PORTFOLIOPierrick FROMENTIN

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PETIT AMAS(onie)UNE EXPERIENCE INTROSPECTIVEUn hotel de 300 chambres, La Bastille, Paris

CLOUDGRAPHISME ET EDITION7eme Yearbook de l'Ecole d'Architecture de Versailles

LES BARAQUES DE DAKARD'UN BIDONVILLE A UN QUARTIER SAIN Projet de logements in situ

A L’OUEST, DU NOUVEAUL'INFRASTRUCTURE COMME LIEN SOCIALInfrastructure de transport , Metropole parisienne

MOEBIUS CONSTRICTOR

COCON BETONAPPRENDRE DE FUKUOKA, S. HOLL Logements collectifs, Paris

VINTAGE MUSEUMUN MUSEE DU VIN Cerro San Cristobal, Santiago, Chili

BOITE A OUTILSUN HABITAT DURABLE Micro architecture ecologique

COMPLEXE PISCINE ET MUSIQUEEquipement public, Paris

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C’EST FLUX’METRO VILLEPetite metropole Nolli

ROLES INVERSESDEUX MAISONSLogements individuels, Paris

PETITAMAS(onie)

Le programme d’un hôtel de 300 chambres sur cette petite parcelle à côté de l’Opéra Bastille im-pose dès le départ une considération importante du contexte. Permettre à l’Hôpital des 15-20 de garder des vues et de la lumière vient définir la typologie en quatre tours allongées.Le projet re-scénarise la fin de la Coulée Verte, promenade parisienne s’arrêtant auparavant de manière brusque sur l’Opéra. Une rampe PMR de plus de 200m de long, ponctuée d’escaliers vient offrir au passant une expérience de passage unique du niveau de la coulée vers celui de la rue. Elle provoque aussi son étonnement et son ques-tionnement sur l’hôtel qu’il ressent au-dessus de lui, sans pouvoir y accéder s’il n’est pas client.

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Un hotel de 300 chambres, La Bastille, ParisUNE EXPERIENCE INTROSPECTIVEProfesseur: Francois CHOCHON, Mathieu GELIN2012-2013, quatre mois, avec P. D'Avout D'Auerstadt

P45 _ PETIT AMAS(onie) _ Pierrick Fromentin & Philippine Davout d’Auerstaedt _ Janvier 20136

Coupe Longitudinale _ 1/100e

PETITAMAS(onie)

La rampe, fin de la promenade, et les quatre tours sont deux entités distinctes, complémentaires.A l’intérieur même de l’hôtel, un jeu de vis-à-vis s’installe entre les chambres, de part et d’autre des grands atriums végétalisés. Chaque chambre est unique par son rapport à ses voisines. L’hôtel propose une expérience hors de Paris, une pause dans l’agitation du dehors. La jungle qui vient se développer à l’intérieur sert l’intimité des usagers et provoque des usages nouveaux.Les passerelles suspendues sont prétextes à des cheminements toujours différents au sein de l’hôtel. Elles sont justifiées par la nécessité d’éviter les culs-de-sac en cas d’évacuation. Elles sont aussi prétextes à l’installation de programmes supplé-mentaires, offerts aux clients: parcs suspendus, bibliothèques, salons...

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Un hotel de 300 chambres, La Bastille, ParisUNE EXPERIENCE INTROSPECTIVEProfesseur: Francois CHOCHON, Mathieu GELIN2012-2013, quatre mois, avec P. D'Avout D'Auerstadt

CLOUDYEARBOOK 2011-2012

Le Yearbook de l’Ecole d’Architecture de Versailles est sa vitrine vers l’extérieur. Constituant notre mé-moire, une année a été consacrée à sa réalisation.Au départ s’est posée la question de la cible: à qui s’adresse ce livre? Etudiants, enseigants ou non-initiés à l’architecture? De là est arrivée la volonté de recentrer le Yearbook sur la pédago-gie de l’école, de répondre à une question: quelle ville pour demain préparée par les étudiants de Versailles?Tous les projets reçus nous ont montré la richesse des questionnements, et nous ont orienté vers le thème du cloud computing. En effet, toutes les problématiques finissent par se recouper, et Cloud n’est plus que le support de multiples questionne-ments étudiants à mettre en corrélation.Quatre thèmes ont été choisis: l’intensité, le patrimoine, la responsabilité et le signal, chacun traité graphiquement différemment dans un livret, au sein d’un coffret les rassemblant.

9Professeur: Pierre Antoine2012-2013, un an, equipe de 5

7eme Yearbook de l'Ecole d'Architecture de VersaillesGRAPHISME ET EDITION

CLOUDYEARBOOK 2011-2012

Cette explosion physique du Yearbook pose des questions au lecteur. Elle tente, sans théoriser, de lui faire comprendre les enjeux des quatre théma-tiques. Dans l’esprit du cloud computing, des liens sont proposés entre les projets, ils permettent de confronter les problématiques, d’aller plus loin dans leur compréhension.Chaque livret est également introduit par une personnalité extérieure à l’architecture, permet-tant ainsi de décaler le débat et de remettre les architectures défendues dans Cloud dans un contexte pluridisciplinaire, nécessaire à la pratique architecturale.

11Professeur: Pierre Antoine2012-2013, un an, equipe de 5

7eme Yearbook de l'Ecole d'Architecture de VersaillesGRAPHISME ET EDITION

LES BARAQUESDE DAKAR

Le quartier de Taiba à Dakar est un bidonville, installé depuis plus de 60 ans en plein centre de Dakar, peuplé par plus de 2000 habitants. Une observation in situ par le dessin, de quinze jours, a permis de comprendre les enjeux sociologiques d’une restructuration du quartier, et les craintes des habitants sur ce projet.Préserver l’identité du quartier, permettre à ses habitants de conserver leurs habitudes de vie, sont les prémisses du projet. La réorganisation du quartier commence donc par une rationnalisation des cheminements existants. D’autres, orientés d’après les vents dominants, viennent les pertur-ber et permettre une circulation de l’air au sein du quartier. Le plan masse final, strict, est donc défini par un ensemble de règles découlant d’enjeux écologiques, sociologiques et économiques.

4. Alternance R+1

1. Rationnalisation

5. Application

2. Direction du vent

6. Adaptation

3. Forme de concession

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Urbanisme in situD'UN BIDONVILLE A UN QUARTIER SAINProfesseur: Jean Christophe Quinton2012, quatre mois, seul

Publiéet

exposé àDAKARjanvier 2013

LES BARAQUESDE DAKAR

Ce sont ensuite les concessions elles-même qui prennent une forme de nature à provoquer l’en-trée de l’air en leur sein. Les formes arrondies de chaque entrée, au-delà de leur rôle symbolique de seuil, viennent chercher le vent dans la ruelle pour le ramener dans la cour de la concession.De même, une quinconce dans les étages des concessions permet de rabattre le vent plus élevé et plus sain dans la cour. Un système d’écailles de tôles, que les habitants peuvent eux-même poser, constitue les murs des habitations et vient permettre par leur rotation, de choisir entre un espace intime ou plus ouvert sur la cour.

Les différents projets font l’objet d’une exposition à Dakar en janvier 2013, et la mairie réfléchit actuellement à leur potentielle réalisation.

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Projet de logements in situD'UN BIDONVILLE A UN QUARTIER SAINProfesseur: Jean Christophe Quinton2012, quatre mois, seul

Publiéet

exposé àDAKARjanvier 2013

A L’OUEST,DU NOUVEAU

Le territoire Est/Ouest, de Orly à Valenton est traversé par de nombreux flux Nord/Sud, de portées régionales ou locales. La seule connexion Est/Ouest est la future ligne de TGV nationale arrivant à Valenton. De ce constat, naît la néces-sité de créer une nouvelle laison locale, reliant les communes d’Est en Ouest, et fagocitant les fron-tières de la Seine et des larges espaces vides de la gare de triage de Villeneuve-Saint-Georges. Les dimensions de la liaison à créer correspondent à celles d’une ligne de tramway, qui vient alors dérouler son parcours au milieu de tissus urbains très divers. Elle est alors prétexte à la définition d’un nouveau plan masse autour de la ligne de treize kilomètres de long qu’elle dessine. En s’appuyant sur le plan masse de projet de C. De Portzamparc pour le futur Grand Stade de rugby, le projet redéfinit les quartiers: densification, centre régional de loisirs, pôle universitaire... et est prétexte à un nouveau commerce de proximité.

17Professeur: Patrice NOVIANT2011, quatre mois, avec A.C. Lemaignen

Infrastructure de transport, Metropole parisienneL'INFRASTUCTURE COMME LIEN SOCIAL

Publié dansClood

Yearbook2011/2012

A L’OUEST,DU NOUVEAU

19Professeur: Patrice NOVIANT2011, quatre mois, avec A.C. Lemaignen

Infrastructure de transport, Metropole parisienneL'INFRASTUCTURE COMME LIEN SOCIAL

Publié dansClood

Yearbook2011/2012

MOEBIUSCONSTRICTOR

Le programme ici est composé d’un complexe musical (deux amphithéâtres, des studios) et d’un complxe aquatique (piscine, spas, bassins divers). Le site se situe Porte de Bagnolet, à Paris, sous le périphérique.Face à ce site totalement saturé, nous choisissons de ne pas le subir, mais de laisser le projet jouer avec ces contraintes. Le périphérique devient alors un objet traversant le bâtiment sans le déranger. Ce dernier répond aux flux de la route en devenant pour elle un véritable porche métropolitain.Les deux complexes offrent de nouvelles sensa-tions, sportives et artistiques, en venant s’entre-mêler et se rencontrer dans des noeuds visuels ou programmatiques. Les différents programmes jouent les uns avec les autres, le sol de l’un deve-nant le toit de l’autre, inversant l’effet sans cesse.

21Professeur: Petr Opelik2010, quatre mois, avec J. Toguyeni

Equipement public, ParisCOMPLEXE PISCINE ET MUSIQUE

Publié dansOpen Me!Yearbook2010/2011

MOEBIUSCONSTRICTOR

23Professeur: Petr Opelik2010, quatre mois, avec J. Toguyeni

Equipement public, ParisCOMPLEXE PISCINE ET MUSIQUE

Publié dansOpen Me!Yearbook2010/2011

COCONBETON

Partant d’une référence de Steven Holl et d’une de ses opérations de logements à Fukuoka, nous adaptons son système de redents «espaces de vie» et de barre fonctionnelle et continue, au site du projet. Nous reprenons aussi son système d’ouvertures en façade. Nous accollons le plus possible le bâtiment à la rue, afin de dégager le maximum d’espace au sein des logements.Les 30 appartements (du T3 au T5) bénéficient ainsi d’un réel espace dynamique à l’intérieur du bâtiment, et sont protégés de la rue et de ses nuisances.Le rez-de-chaussée sert à rejoindre les apparte-ments et offre aux habitants des programmes de service aux habitants (crèche, bibliothèque, salles d’associations...°

25Professeur: Sebastien Rinckel2011, quatre mois, avec M. Nicolazzi

Logements collectifs, ParisAPPRENDRE DE FUKUOKA, S. HOLL

COCONBETON

27Professeur: Sebastien Rinckel2011, quatre mois, avec M. Nicolazzi

Logements collectifs, ParisAPPRENDRE DE FUKUOKA, S. HOLL

VINTAGEMUSEUM

Le sujet de cette compétition (Arquitectum) était d’imaginer un musée du vin, sur les hauteurs de Santiago, au Chili.Le site étant situé dans un creux du relief, nous choisissons de connecter les deux pans de montagne par un grand mur végétal. Ce dernier vient offrir sa façade végétale à la ville, et laisse les salles d’exposition regarder vers le flanc de montagne, planté de vignes.Le mur est simultanément musée, lieu de traversée, promenade et belvédère sur la ville.La tour, contenant les espaces de dégustation et le restaurant, offre un panrama sur la ville et agit comme un signal nouveau dans l’horizon de Santiago.

29Competition Arquitectum2010, un mois, chez B2 Architectes, Paris

Cerro San Cristobal, Santiago, ChiliUN MUSEE DU VIN

BOITE A OUTILS

La Boîte à outils est un logement transportable, une micro-architecture qu’on déplie et installe n’importe où.Ses dimensions sont donc très réduites: 7m² dé-plié, et 3m² seulement quand elle est repliée.Pour optimiser l’espace, l’espace intérieur est modulable grâce à un système de deux demi-cercles contenant chacun les différentes parties du mobiler: un pour la chambre et l’espace de détente, l’autre pour la cuisine et les sanitaires. L’habitant rotationne l’unité dont il a besoin dans la partie centrale du logement pour l’utiliser.La Boîte à outils est aussi autonome en énergie grâce à ses panneaux photovoltaïques, et en eau, en collectant et en purifiant l’eau de pluie pour la cuisine et les sanitaires.

31Professeur invite: Richard Horden2010, une semaine, equipe de 4

Micro architecture ecologiqueUN HABITAT DURABLE

Publié dansSémantique parallèleYearbook2009/2010

Le studio Petite métropole Nolli est une intriduction aux problématiques d’urbanisme. Notre équipe a reçu le thème de «métro-ville», et un quartier d’une ville imaginaire, dans lequel s’intersectent deux métros aériens, un souterrain, et une gare SNCF.Nous avons travaillé sur les interfaces entre la ville et son réseau de transport. Notre but: casser les barrières visuelles et programmatiques entre eux, pour les lier dans une urbanité plus riche et plus fluide, et ainsi plus confortable. A ces fins, toutes les strates communiquent et se répondent autour d’une faille centrale, dans laquelle tous les programmes s’articulent: bureaux, magasins, flux de transports...

C’ESTFLUX’

33Professeur: Djamel Klouche2009, un mois, equipe de 8

Petite metropole NolliMETRO VILLE

Le but de Rôles inversés est de remplacer quatre maisons existantes par neuf, sans perdre en qualité de vie.Placées en fond de parcelle, à son extrême nord, la principale difficulté fut le cadrage des vues et l’apport de lumière. C’est pourquoi de larges ouvertures et de véritables failles vitrées sont utili-sées dans chacune des deux maisons. L’une d’elle est une colocation destinée à quatre étudiants, avec une double circulation verticale, intérieure et extérieure.L’autre est destinée à une family de 5 personnes. Le plan habituel est inversé: au R+2 se trouvent les espaces de vie, et l’accès à la maison, et au R+1 se trouvent les chambres. Son rez-de-chaussée est mutualisé pour les neufs maisons afin de servir de garage à vélos, local poubelle...

ROLES INVERSES

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Logements individuels, ParisDEUX MAISONSProfesseur: Rene Asson2009, quatre mois, seul