois d’octobre, un établissement de prêt-à-porter est venu présenterdes vêtements au sein de la résidence.

Mme Thomas choisit ses nouvelles robes avec son fils.

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Article rédigé par Alexandre Villeneuve, CorCom de Saint Thibault à Fleuré (Vienne)

En quoi consiste l’aromatologie ?L’aromatologie est l’utilisation

d’huiles essentielles par différentesvoies (diffusion, peau, respiration direc-te) afin d’obtenir une sensation de bien-être (action sur le mental) et de confort(pouvoir antiseptique et désinfection del’air). J’utilise des diffuseurs à chaleurdouce.

Il s’agit d’une pratique alternative,médecine parallèle liée à la connaissan-ce plus ou moins poussée des plantes etdes produits qui en résultent.

À partir de quelles huiles ?Les huiles viennent de plantes aro-

matiques. La plante est distillée afind’en extraire son huile essentielle.L’huile peut provenir de différentes par-ties du végétal (pétales, feuilles, écorce,aiguilles, etc.).

Après la distillation, on peut aussirécupérer l’eau aromatique appeléehydrolat.

Quelles sont les propriétés desdifférentes huiles essentielles ?

Les huiles agissent sur le tempéra-ment des personnes. En soin de bien-être, le basilic est recommandé pour lesbilieux et angoissés par exemple, ouencore la mandarine pour les personnesnerveuses. Elles agissent aussi sur lephysique (soin et confort articulaire), lagaultherie odorante et ravinstare pourle confort respiratoire, la lavande pourle confort de peau, l’orange pour ladésinfection de l’air.

Les huiles essentielles soulagentmais ne soignent pas. Elles peuvent êtreutilisées en prévention.

Depuis combien de temps pra-tiques-tu l’aromatologie ?

J’ai découvert l’aromatologie lors dema précédente activité en maison deretraite. Je me suis renseignée poursuivre la formation.

La formation est composée de deuxniveaux durant chacun une semaine.

Le 1er niveau est axé sur la connais-sance des huiles et leur utilisation.

Le 2e niveau est ciblé sur les diffé-rentes circonstances de son utilisation(fin de vie, démence type Alzheimer…).

J’ai suivi le 1er niveau en mai 2014et j’entamerai le 2ème niveau enoctobre 2015. Je pratique l’aromatolo-gie depuis septembre 2014 au sein del’EHPAD. Une salle a été créée pourfavoriser une ambiance reposante. Jepratique l’aromatologie dans un cadresécurisé.

Témoignage deMadeleine Gaillard,

résidente à Saint-Thibault :

«Les séances m’ont beaucoupdétendue. 30 minutes après laséance, je me sens soulagée auniveau des épaules qui me fonthabituellement très mal. L’idéalpour moi serait d’avoir quatreséances par semaine».

Pamela BAUDET (praticienne) et Madeleine GAILLARD (résidente).

Séance détente pour Madeleine GAILLARD.


Séances d’aromatologie à Saint Thibault Pour leur bien-être, les résidents de Saint-Thibault peuvent aujourd’hui bénéficier

de séances d’aromatologie… Petit tour d’horizon avec Pamela, praticienne.

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Article rédigé par Marie-Claude Beaujon, CorCom de Laulade à Budelière (Creuse)

Un groupe de rédaction s’est mis enplace mais reste ouvert à tous. Chaquebonne volonté et toutes les idées sontles bienvenues. Ainsi le groupe se réunittous les quinze jours afin de préparer denouveaux sujets.

De véritables artistes, la couverturedu premier numéro a été dessinée parun résident très doué en dessin(L’homme au tambour… Avis à la popu-lation !).

Chaque édition comporte des sujetsdivers et les résidents ont de bien nom-breuses idées car le temps passe maisles souvenirs restent bien gravés dansleur mémoire. Ils font partager auxautres leurs écrits en espérant qu’ilssoient lus avec plaisir.

Voici quelques sujets retracés dansles revues. Les saisons sont évoquées,comme l’automne avec tout ce qui lecaractérise : la rentrée scolaire, le tempsdes feuilles mortes, des marrons, deschampignons, l’ouverture de la chasse…

Mais également des articles plusémouvants : un résident a retracé labataille de la Marne racontée par sonpère. Mais aussi des souvenirs d’enfan-ce : la première rentrée scolaire d’unerésidente avec son cartable confection-né par son grand père. Ou encore

d e s s o u v e n i r s d evacances à la neigeet d’une premièreexpérience de ski.Mais aussi quelquessujets moins sérieux,des petites blagues,histoire de se distrai-re et d’échapper un

peu à tous ces récitsd e l a g u e r r e q u ireviennent souvent.Mais nous pensonsaussi à nos papillesa v e c q u e l q u e srecettes de cuisinecomme la tête deveau, le pâté à la

viande, la gelée de coings, de quoi nousmettre l’eau à la bouche !

Tous les résidents attendent avecimpatience le prochain numéro. Ungrand merci à Myriam, à Lucille et àtous les résidents participant à la réalisa-tion de « La Voix des Anciens ».

Les 4 premiers numéros.


Les Anciens donnent de la voix à Laulade !

Depuis un an, Laulade a donné naissance à un journal baptisé « La Voix des Anciens ».C’est grâce à Myriam, animatrice, et Lucille, psychologue, que ce document a vu le jour.

Il se veut trimestriel, conçu à 100% par les résidents, pour les résidents ainsi que leurs familles.

Lecture d'un article.

Rédaction d'un article.

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Propos recueillis auprès de Florine Carrère, ergothérapeute ReSanté-Vous et Danielle Royer, animatricepar Anne Maillard, Directrice du Pré St Jean à Saint-Jean-de-Sauves (Vienne)

Comment vous est venue l’idée dece projet de jardin thérapeutique ?

De manière générale, le jardin estune activité qui a été pratiquée par denombreux résidents. En effet, les per-sonnes accueillies viennent majoritaire-ment de milieu rural et avaient donc uncontact privilégié avec la nature, l’agri-culture et le jardin. C’est pourquoi,nous souhaitons recréer ce contact parle biais d’un jardin thérapeutique. Deplus, la résidence du Pré Saint Jean dis-pose d’un espace extérieur importantqui permet la mise en place d’un telprojet.

Comment pensez-vous mettre enœuvre ce projet et qui pourra y par-ticiper ?

Le jardin thérapeutique consiste àcréer des espaces de jardinage acces-sibles aux résidents de l’EHPAD et del’Unité de Vie Protégée.

Le principe est de créer des jardi-nières extérieures de légumes, fruits etfleurs et des jardinières intérieures deplantes aromatiques par exemple.

Ce jardin doit être pensé pour êtreadapté aux personnes marchantes et enfauteuil roulant afin que l’ensemble desrésidents puissent en profiter.

Quelles sont vos attentes de ceprojet ?

La mise en place de cette activité dejardin thérapeutique permettrait :

de raviver certaines sensations•oubliées ou perdues, de favoriser une activité physique, •de travailler sur différentes fonc-•tions cognitives, de favoriser le bien-être des rési-•dents.

L’ensemble des résidents sera invitéà participer à cette activité, ainsi que lespersonnels soignant et non soignant.Sans oublier les familles qui voudraientprofiter d’un moment privilégié avecleurs parents.

Quand pensez-vous le réaliser ?Ce projet est toujours en cours

d’élaboration, mais nous l’espérons,sera finalisé pour le printemps et lespremières semences.

Les initiatrices du projet : Danielle Royer, l’animatrice en formationet Florine Carrère, l’ergothérapeute de ReSanté Vous.

L’actuel jardin du Pré Saint Jean.

Nos modèles de jardins thérapeutiques.


Un projet de jardin thérapeutiqueau Pré Saint Jean

Pour chacun d’entre nous, le jardin évoque, tantôt le potager de la maison avec son cortège defruits et légumes, tantôt l’environnement propice à la promenade et la détente. Sous l’impul-sion de Danielle Royer, animatrice au Pré Saint Jean et de Florine Carrère, ergothérapeute pourReSanté Vous, un jardin thérapeutique verra le jour d’ici quelques semaines au sein de l’établis-sement. Retour sur la genèse du projet.

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Cette formation est composée decinq musiciens d’origine creusoise maisdont le talent a dépassé le départe-ment.

Il est à noter que le trompettiste fai-sait partie de l’orchestre d’Olivia Ruiz àl’occasion de sa dernière tournée. Lejoueur de washboard est membre de la

Fédération Nationale des Groupes etOrchestres de France.

Pour débuter cet après-midi, unmusicien a expliqué l’origine du jazz etprésenté chacun des instruments : saxo-phone, trompette, washboard (plancheà laver) et soubassophone, les deux der-niers étant souvent méconnus du public.

Au programme : de grands stan-dards rendant hommage à d’illustresmusiciens tels que Kings Olivier, LouisArmstrong, Jimmy Noone…

Ce jazz band dans la pure traditiondes formations « hot » des années1920-1930 a enchanté les résidents deLas Mélaïes, ceux de Laulade invitéspour l’occasion, ainsi que des résidentsd’une MAS voisine.

La musique de jazz n’a laissé person-ne indifférent, elle a été une découvertepour une majorité des participants,pour d’autres elle fut l’occasion de seremémorer les soirées parisiennes deleur jeunesse.

Une prestation de choix qui a entraî-né un public ravi de taper des mains,claquer des doigts et danser.

Sans oublier le final où musiciens,résidents et personnel, ont dansé dansla salle sous les applaudissements desspectateurs.

Tous en redemandent encore dujazz, du jazz…..pour swinguer !

Ça a swingué dans nos salons !

Les cinq musiciens sont d’origine creusoise.


Concert de jazz à Las MélaïesDans le cadre du partenariat entre Las Mélaïes et Musique en Marche, association qui permetaux établissements sociaux et médico sociaux de la Creuse de faire entrer la musique de toushorizons dans les EHPAD, l’orchestre de jazz « Caïman Swing » s’est produit à la résidence.

Article rédigé par Sylvie Pardoux, CorCom de Las Mélaïes à Bonnat (Creuse)

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Pour célébrer cet événement, lastructure a organisé une journée festiveavec un repas ouvert aux familles et aupersonnel, suivi d’un spectacle cabaretet d’un bon goûter. Toute l’équipe de laPresqu’île et les résidents ont participéaux préparatifs afin de rendre cet évè-nement inoubliable. Il y a même eu dessurprises…

Cet évènement a procuré beaucoupd’émotions et d’enthousiasme pour cer-tains résidents et membres du person-nel qui sont présents depuis l’ouverture.A cette occasion, une rétrospective dephotographies fut exposée au sein de larésidence afin de retracer, année parannée, la vie de la résidence.

En conclusion, ce fut une jolie fêtequi s’est peaufinée et aussi une trèsbelle occasion pour inviter et remerciertoutes les personnes qui s’investissentde près ou de loin à la vie de la résiden-ce, notamment les familles, le person-nel, les résidents, les partenaires, lesintervenants et les bénévoles.

Rendez-vous sur la page Facebookde l’AFP pour lire l’article que La

M a r s e i l l a i s e n o u s a c o n s a c r é e ndétaillant ce bel évènement.

Le 4 décembre 2004, journée d’ouverture, avec Marie-Christine Tournier, ancienne directricede la Presqu’Île, et Jean-Louis de Boissezon, ancien directeur général de l’AFP.

Décembre 2004, 1er Noël à la Presqu’Île, avec l’équipe soignante (Eva, AAPAD au premier plan) et les résidents


La résidence la Presqu’île amagnifiquement préparé ses 10 ans

Déjà 10 ans ! Le jeudi 4 décembre 2014, la résidence la Presqu’île a fêté ses 10 ans.Une fête pleine d’émotions et de souvenirs !

Article rédigé par Clémentine Bessahraoui, CorCom de La Presqu’Ile à Port-de-Bouc (Bouches-du-Rhône)

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Article rédigé par Françoise Dumain, CorCom du Clos Saint Roch à Montpon-Ménestérol (Dordogne)

Ainsi, depuis le mois de mai,Thibault Ingels intervient gratuitement

tous les mardis matin lors de la séancede gym douce. Une quinzaine de rési-

dents participe à chaque séance : exer-cices avec des cerceaux, lancer de bal-lon, petits étirements, renforcementsmusculaires doux… et tout cela dans labonne humeur !

Des après-midi de promenade sontaussi organisés en sa compagnie car lamarche est aussi un bon exercice pourrester en forme.

Nos résidents pourront profiter delui jusqu’à avril prochain puisque soncontrat est d’une durée d’un an. Maispeut-être pourra-t-il bénéficier detemps supplémentaire, voire indétermi-né ? Ce qui ferait très plaisir à nos rési-dents.

Merci à ce jeune éducateur pour laremise en forme hebdomadaire de nosrésidents. Merci aussi à la municipalitépour ces gracieuses interventions !


Un éducateur sportifau Clos Saint Roch

La mairie de Montpon Ménestérol a embauché un jeune éducateur sportifen Contrat Insertion depuis avril et a proposé ses services aux deux EHPAD de Montpon.

Thibault nous entraîne chaque semaine.

Exercices dans la bonne humeur.

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Nous sommes allés dans les boisramasser quelques châtaignes. Puis,après avoir eu les doigts « piqués » parles bogues de châtaignes, nous avonsdécidé d’organiser une « veillée » auxchâtaignes.

Cela permettant, cette fois-ci, à tousles résidents qui le souhaitent de pou-voir participer.

Nous avons choisi la méthodeancienne pour les faire cuire : la cuissonau diable. Pour cela, nous avons alluméla cheminée dès le matin pour qu’il y aitun joli brasier.

Une fois les châtaignes préparées,nous les avons mises dans le diable etenfournées plusieurs minutes dans lacheminée.

Après s’être un peu « brûlé » lesdoigts, chacun a pu savourer les châ-taignes accompagnées d’un verre decidre. L’ambiance était chaleureuse etles résidents ravis…

Préparation des châtaignes avant la cuisson.

Epluchage des châtaignes.Cuisson au diable dans la cheminée.


La “veillée” aux châtaignes du Clos des Tours A l’automne, les fruits commencent à tomber…

Article rédigé par Céline Bovani, CorCom du Clos des Tours à Villefagnan (Charente)

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Article rédigé par Laurence Laborde, CorCom des Logis du Nivernais (Nièvre)

Le matin, l’effervescence était demise, les résidents se sont mis sur le 31et attendaient impatiemment queChristiane vienne les chercher dans lesdifférentes structures pour rejoindre laMaison des Fées de Dornes.

Une fois arrivés sur place, un bonrepas les attendait et la convivialité étaitprésente ; certains faisant connaissance,d’autres se retrouvant.

A la fin du repas, le bal a été ouvertpar Monsieur Dordain, très bon dan-seur, tel John Travolta dans Grease, quis’est élancé sur la piste. Au programme,tangos, valses, cha-cha-cha et autrestwists ; rien de tel pour assouplir les arti-culations et faire tourner les têtes !

Quelques petites pauses s’impo-saient car le rythme endiablé fatiguaitles jambes mais les pauses n’étaient pasde tout repos non plus car un tour dechant fut organisé et les résidents ontrepris en chœur :

A Joinvill' le PontPon ! Pon !Tous deux nous ironsRon ! Ron !Regarder guincherChez chez chez Gégène

Et autres comme « Viens poupoule »,« Le plus beau tango du monde », « Lesamants de Saint-Jean », etc.

Pour l’occasion, un beau et bongâteau a été dégusté et, autant vousdire, qu’il était le bienvenu. Après s’êtrebien restaurés, l’énergie était à nouveauau rendez-vous et, hop, les incondition-nels de la danse étaient à nouveau surla piste et notre danseur, MonsieurDordain, a invité Christiane pour untango langoureux et renversant !

« Je m’en rappellerai longtemps,nous confie Christiane, car j’ai vu le solde près ».

L’après-midi fut très agréable et trèsapprécié de tous. Que ce moment cha-leureux revienne le plus souvent pos-sible, tel est le souhait de nos résidents.

M. Jacques Jeandeaux, Mme Gisèle Fonverne, Mme Denise Battut, résidente des Fées, Mme Eugénie Louet.

Mmes Gisele Fonverne et Alice Badin residentes des Pres - Mme Eugenie Louet, residente des Huis.


Après-midi guinguetteaux Logis du Nivernais

Le 21 novembre dernier, Christiane, notre animatrice, a réuni plusieurs résidents à Dornesdans le cadre du bal musette.

Christiane Vigier, animatrice, et M. JacquesJeandeaux, résident des Fées.

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Article rédigé par Angélique Jerinte, CorCom de La Péronnière à La Grand’Croix (Loire)

Tout a commencé par un déména-gement de la salle à manger au salond’animation, suffisamment grand pouraccueillir tous nos résidents à table. Puisune cuisine temporaire a été installée enlieu et place d’une partie de la salle àmanger. Notre cuisinier Sébastien a puy installer sa réserve, ses frigos, sescongélateurs et son (min i ) p iano.Plusieurs mois furent nécessaires pourrégler chaque détail, avec l’aide denombreux membres du personnel, jus-qu’à ce qu’enfin Sébastien y mette unetouche finale en allant se choisir unbureau chez Ikéa.

Mais il nous restait la réfection de lasalle à manger à réaliser afin d’y donnerun (grand) coup de peinture et d’instal-ler de nouvelles dalles de plafond et denouveaux lustres pour agrémenter letout. Cela s’est fait aussi grâce àChristiane qui a adapté le programmedes animations en fonction des lieux.

Ensuite, les veilleuses de nuit, aidéesde Nahima, ont décapé tout le sol de lasalle de restaurant afin de lui rendretout son lustre.

Ainsi, le jeudi 16 octobre fut LE jour :le dernier déménagement eut lieu pourremettre les tables à leur place. Les rési-dents ont donc eu l’agréable surprisede se restaurer à nouveau en salle àmanger. Notre directeur Hugues deVergnette effectua un discours et unapéritif fut servi pour l’occasion.

Que ce soit pour les résidents ou lepersonnel, le schéma fut le même : lesanciens retrouvaient leurs quartiers,pendant que les nouveaux les décou-vraient. Certes, il reste quelques petitsdétails de décoration (vraiment minimes)à faire, mais le principal est là : nousnous sommes mis au goût du jour. Etsurtout, nos résidents sont heureux.N’est-ce pas le principal ?

N o u s a u r o n s a p p r i s p l u s i e u r smaximes grâce à ces travaux : tout vientà point à qui sait attendre ; rien ne sertde courir, il faut partir à point. Mais lameilleure à retenir reste : la patience est

mère de toutes les vertus. Nous savonsdésormais apprécier au plus haut pointce que nous avons.

Sébastien et Lucas, les cuisiniers de la Péronnière.

La nouvelle salle de restaurant.


La cuisine et le restaurant deLa Péronnière ? Deux jeunes beautés !

Je vous en ai souvent parlé lors des différentes brèves : nos travaux.C’est maintenant l’occasion de clore le sujet en rappelant combien tout le mondes’y est mis pour les faire avancer, pour le plus grand bonheur de nos résidents.

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Article rédigé par Stella Royer, CorCom de Pierre Péricard à Civaux (Vienne)

Quelles ont été tes premièresexpériences professionnelles ?

J’ai travaillé dans divers restaurantscomme serveuse dans le départementd e l a V i e n n e ( C h a u v i g n y , D i s s a y ,Montamisé). Et puis, j’avais beaucoupa i m é ê t r e a n i m a t r i c e r a d i o F M àMazerolles. Enfin, j’ai aussi été aide-cantinière dans des écoles primaires, àSainte Radegonde, Jardres et Bonnes.La première fois que j’ai travaillé en mai-son de retraite, c’était pour des rempla-cements de nuit.

Comment as-tu été recrutée àl’AFP ?

Le Clos Adler de Valdivienne passaitde Foyer Logement à EHPAD en 2002.J’y ai fait un stage, et j’ai été ensuiterecrutée pour un poste de nuit. Je suisrestée cinq ans au Clos Adler.

Le 15 novembre 2010, je suis arrivéeà Pierre Péricard à Civaux, en tantqu’ASH, à mi- temps au début, aumoment de l’ouverture.

E n j u i n 2 0 1 1 , o n m ’ a p r o p o s éu n e F o r m a t i o n A A P A P D ( A g e n td ’ A c c o m p a g n e m e n t A u p r è s d e sPersonnes Agées Dépendantes, recon-nu niveau 5 par l’Etat). Cela se passes u r c i n q m o d u l e s , p a r e x e m p l e ,Mobilisation, Diététique, Hygiène…

Et ensuite la Formation d’AideMédico-Psychologique ?

J’ai demandé cette formation à ladirection, ce qui m’a permis d’avoir unposte « en soins » ; et c’est ma collègueCathy Hédouin qui m’a formée sur leterrain.

Ma formation AMP a commencé enoctobre 2012, jusqu’en mars 2014.C’est en situation d’emploi, sur 18 mois :c’est-à-dire, une semaine de cours parmois, avec un stage d’un mois (lieu destage dans un autre domaine que celuide la personne âgée).

Qu’est-ce que cette formation(AMP) t’a le plus apportée ?

C’est une formation basée sur lerelationnel, le social, la psychologie…c’est ce qui m’a le plus intéressé !Aujourd’hui, j’ai plus confiance en moi,j’ai gagné en assurance dans mon tra-vail au quotidien. Enfin, je suis soulagéed’avoir obtenu mon examen. J’y avaispassé beaucoup de temps et d’énergie,dans la préparation des dossiers parexemple. La directrice, ainsi que mescollègues m’ont bien félicitée, et je suisheureuse d’avoir pu, à mon âge, avoir

cette opportunité d’évolution profes-sionnelle. Je reste toujours ouverte àdavantage de savoirs, de compétencespour me perfectionner dans monmétier.

L ’ A F P p r o p o s e p a s m a l d e f o r m a t i o n s e n i n t e r n e , t e l s q u e« Accompagnement de Personnes enFin de Vie » ou « Prise en charge despersonnes atteintes de la maladied’Alzheimer ou apparentées » …


Patricia, employée à Pierre Péricard : sonparcours, son évolution professionnelle Patricia Antigny, 44 ans, est salariée à l’Association des Foyers de Province depuis 12 ans.Mais, depuis quelques semaines, elle est jeune diplômée Aide Médico-Psychologique,

à la résidence Pierre Péricard de Civaux.

Gaël, depuis quand joues-tu de laguitare ?

Depuis l’âge de 14 ans, je joue éga-lement du djembé et de la batterie. J’aiun style plutôt métal (Nirvana, ACDC...).Je compose aussi mes chansons.

A quelle fréquence pratiques-tula musique ? As-tu pris des cours ?

Je n’ai pas pris de cours. J’essaye deprendre un peu de temps tous les jours.De 1996 à 2002, je jouais dans un grou-pe, il nous arrivait de nous produire enpublic.

Aujourd’hui, je joue principalementpour mes amis et mes enfants. Je trou-verais d’ailleurs ludique, d’emmener unjour ma guitare, pour présenter madeuxième passion, après la cuisine, auxrésidents de l’EHPAD.

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Pourquoi courir ? Après avoir pratiqué un sport collec-

tif (handball) pendant 12 ans, je mesuis dit pourquoi ne pas courir ? J’aicommencé par des petits footings de20 minutes, puis j’augmentais le tempsde course de 5 minutes pour vite arriverà des sorties de 45 minutes. Ensuite, j’aicommencé à faire du dossard, c’est-à-dire des courses organisées par desclubs de course à pied sur des distancesde 5 km, puis 10 km, et pourquoi nepas aller jusqu’au semi-marathon.

Objectif atteint, semi-marathon deParis réalisé. Et, lors d’une soirée entrecopines, nous nous sommes lancées unpari : et si on faisait le Marathon deParis en 4h ?

Après 3 mois d’entrainement, c’estpari tenu, je suis marathonienne !

Cours-tu seule ou en groupe ?Courir seule n’est pas toujours très

motivant. Alors depuis une dizained’années, je suis licenciée à un club decourse à pied sur Vouillé, l’AS VOUILLE86, qui compte 78 adhérents aujour-d’hui, dans lequel je suis membre dubureau (secrétaire adjointe).

J’ai besoin de me lancer des défispour avancer mais aussi pour voirjusqu’où je peux aller !

Depuis deux ans, j’ai laissé un peude côté les chaussures de running pourchausser des baskets de trail. Le trail estune course dans un environnementnaturel (montagne, forêt, désert, plai-ne…). Quel bonheur de pouvoir couriret admirer le paysage en même temps.Un paysage qui peut varier selon lacourse choisie, prendre le départ avec lesoleil et plus on monte en altitude etplus on a des chances de trouver de laneige dans les sommets.

Grâce au trail, j’oublie le quotidien,je suis dans un autre univers, j’évacuetout stress, je ne pense plus à rien, jeprofite de ce merveilleux moment. Oui !Il y a de la souffrance physique, maistout est dans le mental. Le meilleurmoment est lorsqu’on franchit la ligned’arrivée et qu’on se dit : je l’ai fait !

Une année 2015 encore chargée deprojets en commençant par un trailhivernal (Puy de Sancy), suivi d’un trailnocturne de 39 km (Poitiers), puis d’ untrail de 57 km dans l’Ardèche, d’un pro-jet personnel de faire une partie du

Mont Blanc (150 km) en 4 jours, puispour finir, un trail de 75 km dansl’Aveyron.

Courir est une vraie passion et l’es-sentiel est de prendre plaisir à chaquecourse.

Gael Cuabos, cuisinier en CDI, musicien en herbe, pratique la guitare, le djembé et la batterie.

Article rédigé par Emilie Gaston, CorCom du Belvédère Ste Clothilde à Vouillé (Vienne)

Patricia Chargelègue, assistante de direction ne compte pas ses efforts lors de la course à pied.

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Article rédigé par Bernard Moyart, Directeur de Roger Rémondet à Saint-Claud (Charente)

Chloé Nadon est volontaire en servi-ce civique. Au sein des ArchivesDépartementales, elle a une mission desoutien à la valorisation de la mémoiredu territoire.

Chloé nous a proposé différentsthèmes parmi lesquels nous avons choisi :

les foires et marchés d’autrefois,•l’agriculture locale d’autrefois,•l’école d’autrefois.•

Sur chaque thème, elle nous aamené des photos d’époque, des cartespostales et des images projetées surécran. Chloé apportait des commen-taires et très rapidement elle n’était plusseule à prendre la parole. Les résidentsprésents s’exprimaient et chacun, en

fonction de ses souvenirs, nous précisaittel ou tel détail… Très vite, les languesse délient et histoires et anecdotes pas-sionnantes sont ainsi racontées.

De plus, comme il n’est pas rare queplusieurs résidents soient originairesd’un même secteur géographique, d’unmême village, certaines histoires serecoupent et font surgir d’autres préci-sions, d’autres souvenirs… Des poésies,des poèmes appris sur les bancs del’école sont revenus en tout ou partie…

Sans compter que nous avons aussides résidents férus d’histoire, venus par-ticiper avec des livres sur l’histoire decertains villages locaux. A revoir desphotos de telle ou telle rue de Saint-Claud, telle place de Confolens avec desfaçades de maisons, de magasins et ate-liers, des noms de familles et prénomsde personnes connues lorsque nousétions plus jeunes reviennent…

«Te souviens-tu du Roger qui tenaitl’épicerie ? et de la Jeanne qui ne rataitjamais la foire de Chasseneuil ? ».

D’histoires en histoires, il y a eu uneséance où Chloé avait, depuis long-temps, remballé ses affaires, cartes pos-tales, dit au revoir, remercié l’assemblée

et repris la route vers Angoulême queles échanges et discussions conti-nuaient.

Chloé nous a présenté des images etsouvenirs du Département correspon-dant aux années trente et quarante sansaborder la dernière guerre.

Il y a bien eu quelques résidents quiont déploré que la présentation effec-tuée par Chloé n’était pas assez orien-tée sur “chez-nous“, sur notre petit sec-teur géographique du Confolentais.Tout de même, tous les présents étaienttrès contents de ces après-midis, cesbavardages, ces souvenirs…

Merci Chloé !


Souvenirs de jeunessepour Roger Rémondet

Au cours de trois après-midis, une jeune personne des Archives Départementalesest venue présenter des photos et diapositives.

Angoulême, le Champ de Foire.

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Article rédigé par Florence Delage, CorCom des Aures à Chabanais (Charente)

Déjà la veille, plusieurs résidentsavaient mis la main à la pâte pour pré-parer le dessert et confectionner de

délicieux petits gâteaux marocains,sucrés et moelleux aux amandes, appe-lés M’Hancha.

Le lendemain, lorsque le moment durepas est arrivé, quel enchantement dese retrouver quelques heures dans unpays aux milles couleurs ! Un menuriche de la gastronomie marocaine,servi par un personnel féminin vêtupour l’occasion de somptueuses djella-bas.

Les résidents avaient les yeuxpétillants en les voyant arriver. Un pota-ge « Harira » copieux et quelque peupimenté a été servi dans un premiertemps, suivi d’un gigantesque cous-cous… et qui s’est terminé par lesfameux gâteaux préparés la veille.

Cette journée différente de l’ordinai-re, a été un très agréable moment deconvivialité et de gaité.

A bientôt pour une prochaine thé-matique qui nous fera à nouveau voya-ger dans de lointains horizons.


Voyage à Marrakech pour les Aures En cette période de l’année où la grisaille domine, il n’y a rien de mieux que d’apporter des instantsensoleillés et beaucoup de chaleur humaine… Ainsi aux Aures, une nouvelle fois, nous avons misen place un repas thématique : Voyage au Maroc, et plus exactement à Marrakech.

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Roselyne, parle-nous un peu de toi !J’ai 49 ans, une fille et deux petites-

filles. Je suis une personne dynamique,énergique, déterminée, volontaire etayant une grande conscience profes-sionnelle. Je m’adapte facilement auxdifférentes situations. Je suis patiente,tolérante et j’ai la tête sur les épaules.

Depuis quand travailles-tu ausein de l’AFP et quel poste occupes-tu ?

Je suis auxiliaire de vie, je travailleauprès des personnes âgées depuis1994 et dans le groupe AFP depuis2007 à la Résidence Le Pontreau StLucien, à Lencloître. Depuis le moisd’octobre 2014, j’occupe le poste d’ani-matrice, ce dont je rêvais depuis long-temps.

Tu envisages donc de te recon-vertir à temps plein dans l’anima-tion ?

Oui. Mon vœu de changement deposte étant exaucé, j’entrerai en forma-tion d’animatrice en gérontologie enseptembre 2015. Je souhaite atteindrele but que je me suis fixé en obtenantmon diplôme.

Pourquoi ce choix de travaillerauprès des personnes âgées ?

De tous les métiers que j’ai abordésdepuis l’âge de 17 ans, c’est bien celui-ci qui m’a permis de découvrir ma vraiepersonnalité et m’a procuré le plus deplaisir et de satisfactions. Ce métierd’aide aux autres m’a ouvert l’espritvers d’autres horizons, m’a fixé un butdans ma vie et donné l’envie de pour-suivre dans cette voie. J’ai l’amour demon métier, la foi et des convictionsprofondes dans ce que je fais. Je sais ceque j’apporte aux résidents et je sais cequ’ils attendent de moi. Je suis à leurécoute. Je partage beaucoup avec euxet ils me le rendent bien.

Atelier créatif.

Atelier décoration de Noël.

Portrait d’un métier

Roselyne Pillault, d’auxiliaire de vie à animatrice,un projet professionnel qui se concrétise ! Roselyne Pillault, auxiliaire de vie au Pontreau St Lucien se consacre désormais

entièrement à l’animation... Aujourd’hui, elle nous raconte son parcours au sein de l’AFPet nous fait partager l’amour de son métier.

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Que représente l’animation pourtoi ?

Pour moi, l’animation est un travaild’équipe, une continuité des soins dansleur globalité, faire du bien au moraldes résidents en leur faisant oublier l’es-pace d’un après-midi les maux du quo-tidien.

Pour moi l’animation c’est aussi tenirles résidents en éveil, susciter du désir,du bien-être et maintenir leur autono-mie. C’est un moment de plaisir, de par-tage et d’échange. C’est redonner dusens à la vie, le goût de vivre en respec-tant le choix et la liberté de chacun.

Guinguette anniversaire.

Portrait de Roselyne.

Portrait chinoisde l’animationselon Roselyne

Si l’animation était…

… une couleur Ce serait le rouge car c’est unecouleur vive, qui attire et quidonne envie. C’est le but del’animation : redonner de l’envie

… un animalCe serait le chien pour sa fidéli-té, son amitié et son écoute.L’animation c’est le rendez-vousattendu par les résidents, pourla bonne humeur, l’écoute etl’aide à tisser des liens.

… une fleurCe serait la rose pour le plaisirde sa beauté et de son parfum.L’animation est là pour contri-buer à rappeler les bons souve-nirs, les plaisirs simples à l’aidede nos cinq sens.

…un élémentCe serait l’air car l’animationpermet de prendre une boufféed’air dans la vie quotidienne,une bulle dans le temps où l’onpeut s’évader.

Entretien réalisé par Céline Verhaeverbeke - Cor Com du Pontreau St Lucien à Lencloître (Vienne)

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Article rédigé par Nadia Oulaldj, CorCom et Agnès Samoyault, Directrice adjointe de la Génollière - Nieuil-l’Espoir (Vienne)

Dans le cadre des bonnes pratiquesprofessionnelles, la direction a souhaité,en concertat ion avec les équipes,organiser deux réunions les 15 et16 décembre 2014 sur le rappel desprocédures et protocoles de nettoyage.

La première séance de travail qui aréuni aides-soignants, aide-médico-psy-chologiques, infirmière, technicien demaintenance, référente hébergement,s’est déroulée en deux temps : toutd’abord, un rappel sur l’utilisation desproduits, puis sur les procédures, lesprotocoles des ménages et la désinfec-tion de l’environnement proche du rési-dent (salle d’eau, chambre…).

Un soignant a donc réalisé, devantM. Berger et l’équipe, le ménage dansun studio afin de vérifier l’applicationdes bonnes pratiques et mettre à jour leprotocole existant. La séance s’est clô-turée par un temps d’échanges entre lescollègues et notre partenaire.

La deuxième séance de travail réuni-ra le personnel hébergement, le person-nel de nuit et les cuisiniers.

Au cours de cette réunion, nousaborderons les points suivants :

Révision des procédures d’entre-•tien par rapport aux protocolesmis en place,Désinfection des locaux,•Revoir l’utilisation des machines•(auto laveuse, monobrosse…),Revoir l’utilisation des produits•et points de vigilance,Contrôler l’état des chariots et•des équipements,Classeur des fiches de données•et de sécurité des produits, etc.

Ces deux réunions sont aussi l’occa-sion pour les équipes d’échanger sur les

méthodes de travail, d’obtenir desréponses à leurs interrogations et de

faire des suggestions en fonction desspécificités de l’établissement.

M. Berger de Serenium avec l’équipe de La Génollière.

Sous l’œil attentif de ses collègues, une soignante effectue les gestes du ménage quotidien.

Portrait d’un partenaire

Le partenariat Sereniumde La Génollière

Dans le cadre de notre partenariat avec la société Pro Hygiène Service, distributeur de produits etsystèmes d’hygiène et d’entretien depuis sept ans, Francky Berger est notre interlocuteur privilégié.

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Une page Viadéo, une page LinkedIn,un profil Google+, un compte Twitter,une chaîne YouTube… L’AFP est pré-sente sur tous les réseaux qui comptent,à commencer bien sûr par notre pageFacebook ! De toutes les pagesFacebook dédiées aux maisons deretraite, la nôtre est la plus interactivepuisque vous, personnels des rési-dences, êtes nombreux à « liker » lesphotos publiées chaque jour pourmettre à l’honneur les petits et grandsévénements qui ont lieu dans nos éta-blissements.

Nous tenons donc à remercier lesCorCom pour leurs envois réguliers denouvelles fraiches et sympathiques, quipermettent à chacun de nous de suivreau jour le jour la vie de nos 1500 rési-dents. De plus, cela nous permet denous faire connaître « à l’extérieur » etde valoriser ainsi nos métiers et notremission, de montrer que les valeursd’enthousiasme, de respect, d’écoute,

de recherche de la qualité, d’espritd’équipe et de professionnalisme sontincarnées au quotidien à l’AFP.

Nous vous invitons à renforcer cettedynamique en « aimant » notre pageFacebook et en invitant vos amis à l’ai-

mer aussi (fonction disponible sur lacolonne gauche de la page Associationdes Foyers de Province).

Notez qu’« aimer » la page nedonne aucun accès à votre profil per-sonnel ni à celui de vos amis, nous vousattendons donc encore plus nombreux !

Vous pouvez inviter vos amis Facebook à aimer la page !

La vie du Groupe

L’AFP est très connectée ! C’est un succès : dans le numéro d’octobre du Mensuel des Maisons de Retraite consacré au secteur

associatif, notre groupe a été mis à l’honneur pour son déploiement sur les réseaux sociaux.

Grâce à vous, cette belle histoire du Pontreaua été lue par plus de 1200 personnes !

Le Mensuel des Maisons de Retraite nous met à l’honneur.

Article rédigé par Alazaïs Dungelhoeff, Responsable de la Communication AFP

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Arrivée au sein de l’Association desFoyers de Province depuis le 1er avril2014, les 16 et 17 septembre sonnentpour moi comme le moment de ren-contre de tous mes nouveaux collègues.

Une première interrogation, avant la« grande rencontre », fut une préoccu-pation majeure, vous me l’accorderez :« comment vais-je devoir m’habillerdurant ces deux journées ? » !

Encore merci à Laurence Chateauqui a su me rassurer : « Nous sommessimples… ». Ouf, pas de rachat degarde robe !

Avec le soleil, le ciel bleu et la mer,nous sommes tous réunis pour deuxjournées de travail et de regroupement.Antoine Rolland est arrivé et a pris sesfonctions au Clos des Tours ; je ne suisdonc plus la dernière recrue.

Nicolas Utzschneider, DirecteurGénéral, introduit les deux journées detravail en nous amenant de manièreludique mais sérieuse à envisager l’ave-nir à partir de l’analyse économique, surles changements inhérents à nos orga-nisations et sur l’accompagnementnécessaires de ces derniers. Notrerichesse et notre force d’action résidentdans la connaissance de notre cœur demétier et de notre envie d’aller plus loin.

Le séminaire est au service de lacréation durant ces deux journées, tan-tôt inspiré par des apports théoriques etréflexifs, tantôt développé par nospropres travaux. Un premier tempsnous propose d’explorer l’éthique enmanagement. Comment manager avecéthique ou comment l’éthique peut-elle servir au manager dans son quoti-dien de travail ?

Le premier après-midi, ensoleillé, estconsacré à un temps de détente, nousdécouvrons tous ensemble Marseille.Ville haute en couleurs, en histoire, enbâtiments prestigieux et historiques, enpetites ruelles typiques… Je bénéficied’un second guide : le Dr Pierre Jeandel,à mes côtés, me raconte Marseille avecdes anecdotes historiques et humoris-tiques !

Un arrêt sur le site de la BasiliqueNotre-Dame de la Garde « La BonneMère » dixit les Marseillais, où unephoto de groupe sera prise.

Nous apprenons qu’un ex-voto del’AFP y est apposé. Petit à petit, aidés ounon, les uns et les autres dénichent l’en-droit où se situe la plaque que l’AFP aposé il y a de nombreuses années afinde remercier Notre-Dame de la Garde.Si vous êtes de passage à Marseille, jevous invite à votre tour à devenir cher-cheur…

La seconde journée débute par uneprésentation synthétique de chaquedomaine d’activités. Ce bilan me per-met de mettre en lumière des principesde fonctionnement, des objectifs atten-dus et à atteindre…. La fin de la mati-née se fera par ailleurs autour del’échange.

Le dernier après-midi nous amène àparler Qualité. Un point d’étape présen-té par Sylvie Cocco sur les évaluationsexternes avec la présence du respon-sable de 4AS. La plupart des établisse-ments ont réalisé leur évaluation exter-ne. Des points forts sont mis en exergue

et retrouvés dans la plupart des établis-sements. Les pistes d’amélioration nousconduisent à envisager les suites quiseront poursuivies sur les années sui-vantes.

Nous nous sommes installés dans lesrouages de la qualité, nous avons doncdémarré un travail sans fin mais telle-ment riche en réflexion, action, réajus-tement…

Je terminerai par un remerciementgénéral :A Madame Régine Girard et MonsieurBruno Valéry, pour leur accueil etleurs mots de bienvenue…A toutes les personnes qui ont contri-bué à l’organisation de ces deuxjours, merci pour la qualité de l’ac-cueil, des moments de convivialité etde l’hébergement. Un remerciement plus spécifique àLucienne Benoit-Filippi, qui a su cher-cher et faire les bons choix….A mes collègues, pour leur accueilchaleureux….

La traditionnelle photo de groupe s’est faite cette année sur les hauteurs de Notre-Dame de la Garde.

La vie du Groupe

Le séminaire annuel des directeursA la découverte de Marseille et au plaisir de faire connaissance avec tous mes collègues.

Article rédigé par Angélique Deliot – Directrice de la Source à Souvigny (Allier) et des Logis du Nivernais (Nièvre)

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- Le 13 août 2014 : Tilio, fils deTristan QUINT, Animateur à laBastide des Lavandins ;

- Le 18 août 2014 : Shérine, fille deSoumia MEBRECK, auxiliaire de vie àLa Presqu’Ile ;

- Le 29 août 2014 : Zoé, fille dePrescilla LEBRETON, Agent de servicehôtelier aux Doucets ;

- Le 23 septembre 2014 : Charlie, filsde Marie-Laure MICHEL, Responsabledu service juridique et administratifau Siège ;

- Le 25 septembre 2014 : Lana, fillede Christelle CHARBONNIER,Secrétaire à l’Abbaye ;

- Le 06 Octobre 2014 : Kalvin, fils deSandrine BREMAUD, Agent de servi-ce hôtelier au Pré Saint Jean ;

- Le 28 Octobre 2014 : Élina, filled’Elodie DESCOUT, Infirmière à LasMélaïes ;

- Le 22 novembre 2014 : Juliette, fillede Tom SEVEZ, Responsable ducontrôle de gestion et des systèmesd’information au Siège.

MARIAGESTous nos vœux de bonheur !Le 28 juin 2014 :- Camille BAUTERS, Assistante de

Gestion, à la Bastide des Lavandinsépouse Jean-Charles TEYSSIER ;

Le 16 Août 2014 :- Sonia HALARD, Aide Médico-

Psychologique aux Logis duNivernais, épouse Martial HABOU ;

Le 23 août 2014 :- Nadia DARDILLAC, Agent de Service

Hôtelier au Clos Saint Roch, épouseDavid DESMAISON ;

Le 6 septembre 2014 :- Nismat AOUBAGUI, Aide soignante à

la Bastide du Chevrier, épouseUyasheslav HREHORCHUK ;

Le 27 septembre 2014 :- Vanessa HOHM, Auxiliaire de vie à la

Source, épouse Christophe MARTEL ;

Le 18 octobre 2014 :- Stella PUGGIONI, Agent de service

hôtelier à la Bastide des Lavandins,épouse Victor MASSANGO ESSAPA ;

Le 22 novembre 2014 :- Geneviève DUBOST, Aide soignante à la

Péronnière épouse Thierry BLACHON.

N’hésitez pas à donnerdes photos à votre Corcom pour égayer cette rubrique !

Rubrique rédigée par Camille Santoni, CorCom Ressources Humaines et tous les Corcoms

Clara

Tilio

Charlie

Juliette

Lana

Élina

Camille et Jean-Charles

Vanessa et Christophe

Sonia et Martial

Roméo

Lorenzo

pascale tabard - afp residences retraite · pour les résidents des baux-de-provence p6 le salon de...

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