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OUVERTURE DE LA JOURNÉE

INTRODUCTION

Michel Develay, docteur en didactique des disciplines

professeur émérite de l’université Lyon II

LES VOIES DE LA PROFESSIONNALISATION

ET DU DÉVELOPPEMENT PROFESSIONNEL

Richard Wittorski, professeur des universités

directeur de l’ESPE de Rouen

PAUSE

ECHANGE AVEC LA SALLE

SUR LES DEUX CONFERENCES

DE LA COMPÉTENCE AUX COMPÉTENCES,

OU COMMENT APPRIVOISER UN CONCEPT ENCORE SAUVAGE

Patrick Viollet, directeur des soins

consultant en pédagogie et formation

PREFMS Toulouse

CompétencE ou compétencES ?

Est-on compétent ou a-t-on des compétences ?

Le professionnel

Répond à la demande

Y répond dans ce qu’elle a de spécifique

Répond de façon satisfaisante parce qu’en prenant en compte plusieurs paramètres

Propose dans des échéances acceptables, des réponses actualisées

« Travaille dans les règles de l’art »

Attribut Dimension de la

compétence

6 Effectivité projective

2 Expression contextuelle

contextuelle

1 Corrélation plurifactorielle

3 Expression temporelle

temporelle

4 Légitimité légale - éthique

Répond aux questions posées et

explique ce qu’il fait

5 Démontrabilité

Argumentation logique

Un concept, donc des attributs :

« ce qui doit être pour que la chose soit, et seulement cela »

Le professionnel fait plus preuve de compétence qu’il ne possède des

compétences

Professionnel Bénéficiaire

Environnement commun

EVENEMENT

Le professionnel ne fait preuve de compétence que lorsqu’il est

confronté à une situation « PEB »

Des attributs aux exemples

1.1 La réponse résulte de la

prise en compte équilibrée

de plusieurs facteurs.

1.1.1 L’ensemble des facteurs susceptibles d’intervenir dans la situation est exploré.

1.1.2 Dans le choix de la réponse, le professionnel prend en compte plusieurs informations et données.

1.1.3 Le professionnel hiérarchise les facteurs sans a priori.

1.1.4 Les données et informations sont prises en compte de façon équilibrée.

1.2 La mobilisation

simultanée de domaines de

connaissances et de savoirs

permet à la réponse

apportée d’appartenir à des

registres différents.

1.2.1 Le professionnel a recours dans sa réponse à plusieurs domaines du savoir.

1.2.2 Les interventions prévues permettent de répondre à la situation ou au problème dans son ensemble.

1.2.3 Les différentes étapes de la réponse sont priorisées.

1.3 Le professionnel dispose

d’un réseau de ressources

et l’utilise.

1.3.1 Le professionnel mobilise sa mémoire et/ou ses réseaux pour accéder aux ressources polymorphes dont il a besoin.

1.3.2 Le professionnel utilise à bon escient les sources documentaires existantes.

1.3.3 Le professionnel fait bon usage d’un réseau d’autres professionnels.

Des vécus à la littérature

Image d’après Stéphane Thidet, 2010

« Aujourd’hui, on est jamais très loin d’un téléphone. "Docteur, votre

femme a appelé…, il faut passer chez Régal à Arlerès". Au cours de ma

ronde, il y a toujours un épicier serviable, un cafetier aimable pour me

faire de grands signes au bord de la route. Ma femme, elle, a tout un

réseau dans sa poche. Un service comme celui-là ne se refuse jamais ».

La Burle, Paul Perrève, 1981

1.3 Le professionnel dispose d’un réseau de ressources et l’utilise.

1.8 L'appropriation de la

réponse se manifeste par

l’adhésion du professionnel

et, le cas échéant, son

engagement.

1.8.1 Le type et la nature de la réponse apportée

reposent sur les caractéristiques et les préoccupations

du ou des bénéficiaires.

1.8.2 Le professionnel adapte ses interventions au

regard du contexte.

1.8.3 L’implication du professionnel dans les interven-

tions directes et indirectes qu’il dispense à un usager ou

un groupe d’usagers dans le cadre de ses activités

témoigne de son adhésion à la démarche suivie.

1.8.4 Le professionnel apporte lui-même une réponse à

chaque fois qu’elle est de son ressort.

1.8.5 Le caractère non routinier des tâches assurées

témoigne de leur appropriation par le professionnel.

1.8.6 Les missions et les prestations sont assurées dans

le cadre d’une organisation impliquant les profession-

nels concernés et tenant compte de la charge de travail.

ATTRIBUT : Expression contextuelle

CRITERES 2.5. L’expression verbale et non verbale du professionnel témoigne

de sa maîtrise de la situation.

PROFESSION : Diététicien

Indicateur Exemple

2.5.3 L’énoncé est clair,

intelligible et précis.

Le livret de sortie avec conseils alimentaires

personnalisés tient compte du public ou des publics

auquel il s’adresse.

2.5.4 Le professionnel

s’exprime de façon

empathique.

Le diététicien exprime des réponses qui tiennent

compte des représentations et des connaissances

que le patient a de sa maladie.

2.5.6 Le professionnel vérifie le

feed-back par questions et/ou

en mesurant l’implication de

son interlocuteur.

Le diététicien demande au patient de reformuler les

conseils qui lui ont été donnés et de les illustrer par

des exemples empruntés à sa vie quotidienne.

2.5.7 Le professionnel a la

capacité de vérifier son agir et

son inter-agir.

Le diététicien identifie les points faibles de

l’éducation qu’il a dispensée à un patient à partir de

ce qu’il a compris ou non et il la réajuste en fonction

de cette analyse.

Une histoire de but final

Image d’après Anne et Patrick Poirier

31 juillet 2009

« le Diplôme d’Etat d’Infirmier atteste des compétences

professionnelles pour exercer le métier d’infirmier selon les

référentiels d’activités et de compétences définis

en annexe du même texte et les articles

4311-1 à 4311-15 du Code de la Santé Publique ».

2 avril 1981 (en vigueur jusqu’en 2009) :

« le Diplôme d’Etat d’infirmier ou d’infirmière est délivré

aux candidats ayant suivi l’enseignement et subi avec

succès l’examen prévu au présent décret ».

Arrêtés relatifs au Diplôme d’Etat d’Infirmier(e)

TRAVAILPERSONNEL

AUTOFORMATION

STAGES

ECOLE

INFORMATIONS

TRIANGLE

D’ASTOLFI

CONNAISSANCES

INSTANCES REFLEXIVES

SAVOIRS

COMPETENCE

ALTERNANCE

Une grille, pourquoi faire ?

Applications pédagogiques

• Choisir des méthodes

• Construire des grilles partielles

d’analyse des compétences

mobilisées et d’évaluation des

résultats de l’apprentissage

• Former des nouveaux publics

Applications RH

• Recrutement

• Postes aménagés

• E.A.E

GROUPE « METHODES PEDAGOGIQUES-DIDACTIQUE »

(PREFMS - Écoles et Instituts des Hôpitaux de Toulouse)

Fiche descriptive d’une méthode

Mobiliser des ressources en mémoire

Intégrer le facteur temps dans le raisonnement

Utiliser les méthodes d’analyse rationnelle

Analyser des indices intervenant dans l’attribution de sens

Cette méthode s’inscrit dans

les objectifs du domaine

Niveau

taxonomique Attributs et critères de la

compétence développés 1 1/2 2 3

- de la démarche

intellectuelle X 112 / 1.3.1

2.1.3 /

2.3.1

- des techniques 3.2.1

- des attitudes 5.1.1 /5.1.2 /

5.1.5 / 5. 6.1.3

NOM DE LA METHODE : QCM DE TYPE « COORDINATION SUBORDINATION »

5.3 Le comportement du professionnel suscite la confiance.

5.3.1 La qualité prof. des réponses apportées et des explications est de nature à développer la confiance.

5.3.2 Le B. exprime verbalement ou non verbalement sa confiance dans le prof. 5.3.3 Le climat de confiance permet l'appropriation des objectifs par le B.

1.9 Le professionnel fait preuve d'un sentiment d’efficacité personnelle.

1.9.1 Le P. exprime verbalement et/ou non verbalement son pouvoir d’intervention sur la situation.

1.9.2 Le P. fait preuve d’un niveau élevé de technicité. 1.9.3 Il y a, sauf impondérable, corrélation entre le discours préalable à l’intervention

et le résultat obtenu.

2.5. L’expression verbale et non verbale du professionnel témoigne de sa maîtrise de la situation.

2.5.1 Le vocabulaire utilisé est adapté à l’interlocuteur. 2.5.2 Les comportements et attitudes du P. sont adaptés au B.. 2.5.3 L’énoncé est clair, intelligible et précis. 2.5.4 Le P. s’exprime de façon empathique. 2.5.5 Le P. s’exprime de façon congruente. 2.5.6 Le P. vérifie le feed-back par questions et/ou en mesurant l’implication du B. 2.5.7 Le P. a la capacité de vérifier son agir et son inter-agir.

2.6. L’aisance du professionnel et son occupation de l’espace témoignent de sa maîtrise de la situation.

2.6.1 Les gestes effectués sont sûrs. 2.6.2 L’utilisation de l’espace est optimisée. 2.6.3 L’aisance est durable et constante.

4.4 Le professionnel respecte son devoir d’information.

4.4.1 Le P. appréhende l’accès à l’information autant comme devoir de sa part que droit du B.

4.4.2 Le niveau de connaissances du P. lui permet d’assurer son devoir d’information. 4.4.3 Le P. communique au B., dans les limites de ses prérogatives, une synthèse des

informations concernant sa situation.

Une conclusion qui n’en est pas une :

De la compétence aux compétences

Image d’après Ryan Gander, 2010

Compétence 6 « communiquer et conduire une relation dans un contexte de soins »

Critères Indicateurs

Attribut 1 : Corrélation

1.7 Négociation autour de la réponse lorsqu’elle est requise. 1.7.1 à 1.7.5

Attribut 2 : Expression contextuelle

2.1. Situation connue du professionnel. 2.1.1 à 2.1.3

2.2. Appréhension de la situation à travers un cadre de perception construit. 2.2.1 et 2.2.2

2.3. Attribution d’un sens à la situation. 2.3.1 et 2.3.2

2.5. Expression verbale/non verbale témoignant de la maîtrise de la situation. 2.5.1 à 2.5.6

Attribut 3 : Expression temporelle

3.1 Imprévu intégré et pris en compte avec la réactivité attendue. 3.1.2 et 3.1.5

3.2 Utilisation du temps satisfaisante et adaptée. 3.2.1

Attribut 4 : Légitimité

4.3 Respect des droits du bénéficiaire. 4.3.1 à 4.3.3

4.4 Respect du devoir d’information. 4.4.1 et 4.4.2

4.5 Prise en compte des remarques et jugements. 4.5.1 et 4.5.2

5.1 Réponse aux questions posées. 5.1.6

5.3 Comportement suscitant la confiance. 5.3.1 et 5.3.3

Attribut 6 : Effectivité

6.8 Contrôle des émotions de nature à diminuer l’effectivité. 6.8.1 et 6.8.3

1er temps, 1er mouvement

Critères Indicateurs

Attribut 1 : Corrélation

1.7 Négociation

autour de la réponse lorsqu’elle

est requise

1.7.1 Prise en compte du

questionnement et des réticences

1.7.2 Explications des points

sujets à réticences

1.7.3 Recherche d’une solution

satisfaisante pour les différentes parties

1.7.4 Réponse aux remarques ne

pouvant pas être prises en compte

1.7.5 La négociation s’opère avec

le bon interlocuteur

3ème mouvement

REFERENTIEL

DE

FORMATION

2ème mouvement

Compétence 6 « communiquer et conduire une relation dans un contexte de soins »

2ème temps

Au(x) suivant(s) !

Image d’après Emmanuel Régent, 2016

PAUSE DEJEUNER

ACTUALISER SES COMPÉTENCES EN ÉQUIPE :

UN ENJEU POUR LE FORMATEUR

L’ÉVOLUTION DES COMPÉTENCES DU FORMATEUR

DANS LA FORMATION AUX SOINS D’URGENCE

Alain Barnier, directeur-adjoint

Jean-Marc Carneiro et Katia Milly-Bechikh, cadres de santé formateurs

IFSI du CHU de Toulouse

Le constat de départ

• Un constant alarmant des sociétés savantes de cardiologie sur la prise

en charge de l’arrêt cardiaque en France.

• Au sein même d’un établissement de santé, la prise en charge de l’arrêt

cardiaque n’est pas obligatoirement optimale, voire défaillante.

• D’où la décision de former tous les étudiants des Formations Sanitaires

et Sociales (arrêté du 3 mars 2006 relatif à l’ AFGSU), avec extension aux

autres formations lors de la réingénierie.

Au CHU de Toulouse, un défi à relever par les équipes

• Pour l’IFSI et L’IFAS du CHU de Toulouse, près de 400 étudiants et élèves

à former par année scolaire.

• Impossibilité pour le CESU 31 d’absorber un tel volume de formation.

• Obligation pour les cadres formateurs de participer à cette formation et

de développer de nouvelles compétences.

Un contexte favorable

à la réactualisation du projet de formation

• Une approche par les compétences

• Une évolution dans le rôle du formateur

• Des évaluations en situation simulée (arrêté du 26 septembre 2014)

• Le rapport HAS : « jamais la première fois sur le patient »

• L’incitation de l’ARS, relayée par le soutien de la région, et un

partenariat rapproché par le CESU

Le projet de formation aux soins d’urgence

de l’IFSI du CHU de Toulouse

• Un projet initial débouchant sur un constat sans appel : en troisième

année la plupart des savoirs et des gestes d’urgence étaient oubliés.

• De cette situation alarmante, une refonte totale de formation est

envisagée. Les soins d’urgence deviennent un axe prioritaire du projet

pédagogique.

• L’objectif principal est de garantir que tous les étudiants et futurs

professionnels soient efficaces face aux situations d’urgence

prévalentes.

Déclinaison du nouveau projet de formation IFSI

Les formateurs

• Profil et immersion régulière dans un service d’urgence demandés par le

CESU 31 pour devenir et rester formateur.

• Au-delà des 14 formateurs participant directement aux formations AFGSU,

l’ensemble de l’équipe des formateurs a été formé aux soins d’urgence et a

obtenu l’AFGSU niveau 2.

• Ces formateurs participent aussi à la formation de l’ensemble des personnels

du CHU sur la conduite à tenir face à l’arrêt cardiorespiratoire.

Déclinaison du nouveau projet de formation IFSI

Les étudiants

• 1ère année : 2 jours de formation

• 2ème année : 2 jours dans le cadre de l’UE 4.3 S4 en situation d’urgence

simulée avec la participation du SSSM 31, travail sur le raisonnement

clinique et l’utilisation du matériel des pompiers.

• 3ème année : 2 jours dont

- 1 jour de révision sur les différentes procédures et gestes d’urgence

- 1 jour d’approfondissement et d’évaluation avec le médecin du CESU 31

La validation se fait uniquement en situation simulée.

L’articulation des enseignements

• L’ensemble de l’équipe de formateurs ayant développé des

compétences en soins d’urgence, devient le relais de l’axe prioritaire

du projet pédagogique.

• En deuxième année : l’ensemble des formateurs participe au TD soins

d’urgence 4.3 S4.

• En troisième année : les nouvelles compétences acquises sont

mobilisées lors des séances de simulations haute-fidélité, où des

scénarii confrontent les étudiants à différentes situations d’urgence.

Exemple : la crise d’asthme avec une grave décompensation respiratoire.

Quelles compétences le formateur

a-t-il besoin de mobiliser dans ce projet ?

• Organiser et animer des situations d’apprentissage

• Gérer la progression des apprentissages

• Se servir des technologies nouvelles

La place du formateur

dans la formation aux soins d’urgence

Le formateur est un médiateur entre la technique, le contenu et les

apprenants, ce qui lui impose la maîtrise :

• de la pédagogie par l’activité

• des méthodes pédagogiques spécifiques à la simulation et de l’environnement technique (mannequins, outils multimédias…)

• des savoirs en soins d’urgence

• de la communication interprofessionnelle

Formation et nouvelles compétences

des formateurs

• Exemple de techniques spécifiques : Simulation procédurale,

apprentissage des gestes, compressions thoraciques, PLS,

pansement compressif, méthode de Heimlich…

• S’il y a « quelque chose » qui est de l’ordre de l’actualisation des

compétences du formateur, c’est l’intégration de la simulation

faisant intervenir des technologies avancées pour développer

celles des étudiants, sans pouvoir passer par l’étape de formation

en situation professionnelle réelle.

• D’où : En quoi la simulation impose-telle de nouvelles

compétences ?

Rappel : définitions de la simulation

• « Une technique qui substitue un environnement synthétique à un

environnement réel, de telle sorte qu'il soit possible de travailler

sous des conditions contrôlables en laboratoire » (Sanders, 1991).

• Il s’agit également d’une méthode qui associe un modèle d’une

situation et l’activité d’un ou plusieurs sujets (Béguin P. , 2002).

Expérience concrète

pratiquer

Observation clinique

analyser

Conceptualisation abstraite

généralisation

Expérimentation active

transférer

Le cycle d’apprentissage de KOLB - 1984

Quelle place pour le formateur ?

Avant la séquence de simulation

Pendant la séquence de simulation

Après la séance de simulation

Accepter l’imprévu tout en

restant dans l’objectif

pédagogique prévu

Accepter l’échec de la séquence

Maîtriser les différentes formes

de simulateurs

Développer une écoute active

lors du débriefing

Effacer la posture du formateur

pour laisser place à l’apprenant

Modifier le statut de l’erreur

Maîtriser l’élaboration et la

conduite du scénario

Valorisation positive, climat de bienveillance, climat de confiance, facilitateur, relation de confiance

Conclusion

Pour les étudiants

A ce jour : les médecins du CESU 31 nous renvoient un très bon niveau dans les situations

simulées avec l’observation d’automatismes dans les situations prévalentes.

Perspectives :

• Travailler sur les émotions et notamment le dépassement de la sidération

lorsque nos étudiants se trouvent dans un service traditionnel face à une

situation d’urgence.

• Plus généralement, s’inscrire dans une approche de collaboration interdiscipli-

naire sur la prise en charge des situations d’urgence ou détresse d’une personne

dans une structure de soins.

Pour les formateurs

Conditions de maintien et d’actualisation des compétences : 12 jours de formation

auprès des étudiants et 1 journée de recyclage par an.

Références bibliographiques

• Arrêté du 26 septembre 2014 relatif au diplôme d’Etat d’infirmier.

• Arrêté du 31 juillet 2009 relatif au diplôme d’Etat d’infirmier.

• Arrêté du 3 mars 2006 relatif à l'attestation de formation aux gestes et soins d'urgence.

• Arrêté du 3 mars 2006 relatif à l'attestation de formation aux gestes et soins d'urgence.

• Le Boterf G. Ingénierie et évaluation des compétences. Editions Eyrolles; 2011.

• Granry J-C, Moll M-C. Rapport de mission sur la simulation en santé, Haute autorité de santé

(HAS) ; 2012.

• Pastré . La didactique professionnelle. Paris : PUF ; 2011

• Soins Cadres - Vol. 23 - N° 92S - p. 15-16 - Former les enseignants à la simulation Morgan

Jaffrelot, Florence Policard, Josée Des Granges Zimmermann

• Kolb, D. A. (1984). Experiential Learning – Experience as the source of learning and

development. Englewoods Cliffs (NJ): Prentice-Hall.

• Boet, Grany, Savoldelli. La simulation en santé de la théorie à la pratique Springer sept 2013.

SYNTHESE DE LA JOURNEE

Michel Develay, docteur en didactique des disciplines

professeur émérite de l’université Lyon II

CLOTURE DE LA JOURNEE

Merci à tous