paris ouest - mars 2013

ELLE ESTPAS BELLE

LA VIE ?!

Mars 2013 - www.lebonbon.fr

Photos © Flavien Prioreau www.flavienprioreau.comTél. : +33 6 98 31 34 92 Modéle : Clémence Roquette

1 — OUEST

édito 'Bon'jour !Président

Jacques de la Chaise

[email protected]

Photo couverture

Flavien Prioreau

Rédactrice en chef

Marie Raymond

Graphiste

Gaëlle Lepetit

Secrétaire de rédaction

Louis Haeffner

Rédaction

Tiphaine Illouz, Juliette Roland

Lola Dumont

Photographe

Virginie Le Gall - www.terrificpics.fr

Partenariats et culture

Charlotte / 01 48 78 15 64

Dream Team

Odilon, Pauline, Marine, Mélanie,

Géraldine, Isis

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Sas Le Bonbon

12, rue Lamartine

75009 Paris

SIRET 510 580 301 00032

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06 37 02 22 61Régie grands comptes

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Chers Bonbons, Je pourrais vous parler de Pâques, des vacances, du printemps, bref du mois de mars, mais j’ai décidé de vous épargner ces sempiternels marronniers, et de vous laisser vous exprimer. Parce que c’est vous qui parlez le mieux du Bonbon, je vous ai croisé et demandé quelques mots doux au sujet de votre magazine préféré. Morceaux choisis. Jeanne, 45 ans « Parfois je vais à la boulangerie alors que je n’ai besoin de rien… par simple gourmandise et surtout pour trouver Le Bonbon ! » - Nico, 23 ans « Je suis sans cesse en recherche de bons plans, et vous êtes les meilleurs dans ce domaine ! » - Romy, 6 ans « Le Bonbon, c’est beau, presque autant qu’un bonbon à manger ! » - Charlie et Paul, 26 et 27 ans « On adoooore Le Bonbon !!!! » - Alex, 18 ans « J’adore reconnaître cer-tains commerçants que je connais, ça me donne l’impression que mon quartier est exceptionnel ! » Tout cet amour, ça donne envie de dénicher toujours plus de bons plans ! Merci Les Bonbons pour ces rayons de soleil printaniers !

Marie RaymondRédactrice en chef

3 — OUEST

VENDREDI 5 AVRIL AU DIVAN DU MONDE

sur invitation!: [email protected]

3 — OUEST

sommaire

6. Espace culturel Louis Vuitton

20. Sandrine Raffin

10. Alix Bénézech8. Ouest Home

12. Voisins solidaires 28. La Cité de l’architecture

5. Le Bon Timing6. La Bonne Expo

8. La Bonne Entreprise10. La Bonne Étoile12. La Bonne Asso

14. Les Bons Plans16. Le Bon en arrière

17. Les Bonnes Annonces18. Le Bon Astro

20. Le Bon Artisan

22. Le Bon Artisan24. La Bonne Balade

26. Les Bons Snapshots28. Les Bons P’tits Diables

30. Le Bon Agenda

Mars 2013

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PLANS & TENDANCES À PARIS

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ENFIN DISPONIBLE !

5 — OUEST

le bon timing Les événements à ne pas manquer !

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Théâtre sans animauxJean-Michel Ribes reprend la mise en scène d’une pièce écrite et jouée il y a dix ans, alors qu’il venait d’être nommé à la direction du Théâtre du Rond-Point. La pièce avait gagné deux Molière (meilleur spectacle comique et meilleur auteur), et a depuis continué son chemin. Le 5 mars – Théâtre du Rond-Point 2 bis, avenue Franklin-Roosevelt, Paris - 8e

Théâtre

Jane Birkin : Serge Gainsbourg & Jane via JapanAu lendemain de la catastrophe de Fukushima, Jane Birkin s’envole pour le Japon pour participer à un concert de soutien. Sur place, elle rencontre le quar-tet emmené par le pianiste et arrangeur Nobuyuki Nakajima. Elle lui a demandé de réarranger les chan-sons les plus célèbres de Serge Gainsbourg. Le 11 mars à la salle Pleyel – 252, rue du Faubourg Saint-Honoré, Paris - 8e – Tél. : 01 42 56 13 13

Concert

Esmeralda, Notre-Dame de Paris Paris, au XVe siècle. Quasimodo le Bossu, orphelin élevé

par le tyrannique Frollo dans la cathédrale de Notre-

Dame, tente de s’ouvrir au monde à l’aide de la belle

Esmeralda. Sur une chorégraphie de Marius Petipa et

d’Andrey Petrov, le Ballet du Kremlin, compagnie de

renommée mondiale, revisite l’œuvre de Victor Hugo.

Les 30 et 31 mars 2013 – Tél. : 01 40 68 22 22 - Palais des Congrès de Paris - Paris - 17e

Spectacle

Balzac, vu d’AilleursA l’initiative de la Maison de Balzac et de l’Université nationale des Arts de Taiwan, de jeunes artistes se sont immergés avec enthousiasme dans l’œuvre de Balzac. L’exposition présente à la fois leurs travaux et les textes de Balzac qui les ont inspirés. Et le visage de l’écrivain en ressort complètement transformé.Du 1er au 26 mars – Maison de Balzac 47, rue Raynouard, Paris - 16e – Tél. : 01 55 74 41 80

Expo

6 — OUEST 7 — OUEST


la bonne expo

Non Le Bonbon n’est pas en train de vous proposer de vous payer le dernier sac Vuitton, mais bel et bien de vous offrir un peu de culture. Au mois de mars, on fait donc un petit tour complètement gratuit à l’es-pace culturel Louis Vuitton, afin de découvrir leur vingtième exposition, dédiée au Mail Art : Corres-pondances.C’est une expo pas banale que nous propose la célèbre enseigne du 8e arrondissement puisqu’elle vise à regrouper des créateurs de générations et de sensibilités différentes dont le dénominateur com-mun est d’avoir, à quelques exceptions près, utilisé le courrier postal comme médium artistique. Dans les années 1950, 60 et 70, cette attitude s’inscrivait dans une volonté de court-circuiter le marché de l’art et de se tenir à distance des institutions. Les artistes des générations suivantes ont vu dans ce médium un moyen d’expérimenter des voies leur permettant de renégocier aussi bien les repères spatiaux que tem-porels d’une œuvre d’art fréquemment placée sous le signe de l’interactivité. L’exposition conjugue plusieurs ramifications du Mail Art. La première est historique en accordant une place majeure à l’artiste pionnier Ray John-son, rarement montré en France. Cet artiste est l’inventeur de la New York Correspondence School et entreprend à la fin des années 1950 des travaux conçus à base de lettres qu’il demandera à ses amis de parachever. Il ouvre ainsi la voie à des artistes comme Eleanor Antin, Alighiero Boetti et Jan Dib-bets qui s’approprient cette tendance synonyme de démarches reproductibles et majoritairement

gratuites, échappant à toute convention tradition-nelle. Cependant, ce ne sont pas exclusivement le marché et le lieu d’exposition qui sont mis à mal par l’art postal. C’est également le statut d’auteur, appelé à se démultiplier, comme l’incarne l’œuvre de Vittorio Santoro, voire à s’annihiler avec l’artiste Danh Võ au sein de réseaux de correspondances, simples ou complexes, mis en place par des expéditeurs pour ainsi dire dépendants de leurs destinataires. L’art de la correspondance est effectivement intimement lié à l’idée d’un réseau. Réseau du milieu de l’art, d’amis ou d’anonymes dont les acteurs sont solidarisés par une simple lettre ou un paquet dont les conte-nus, tantôt voilés comme Stephen Antonakos, tantôt dévoilés, sont souvent adaptés aux contraintes des dispositifs d’emballage dont Eugenio Dittborn et Walead Beshty jouent avec inventivité. L’art de la cor-respondance peut aussi recouper d’autres activités, notamment professionnelles, comme le démontre Kurt Ryslavy, permettant aux artistes de faire coïn-cider l’art et la vie. L’Espace culturel Louis Vuitton a souhaité également confier une carte blanche à deux artistes, une vidéaste, Clarisse Hahn, et un sculpteur, Guillaume Leblon.

Correspondances 1er mars – 5 mai 2013

Espace culturel Louis Vuitton - 60, rue de Bassano 101, avenue des Champs-Élysées - 8e

Tél. : 0 1 53 57 52 03 Ouvert du lundi au samedi de 12h00 à 19h00,

le dimanche de 11h00 à 19h00.

Espace Culturel Louis Vuitton

CORRESPONDANCES

Texte Marie RaymondPhotos DR


la bonne entreprise Publi-reportage Marie RaymondPhotos DR

REVISITEZ VOTRE INTÉRIEUR

Ouest Home

Vous souhaitez faire rénover entièrement votre appartement ou réaménager votre loft ? Conseil de Bonbon : faites appel à Nicolas et Juliette, les experts de l’Ouest en matière de travaux et d’archi-tecture d’intérieur.

Combien de fois a-t-on entendu cette phrase, pro-noncée des sanglots dans la voix, au sujet d’un appartement à vendre : « C’est sympa, mais il y a tout à refaire ! ». Pourtant si l’on a la chance de connaître l’existence de Ouest Home, c’est plutôt avec un sou-rire radieux que l’on s’exclame « C’est sympa et en plus il y a tout à refaire ! ».

Ouest Home, c’est en effet une entreprise qui pro-pose à la fois tous les travaux d’aménagement, et de l’architecture d’intérieur. Une double casquette por-tée de tête de maître par Nicolas et Juliette depuis maintenant 6 ans. Leur côté entreprise générale leur confère l’avantage de mettre à disposition des sala-riés en interne issus de tous les corps de métiers : maçons, carreleurs, électriciens, plombiers… Et leur expertise en ce qui concerne l’architecture d’inté-rieur leur permet de vous offrir un home sweet home unique. « Si vous achetez un appartement, nous pouvons gérer

votre projet d’aménagement de A à Z, et l’avantage est que vous n’aurez à faire qu’à une seule personne durant toute la durée des travaux », explique Nicolas. N’hésitez pas à venir les voir, que ce soit avec un gros projet ou un appartement 2 pièces. Notre duo pousse les murs, transforme l’espace. Chez Ouest Home, tout est pensé pour optimiser.Et si vous manquez d’idée pour l’agencement, l’amé-nagement, la rentabilité de l’espace, qu’à cela ne tienne. Nicolas et Juliette ne sont pas avares de bons conseils.

Juliette est architecte d’intérieur/designer diplômée, et le duo propose un style très identifiable, une véri-table signature Ouest Home. « Nous proposons sou-vent une déco qui mélange ancien et très moderne, des gris mélangés à des couleurs vives. Nous aimons les cheminées, les étagères maçonnées assez épaisses, les lits en lévitation… », raconte Nicolas en feuilletant l’impressionnant album de ses réalisa-tions. Alors vivement le début des travaux !

Ouest Home20, rue de Bucarest - 8e

Devis gratuit sur rendez-vous www.ouest-home.com Tél. : 01 81 29 04 91


la bonne étoile

En quatre ans, la belle Alix a déjà fait chavirer le cœur de nombre de réalisateurs. Lorsque Le Bon-bon la rencontre dans le 17e arrondissement, la jeune femme est d’ailleurs en fin de tournage pour Des Lendemains qui chantent, avec Laetitia Casta, Gaspard Proust, Pio Marmai et Ramzy. Fan de Louis de Funès, Alix se décrit comme un Pierre Richard au féminin, une maladresse qui lui confère, selon nous, un charme fou ! Laissez-vous séduire…

Comment es-tu devenue comédienne ?Je fais du théâtre depuis que je suis toute petite, mais c’était simplement une passion, je ne pensais pas forcément en faire un métier. En plus, mon père était totalement opposé à l’idée que je devienne comédienne. Il était professeur de Lettres et comme j’étais très bonne élève, il souhaitait que je poursuive un cursus classique. C’est une prof de prépa qui m’a dit un jour que je n’étais pas à ma place dans ce par-cours, que j’avais l’air malheureux. J’ai donc quitté Strasbourg pour Paris et j’ai commencé dans une websérie.

Quelle est ta première « rencontre » importante au cinéma ?J’ai très vite joué dans Vénus noire d’Abdellatif Kéchiche. C’est lui ma première rencontre forte. D’ailleurs nous sommes restés en contact et il suit ma carrière.

Tes plus grands rôles au cinéma jusqu’à aujourd’hui ?J’ai joué plein de rôles très différents. Je suis l’un des premiers rôles d’Article 23 de Jean-Pierre Dele-pine. Le film est sorti le 12 décembre et vient d’avoir le classement Art et Essai. Je viens également de tourner un premier rôle dans La Vie nous appartient réalisé par Alex K. Lee. On espère une sortie Cannes pour ce film ! En ce moment, je joue Turlu, une play-mate des années 80 pour le film Des Lendemains qui chantent ! (rires). En septembre, je vais jouer Anita, le premier rôle féminin d’Echiman réalisé par Anthony Gramoso et Roger Gnoan M’Balla. C’est un rôle magnifique, proche de celui de Scarlett dans Autant en emporte le vent. J’ai aussi un premier rôle dans Le Quepa sur la Vilni réalisé par Yann le Quellec qui sera

Alix BénézechELLE A TOUT D’UNE GRANDE

Texte Marie RaymondPhoto DR


diffusé en mars prochain sur Canal+ (avec Bernard Menez et le chanteur Christophe). J’ai toujours eu le sentiment de ne jamais faire assez, d’avoir du retard à rattraper. Alors je travaille beaucoup ! (rires)

Tu fais un peu de théâtre ?Oui, j’ai travaillé en rôle principal dans Le Fantôme de l’Opéra et dans Les Serments Indiscrets de Mari-vaux. En ce moment, je répète le rôle d’Elvira, dans Elvira d’Anca Visdei. C’est la fille du commandeur qui revient voir Don Juan devenu vieux pour se venger. Je trouve l’idée formidable !

Ton rêve ?Travailler avec Audiard ! Son cinéma est celui qui est

le plus proche de la vie. Il va chercher en profondeur, fait tomber les masques de ses comédiens. Ce serait exceptionnel de tourner avec lui.

Ses bonnes adressesBoutique Leonard

36, avenue Pierre 1er de Serbie - 8e

Le Paris-London au 16, place de la Madeleine - 8e

—Alix soutient l’association Les Papillons de Charcot :

www.lespapillonsdecharcot.comwww.alixbenezech.fr


Il y a près de 15 ans naissait un hit de la vie pari-sienne : la Fête des Voisins. Devant le succès de ces rencontres autour d’une quiche et d’un verre de rouge, ses créateurs ont lancé « Voisins solidaires », afin de lier convivialité et solidarité.

Mobiliser les habitants pour développer les solidari-tés de proximité, c’est le but de l’association Voisins solidaires dirigée par Anastase Périphan, au cœur du 17e arrondissement.Le constat de base d’Anastase est simple : « Nous vivons dans une société où, malheureusement, le repli sur soi et l’indifférence progressent, et où l’in-dividualisme et l’isolement fragilisent le lien social ». Alors, lorsqu’il s’aperçoit du succès de la Fête des Voisins, il décide que chaque jour peut être une fête du voisinage si chacun décide d’y mettre un tout petit peu du sien. L’association Voisins solidaires part du principe que chacun a de la valeur et peut être utile à l’autre. Vous achetez la baguette de votre vieille voisine Albertine ? Elle vous gardera votre chat cet été. Michel vous prête sa perceuse ? Vous le lui rendrez en prenant son courrier ce week-end. Ce sont ces gestes simples, mais qui créent le lien, que prône l’association. D’ailleurs, afin de boos-ter cette entraide et multiplier les rencontres, Voi-sins solidaires propose, en plus de la célèbre Fête des voisins, une foule de rendez-vous annuels. Au

programme ? Le Noël des voisins, l’été des voisins, la rentrée des voisins… Mais aussi, la possibilité, par exemple, de se déclarer Eco-voisin, et de devenir le relais d’informations de son immeuble sur le tri des emballages. Ainsi, si vous êtes un Vert dans l’âme, vous pourrez aider Henriette à trier correctement, descendre la poubelle de tri de Gustave et expliquer à Clémence comment trier le plastique.

Le 17e solidaireComme dans l’ouest on a toujours un pas d’avance, Voisins Solidaires a décidé d’y lancer son nouveau plan d’attaque, le Plan 17e solidaire. Pour cela, l’as-sociation cherche le soutien des habitants qui sou-haiteraient devenir le relais de la mairie et de l’asso dans l’immeuble. Leur rôle : relayer les infos munici-pales (plan grand froid, canicule, crise sanitaire…) et signaler à la mairie un(e) voisin(e) de l’immeuble qui aurait besoin d’aide.

Alors, si vous êtes solidaires, n’hésitez pas à vous signaler à l’association !

Voisins solidaires26, rue Saussier Leroy, Paris - 17e

Tél. : 01 42 12 72 72www.voisinssolidaires.fr

Voisins solidaires!

la bonne asso Texte Marie RaymondPhoto DR

LES BONS CÔTÉS D’ÊTRE À CÔTÉ


les bons plans

Diva et ChocolatsUne divine idylle

Diva et Chocolats, c’est la boulangerie que tout l’Ouest parisien envie à la rue des Dames. D’ailleurs pour venir goûter les pâtisseries de Jérôme et papo-ter avec Sabine, on n’hésite pas à traverser la capi-tale…

Sabine et son frère Jérôme ont repris la boulangerie le 25 octobre 2011 pour le plus grand bonheur de nos palais. Car chez Diva et Chocolats, on se damne pour les pâtisseries traditionnelles concoctées par Jérôme à l’aide de savoureux produits. « Mon frère est maître pâtissier et a une foule d’idées. Il crée par exemple de sublimes éclairs à la rose et à la violette », confie Sabine. Dans ce paradis de gourmands, on craque aussi pour le gâteau Louisiane, à base de mousse au chocolat avec un biscuit brownie et un croquant chocolaté, ou encore pour le gâteau des Dames, composé d’une mousse au chocolat et d’un coulis de framboise. En toute gourmandise, Le Bonbon recommande chaudement le Fleur de sel, un gâteau à la mousse au chocolat avec bulles de caramel au beurre salé et nappage de caramel beurre salé. Dans cette boulangerie de quartier, les amateurs de pain ne sont bien sûr pas en reste, et le duo propose une gamme de pains assez large : pain aux céréales, pain

de seigle, pain des bois (au blé et seigle avec graines de lin et graines de tournesol)… Et pour Pâques, Diva et Chocolats nous promet une gamme de chocolats maison, et quelques surprises. Entre autres, des lapins crétins en chocolat, des poules stylisées, des œufs décorés, bref de quoi se régaler et s’amuser lors de l’arrivée des cloches. Et en plus de se régaler, chez Diva et Chocolats, la clientèle peut apprécier tous les avantages d’une boulangerie de quartier. On plaisante ici avec Sabine comme avec une bonne copine, et l’ambiance de la boutique est toujours très amicale et chaleureuse. Il n’est pas rare d’entendre des rires s’échapper par la porte, ce qui fait de la boulangerie l’une des plus sympas du 17e arrondissement.

Diva et Chocolats100, rue des Dames - 17e

Tél. : 01 43 87 25 37—

Du lundi au samedi de 7h30 à 20h30Le dimanche de 8h à 19h

Fermé le jeudi Retrouvez Diva et Chocolats sur Facebook

Publi-reportage Marie RaymondPhotos Odilon Corby


les bons plans

IntaglioFaites bonne impression

Dans le quartier des Batignolles, l’imprimerie tra-ditionnelle Intaglio confectionne vos faire-part et cartes en tout genre avec goût et raffinement. Grâce à leur aide, vous ne pourrez faire que très bonne impression.

L’imprimerie Intaglio s’est installée dans les Batignolles il y a 16 ans. Puis, il y a 3 ans, l’équipe a investi un sublime espace de la rue Lemercier et y a installé sa boutique, juste en face de l’atelier. « Nous faisons du travail à façon pour le particulier. Notre cheval de bataille, c’est le très beau faire-part de mariage. D’ailleurs, nos jeunes mariés sont souvent fidèles et reviennent nous voir pour les faire-part de naissance », s’enthousiasme Stéphane, aux commandes de l’imprimerie. Leur technique, élaborée sur d’anciennes presses restaurées : de la gravure à chaud, qui apporte de la brillance et permet, par exemple, de travailler l’impression claire sur du papier foncé, pour une allure très sophistiquée.

À l’image des arts graphiques, un milieu très riche, Intaglio propose une foule de belles choses, grâce au talent de Stéphane et d’Anne, styliste et coloriste, qui a rejoint son époux dans l’entreprise il y a 16 ans.

Outre les faire-part, l’imprimerie est connue pour sa très belle collection annuelle de cartes de vœux. En 2013, vous avez peut-être reçu leur carte en forme de 45 tours qui, reprenant les Beatles, nous rappelait que All you need is love. On aime aussi leurs cartes objets, cartes cubes, cartes spirales, imprimées sur de très beaux papiers aux mille variantes de couleurs.

Pour les professionnels qui veulent être inoubliables, Intaglio imprime des cartes de visites sublimes que personne n’osera jeter à la poubelle ! « Nous tra-vaillons beaucoup pour les jeunes indépendants à qui il ne manque qu’une chose : une belle carte de visite », confie Stéphane en saisissant une superbe carte 100% coton imprimée en lettres blanches sur papier blanc.

Alors, une petite visite chez Intaglio ?

Intaglio 87, rue Lemercier - 17e

Tél. : 01 40 25 34 66www.intaglio.fr

Publi-reportage Marie RaymondPhotos DR

16 — OUEST

En se baladant tranquillement aux alentours du Tro-cadéro, notre œil rencontre avec émerveillement un authentique fleuron de l’architecture nouvelle.

Au 25 bis de la rue Franklin s’élève avec majesté un immeuble atypique dont le permis de construire a été déposé en 1903 par les frères Perret. Sa particu-larité réside principalement dans l’enfoncement des façades et dans la sobriété des ferronneries. Ici, la structure commande l’aspect. Constituée principa-lement de grès, la façade a cependant été stylisée avec soin par Alexandre Bigot dans des chromatismes limités, offrant un jeu de lumière tout à fait original pour l’époque. Les angles droits et abruptes ménagent différents balcons, permettant à l’immeuble de se diviser en différentes pièces à vivre, aussi nova-trices de l’intérieur que de l’ex-térieur. Souhaitant inscrire leur nouveauté dans un quartier très élégant de la capitale, ils en profitent pour se démarquer largement des « immeubles de rapports », sortes d’immeubles résidentiels dont le seul intérêt est de proposer des logements dévolus à la seule domes-ticité. Ainsi leur bâtiment, par son esthétique à la fois sommaire et pratique, renouvelle l’architecture

d’habitation. Au niveau de la décoration, la simplicité et l’élégance sont encore une fois de mise. Des fleurs art nou-veau en carrelage dans l’embrasure des fenêtres, des portes imposantes mais au raffinement certain composent la majeure partie de l’embellissement de l’immeuble, l’effet principal étant produit par la structure même du bâtiment, dont les murs por-teurs en béton sont revêtus d’un simple carrelage. Les espaces joignant ces murs sont principalement

occupés par de grandes fenêtres, permet-tant à la lumière de se refléter avec

chaleur et provoquant un effet de miroir des plus efficaces.

Il y a fort à parier que les rive-rains de l’époque, voyant sortir de terre ce géant de verre et de béton, ont mis du temps à s’habituer aux nou-

velles lubies des frères Per-ret. Aujourd’hui encore le 25

bis, rue Franklin frappe par sa majesté et sa beauté, autant qu’il

jure par son aspect prolétaire, dans un quartier hautement résidentiel. Allez

faire un tour près du Trocadéro, il n’y a pas que la tour Eiffel, le champs de Mars et les skateurs à voir, l’histoire nous a offert un beau bout d’architecture, comme on aime à les observer un dimanche après-midi venteux, en mangeant des cacahuètes grillées.

25 bis,rue Franklin

PERRET ET FRÈRE

le bon en arrière Texte Louis HaeffnerPhoto DR

16 — OUEST

Création - Déco - Cadeaux28, avenue Mozart - 16e - Tél. : 01 45 24 21 11Ouvert du mardi au samedi de 10h30 à 19hwww.deco-euphrosine.com

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20 — OUEST 21 —

les bons plans

Lorette et JasminSacs à main à louer

Le Bonbon a rencontré Lorette dans son dépôt-vente, à l’occasion de sa soirée de lancement de location de sacs à main rares et vintages. Une soi-rée pleine de femmes, de rires, de bonne humeur, de cupcakes. Bref, un vrai rendez-vous de copines.

Ce soir-là, Lorette nous a tout raconté. Cette com-merçante tout feu tout flamme a racheté le magasin il y a bientôt 2 ans. Et dans ce court laps de temps, elle a dépoussiéré le concept du dépôt-vente. Finies les vieilleries froissées dans un coin de boutique. Ici, on peut acheter des pièces uniques et louer des sacs à main de luxe, pour un prix très Bonbon. Après avoir donné un coup de jeune à la boutique, Lorette a décidé de chouchouter ses clientes. Elle les accueille avec le sourire, connaît leur prénom, leurs histoires, leurs goûts. « Mon envie était de créer un lien social très fort. Avec mes clientes, nous sommes une vraie communauté de femmes solidaires », raconte Lorette. Et pour les satisfaire, Lorette a été encore plus loin. Elle a eu l’idée de génie de faire de la location de sacs à main. Un concept qui n’existait jusqu’à présent que sur Internet et que Lorette a voulu rendre plus acces-sible et chaleureux. « J’avais envie que les femmes viennent me voir, essaient les sacs, me demandent des conseils », confie Lorette. Tous les sacs sont uniques et font partie de la collection personnelle

de notre hôtesse. On les loue pour 3 jours, 1 semaine ou 15 jours. Bien sûr, Lorette fait aussi des locations sur-mesure pour ses clientes. Au Bonbon, on adore sa collection (qui va peu à peu s’enrichir). Nos coups de cœur ? Le Birkin d’Hermès, le Speedy de Kusama, le Lady Di de Dior, la pochette Swarovski (un modèle unique), et l’indémodable sac Chanel.Bien sûr, on n’oublie pas la partie dépôt-vente, activité principale de Lorette et Jasmin, et cité par « Paris Pas Cher » parmi les moins chers de la capi-tale et les plus sympathiques !Et qui dit pas cher ne nie pas la qualité des pièces de la boutique. Ici, on se rue sur du Vintage St Lau-rent (superbes chemisiers St Laurent Rive Gauche), des Pleats Please d’Issey Miyake, des bottes de pluie Chanel.

Lorette et Jasmin, c’est un peu le paradis des modeuses Bonbon !

Lorette & Jasmin6, rue François Millet - 16e

Tél. : 01 45 25 41 36—

Du mardi au samedi : de 10h30 à [email protected]

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Texte Marie RaymondPhotos Odilon “Bill” Cosby

20 — OUEST 21 —

le bon puits

La Fontaine du square LamartineDe l’eau, de l’eau, de l’eau de puits.

Savez-vous que dans le 16e, au cœur du petit square Lamartine, se cache une des meilleures eaux qui soit ? Elle jaillit de l’un des 3 puits artésiens de Paris, et ses vertus sont uniques. Le Bonbon partage avec vous ce secret bien gardé des habitants du quar-tier…

France Gall résonne dans vos oreilles, et vous chan-tez déjà à tue tête « De l’eau, de l’eau, de l’eau de pluie, de l’eau de la haut » ? Et bien vous avez tout faux ! Car c’est bien d’eau de puits que je vais vous parler. Car dans le square Lamartine, la fontaine de pierre qui trône fièrement n’est autre qu’un puits artésien. C’est-à-dire un puits dont l’eau jaillit naturellement. Il n’en existe que 3 à Paris, et le 16e a la chance d’en posséder un. L’eau qui en coule, c’est de l’eau de l’Al-bien. Elle provient de la nappe albienne, une nappe souterraine profonde qui s’étend sous l’ensemble du bassin parisien à plus de 500 mètres de profondeur ! Elle se trouve, dans ce qu’on appelle en toute simpli-cité, les aquifères du Crétacé inférieur…

Une eau minérale gratuiteL’eau de l’Albien fait un carton dans le 16e où les habi-tants la trouvent souvent bien meilleure que les eaux minérales achetées en magasin. Et pour cause, c’est une eau faiblement minéralisée, ferrugineuse. Afin

de réduire sa quantité de fer, qui est naturellement supérieure à la norme de santé publique, elle subit un traitement de déferrisation. C’est une eau très pure et d’extrêmement bonne qualité puisqu’elle est très bien protégée des pollutions de surface. Elle est peu chargée en calcium et les consommateurs en apprécient les apports en sels minéraux, ainsi que ses bienfaits pour la santé. D’ailleurs si vous pas-sez dans les environs, vous verrez qu’il n’est pas rare de voir des habitués venir s’approvisionner en rem-plissant plusieurs bidons. N’hésitez pas à la goûter, cette eau cristalline qui nous vient des profondeurs de la terre. Et si vous aimez l’eau fraîche, sachez que cette eau sort à une température supérieure à 20°.

Alors mieux vaut passer par la case frigo avant de la consommer. Et si vous souhaitez en rapporter à la maison, ne la gardez pas plus de 24 à 48 heures. Attention ! Sa consommation régulière ne convient pas aux tout petits car elle est naturellement riche en fer et en fluor.

Santé !

La Fontaine du square Lamartine16e

Texte Isabelle GanPhoto DR

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le bon artisan Texte Tiphaine IllouzPhoto Virginie Le Gall www.terrificpics.fr

Un grand soleil nous accompagne dans le quartier historique et patiné des luthiers-archetiers, pour y rencontrer Sandrine Raffin, « femme et pure arche-tière ».

Fille de luthiers-archetiers, c’est en 2007 qu’elle ouvre l’Atelier Raffin, après des études à l’Ecole Nationale de Lutherie Mirecourt dans les Vosges. Elle y fabrique, répare, entretient, mais aussi res-taure et vend des archets neufs et anciens. Pour-quoi l’archet ? « Pour moi c’est un instrument à part entière, pas un accessoire. C’est le prolongement de la main ».

L’archet est avant tout affaire de précision : il doit peser 60 grammes, mesurer 73 cm, et être parfai-tement équilibré. Il est constitué de quatre parties: la baguette, ici en bois pernambouc, bois brésilien oscillant d’un ocre blond à un rouge chocolaté ; la hausse, coulissante, qui assure la tension des crins, et peut être en ébène, ivoire ou écaille ; à l’Atelier Raf-fin, Sandrine n’utilise presque exclusivement que de l’ébène. Puis, le bouton, en maillechort, or ou argent,

et souvent décoré de nacre. Enfin, la mèche, consti-tuée de crin de cheval. Le choix des matériaux est la signature de l’artisan archetier ; « Ma préférence se porte sur l’ébène, et l’or rose ». Alors que la luthe-rie nécessite uniquement du bois, Sandrine voyage beaucoup depuis son atelier parisien : « Le crin vient de Mongolie, l’ébène de Madagascar, la nacre de Tahiti… ». Un bon archet se résume en quatre mots : « équilibre, poids, balance, et réactivité ».

Peut alors commencer à se nouer la relation entre l’archet, l’instrument et le musicien. Pour les com-mandes sur-mesure, soit en reproduction, soit en pure création, il est nécessaire pour Sandrine de comprendre le musicien : « Comme quand quelqu’un dit “j’aime bien Picasso”, on peut répondre à la ques-tion “vous êtes plutôt modernes ou classiques ?”, et me donner des noms d’archetiers célèbres, ça m’aide à présélectionner plusieurs archets, allant du plus souple au plus nerveux ». Puis, il faudra s’armer de patience pour un archet neuf : « en soi, la fabrication d’un archet prend 1 semaine, mais il faut la conci-lier avec le plan de travail de l’atelier. En moyenne,

Sandrine Raffin

FEMME ARCHET


3 mois d’attente sont nécessaires ». La partie vouée à la restauration est sans doute la plus émouvante, et nécessite la plus grande concentration de la part des artisans : « Quand on restaure une pièce qui a 100 ans d’âge, donc née avant soi, et qui continuera à vivre après, on intervient tout en restant en retrait, un peu comme s’il s’agissait d’une vieille personne avec son caractère, ses défauts. On va chez son archetier comme on va chez son médecin de famille, car on confie bien plus qu’un outil de travail : il y a une ren-contre qui se joue entre tout musicien et son archet ». Labellisé « Entreprise du Patrimoine Vivant », l’Ate-lier Raffin peut accueillir des apprentis archetiers :

« Il faut compter 3 ans de formation, un vrai appren-tissage de l’exigence ». Comme le disait Giovanni Bat-tista Viotti, « le violon, c’est l’archet », mais sans bon artisan(e), point de bon archet.

Atelier Sandrine Raffin Archetiers

68, rue de Rome - 8e

Tél. : 01 43 87 77 [email protected]

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la bonne balade

On l’a attendu tel le messie, et ça y est, le Printemps arrive. L’occasion de s’aérer les poumons, de bala-der grand-mère et de faire courir les enfants, en empruntant les promenades vertes parisiennes.

Et des promenades vertes dans l’ouest, on n’en a même plusieurs. Dans le 16e, chaussez vos baskets et gambadez allègrement sur la petite ceinture, une ancienne ligne de chemin de fer à double voie qui faisait le tour de Paris à l’intérieur des boulevards des Maréchaux. Désaffectés depuis 1934, ses rails rouillés sont aujourd’hui envahis par une flore sau-vage à la biodiversité inhabituelle, comptant plus de deux cents espèces végétales et au moins soixante-dix espèces animales. Au début de l’année 2008, un premier tronçon a été ouvert aux promeneurs et devrait être suivi par d’autres dans les prochaines années. Vous vous baladerez entre la porte d’Auteuil et la gare de la Muette, sur une bande de terre de 1500 m accessible à tous, y compris aux personnes à mobilité réduite, qui pourront emprunter les fau-teuils tout-terrain mis à leur disposition. Souvent méconnu des Parisiens eux-mêmes, ce chemin vert, trace d’une capitale champêtre, est à emprunter sans attendre. L’entrée se situe au croisement de

la rue Ranelagh et du boulevard Beauséjour (juste après le cordonnier). Amis Bonbons du 17e, pas de jalousie qui tienne puisque la promenade Pereire, entre la Porte Maillot et la place du Maréchal Juin, vous ouvre ses bras verdoyants. Cette promenade rend hommage aux frères Pereire, Jacob Emile (1800-1875) et Isaac Pereire (1806-1880).

D’une superficie de 14 330m!, cette ballade verte a été réalisée en 1889 suite à la couverture des voies ferrées de l’ancienne ligne de la Petite Ceinture occupée à cet endroit par la ligne du RER C entre la Porte Maillot et la place du maréchal Juin au centre du boulevard Pereire. Elle passe sous la place du général Koenig à la Porte des Pernes.

La promenade est rythmée par des espaces clos où les riverains peuvent se reposer, au milieu de magni-fiques massifs de rosiers, et par des espaces ouverts. Vous y découvrirez la « rose de Ronsard », les massifs de plantes de terre de Bruyère (Magnolias Stellata, Bruyères, Rhododendrons, Pieris, Azalées, Camélias) où plantes vivaces (Pivoines, Hemerocalle) rivalisent avec les plantes grimpantes (Clématites, Houblon, Glycine, Chèvrefeuille) s’agrippant aux pergolas.

Promenades Vertes

LA CAMPAGNE À PARIS

Texte Marie RaymondPhoto DR

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Il vous suf"t de prononcer le mot magique le Bonbon au moment de payer et vous béné"cierez de l’offre annoncée !


les bons petits diables Texte Juliette RolandPhoto DR

Chers parents, si vos bambins ne partent pas au ski cet hiver, si mamie vous lâche au dernier moment, bref si vous vous retrouvez avec vos bons petits diables sur les bras : ne paniquez pas ! Non, les vacances des petits ne sont pas fichues, même s’ils restent à Paris. On remercie qui ? La Cité de l’archi-tecture, qui va faire adorer la ville à vos petits pari-gots lassés du bitume.

Pendant tout le mois de mars, la Cité de l’Architec-ture accueille les enfants à bras ouverts.Stages, ateliers, expos, on ne sait plus où donner de la tête. Et en plus, il y en a pour tous les âges. Dès le début du mois, les ados de 10 à 14 ans sont invités dans La cité mystérieuse. Lors de ce stage, ils arpenteront la cité, munis d’un appareil photo, apprendront à décrypter les images et réaliseront un petit film sur l’architecture. Nos ados pourront aussi choisir le stage Morceaux de ville de Papier mené par la plasticienne et designer papier, Maud Vantours. Celle-ci proposera aux enfants de construire un mor-ceau de ville imaginaire… Pour les 9-14 ans, un peu de pliage et de découpage, lors d’un stage où les enfants inventeront les formes d’un bâtiment et s’initieront à la fabrication d’une maquette avec l’architecte Pauline de Divonne. Et pour les 8-12 ans, la Cité propose le stage Pop-up ville, au cours duquel Candice Hayat, plasticienne, initiera les enfants aux différentes techniques du pop-up. Ces derniers seront invités à réaliser de petites architectures puis à concevoir une mise en

scène collective de ville, le tout dans un univers poé-tique et coloré.

La Cité en familleChers parents, ne soyez pas jaloux. Si cela vous fend le cœur de laisser vos minots seuls avec leur pain au chocolat devant la porte de la Cité de l’Architecture, et bien venez avec eux. Chaque dimanche, jusqu’au 30 juin, vous pourrez en effet venir construire votre ville en famille et jouer avec des pierres Anker, des briques LEGO ®, des tiges K’NEX © ou des plan-chettes Kapla © ! Au cours d’une visite du musée conçue comme une chasse au trésor, parents et enfants partent à la recherche de maquettes éton-nantes. Le but : retrouver les bâtiments d’une ville mystérieuse ! En atelier, vous contribuerez tous ensemble à la construction de cette ville imaginaire et éphémère…

Cité de l’Architecture et du patrimoinePalais de Chaillot

1, place du Trocadéro - Paris 16e

Tél. : 01 58 51 52 00Stages : Durée : 3 séances de 3h / de 14h30 à 17h30

Tarif forfaitaire : 85 " / 14 enfants max par stage Réservation : [email protected]

Informations : 01 58 51 50 19—

Atelier : Dimanche à 15h30 Durée : 1h30 / Tarif : 8 " par participant

La Cité de l’architecture

LES PETITS INVENTENT LA VILLE


le bon agenda Agenda des manifestations culturelles

THÉÂTRE

Du 17/01 au 3/03 La Réunification des deux Corées aux Ateliers Berthier, Paris 8e

Du 6/02 au 3/03 Jacques Gamblin au Théâtre du Rond Point, Paris 8e

Le 5/03 Théâtre sans animaux au Théâtre du Rond Point – Paris 8e

Du 19/03 au 14/04 Jeux de cartes 1 : Pique au Théâtre National de l’Odéon aux Ateliers Berthier, Paris 17e

Jusqu’au 23/03 Kheiron à l’Européen – Paris 17e

CONCERTS

Le 11/03 Jane Birkin : Serge Gainsbourg & Jane via Japan à la salle Pleyel, Paris 8e

Le 14/03 Hôtel du Rock au Jazz Club Etoile, Paris 17e

BALLETS

Les 30 et 31/03 Esmeralda, Notre-Dame de Paris Palais des Congrès, Paris 17e


le bon agenda Agenda des manifestations culturelles

MUSÉES, EXPOS

Du 21/02 au 30/06 Exposition hommage à Marie Laurencin au Musée Marmottan-Monet, Paris 16e

Jusqu’au 17/03 Hiroshige, l’Art du Voyage à la Pinacothèque, Paris 8e

Jusqu’au 30/03 YSL à Paris à la Fondation Pierre Bergé, Paris 16e

Du 20/02 au 15/07 Exposition Marcel Breuer (1902 - 1981) à la Cité de l’architecture et du patrimoine, Paris 16e

Du 1er/03 au 26/03 Balzac, vu d’Ailleurs à la Maison de Balzac

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les bonnes adresses Régie [email protected]

06 37 02 22 61

LE COMPTOIR BOÉTIE99, rue la Boétie - 8e

Tél. : 01 43 59 21 49

EUPHROSINE28, avenue Mozart - 16e

Tél. : 01 45 24 21 11

OPTICIEN KRYS94, rue Legendre - 17e

Tél. : 01 46 27 71 26

LA BOUTIQUE DE K ROLL.COM86, rue de Lévis - 17e

Tél. : 09 50 34 95 47

L’ATELIER D’ISABELLE105, avenue de St Ouen - 17e

Tél. : 01 45 72 58 82

LORETTE & JASMIN6, rue François Millet - 16e

Tél. : 01 45 25 41 36

HUASHIS CHOCOLATS53, rue de Tocqueville - 17e

Tél.: 01 71 60 60 55

GLADY’S26, rue de Maubeuge - 9e

Tél. : 01 48 78 70 14

32 — OUEST

Joakim, Koudlam, Jérome Echenoz, Gilb’r, Les Fils du Calvaire, Christophe, Greg Kozo, Sylvie Vartan, 178°, Appaloosa, Arthur-S,

David Lynch, Jef Barbara, Brigitte Fontaine…

- Objet Sonore - La B.O. de la nuit parisienne

en physique et digital

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paris ouest - mars 2013

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