parlez moi de la creation

8/14/2019 Parlez Moi de La Creation

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Au nom de Dieu, le Tout Misricordieux,le Trs Misricordieux


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PARLEZ-MOIDE LA CREATION

En rfutant la thorie de lvolution,les preuves scientifiques dmontrent que

tous les tres vivants ont t crs par Dieu.

HARUN YAHYA


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A PROPOS DE L'AUTEUR ET DE SES UVRESL'auteur, qui crit sous le pseudonyme HARUN YAHYA, est n Ankara en 1956. Il a effectu desartistiques l'Universit Mimar Sinan d'Istanbul, et a tudi la philosophie l'Universit d'IstaDepuis les annes 80, il a publi de nombreux ouvrages sur des sujets politiques, scientifiques et lfoi. Harun Yahya est devenu clbre pour avoir remis en cause la thorie de l'volution et dnoncposture des volutionnistes. Il a galement mis en vidence les liens occultes qui existent entre le nisme et les idologies sanglantes du 20mesicle.Son pseudonyme est constitu des noms "Harun" (Aaron) et "Yahya" (Jean), en mmoire de ces dephtes estims qui ont tous deux lutt contre la "mcrance". Le sceau du Prophte (que la bndicla paix de Dieu soient sur lui) qui figure sur la couverture des livres de l'auteur, revt un caractre bolique li leur contenu. Ce sceau signifie que le Coran est le dernier Livre de Dieu, Son ultimeet que notre Prophte (que la bndiction et la paix de Dieu soient sur lui) est le dernier maillonchane prophtique. En se rfrant au Coran et la Sounna, l'auteur s'est fix comme objectif d'anles arguments des tenants des idologies athes, pour rduire au silence les objections souleves

la religion. Le Prophte (que la bndiction et la paix de Dieu soient sur lui) a atteint les plusniveaux de la sagesse et de la perfection morale, c'est pourquoi son sceau est utilis avec l'intentrapporter des informations essentielles.Tous les travaux de l'auteur sont centrs sur un seul objectif : communiquer aux autres le messaCoran, les inciter rflchir des questions lies la foi, telles que l'existence de Dieu, Son unicdel, et leur remettre en mmoire certains thmes importants.L'uvre de Harun Yahya est connue travers de nombreux pays, tels que l'Inde, les Etats-Unis, lade-Bretagne, l'Indonsie, la Pologne, la Bosnie, l'Espagne et le Brsil. Certains de ses livres sont nant disponibles dans les langues suivantes : l'anglais, le franais, l'allemand, l'italien, le portugaidu, l'arabe, l'albanais, le russe, le serbo-croate (bosniaque), l'ougour de Turquie, et l'indonsiennombreux lecteurs du monde entier les apprcient.Ces ouvrages ont permis de nombreuses personnes d'attester de leur croyance en Dieu, et d'ad'approfondir leur foi. La sagesse et le style sincre et fluide de ces livres confrent ces dernietouche distinctive qui ne peut manquer de frapper ceux qui les lisent ou qui sont amens les conLes explications fournies sont claires et laissent peu de place au doute, permettant ainsi d'enrichir ture du lecteur de donnes solides. L'auteur ne tire aucune fiert personnelle de son travail ; il esprlement tre un support pour ceux qui cherchent cheminer vers Dieu. De plus, il ne tire aucun bnmatriel de ses livres. Ni lui ni ceux qui contribuent publier ces ouvrages accessibles tous ne rde gains matriels. Tous dsirent uniquement obtenir la satisfaction de Dieu.

Si nous tenons compte de ces faits, nous pensons que c'est rendre un service inestimable la caDieu que d'encourager le plus grand nombre lire ces livres. Il ne fait aucun doute, qu'ils permetleurs lecteurs d'ouvrir les "yeux du cur" et par la mme de devenir de meilleurs serviteurs de DPar contre, encourager des livres qui crent la confusion dans l'esprit des gens, qui mnent au chaologique et qui, manifestement, ne servent pas ter des curs le doute, s'avre tre une grande petemps et d'nergie. Nous pensons que de nombreux ouvrages sont crits dans le seul but de mettvaleur la puissance littraire de leurs auteurs, plutt que de servir le noble objectif d'apporter auteurs la connaissance et de les loigner ainsi de l'garement. Ceux qui douteraient de ceci se rendro


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A L'AA L'A TTENTION DU LECTEUR TTENTION DU LECTEUR

Dans tous les livres de l'auteur, les questions lies la foi sont expliques la lumire dversets coraniques et les gens sont invits connatre la parole de Dieu et vivre selonses prceptes. Tous les sujets qui concernent les versets de Dieu sont expliqus de telle

faon ne laisser planer ni doute, ni questionnement dans l'esprit du lecteur. Par ailleursle style sincre, simple et fluide employ permet chacun, quel que soit l'ge ou l'appar

tenance sociale, d'en comprendre facilement la lecture. Ces crits efficaces et lucides pemettent galement leur lecture d'une seule traite. Mme ceux qui rejettent vigoureuse-ment la spiritualit resteront sensibles aux faits rapports dans ces livres et ne peuvent

rfuter la vracit de leur contenu.Ce livre et tous les autres travaux de l'auteur peuvent tre lus individuellement ou treabords lors de conversations en groupes. Les lecteurs qui dsirent tirer le plus grandprofit des livres trouveront le dbat trs utile dans le sens o ils seront en mesure de

comparer leurs propres rflexions et expriences celles des autres.Par ailleurs, ce sera un grand service rendu la religion que de contribuer faire

connatre et faire lire ces livres, qui ne sont crits que dans le seul but de plaire DieuTous les livres de l'auteur sont extrmement convaincants. De ce fait, pour ceux qui souhaitent faire connatre la religion d'autres personnes, une des mthodes les plus effi-

caces est de les encourager les lire.Dans ces livres, vous ne trouverez pas, comme dans d'autres livres, les ides personnellede l'auteur ou des explications fondes sur des sources douteuses. Vous ne trouverez pas

non plus des attitudes qui sont irrespectueuses ou irrvrencieuses du fait des sujetssacrs qui sont abords. Enfin, vous n'aurez pas trouver galement de comptes-rendus

dsesprs, pessimistes ou suscitant le doute qui peut affecter et troubler le cur.


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CONTENUUne opinion dsute : la thorie de lvolution 8

Lorigine de la vie 10La conception dans la protine 12La conception dans la cellule 14

Linformation gntique 16La conception dans la nature 18

Lexprience de Miller 20La conception errone de la slection naturelle 22

Les mutations 24Lirrductible complexit 26

Limpasse des formes intermdiaires 28La priode cambrienne 30Les poissons et les amphibiens 32

La conception errone du clacanthe 34Les reptiles 36

Les oiseaux et les reptiles 38La conception errone de larchoptryx 40

Les plumes doiseaux 42Lorigine des mammifres 44

Les fossiles vivants 46La lgende de lvolution de lhomme 48Laustralopithque 50

LHomo erectus 52Une race humaine disparue : le Neandertal 54

Leffondrement de larbre gnalogique 56Limpasse de la bipdie 58

De faux visages 60Le scandale de Piltdown 62

Pourquoi lvolution est-elle dfendue? 64Lvidente vrit : la cration 66Notes 70


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8 PARLEZ-MOI DE LA CREATION

Une opinion dsute:la thorie de lvolution

Lide que la vie est le produit dun processus de conci-dences incontrl et sans but, est un mythe du 19 me sicle.Considrant ce sujet sous le prisme rducteur de la sciencede cette poque, les volutionnistes prtendirent que la vietait trs " simple ".

I l existe plus dun million despces vivant sur terre. Comment ces cratuavec des caractristiques entirement distinctes et une conception parfaont-elles exist ? Quiconque utilise sa raison comprendrait que la vie estravail dune cration inimitable et suprme.Cependant, la thorie de lvolution renie cette vrit explicite. Elle soutienttoutes les espces sur terre ont volu les unes partir des autres travers un pcessus bas sur des vnements hasardeux.La premire personne adopter srieusement la question de lvolution ide qui prit ses racines dans lAncienne Grce tait le biologiste franais Baptiste Lamarck. La thorie de Lamarck, quil soutint au dbut du 19mesicle,considrait que " les cratures vivantes ont transmis les traits quelles avaacquis durant leur vie des gnrations suivantes ". Du point de vue de Lama

les girafes, par exemple, ont volu danimaux, une sorte dantilope, qui tirrent leurs cous pluencore en essayant datteindre les branches les plus hautes pour se nourrir. Cependant, lavnemela gntique rfuta de manire dfinitive la thorie de Lamarck.

Le second dfendre cette thorie aprs Lamarck tait unnaturaliste amateur britannique, le clbre Charles Darwin.Dans son livre Lorigine des espces, publi en 1856, ildclara que toutes les espces descendaient, par le fait de

LES DIFFICULTES DE DARWINCharles Darwin, un naturaliste ama-teur, avana sa thorie dans son livreLorigine des espces, publi en 1859. Ilavoua plusieurs points qui lembaras-saient dans le chapitre "Des difficultssur la thorie ", et esprait que cesproblmes seraient rsolus dans lefutur. Ce souhait, cependant, naabouti rien.

Jean B. Lamarck :La science a dmentisa thorie.


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Une opinion dsute: la thorie de lvolution

concidences, dun anctre commun. Daprs Darwin, les baleines, par exemple,ont volu des ours qui essayaient de chasser dans la mer.1Darwin avait de srieux doutes en mettant en avant ses affirmations. Il ntaitpas si sr de sa thorie. Ainsi, il avoua quil y avait plusieurs points quil taitincapable dexpliquer dans le chapitre intitul " Des difficults sur la Thorie ".Darwin avait espr que ces problmes soient rsolus dans le futur avec le pro-grs de la science, et fait quelques prvisions. Toutefois, la science du 20mesicle a rfut une une les affirmations de Darwin. Le point commun entre lesthories de Lamarck et celle de Darwin tait que les deux reposaient sur unecomprhension primitive de la science. Labsence, cette poque-l, dedomaines varis de la science telles que la biochimie et la microbiologie, a menles volutionnistes penser que les cratures vivantes avaient une structure

simple qui a pu se former par hasard. Etant donn que les lois de la gntiquentaient pas connues, il tait supposque les cratures pouvaient

simplement voluer ennouvelles espces.

Le progrs de lascience a dfaittous ces mythes eta rvl que les

cratures vivantes

sont le travail dunecration suprieure.

UN PRODUIT DE LA

SCIENCE PRIMITIVE-Quand Darwin avana sathorie, les connaissancessur les cratures vivantes

taient trs maigres. Etavec les microscopes de

faible puissance delpoque, il tait impos-

sible de voir les struc-tures complexes de la vie.

Darwin navait basses affirmations suraucune preuve concr-te ou dcouverte. Il aseulement misquelques observationset quelques ides. Ileffectua la plupart deses observations surun bateau appel leH.M.S. Beagle quimouillait au large dela Grande-Bretagne.

LE PROBLEME DU REGISTRE FOSSILELorsque Darwin a mis en avant sa thorie, ce sont les palonto-logues qui staient le plus opposs lui. Ils savaient que " lesformes transitionnelles intermdiaires " dont Darwin imaginaitlexistence, navaient jamais exist en ralit. Darwin espraitque ce problme serait solutionn par de nouvelles dcouvertesde fossiles. Au contraire, la palontologie invalidait chaque jourun peu plus la thorie de Darwin .


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P our beaucoup de gens, la question de savoir " si lhomme descend dusinge ou non " vient lesprit lorsque la thorie de Darwin est cite. Maisavant darriver cela, il y a de nombreuses questions auxquelles lathorie volutive a besoin de rpondre. La premire question est la suivante :comment le premier organisme vivant est-il apparu sur terre ?Les volutionnistes rpondent cette question en disant que le premier orga-

nisme fut une cellule qui mergea par hasard dune matire inanime. Selon lathorie, une priode o la Terre consistait en roches inanimes, terre, gaz, etc.,un organisme vivant se forma par hasard sous les effets conjugus du vent, dela pluie et de la lumire. Cette affirmation volutive, toutefois, est contraire lundes postulats fondamentaux de la biologie : la vie ne vient que de la vie, ce quisignifie que les matires inanimes ne peuvent gnrer de la vie.Croire que les matires inanimes peuvent produire la vie est vraiment une super-stition mdivale. Daprs cette thorie, appele " gnration spontane ", on croyaitque les souris provinrent naturellement du bl, ou bien que les asticots survinrent " spontment " de la viande. Au moment o Darwin mettait en avant sa thorie, la croyance que

microbes, de leur propre accord, se formaient de matires inanimes, tait aussi trs couranLes rsultats du biologiste franais Louis Pasteur mirent fin cette croyance. Comme il legna de manire lapidaire : " Laffirmation quune matire inanime puisse gnrer de la venterre dans lhistoire pour de bon. "2

LES CELLULESQUI SE DIVI-SENTLa rgle la plusfondamentalede la vie est leprincipe quinonce que " lavie provientuniquement dela vie ". Une

forme de vie nepeut survenirque dune autreforme de vie.

Lorigine de la vieLes volutionnistes soutiennent que les cratures vivantesse sont formes spontanment partir de matire inanime.

Cependant, cest une superstition mdivale contredisant les principales lois de la biologie.

Louis Pasteu


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Les protines sont les blocs de construction de la cellule. Si nous comparonscellule un norme gratte-ciel, les protines en sont les briques. Toutefois, nont pas une forme et une structure standards comme ces dernires. Mmecellules les plus simples ont peu prs 2.000 diffrents types de protines. Si la cellule peut survivrgrce au fonctionnement harmonieux extraordinaire de ces protines distinctes.Les protines sont faites de structures plus petites, ou de molcules appeles " aminoacides ", quformes par les diffrentes combinaisons faites datomes de carbone, de nitrogne et dhydrogneentre 500 et 1.000 aminoacides dans une protine moyenne. Certaines sont beaucoup plus grandeLe point le plus important est que les aminoacides doivent saligner dans un certain ordre pour foune protine. Il y a 20 diffrents types daminoacides utiliss dans les organismes vivants. Ces amcides ne se combinent pas au hasard pour former les protines. Chaque protine a une certaine daminoacides et cette srie doit tre relie avec prcision. Mme la carence ou le remplacement daminoacide transforme cette protine en une masse molculaire sans aucune utilit. Pourcette raison, chaque aminoacide doit tre au bon endroit dans le bon ordre. Lesinstructions pour cet ordre sont stockes dans lADN de la cellule et, selon cesinstructions, les protines sont produites.La thorie de lvolution affirme que la premire protine seforma " par hasard ". Toutefois, des cal-culs de probabilits montrent que cenest en aucun cas possible. Par

La structure complexe de lamolcule dhmoglobine

LARCHITECTUREDANS LES PROTEINES

Dune conception sophistique, lesprotines sont mises contribution

dans la conception de notre corps. Ainsi, noussommes principalement composs de protines. Elles sont le matriel de base de nos os, yeux,cheveux et muscles. Ici, vous voyez lorganisation intrieure complexe dune seule fibre danslun de nos muscles. Les cellules avec diffrentes compositions de protines forment chacunedes dtails que vous apercevez dans cette structure. Chaque dtail est parfaitement conu etconstruit grce lutilisation dun matriel organique, la protine. Larchitecture fascinante desprotines est lun des signes les plus frappants de la cration.

La conception dans la protine Mettons maintenant de ct la question " do provient la premire cellule ? " et posons une question plus facile :

" do provient la premire protine ? " La thorie delvolution na aucune rponse cette question non plus.


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1La conception dans la protine

exemple, la probabilit dune srie daminoacides dune protine faite de 500 aminoacides tant dans l bon ordre est d1 sur 10950. 5 10950est un nombre inimaginable form en plaant 950 zros aprs 1. Enmathmatique, une plus petite probabilit que 1 sur 1050est considre comme presque impossible.Brivement, mme une seule protine ne peut pas se former par hasard. Les volutionnistes admettentaussi ce fait de temps en temps. Par exemple, Harold Blum, un clbre scientifique volutionniste, dclare que " la formation spontane dun polypeptide de la taille de la protine la plus petite connue, sembleau-dessus de toute probabilit ".6Alors, que veut dire tout cela ? Perry Reeves, un professeur de chimie, rpond:

Lorsquon examine le grand nombre de structures possibles quipourraient rsulter dune simple combinaison hasardeusedaminoacides dans un tang primitif svaporant, cestpoustouflant de croire que la vie a pu provenir de

cette faon. Il est plus plausible quun grand entrepre-neur avec un plan directeur et une stratgie globaleaurait t requis pour une pareille tche.7

Ribosome

Chane de protines pliepar des enzymes

Allongementde la chanede protines

Re-traitement de lachane de protines

Forme finale de la proti

Noyau de la celluleLA SYNTHESE DE PROTEINEIl y a une activit continuelle quise produit dans nos cellules :dans la nourriture que nousmangeons, les protines sont cas-ses et ces morceaux, les aminoa-cides, sont recombins selon lescodes de lADN. Ainsi, les nouvellesprotines dont le corps a besoin sont fabri-ques. Cette opration appele " la synthse deprotine " est beaucoup plus complexe que cetteillustration simplifie. Aucun laboratoire nepeut russir la synthse de protine, aussi bienque la cellule.

Enzymesspciales

LES SINGES PEUVENT-ILSECRIRE UN LIVRE ?Cytochrome-C est le nom scientifiquedune des protines les plus impor-

tantes qui rend possible la respiration deloxygne. Elle est, ce titre, vitale pour lasurvie. Il est impossible pour la protine,qui a une conception extrmement complexe,de se former par hasard. Lun des minentsdfenseurs de lvolution en Turquie, le Pr. AliDemirsoy, dclare dans son livre " Hrdit etEvolution " que la probabilit de la formationpar concidence du Cytochrome-C est " aussi

improbable que la possibilit dun singe qui crit lhistoire de lhumanitsur une machine crire sans faire de fautes ". 8

La protineCytochrome-C

ARNmessager


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La cellule, dont mme uneseule protine ne peut seformer par hasard, est une

merveille de conception qui rend lhypothse de lvolution" par hasard " compltement insignifiante. Dans la cellule, ily a des centrales nergtiques, des usines complexes, unenorme banque de donnes, des systmes de stockage et desraffineries dveloppes.Au temps de Darwin, rien ntait connu sur lextraordinaire

structure de la cellule. Sous les microscopes de puissancetrs limite de cette priode, la cellule semblait tre unemasse obscure. Pour cette raison, Darwin ainsi que les autres volutionnistes de son temps croyquune cellule tait une simple gouttelette deau qui pourrait facilement provenir par hasard. Lidla vie pouvait tre attribue au hasard tait accepte cause de cette opinion scientifique primitiv


La conception dans la celluToutes les cratures vivantes sont faites de cellules.

Mme une seule cellule se suffit elle-mme ; elle

peut produire sa propre nourriture, bouger et com-muniquer avec les autres cellules. Avec son extraor-dinaire technologie, la cellule est la preuve concrteque la vie ne provient pas par hasard.

Chloroplaste

Chlorophylle

LA COMPLEXITE DE LA CELLULEDU CERVEAULe cerveau est dot de plus de 10.000 cellulesqui sont en interaction constante les unesavec les autres. Ce rseau de communicationest beaucoup plus complexe que toutes lescentrales du monde.

LES CELLULES DES PLANTESEn plus des cellules dhumains et dani-maux, la cellule des plantes est gale-ment un miracle de cration. La celluledes plantes effectue un processus quau-cun laboratoire nest capable deffectueraujourdhui : la photosynthse. Un orga-nite appel " chloroplaste " dans la cellu-le des plantes leur permet de produirelamidon en utilisant leau, le dioxyde decarbone et le soleil. Cette substance est lasource de nourriture de toutes les cra-tures vivantes. Les dtails de ce proces-sus extrmement complexe ne sont toujours pas connus aujourdhui.


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Les dveloppements scientifiques du 20me sicle, cepen-dant, ont rvl que la cellule possde un systme incroya- blement complexe. Aujourdhui, il est tabli que la cellule, quipossde une conception aussi absconse, naurait pas pu provenir parhasard comme laffirme la thorie de lvolution. Il est certain quune structuretrop complexe pour tre imite, mme par lhomme, ne peut tre le travaildun " hasard ". Le fameux mathmaticien et astronome britannique, le Pro-fesseur Fred Hoyle dcrit cette impossibilit de la manire suivante :

La possibilit que la plus haute forme de vie pourrait avoir merg de cette faon est comparable la possibilit quune tornade qui balaye sur son passage un dpt de ferrailleurpourrait assembler un Boeing 747 partir des matriaux qui sy trouvent.9

Et dans un autre commentaire, Hoyle ajoute :" En effet, une thorie pareille (que la vie tait assemblepar une intelligence) est si vidente que lon se demande pourquoi ce nest pas largement accept comme tant unevidence en soi. Les raisons sont psychologiques plutt que scientifiques. "10

Une celluleimmunitairecapturant lesmicrobes qui

se sont infiltrsdans le corps

UN AVION PEUT-IL SE FORMERPAR HASARD ?La cellule possde une conceptiontellement complique que le scienti-fique de renom, Fred Hoyle ( droi-

te) la compare un Boeing 747.Daprs Hoyle, tout comme unavion ne peut se former par hasard,une cellule ne le peut pas non plus.De surcrot, cet exemple met enrelief une vrit toute aussi impor-tante : bien que lhomme soitcapable de construire dnormesavions en utilisant son savoir et satechnologie, il nest toujours pascapable de produire la moindrepetite cellule.


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LADN est une norme molcule cache dans le noyau de chaque cellule vivante. Tous lesphysiques dune crature sont cods dans cette molcule hlicodale. Toutes les informaconcernant nos corps, depuis la couleur de nos yeux, jusqu la structure de nos organes intet la forme et les fonctions de nos cellules, sont recenses dans des sections appeles gnes en ADLe code de lADN est compos de sries de 4 bases diffrentes. Si nousattribuons chacune de ces bases une lettre, lADN peut tre compar une banque de donnes tablie partir dun alphabet de 4 lettres. Toutesles informations sur une crature vivante sont stockes dans cette banquede donnes.Si nous tentions dcrire les informations de lADN, cela prendraitapproximativement un million de pages, ce qui quivaut une encyclo-pdie 40 fois plus grande que" LEncyclopdie Britannique ", qui estlune des plus grandes accumulations de connaissances de lhumanit.Ces incroyables donnes sont stockes dans le minuscule noyau de nos

cellules mesurant peu prs un millier de millimtres de taille.Il a t calcul quune chane dADN assez petite pour remplir une cuill-re caf a la capacit demmagasiner toutes les informations contenuesdans tous les livres jamais crits.Bien sr, une pareille structure tonnante naurait jamais pu se former par hasard,ce qui prouve que Dieu a cr la vie. Pas tonnant que les volutionnistes soient

La structure de lADN fut dcverte par deux scientifiques no

ms Francis Crick et James Wson. Malgr que Crick soitvolutionniste, il affirma q

lADN naurait jamais pu se mer par pur hasa

Linformation gntiqueSaviez-vous que le noyau de chacune des trillionsde cellules composant un tre humain inclut une

banque de donne assez grande pour remplir uneencyclopdie de 900 volumes ?

LADN ninclut pas seule-ment le plan des cellulesmais galement lorgani-sation complte ducorps des craturesvivantes. Quilsagisse de la struc-ture de nos organesintrieurs ou de laforme des ailes dun

oiseau, tout est cod danslADN et ce, jusquau plus

petit dtail.

LE MIRACLE DE LA REPRODUCTIONUne bactrie, place dans un environnement ad-

quat, produira, en quelques heures, des cen-taines de copies similaires. En effet,

chaque cellule vivante a la possibilitde " se copier ".

Avant que lon connaisse lADN,ce processus tait inexplicable.Mais aprs cette importantedcouverte, il fut tabli que

chaque cellule vivante possdeune " banque de donnes " qui emma-

gasine toutes les informations sur elle-mme.Cette formidable trouvaille mit, une fois de plus,en exergue les merveilles de la cration.


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1Linformation gntique

T CG

La composition biochimique

dune fourrurede loup, son

paisseur, sa cou-leur ou linclinai-

son de ses poilssont encods

dans son ADN.

Chaque parcelle dinformation estdrive dune source intelligente

qui lamne la vie. Les fascinantesinformations dans lADN sont une

preuve de la sagesse suprme et dela puissance crative de Dieu.

incapables dapporter une explication lorigine de lADN ! Cependant,ils continuent dadopter lhypothse du " hasard " simplement pour garderla thorie en vie. Un biologiste molculaire australien clbre, Michael Den-ton, explique ceci dans son livreEvolution : ATheory in Crisis(Lvolution : unethorie en crise) :

Aux sceptiques, la proposition que les programmes gntiques des plus hauts orga-

nismes, consistant en quelque chose de prs de mille millions de morceaux dinfor-mations, quivalents la srie de lettres dans une petite bibliothque de millevolumes, contenant dans une forme code dinnombrables milliers dalgo-rithmes compliqus contrlant, spcifiant et ordonnant la croissance et ledveloppement de milliard et milliard de cellules sous forme dorganismecomplexe, ont t composs par un processus purement hasardeux, est sim-plement un affront la raison. Mais pour les dar-winistes, lide est accepte sans un murmurede doute le paradigme prend le pas !11

LADN a unalphabet de4 " lettres ".

LES INFORMATIONS DANS LHELICELa molcule dADN comprend des millions depaires de base organises sous une forme hlico-dale. Si une molcule dADN dans une seule denos cellules venait tre dplie, elle sallonge-rait sous la forme dune chane sur plus dunmtre de long. Cette chane, presse dans le

noyau de la cellule, nest pas plus grande quunecentaine de milliers de millimtres avec un syst-me " demballage " tonnant.A


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Ce poisson est dot dunsystme de chasse trsintressant. Il nutilise cesystme que dans dessituations spcifiques..

Lorsquil voit sa proie, il ouvre sanageoire suprieure. Elle est conuecomme un petit poisson jusqu sesplus petits dtails et ce, pour ne pasveiller de mfiance.

La conception dans la natureLe fait que les cratures vivantes aient des formes

parfaitement conues prouve quelles nont jamais pu

provenir par hasard. La conception de la nature est un signe clair de la cration.

Q ue penseriez-vous si vous sortiez en randonne dans leprofondeurs dune fort dense et que vous tombiez sur unvoiture quipe des technologies les plus modernes parmles arbres ? Penseriez-vous que diffrents lments dans

fort se sont assembls par hasard pendant des millions dannes et ont produn vhicule pareil ? Toutes les matires premires requises pour la fabricatdune voiture sont obtenues partir de fer, plastique, caoutchouc, terre ou drivs, mais ce fait vous mnerait-il jusqu croire que ces diffrents matrse sont assembls " par hasard " et ont, deux-mmes, fabriqu cette voitureSans aucun doute, quiconque pourvu dun esprit sain saurait que la voiture le produit dune conception intelligente, quelle a t conue dans une usinse demanderait ce quelle faisait l au beau milieu de la nature. La soudaine ction dune structure complexe dune forme complte montre quelle est lu

dun individu intelligent. Lexemple de la voiture est aussi valable pour les cratures vivantes. En conception de la vie est trop labore et complexe pour tre compare celle dune vulgaire voitu

cellule, lunit de base de la vie, est bien plus complique que nimporte quel produit technologiqude lhomme. De plus, cet organisme irrductiblement complexe a d merger subitement et ce, cotement abouti.Pour cela, il est bien clair que toutes les cratures vivantes sont le travail dune " conception " supre. Celui que lon appelle tantt " Grand Constructeur " tantt " conception suprieure " nest autDieu qui a cr toutes les cratures.Face cette vrit explicite, les volutionnistes ont recours un seul concept : " le hasard ". En que le pur hasard puisse produire de parfaites conceptions, les volutionnistes tutoient les limitesraison et de la science. Le clbre zoologue Pierre Grass, lancien prsident de lAcadmie FranSciences, donne son avis sur la logique du " hasard ", qui est le pivot du darwinisme :

Ceci nest

pas la tte dunserpent mais la queue

dune chenille ! En casde danger, la chenille gonfle saqueue conue pour ressembler sy mprendre la tte dunserpent afin dintimider sesennemis.


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1La conception dans la nature

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La proie, attire par lefaux poisson, sap-proche et devient subi-tement sa victime.

Lapparence opportune des mutations permettant aux animaux et auxplantes de satisfaire leurs besoins semble difficile croire. Mais la thoriede Darwin est mme plus exigeante : une seule plante, un seul animaldemanderait des milliers et des milliers dvnements chanceuxappropris. Ainsi, les miracles deviendraient la rgle : des vne-ments avec une infime probabilit pourraient se produire Il ny apas de loi contre la rverie, mais la science ne doit pas sen permettre.12

Grass rsume ce que veut dire le concept de " concidence " pour les volutionnistes : Le hasard devient une sorte de providence, qui, sous le cou-vert de lathisme, nest pas nomm, mais est secrtementvnr. 13

Voici le type de supercherie qui est lorigine du darwi-nisme.

UN PARFAIT CHASSEUR : LATTRAPE-MOUCHEUne plante carnivore, lattrape-mouche, est un parfaitchasseur qui attrape rapidement les mouches qui seposent dessus. Il est impossible pour ce systme de pigefonctionnant avec des signaux lectriques dtre laboutis-sement de concidences ou dun processus progressif. Laparfaite conception de lattrape-mouche est un des nombreux signes de la cration divine.

LES OS ET LA TOUREIFFELLes exemples de laconception dans la natu-re deviennent parfoisune source dinspirationpour des designs techno-logiques. Ainsi, la struc-ture spongieuse des oshumains munie de petitstendons, a largement ins-

pir Gustave Eiffel dansla clbre ralisation quiporte son nom Paris.Ce systme permet lasolidit, llasticit et lalgret des os. Lesmmes proprits exis-tent galement dans laTour Eiffel, bien quellesnaient pas atteint lemme degr defficienceque celles des os.

LA CONCEPTION DENOS MAINS

La main humaine poss-de une conception par-

faite qui nous donneune habilet idale

de mouvement.Chacun des 27

petits os compo-sant la main estconvenablement proportionn avec un calcul tech-nique infaillible. Les muscles qui nous aident

bouger nos doigts se situent dans nos avant-brasafin que la dextrit de nos mains ne soit pas amoindrie.Ces muscles sont connects par de solides tendons 3 petits osdans nos doigts. De plus, il y a un tissu particulier dans notrepoignet, tel un bracelet, qui attache tous ces tendons.La main possde une conception telle quaucune " main derobot " produite par la technologie moderne na t capablede reproduire ses tonnantes facults.


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suivirent navaient absolument aucun sens. Aprs un long silence, Miller avoua galement que latmosphre quil avait utilise tait irraliste.16De surcrot, il convient de souligner que tout ce remue-mnage navait t dclench quen raison de lsimple formation daminoacides alors mme quil est impossible que ces molcules organiques basiquepuissent donner lieu, par hasard, des structures extrmement compliques comme les protines et pro-duire une cellule vivante que mme lhumanit est incapable de reproduire dans nos laboratoiresmodernes.Les 50 annes passes depuis le temps de Miller ne servirent qu afficher davantage la dception laquelle fait face la thorie de lvolution au niveau molculaire.

LEXPERIENCE SANS SUCCESDE FOXInspirs par le scnario de Miller,

les volutionnistes ont men diff-rentes expriences dans les annessuivantes. Sydney Fox a produitles molcules que lon voit surlimage, les " protinodes "comme il les a appels, en combi-nant quelques aminoacides. Ceschanes daminoacides inutiles navaient rien voir avec les vraiesprotines qui constituent les corps des cratures vivantes. En rali-t, tous ces efforts nont pas seulement dmontr que la vie ntaitpas venue par de simples concidences, mais aussi quelle ne pou-vait pas tre reproduite dans des conditions de laboratoires.

LES HYPOTHESES DE MILLER LES VRAIES CONDITIONS POURQUOI CETTE EXPERIENCEEST-ELLE INVALIDE ?

Il utilisa dans son expriencedu mthane, de lammoniac

et de la vapeur deau.

Il prtendit que loxygnenexistait pas dans latmo-

sphre primitive.

Il avait mis en place un mca-nisme particulier dans le but

de synthtiser les aminoacidesdans lexprience. Ce procd,appel " le pige froid ", isolaitles aminoacides de lenviron-

nement ds quils se for-maient, et les prservait.

Les dcouvertes montrentquil y avait une trs gran-

de quantit doxygnelibre dans latmosphre

primitive.

Il tait impossible pour legenre de mcanisme utilis

dans cette exprience dexisterspontanment dans la nature.

Sous des conditions naturelles,les aminoacides sont exposs toutes sortes de facteurs ext-

rieurs destructeurs.

Si le mcanisme de " pigefroid " navait pas exist, la

source dtincelles etdautres matires chimiquesdgages durant lexprien-ce auraient dtruit les ami-

noacides.

Avec une telle quantitdoxygne disponible,

mme avec lhypothse hau-tement improbable o les

aminoacides se seraient for-ms, ils auraient fini par se

dcomposer.

La terre primitive conte-nait du dioxyde de carbo-ne et du nitrogne en lieuet place du mthane et de

lammoniac.

Les amricains Ferris etChen ont ritr lexp-rience avec les gaz quiexistaient dans latmo-

sphre primordiale. Aucunaminoacide ne fut obtenu.

2Lexprience de Miller

LA CONFESSION DE MILLER :Aujourdhui, Miller aussi sest rsign lide que son exprience de 1953tait trs loigne de lexplication delorigine de la vie.


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Le livre de Darwin :Lorigine des espces,au moyen de la slec-tion naturelle

La conception errone de laslection naturelle

LA SELECTION NE PEUT PAS FORMER DE NOUVELLESESPECESDans la nature, les faibles individus sont limins et rempla-cs par dautres plus forts. Toutefois, ce phnomne ne faitpas merger de nouvelles espces. Mme si les animaux sau-vages chassent les cerfs faibles et lents pendant des mil-liards dannes, les cerfs ne setransformeront pasen une espcediffrente.

La slection naturelle que Darwin proposa comme un mca-nisme volutif, navait en fait aucun pouvoir volutif. Laslection naturelle ne peut pas former de nouvelles espces.

Tout comme il est impossible pour la vie de surgirsur Terre par hasard, il en est de mme pour lesespces de se transformer en dautres espces. Caraucun pouvoir pareil nexiste dans la nature. Ce que nous

appelons nature est la somme datomes inconscients quifont la terre, les roches, lair, leau et toute autre chose. Cetas de matires sans vie na aucun pouvoir de transformerune crature invertbre en un poisson, puis de le fairemonter sur terre, de le transformer en reptile, ensuite de letransformer en oiseau et de le faire voler, et enfin de lerendre humain.En affirmant le contraire, Darwin ne se base que sur un seulconcept de " mcanisme volutif " : la slection naturelle.Elle est axe sur lide que ce sont les plus fortes cratures

les mieux adaptes leur habitat qui survivront. Parexemple, dans un troupeau de cerfs menacs par des ani-maux sauvages, ceux qui peuvent courir le plus vite sur-

LHYPOTHESE DE LAMARCKLorsque Darwin suggra que la

slection naturelle fait voluer lespces ", il tait inspir par lhypthse de Lamarck concernant " lhr

dit des caractres acquis ". SelLamarck, les cous des girafes

sont allongs alors quelessayaient datteindre les haute

branches pour se nourrir. Au 20sicle, cependant, il fut prouv qu

le lamarckisme est une erreu


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Les papillonssombres etcolors exis-taient aussi bien avantquaprs larvolutionindustrielle.

Une nouvelleespce depapillons napas merg.

APRES LA REVOLUTION

Les volutionnistes citent gnralement lexemple "despapillons nocturnes de la rvolution industrielle "du18mesicle en Angleterre, comme un " exemple dvolu-tion observ travers la slection naturelle ". Selon leursexplications, lors du dbut de la rvolution industrielle enAngleterre, la couleur des corces des arbres autour deManchester tait plutt claire. Dece fait, les papillons nocturnes decouleur noire qui habitaient cesarbres pouvaient aisment treaperus par les oiseaux, ils taientdonc une proie facile voue l'ex-tinction de l'espce. Cependantlorsque les corces des arbresnoircirent cause de la pollutionde la rvolution industrielle, lespapillons de couleur claire devin-

L H I S T O I R E D U M E L A N I S M E I N D U S T R I E L

AVANT LA REVOLUTION

rent la nouvelle proie et le nombre de leurs congnresnoirs augmenta, le phnomne observ prcdemmentsinversant. Mais ceci nest pas un exemple "dvolution", car la slection naturelle na pas donn naissance desespces qui nexistaient pas au dpart dans la nature. Lespapillons nocturnes de couleur noire existaient bien avant

la rvolution industrielle. Ici, nousvoyons les papillons rassemblspar un collectionneur avant etaprs la rvolution industrielle. Il ya seulement un changement dansle nombre despces existantes. Lespapillons nocturnes nont pasacquis un nouvel organe ni se sonttransforms pour aboutir unchangement dans leurs espces.

La collection de papillons montrant que lespapillons noirs ainsi que les colors vivaientdans la rgion avant la rvolution.

AVANT LA REVOLUTION APRES LAREVOLUTION

vivront. Mais certainement, ce mcanisme ne ferait pas vo-luer les cerfs ; il ne les transformerait pas en dautres cra-tures vivantes, des lphants par exemple.Il ny a pas le moindre soupon de preuve empirique quimontre que la slection naturelle ait jamais caus lvolutionde cratures vivantes. Un minent volutionniste, le palonto-logue britannique Colin Patterson, avoue ce fait :

Personne na jamais produit une espce par les mcanismes deslection naturelle. Personne nen a mme jamais t proche et laplupart des arguments actuels dans le no-darwinisme portent surcette question. 17

LE SACRIFICE CHEZ LES ANIMAUXLa thorie de lvolution de Darwin aumoyen de la slection naturelle reposaitsur la supposition que toutes les cra-tures vivantes mnent une bataille fro-

ce pour la survie. Les observa-tions ont montr toutefois que

les animaux taient capablesde faire preuve de sacrifice

et de coopration ton-nants. Les bufs sauvagesqui forment un cercle pourprotger leurs petits ne sontquun exemple parmi tantdautres du sacrifice de soidans la nature.


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Les mutationsLes mutations sont des accidents gntiques qui se produi-sent chez les cratures vivantes. Comme tous les accidents,

ils sont nocifs et destructeurs. " Lvolution " travers lamutation est aussi improbable que lamlioration dunemontre par un coup de marteau.

LES EFFETS DE TCHERNOBYLLa cause principale des muta-tions chez les humains est laradioactivit. Les effets des muta-tions sont toujours nuisibles.Ceux qui furent exposs lamutation cause du dsastre deTchernobyl taient victimes, soitde cancers mortels, soit dor-ganes infirmes comme nous pou-vons le voir sur limage.

Ralisant que la slection naturelle na aucune fonction volutive, les volutionnistes ont duit le concept de " mutation " leur affirmation au 20me sicle. Les mutations sont des dis-torsions ayant lieu dans les gnes des organismes travers des effetsexternes comme la radiation. Les volutionnistes affirment que ces accidents font

voluer les organismes.Les rsultats scientifiques, cependant, rejettent cette affirmation parce quetoutes les mutations observables ne font que du mal aux cratures vivantes.Toutes les mutations qui se produisent chez les humains entranent des dforma-tions mentales ou physiques comme le mongolisme (le syndrome de Down), lalbi-nisme, le nanisme, ou des maladies comme le cancer.Une autre raison qui conforte lopinion selon laquelle il est impossible pour les mutationsde faire voluer les cratures vivantes est que ces accidents najoutent aucune nouvelle infor-mation gntique un organisme. Les mutations font subir aux informations gntiques existantesun remaniement alatoire comme un jeu de cartes. Autrement dit, aucune nouvelle information gn

tique nest introduite par les mutations.Toutefois, la thorie volutive affirme que les informations gntiques des cratures vivantes aug

tent avec le temps. Par exemple, tandis quune bactrie structure de manire non complexeprend 2.000 diffrents types de protines, un organisme humain possde 100.000 types de


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2Les mutations

LA DISTORSION DE LADNLe code dans lADN dtermineles traits physiques des cra-tures vivantes. Si un dplace-ment ou une relocation se pro-duit dans ce code, cause duneffet externe comme la radia-

tion, lorganisme se trouve dansune situation de mutation.

La tte dune mouche defruit avant sa mutation

Le rsultat de la muta-tion : des jambes quisurplombent la tte

LES MUTATIONS

JUMELEESLe dsordre engen-drant les " jumeaux sia-mois " chez leshumains est caus parles mutations. Ces gre-nouilles jumelles quitaient runies lanaissance nous donneune ide des rsultatsde la mutation.

LES EXPERIENCES SUR LESMOUCHES DE FRUITSPendant des dcennies, les volution-nistes effecturent des expriences demutation sur des mouches de fruitsparce quelles se reproduisaient trsrapidement et pouvaient facilement semuter. Ces cratures subirent des muta-tions des millions de fois et ce, de toutesles manires possibles. Cependant, pasmme une seule mutation bnfique nefut observe.

tines. Exactement 98.000 nouvelles protines doivent tre dcouvertes pour quune bactrie volue en tre humain. Il ny a aucun moyen possible pour ces structures deprotines dtre produites par les mutations, parce que les mutations ne peuventrien ajouter la chane de lADN.Pas surprenant que, jusque-l, pas mme une seule mutation nait t observe pourdvelopper linformation gntique dune forme de vie. Malgr quil soit lui-mme

un volutionniste, lancien prsident de lAcadmie Franaise des Sciences, Pier-re-Paul Grass, a admis ce qui suit :Peu importe leur nombre, les mutations ne produisent aucune sorte dvolution.18

LERREUR DE " DE VRIES "Le botaniste nerlandais Hugh deVries, qui a dcouvert le mcanis-me de mutation, pensait quil avaittrouv un " mcanisme volutif ".Cependant, les expriences et lesobservations menes pendant desannes ont montr que les muta-tions sont simplement " des mca-nismes de distorsion ".


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Filament

CrochetMembrane dela cellule

Moteurorganique

FLAGELLE BACTERIENCette structure complique est un moteur lectrique.Bien sr, il ne sagit pas de celui dun appareil lectro-mnager ou dun vhicule mais bien du moteur dune bactrie. Grce lui, la bactrie est capable de mettre enmouvement ces organes appels " flagelles " et ainsinager dans leau durant des millions dannes. Lemoteur de la bactrie flagelle, dcouvert dans lesannes 70, a stupfait la communaut scientifique, parceque cet organe " irrductiblement complexe ", composde quelques 250 composants molculaires spars, nepourra jamais tre expliqu par des mcanismes chan-ceux et hasardeux, comme le proposa Darwin.

Toutes les affirmations du darwinisme reposent sur lescnario du " dveloppement graduel ". Les organes

" irrductiblement complexes ", mis jour durant le 20me sicle, dmolissent ce scnario et plus

globalement, toute la thorie de lvolution.

Afin quunemontre fonctionne,toutes les dents deson minusculemoteur doiventexister. Si une seuleroue venait man-quer, la montreserait inutilisable ;cette structure "irrductiblementcomplexe " prouveque la montre estlaboutissementparfait de lactiondun concepteurdune intelligencesuprieure.

S i vous demandez un volutionniste : " Comment les merveilleuxorganes des cratures vivantes sont-ils venus lexistence ? ", il vousrcitera ce scnario : " Il est vrai que les systmes extrmement compli-qus des organismes vivants ne peuvent pas se former tout dun coup par hasard.Ces systmes se sont plutt dvelopps petit petit. Dabord, une seule partie du

systme mergea par hasard. Puisque cette partie tait avantageuse pour lorganisme,ce dernier a profit dune slection naturelle. Puis, dautres parties se formrent partapes, difiant finalement le systme hautement complexe. "Le point fondamental qui infirme ce scnario ds le dbut est la caractristique de " plexit irrductible " dans les systmes des cratures vivantes. Si un systme nest pas tionnel sans tous ses composants en place, et sil est inutilisable mme si seulement un dcomposants manque, alors ce systme ne peut tre rduit une forme plus simple. Soit ilte parfaitement et fonctionne, soit il est inutile.En proche observation, nous voyons quil nest pas possible un systme " irrductiblecomplexe " de se former " petit petit " travers des concidences car une " tape intdiaire " ne serait daucune utilit moins que le systme soit complet et parfait. Une intermdiaire inutile, dun autre ct, serait limine par la slection naturelle et disparaselon le raisonnement de lvolution.Lorsque Darwin mit en avant sa thorie, il avait de grands doutes ce sujet. Il imaginailes organes des cratures vivantes pourraient tre rduits des formes plus simples, maavait aussi peur que les nouveaux dveloppements dtruiraient sa spculation. Cest pquoi il crit les phrases suivantes dans son livreLorigine des espces:

La complexit irrductible


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LA CONCEPTION DE LILLil humain exerce ses fonctions avec quelques 40 par-ties diffrentes interagissant ensemble. Si lune dellesntait pas prsente, lil ne servirait rien. Chacune de

ces 40 parties possde sa structure individuelle. Parexemple, la membrane rtinienne larrire de

lil est compose de 11 diffrentes couches (droite en bas). Une de ces couches constitue

le rseau de vaisseaux sanguins, vu sous

un microscope (voir limage ct).Cette couche, qui possde le rseau deveines le plus compliqu dans le corps,rpond aux besoins en oxygne descellules rtiniennes qui interprtent lalumire. Chacune des autres couchespossde une fonction distincte. Lesvolutionnistes sont incapables de

rendre compte du dveloppementdun organe aussi compliqu.

La complexit irrductible 2

LE DEFI BIOCHIMIQUE LANCE A LEVOLUTIONDans son livre, La bote noire de Darwin : Le dfi biochimique lvolu-tion, le professeur amricain en biochimie, Michael Behe, cite plu-sieurs exemples de complexit irrductible. Comme le souligne Behe,les organes irrductiblement complexes rfutent le darwinisme.Ainsi, cette vrit sous-tend une autre vrit : la vie est " conue ",cest--dire cre.

Sil pouvait tre dmontr quun organe complexe exis-tait, ce qui naurait pas pu se former par de nombreuses modifications,successives et lgres, ma thorie seffondrerait absolument.19

La thorie de Darwin est aujourdhui rejete comme il lavait craint, parce

que les dcouvertes scientifiques prouvent que la plupart des systmesdans les organismes vivants sont irrductiblement complexes. De nombreuses structures et systmesdepuis lil humain jusqu la cellule, et du processus de coagulation dans le sang la protine, ne serviraient absolument rien si un de leur composant venait manquer. Ainsi, il nest pas surprenantquaucun volutionniste ne puisse expliquer travers quelles " tapes " ces organismes se sont forms.Tandis que la thorie de lvolution dans les mots de Darwin seffondre " absolument " sous leffet dla complexit irrductible, cette notion prouve dautre part " absolument " la cration. Chaque systmeirrductiblement complexe dmontre lexistence dune intelligence qui la fabriqu. La complexit danles cratures vivantes prouve lexistence et la parfaite cration de Dieu qui a cr la vie.Comme cit dans le Saint Coran :

Cest Lui Dieu le Crateur, le Novateur, le Formateur. A Lui appartiennent lesattributs les plus beaux. Tout ce qui est dans les cieux et sur la terre clbre Sa

gloire. Il est le Tout-Puissant, le Sage. (Sourate Al Hachr : 24)

Une des11 couches

distinctesde la

membranertinienne

L a c o u p e t r a n

s v e r s a l e d e l a

r t i n e


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La thorie de lvolution affirme que les cratures vivantes descendent danctre commun. Selon cette thorie, les tres vivants se sont diffrenciuns des autres durant une trs longue priode par des modifications liesgraduelles.Si cette affirmation tait vridique, alors de nombreuses " espces intermdiaiauraient vcu dans lhistoire, reliant diffrentes espces vivantes. Par exemple, oiseaux avaient en effet volu des reptiles, alors des millions de cratures taient mi-oiseau mi-reptile auraient vcu travers lhistoire.Darwin savait que les dpts de fossiles auraient d tre pleins de ces " formes tsitionnelles intermdiaires ", mais il tait galement conscient quaucun fossilformes transitionnelles navait t trouv. Voil pourquoi il consacra un chapitce problme dans son livreLorigine des espces.Darwin esprait que ce grand problme serait rsolu dans le futur et que les fortransitionnelles seraient dcouvertes avec de nouvelles excavations. Toutefoimalgr leurs efforts continus, les volutionnistes nont pas t capables de trouune seule forme intermdiaire depuis les 140 ans passs depuis Darwin. Le cl

volutionniste Derek Ager avoue cette vrit :Le dtail qui ressort de cela, si nous examinons le registre fossile en dtail, nous netrouverons encore une fois pas dvolution graduelle, mais lexplosion soudainedun groupe aux dpens de lautre.20

Darwin admettait la non-existence de fossiles deformes intermdiaires dansle chapitre intitul " Les

imperfections du registregologique " dans son livreLorigine des espces.

Dans les excavations effec-tues depuis le temps deDarwin jusqu nos jours,aucune forme intermdiai-re na t dterre.

Limpasse des formes intermdiaiDarwin avait crit : " Si ma thorie est vraie, dinnombrablesvarits intermdiaires ont assurment d exister. " Cependant,

les volutionnistes, malgr leurs laborieuses recherches longuesde 140 annes, nont pas t capables den trouver au moins une.


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2Limpasse des formes intermdiaires

LES ORGANISMES " MOSAIQUES " NE SONT PAS DES FORMESINTERMEDIAIRESLexemple le plus important attestant lexistence de formes intermdiairesselon les volutionnistes est un fossile doiseau appel archoptryx. Se basant sur ses dents et ses griffes, les volutionnistes prtendirent que cettecrature tait une forme intermdiaire entre les reptiles et les oiseaux.Cependant, une classe animale peut trs bien possder les caractristiquesdune autre espce, sans pour autant que cela soit une indication suffisantepour affirmer quil sagit l dune forme transitionnelle. Par exemple, lor-

nithorynque australien se reproduit en pondant des ufs comme lesreptiles, malgr le fait quil soit un mammifre. Dautre part, il aun bec semblable celui des oiseaux. Les scientifiques appel-lent les organismes comme lornithorynque " des formesmosaques ". Maintenant les principaux volutionnistes admet-tent galement que les formes mosaques ne peuvent pas treconsidres comme des formes intermdiaires.

La cration soudaine des tres vivants sur Terre est une preuve que Dieu les a crs. Lvolutionnis-te biologiste Douglas Futuyma ladmet :

Soit les organismes apparaissent sur Terre compltement dvelopps, soit ils ne le sont pas. Dans cecas, ils ont d se dvelopper dune espce prexistante par quelques processus de modification. Silssont apparus dans un tat compltement dvelopp, ils ont d en fait tre crs par une intelligenceomnipotente. 21

DES CREATURES SIMILAIRES NE SONT PASDES FORMES INTERMEDIAIRESLe fait que des animaux similaires de diffrentes taillesaient t trouvs travers les poques nest pas unepreuve suffisante pour valider la thorie des formes inter-mdiaires. Si les diffrentes espces de cerfs et de gazellesque nous voyons sur limage avaient t disponibles uni-quement sous forme de fossiles, les volutionnistes pour-raient bien avoir fait un plan volutif imaginaire en lesarrangeant en une ligne progressant du plus petit au plusgrand. Mais ces animaux, loin dtre des formes interm-diaires, sont plutt des espces vivantes individuelles.

LES FORMES INTERMEDIAIRES DOIVENT ETREDES " DEMI " ORGANISMESLes formes intermdiaires que les volutionnistesauraient du trouver seraient des organismes se situantentre deux espces et ayant des organes manquantsou demi dvelopps. Par exemple, si des invertbrscomme ltoile de mer avaient volu en poissoncomme laffirment les volutionnistes, plusieurs "demi-poissons " et " demi-toiles de mer " auraientvcu. Toutefois, dans le registre fossile, il ny a que deparfaites toiles de mer et de parfaits poissons.

DES CREATURES IMAGINAIRESLes formes transitionnelles existant seulement dans limaginaire fan-taisiste des volutionnistes devraient avoir des organes manquants et

dficients. Par exemple, une crature se situant

entre oiseau et reptile devrait avoir desdemi-ailes et des demi-poumons

doiseaux. Pourtant, aucun fossiledune pareille crature na tdcouvert jusqu prsent. Deplus, il est impossible pourune crature aussi bizarre desurvivre (voir l'illustration).Tous les fossiles qui ont tdcouverts appartiennent des cratures parfaitementconues et constitues.


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Un exempletoujours exis-tant datant delpoque cambrienne : lenautile

DES SYSTEMES COMPLEXESLa plupart des formes de vie quimergrent tout dun coup danslpoque cambrienne possdait dessystmes complexes comme lesyeux, oues, systme circulatoire,et des structures physiologiquesavances pas plus diffrentes queleurs quivalents modernes.

La priode cambrienneLorsque nous examinons la couche terrestre,

nous dcouvrons que la vie sur Terre est apparuesubitement. Plusieurs espces vivantes variesmergrent brusquement et de faon compltelors de la priode cambrienne.Cette dcouverte est un signevident de la cration.

La couche la plus profonde de la Terre qui contient des fos-siles de cratures vivantes complexes est " la Cambrienne "que lon estime ge de 520 530 millions dannes. Les

fossiles dterrs dans des roches cambriennes appartenaient des espces invertbres complexes comme les escargots, les tri-lobites, les ponges, les vers, les mduses, les toiles de mer, les crus-tacs et les lis de mer. Le point le plus important retenir consiste dansle fait que toutes ces espces distinctes ont merg subitement sans aucunprdcesseur.Richard Monastersky, lditeur deEarth Sciences qui est un des magazines les plusapprcis de la littrature des volutionnistes, admet cette vrit qui met les darwinistes

dans un dilemme embarrassant : Il y a un demi milliard dannes, les formes remarquablement complexes des animaux que nousvoyons aujourdhui sont apparues subitement. Ce moment, juste au dbut de la priode cambrien-ne de la Terre, il y a quelque 550 millions dannes, marque lexplosion volutive qui emplit lesmers avec les premires cratures complexes de la Terre. La grande varit des animaux daujour-dhui, qui taient dj prsents dans la premire cambrienne, taient aussi diffrents les uns desautres comme ils le sont aujourdhui.22

Comment ces espces vivantes diffrentes et nayant aucun anctre commun, ont pu mergune question qui reste sans rponse pour ces mmes volutionnistes. Le zoologue dOx

Richard Dawkins, un des plus grands dfenseurs de la thorie de lvolution dans le mofait cet aveu :


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Une illustration des organismes qui existaient lpoque cambrienne

La structuredil composedu trilobite

Cest comme si elles (les espces de la priode cambrienne) taient seulement plantes l, sans aucune his-toire volutive.23

Lexplosion cambrienne est une preuve claire que Dieu a cr toutes les cratures vivantes. La seuleexplication valable pour comprendre lmergence soudaine des organismes sans aucun anctre volutifest la cration. En consquence, Darwin crit :

Si de nombreuses espces, appartenant aux mmes genres ou familles, sont rellement venues la vie toutdun coup, le fait serait fatal la thorie de la descendance avec de lentes modifications par la slectionnaturelle. 24

Ce coup fatal qui effrayait Darwin vient de la priode cambrienne, juste au dbut duregistre fossile.

LIL DU TRILOBITELil du trilobite, une espce de la cambrienne, avait une concep-tion extraordinaire. Il consistait en centaines de minus-cules yeux. De plus, chacun dentre eux avait deux len-tilles diffrentes. Il parat que cette structure permettaitaux trilobites de voir parfaitement sous leau, sans dis-torsion. Un professeur de gologie de lUniversitdHarvard, David Raup dit : " Les trilobites utilisaientune conception optimale qui aurait requis un ing-nieur optique aussi expriment quimaginatif pour

se dvelopper aujourdhui. " 25Cette structure par-faite de lil naquit, il y a 530 millions dannes,

tout dun coup et dans sa forme parfaite. De plus, lesystme dil compos des trilobites a survcu jusqu

nos jours sans une seule altration. Certains insectes,comme les abeilles ou les libellules, possdent la mme

structure visuelle.

La priode cambrienne


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Il ny a pas de diffrenceentre le fossile de poissonde centaines de millions-

dannes et le poissonmoderne. Les poissons ont t

crs ainsi et le sont toujoursrests.

Les poissons et les amphibiensLes poissons et les amphibiens sont apparussur Terre subitement sans aucun prdcesseur.

Les volutionnistes ne peuvent expliquer lorigine daucune de ces classes vivantes.

Les volutionnistes prtendent que les invertbrs des mers qui apparu-rent dans la couche cambrienne ont dune manire ou dune autre voluen poissons pendant des dizaines de millions dannes. Cependant, il nya aucun lien transitionnel indiquant quune volution sest produite entre cesinvertbrs et les poissons. En fait, lvolution des invertbrs, qui ont leurs tissusdurs hors de leurs corps et dpourvus de squelette, en poissons osseux qui ont

leurs artes au milieu de leurs corps est une trs grande transformation qui auraitd laisser un grand nombre de liens transitionnels.Les volutionnistes ont creus les couches de fossiles pendant environ 140 anscherchant ces formes hypothtiques. Ils ont trouv des millions de fossiles invertbrs etde fossiles de poissons ; mais, personne na jamais trouv un seul qui soit mi-cheminentre les deux.Un palontologue volutionniste, Grald T. Todd, pose la question suivante face ce fait :

Toutes les trois subdivisions des poissons osseux apparaissent dabord dans le registre fos-sile approximativement au mme moment Comment ont-ils surgi ? Quest-ce quileur permet de diverger si largement ? Et pourquoi ny a-t-il pas de forme

intermdiaire antrieure ? 26Le scnario volutionniste soutient galement que les poissons, qui ont volu partir dinvertbrs, se sont transforms plus tard en amphibiens qui sontgalement capables de vivre sur terre (les amphibiens sont des animaux capables de vivre sur tedans leau, comme la grenouille). Mais comme vous limaginerez, ce scnario manque aussi de prIl ny a pas un seul fossile pour vrifier quune crature mi-poisson/mi-amphibien ait jamais exist.vrit est confirme, quoique contrecur, par une clbre autorit volutionniste, Robert L. Caroest lauteur de Vertebrate Paleontology and Evolution (Palontologie vertbre et volution) :

Nous navons pas de fossiles intermdiaires entre les poissons (rhipidistian) et les premiers amphibiens.27

En bref, les poissons ainsi que les amphibiens ont apparu subitement et dans leur forme actuelleaucun prdcesseur. Autrement dit, Dieu les a crs sous une forme parfaite.

Un fode 280 millions dann

appartenant une espdisparue de grenoui

Ces dcouvertes rvlque les grenouilles s

apparues subitement Terre sans aucun prdc


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3Les poissons et les amphibiens

LE MIRACLE DE LAMETAMORPHOSE

Les grenouilles naissentdabord dans leau, puis mer-gent sur terre dans un proces-sus connu de " mtamorphose ".Certaines personnes pensent que lamtamorphose est une preuve de lvo-lution, tandis que les deux nont en faitrien voir lune avec lautre. Luniquemcanisme de dveloppement propos parlvolution est la mutation. La mtamorphosenarrive pas par des effets de concidencecomme la mutation. Au contraire, ce changement provient du codegntique des grenouilles. Autrement dit, il est dj inscrit quelorsque la grenouille natra, elle aura un type de corps lui permettant devivre sur la terre ferme.Les volutionnistes pour justifier ce passage de leau la terre affirmentque les poissons, avec un code gntique uniquement conu pour leurpermettre de vivre dans leau, se sont transforms en cratures terrestresaprs quelques mutations provenant du hasard. Nanmoins, la mta-morphose en ralit renverse lvolution, au lieu de la consolider parceque lerreur la plus infime dans le processus de mtamorphose provo-quera la mort ou du moins la dformation de la crature. Il est essentielque la mtamorphose se produise parfaitement. Il est impossible pourun processus aussi complexe, qui nadmet aucune erreur, dtre arriv

ses fins au moyen de mutations issues du hasard, comme laffirment

les volutionnistes. La mtamorphose est en ralit unmiracle qui rvle la perfection dans la cration.

Reptile

LE PROBLEMEDES ECAILLES

Lune des contradictionsles plus importantes dans le plan

volutif chimrique qui stend des pois-sons aux reptiles est la formation pidermique deces organismes. Tous les poissons ont des caillessur leur peau contrairement aux amphibiens.Les reptiles qui ont prtendument volu par-tir des amphibiens avaient aussi descailles. Si nous supposons quil y a unerelation volutive entre ces organismes,nous devons galement rpondre la

question suivante : pourquoi les cailles,qui existent chez les poissons, ont dispa-

ru des amphibiens, puis ont rapparu chez lesreptiles ? Les volutionnistes, cependant, sontincapables de rpondre cette question.

La progniture qui mergera desufs de grenouilles fertilisssera assez abondante pour cou-vrir un lac ou une rivire.

Avec la mtamorphose,les grenouilles changentdaspect. A la fin dunetransformation parfaite,elles sadaptent la viesur terre.

La progniturede la grenouille incu-

be de ses ufs est un orga-nisme semblable au poisson conu

pour vivre dans leau avant la mtamor-phose. Elle prend loxygne par son oue

comme les poissons. Les grenouilles, cettetape, sappellent " ttards ".

Amphibien

Poisson


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DES DESSINS IMAGINAIRES ET UN VRAICLACANTHE Jusqu ce quun spcimen vivant ne soit trou-v, les volutionnistes ont prsent le cla-canthe comme lanctre de " tous les animaux

terrestres ". Des dessins comme ceux denhaut ont t exposs comme une ralit et ont

pris leur place dans les ouvrages scientifiques.Lorsquun exemple vivant du poisson fut pch(image de ct), toutes ces allgations volu-tionnistes furent discrdites.


La conception errone duclacanthe

Jusqu il y a 70 ans, les volutionnistes avaient un fossile de poisson quils considraient comme tant "lanctre des animaux terrestres ". Toutefois, les dve-loppements scientifiques ont mis fin toutes leursaffirmations concernant ce poisson.

LA FIN DUMYTHELe clacantheest vivant !Lquipe quicaptura le pre-

mier cla-canthe vivantdans lOcanindien le 22dcembre 1938pose ici avec lepoisson.

Labsence de formes intermdiaires de fossiles entre les poissons et les amphibiens esvrit que les volutionnistes ont aussi fini par admettre aujourdhui. Cependant, ilde cela peine 70 ans, il tait tabli quun fossile de poisson appel " Clacanthe une forme intermdiaire totale. Les partisans de lvolution revendiquaient le fait que ce ccanthe, qui tait estim 410 millions dannes, tait une forme transitionnelle avec un poprimitif, un cerveau dvelopp, un systme digestif et circulatoire prt fonctionner sur termme un mcanisme de marche primitif. Ces interprtations volutives taient acceptes covrit inconteste dans les cercles scientifiques jusque vers la fin des annes 30.Toutefois, le 22 dcembre 1938, une dcouverte trs intressante dans lOcan Indien allaimer cette hypothse considre lpoque comme une vrit scientifique. Un membre vivaclacanthe, prsent auparavant comme une forme transitionnelle disparue il y a 70 mildannes, fut pch ! La dcouverte dun prototype " vivant " du clacanthe fut un coup spour les volutionnistes qui virent leurs thses seffondrer irrmdiablement. Le palontolvolutionniste, J.L.B Smith dit quil naurait pas pu tre plus surpris que sil stait trouv

nez avec un dinosaure vivant.28

Les annes suivantes, plus de 200 clacanthes furent pchdans diffrentes rgions du monde.Les clacanthes vivants rvlrent combien les volutionnistes pouvaient aller loin pour mau point leurs scnarios imaginaires. Contrairement leurs affirmations, les clacan


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3La conception errone du clacanthe

Les volutionnistes avaientaffirm que le poisson avait unpoumon primitif. Cependant,lorgane qui tait suppos treun poumon primitif se rvlatre une poche lipidique.

On prtendait quela structure ducerveau du cla-canthe ressemblaitgalement celledanimaux ter-restres. Cepen-dant, il fut rvlque son cerveauntait pas plusdiffrent que celuidun poisson denotre re.

Avant quun exemple vivant de ce poisson nesoit attrap, les volutionnistes croyaient que leclacanthe avait des organes qui taient moitinageoire, moiti patte lui permettant de rampersur terre. Lorsquun clacanthe vivant futobserv, il tait entendu que les nageoires dupoisson navaient aucune fonction additionnellede cette sorte.

LES PREMISSES ET LES FAITS DES EVOLUTIONNISTES

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LA DIFFERENCE ENTRE LES NAGEOIRES ET LES PATTESLa raison pour laquelle les volutionnistes imaginaient que le

clacanthe et les poissons similaires taient " les anctres desanimaux terrestres " rside dans le fait que ces poissons ont desnageoires osseuses. Ils supposent que ces os se sont transformsen pattes avec le temps. Cependant, il y a une diffrence de base entre les os de ces poissons et les pattes danimauxterrestres : ces os ne sont pas attachs la colonne vertbrale de lanimal, comme nous le voyons dans limagedu dessus. Chez les animaux terrestres, cependant, lesos sont directement attachs la colonne vertbrale,comme nous le voyons dans limage au-dessous. Pourcela, dire que ces nageoires se sont graduellement trans-formes en pattes est sans fondement aucun.

Les os ne sont pas attachs la colonne vertbrale.

Les os sont attachs la colonne vertbrale.

navaient ni un poumon primitif et encore moins un grand cerveau. Lorgane dont les chercheurs volu-tionnistes disaient quil tait un poumon primitif savra ntre rien dautre quun sac lipide. 29De plus, le clacanthe qui tait prsent comme tant un " reptile candidat qui se prpare passer de lamer la terre " tait en fait un poisson qui vivait dans les profondeurs des ocans et restait toujours plus de 180 mtres de la surface.30


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LA CONCEPTION ERRONEE DUSEYMOURIA

Les volutionnistes affirmaient en mme temps

que le fossile du Seymouria ( gauche) tait uneforme transitionnelle entre les amphibiens etles reptiles. Selon ce scnario, Seymouria

tait " lanctre primitif des reptiles ".Cependant, des dcouvertes ultrieuresde fossiles montrrent que les reptilesvivaient sur Terre quelques 30 millionsdannes avant Seymouria. 32A la

lumire de cela, les volutionnistesdurent abandonner leurs affirmations

concernant Seymouria.

Les reptilesLa thorie de lvolution est tout aussi inca-

pable de rendre compte de lorigine des rep-

tiles. Les membres de cette catgorie spcifiqueont apparu distinctement sans subir un quelconque

processus volutif. Les caractristiques physiologiques des reptiles sont largement diffrentes de celles

de leurs anctres allgus, les amphibiens.

Les dinosaures, les lzards, les tortues, les crocodiles et bien dautres espappartiennent la classe vivante appele " reptiles ". Certains de ces reptcomme les dinosaures, ont disparu, mais dautres existent toujours.Les reptiles possdent des caractristiques particulires, comme leurs corps qui sont recouverplaques appeles " cailles ". Ils sont sang froid, ce qui veut dire quils ne peuvent pas gnrepropre chaleur corporelle. Cest pour cela quils ont besoin de rayons de soleil directs pour rchleurs corps. Ils donnent naissance leurs petits en pondant des ufs. Les volutionnistes ne peuveexpliquer comment les reptiles sont apparus. Lallgation conventionnelle volutionniste sur ceconsiste dire que les reptiles ont volu des amphibiens. Cependant, il ny a pas un brin de preuvele justifier. Au contraire, une observation des amphibiens et des reptiles dmontre quil y a dgrandes diffrences physiologiques entre ces deux groupes vivants et quun mi-reptile/mi-amphina aucune chance de survivre.Une telle crature nexiste donc pas dans le registre fossile. Lminent palontologue volution

Lewis L. Caroll, admet ce fait dans son article intitul "Le problme de lorigine des reptiles " : Malheureusement, pas un seul spcimen dun anctre reptilien appropri nest connu avant lapparitiondes vrais reptiles. Labsence de pareilles formes ancestrales laisse sans rponse plusieurs problmes de tran-sition amphibienne-reptilienne.31


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3Les reptiles

LA DIFFERENCEDANS LES UFSUne des contradictionsdu scnario volution-

niste amphibiens-rep-tiles est la structure desufs. Les ufs desamphibiens, qui se dve-loppent dans leau, ont unestructure semblable une geleet une membrane permable. Toute-fois, les ufs des reptiles ont une structure solide et imper-mable adapte leurs conditions terrestres, comme nous levoyons ici dans la reconstitution duf de dinosaure. Afinquun amphibien devienne un reptile, ses ufs doivent setransformer en ufs de reptiles. Mais cest impossible.

LES TORTUES SONT

TOUJOURS LES MEMESIl ny a pas de diffrence

entre les anciens fossiles dereptiles et leurs quiva-

lents actuels. La tortuede mer de 100 millionsdannes gauche est

exactement la mmeque son quivalent

moderne.

De plus, il y a galement deslimites insurmontables entre lesespces de reptiles, comme les ser-pents, les dinosaures ou les lzards.Toutes ces espces distinctes sont appa-rues subitement et distinctement sur Terre, parce que Dieu les

a cres ainsi. Cette vrit est cite comme suit dans le Coran :Dieu a cr partir de leau tous les tres vivants. Il en est parmi eux qui ram-pent sur le ventre, pendant que dautres se dplacent sur deux ou quatre jambes.Dieu cre ce quIl veut, car Sa puissance na point de limite. (Sourate An-Nour: 45)

LA FIN DESDINOSAURES

Les dinosaurestaient les plus

grands animaux ter-restres nayant jamais

vcu. Avec leurs corps par-faitement conus, ils ontvcu sur Terre pendant unelongue priode. Selon unconsensus parmi les scienti-fiques, ils se sont teints cause dun dsastre mto-

rique. Ce phnomne taitdivinement planifi afinque la Terre puisse

accueillir larrive desmammifres et en particulierdes tres humains, quifurent crs en consquence

(daprs les registres golo-giques).


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LES TRAITS DISTINCTIFS DES REPTILESDans le monde des vertbrs, les reptiles sontun des groupes qui ressemble le moins auxoiseaux. Tandis que ces derniers sont sangchaud, les reptiles ne sont mme pas capablesde produire leur propre chaleur corporelle.Avec la structure de leur peau, leur mtabolisme, et leur systme squelettique,les reptiles sont en fin de compte crspour vivre sur terre.

Les oiseaux et les reptilesLes volutionnistes affirment que les oiseaux ont vo-lu partir des reptiles. Lorsque nous observons la

structure de ces deux classes vivantes, nous voyons quecette assertion nest vraiment pas du tout scientifique.

Les volutionnistes disent que les oiseaux ont volu des dinosauresreptiliens petite structure. Une comparaison entre lesoiseaux et les reptiles, toutefois, dmontreque ces classes vivantes sont trs diffrentesles unes des autres et aucune vo-lution quelle quelle soit na puavoir lieu entre eux.Il y a plusieurs diffrences structurelles entreles oiseaux et les reptiles. La plus importante est leur structure osseuse. Lesdinosaures, les anctres allgus des oiseaux, daprs les volutionnistes, ontdpais et solides os cause de leur structure massive. Tandis que les os desoiseaux vivants et disparus sont creux et donc trs lgers. Cette lgre struc-ture osseuse est trs importante pour le vol des oiseaux.Une autre diffrence importante entre les reptiles et les oiseaux est leur structure mtabolique. Tandis que les reptiles ont la plus lente vitesse mtabolique dans le monde des cra

vivantes, les oiseaux tiennent le plus grand record dans ce domaine. Par exemple, la chaleur corpdun moineau domestique peut slever jusqu 48C cause de son mtabolisme raDun autre ct, les reptiles ne sont mme pas capables de produire leur propre

leur corporelle et se rchauffent alors sous le soleil. Les reptiles sont les maux qui consomment le moins dnergie dans la nature, alors que oiseaux sont ceux qui en consomment le plus.

PARLEZ-MOI DE LA CREATION


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LE DEMENTIDE FEDUCCIALe clbre orni-thologue AlanFeduccia penseque la thorie delvolution desoiseaux partirdes reptiles estsimplementabsurde.

3Les oiseaux et les reptiles

Le systme respiratoire des oiseaux diffre aussi grandement de celui des reptiles. Ces derniers ainsi queles mammifres prennent lair dans leurs poumons par leur trache puis le ressortent par le mme tuyau.Chez les oiseaux, lair effectue un seul trajet par les canaux des poumons ; il entre dun ct et sort dlautre. Grce ce systme respiratoire qui nexiste chez aucune autre classe vivante, les oiseaux ont unutilisation efficace de lair. Ce systme leur permet de voler mme une altitude de 8.000 mtres, l oloxygne est trs rare.Une autre caractristique qui lve une barrire insurmontable entre les oiseaux et les reptiles est lesplumes qui sont une structure spcifique aux oiseaux. Ainsi, les corps des reptiles sont recouvertsdcailles, alors que ceux des oiseaux sont recouverts de plumes.Bref, de nombreuses diffrences entre ces deux espces danimaux rfutent dfinitivement laffirmatiodes volutionnistes qui pensent, rappelons-le, que les reptiles ont volu graduellement en oiseaux.Alan Feduccia, un professeur de lUniversit de Caroline du Nord, soppose fermement la thorie quinonce que les oiseaux ont une parent avec les dinosaures sur la base de dcouvertes scientifiques, malgr le fait quil soit lui-mme un volutionniste :

Eh bien, jai tudi des crnes doiseaux pendant 25 ans et je ne vois aucune similarit. Je ne la vois pas dutout Que les theropodes (un groupe majeur de dinosaures) viennent des oiseaux, serait mon avis leplus grand embarras de la palontologie du 20me sicle.33

REPTILE LUNGPOUMON DE REPTILE BIRD LUNGPOUMON DOISEAU

alvole

bronche

parabronches

entre/sortie dair

entre dair

sortie dair

Les poumons des oiseaux fonctionnent dune manire complte-ment oppose celle des poumons danimaux terrestres. Ces der-niers inspirent et expirent par les mmes passages dair. Alors quechez les oiseaux, lair entre lavant du poumon et sort de larri-re. Cette " conception " distincte est faite spcialement pour lesoiseaux, qui ont besoin de grandes quantits doxygne durantleur vol. Il est impossible pour cette structure davoir volu

partir des poumons des reptiles, parce que larespiration aurait t impossible avec une

forme " intermdiaire " entre ces deux sortesdorganisation respiratoire.

LA FONCTION DESPLUMES

Contrairement aux rep-tiles, les corps des

oiseaux sont recouvertsde plumes. Respon-sables de la fonctionarodynamique chez

les oiseaux, les plumesles aident galement conserver leur chaleur

corporelle.

LE SYSTEME SQUE-LETTIQUE SPECIALDES OISEAUX

Contrairement aux os des dino-saures et des reptiles, les osdoiseaux sont creux, ce quidonne au corps de la stabilit et

de la lgret. La structure sque-lettique des oiseaux est employe

dans la conception davions, ponts etautres structures de notre temps.


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Les os sont creuxcomme chez les

oiseaux modernes.

Le candidat de forme intermdiaire le plus important auquel les volutionnistes se rfrent efossile doiseau appel archoptryx de 150 millions dannes. Les volutionnistes affirmece fossile doiseau tait un semi dinosaure qui ne pouvait pas voler convenablement.

Cette affirmation dvolutionniste, prouve comme tant fausse maintes et maintes fois, sest dfiment effondre avec le fossile dun archoptryx dterr en 1992.Labsence du " sternum ", los de la poitrine, qui est essentiel pour les muscles de survol, tait tenula preuve la plus importante pour pouvoir affirmer haut et fort que cet oiseau ne pouvait pas vconvenablement. Le septime fossile darchoptryx dterr en 1992 a rvl que los de poitrine volutionnistes ont longtemps prtendu perdu, existait en ralit. La prsence de cet os a prouv quchoptryx tait un oiseau volant.34

Une reconstitutionde larchoptryx

La conception erronede larchoptryx

Le fossile de larchoptryx est la seule preuve que lesvolutionnistes ont trouve pour soutenir le fait que " lesoiseaux ont volu des dinosaures ". Les dernires dcou-vertes, toutefois, prouvent que cette crature nest quuneespce doiseau disparu.

Les plumes indiquent que lar-choptryx est une craturevolante et sang chaud.

Le 7mespcimen rcemmentdcouvert darchoptryx estpourvu dun sternum quiindique que cet oiseau avaitdes muscles de vol solidescomme les oiseaux modernes.

Certains oiseaux actuels ontgalement des " serres "similaires sur leurs ailes.

Les dents dans sa mchoire nesont pas une preuve de sa rela-tion allgue avec les reptiles.Les analyses montrent que lastructure de la dent de larcho-ptryx tait trs diffrente decelle des reptiles modernes.


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Hoazin

En plus, il a t prouv que deux autres points que citent les volu-tionnistes en prsentant larchoptryx comme une forme interm-diaire les serres sur ses ailes et les dents dans sa bouche nimpli-

quent en aucun cas que cet oiseau est une forme intermdiaire. Il a tobserv que deux espces doiseaux, vivants aujourdhui, (le touraco etlhoazin) ont des serres sur leurs ailes avec lesquelles ils sagrippent aux branches. Aussi, il y a eu diffrentes espces doiseaux durant lhistoire qui avaientdes dents. De plus, selon les mesures des clbres ornithologues, comme Martin,Stewart et Whetstone, la structure de la dent de larchoptryx tait compltementdiffrente de celle des reptiles.35Toutes ces dcouvertes prouvent que les affirma-tions volutives consistant considrer larchoptryx comme une forme interm-diaire na aucune base scientifique.

LES PLUMESASYMETRIQUES

Les plumes de tousles oiseaux volants

modernes sont asym-triques. Cette forme donne

une fonction arodynamiqueaux oiseaux. Le fait que lesplumes de larchoptryxsoient galement asym-triques invalide l'allgationvolutionniste affirmant quecet oiseau ne pouvait pasvoler.

DAUTRES BECSSANS DENTSConfuciusornis, dontnous voyons ici lefossile, vivait dans lamme priode go-logique que lar-choptryx. Maiscontrairement cedernier, il navait pasde dents dans son bec. Cette dcouver-te rvlait que lar-choptryx ntaitpas " primitif ", maistait plutt uneespce originaledoiseau.

Un fossile de Confuciu-sornis et une illustra-tion de loiseau

LEGENDES DEVOLUTIONNISTESSous couvert de la crdulit populaire dont jouis-

sent les scientifiques, les volutionnistes nontpas hsit allguer parfois que " de petitsdinosaures prirent des ailes et devinrent desoiseaux ". Cependant, leur explication sur la

manire avec laquelle cette transformationeut lieu est une histoire dormir debout.

Comme lillustrent leurs croquis, ils disent quecertains dinosaures qui battaient leurs pattes avant

pour chasser les mouches, ont graduellement " pris des ailes ".Phnomne imaginaire, ce scnario amne avec lui une question intres-sante : alors, comment les mouches, qui non seulement volaientd'ailleurs, mais affichaient aussi une merveilleuse arodynamique en battant leurs ailes 500 fois par secondes synchroniquement, ont-ellespris des ailes ?

LES SERRES DU HOAZINCertaines espces doiseaux vivant aujourdhui ont des

caractristiques similaires celles de larchoptryx.Par exemple, le Hoazin possde aussi des structures

semblables aux serres sur ses ailes.


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LES PLUMES ET LES ECAILLESLa thorie de lvolution est force de proposer lhypothseque les plumes qui sont parfaitement conues pour volervolurent des cailles de reptiles. Les plumes et les cailles,toutefois, sont compltement diffrentes les unes des autresen terme dorigine gntique et de dveloppement embryo-logique. Ci-dessus la structure dtaille dune plume doi-seau, et sur le ct, les cailles dun reptile.

Les plumes, qui ont une conceptionextrmement complexe et des carac-

tristiques arodynamiques, sont spcifiques auxoiseaux. Laffirmation que les plumes doiseauxont volu des cailles des reptiles est sans fon-dement aucun.

Les corps des reptiles sont recouverts dcailles, tandis que ceux des oisesont recouverts de plumes. Puisque les volutionnistes considrent les rtiles comme tant les anctres des oiseaux, ils sont obligs daffirmer quplumes doiseaux ont volu des cailles des reptiles. Cependant, il ny a auc

similarit entre les cailles et les plumes.Un professeur de physiologie et de neurobiologie de lUniversit de Connecticut, A.H. Brush, acette ralit, bien quil soit un volutionniste :

Chaque caractristique depuis la structure et organisation de gne, jusquau dveloppement morphologiqueet lorganisation des tissus est diffrente (dans les plumes et les cailles).36

De plus, le Pr. Brush observe la structure de la protine des plumes doiseaux et souligne qest " unique parmi les vertbrs ".37

Il ny a aucune marque de fossile pour prouver que les plumes doiseaux ont volucailles des reptiles. Au contraire," les plumes ont apparu soudainement dans le registre

fossile, comme caractre ' indniablement unique ' distinguant les oiseaux "commele dclare le Pr. Brush.38En plus, chez les reptiles, aucune structure pi

Les plumes doiseaux


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4Les plumes doiseaux

LA STRUCTUREDES PLUMESLes plumes doi-seaux se dvelop-pent de chaque ctdes tiges qui sontdirectement attaches surles os du squelette de loiseau.Cette structure est compltement diffrentedes cailles des reptiles, les soi-disant anctresdes oiseaux. Les cailles nont rien voir avecles os du squelette.

Gros plan dcailles de reptiles. Comme nousle voyons clairement, les cailles recouvrentles parties dures de la peau. Elles ne ressem- blent pas du tout aux plumes.

dermique na encore t dtecte qui donne uneorigine aux plumes doiseaux.39Lhistoire du " fossile du dinosaure plum "dcouvert en Chine, survenue en 1996 en pleinmilieu de propagandes mdiatiques, tait tota-lement infonde, et il fut admis en 1997 que lefossile du Sinosauroptryx en question ne pos-sdait aucune structure ressemblant auxplumes.40Lorsque nous observons de prs la structuredes plumes, nous rencontrons une conceptiontrs complexe qui ne peut tre explique par unprocessus volutif. Le clbre ornithologueAlan Feduccia dclare que" chacune de leurs

caractristiques a des fonctions arodynamiques.Elles sont extrmement lgres, ont lhabilet deslever qui augmente progressivement, et peuventretourner leur position prcdente trs facilement". Puis il continue en concluant :

Je ne peux vraiment pas comprendre commentun organe parfaitement conu pour voler puisse audbut avoir merg pour un autre besoin.41

La conception des plumes obligea aussi Charles Darwin sy pencher.Ainsi, la parfaite esthtique des plumes du paon la rendu " malade ", selonson propre terme. Dans une lettre quil crivit Asa Gray le 3 avril 1860, il dit: " Je me rappelle bien du temps o la pense de lil me donnait froid partout, mais jai surmont cette tape du problme "Puis, il continua :" maintenant, desdtails insignifiants de structure me rendent parfois perplexe. La vue dune plumesur la queue dun paon, ds que je la regarde, me rend malade ! "42

LE PAON ETDARWINLes plumes du paon

sont un exemple trsexplicite de conception.Elles invitent ltrehumain rflchir sur lamanire parfaite et har-monieuse avec laquelleDieu a cr les craturesvivantes. Cependant,Darwin tait " malade " chaque fois quilvoyait cette beaut.


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Lorigine des mammifresContrairement aux affirmations volutionnistes, les mammi-

fres survinrent sur Terre soudainement sans aucun prdces-

seur. De plus, les volutionnistes nont pas dexplication pour dterminer lorigine des diffrents groupes de mammifres.

Comme observe jusque-l, la thorie de lvolution suggre que quelqcratures imaginaires, qui sont sorties de la mer, se sont transformesreptiles et que les oiseaux se sont forms par lvolution comme ce fucas pour les reptiles.

Selon le mme scnario, les reptiles sont les anctres, pas seulement des oiseaux, mais aussi desmifres.Cependant, il y a de grands carts structurels entre les reptiles, qui ont des cailles sur leurs corps, qude sang froid, et qui se reproduisent en pondant des ufs ; et les mammifres qui ont de la fourrurleurs corps, qui sont sang chaud, et qui se reproduisent en donnant naissance une progniture vivUn exemple simple pour mieux apprhender les barrires structurelles entre les reptiles et les mafres est la structure de leur mchoire. Les mchoires infrieures des mammifres ne se constituendun seul os mandibulaire et les dents sont places sur cet os. Chez les reptiles, toutefois, il y a troios des deux cts de la mchoire infrieure.Une autre diffrence de base est que tous les mammifres ont trois os dans leur oreille moyenne teau, enclume et trier). Chez tous les reptiles, il ny a quun seul os loreille moyenne. Les vo

nistes affirment que la mchoire des reptiles et leur oreille moyenne ont volu graduellememchoire et oreille de mammifre. Mais la question de savoir comment ce changement sest produsans rponse. En particulier, la question de savoir comment une oreille avec un seul os a volu en

LES MAMMIFERESMARINS ET LES OURS

Les mammifres marins,comme les dauphins et les baleines,

sont les animaux primaires qui mirent les vo-lutionnistes dan

parlez moi de la creation

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