Parfums naturels à faire soi-même

Christiane Berger

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• Autobiographie •

Née le 30 mars 1958 à Munich, j’ai passé les premières années de mon enfance dans un lieu à cette époque encore idyllique : Eibsee près de Garmisch Partenkirchen, au pied de la plus haute montagne de la Bavière, la Zugspitze. Ces années ont certainement fortement marqué ma vie. En tout cas, j’ai encore aujourd’hui des souvenirs extraor-dinaires de promenades en forêt avec mes parents où nous cherchions des baies et des champignons sauvages. La forêt était pour moi un lieu magique où je « rencontrais » des nains. Je cherchais leurs habitations qui pour moi étaient sans aucun doute de vieux troncs d’arbres creux. Je voyais, dans des petites entrées de terriers sous des souches où de grosses racines dépassaient, des entrées vers leur royaume – ça sentait la mousse, la terre, le sapin… À l’âge de cinq ans et demi, je fus arrachée brus-quement de ce monde magique par le déménage-ment de mes parents dans ce qui me semblait être un monde gris et sans intérêt. Dorénavant, mon

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monde et mes échanges avec ses êtres « invisibles » n’existait pour moi plus que dans mes rêves…

Une nouvelle porte du paradis s’ouvrit à moi quand je fis la découverte consciente des huiles essentielles. Je commençai donc à faire des mélanges pour le diffuseur, pour les bains, les huiles de mas-sage et finalement pour faire des parfums naturels. Le monde des mélanges des huiles essentielles que je découvris au jour le jour me fascinait de plus en plus. Ma vie était de nouveau pleine de couleurs (et d’odeurs !). Depuis, j’ai lu de nombreux livres sur ce thème, sur les plantes et leur utilisation, fait beau-coup d’expériences et suivi des stages.

La cuisine aux huiles essentielles me fascinait également et beaucoup de recettes classiques se trou-vaient agrémentées des ces merveilleuses essences.

Aujourd’hui, je propose des stages et entre-tiens personnalisés autour des huiles essentielles et l’Ennéarôme à la Maison du Bien-Être à Mollkirch-Laubenheim (Alsace) dans un cadre qui permet aux personnes à la recherche de leur être profond et d’un équilibre personnel, dans notre monde où l’artificiel a pris une telle dimension, de trouver le calme, le soutien de la nature et un guide olfactif via nos amis les « Esprits des Plantes ».

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• Avant-propos •

Ma rencontre avec les essences

Consciemment, j’ai commencé à utiliser les huiles essentielles peu après la naissance de mon premier fils Christophe, qui a aujourd’hui 30 ans. Certes, pendant mon enfance ma mère mettait par-fois quelques gouttes d’une huile essentielle dans un diffuseur, mais ceci ne m’avait pas franchement marqué. Ma vraie découverte fut lente et allait de paire avec le changement de la médecine classique, via l’homéopathie, pour arriver enfin aux plantes et huiles essentielles, non seulement pour le bien-être parce que « ça sent bon » ou « ça enlève une mauvaise odeur », mais aussi et surtout pour me soigner, me « sauver » d’un gros coup de blues, etc. Ensuite, les huiles essentielles ont pris une place plus importante dans notre vie familiale, surtout pour moi notam-ment à partir de la naissance de mon troisième fils Fabrice, qui a maintenant 21 ans ; il m’était devenu impensable de vivre sans ces aides précieuses autant pour le soin que pour la fabrication de mes propres cosmétiques maison – voire même de parfums.

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Quand j’ai rencontré il y a plus de dix ans Thomas Kinkele – qui a créé le système Ennéarôme – le lien entre les messages des plantes et la psychologie de l’être humain m’a fasciné et j’ai, après plusieurs stages et de la pratique, fait ma formation pour devenir pra-ticienne Ennéarôme chez lui. Depuis lors, les arômes m’accompagnent pour ainsi dire tous les jours. Nombreuses sont les personnes qui apprécient leur parfum personnalisé qui pour certains n’est rien de plus qu’un parfum subtil qui souligne leur person-nalité alors que pour d’autre, ce mélange est devenu une véritable aide sur leur chemin de la vie.

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• Introduction •

L’univers des odeurs

Le parfum a cette force invisible qui se manifeste immédiatement, qui nous ouvre un monde invisible en envoûtant nos sens. Il suffit d’un soupçon d’un parfum que nous avons connu lors d’un moment émotionnel de notre passé et les souvenirs nous submergent et nous ramènent à la situation vécue – les gâteaux fait avec la grand-mère, une promenade entre amoureux en bord de mer…

Au premier coup d’œil, l’odorat ne semble jouer qu’un rôle secondaire chez l’être humain. Effectivement, notre nez mène une existence plutôt modeste par rapport à d’autres mammifères  : alors que le chien, par exemple, possède encore 120 mil-lions de cellules sensorielles pour sentir, l’homme n’en a plus que 30. Apparemment totalement focalisé sur la vue et l’ouïe, l’homo sapiens pense qu’il n’utilise ses narines que lorsqu’il se penche ravi sur une fleur délectable ou quand il fait vite demi-tour à l’entrée d’une cabine de toilettes publiques.

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Et pourtant, l’être humain emploie son nez bien plus souvent que ça : chaque bouchée appétissante, chaque repas délicieux ne se déguste pleinement que par l’odorat. Car notre palais ne connaît que les quatre tendances sucré, salé, amer et acide ; c’est notre nez qui ajoute les innombrables nuances. Tout le monde ayant déjà été affligé par un nez complète-ment bouché pourra témoigner qu’alors les pommes sont comme les poires.

Mais surtout, ces deux exemples démontrent la puissance véritable détenue par notre nez : en effet, l’odorat joue un rôle primordial dans le processus d’attraction ou de rejet, contrairement à ce que nous aimons à penser. En effet, à travers des voies ner-veuses très anciennes de l’évolution, chaque odeur qui nous atteint est conduite directement dans le système limbique au sein du cerveau. Cette région cérébrale, la plus ancienne dans la phylogenèse humaine, est responsable de l’assimilation de nos sentiments, souhaits et peurs inconscients. Voilà la raison pour laquelle l’un se retrouve dans la cui-sine de mamie à l’odeur d’un gâteau aux pommes, et l’autre dans les bras de son ancienne petite amie lorsqu’il hume un certain parfum.

C’est une toute nouvelle perspective qui s’ouvre à nos yeux quand nous prenons pleinement conscience de ce système : cela signifie en effet que l’homme est

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Introduction – L’univers des odeurs

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dirigé par ses instincts, bien plus qu’il ne veut peut-être se l’avouer. Alors que nos sensations visuelles et auditives sont accompagnées et donc influencées par le mental, les odeurs agissent directement sur notre subconscient. Sous cet angle, des proverbes séculaires comme « je ne peux pas te sentir » appa-raissent sous un nouveau jour, et des études très récentes prouvent que les odeurs corporelles jouent réellement un rôle dans le choix de nos partenaires.

Afin d’interpréter ces odeurs, l’odorat a en outre à sa disposition un système bien plus complexe que celui de l’œil pour ne citer qu’un exemple : alors que notre fenêtre sur l’extérieur ne possède que trois types de récepteurs de couleur (bleu, rouge, vert), nos muqueuses nasales sont équipées d’environ 350 types de récepteurs différents – chacun codé sur un gène spécifique. La différence sensorielle qui en résulte est frappante  : les sons et les couleurs sont formés à l’intérieur du cerveau, alors que les odeurs, à cause de l’énorme complexité génétique de nos muqueuses nasales, s’introduisent « en entier » dans notre conscience. Malgré son apparence obsolète, l’odorat est donc le dernier vestige de nos instincts ancestraux – c’est ici que se cachent les antennes sensibles de notre intuition.

Voilà qui place les huiles essentielles sur une autre estrade, étant donné que le rayon d’action de

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l’aromathérapie n’est réellement clair que pour celui qui connaît l’importance de l’impact des odeurs sur l’âme et la psyché. Car elles n’agissent justement pas seulement grâce à la synergie de ses substances actives, mais transmettent aussi à l’âme des mes-sages profonds. C’est ici qu’apparaissent clairement les limites de la science  : n’est-il pas simplement lamentable d’expliquer le puissant effet tonique du romarin par un banal déversement de noradréna-line, face à son feu, sa vitalité éclatante, son yang flamboyant ?

Ainsi, l’on comprend finalement aussi pourquoi le monde entier semble si triste quand nous avons un bon rhume. Sectionné de notre instinct maternel ou masculin, privé de « l’interface de notre âme », nous devenons vite indifférents. Notre image du monde cognitif avisée par yeux et oreilles, apparem-ment si sécurisante, s’avère vite grise et superficielle lorsqu’elle n’est plus – même inconsciemment – remplie et colorée par les senteurs.

Vouez donc enfin à votre odorat toute l’intention qu’il mérite ! Lancez-vous à plein cœur dans l’uni-vers des odeurs, et vous verrez que vous pourrez bientôt constater une nette différence dans votre perception. Bien entendu, parce que l’intégration consciente de ce «  nouveau  » sens dans votre vie facilitera votre communication et votre interaction

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Introduction – L’univers des odeurs

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avec votre environnement, vous serez plus attentif et plus éveillé. En règle générale, cela se traduit par un grand pas sur votre chemin personnel vers la vérité et la plénitude.

Tel est le lien, puissant et sacré, que l’aroma-thérapie tisse entre nous.

« Les yeux sont les chemins de l’homme, le nez est son cerveau. » (Hildegarde de Bingen)

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Bois de santal

Santalum album

Inde

Distillation à la vapeur d’eau du bois broyé.

Moelleux, chaud boisé/sucré, balsamique.

érotisant, tranquillisant.

Aide en cas d’agressivité, d’angoisses, de dépression, d’abattement, d’insomnie, de tensions nerveuses, de stress, dissout les blocages sexuels, libère le mental, aide à acquérir paix et sérénité.

Elle est classifiée en tant qu’huile mystique.

Se marie bien avec  : toutes les fleurs, tout comme la verveine et l’encens, giroflier, vétiver.

Il s’agit là aussi d’une huile essentielle très chère – elle pourra sans problème être remplacée par le bois de santal d’Australie Santalum austrocaledonicum qui a un caractère très proche mais est moins chère. Cette dernière est toutefois un peu moins « profonde ».

MessageJe m’ouvre à la sagesse éternelle

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Table des matières

Autobiographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3

Avant-propos – Ma rencontre avec les essences 5

Introduction – L’univers des odeurs . . . . . . . . . . 7

I – Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12

L’histoire du parfum . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12

L’homme et les senteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20L’odorat perdu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20Les phéromones – le 6e sens . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23Reflet de soi ou « manipulation » . . . . . . . . . . . . . . 25Pourquoi un parfum naturel plutôt qu’un parfum synthétique ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27

II – Que faut-il pour élaborer un parfum naturel ? 29

Les huiles essentielles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29Digression : la taxonomie botanique . . . . . . . . . . . 29Qu’est-ce qu’une huile essentielle pure et naturelle ? 31Critères de qualité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35La classification et l’intensité des huiles essentielles 43Utilisation – précautions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45

Les bases de dilution . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46

Le matériel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50

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Table des matières

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III – Le choix des senteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52

Critères de choix des essences . . . . . . . . . . . . . . . 52

Entre compréhension et intuition . . . . . . . . . . . . 54

L’orgue des senteurs, compositions harmonieuses 56

IV – La fabrication du parfum . . . . . . . . . . . . . 60

Le mélange de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60Précautions lors de la création du mélange de base 61équilibre des trois notes : base – cœur – tête . . . . . . . . 62Phase finale pour le mélange de base . . . . . . . . . . . . 63

Les dilutions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64

V – Présentation des huiles essentielles et recettes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66

Parfums pour bien-être, soin ou aide sur notre chemin de vie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66

Notes de base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69Ambrette . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70Amyris . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 71Angélique (racine d’) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72Bay (piment) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73Benjoin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74Bois de rose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 75Bois de santal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76Carotte sauvage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77Ciste ladanifère . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78Cyprès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79Galbanum . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80

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Giroflier (clou de girofle) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81Immortelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82Nard indien . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83Oliban (encens) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84Patchouli . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85Tonca . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86Vanille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87Vétiver . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 88

Notes de cœur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89Cacao (extrait de) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 90Camomille romaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91Cannelle de Ceylan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 92Cardamome . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93Cèdre (bois de) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94Coriandre douce . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95Géranium rose (Pélargonium) . . . . . . . . . . . . . . . . 96Gingembre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 97Jasmin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98Lavande . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99Magnolia (fleur de) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 100Mélisse (vraie) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101Millepertuis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102Myrrhe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103Néroli . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 104Palmarosa . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 105Poivre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 106Rose (de Damas) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107Sapin de Douglas . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109Sauge sclarée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 110Ylang-ylang . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 111

Notes de tête . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 112Basilic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113Bergamote . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 114

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Table des matières

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Citron . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115Lemongrass (Verveine des Indes) . . . . . . . . . . . . . . 116Limon (Limette) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117Litsée citronnée (Verveine tropicale) . . . . . . . . . . . 118Mandarine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119Menthe des champs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120Menthe poivrée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 121Myrte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122Orange douce . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123Orange sanguine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124Pamplemousse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 125Petitgrain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126Pin cembra . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127Pin sylvestre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 128Romarin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 129Sapin argenté . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130Verveine (vraie 100 %) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 131

Suggestion de « set du parfumeur » pour débuter, exemples de création d’accords . . . 132

Parfums pour les enfants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 140

Parfums pour femme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143

Parfums pour homme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145

VI – Pour aller plus loin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 148

Les huiles essentielles et les enfants . . . . . . . . . . 148Les senteurs pour les premières années . . . . . . . . . 148Les senteurs « amies » des enfants à la maison, à la maternelle et à l’école . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 149Fabrication de mélanges avec les enfants . . . . . . . . 150

L’Ennéarôme – Psychologie olfactive . . . . . . . . . 151L’Ennéarôme, un chemin aromatologique . . . . . . . 151

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• Parfums naturels à faire soi-même •

Le pouvoir secret des odeurs . . . . . . . . . . . . . . . 151Arôme et ennéagramme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 152L’aromathérapie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 153

Les différentes possibilités d’utilisation du système Ennéarôme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 154

Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155

Achevé d’imprimer

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