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EMC® ViPR® SRMVersion 4.0.1.0

Guide de refacturation et d’enrichissement des données302-003-322

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Copyright © 2016 EMC Corporation Tous droits réservés.

Publié en octobre 2016

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2 EMC ViPR SRM 4.0.1.0 Guide de refacturation et d’enrichissement des données

7

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Enrichissement des données 11

Présentation de l’enrichissement des données 13À propos de l’enrichissement des données ................................................. 14Interfaces utilisateur................................................................................... 14Utilisations et exemples de l’enrichissement des données........................... 15Fonctionnement de l’enrichissement des données...................................... 19

Gestion des groupes pour l’enrichissement des données 23Récapitulatif des groupes........................................................................... 24Accéder à l’interface utilisateur Groups Management ............................... 25Groupes simples et hiérarchiques............................................................... 26Tour d’horizon de l’interface utilisateur Groups Management ....................27

Utiliser le tableau d’aperçu ............................................................28Créer un groupe ............................................................................30Modifier un groupe........................................................................ 33Afficher et réorganiser les règles................................................... 34Créer un nouveau groupe en copiant un groupe existant............... 35Récupérer les règles d’appartenance à un groupe en tantqu’expression regex.......................................................................36Gérer des groupes en exportant et en important des fichiers........ 36Limitations relatives à Groups Management.................................. 37

Descriptions détaillées des groupes............................................................ 38Service Level by LUNs ..................................................................38Service Levels by File Share.......................................................... 40Niveau de service des buckets .......................................................41ECS Capacity Rates ......................................................................43Regroupement de refacturation en mode bloc...............................45Regroupement de refacturation en mode fichier............................47Platform ....................................................................................... 48Client, emplacement et division..................................................... 50

Vidéo : utiliser Groups Management pour renseigner et utiliser la propriétéBusiness Unit.............................................................................................. 51

Enrichissement des données brutes 53À propos de l’enrichissement des données brutes ..................................... 54Instructions pour les nouveaux noms de propriété......................................54Interrogateurs pris en charge pour récupérer des données.........................55Utilisation de l’interface utilisateur Data Enrichment ................................. 55

Enregistrer une instance Collector Manager .................................56Créer une nouvelle structure de balises ........................................ 58Renseigner les lignes du jeu de balises........................................... 63

Figures

Tableaux

Partie 1

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

SOMMAIRE

EMC ViPR SRM 4.0.1.0 Guide de refacturation et d’enrichissement des données 3

(Facultatif) Exécuter la tâche d’importation des propriétés etredémarrer les Collectors ..............................................................67Vérifier la nouvelle propriété ......................................................... 68Ajouter la nouvelle propriété à un rapport...................................... 69

Vidéo : utilisez l’enrichissement des données pour ajouter une nouvellepropriété et l’afficher dans les rapports......................................................69

Fonctions de création de rapports pour l’affichage des résultatsd’enrichissement 71Annuler le masquage des colonnes Business Unit, Customer et Location ....72Ajouter une nouvelle colonne à un rapport tabulaire....................................74Filtrage d’un rapport à l’aide de filtres de groupe .......................................75Ajouter ou supprimer des filtres de groupe ................................................ 76Application de filtres aux colonnes d’un tableau..........................................77

Rubriques avancées 79Modification de la configuration de l’interface utilisateur GroupsManagement.............................................................................................. 80

Structure des répertoires.............................................................. 80Description du fichier de configuration de gestion des groupes......81

Installer et configurer un nouveau filtre de balisage de propriété (PTF)..... 82Installer un nouveau PTF............................................................... 83Configurer le PTF.......................................................................... 84Ajouter le PTF à une instance Collector-Manager ......................... 87Vérifier les résultats.......................................................................89Activer le connecteur back-end ....................................................90

Résolution des problèmes 93Fichiers de configuration de la gestion des groupes ...................................94Fichiers de configuration de l’enrichissement des données.........................96

Refacturation 99

Refacturation en mode bloc 101Administration de la collecte de données de refacturation en mode bloc...102

Exécution manuelle de la tâche de pré-processeur de refacturation..103

Création de rapports de refacturation en mode bloc................................. 103Exemples d’utilisation de la refacturation en mode bloc............... 103Metrics facturables et non facturables ........................................ 104Affichage des rapports de refacturation.......................................105Afficher les détails de stockage associé par hôte......................... 108

À propos du niveau de service par LUN .....................................................110Définir le coût de base et les temps de réponse pour les rapports derefacturation en mode bloc........................................................... 110Définition d’un nouveau niveau de service LUN et ajout de lacolonne à des rapports.................................................................. 111Ajouter un nouveau niveau de service dans les rapports AssociatedStorage......................................................................................... 114

À propos des groupes de refacturation en mode bloc ................................117Créer un rapport de refacturation de groupes personnalisés ........118

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Partie 2

Chapitre 7

SOMMAIRE


Refacturation en mode fichier 119Fonctions de la refacturation de partage de fichiers................................. 120Metrics de refacturation de partage de fichiers........................................ 120À propos des niveaux de service du partage de fichiers et de la base decoûts..........................................................................................................121Définition de la base de coût pour la refacturation en mode fichier .......... 122À propos des regroupements de la refacturation en mode fichier..............122Affichage des rapports de refacturation de partage de fichiers.................123

Refacturation en mode objet 127Afficher des rapports de refacturation ECS.............................................. 128Niveaux de service de compartiment......................................................... 131Modification de la base de coûts du niveau de service de compartiment....131Créer un niveau de service de bucket personnalisé................................... 132

Refacturation en mode cloud 135Refacturation des buckets S3 sur des ressources ECS ............................ 136Définir la base de coûts de refacturation des buckets S3 ......................... 136Créer un regroupement personnalisé de buckets S3..................................137

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

SOMMAIRE


SOMMAIRE


Exemple de filtre Customer renseigné ........................................................................ 16Exemple de rapport de niveau de service.................................................................... 18Exemple de filtre de groupe Platform.......................................................................... 19Processus de collecte ViPR SRM............................................................................... 20Rôle de Property-Tagging-Filter .................................................................................21Interface utilisateur Groups Management ..................................................................27Interface utilisateur Groups Management (règles)..................................................... 28Groupes prédéfinis pour Service Level by LUNs......................................................... 38Exemple de règle préremplie pour Service Level by LUNs.......................................... 39Groupe prérempli pour Service Level by File Share.....................................................40Règle préremplie pour Service Level by File Share...................................................... 41Groupes prédéfinis pour le niveau de service des buckets ......................................... 42Exemple de règle prédéfinie pour le niveau de service des buckets ............................42Groupe prédéfini pour ECS Capacity Rates ............................................................... 43Exemple de règle prédéfinie pour tous les buckets S3................................................ 44Noms de groupe de refacturation en mode bloc prédéfinis......................................... 45Noms de groupe de refacturation en mode fichier prédéfinis......................................47Exemple de rapport de refacturation en mode bloc personnalisé .............................. 118

123456789101112131415161718

FIGURES


FIGURES


Récapitulatif des types de groupe prédéfinis.............................................................. 24Nouvelles propriétés pour Service Level by LUNs.......................................................39Nouvelles propriétés pour Service Level by File Share................................................ 41Nouvelles propriétés pour les niveaux de service des buckets ................................... 42Nouvelles propriétés pour les groupes ECS (S3) Capacity Rates............................... 44Nouvelle propriété pour un regroupement de refacturation en mode bloc.................. 46Nouvelle propriété pour le regroupement de refacturation en mode fichier................ 48Nouvelle propriété pour un groupe Platform...............................................................50Nouvelles propriétés pour les clients, les emplacements et les divisions......................51Emplacement des fichiers de configuration de la gestion des groupes........................94Disque partagé sans aucun stockage utilisé ..............................................................104Disque partagé avec une partie du stockage utilisée................................................. 105

123456789101112

TABLEAUX


TABLEAUX


PARTIE 1

Enrichissement des données

ViPR SRM fournit plusieurs méthodes pour améliorer (enrichir) les données collectées.

Chapitre 1, "Présentation de l’enrichissement des données"

Chapitre 2, "Gestion des groupes pour l’enrichissement des données"

Chapitre 3, " Enrichissement des données brutes "

Chapitre 4, "Fonctions de création de rapports pour l’affichage des résultatsd’enrichissement"

Chapitre 5, "Rubriques avancées "

Chapitre 6, "Résolution des problèmes"

Enrichissement des données 11

Enrichissement des données


CHAPITRE 1

Présentation de l’enrichissement des données

Les sections suivantes présentent les fonctions d’enrichissement des données etfournissent un récapitulatif de leur fonctionnement.

l À propos de l’enrichissement des données .........................................................14l Interfaces utilisateur........................................................................................... 14l Utilisations et exemples de l’enrichissement des données...................................15l Fonctionnement de l’enrichissement des données.............................................. 19

Présentation de l’enrichissement des données 13

À propos de l’enrichissement des donnéesLes fonctions d’enrichissement des données de ViPR SRM permettent aux utilisateursd’étendre, ou d’enrichir, les données collectées avec des propriétés supplémentaires.Les nouvelles valeurs de propriété sont stockées dans la base de données, tout commeles metrics collectés. Elles sont aussi disponibles pour une utilisation dans les rapportset les filtres.

Les règles d’enrichissement définissent le moment où les données collectées sontbalisées avec une nouvelle propriété en mettant en correspondance les propriétés declé dans les données collectées. Les règles définissent les valeurs de correspondanceet les nouvelles valeurs de propriété qui en résultent.

Dans la plupart des cas, les règles sont définies par l’utilisateur. Le fait quel’enrichissement des données soit défini par l’utilisateur signifie que les entreprisespeuvent libeller (baliser) des données collectées à des fins internes, ou insérer desinformations provenant d’autres sources, y compris d’autres bases de données, dans labase de données ViPR SRM.

En plus des exemples d’utilisation définis par l’utilisateur, ViPR SRM utilise lesfonctions d’enrichissement des données pour mettre en œuvre ses propres fonctions.Ces exemples sont destinés à la création de rapports sur les capacités de niveau deservice et la refacturation. Pour ces utilisations, les SolutionPacks associésfournissent des valeurs et des règles prédéfinies. Il est également possible de lespersonnaliser individuellement.

Interfaces utilisateurViPR SRM comprend plusieurs interfaces pour la mise en œuvre de l’enrichissementdes données.

Interface utilisateur Groups Management

L’interface Groups Management fournit des propriétés et une structureprédéfinies pour l’attribution des valeurs. L’interface Groups Managementconstitue un moyen rapide pour améliorer la base de données avec des donnéespersonnalisées si les propriétés prédéfinies (groupes) répondent à vos besoins.

Les utilisateurs ajoutent de nouvelles valeurs de propriété directement dansl’interface utilisateur, sous forme de noms de groupe et d’autres champsmodifiables. Des boutons sont disponibles pour exporter et importer le fichier CSVcontenant les valeurs de propriété.

Les enregistrements collectés sont filtrés à l’aide de règles d’appartenance à ungroupe que vous configurez dans l’interface utilisateur Groups Management. Lesenregistrements correspondants sont enrichis avec les nouvelles propriétésprédéfinies, à l’aide des valeurs qui ont été configurées dans l’interface utilisateurGroups Management.

Interface utilisateur Data Enrichment

L’interface Data Enrichment est une interface extensible qui permet auxutilisateurs de créer de nouvelles propriétés et la structure d’attribution devaleurs. Cette interface peut enrichir la base de données APG ou la base dedonnées d’événements (alertes).

Les utilisateurs créent des règles de correspondance et ajoutent les nouvellesvaleurs de propriété directement dans l’interface utilisateur. Des boutons sont



disponibles pour exporter et importer le fichier CSV contenant les valeurs depropriété.

Les enregistrements collectés sont filtrés à l’aide de champs et de valeurs clésque vous configurez dans l’interface utilisateur Data Enrichment. Lesenregistrements correspondants sont enrichis avec les noms et les valeurs desnouvelles propriétés qui ont été configurés dans l’interface utilisateur DataEnrichment.

Composants Property-Tagging-Filter personnalisés

Un PTF (Property-Tagging-Filter) est un composant inséré dans la chaîne decollecte qui définit les règles d’attribution de valeurs et les nouvelles propriétés.Les fichiers de configuration XML définissent les nouvelles propriétés et la sourceexterne permettant de récupérer les valeurs. La source externe peut être, parexemple, un fichier, une base de données ou un service Web.

L’installation et la configuration d’un PTF personnalisé sont des activités dedéveloppement avancées.

Remarque

Les interfaces utilisateur Groups Management et Data Enrichment configurent lesPTF en arrière-plan. Les deux interfaces utilisateur configurent le PTF etnécessitent un fichier CSV comme source des données de règles.

Utilisations et exemples de l’enrichissement des donnéesVoici les illustrations de quelques utilisations de l’enrichissement de données.

Renseigner les groupes existants

Supposons que vous souhaitiez filtrer les rapports de capacité pour un client, unemplacement ou une division spécifique, ou vous devez peut-être créer desrapports personnalisés en fonction d’un ou plusieurs de ces attributs. Ensupposant que ces attributs peuvent être déduits à partir des valeurs collectées,telles que les noms de baie, vous pouvez atteindre ces objectifs à l’aide del’interface utilisateur Groups Management ou Data Enrichment pour renseignerles valeurs dans les propriétés du client, de l’emplacement ou de la division.Ensuite, utilisez les filtres de groupe prédéfinis situés en haut de nombreuxrapports pour filtrer le rapport afin d’obtenir les valeurs de propriété souhaitées. Ilest également possible d’afficher une colonne pour la propriété renseignée.

Par exemple, voici le filtre Customer renseigné avec plusieurs valeurs, et un filtredéfini pour afficher la capacité d’une entreprise pour une valeur de client unique.


Utilisations et exemples de l’enrichissement des données 15

Figure 1 Exemple de filtre Customer renseigné

Les colonnes prédéfinies pour Customer, Location et Business Unit sontdisponibles, mais elles sont masquées par défaut, dans nombreux rapports. Lesutilisateurs peuvent facilement annuler le masquage des ces colonnes.

Ajouter de nouvelles propriétés dans la base de données et créer des règles pourrenseigner les valeurs

Supposons que vous souhaitiez ajouter des coordonnées de contact pour tous lespériphériques dans les rapports. En supposant que les coordonnées de contactsont basées sur des attributs collectés, tels que le fournisseur et le modèle, vouspouvez atteindre cet objectif, à l’aide de l’interface utilisateur Data Enrichment.Vous pouvez créer la nouvelle propriété et un ensemble de règles pour renseignercette propriété en fonction du modèle et du fournisseur. Vous pouvez ensuitetélécharger un fichier CSV contenant les informations correspondantes. Pourfinir, vous pouvez rapidement modifier une définition de rapport pour ajouter unecolonne correspondant à la nouvelle propriété.

Voici un rapport personnalisé indiquant les coordonnées de contact qui ont étéinsérées dans la base de données par une configuration d’enrichissement desdonnées.



Renseigner les nouvelles propriétés provenant de sources externes

Supposons que vous disposiez d’une base de données externe qui gère lesemplacements des racks, les numéros de série et les informations de garantie, parpériphérique. En installant manuellement un nouveau PTF (Property TaggingFilter) et en le configurant avec un interrogateur JDBC et des règles de balisage,le PTF peut se connecter à la base de données externe pour récupérer lesinformations souhaitées et les ajouter à des données collectées dans ViPR SRM.Vous pouvez créer un nouveau rapport qui combine les informations collectéesavec les nouvelles propriétés.

Fonctions ViPR SRM qui dépendent de l’enrichissement des donnéesViPR SRM utilise l’enrichissement des données pour mettre en œuvre les fonctionssuivantes.

Classifications des niveaux de service

Les attributions de niveau de service sont basées sur des règles qui classent lestockage en fonction des caractéristiques du système de stockage. Pour certainstypes de stockage, les administrateurs peuvent modifier les règles pourpersonnaliser les niveaux de service ou ajouter de nouveaux niveaux de service.

Voici le rapport Service Level Capacity, présentant le stockage existant (metricscollectés) classé en niveaux de service par le traitement de l’enrichissement desdonnées.


Utilisations et exemples de l’enrichissement des données 17

Figure 2 Exemple de rapport de niveau de service

Vous pouvez accéder aux détails sous-jacents de chaque niveau de service encliquant sur une ligne.

Taux et rapports de refacturation

Les rapports de refacturation sont basés sur des règles qui classent lesressources de stockage dans des groupes, spécifiquement dans le but de créerdes rapports de refacturation.

Les coûts de refacturation sont calculés par niveau de service au sein d’un groupede refacturation. Les taux par Go sont définis par l’utilisateur pour chaque niveaude service.

Voici un rapport de refacturation en mode bloc pour un groupe personnaliséd’hyperviseurs.



Filtres de groupe sur les rapports

Les rapports sélectionnés contiennent des boutons de filtre de groupe dans l’en-tête qui autorisent le filtrage simple en fonction des valeurs de propriétésélectionnées. Les filtres communs prêts à l’emploi sont Customer, Location,Business Unit et Platform.

Le filtre Platform est prérempli avec des valeurs par les SolutionPacks installés.

Voici le rapport All Alerts avec le filtre Platform.Figure 3 Exemple de filtre de groupe Platform

Fonctionnement de l’enrichissement des donnéesLe processus de collecte ViPR SRM harmonise les données provenant de diversessources dans un ensemble commun de propriétés. L’enrichissement de données insèredes propriétés supplémentaires dans la base de données après le processus de collecteet de normalisation.

Processus de collecte de baseLes Collectors collectent les données provenant de diverses sources. Les donnéescollectées sont traitées et balisées avec les propriétés standard avant d’êtretransmises à la base de données. Les règles de balisage des données collectées avecles propriétés standard s’assurent que les données collectées sont conformes au


Fonctionnement de l’enrichissement des données 19

modèle de données ViPR SRM. Ces règles sont définies dans les fichiers deconfiguration de chaque Collector. Ce processus de collecte de base assure laconformité entre tous les SolutionPacks et constitue la base des rapports normalisés.La figure suivante illustre le processus de collecte.

Figure 4 Processus de collecte ViPR SRM

Les administrateurs et super-utilisateurs peuvent ajouter d’autres informations auxdonnées déjà collectées en insérant d’autres règles de balisage dans le processus. Lesinformations supplémentaires peuvent être des données d’entreprise ou desinformations supplémentaires non présentes ou disponibles dans l’entité collectée.

Les nouvelles informations sont ajoutées aux informations collectées et sontdisponibles dans la base de données. Vous pouvez exploiter ces informations dansl’interface utilisateur en effectuant des personnalisations légères pour les rapportsexistants ou en créant de nouveaux rapports, si nécessaire.

Property-Tagging-FilterUn composant EMC M&R appelé PTF (Property-Tagging-Filter) applique lespropriétés supplémentaires aux enregistrements collectés. Un PTF est associé à un ouplusieurs Collectors. Le rôle du PTF est de lire les potentielles correspondances depropriété à partir d’une source d’entrée, de tenter de les détecter dans les fluxd’entrée du Collector et de baliser les enregistrements mis en correspondance avec lespropriétés supplémentaires avant que les enregistrements soient transférés vers labase de données.

La source d’entrée d’un PTF peut être un fichier texte, une autre base de données, unservice Web ou autre source externe. La figure suivante illustre le PTF inséré dans unflux de traitement du gestionnaire de Collectors. Dans ce cas, le PTF lit un fichierd’entrée qui a été obtenu à partir d’une base de données externe.



Figure 5 Rôle de Property-Tagging-Filter

Jeux de balisesUn fichier de configuration PTF contient un ou plusieurs jeux de balises. Un jeu debalises définit :

l Les champs de données collectées à faire correspondre (propriétés de clé)

l Les nouvelles propriétés à ajouter lorsqu’une correspondance est trouvée(nouvelles propriétés)

l La source de récupération des valeurs de clé à faire correspondre et les nouvellesvaleurs de propriété associées à ajouter en cas de correspondance

Par exemple, avec un numéro de série de périphérique (une clé) spécifique, un PTFpeut baliser des enregistrements collectés avec le numéro d’un rack ou le nom d’unsite (nouvelles propriétés). Les numéros de série et les valeurs d’emplacement de racksont récupérés auprès d’une source externe, par exemple un fichier .csv ou une basede données externe.

Interfaces utilisateur pour la configuration des PTFViPR SRM inclut deux interfaces pour la configuration des PTF préinstallés. Elles sontles suivantes :

l Administration > Centralized Management > Groups Management. Cetteinterface est utile pour les tâches de balisage simples pour lesquelles les propriétéset les règles du jeu de balises sont déjà définies. Les utilisateurs ont uniquementbesoin de fournir les valeurs correspondantes aux clés et les nouvelles valeurs depropriété qui en résultent.

l Administration > Centralized Management > Data Enrichment. Cette interfaceest destinée à des tâches plus avancées dans lesquelles les utilisateurs peuventdéfinir des jeux de balises à partir de rien.

Chacune de ces interfaces utilise un composant PTF préinstallé, distinct. Cesinterfaces utilisateur nécessitent une source d’entrée sous forme de fichier.


Fonctionnement de l’enrichissement des données 21

Configuration d’un PTF pour des interrogateurs autres que des interrogateurs defichierLes développeurs peuvent manuellement installer et configurer un nouveau composantProperty-Tagging-Filter. Le PTF configuré manuellement est nécessaire pour mettreen œuvre une solution d’enrichissement des données qui utilise une source qui n’estpas un fichier, par exemple une base de données ou un service Web.



CHAPITRE 2

Gestion des groupes pour l’enrichissement desdonnées

Les sections suivantes expliquent comment enrichir les données dans ViPR SRM enutilisant les fonctions de l’interface utilisateur Groups Management.

l Récapitulatif des groupes...................................................................................24l Accéder à l’interface utilisateur Groups Management ....................................... 25l Groupes simples et hiérarchiques.......................................................................26l Tour d’horizon de l’interface utilisateur Groups Management ........................... 27l Descriptions détaillées des groupes....................................................................38l Vidéo : utiliser Groups Management pour renseigner et utiliser la propriété

Business Unit......................................................................................................51

Gestion des groupes pour l’enrichissement des données 23

Récapitulatif des groupesL’interface utilisateur Groups Management prend en charge un jeu prédéfini de typesde groupe, ayant chacun un rôle particulier. Il est important d’utiliser et de renseignerchaque type de groupe en fonction de l’objectif dans lequel il a été créé.

Le tableau suivant contient une description générale et l’objectif pour chaque type degroupe pris en charge par l’interface utilisateur Groups Management. Chaque type degroupe balise les données collectées avec une ou plusieurs propriétés supplémentaires.

Remarque

Votre installation peut ne pas contenir tous ces types de groupe. Ils sont installés parles SolutionPacks qui les utilisent.

Tableau 1 Récapitulatif des types de groupe prédéfinis

Type de groupe Objectif

Business UnitLocation

Customers

Ces trois propriétés sont utilisées pour le filtrage et la créationde rapports en fonction des attributs définis par le client.De nombreux rapports contiennent des colonnes prédéfinies(mais masquées) pour ces propriétés. Ces mêmes rapportsincluent des filtres de groupe prédéfinis pour ces propriétés, etce, afin de faciliter le filtrage en fonction des valeurssélectionnées pour le client, l’emplacement ou la division.

Les installations peuvent utiliser ces trois propriétés dansn’importe quel but souhaité. Par exemple, pour suivrel’utilisation du stockage par les applications, vous pouvezrenseigner la propriété Business Unit avec des nomsd’application et définir les règles pour filtrer les ressources destockage utilisées par des applications spécifiques.

Platform Cette propriété est utilisée pour le filtrage et la création derapports en fonction du type de plate-forme.Chaque SolutionPack installé s’ajoute à la liste de valeursPlatform prédéfinies.

De nombreux rapports contiennent le filtre de groupe Platformpour une création aisée des rapports en fonction des plates-formes sélectionnées.

Service Level by LUNsService Level by FileShare

Object Service Level

Ces propriétés sont utilisées pour les classifications de contratde niveau de service (SLA) et la création de rapports globauxen fonction des niveaux de service. En outre, une propriétéCost per GB, requis pour la création de rapports derefacturation, est associée à chaque niveau de service.Des niveaux de service prédéfinis sont installés ; lesutilisateurs peuvent créer des niveaux de servicepersonnalisés, avec des restrictions.

Block ChargebackGroupingFile ChargebackGrouping

Ces propriétés définissent les règles des ressources destockage d’un groupe pour la création de rapports globaux derefacturation. Les rapports de refacturation affichent lescoûts par niveau de service au sein de chaque regroupement.

Gestion des groupes pour l’enrichissement des données


Tableau 1 Récapitulatif des types de groupe prédéfinis (suite)

Type de groupe Objectif

Des regroupements prédéfinis sont installés ; les utilisateurspeuvent créer des regroupements personnalisés pour lacréation de rapports.

Remarque

Les rapports de refacturation en mode objet affichent lescoûts par niveau de service au sein des espaces de nommageet des buckets d’objet définis sur les ressources ECS.

ECS Capacity Rates Ce groupe définit plusieurs propriétés utilisées pour le taux defacturation du stockage en mode objet AWS S3 géré sur desressources ECS. Les rapports de facturation s’affichent sous

Report Library > Amazon AWS > Operations.

Accéder à l’interface utilisateur Groups ManagementVous accédez à l’interface utilisateur Groups Management sous CentralizedManagement.

Procédure

1. Accédez à Administration > Centralized Management > GroupsManagement.

La liste des types de groupe s’affiche en indiquant les groupes pris en chargepar les SolutionPacks installés sur votre site. Par exemple :


Accéder à l’interface utilisateur Groups Management 25

2. Cliquez sur la ligne du type de groupe que vous souhaitez afficher ou modifier.

Groupes simples et hiérarchiquesUn type de groupe peut être simple ou hiérarchique.

Groupes simplesDans les groupes simples, les données collectées peuvent correspondre à une seulerègle et la propriété ajoutée ne peut avoir qu’une seule valeur par entrée de base dedonnées mise en correspondance. Le groupe Service Levels by LUNs est un exemplede groupe simple. Le niveau de service pour une LUN donnée peut être Gold ouPlatinum, mais pas les deux. La propriété de niveau de service (psvclvl) ne peutstocker qu’une seule valeur.

Dans un type de groupe simple, les noms de groupe s’affichent dans une liste simple.L’ordre des noms de groupe est important. La mise en correspondance est effectuéedans l’ordre dans lequel les groupes sont répertoriés et la première correspondancel’emporte.

Groupes hiérarchiquesDans les groupes hiérarchiques, les données collectées peuvent correspondre à une ouplusieurs règles. Par conséquent, la nouvelle propriété peut stocker une ou plusieursvaleurs. Ces valeurs sont séparées par des barres verticales (|).

Le groupe Platform est un exemple d’un type de groupe hiérarchique. Un périphériquedonné peut correspondre aux règles pour tous les hôtes (All Hosts), ainsi qu’aux règlespour les hôtes Unix (Unix Hosts). Par conséquent, la valeur de propriété stockée peutêtre "All Hosts|unix".



Remarque

Un sous-groupe n’hérite pas des règles de son parent. Les règles sous-jacentesdoivent être correctement créées pour pouvoir prendre en charge la hiérarchie.

L’ordre des règles n’a aucune importance dans un groupe hiérarchique.

Tour d’horizon de l’interface utilisateur GroupsManagement

Pour chaque type de groupe, vous pouvez créer de nouvelles valeurs de nom degroupe et modifier les règles d’appartenance aux groupes.

L’image suivante illustre l’interface utilisateur Groups Management pour le type degroupe Block Chargeback.

Remarque

L’interface est légèrement différente pour les groupes hiérarchiques et les groupessimples, mais les concepts sont les mêmes.

Figure 6 Interface utilisateur Groups Management

1 Type de groupe Le type de groupe représente les propriétés prédéfinies dansla base de données. Dans ce cas, Block Chargeback Groupingreprésente la propriété nodegrp déjà définie dans la base dedonnées.


Tour d’horizon de l’interface utilisateur Groups Management 27

2 Boutons d’action Les boutons d’action sont utilisés pour gérer le groupe devaleurs de propriété. Par exemple :

l Le bouton Create crée une nouvelle valeur possible pour lapropriété nodegrp.

l Le bouton Edit modifie les règles d’appartenanceassociées à une valeur de propriété.

Le jeu d’actions est différent pour les types de groupe simpleset hiérarchiques.

3 Noms de groupe Les noms de groupe sont les valeurs possibles de la propriétéd’enrichissement des données. Dans cet exemple, la propriéténodegrp peut avoir la valeur All Hypervisors, All Hypervisors -Compliance ou toute autre valeur dans la hiérarchie.

4 Tableau d’aperçu Le tableau d’aperçu répertorie une vue partielle des objets dela base de données qui correspondent aux règles pour unevaleur sélectionnée. Par exemple, lorsque la valeur AllHypervisors est sélectionnée, le tableau d’aperçu répertorieles hyperviseurs, mais pas les hôtes non physiques ou lesmachines virtuelles invitées.

5 Actionsd’exportation/importation

Ces actions gèrent le fichier CSV sous-jacent associé à cetype de groupe.

Sélectionnez un nom de groupe, puis cliquez sur Edit pour afficher les règles decorrespondance pour ce nom de groupe. Par exemple, sélectionnez All Hypervisors,puis cliquez sur Edit pour afficher les règles qui permettent de contrôler le moment oùla valeur All Hypervisors est attribuée à la propriété nodegrp d’une entrée collectée.

Figure 7 Interface utilisateur Groups Management (règles)

Utiliser le tableau d’aperçuLa tableau d’aperçu affiche les membres d’un groupe sélectionné et des informationscomplémentaires sur les membres.



Procédure

1. Accédez à Administration > Centralized Management > GroupsManagement > type_de_groupe.

La page s’ouvre avec le tableau d’aperçu affichant les 10 premiers membres dupremier groupe sur la page.

2. Pour afficher davantage de membres, utilisez la zone déroulante Show entriespour ajuster le nombre d’entrées affichées.

3. Dans le cas où il existe potentiellement de nombreux membres, recherchez desmembres spécifiques à l’aide de la zone de texte Search.

Saisissez une valeur exacte pour l’une des colonnes du tableau ou utilisez lecaractère générique * pour rechercher une valeur partielle. La recherches’exécute sur l’une des colonnes du tableau d’aperçu.

Par exemple, la recherche dans la figure suivante (PowerEdge*) permet derechercher les membres du groupe All Hypervisors qui correspondent à unmodèle de périphérique commençant par PowerEdge.

Le caractère générique peut apparaître n’importe où dans l’expression derecherche. Par exemple, la recherche dans la figure suivante (*lss*) trouvetoutes les entrées avec la séquence de caractères lss dans une valeur.


Utiliser le tableau d’aperçu 29

4. Pour afficher l’aperçu d’un autre groupe, cliquez pour sélectionner le nom dugroupe de votre choix.

Créer un groupeL’action Create crée une nouvelle valeur de propriété et spécifie les règles decorrespondance lorsque cette valeur est balisée sur des données collectées.

Voici une procédure générale pour la création d’un groupe. Certains types de groupe,en raison de leur objectif, ont des restrictions logiques sur les règles d’appartenance.Pour celles-ci et d’autres limitations, consultez les descriptions de chaque groupeindividuel.

Procédure

1. Accédez à Administration > Centralized Management > GroupManagement > type_de_groupe.

2. Dans un type de groupe hiérarchique, cliquez sur le parent dans lequel voussouhaitez que le nouveau groupe s’affiche.

Remarque

Cette étape ne s’applique pas aux groupes simples.

3. Cliquez sur Create.

4. Dans le premier champ de texte, saisissez la nouvelle valeur de propriété degroupe.

Par exemple, pour créer une nouvelle valeur Customer, saisissez le nom duclient. Cette valeur sera ajoutée aux enregistrements balisés.

5. Si d’autres zones de texte sont affichées pour des propriétés supplémentaires,saisissez ces valeurs.

Par exemple, les groupes de niveau de service affichent le champ Cost par GB.

6. Pour les groupes simples ou hiérarchiques, ajoutez des règles dynamiques pourdéfinir les enregistrements qui seront balisés avec les nouvelles valeurs depropriété.

Remarque

Pour les groupes simples, les règles dynamiques constituent la seule façond’ajouter des membres. Pour les groupes hiérarchiques, l’interface utilisateuraffiche les onglets Dynamic Members et Static Members. Cliquez surDynamic Members.

Une définition de membre dynamique se compose d’une ou de plusieurs règlesassociées ensemble à l’aide de l’opérateur booléen AND afin de créer un groupede règles. Vous pouvez utiliser l’opérateur booléen OR entre plusieurs groupesde règles pour créer un filtre détaillé.

Les étapes suivantes fournissent des instructions pour créer des règlesdynamiques.

a. Cliquez sur Select a property,



Effectuez l’une des opérations suivantes :

l Sélectionnez l’une des descriptions de propriété proposées. Le nom depropriété est automatiquement fourni dans la zone de texte suivante. Parexemple, si vous sélectionnez Device type, le nom de propriété devtypes’affiche dans la zone de texte.

l Sélectionnez Advanced, puis spécifiez un nom de propriété de base dedonnées dans la zone de texte suivante.

b. Dans la deuxième liste déroulante, sélectionnez une opération. SélectionnezWildcard pour utiliser des caractères génériques dans la valeur.

c. Dans la zone de texte, indiquez la valeur de propriété.

Cliquez dans la zone pour afficher les valeurs proposées en fonction de lapropriété nommée dans la zone de texte. Les suggestions sont récupérées àpartir des valeurs découvertes existant dans votre infrastructure.

d. Pour appliquer l’opérateur booléen AND à une autre règle, cliquez sur AddRule dans la zone du groupe de règles.


Créer un groupe 31

e. Pour appliquer l’opérateur booléen OR à un autre groupe de règles, cliquezsur Add new ruleset en dehors de la zone du groupe de règles existant.

f. Pour vérifier l’appartenance définie, cliquez sur Show Members.

7. Pour les groupes hiérarchiques, vous pouvez également ajouter des membresstatiques.

Les membres statiques sont ceux que vous sélectionnez dans une liste etajoutez manuellement à l’appartenance.

Remarque

Les membres statiques et dynamiques sont combinés pour créer l’appartenancetotale à un groupe.

a. Sélectionnez l’onglet Static Members.

b. Faites vos choix dans les listes déroulantes Type ou Source Group pourrenseigner le tableau d’aperçu. Cette opération crée un sous-ensembled’éléments parmi lesquels choisir.



c. Pour ajouter un membre statique au groupe, sélectionnez une ligne dans letableau d’aperçu, puis cliquez sur Add to group.

La sélection passe alors sur la liste des membres statiques.

8. Cliquez sur Save.

Modifier un groupeModifiez un groupe pour changer les règles d’appartenance à ce groupe ou changerles nouvelles valeurs de propriété associées au groupe.

Procédure

1. Accédez à Administration > Centralized Management > GroupManagement > type_de_groupe.

2. Dans le volet de droite, sélectionnez le groupe à modifier en cliquant dessus.

3. Cliquez sur Edit.

4. Modifiez les valeurs de propriété dans les zones de texte en haut de la page, sinécessaire.

5. Modifiez ou ajoutez les règles d’appartenance, en fonction des besoins.


Résultats

Si vous modifiez un nom de groupe, le nouveau balisage effectué après cettemodification utilisera le nouveau nom de groupe. En ce qui concerne lesenregistrements existants dans la base de données :


Modifier un groupe 33

l Si vous avez modifié uniquement le nom de groupe, la modification s’applique à laprochaine exécution du processus PTF, et l’ancien nom de groupe est remplacépar le nouveau nom de groupe.

l Si vous avez modifié le nom de groupe et la définition de la règle, vous verrez à lafois l’ancien et le nouveau nom dans les rapports pendant un certain temps, jusqu’àce que l’ancien nom de groupe devienne obsolète dans les rapports.

Afficher et réorganiser les règlesPour les types de groupe simple, l’ordre des noms de groupe affecte l’ordre danslequel les règles sont traitées et le résultat du balisage. Vous pouvez consulter toutesles règles pour tous les groupes et réorganiser les groupes afin de modifier l’ordre detraitement des règles.

Les boutons Reorder et View All Rules s’affichent uniquement sur les boîtes dedialogue pour les groupes simples.

Les nouvelles propriétés des groupes simples ne peuvent contenir qu’une seule valeur.Le premier nom de groupe dont les règles correspondent aux données collectées estattribué. Veillez à classer les groupes de sorte que les groupes les plus restrictifsapparaissent en premier.

Par exemple, dans la liste des groupes de niveaux de service, System Resource et PoolContributor identifient des utilisations spécifiques du stockage. Après cela, les règlesPlatinum sont les plus restrictives. Au bas de la liste, Other est une mention trèsgénérale et joue le rôle de groupe général lorsqu’aucune autre règle ne correspond.

Procédure


Cette procédure concerne uniquement les groupes simples.

2. Pour afficher toutes les règles de tous les groupes, cliquez sur View All Rules.

3. Pour quitter la liste des règles, cliquez sur OK.

4. Pour réorganiser les règles, cliquez sur Reorder.

5. Cliquez sur le groupe pour lequel vous souhaitez modifier l’emplacement.



6. Utilisez les flèches pour modifier l’emplacement de ce groupe dans la liste.

Assurez-vous que les groupes les plus restrictifs s’affichent avant les groupes

moins restrictifs.


Créer un nouveau groupe en copiant un groupe existantDans les types de groupe hiérarchique, vous pouvez rapidement créer un nouveaugroupe avec pratiquement les mêmes règles qu’un groupe existant en copiant-collantle groupe existant.

Les boutons Copy et Paste sont uniquement disponibles sur les boîtes de dialogue destypes de groupe hiérarchique.

Procédure


2. Cliquez pour sélectionner le groupe existant que vous souhaitez copier, puiscliquez sur Copy.

3. Cliquez pour sélectionner le groupe dans la hiérarchie qui sera le parent dunouveau groupe, puis cliquez sur Paste.

Le nouveau groupe apparaît sous le groupe sélectionné. Il a le même nom que legroupe copié.

4. Cliquez pour sélectionner le nouveau groupe, puis cliquez sur Edit.

5. Dans la boîte de dialogue Edit, modifiez le nom de groupe et ajoutez-le auxrègles et sélections des membres statiques, en fonction des besoins.



Créer un nouveau groupe en copiant un groupe existant 35

Récupérer les règles d’appartenance à un groupe en tant qu’expression regexVous pouvez afficher les règles d’appartenance complètes à un groupe sous formed’une expression regex unique.

Procédure


2. Cliquez pour sélectionner le nom du groupe pour lequel vous souhaitez afficherles règles d’appartenance.


4. Cliquez sur Click to show query au bas de la page Edit.

Gérer des groupes en exportant et en important des fichiersComme alternative à la création et à la modification des noms de groupe dansl’interface utilisateur, les développeurs ou les administrateurs peuvent gérer lesgroupes en exportant et en important des fichiers.

L’interface utilisateur Groups Management crée et gère les fichiers de configurationsous-jacents qui prennent en charge vos définitions de groupe. Vous pouvez exporteret enregistrer ces fichiers dans un emplacement en dehors de ViPR SRM à des fins desauvegarde ou pour afficher et modifier les paramètres. Vous pouvez importer uneversion modifiée dans ViPR SRM.

Remarque

La modification des fichiers hors ligne et leur importation sont des activités avancées.Nous recommandons aux utilisateurs finaux de modifier les paramètres de groupe àl’aide des boutons Edit et Create de l’interface utilisateur Groups Management.

Procédure


Par exemple, cliquez sur le type de groupe Service Level by LUNs.

2. Dans la page du type de groupe, cliquez sur Export et suivez les invites de votrenavigateur pour enregistrer le fichier zip.

3. Extrayez les fichiers avec un utilitaire de décompression.

Chaque type de groupe est pris en charge par les deux fichiers :

Fichier de configuration XML

Le fichier XML définit la configuration du composant PTF (PropertyTagging Filter) pour le type de groupe. Cette structure inclut :

l L’élément <files> définit le nom du fichier d’entrée de donnéesassociées (le fichier CSV) et les caractères utilisés dans le fichier pourles séparateurs et les caractères génériques.

l L’élément <key-properties> définit la structure des règles qui sontutilisées pour faire correspondre les données existantes dans la base dedonnées.

l L’élément <new-properties> définit les noms des nouvellespropriétés à ajouter en cas de correspondance.



En règle générale, vous ne modifiez pas ce fichier. Il permet d’interpréter leformat du fichier CSV.

Fichier d’entrée de données au format CSV

Ce fichier CSV contient les noms de groupe et les définitions dans le formatacceptable requis par le PTF. Chaque ligne représente un nom de groupe,avec toutes les règles qui définissent les membres de ce groupe et lesnouvelles valeurs de propriété pour ce groupe.

Par exemple, pour le type de groupe Service Level by LUNs, chaque lignecontient les règles de définition de l’appartenance à un groupe, et à la fin dechaque ligne, se trouvent le coût base de refacturation, les taux de réponsemaximal et minimal, ainsi que le nom de niveau de service.

4. Pour importer des fichiers :

a. Assurez-vous que vous avez conservé une version exportée des paramètresexistants.

Remarque

Cette étape est importante. Vous êtes sur le point de remplacer lesparamètres existants.

b. Archivez le fichier CSV modifié et le fichier XML dans un fichier zip. Ceuxdeux fichiers sont obligatoires.

c. Cliquez sur Import, puis choisissez le fichier zip à télécharger.

d. Cliquez sur OK.

Limitations relatives à Groups ManagementNotez les limitations suivantes relatives à l’interface utilisateur Groups Management.

Un nom de groupe supprimé ou modifié reste dans les rapportsLorsqu’un nom de groupe est modifié ou supprimé, l’ancien nom existe toujours, danscertains cas, en tant que valeurs de propriété dans la base de données et parconséquent, il apparaît toujours dans les rapports et les filtres de groupe.

Dans le cas d’un nom de groupe supprimé, cette situation se produit car aucunenouvelle valeur n’a été spécifiée à la place de l’ancienne valeur. Les anciennes valeursfinissent par devenir obsolètes dans les rapports.

Dans le cas d’un nom de groupe modifié, la situation est temporaire jusqu’à ce que lanouvelle valeur se propage dans tout le système.

Les groupes hiérarchiques n’héritent d’aucune règleDans les groupes hiérarchiques, un groupe enfant n’hérite pas des règles du groupeparent.

Pour mettre en œuvre des relations hiérarchiques implicites, les utilisateurs doivents’assurer que les règles d’un groupe parent sont incluses dans les règles des groupesenfants.

Limitation relative aux groupes Service Level by LUNLes règles de balisage pour un groupe personnalisé Service Level by LUN ne peuventpas utiliser les propriétés qui sont ajoutées dans la base de données avecl’enrichissement des données. Cette restriction s’applique que vous modifiiez desrègles pour un groupe Service Levels by LUN existant ou que vous créiez un nouveaugroupe Service Levels by LUN.


Limitations relatives à Groups Management 37

La limitation se produit en raison du séquençage des processus impliqués. Le balisagedes niveaux de service se produit dans le Connector du répartiteur de charge (LBC)avant que le balisage d’enrichissement des données se produise dans les instances deCollector-Manager.

REMARQUE : Une règle qui utilise des propriétés d’enrichissement des données peutsembler fonctionner dans l’interface Groups Management. Autrement dit, le boutonShow Members et le tableau d’aperçu appliquent tous deux les règles d’appartenanceà des données qui existent déjà dans la base de données, y compris aux propriétésd’enrichissement des données. Toutefois, la même règle ne fonctionnera pas pendantle traitement effectif des données récemment collectées à cause du problème deséquençage.

Descriptions détaillées des groupesLes rubriques suivantes présentes des valeurs d’utilisation et de propriété spécifiquespour chaque type de groupe.

Service Level by LUNsLes groupes Service Level by LUNs classent les LUN en fonction du type de disque etdes caractéristiques de performances.

Ce type de groupe est installé avec les SolutionPacks associés aux LUN. Il est installéavec un ensemble de noms de niveau de service prédéfinis et de règles connexes quiprennent en charge les bonnes pratiques communes du secteur en matière de contratsde niveau de service. La figure suivante affiche les noms de groupe prédéfinis.

Figure 8 Groupes prédéfinis pour Service Level by LUNs

L’appartenance à un groupe est entièrement basée sur l’analyse des règlesdynamiques. (Les membres statiques ne sont pas autorisés). Tous les groupescontiennent la règle spécifiant que parttype est LUN. Les autres règles classent les



LUN en fonction des caractéristiques telles que le type de disque et la vitesse. Lafigure suivante illustre l’une des règles de classification d’une LUN en tant quePlatinum. Dans cet exemple, si parttype est LUN et disktype est Flash Drive et isfastest 0, la LUN est balisée avec la valeur Platinum.

Figure 9 Exemple de règle préremplie pour Service Level by LUNs

Nouvelles propriétésLes nouvelles propriétés suivantes sont ajoutées dans des enregistrements balisés.

Tableau 2 Nouvelles propriétés pour Service Level by LUNs

Nom dechamp dansl’interfaceutilisateur

Nom de propriétédans la base dedonnées

Description

Cost per GB costgb Le coût est utilisé pour calculer les coûts derefacturation. Les nombres décimaux sontautorisés.

Minimumresponse time

minrtime Les temps de réponse sont utilisés dans lesrapports du contrat de niveau de service (SLA). Sile temps de réponse d’une LUN ne correspond pasaux valeurs configurées pour le niveau de service,la LUN enfreint le SLA.

Maximumresponse time

maxrtime

Service Level svclevel Nom du niveau de service. Il s’agit du nom degroupe dans l’interface utilisateur.

Modifications autorisées pour l’utilisateurLes modifications suivantes sont possibles pour Service Level by LUNs :

l Modifier le coût d’un niveau de service par Go, le temps de réponse minimal et letemps de réponse maximal.


Service Level by LUNs 39

Remarque

Vous ne pouvez pas modifier les groupes grisés. Les nouvelles valeurs de propriéténe s’appliquent pas à ces groupes, et les règles sont fixes. Pour afficher les règlesque cachent les groupes grisés, cliquez sur View All Rules.

l Créer de nouveaux niveaux de service avec l’action Create.

l Supprimer un niveau de service.

Remarque

Les rapports globaux Block Chargeback et les rapports Associated Storage spécifiquesde l’hôte utilisent les mêmes noms de niveau de service par LUN prêts à l’emploi. Sivous ajoutez ou supprimez des niveaux de service, nous vous conseillons d’ajuster enconséquence les rapports de refacturation. Pour plus d’informations, reportez-vous àla section Refacturation en mode bloc.

Service Levels by File ShareLe type de groupe Service Levels by File Share balise tous les systèmes de fichiers etpartages de fichiers dans le même groupe.

Ce type de groupe est installé avec les SolutionPacks associés aux systèmes defichiers et partages de fichiers. Il est prérempli avec un nom de niveau de service(NAS). Tous les systèmes de fichiers sont membres de ce groupe. Bien que vouspuissiez créer des groupes supplémentaires, les rapports de refacturation du partagede fichiers peuvent calculer les metrics de refacturation uniquement pour le groupeNAS.

Figure 10 Groupe prérempli pour Service Level by File Share

L’appartenance au groupe est déterminée en fonction de la règle suivante.



Figure 11 Règle préremplie pour Service Level by File Share

Nouvelles propriétésDeux nouvelles propriétés sont ajoutées dans les enregistrements balisés.

Tableau 3 Nouvelles propriétés pour Service Level by File Share



Description

Service Level svclevel Nom du niveau de service. Il s’agit du nom degroupe.

Cost per GB costgb Le coût est utilisé pour calculer les coûts derefacturation. Les nombres décimaux sontautorisés.

Modifications autorisées pour l’utilisateurLes modifications suivantes sont autorisées pour Service Level by File Share :

l Modifier la valeur du champ Cost per GB pour le groupe NAS.

l Créer de nouveaux groupes pour la création de rapports. (Seul le groupe NAS estutilisé pour les calculs de refacturation.)

l Supprimer un groupe.

Niveau de service des bucketsLe type de groupe Bucket Service Level classe les buckets des espaces de nommageEMC ECS dans des niveaux de service.

Ce type de groupe est installé par le SolutionPack for EMC ECS. Deux niveaux deservice sont prédéfinis pour classer le stockage en mode objet dans des espaces denommage ECS conformément à une règle de réplication, comme suit :

l La protection à distance (Remote Protected) est attribuée aux buckets qui sontassociés à plusieurs sites, ce qui signifie que les données sont copiées hors site.

l La protection en local (Local Protected) est attribuée aux buckets qui sontassociés à un seul site, ce qui signifie que les données sont stockées localementuniquement.


Niveau de service des buckets 41

Figure 12 Groupes prédéfinis pour le niveau de service des buckets

L’appartenance à un groupe est basée sur l’analyse des règles dynamiques. Voici larègle pour le niveau de service Local Protected.

Figure 13 Exemple de règle prédéfinie pour le niveau de service des buckets


Tableau 4 Nouvelles propriétés pour les niveaux de service des buckets



Description

Cost per GB costgb Permet de calculer les coûts de refacturation. Lesrapports de refacturation calculent les trois typesde coûts. Les nombres décimaux sont autorisés.

Download Costper GB

costdwld

Upload Cost perGB

costupld

Service Level svclevel Nom du niveau de service. Il s’agit du nom degroupe dans l’interface utilisateur.



Tableau 4 Nouvelles propriétés pour les niveaux de service des buckets (suite)

Modifications autorisées pour l’utilisateurLes modifications suivantes sont autorisées pour les niveaux de service des buckets :

l Modifier les valeurs de propriété du coût d’un groupe.

l Modifier les règles d’appartenance.

l Créer de nouveaux groupes : les nouveaux niveaux de service, dotés de règlespersonnalisées, sont autorisés. Les coûts de refacturation pour les niveaux deservice personnalisés sont calculés et reportés sur les rapports Object Chargebackglobaux.

l Supprimer des groupes.

ECS Capacity RatesLe type de groupe ECS Capacity Rates définit les regroupements de buckets S3 etconfigure les taux de facturation pour chaque groupe.

Ce type de groupe est installé par le SolutionPack for Amazon S3. Un regroupementprédéfini détermine tous les buckets S3 stockés sur les ressources ECS.

Figure 14 Groupe prédéfini pour ECS Capacity Rates

L’appartenance à un groupe est basée sur l’analyse des règles dynamiques. Voici larègle prédéfinie pour tous les buckets S3.


ECS Capacity Rates 43

Figure 15 Exemple de règle prédéfinie pour tous les buckets S3

Vous pouvez créer de nouveaux regroupements qui commencent par cette définitionavant de la limiter davantage.


Tableau 5 Nouvelles propriétés pour les groupes ECS (S3) Capacity Rates



Description

Storage cost($ / GB/Month)

ecostgb Permet de calculer les coûts de la facturation S3.Les rapports de facturation AWS affichent lestrois types de coûts. Les nombres décimaux sontautorisés.

Data transfer(download) cost($/GB)

ecostdld

Data transfer(upload) cost($/GB)

ecostuld

Bucket Grouping bucktgrp Nom de regroupement du bucket. Il s’agit du nomde groupe dans l’interface utilisateur.

Modifications autorisées pour l’utilisateurLes modifications suivantes sont autorisées pour les regroupements de buckets :

l Modifier les valeurs de propriété du coût d’un groupe.



l Modifier les règles d’appartenance.

l Créer de nouveaux groupes : les nouveaux groupes ayant des règles personnaliséessont autorisés. Les coûts de facturation pour les regroupements personnaliséssont calculés et reflétés sur les rapports de facturation dans Report Library >Amazon S3 > Operations.

l Supprimer des groupes.

Regroupement de refacturation en mode blocLe regroupement de refacturation en mode bloc classifie les groupes de périphériqueshôte pour la création de rapports de refacturation. Grâce aux groupes personnalisés,vous pouvez générer des rapports de refacturation en mode bloc pour le stockagerattaché à un groupe d’hôtes personnalisé. Les hôtes incluent tous les hôtesphysiques, toutes les machines virtuelles et tous les hyperviseurs découverts.

Ce type de groupe est installé par le SolutionPack for Block Chargeback. Lesregroupements prédéfinis pour les trois catégories d’hôte sont installés pour lacréation de rapports généraux de refacturation.

Figure 16 Noms de groupe de refacturation en mode bloc prédéfinis

Il s’agit d’un type de groupe hiérarchique. L’ordre des groupes n’a pas d’importance,et un périphérique peut appartenir à plusieurs groupes. Vous pouvez définir denouveaux groupes à la racine (sous All) ou au sein des groupes existants.

Remarque

Les groupes n’héritent pas des règles de leur parent. Les règles de chaque groupedoivent contenir le jeu complet des filtres pour le groupe.


Regroupement de refacturation en mode bloc 45

Nouvelles propriétésEn cas de correspondance, une nouvelle propriété est ajoutée aux enregistrementsbalisés.

Tableau 6 Nouvelle propriété pour un regroupement de refacturation en mode bloc



Description

Group Name nodegrp Identifie le nom du groupe de périphériques. Cenom est utilisé dans la refacturation par lesrapports de groupe. Si un enregistrement estbalisé avec plusieurs noms de propriété (noms degroupe), les valeurs sont séparées par une barreverticale (|).

Les rapports de refacturation affichent les coûts par niveau de service au sein dechaque groupe de refacturation en mode bloc. Les coûts par Go sont associés auxniveaux de service et sont configurés dans les groupes de niveau de service.

Pour plus d’informations, consultez le chapitre relatif à la refacturation.

Modifications autorisées pour l’utilisateurVous pouvez modifier les règles d’appartenance à un groupe, créer de nouveauxgroupes et supprimer des groupes.

Limitations des règles d’appartenanceLe traitement de la refacturation en mode bloc s’exécute sur les regroupementsd’hôtes, de machines virtuelles et d’hyperviseurs. Ce processus est très efficace etprend facilement en charge n’importe quel nombre de groupes personnalisés quifiltrent et balisent les enregistrements associés aux hôtes, hyperviseurs et machinesvirtuelles.

Remarque

L’interface est extensible et vous permet de créer des règles pour baliser lespériphériques qui ne sont pas des hôtes, par exemple, des baies spécifiques. Dans cecas, le balisage se produit toujours dans la base de données. (Autrement dit, lesenregistrements de la baie sont balisés avec la propriété nodegrp et une valeur quicorrespond au nom du groupe de refacturation en mode bloc). Toutefois, cetteassociation n’est pas récupérée par le traitement de la refacturation ou les rapports derefacturation. Le traitement de la refacturation examine uniquement lesenregistrements de base de données associés aux hôtes, aux hyperviseurs et auxmachines virtuelles.Des rapports personnalisés complexes sont requis pour afficher les coûts derefacturation de types de périphérique qui ne sont pas des hôtes, des hyperviseurs etdes machines virtuelles. Contactez le support client pour discuter de vos besoins.

Traitement supplémentaireIl doit s’écouler un certain temps avant qu’un nouveau groupe de refacturation enmode bloc soit renseigné et devienne visible dans les rapports de refacturation. Engénéral, prévoyez d’attendre un jour. La durée réelle dépend des paramètres defréquence pour les processus suivants :



l Comme avec toutes les modifications concernant l’enrichissement des données,tous les Collectors concernés doivent effectuer quelques cycles avant que denouvelles propriétés et valeurs soient transmises via le système.

l La tâche d’importation des propriétés doit être exécutée pour pouvoir transmettreles données collectées au magasin de propriétés en mémoire sur le front-end.

l Enfin, la tâche de traitement de la refacturation doit être exécutée pour pouvoircalculer les coûts de refacturation en fonction des données du magasin depropriétés front-end en mémoire.

Regroupement de refacturation en mode fichierLe regroupement de refacturation en mode fichier classe les systèmes de fichiers etpartages de fichiers pour la création de rapports de refacturation. Avec des groupespersonnalisés, vous pouvez générer des rapports File Chargeback pour desapplications ou des clients spécifiques.

Ce type de groupe prend en charge les systèmes de fichiers et les partages de fichiersrépondant à des quotas. Les groupes prédéfinis sont destinés aux partages de fichiersrésidant sur le système de fichiers. Des groupes personnalisés doivent être créés pourles exportations NFS et partages CIFS répondant à des quotas de sorte que ceux-ciapparaissent dans les rapports de refacturation en mode fichier.

Figure 17 Noms de groupe de refacturation en mode fichier prédéfinis

Il s’agit d’un type de groupe hiérarchique. L’ordre des groupes n’a pas d’importance,et un système de fichiers peut appartenir à plusieurs groupes. Vous pouvez définir desgroupes dans des groupes existants.

Remarque

Les groupes n’héritent pas des règles de leur parent. Les règles de chaque groupedoivent contenir le jeu complet des filtres pour le groupe.


Regroupement de refacturation en mode fichier 47

Nouvelles propriétésUne nouvelle propriété est ajoutée aux enregistrements balisés. Si un enregistrementest balisé avec plusieurs groupes, les valeurs sont séparées par une barre verticale (|).

Tableau 7 Nouvelle propriété pour le regroupement de refacturation en mode fichier



Description

Group Name compgrp Identifie un nom de groupe de refacturation enmode fichier.

Les rapports de refacturation affichent les coûts pour chaque groupe de refacturationen mode fichier. Le coût par Go est associé au niveau de service NAS et est configurédans le groupe de niveau de service. Seul le groupe de niveau de service NAS estutilisé pour les calculs de refacturation.

Pour plus d’informations, consultez le chapitre relatif à la refacturation.

Modifications autorisées pour l’utilisateurVous pouvez modifier n’importe quel groupe, créer de nouveaux groupes et supprimerdes groupes.

Pour créer des rapports de refacturation en mode fichier spécifiques du client oud’une application, créez des groupes personnalisés qui incluent les systèmes defichiers et les partages de fichiers utilisés par le client ou l’application.

PlatformLe type de groupe Platform classifie les éléments de configuration par type. Ce typede groupe fournit un filtrage simple des rapports.

Le type Platform est installé avec des groupes prédéfinis, comme illustré dans la figureci-dessous. Les SolutionPacks contribuent aux définitions de groupe, comme indiquédans le groupe de systèmes de stockage développé dans la figure.



Il s’agit d’un type de groupe hiérarchique. Un élément de configuration peut appartenirà plusieurs groupes. Vous pouvez définir de nouveaux groupes dans des groupesexistants pour la création de vos rapports et pour le filtrage.

Remarque

Les groupes n’héritent pas des règles de leur parent. Les règles de chaque groupedoivent contenir le jeu complet de filtres pour le groupe.

Un filtre de groupe pour Platform est inclus dans de nombreux rapports globaux ViPRSRM. Le filtre affiche tous les noms de groupe Platform qui sont configurés et quisont valides pour le rapport en cours, ainsi que ses données en cours. Dans l’exemplesuivant sur le rapport Storage Systems, le filtre n’inclut pas les choix Hosts ou StorageConnectivity, car ces éléments ne sont pas inclus dans le rapport en cours.

En appliquant un filtre, vous pouvez limiter un rapport afin de n’afficher, par exemple,que les metrics pour les systèmes Atmos.


Platform 49

L’appartenance à un groupe est déterminée en fonction des règles dynamiques et dessélections statiques. Les boîtes de dialogue Create et Edit incluent les ongletsDynamic et Static pour prendre en charge les deux méthodes de définition del’appartenance à un groupe.

Nouvelles propriétésUne nouvelle propriété est ajoutée aux enregistrements balisés. Si un enregistrementest balisé avec plusieurs groupes, les valeurs sont séparées par une barre verticale (|).

Tableau 8 Nouvelle propriété pour un groupe Platform



Description

Group Name pltfmgrp Identifie le nom du groupe Platform. Ces nomssont utilisés pour ajouter le filtre Platform dans lesrapports de l’utilisateur.

Modifications autorisées pour l’utilisateurIl n’est pas recommandé d’apporter des modifications à des groupes Platform.

Client, emplacement et divisionCes trois types de groupe peuvent être définis et utilisés par les utilisateurs selon lesbesoins. En balisant des metrics collectés avec des valeurs pour le client,l’emplacement ou la division, vous pouvez créer des rapports filtrés en fonction desvaleurs dans un ou plusieurs de ces groupes.

Ces types de groupe sont simples. Un metric collecté peut appartenir à un client, unemplacement et une division. À l’instar de tous les types de groupe simple, l’ordre desgroupes au sein de chaque type de groupe est important. Les premières règles degroupe à faire correspondre sont les valeurs balisées.

Utilisation flexibleCes types de groupe et leurs propriétés prédéfinies associées indiquent un objectif(client, division, emplacement). Toutefois, votre installation peut définir ses propresstratégies d’utilisation. Par exemple :

l Les propriétés du client ou de la division sont couramment utilisées pour baliser lesapplications.

l La propriété de l’emplacement peut être utilisée pour indiquer des emplacementsgéographiques, des bureaux ou les deux.

Filtres de groupe et colonnes de rapport prédéfinisLes fonctions suivantes facilitent l’utilisation de ces types de groupes pour la créationde rapports sur les rapports globaux :

l Filtres de groupe : plusieurs filtres peuvent être appliqués, notamment des filtrespour les clients et les emplacements, afin d’afficher des metrics pour un clientspécifique à un emplacement particulier.

l Colonnes prédéfinies : des colonnes sont prédéfinies pour le client, l’emplacementet la division, mais elles sont masquées par défaut.

Nouvelles propriétésPour chaque type de groupe, une nouvelle propriété est ajoutée aux enregistrementsbalisés.



Tableau 9 Nouvelles propriétés pour les clients, les emplacements et les divisions



Description

customer customer Identifie un client (ou toute autre entité définie parvotre installation).

location location Identifie un emplacement (tel que défini par votreinstallation).

business unit bunit Identifie une division (ou toute autre entité définiepar votre installation).

Vidéo : utiliser Groups Management pour renseigner etutiliser la propriété Business Unit

Créez des règles pour renseigner les valeurs Business Unit. Ensuite, utilisez les filtresde colonne et de groupe Business Unit pour afficher les résultats dans les rapports.

Découvrez comment >Voir la vidéo


Vidéo : utiliser Groups Management pour renseigner et utiliser la propriété Business Unit 51

http://youtu.be/QsfLv0pDTM0

CHAPITRE 3

Enrichissement des données brutes

Les rubriques suivantes décrivent comment ajouter de nouvelles propriétés à la basede données APG, comment renseigner les propriétés et comment vérifier vos résultatset résoudre les problèmes rencontrés.

l À propos de l’enrichissement des données brutes ............................................. 54l Instructions pour les nouveaux noms de propriété............................................. 54l Interrogateurs pris en charge pour récupérer des données................................ 55l Utilisation de l’interface utilisateur Data Enrichment .........................................55l Vidéo : utilisez l’enrichissement des données pour ajouter une nouvelle propriété

et l’afficher dans les rapports.............................................................................69

Enrichissement des données brutes 53

À propos de l’enrichissement des données brutesL’enrichissement des données brutes permet de définir et d’ajouter de nouvellespropriétés dans la base de données. Les nouvelles propriétés sont disponibles pour lesfiltres, les recherches, les extensions et pour l’affichage sur les rapports.

L’enrichissement des données est pris en charge par la fonction PTF (PropertyTagging Filter) dans EMC M&R. Pour créer de nouvelles propriétés, vous définissez denouveaux PTF ou en ajoutez à des PTF existants.

Un PTF définit les éléments suivants :

l Clés : noms des propriétés existantes qui définiront la correspondance quipermettra d’associer les données à baliser avec de nouvelles propriétés.

l Nouvelles propriétés : noms des nouvelles propriétés à ajouter lorsqu’unecorrespondance de clé est trouvée

l Type d’interrogateur à utiliser pour obtenir les données pour renseigner le filtre.L’interrogateur par défaut est l’interrogateur de fichier.

l Informations requises par l’interrogateur. Par exemple, l’interrogateur de fichiernécessite le nom d’un fichier CSV contenant les données pour pouvoir renseignerles nouvelles propriétés. L’interrogateur JDBC nécessite les informations deconnexion.

Les données obtenues par l’interrogateur contiennent des valeurs de clé à fairecorrespondre et les nouvelles valeurs de propriété qui en résultent.

Le processeur PTF fonctionne en filtrant les données collectées sur les valeurs de clé.Lorsqu’une correspondance est trouvée, les données sont améliorées (identifiées)avec la nouvelle propriété et les valeurs associées.

Une variété de formats sont acceptés pour spécifier les valeurs de clé à fairecorrespondre, y compris des correspondances de chaîne, des séquences de caractèresgénériques, des plages et des expressions régulières.

Instructions pour les nouveaux noms de propriétéLes nouveaux noms de propriété doivent comporter huit caractères au maximum etêtre uniques.

La base de données limite à huit caractères les noms de propriété. Si la configurationutilise un nom plus long, la base de données le tronque aux huit premiers caractères.

Si le nom existe déjà dans la base de données, vos règles d’enrichissement desdonnées renseignent la propriété existante.

Utilisez la procédure suivante pour vérifier que le nom que vous envisagez est uniquedans la base de données concernée.

Procédure

1. Dans l’interface utilisateur, accédez à n’importe quelle page du rapport, puiscliquez sur la flèche Advanced Search.

2. Dans le champ Expansion, cliquez sur l’icône de l’Assistant de sélection d’une

propriété .



3. Cliquez sur l’onglet APG.

4. Dans le champ de recherche au bas de la boîte de dialogue, saisissez le nomenvisagé.

Si le nom est inclus dans la liste, utilisez un nom différent.

5. Si vous avez l’intention d’utiliser la propriété pour enrichir les données de labase de données d’événements (pour améliorer la création de rapportsd’alerte), cliquez sur l’onglet Events, puis assurez-vous que la nouvellepropriété prévue ne s’y trouve pas.

Interrogateurs pris en charge pour récupérer des donnéesLes interrogateurs récupèrent des informations auprès de sources externes pourrenseigner les nouvelles valeurs de propriété.

Les types d’interrogateur suivants sont pris en charge par EMC M&R :

l L’interrogateur JDBC récupère les valeurs de propriété auprès de bases dedonnées externes.

l L’interrogateur de fichier récupère les valeurs de propriété auprès de fichiersnommés.

l L’interrogateur statique récupère les valeurs de propriété directement dans lefichier de configuration XML.

l L’interrogateur de service Web récupère les valeurs de propriété auprès d’unesource externe à l’aide de requêtes SOAP.

l L’interrogateur de propriété récupère les valeurs auprès du service Web EMCM&R, qui peut récupérer à son tour les propriétés auprès de plusieurs bases dedonnées EMC M&R au cours de la même demande.

l L’interrogateur Sparql obtient des valeurs auprès d’un point de terminaison Sparqlpour récupérer des données auprès d’un référentiel RDF (Resource DescriptionFramework), tel que le référentiel de topologie EMC M&R.

Remarque

Le type d’interrogateur par défaut est l’interrogateur de fichier. L’interrogateur defichier est le seul pris en charge par l’interface utilisateur d’enrichissement desdonnées. L’interface utilisateur configure l’interrogateur et gère le fichier.

Pour utiliser des interrogateurs autres que l’interrogateur de fichier, vous devezinstaller un PTF distinct et configurer manuellement les fichiers XML. Pour plus dedétails, reportez-vous aux rubriques suivantes :

l Pour les nouvelles procédures d’installation d’un composant PTF, reportez-vous àla section Installer et configurer un nouveau filtre de balisage de propriété (PTF) àla page 82.

l Pour les configurations de l’interrogateur, consultez le chapitre relatif au Filtre debalisage des propriétés du Guide de configuration du back-end EMC M&R.

Utilisation de l’interface utilisateur Data EnrichmentUtilisez l’interface utilisateur Data Enrichment pour créer de nouvelles propriétés etdéfinir les règles du balisage des données avec les nouvelles valeurs de propriété.

Voici la séquence des tâches requises pour ajouter une propriété, la renseigner, lavérifier et la rendre visible dans un rapport.


Interrogateurs pris en charge pour récupérer des données 55

1. Enregistrer une instance Collector Manager à la page 56

2. Créer une nouvelle structure de balises à la page 58

3. Renseigner les lignes du jeu de balises à la page 63

4. (Facultatif) Exécuter la tâche d’importation des propriétés et redémarrer lesCollectors à la page 67

5. Vérifier la nouvelle propriété à la page 68

6. Ajouter la nouvelle propriété à un rapport à la page 69

Enregistrer une instance Collector ManagerPour activer l’exécution d’un PTF, vous devez l’associer à une instance CollectorManager ou l’enregistrer dans celle-ci.

Pour associer un PTF d’enrichissement des données à une instance CollectorManager, vous devez enregistrer l’instance Collector Manager.

En général, un serveur de Collectors héberge plusieurs instances Collector Manager.En règle générale, tous les Collectors doivent utiliser le même PTF pour baliser lesdonnées et renseigner vos nouvelles propriétés de façon cohérente. Une bonnepratique consiste à enregistrer un seul module (Collector-Manager :: Load-Balancer :: DataEnrichment) pour réduire le temps système et vous assurerque le même ensemble de règles de balisage est utilisé sur toutes les données traitéessur un serveur de Collectors.

S’il existe une raison pour utiliser des jeux de règles différents pour des CollectorManager différents, vous pouvez enregistrer chaque instance Collector Managerséparément et associer les différents groupes de règles de balisage à chacun d’eux.

Procédure

1. Connectez-vous à la console et accédez à Administration > CentralizedManagement > Data Enrichment.

2. Dans le volet de droite, cliquez sur Register a new module.

3. Dans la colonne Server, sélectionnez le serveur qui héberge le modulecollectant les données que vous souhaitez enregistrer.

En général, sélectionnez le serveur Collector. Toutefois, les autres types deserveur hébergent également quelques modules de collecte.

4. Dans la colonne Categories, sélectionnez Collecting.

5. Dans la colonne Modules, sélectionnez un ou plusieurs modules devantparticiper au balisage des propriétés.

Pour les applications standard, sélectionnez Collector-Manager :: Load-Balancer :: DataEnrichment.



Remarque

La liste affiche uniquement les modules en cours d’exécution. Si le modulesouhaité n’est pas dans la liste, quittez, puis vérifiez l’état de Collector Managersous Administration > Centralized Management > Physical Overview >

nom_de_serveur > nom_de_l’instance_collector_manager. Utilisez lesboutons Start ou Restart de la page si nécessaire.

6. Cliquez sur Register.

La page Data Enrichment s’affiche à nouveau, et le module récemmentenregistré s’affiche dans le tableau. Vous pouvez désormais associer au moduledes règles de balisage des propriétés.


Enregistrer une instance Collector Manager 57

Créer une nouvelle structure de balisesDéfinissez la nouvelle structure de balises en définissant les clés à faire correspondreet les nouvelles propriétés à ajouter.

Procédure

1. Accédez à Administration > Centralized Management > Data Enrichment.

Le tableau présente les modules enregistrés pour participer à l’enrichissementdes données.

2.

Cliquez sur une ligne pour un module enregistré.

La page de balisage s’affiche.Cette page contient une barre bleue pour chaque jeu de balises.

Remarque

ViPR SRM est installé avec un jeu de balises prédéfinies, appelé global-enrichment.

3. (Facultatif) Cliquez sur l’entrée global-enrichment pour la développer.

Examinez la composition de cette structure de balises prédéfinies pour obtenirun aperçu des prochaines étapes. Notez les points suivants :

l Cette structure de balises contient une clé, device.

l Elle contient quatre propriétés possibles à ajouter aux enregistrementslorsqu’une valeur device collectée correspond à une règle.

l Pour renseigner la structure de balises, vous devez créer des lignes dans letableau pour spécifier les valeurs device collectées à faire correspondre etles quatre valeurs de propriété obtenues à ajouter.

l Les propriétés Bunit, Customer et Location peuvent également être gérées àl’aide de l’interface Groups Management.

4. Pour procéder à la définition d’une nouvelle structure d’un groupe de règles,cliquez sur New tagging.

Une nouvelle barre bleue s’affiche, avec des champs d’entrée permettant dedéfinir le nouveau jeu de balises.



5. Pour Name, créez un nom unique pour votre nouveau jeu de balises.

Ce nom devient le nom du fichier d’entrée CSV contenant les règles que vousdéfinissez dans le jeu de balises.

6. Pour définir une clé de la structure, cliquez sur Add new key, puis complétez laboîte de dialogue.


Créer une nouvelle structure de balises 59

a. Pour New column, commencez à renseigner le nom de champ de la base dedonnées APG que vous souhaitez faire correspondre et sélectionnez lechamp dans la liste.

b. Pour after, sélectionnez la position de cette nouvelle clé dans le jeu de clés.(Pour la première clé, la position doit être first.)

c. Pour Default value, vous pouvez également saisir une valeur par défaut pource champ.

La valeur doit être au format défini par le champ Type à l’étape suivante.Default value est utilisé comme suit :

l Un premier enregistrement est créé et celui-ci utilise toutes les valeurspar défaut.

l Si vous ajoutez une nouvelle clé dans une structure existante qui a étédéjà été renseignée avec les enregistrements, la valeur par défaut estutilisée dans tous les enregistrements existants.

d. Pour Type, sélectionnez le type de valeur de correspondance à utiliser pource champ lors du remplissage du groupe de règles.

Reportez-vous à la section Attribut Type pour les clés PTF à la page 62pour obtenir une description de chaque valeur de Type.

e. Pour Delete after use, indiquez si vous souhaitez supprimer la propriétémise en correspondance des données collectées une fois le balisage terminé.

AVERTISSEMENT

Utilisez cette option avec une extrême précaution. La suppression deschamps peut rompre votre modèle de données. Généralement, laissezcette option désactivée.

L’option Delete after use est utile si vous envisagez de remplacer unepropriété collectée et une valeur par une nouvelle propriété et une nouvellevaleur.

f. Cliquez sur Save.

7. Si vous le souhaitez, répétez l’étape précédente pour ajouter des cléssupplémentaires dans la structure.

8. Pour définir une nouvelle propriété, cliquez sur Add new property, puiscomplétez la boîte de dialogue.



a. Pour New column, saisissez un nom pour la nouvelle propriété de base dedonnées.

Remarque

Les noms de propriété de base de données APG sont limités à 8 caractères.Si vous en utilisez plus de 8, le nom de propriété est tronqué à 8 caractères.

Remarque

Si vous réutilisez un nom qui existe déjà dans la base de données APG, vosrègles renseigneront la propriété existante. En règle générale, il estrecommandé de créer une nouvelle propriété.

b. Pour after, sélectionnez la position de cette nouvelle propriété dans ce jeude balises. (Pour la première propriété, la position est toujours first.)

c. Pour Default value, vous pouvez également saisir une valeur par défaut pource champ.

Cette valeur est utilisée comme suit :

l Un premier enregistrement est créé et celui-ci utilise toutes les valeurspar défaut.

l Si vous ajoutez une nouvelle propriété dans une structure existante qui aété déjà été renseignée avec les enregistrements, la valeur par défaut estutilisée dans tous les enregistrements existants.

d. Cliquez sur Save.

9. Si vous le souhaitez, répétez l’étape précédente pour ajouter de nouvellespropriétés dans la structure du jeu de balises.

10. Après avoir créé toutes les clés et l’ensemble des propriétés, cliquez sur Save.

11. Sur la boîte de dialogue Save Data Enrichment, sélectionnez les modules quecette structure de balises doit utiliser.

Si vous disposez de plusieurs modules inscrits, sélectionnez toutes les modulesappropriés.

12. Cliquez sur Update.

La page de balisage réapparaît avec une nouvelle barre bleue pour le nouveaujeu de balises.


Créer une nouvelle structure de balises 61

Attribut Type pour les clés PTFLes clés PTF sont définies à l’aide d’un attribut Type. Le Type définit le format desvaleurs de correspondance.

Afficher le Type défini pour une cléVous pouvez afficher le Type qui a été défini pour une clé en plaçant votre curseur surl’en-tête de colonne jusqu’à ce qu’une info-bulle s’affiche pour cette colonne. L’imagesuivante montre que la clé vendor (fournisseur) a été définie avec le Type string(chaîne). Cela signifie que les valeurs fournies dans cette colonne doivent être deschaînes et ne doit pas contenir des caractères génériques.

Valeurs de l’attribut TypeLa liste suivante définit la valeur de chaque Type.

String

Chaîne sans guillemets, où la chaîne doit être strictement respectée.

Wildcards

Vous pouvez utiliser des caractères génériques dans une valeur decorrespondance. Les valeurs suivantes sont prises en charge :

Caractère générique Description

* ou % N’importe caractère multiple

? Tout caractère

\ Caractère d’échappement si nécessaire

Range

Une plage de valeurs numériques est acceptée en tant que valeur decorrespondance. Les valeurs décimales sont autorisées. Les règles suivantess’appliquent :

l Spécifiez des valeurs de début et de fin sous forme d’un nombre entier oudécimal

l Séparez les deux valeurs par un point-virgule

l Insérez la phrase entre crochets, comme suit :

les crochets [ ] indiquent une inclusion] [ ces crochets indiquent une exclusionLes combinaisons sont autorisées

Exemples de valeur de plage :



Valeur Description

[5;20] Correspond à une valeur de 5 à 20, y compris 5 et 20.

]5;21[ Correspond à une valeur supérieure à 5 et inférieure 21.

[5;20[ Correspond à une valeur allant de 5 à 20, mais inférieure à 20. 19,5 peutêtre une valeur acceptée.

[.5;1] Correspond à une valeur allant de 0,5 à 1, inclus.

Regex

Toute expression régulière Java est prise en charge comme valeur decorrespondance.

Valeurs @Les valeurs spéciales suivantes sont disponibles pour les clés :

Valeur dansl’interfaceutilisateur

Valeur dans lesfichiers XML/CSV

Description

@DEFAULT "**" Correspond à toutes les valeurs.

@EMPTY "" (sans espace) Correspond à une propriété qui existemais qui est vide.

@NULL "@@" Correspond lorsque la propriété n’existepas.

@MATCHALL "%%" Correspond toujours, y compris lorsquela propriété n’existe pas.

Renseigner les lignes du jeu de balisesRenseignez le jeu de balises avec les valeurs de clé à faire correspondre et lesnouvelles valeurs de propriété à ajouter.

Il existe plusieurs façons de renseigner les lignes :

l Ajoutez les lignes manuellement à l’aide de l’interface de la Console. Cetteméthode crée un fichier CSV utilisant le nom du jeu de balises.

l Importez un fichier CSV ou un fichier XSL

Remarque

L’importation d’un fichier remplace toutes les entrées en cours dans le tableau.

l Ajoutez quelques lignes à l’aide de la Console, puis téléchargez le fichier, modifiez-le pour y ajouter davantage de lignes et téléchargez-le.

l Ajoutez quelques lignes à l’aide de la Console, puis ouvrez le fichier dans laConsole, modifiez-le et enregistrez-le.

Les valeurs de clé doivent correspondre à l’attribut Type qui a été configuré pour la cléou utiliser l’une des valeurs @ spéciales.

Procédure

1. Accédez à Administration > Centralized Management > Data Enrichment.


Renseigner les lignes du jeu de balises 63

2. Cliquez sur un module enregistré associé au jeu de balises que vous voulezmodifier.

Une barre bleue s’affiche pour chaque jeu de balises.

3. Cliquez pour développer le jeu de balises à renseigner.

4. Pour saisir la première ligne :

a. Cliquez dans le premier champ de clé et saisissez ou sélectionnez une valeurde correspondance.

La valeur d’un champ de clé doit être :

l Une valeur qui est conforme à l’attribut Type de la clé (Range, String,Regex ou Wildcard).

l L’une des sélections @valeur.

Pour afficher l’attribut Type d’une clé, passez le curseur sur l’en-tête decolonne jusqu’à ce que l’info-bulle s’affiche.

Dans l’exemple ci-dessus, une valeur de correspondance à caractèregénérique valide est lgl* pour faire correspondre tous les noms depériphérique commençant par LGL ou lgl.

b. Cliquez dans chaque champ de clé et spécifiez une valeur decorrespondance.

c. Cliquez dans chaque champ de propriété (résultat) et spécifiez la valeursouhaitée pour les nouvelles propriétés.

d. Appuyez sur Entrée pour valider une ligne.

5. Pour saisir les lignes suivantes, cliquez avec le bouton droit de la souris surl’icône de la liste au début d’une ligne, puis sélectionnez Insert before ou Insertafter pour placer la nouvelle ligne à l’endroit souhaité.

Les lignes sont traitées dans l’ordre dans lequel elles apparaissent dans letableau ci-dessous (ou le fichier). L’ordre des lignes peut affecter les résultats,en particulier lorsque vous utilisez des caractères génériques, des expressionsrégulières ou des plages. Une ligne suivante peut remplacer une correspondancepar une ligne précédente. En règle générale, vous démarrez avec la règle la plusgénérale, comme une correspondance sur @DEFAULT ou @MATCHALL etterminez avec les règles plus spécifiques.



Voici un nouveau jeu de balises nommé contact-email. La structure contientdeux clés et une nouvelle propriété. Les quatre lignes spécifient les valeurs d’e-mail des contacts pour la nouvelle propriété nommée cemail.

Les résultats attendus de ces règles sont les suivants :

l Le contact de tous les fournisseurs qui ne sont pas spécifiquementrépertoriés est [email protected].

l Le contact de Brocade est [email protected].

l Le contact pour EMC est [email protected], sauf dans le cas des modèlesIsilon, pour lesquels le contact est [email protected].


Cette commande enregistre le contenu du tableau dans un fichier. Le nom defichier est le nom du jeu de balises (email-contacts dans l’exemple ci-dessus), avec une extension .csv.

7. Dans la boîte de dialogue Save Data Enrichment, sélectionnez tous les modulesenregistrés auxquels le fichier s’applique, puis cliquez sur Update.

Le fichier est enregistré sur chaque serveur enregistré, sous Collecting/Property-Tagging-Filter/module-name/conf/tagset_name.

8. Pour exporter un fichier de jeu de balises, cliquez sur Export CSV ou ExportXSL.

9. Pour importer les valeurs du jeu de balises à partir d’un fichier externe :

Remarque



Renseigner les lignes du jeu de balises 65

a. Cliquez sur Import CSV ou Import XSL.

b. Suivez les invites de votre navigateur pour importer le fichier.

c. Cliquez sur Save après l’importation du fichier.

d. Sélectionnez tous les modules enregistrés auxquels le fichier s’applique, puiscliquez sur Update.

Afficher et modifier le fichier d’entrée PTFAprès la création de plusieurs lignes à l’aide de l’interface de la Console, vous pouvezafficher le fichier pour déterminer le format requis et ensuite ajouter manuellementdes lignes supplémentaires ou importer un fichier dans le format approprié.

Il existe deux façons d’afficher et de modifier un fichier d’entrée PTF enregistré.

l Exportez le fichier et modifiez-le dans un éditeur de texte, puis importez-le.

Remarque


l Ouvrez le fichier dans l’éditeur de texte de la Console.

Dans les deux cas, vous remarquerez que les @valeurs et les caractères génériquesutilisés dans votre entrée de Console sont convertis en valeurs génériquesnormalisées.

Procédure

1. Pour exporter et importer un fichier d’entrée PTF :

a. Accédez à Administration > Centralized Management > Data Enrichment.

b. Cliquez sur un module enregistré associé au jeu de balises.

c. Développez le nom du jeu de balises.

d. Cliquez sur Export ou Import.

2. Pour ouvrir le fichier sur la Console :

a. Accédez à Administration > Centralized Management > PhysicalOverview > registered-server-name > Modules > Collecting > Property-Tagging-Filter :: nom_du_module_enregistré.

registered-server-name est généralement un serveur de Collectors.registered-module-name est généralement un Load-Balancer.

b. Dans le volet droit, développez l’entrée Configuration Files.

c. Localisez le fichier conf/tag-set-name.csv.

d. Cliquez sur Edit (icône de crayon) en regard du fichier.

Le fichier s’ouvre dans l’éditeur de fichier de la Console.

3. Ajoutez des lignes supplémentaires en utilisant le format du fichier existant.

Par exemple, voici le fichier conf/email-contacts.csv.



Notez que les valeurs @DEFAULT saisies dans la Console ont été converties dans"**". Si vous ajoutez des lignes, utilisez la notation "**", pas la notation@DEFAULT.

4. Après la modification ou l’importation d’un fichier d’entrée modifié, appliquez lesmises à jour à tous les modules enregistrés qui utilisent le jeu de balises.

Remarque

S’il n’existe qu’un seul module enregistré qui utilise le jeu de balises, cette étapen’est pas nécessaire.

a. Accédez à Administration > Centralized Management > Data Enrichment.

b. Sélectionnez tous les modules qui utilisent le jeu de balises associé au fichiermodifié.

c. Cliquez sur Update.

Modifier un groupe de règlesVous pouvez modifier la structure du groupe de règles en ajoutant ou en supprimantdes clés et des propriétés. Vous pouvez modifier les valeurs dans les lignes.

Procédure

1. Connectez-vous à la console et accédez à Administration > CentralizedManagement > Data Enrichment.

2. Cliquez sur un module enregistré associé à l’ensemble de règles de balisage quevous voulez modifier.

Une barre bleue s’affiche pour chaque groupe de règles de balisage.

3. Cliquez pour développer le groupe de règles de balisage à renseigner.

4. Pour supprimer une clé ou une propriété de la structure, cliquez surDelete(icône de corbeille) dans l’en-tête de colonne.

Cette action supprime toutes les valeurs et la colonne.

5. Pour ajouter une ligne, cliquez avec le bouton droit de la souris sur l’icône deliste dans une ligne, puis sélectionnez Insert Before ou Insert After.

Pour savoir comment procéder à la saisie, reportez-vous à la rubrique Renseigner les lignes du jeu de balises à la page 63.

6. Pour supprimer une ligne, cliquez avec le bouton droit de la souris sur l’icône deliste dans la ligne, puis sélectionnez sur Delete.

7. Pour modifier une valeur dans une ligne, cliquez sur la valeur, spécifiez unenouvelle valeur, puis appuyez sur Entrée pour valider la modification

8. Cliquez sur Save pour enregistrer la table, puis sur Update pour appliquer lesmodifications aux modules enregistrés sélectionnés.

(Facultatif) Exécuter la tâche d’importation des propriétés et redémarrer lesCollectors

Le traitement d’enrichissement des données dépend des intervalles configurés pour latâche d’importation des propriétés de base de données et des Collectors. Pour desrésultats d’enrichissement de données plus rapides, vous pouvez exécuter ces tâchesmanuellement.


(Facultatif) Exécuter la tâche d’importation des propriétés et redémarrer les Collectors 67

L’exécution de tous les processus impliqués peut prendre un jour. L’apparence desnouvelles propriétés dépend des éléments suivants :

l La tâche d’importation des propriétés de base de données doit être exécutée.Cette tâche met à jour le cache de la base de données en mémoire sur le front-end.

l Le processus de collecte doit exécuter les PTF. Pour des résultats précis debalisage, deux cycles de collecte sont parfois obligatoires.

Si nécessaire, vous pouvez exécuter ces processus manuellement.

Procédure

1. Pour exécuter la tâche d’importation des propriétés de base de donnéesmanuellement :

a. Dans Physical Overview, accédez à nom_de_serveur - Front End >Tasks > Database > import-properties-Default.

b. Dans le volet de droite, cliquez sur Run Now.

2. Pour redémarrer une instance Collector-Manager :

a. Cliquez sur Administration > Centralized Management > PhysicalOverview > nom_du_serveur_de_collectors.

b. Après avoir sélectionné le serveur de Collectors de votre choix, cliquez surl’onglet Services.

c. Sélectionnez une instance Collector-Manager, puis cliquez sur Restart.

Une instance Collector-Manager appelle tous les composants individuels decollecte dans sa configuration, tels que le flux de données, les Collectors XMLet les PTF.

Vérifier la nouvelle propriétéUne fois que la nouvelle propriété s’est propagée dans le système et que le nouveaujeu de balises PTF est appliqué aux données collectées, vous pouvez voir la propriété àl’aide des outils Frontend.

Procédure

1. Dans l’interface utilisateur, accédez à n’importe quelle page du rapport, puiscliquez sur la flèche Advanced Search.

2. Dans le champ Expansion, cliquez sur l’icône de l’Assistant de sélection d’une

propriété .

3. Cliquez sur l’onglet APG, puis utilisez le champ de recherche au bas de la boîtede dialogue pour rechercher la nouvelle propriété.

Lors de la recherche, n’oubliez pas qu’un nom de propriété long peut avoir ététronqué sur ses 8 premiers caractères.

Si la nouvelle propriété n’apparaît pas dans la liste, patientez une heure etréessayez.

4. Si la nouvelle propriété apparaît dans la liste, sélectionnez-la, puis quittezl’Assistant de sélection d’une propriété.



Le nouveau nom de propriété doit apparaître dans le champ Expansion.Supprimez tous les autres noms de propriété.

5. Cliquez sur Apply.

Les résultats de la recherche répertorient les valeurs pour la propriété appliquéejusqu’à présent aux enregistrements dans la base de données. L’exécution detous les Collectors peut prendre jusqu’à un jour en fonction des paramètres devotre site.

Ajouter la nouvelle propriété à un rapportPour afficher la nouvelle propriété, créez un nouveau rapport ou ajoutez la nouvellepropriété à un rapport existant.

Choisissez un rapport qui réunit les clés sur lesquels repose le balisage. La procéduresuivante explique comment ajouter la nouvelle propriété à un rapport tabulaireexistant.

Procédure

1. Accédez au rapport, puis cliquez sur EDIT MODE.

2. Cliquez sur l’onglet Report Details: Table.

3. Cliquez sur + Property.

4. Faites défiler jusqu’à la fin de la liste de propriétés (barres bleues) etdéveloppez la barre Property : *.

5. Configurez la nouvelle colonne :

a. Dans Column Name, saisissez l’en-tête de colonne.

b. (Facultatif) Pour Description, saisissez la description qui apparaîtra dansl’info-bulle si l’utilisateur place le curseur sur cet en-tête de colonne.

c. Pour Property, saisissez le nouveau nom de propriété.


6. Cliquez sur BROWSE MODE pour revenir au rapport.

Vidéo : utilisez l’enrichissement des données pour ajouterune nouvelle propriété et l’afficher dans les rapports

Créez la structure des balises d’une nouvelle propriété, ajoutez des règles de balisagepour renseigner la propriété, puis ajoutez une colonne pour la nouvelle propriété dansun rapport existant.

Ce scénario ajoute une nouvelle propriété nommée cemail (pour les e-mails descontacts) dans la base de données APG. La structure des balises utilise les propriétésvendor et model existantes comme des clés. Plusieurs règles de balisage définissentles valeurs cemail pour plusieurs paires fournisseur/modèle. Les résultats du balisagesont affichés dans un rapport tabulaire.

Découvrez comment >Visionnez la vidéo !


Ajouter la nouvelle propriété à un rapport 69

http://youtu.be/3TDQrGsydzM

CHAPITRE 4

Fonctions de création de rapports pourl’affichage des résultats d’enrichissement

Les sections suivantes décrivent les fonctions de création de rapports qui permettentd’exposer les nouvelles propriétés ajoutées par l’intermédiaire de l’enrichissement desdonnées.

l Annuler le masquage des colonnes Business Unit, Customer et Location .......... 72l Ajouter une nouvelle colonne à un rapport tabulaire........................................... 74l Filtrage d’un rapport à l’aide de filtres de groupe .............................................. 75l Ajouter ou supprimer des filtres de groupe ........................................................ 76l Application de filtres aux colonnes d’un tableau................................................. 77

Fonctions de création de rapports pour l’affichage des résultats d’enrichissement 71

Annuler le masquage des colonnes Business Unit, Customeret Location

Un grand nombre de rapports globaux ViPR SRM contiennent des colonnesprédéfinies pour l’affichage des propriétés Business unit, Customer et Location. Lescolonnes sont masquées par défaut.

Les colonnes de ces propriétés populaires d’enrichissement des données sontprédéfinies dans un souci de commodité. Si votre installation renseigne ces propriétés,vous pouvez facilement afficher les colonnes dans les rapports.

Utilisez la procédure suivante pour déterminer si le rapport comprend les colonnesprédéfinies et annuler le masquage de l’une d’elles ou de toutes les colonnes. Laprocédure décrit deux façons d’afficher une colonne :

l Annuler le masquage pour votre compte de connexion uniquement

l Annuler le masquage pour tous les utilisateurs

Si un rapport prêt à l’emploi n’inclut pas les colonnes masquées, utilisez EDIT MODEdans la Console pour ajouter une nouvelle colonne.

Procédure

1. Dans la Console, accédez au rapport pour lequel vous souhaitez afficher lescolonnes de groupe.

2. Pour annuler le masquage des colonnes pour votre compte de connexion :

a. Passez le curseur sur le coin supérieur droit du rapport jusqu’à ce que depetites icônes de menu s’affichent, puis cliquez sur l’icône Customize TableColumns.

b. Dans la boîte de dialogue Table Customization, puis dans la liste Displayedcolumns, faites défiler pour trouver les colonnes nommées Business Unit,Customer ou Location.

Fonctions de création de rapports pour l’affichage des résultats d’enrichissement


Ces colonnes sont généralement à la fin de la liste.

c. Cliquez sur la zone en regard des noms de colonne souhaités afin de lessélectionner.

Le rapport affiche les colonnes dans leur ordre d’apparition dans cette liste.

d. Si vous le souhaitez, vous pouvez réorganiser l’ordre des colonnes en faisantglisser le nom de colonne à l’emplacement souhaité dans la liste.

e. Pour enregistrer les modifications, exécutez l’une des opérations suivantes :

l Cliquez sur Save and Apply pour que les modifications perdurent dansles futures sessions de connexion.

l Cliquez sur Apply pour mettre en œuvre la modification dans la sessionde connexion en cours uniquement.

3. Pour annuler le masquage de la colonne pour tous les utilisateurs :

a. Cliquez sur EDIT MODE.

b. Cliquez sur l’onglet Report Details: Table.

c. Localisez la barre bleue pour le nom de colonne souhaité, puis cliquez sur lapetite flèche pour la développer.

d. Développez Advanced Properties.

e. Pour Display Customization, choisissez l’une des options suivantes :

l displayed, user customizable pour autoriser les utilisateurs à masquer/afficher la colonne en utilisant la méthode décrite ci-dessus

l displayed, always

f. Vous pouvez également réorganiser l’ordre des colonnes dans l’ongletReport Details: Table en faisant glisser la barre bleue de la colonne àl’emplacement souhaité dans la liste.


Annuler le masquage des colonnes Business Unit, Customer et Location 73

g. Cliquez sur Save.

h. Cliquez sur BROWSE MODE pour revenir au rapport.

Ajouter une nouvelle colonne à un rapport tabulairePour afficher les valeurs d’une nouvelle propriété d’enrichissement des données, vouspouvez ajouter une nouvelle colonne dans un rapport existant.

Les résultats de cette procédure sont visibles par tous les utilisateurs.

Procédure

1. Connectez-vous à la Console et accédez au rapport que vous souhaitezmodifier.

2. Cliquez sur EDIT MODE en haut de la page.


Cet onglet affiche une bande bleue pour chaque colonne définie dans le rapport.

4. Pour ajouter la nouvelle colonne à ce rapport, cliquez sur le bouton Property enhaut de la page.

Une nouvelle bande bleue est ajoutée au bas de la page.Notez que la dernière bande est développée et affiche les champs pour définir lanouvelle colonne.

5. Définissez la nouvelle colonne comme suit :

a. Dans Column Name, saisissez l’en-tête de colonne souhaitée.



b. Dans Property, saisissez la nouvelle propriété d’enrichissement desdonnées. Vous pouvez aussi cliquer sur l’icône de la liste, sélectionnez unevaleur, puis cliquez sur Apply.

c. Cliquez sur Enregistrer en bas de la page.

6. Pour déplacer la nouvelle colonne à l’emplacement souhaité dans le rapport :

a. Placez le pointeur sur la bande bleue jusqu’à ce que l’icône Move s’affiche.

b. Glissez-déplacez la bande bleue vers son nouvel emplacement.

c. Cliquez sur Save.

7. Pour afficher le rapport avec la nouvelle colonne, cliquez sur BROWSE MODEen haut de la page.

Le système actualise le rapport et renseigne les valeurs dans la nouvellecolonne.

Filtrage d’un rapport à l’aide de filtres de groupeLes filtres de groupe s’affichent dans la partie supérieure du rapport. Ils présententune boîte de dialogue contenant des cases à cocher qui vous permettent desélectionner plusieurs valeurs à filtrer.

La boîte de dialogue répertorie uniquement les valeurs pertinentes pour le rapport encours. La liste reflète les valeurs contenues dans votre base de données et est limitéedavantage par le filtre de rapport dans la définition de rapport. Par exemple, le filtresuivant sur la propriété Platform répertorie uniquement les plates-formes qui sontsurveillées dans votre installation et qui s’appliquent à la définition de rapport :

Remarque

Si une boîte de dialogue d’un filtre ne contient aucune valeur, votre installation nerenseigne pas cette propriété, ou aucune valeur ne s’applique au rapport en cours.

Remarque

La liste de valeurs dans un filtre de groupe n’est pas limitée par les filtres de colonne.Par exemple, un rapport Situations to Watch peut contenir un filtre de colonne quiélimine les lignes en fonction des valeurs de cette colonne. De cette façon, un rapportSituations to Watch contient généralement quelques lignes. La boîte de dialogue dufiltre de groupe continue, cependant, de répertorier toutes les valeurs pertinentespour la totalité du rapport, pas seulement pour les lignes affichées.

Un filtre de groupe peut être défini pour n’importe quelle propriété de la base dedonnées.


Filtrage d’un rapport à l’aide de filtres de groupe 75

l Si le filtre est destiné à l’une des propriétés d’enrichissement des donnéesconservées dans le module Centralized Management > Groups Management, laboîte de dialogue utilise les noms de groupe, tels que définis dans GroupsManagement. Certains groupes disposent de noms prédéfinis. D’autres groupesdéfinissent un groupe par défaut et attendent chaque installation pour créer desgroupes supplémentaires.

l Si le filtre est pour une propriété collectée, la boîte de dialogue utilise les valeursde propriété à partir de la base de données.

Procédure

1. Cliquez sur l’icône d’un filtre de groupe.

Une boîte de dialogue de valeurs s’affiche.

2. Sélectionnez une ou plusieurs valeurs à inclure dans le rapport, puis cliquez surApply.

Le tunnel du filtre appliqué change de couleur pour indiquer que le filtre estactif.Le rapport s’affiche à nouveau, en incluant uniquement les donnéescorrespondant aux valeurs que vous avez spécifiées dans le filtre. Par exemple :

l Dans un rapport tabulaire, le filtre élimine les lignes du tableau.

l Dans un graphique à barres consolidé, le filtre élimine les données des calculsde metric.

3. Si plusieurs filtres sont disponibles, appliquez éventuellement des filtressupplémentaires pour limiter davantage les résultats affichés.

4. Pour annuler un filtre, cliquez sur l’icône Filtre et sélectionnez Clear.

Ajouter ou supprimer des filtres de groupeUn filtre de groupe s’affiche dans l’en-tête d’un rapport. Il fournit un moyen pratiqueaux utilisateurs qui souhaitent filtrer un rapport sur une propriété prédéfinie ou unensemble de propriétés.

Un filtre de groupe présente les valeurs pour une ou plusieurs propriétés dans unformat de case à cocher. Les utilisateurs peuvent sélectionner plusieurs valeurs depropriété dans une propriété et le rapport est filtré pour afficher les donnéescorrespondant aux valeurs sélectionnées. Une propriété qui s’affiche dans le rapportpeut être utilisée dans un filtre de groupe, y compris les propriétés d’enrichissementdes données.

Utilisez cette procédure pour ajouter ou supprimer un filtre de groupe. Pour desinformations de syntaxe sur les filtres de groupe, consultez la section Filtre de groupesdans la rubrique d’aide nommée Paramètres de filtrage et d’extension.

Procédure

1. En mode EDIT, cliquez sur l'onglet Filtering & Expansion.

2. Développez la section Group filter.

3. Pour supprimer un filtre :

a. Cliquez sur Switch to input field.

b. Supprimez une propriété de l’expression.

4. Pour ajouter un nouveau filtre :



a. Cliquez sur Add Property.

b. Cliquez sur Simple en haut de la boîte de dialogue.

c. Sélectionnez la propriété pour laquelle vous souhaitez créer un filtre.

Pour être appropriée, la propriété doit être utilisée dans le rapport. Utilisezl'onglet Report Details pour rechercher les noms de propriété utilisés dansle rapport.

d. Pour combiner les propriétés dans le même filtre, sélectionnez plusieurspropriétés, puis cliquez sur Selected properties must be grouped en bas àdroite de la boîte de dialogue.

e. Cliquez sur OK.

f. Cliquez sur Switch to list et modifiez l’expression si nécessaire.


Application de filtres aux colonnes d’un tableauUn filtrage appliqué à une colonne d’un tableau affiche à nouveau le rapport, enprésentant uniquement les lignes qui correspondent à la condition de filtrage.

L’icône de filtre ( ) dans l’en-tête d’une colonne indique que la colonne peut êtrefiltrée. Les colonnes ayant des metrics, des dates et des heures ne peuvent pas êtrefiltrées.

Procédure

1.Cliquez sur l’icône dans l’en-tête de la colonne.

2. Dans la zone de texte qui s’affiche, saisissez la valeur du filtre en utilisant l’unedes méthodes suivantes :

Remarque

Les valeurs sont sensibles à la casse.

l Saisissez une valeur valide pour la colonne

l Saisissez un espace, attendez que le système affiche des suggestions puissélectionnez dans la liste

l Commencez à taper une valeur, attendez que le système affiche dessuggestions qui commencent par votre entrée, puis sélectionnez dans la liste

l Saisissez une valeur contenant des caractères génériques. Les caractèresgénériques pris en charge sont les suivants :

% Correspond à n’importe quel caractère quel que soit le nombre de foisoù celui-ci apparaît.Par exemple :

n VPLEX% fait correspondre toute valeur qui commence par VPLEX

n %04 fait correspondre toute valeur qui se termine par 04

n %Unified% fait correspondre toute valeur qui contient lescaractères Unified au milieu, au début ou à la fin


Application de filtres aux colonnes d’un tableau 77

* Identique à %.

_ Correspond à n’importe quel caractère.Par exemple :

__.%.%.% correspond à n’importe quelle adresse IP dont le premier composant

correspond à 2 chiffres.

3. Appuyez sur Entrée.

Le rapport s’affiche à nouveau en indiquant que les lignes ayant des valeurs quicorrespondent au filtre.En outre, les indicateurs visuels suivants vous rappellent qu’un filtre estappliqué :

l L’icône de filtre de la colonne filtrée est bleue.

l La phrase cancel filtering s’affiche dans la phrase située au-dessus dutableau.

4. Pour rétablir le rapport d’origine, cliquez sur cancel filtering.



CHAPITRE 5

Rubriques avancées

Les sections suivantes décrivent les options avancées de développement et depersonnalisation des modules Groups Management et Data Enrichment.

l Modification de la configuration de l’interface utilisateur Groups Management...........................................................................................................................80

l Installer et configurer un nouveau filtre de balisage de propriété (PTF)............. 82

Rubriques avancées 79

Modification de la configuration de l’interface utilisateurGroups Management

Vous pouvez modifier l’en-tête du tableau, les filtres, les menus déroulants et mêmeles tableaux d’aperçu pour chacun des groupes de l’interface utilisateur GroupsManagement.

Par exemple, vous pouvez ajouter de nouvelles colonnes dans les tableaux d’aperçu.Vous pouvez créer une interface utilisateur Groups Management personnalisée. Cesactions sont possibles en modifiant les fichiers de configuration Groups Management.

Structure des répertoiresChaque type de groupe dans l’interface utilisateur Groups Management est défini parun jeu distinct de fichiers de configuration.

Les fichiers de configuration de gestion des groupes se trouvent sur le serveur front-end à l’emplacement suivant :

<APG>/Custom/WebApps-Resources/Default/centralizedmanagement/group-tagging

Voici, par exemple, certains fichiers pouvant apparaître dans le répertoire group-tagging :

srm-fe-01:/opt/APG/Custom/WebApps-Resources/Default/centralized-management/group-tagging # lsdefaultBusinessUnit defaultCustomers defaultDevice defaultLocation defaultServiceLeveldefaultBusinessUnit.xml defaultCustomers.xml defaultDevice.xml defaultLocation.xml defaultServiceLevel.xml

Remarque

Les fichiers group-tagging par défaut sont fournis avec certains SolutionPacks, telsque le SolutionPack for EMC M&R Health, le SolutionPack for EMC VMAX, leSolutionPack for EMC VNX et ainsi de suite. Chaque site ViPR SRM voit uniquementles fichiers de gestion des groupes fournis avec les SolutionPacks installés.

Chaque type de groupe est pris en charge par les éléments suivants :

l Un nom de répertoire nommé default<group-name>l Un fichier XML nommé default<group-name>.xmlPar exemple, le type de groupe Service Level by LUN est pris en charge par unrépertoire appelé defaultServiceLevel et un fichier XML appelédefaultServiceLevel.xml.

Les répertoires contiennent des fichiers de ressources nommésresource_en.properties et resource_fr.properties, utilisés pour contrôlerles paramètres de langue du groupe. Les fichiers XML contrôlent l’apparence dugroupe et ses options dans l’interface utilisateur Groups Management.

Rubriques avancées


Description du fichier de configuration de gestion des groupesPour modifier l’interface utilisateur pour un groupe dans Group Management, modifiezle fichier de configuration pour le type de groupe.

Cette section utilise le fichier defaultBusinessUnit.xml comme exemple. Lesautres fichiers default<group-name>.xml suivent la même logique et ont la mêmesyntaxe.

Le contenu du fichier defaultBusinessUnit.xml est présenté ci-dessous :

<group-tagging-properties xmlns="http://www.watch4net.com/APG/Management/Centralized-Management/Plugins/Tagging" name="group3" type="hierarchical" group-property="bunit"> <tagger-instance-name>PTF-Business-Tagging</tagger-instance-name> <csv-name>business-enrichment</csv-name> <eval-type>sqlpattern</eval-type> <rule-properties> <property>device</property> </rule-properties> <display-properties> <property searchable="true" used-in-static-preview="true">devtype</property> <property searchable="true" used-in-static-preview="true">device</property> <property>devdesc</property> <property searchable="true">parttype</property> <property searchable="true">part</property> </display-properties> <expand-on> <property>devtype</property> <property>device</property> </expand-on></group-tagging-properties>

<group-tagging-properties>

Définit les propriétés de ce type de groupe.

xmlns Désigne le plug-in qui traite le fichier. Ne pas modifier.

nametype Hiérarchique ou simple.

group-property

Nom de propriété à ajouter dans les enregistrements suite aubalisage. Cette propriété est ajoutée dans la base de données sielle n’est pas déjà définie dans la base de données. Utilisez cenom de propriété pour ajouter la propriété dans les rapports.Le nom de propriété est bunit pour le groupe Business Unit.

<tagger-instance-name>

Mappe le groupe à un élément <filter> spécifique dans un fichiercollecting.xml de l’instance Collector-Manager.

Le groupe Business Unit est mappé à un filtre nommé PTFBusiness-Tagging.

Rubriques avancées

Description du fichier de configuration de gestion des groupes 81

<csv-name>

Nom du fichier CSV associé à ce groupe. Ce fichier CSV est mis à jour lorsqu’unutilisateur modifie le groupe à l’aide de l’interface utilisateur Groups Management.Le chemin d’accès du fichier est <APG>/Collecting/Property-Tagging-Filter/<instance-name>/conf.

Pour Business Unit, le fichier businessenrichment. csv est mis à jour.

<eval-type>

Type d’évaluation à utiliser lors de l’exécution de la correspondance des valeursde clé par rapport aux données collectées. Les valeurs autorisées sont lessuivantes :

l sqlpatternl regex

<rule-properties>

L’élément <rule-properties> définit les propriétés qui seront définies dans lesmenus déroulants pour le groupe en question. Par défaut, le périphérique de lapropriété s’affichera dans le menu déroulant.

<display-properties>

Propriétés à inclure dans le tableau d’aperçu de l’interface utilisateur GroupManagement. Chaque propriété représente une colonne de ce tableau.

L’attribut searchable indique si la propriété est consultable à partir del’interface utilisateur Group Management à l’aide du champ de texte search.

Pour Business Unit, tableau d’aperçu contient cinq colonnes : devtype, device,devdesc, parttype et part.

<expand-on>

Répertorie les propriétés développées par le tableau d’aperçu.

Pour Business Unit, le développement se fait sur devtype et device.

Installer et configurer un nouveau filtre de balisage depropriété (PTF)

Utilisez ces procédures pour créer et configurer un nouveau composant PTF(Property-Tagging-Filter).

Ce scénario installe un PTF non configuré. Il configure un interrogateur de fichier et unjeu de balises qui ajoute trois nouvelles propriétés en fonction des valeurs de lapropriété device. Il ajoute le nouveau PTF dans la chaîne de traitement pourl’instance SNMP Collector-Manager.

Pour obtenir des exemples de configuration d’autres types d’interrogateur, consultezle disponible à l’.

Ce scénario comprend les éléments suivants :

1. Installation d’un PTF

2. Configuration du PTF

3. Ajouter le PTF à une instance Collector-Manager

Rubriques avancées


4. Vérification des résultats

5. Activation du connecteur back-end

Installer un nouveau PTFInstallez un nouveau PTF à partir de l’interface de ligne de commande du serveur.

Cette procédure installe un nouveau PTF appelé test. Vous pouvez installer plusieursPTF à l’aide de cette procédure, puis les relier dans une chaîne de traitement associéeà l’instance Collector-Manager, si vous le souhaitez.

Cette procédure est requise pour effectuer le balisage de l’enrichissement desdonnées avec n’importe quel interrogateur qui n’est pas un interrogateur de fichier. Laprocédure est également valide pour un interrogateur de fichier. Par exemple, vouspouvez installer un nouveau PTF pour isoler les jeux de balises d’un Collectorspécifique, au lieu de fusionner les jeux de balises dans le PTF prêt à l’emploi géré surl’interface utilisateur Data Enrichment.

Procédure

1. Connectez-vous au serveur ViPR SRM.

2. Lancez l’installation à l’aide de la commande suivante :

/opt/APG/bin/manage-modules.sh install filter_location filter_name

Par exemple :

/opt/APG/bin/manage-modules.sh install Property-Tagging-Filter test

La commande ci-dessus installe un PTF avec ce nom de chemin :

/opt/APG/Collecting/Property-Tagging-Filter/test

3. Vérifiez les dépendances répertoriées par le shell et répondez yes.

4. Attendez que l’installation installe les composants requis, répertoriés dans lesdépendances.

Rubriques avancées

Installer un nouveau PTF 83

L’exemple suivant d’installation installe les deux composants.

5. Vérifiez que le nouveau PTF a été ajouté dans le répertoire nommé.

Par exemple :

[root@lglbf051 Property-Tagging-Filter]# lsbrocade-fc-switch emc-vnx emc-watch4net-health Generic-RSC Generic-SNMP Load-Balancer test [root@lglbf051 Property-Tagging-Filter]#

Configurer le PTFUn fichier de configuration spécifie le type d’interrogateur et d’autres attributs pour lePTF.

Ce scénario utilise un interrogateur de fichier. L’interrogateur de fichier est la valeurpar défaut si aucun autre interrogateur n’est défini. Par conséquent, la procéduresuivante ne définit pas explicitement un type d’interrogateur.Consultez le chapitre « Filtre de balisage de propriété » dans le Guide d’administrationdu back-end EMC M&R pour obtenir des instructions détaillées sur la configuration dechaque type d’interrogateur.

L’exemple suivant configure les deux fichiers :

l Le fichier de configuration PTF (property-tagging-filter.xml) : définit lastructure du jeu de balises (les propriétés de clé et les nouveaux noms de propriétéqui en résultent) et le nom du fichier d’entrée.

l Un fichier d’entrée (enrich.txt) : contient les valeurs de clé à fairecorrespondre et les valeurs de propriété résultantes à attribuer.

Rubriques avancées


Procédure

1. Localisez le fichier de configuration PTF.

Celui-ci se trouve dans le sous-répertoire du PTF installé.

Par exemple :

[root@lglbf051 test]# cd /opt/APG/Collecting/Property-Tagging-Filter/test/ [root@lglbf051 test]# ls bin conf doc lib [root@lglbf051 test]# cd conf/ [root@lglbf051 conf]# lscustom-oid2Models global-enrichment.csv property-tagging-filter-config.xsd property-tagging-filter.xml [root@lglbf051 conf]#

2. Modifiez le fichier property-tagging-filter.xml comme suit :

a. Dans l’élément <text-file>, identifiez le nom du fichier d’entrée.

Par exemple :

<text-file path="conf/enrich.txt" encoding="UTF-8">

b. Dans l’élément <field-separator>, identifiez le caractère qui sépare leschamps du fichier d’entrée. La valeur par défaut dans le PTF installé est deuxpoints (:).

Par exemple :

<field-separator>:</field-separator>

c. Dans les éléments <key-property>, indiquez un nom de propriétécollectée à faire correspondre.

Par exemple :

<key-property delete-after-use="false" string-type="string">device</key-property>

Plusieurs éléments <key-property> sont autorisés.

d. Dans les éléments <new-property>, définissez les nouveaux noms depropriété.

Plusieurs éléments <key-property> sont autorisés.

Par exemple :

<new-properties><new-property>site</new-property><new-property>contact</new-property>

Rubriques avancées

Configurer le PTF 85

<new-property>code</new-property></new-properties>

Remarque

L’ordre des éléments <key-property> et <new-property> doitcorrespondre à celui utilisé sur chaque ligne du fichier d’entrée.

3. Vérifiez et enregistrez le fichier.

4. Créez le fichier d’entrée.

Dans cet exemple :

l Nom du fichier enrich.txt avec lequel faire correspondre la valeurconfigurée ci-dessus.

l Ajoutez quelques lignes de valeurs au formatdevice:site:contact:code à faire correspondre avec le jeu de balisesdéfini ci-dessus

Par exemple :

[root@lglbf051 conf]# cat enrich.txtlondon:oxford street:joe:ABXXCD12paris:champs elysees:marcel:PAYY123

Ce fichier d’entrée augmente les données collectées comme suit :

l Si device = london, balisez l’enregistrement avec les propriétéssupplémentaires :

site=oxford streetcontact=joecode=ABXXCD12

l Si device = paris, balisez l’enregistrement avec les propriétéssupplémentaires :

site=champs elyseescontact=marcelcode=PAYY123

Résultats

L’image suivante illustre le fichier property-tagging-filter.xml complété.

Rubriques avancées


Ajouter le PTF à une instance Collector-ManagerModifiez le fichier de configuration de l’instance Collector-Manager pour ajouter lenouveau PTF dans la chaîne des tâches de traitement de l’instance Collector-Manager.

Une instance Collector-Manager comporte des Collectors d’écoute, des filtres et desconnecteurs d’envoi connectés à une chaîne de traitement. Pour ajouter un PTF à lacollecte, introduisez une nouvelle liaison au milieu de la chaîne de traitement.

Cette procédure explique comment modifier le SNMP Collector-Manager pour ajouterun nouveau PTF dans la chaîne de traitement du Collector Generic-SNMP.

Rubriques avancées

Ajouter le PTF à une instance Collector-Manager 87

Procédure

1. Ouvrez le fichier de configuration du Collector à des fins de modification(conf/collecting.xml).

[root@lglbf051 conf]# cd ../../../Collector-Manager/Generic-SNMP/conf/

Voici un exemple avant toute modification de la configuration.

[root@lglbf051 conf]# tail -10 collecting.xml <filter enabled="true" name="juniper-rpm-filter-tagrtttype" next="CalculateSize" config="Property-Tagging-Filter/Generic-SNMP/conf/juniper-rpm-tagrtttype.xml" /> <filter enabled="true" name="juniper-rpm-microsectomilisec" next="juniper-rpm-filter-tagrtttype" config="Variable-Handling-Filter/Generic-SNMP/conf/juniper-rpm-microsectomilisec.xml" /> <filter enabled="true" name="juniper-rpm-filter" next="juniper-rpm-microsectomilisec" config="Variable-Handling-Filter/Generic-SNMP/conf/juniper-rpm-filter.xml" />  <filter enabled="true" name="AvailabilityBasedOnSysuptime" next="other-filter juniper-rpm-filter juniper-qos-filter cisco-qos-filter cisco-ipsia-filter cisco-mds-nexus-filter emc-isilon-filter brocade-fc-switch-filter emc-data-domain-filter aruba-wifi-filter cisco-wifi-filter cisco-cdp-filter" config="Availability-Filter/Generic-SNMP/conf/availability-filter.xml" /> </filters> <collectors> <collector enabled="true" name="generic-snmp" next="AvailabilityBasedOnSysuptime" config="SNMP-Collector/Generic-SNMP/conf/snmpcollector.xml" /> </collectors></config>[root@lglbf051 conf]#

Notez la valeur de l’attribut next dans l’élément <collector>.

2. Ajoutez un nouvel élément <filter> pour définir le nouveau PTF.

<filter enabled="true" name="test-PTF" next="AvailabilityBasedOnSysuptime" config="PropertyTagging-Filter/test/conf/property-tagging-filter.xml"/>

Utilisez la valeur de l’attribut next de l’élément de Collector (ci-dessus) en tantque valeur de l’attribut next.

3. Dans l’élément <collector>, modifiez la valeur de l’attribut next pourpointer vers le nouveau filtre PTF.

<collector enabled="true" name="generic-snmp" next="test-PTF" config="SNMP-Collector/GenericSNMP/conf/snmpcollector.xml" />

Rubriques avancées

4. Modifiez temporairement l’élément <connector> pour envoyer la sortie versun fichier, plutôt qu’au back-end.

Cette étape est recommandée pour la vérification initiale et le débogage. Vouspouvez vérifier les résultats du balisage et détecter les erreurs dans laconfiguration avant la mise à jour de la base de données. Il est plus complexe derésoudre les erreurs lorsque les données se trouvent dans la base de données.

a. Ajoutez un élément <connector> pour un connecteur de fichier, s’iln’existe pas. Définissez l’attribut enabled sur true.

<connector enabled="true" name="File" type="File-Connector" config="conf/fileconnector.xml" />

b. Désactivez le connecteur du back-end.

<connector enabled="false" name="Backend" type="Socket-Connector"config="conf/socketconnector.xml" />

Résultats

L’exemple suivant montre la fin du fichier collecting.xml tel que modifié.

<filter enabled="true" name="AvailabilityBasedOnSysuptime" next="other-filter juniper-rpm-filterjuniper-qos-filter cisco-qos-filter cisco-ipsla-filter cisco-mds-nexus-filter emc-isilon-filterbrocade-fc-switch-filter emc-data-domain-filter aruba-wifi-filter cisco-wifi-filter cisco-cdpfilter"config="Availability-Filter/Generic-SNMP/conf/availability-filter.xml" />

<filter enabled="true" name="test-PTF" next="AvailabilityBasedOnSysuptime" config="PropertyTagging-Filter/test/conf/property-tagging-filter.xml" />

<collectors> <collector enabled="true" name="generic-snmp" next="test-PTF" config="SNMP-Collector/GenericSNMP/conf/snmpcollector.xml" /></collectors>

<connectors> <connector enabled="false" name="Backend" type="Socket-Connector" config="conf/socketconnector.xml" /> <connector enabled="true" name="File" type="File-Connector" config="conf/fileconnector.xml" /> <connector enabled="true" name="TopoBackend" type="Socket-Connector" config="conf/topoconnector.xml" /></connectors>

Vérifier les résultatsVous pouvez afficher les résultats du balisage dans la sortie du connecteur de fichier.

Avant de commencer

Procédure

1. Redémarrez l’instance Collector-Manager associée.

Rubriques avancées

Vérifier les résultats 89

2. Affichez le contenu de la sortie du connecteur de fichier que nous avonsconfiguré.

Par exemple :

#tail –f /opt/APG/Collecting/Collector-Manager/Generic-SNMP/logs/file-connector.log

3. Identifiez les lignes qui contiennent device=london ou device=paris etvérifiez que les nouvelles propriétés correctes ont été ajoutées.

Device=london

1432695460: group::10.9.254.17.stdIfT2..1.19.RATEP.Pkts/s.-1419189655({ifindex=35, code=ABXXCD12,mxhspeed=1000, ip=10.9.254.17, part=GigabitEthernet2/26, maxspeed=1000000000, source=W4NSnmp-1,parttype=Interface, pollgrp=PG_CISCO, devdesc=Cisco IOS Software. c7600s3223_rp Software(c7600s3223_rp-ADVENTERPRISEK9-M). Version 15.2(4)S. RELEASE SOFTWARE (fc1)..Technical Support:http://www.cisco.com/techsupport..Copyright (c) 1986-2012 by Cisco Systems. Inc...Compiled Fri 20-Jul-12 18:18 by , devtype=Router, unit=Pkts/s, site=oxford street, ifalias=, ifname=Gi2/26,ifacemac=0023EB6804D9, contact=joe, iftype=ethernetCsmacd, name=ifOutDiscards, location=DevLab. row5-rack 5. 1133 Westchester Ave.. 3rd floor, model=7604, device=london, datagrp=GENERICINTERFACES})=0.0

Device=paris

1432705967: group::10.9.254.16.stdIfXT4a..1.4.RATEP.Pkts/s.-1665029324({ifindex=77, code=PAYY123,mxhspeed=0, ip=10.9.254.16, part=Tunnel727, maxspeed=100000, source=W4NSnmp-1, parttype=Interface,pollgrp=PG_CISCO, devdesc=Cisco IOS Software. c7600s3223_rp Software (c7600s3223_rp-ADVENTERPRISEK9-M). Version 15.2(4)S. RELEASE SOFTWARE (fc1)..Technical Support:http://www.cisco.com/techsupport..Copyright (c) 1986-2012 by Cisco Systems. Inc...Compiled Fri 20-Jul-12 18:18 by , devtype=Router, unit=Pkts/s, site=champs elysees, ifalias=, ifname=Tu727,ifacemac=, contact=marcel, iftype=mplsTunnel , name=ifOutMulticastPkts, location=DevLab. row 5-rack5. 1133 Westchester Ave.. 3rd floor, model=7604, device=paris, datagrp=GENERIC-INTERFACES})=0.0

Activer le connecteur back-endActivez le connecteur back-end pour envoyer des données collectées balisées à labase de données.

Lorsque vous êtes satisfait du résultat du balisage, désactivez le connecteur de fichieret activez le connecteur back-end. Sinon, aucune donnée ne s’affichera dans lesrapports.

Rubriques avancées


Procédure

1. Ouvrez le fichier de configuration du Collector à des fins de modification(conf/collecting.xml).

[root@lglbf051 conf]# cd ../../../Collector-Manager/Generic-SNMP/conf/

2. Dans les éléments <connector>, modifiez l’état du connecteur back-end sur"true" et l’état du connecteur de fichier sur "false".

<connector enabled="true" name="Backend" type="Socket-Connector" config="conf/socketconnector.xml" /> <connector enabled="false" name="File" type="File-Connector" config="conf/fileconnector.xml" />

Rubriques avancées

Activer le connecteur back-end 91

Rubriques avancées


CHAPITRE 6

Résolution des problèmes

Les sections suivantes fournissent des informations utiles pour résoudre les problèmesrencontrés avec des configurations d’enrichissement des données.

l Fichiers de configuration de la gestion des groupes .......................................... 94l Fichiers de configuration de l’enrichissement des données................................ 96

Résolution des problèmes 93

Fichiers de configuration de la gestion des groupesÀ des fins de dépannage et de référence, vous pouvez accéder aux fichiers deconfiguration du composant Property-Tagging-Filter.

Chaque type de groupe est mis en œuvre avec son propre composant Property-Tagging-Filter. Chaque composant Property-Tagging-Filter est pris en charge par unjeu distinct des fichiers suivants :

l Fichier de configuration XML : définit la structure du jeu de balisesd’enrichissement des données utilisé par le type de groupe. Contient également lenom du fichier de données au format CSV, dans l’élément <text-file>.

l Fichier de données au format CSV : contient les données qui doivent renseigner lespropriétés, y compris les noms de groupes, les règles d’appartenance pour chaquegroupe et la nouvelle valeur de propriété pour chaque groupe.

Les fichiers sont stockés sur les serveurs ViPR SRM.

l Les fichiers se trouvent ici :

<APG>/Collecting/Property-Tagging-Filter/process-instance-name/conf/

l Dans la Console, les fichiers sont accessibles ici :Administration > Centralized Management > Logical Overview > Collecting >Property-Tagging-Filter :: nom_d’instance_du_processus

Dans les chemins précédents, le nom_d’instance_du_processus est fourni parl’utilisateur lors de l’installation. Le tableau suivant présente des noms d’instance pardéfaut.

Tableau 10 Emplacement des fichiers de configuration de la gestion des groupes

Type de groupe Noms de fichier de configuration/d’instance par défaut

Bucket ServiceLevels

Property-Tagging-Filter:: emc-ecs

ptf_bucket_svclevel_tagging.xml

ECS Capacity Rates Property-Tagging-Filter:: amazon-awsconf/ptf_bucket_rates_tagging.xml

Block ChargebackGrouping &Service Levels byLUNs

Toutes les instances Collector-Manager et Load-Balancer ont une copiedes fichiers de configuration suivants dans leur répertoire conf/ :

PTF-Group-Tagging.xmlptf-ServiceLevelsByLUN.xml

Tous les autrestypes de groupe

Property-Tagging-Filter::Load-BalancerREMARQUE : dans une installation qui utilise plusieurs serveurs deCollectors, chaque serveur de Collectors a une instance PTF:: Load-Balancer. Chaque répartiteur de charge contient une copie des fichiersde configuration PTF suivants.

Customer PTF-Customers.xmlLocation PTF-Location.xml



Tableau 10 Emplacement des fichiers de configuration de la gestion des groupes (suite)

Type de groupe Noms de fichier de configuration/d’instance par défaut

Business unit PTF-Business-Tagging.xmlPlatform PTF-Platform-Tagging.xmlFile ChargebackGrouping

PTF-Group-Tagging.xml

Service Levels by FileShare

PTF-ServiceLevelByFS.xml

Block ChargebackGrouping

PTF-Group-Tagging.xml

Service levels by LUNs ptf-ServiceLevelsByLUN.xml

REMARQUE :

Procédure

1. Accédez à Administration > Centralized Management > Logical Overview >Collecting > Property-Tagging-Filter :: nom_d’instance_du_processus.

2. Dans le volet droit, cliquez pour développer Configuration Files.

3. Utilisez la zone de texte Search pour rechercher le fichier de configuration dontvous avez besoin.

4. Cliquez sur Edit (icône de crayon) en regard du fichier qui vous intéresse.

Ouvrez le fichier dans un éditeur de texte.

Remarque

Il peut y avoir plusieurs copies du même fichier tout au long de l’installation.L’interface utilisateur Groups Management met à jour les fichiers de manièreappropriée dans tous les emplacements et synchronise les fichiers avec lesmises à jour enregistrées ou importées via l’interface Groups Management. Lamodification manuelle d’un fichier met à jour uniquement un seul fichier. Pourcette raison, il est préférable d’utiliser l’interface utilisateur GroupsManagement pour modifier la configuration ou importer des modifications defichier.

Exemple 1 Exemple de fichier de configuration

Le fichier XML pour le type de groupe Platform est illustré ci-dessous. Notez lespoints suivants :

l L’attribut <text-file> path présente le fichier de règles associées.

l L’élément <key-properties> définit la structure des règles de correspondance(autrement dit, la structure de chaque ligne du fichier CSV).

l L’élément <new-properties> définit les nouveaux noms de propriété. Dans cecas, il n’existe qu’une seule propriété.


Fichiers de configuration de la gestion des groupes 95

Exemple 1 Exemple de fichier de configuration (suite)

<property-tagging-filter-config xmlns="http://www.watch4net.com/APG/Filter/PropertyTaggingFilter"> <refresh unit="hours">1</refresh> <files> <text-file encoding="UTF-8" path="conf/platform-groups.csv"> <field-separator>,</field-separator> <field-quoting>"</field-quoting> <default-symbol>**</default-symbol> <null-symbol>@@</null-symbol> <match-all-symbol>%%</match-all-symbol> <property-insertion end="}" start="${"/> <key-properties> <key-property delete-after-use="false" string-type="regex">devtype</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="sqlpattern-cs">devtype</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="regex">device</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="sqlpattern-cs">device</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="regex">datagrp</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="sqlpattern-cs">datagrp</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="regex">devdesc</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="sqlpattern-cs">devdesc</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="regex">datatype</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="sqlpattern-cs">datatype</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="regex">source</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="sqlpattern-cs">source</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="regex">arraytyp</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="sqlpattern-cs">arraytyp</key-property> </key-properties> <new-properties> <new-property>pltfmgrp</new-property> </new-properties> </text-file> </files></property-tagging-filter-config>

Fichiers de configuration de l’enrichissement des donnéesUn composant Property-Tagging-Filter est associé à l’interface utilisateur DataEnrichment. Plusieurs jeux de balises sont définis dans un fichier de configuration.

Le nom de fichier de configuration pour le PTF Data Enrichment est conf/property-tagging-filter.xml. Vous pouvez y accéder ici :

Administration > Centralized Management > Logical Overview > Collecting >Property-Tagging-Filter::Load-Balancer - instance_serveur



L’élément <text-file> définit un jeu de balises. Chaque fois qu’un utilisateur définitun nouveau jeu de balises, un nouvel élément <text-file> est inséré dans ce fichierde configuration. L’attribut path de l’élément <text-file> désigne le nom dufichier d’entrée associé. Par défaut, le nom du fichier texte est le nom du jeu de balisessaisi dans l’interface utilisateur.

Voici l’élément <text-file> pour le jeu prédéfini de balises nommé global-enrichment. Notez les points suivants :

l Le nom du chemin d’accès pour les données de correspondance est conf/global-enrichment.csv.

l La structure de correspondance comporte une seule clé (device).

l Au maximum, quatre nouvelles propriétés peuvent être attribuées à descorrespondances de périphérique.

 <text-file path="conf/global-enrichment.csv" encoding="UTF-8">

 <field-separator>,</field-separator>  <field-quoting>"</field-quoting>

 <default-symbol>**</default-symbol>  <null-symbol>@@</null-symbol>  <match-all-symbol>%%</match-all-symbol>

 <property-insertion start="${" end="}" />

 <key-properties>    <key-property delete-after-use="false" string-type="string">device</key-property> </key-properties>  <new-properties>  <new-property>bunit</new-property> <new-property>customer</new-property> <new-property>appli</new-property> <new-property>owner</new-property> </new-properties> </text-file>


Fichiers de configuration de l’enrichissement des données 97

Voici l’élément <text-file> pour un jeu de balises saisies par l’utilisateur nommécontacts.

<text-file encoding="UTF-8" path="conf/contacts.csv"> <field-separator>,</field-separator> <field-quoting>"</field-quoting> <default-symbol>**</default-symbol> <null-symbol>@@</null-symbol> <match-all-symbol>%%</match-all-symbol> <key-properties> <key-property delete-after-use="false" string-type="string">vendor</key-property> <key-property delete-after-use="false" string-type="string">model</key-property> </key-properties> <new-properties> <new-property>cemail</new-property> </new-properties> </text-file>



PARTIE 2

Refacturation

ViPR SRM utilise des fonctions d’enrichissement des données pour mettre en œuvreses fonctions de refacturation / affectation des coûts.

Chapitre 7, "Refacturation en mode bloc"

Chapitre 8, "Refacturation en mode fichier"

Chapitre 9, "Refacturation en mode objet"

Chapitre 10, "Refacturation en mode cloud"

Refacturation 99

Refacturation


CHAPITRE 7

Refacturation en mode bloc

Les sections suivantes décrivent le SolutionPack for Block Chargeback, les rapportsde refacturation en mode fichier et les concepts associés.

l Administration de la collecte de données de refacturation en mode bloc.......... 102l Création de rapports de refacturation en mode bloc.........................................103l À propos du niveau de service par LUN ............................................................ 110l À propos des groupes de refacturation en mode bloc ....................................... 117

Refacturation en mode bloc 101

Administration de la collecte de données de refacturation enmode bloc

Les rapports de refacturation en mode bloc dépendent d’une combinaison desCollectors habituels de metrics ViPR SRM et d’une tâche système supplémentaire quis’exécute sur un planning configuré. Différentes options de SolutionPack permettentde contrôler les metrics à collecter.

Installez le SolutionPack for Block ChargebackLes calculs de refacturation en mode bloc et les rapports nécessitent SolutionPack forBlock Chargeback. Si vous constatez une erreur de liaison interrompue lorsque vousaccédez aux emplacements des rapports, cela signifie que le SolutionPack n’est pasinstallé.

Pour obtenir des instructions spécifiques sur l’installation du SolutionPack for BlockChargeback, reportez-vous au chapitre approprié dans le EMC ViPR SRM SolutionPackGuide disponible ici : https://community.emc.com/docs/DOC-52237.

Options de metricsSolutionPack for Block Chargeback contient un ensemble d’options permettant dedéterminer les metrics à collecter.

l Choisissez entre la collecte de metrics Used ou Presented, ou les deux

l Activez/désactivez la collecte de metrics non facturables

l Activez/désactivez la collecte de metrics de refacturation au niveau descomposants (composants des hôtes et des machines virtuelles, y compris lespériphériques d’hôte, les RDM et les fichiers log/VMDK).

Vous pouvez reconfigurer le SolutionPack pour modifier ces options. Cesmodifications augmentent ou réduisent efficacement le nombre de metrics collectés.Elles affectent également les colonnes et les données disponibles pour un affichagesur les rapports.

Si le Solutionpack est reconfiguré, prévoyez d’attendre une journée en plus de lafréquence à laquelle la tâche de pré-processeur de refacturation s’exécute pour voirles données de refacturation reconfigurées après ces modifications. Afin de réduire lesdélais d’attente, attendez que la collecte des données se produise, puis exécutezmanuellement la tâche de pré-processeur de refacturation.

Tâche de pré-processeur de refacturation en mode blocSolutionPack for Block Chargeback crée une tâche de pré-processeur de refacturationqui collecte les metrics de refacturation en mode bloc pour tous les hôtes physiques ettoutes les machines virtuelles. La tâche s’exécute comme planifiée pendantl’installation du SolutionPack. Vous pouvez aussi exécuter manuellement cette tâche.

Les rapports de refacturation en mode bloc sont vides immédiatement aprèsl’installation du SolutionPack. Ils commencent à afficher des données uniquementaprès que :

l les données du Collector ont eu suffisamment de temps pour se propager dansl’environnement ; et que

l la tâche de pré-processeur de refacturation se termine avec succès. Selon laconfiguration de la tâche de pré-processeur, cette opération peut prendre jusqu’à6 jours pour s’exécuter. Voir Exécution manuelle de la tâche de pré-processeur derefacturation à la page 103.



https://community.emc.com/docs/DOC-52237

Les modifications apportées aux groupes affectent la collecteLes données de la refacturation sont affectées en fonction des modificationsapportées à la configuration utilisateur dans Centralized Management > GroupsManagement, telles que les modifications apportées aux balises du niveau de serviceet aux définitions de groupe définies par l’utilisateur.

En général, prévoyez d’attendre une journée en plus de la fréquence à laquelle la tâchede refacturation s’exécute pour voir les données de refacturation reconfigurées aprèsces modifications. Afin de réduire les délais d’attente, attendez que la collecte desdonnées se produise, puis exécutez manuellement la tâche de pré-processeur derefacturation. Par exemple, si la tâche de pré-processeur de refacturation est planifiéepour s’exécuter tous les 5 jours, patientez une journée pour permettre aux données dese stabiliser, puis exécutez manuellement la tâche de pré-processeur de refacturation.

Exécution manuelle de la tâche de pré-processeur de refacturationVous pouvez exécuter manuellement la tâche de pré-processeur de refacturation aulieu d’attendre l’exécution planifiée

Procédure

1. Accédez à Administration > Centralized Management > Scheduled Tasks.

2. Développez le nœud Chargeback.

3. Sélectionnez l’instance de processeur de refacturation. Le nom de l’instance pardéfaut est chargeback-processor-generic-chargeback.

4. Dans le volet de droite, cliquez sur Run Now.

Création de rapports de refacturation en mode blocLes rapports de refacturation en mode bloc fournissent une visibilité sur l’utilisation dustockage en mode bloc et les coûts associés, en fonction de chaque hôte ou desgroupes d’hôtes définis dans votre environnement.

Les calculs de refacturation sont effectués en fonction du contrat de niveau de service(SLA) des LUN mappées à chaque hôte. Au sein d’un hôte ou d’un groupe d’hôtes,vous pouvez voir la répartition du niveau de service du stockage associé et les coûtsde refacturation correspondants.

Le coût de base est configurable par l’utilisateur, par niveau de service.

Exemples d’utilisation de la refacturation en mode blocLes rapports de refacturation en mode bloc peuvent vous aider à comprendre le coûtréel du stockage dans votre environnement. À des fins de refacturation, vous pouvezchoisir parmi plusieurs exemples d’utilisation pour imputer les coûts de stockage.

Quatre rapports affichent les metrics de refacturation pour les différents aspects del’utilisation du stockage.

Rapport Primary Used Chargeable

Le stockage primaire est l’espace réservé pour la copie d’origine des données (etnon pour les réplications, snapshots ou clones). Le stockage utilisé représente lesblocs qui ont été alloués aux baies et qui sont dès lors indisponibles pour uneutilisation par un autre périphérique.


Exécution manuelle de la tâche de pré-processeur de refacturation 103

Rapport Primary Presented Chargeable

Le stockage primaire est réservé à la copie d’origine des données (et non auxréplications, snapshots ou clones). Le stockage présenté est l’espace qui a étémis à disposition pour les systèmes hôtes par les systèmes de stockage.

Rapport Total Used Chargeable

Le stockage total est l’espace réservé pour la copie d’origine des données, ainsique pour les clones, les snapshots et les réplications de données. Le stockageutilisé représente les blocs qui ont été alloués aux baies et qui sont dès lorsindisponibles pour une utilisation par un autre périphérique.

Rapport Total Presented Chargeable

Le stockage total est l’espace réservé pour la copie d’origine des données, ainsique pour les clones, les snapshots et les réplications de données. Le stockageprésenté est l’espace qui a été mis à disposition pour les systèmes hôtes par lessystèmes de stockage.

Metrics facturables et non facturablesCe SolutionPack peut générer des metrics à la fois facturables et non facturables. Lesmetrics non facturables sont facultatifs et sont désactivés par défaut au cours del’installation du SolutionPack.

Si le stockage n’est pas partagé entre les hôtes, il n’existe aucune différence dans lesvaleurs de metrics facturables et non facturables.

Les valeurs sont différentes lorsque plusieurs hôtes partagent un disque de stockage.

l Les metrics non facturables sont les valeurs vues directement par l’hôte. Lesmêmes valeurs sont dupliquées pour chacun des hôtes partageant ce stockage,sans tenir compte du nombre d’hôtes concernés par le partage.

l Les metrics facturables prennent en compte le partage d’hôtes et divisent lesmetrics par le nombre d’hôtes concernés par le partage. Les metrics sontdédupliqués, ce qui leur permet d’afficher la facturabilité.

ExemplesSi deux hôtes partagent 500 Go de stockage en mode bloc à partir du même disque, etsi ce stockage n’est pas du tout utilisé, les metrics de capacité sont indiqués commedans le tableau suivant.

Tableau 11 Disque partagé sans aucun stockage utilisé

Nom de metric Hôte A - Disque 1 Hôte B - Disque 1

Non-Chargeable Presented(= capacité totale du disque)

500 Go 500 Go

Non-Chargeable Used(= capacité utilisée du disque)

0 0

Chargeable Presented(= capacité totale du disque ÷nombre d’hôtes qui lepartagent)

250 Go 250 Go

Chargeable Used 0 0



Tableau 11 Disque partagé sans aucun stockage utilisé (suite)


(= capacité utilisée du disque÷ nombre d’hôtes qui lepartagent)

Si l’hôte A utilise 100 Go de stockage, les metrics de capacité seront les suivants.

Tableau 12 Disque partagé avec une partie du stockage utilisée


Non-Chargeable Presented(= capacité totale du disque)

500 Go 500 Go

Non-Chargeable Used(modification de 0 à 100 Go)

100 Go 100 Go

Chargeable Presented(= capacité totale du disque ÷nombre d’hôtes qui lepartagent)

250 Go 250 Go

Chargeable Used(= capacité utilisée du disque÷ nombre d’hôtes qui lepartagent)

50 Go 50 Go

Affichage des rapports de refacturationLes rapports de refacturation en mode bloc fournissent les informations nécessairespour récupérer les coûts de stockage auprès des utilisateurs des baies de stockage, etanalyser les tendances et l’utilisation du stockage.

Remarque

Les informations sur les rapports de refacturation en mode bloc s’appliquentuniquement si

SolutionPack for Block Chargeback est installé.Les rapports de refacturation en mode bloc sont disponibles sous Reports Library >Chargeback et également sous les nœuds Dashboard et Explore, comme décrit dansla procédure ci-dessous.

Deux ensembles de rapports sont générés.

l Les rapports Chargeback by Hosts affichent chaque hôte dans les catégoriessuivantes :

n Hôte/Hyperviseur

n Machines virtuelles : cette catégorie comprend les capacités de réplica pour lesfichiers de machine virtuelle sur le datastore. Les utilisations sont calculées auprorata en comparant le taux de capacité des fichiers de machine virtuelle à lacapacité du datastore.


Affichage des rapports de refacturation 105

n Cluster d’hyperviseurs

l Le rapport Chargeback by Group affiche les capacités et les coûts pour lesgroupes de périphériques. Certains groupes de périphériques installés sont lessuivants : All Physical Hosts, All Hypervisors et All VMs.Vous pouvez définir des groupes supplémentaires. Dans ce cas, les groupespersonnalisés s’affichent automatiquement sous forme de lignes dans cesrapports. Par exemple, vous pouvez définir un groupe de périphériques spécifiquesd’une entité ou d’un client pour afficher une ligne de refacturation pour ce clientou cette entité. Lorsque vous cliquez sur la ligne, un rapport détaillé pour cegroupe est généré. Reportez-vous à la rubrique Créer un rapport de refacturationde groupes personnalisés à la page 118 pour une démonstration de définition d’ungroupe de périphériques et de génération d’un rapport spécifique du client.

Tous les rapports de refacturation affichent les capacités et les coûts en fonction desniveaux de service LUN.

Procédure

1. Pour afficher les rapports Chargeback by Host, accédez à Explore > Storage >More Reports > Chargeback by Host.

Un rapport récapitulatif indique le nombre de périphériques pour chaquecatégorie d’hôte.

2. Cliquez sur une catégorie d’hôte.

Une liste des types de rapport, un pour chaque exemple d’utilisation, s’affiche.

3. Cliquez sur le type de rapport qui vous intéresse.

Le rapport détaillé s’affiche sous la liste des types de rapport. Vous pouvezfacilement basculer entre les exemples d’utilisation.



Ce rapport indique l’utilisation et les coûts du stockage en fonction des niveauxde service au sein de l’hôte.

l Il existe des colonnes sur le rapport pour les niveaux de service les pluscourants.

l La colonne Other regroupe les niveaux de service qui ne possèdent pas leurpropre colonne, y compris vos niveaux de service personnalisés. Vouspouvez modifier le rapport et ajouter des colonnes pour les niveaux deservice supplémentaires.

l La colonne Chargeable Cost représente le coût calculé à l’aide de la base decoûts pour chacun des niveaux de service. Vous pouvez afficher et modifierla base de coût en modifiant un niveau de service dans Administration >Groups Management > Service level by LUNs.

l La colonne Last Timestamp indique la dernière exécution de la tâche de pré-processeur de refacturation en mode bloc. Vous pouvez exécuter la tâchemanuellement si vous avez besoin de metrics plus récents.

4. Pour afficher ou masquer temporairement des colonnes :

a. Cliquez sur la petite icône de tableau au-dessus de l’angle supérieur droit durapport.

b. Dans la liste de colonnes qui s’affiche, cliquez pour sélectionner oudésélectionner les colonnes que vous souhaitez afficher ou masquer, puiscliquez sur Apply.

Voici un rapport pour le niveau de service Silver, généré par le masquage detoutes les autres colonnes du niveau de service.


Affichage des rapports de refacturation 107

5. Pour obtenir plus d’informations sur le stockage sur l’un des hôtes, cliquez sur lenom d’hôte.

Le rapport détaillé de l’hôte affiche les disques, les baies et les LUN associés àun hôte.

6. Pour afficher les rapports Chargeback by Group, accédez à Dashboards >Storage > Chargeback by Group.

7. Cliquez sur le type de rapport.

Le rapport s’affiche sous la liste récapitulative.

8. Pour afficher des détails relatifs à un groupe, cliquez sur la ligne du groupe.

Afficher les détails de stockage associé par hôteVous pouvez explorer les détails sous-jacents du stockage de refacturation calculé surles rapports Associated Storage de chaque hôte.

Procédure

1. Sur un rapport de refacturation, cliquez sur un nom d’hôte dans la colonneHost.

Les noms d’hôte sont des liens vers le rapport de base de l’hôte. Veillez à cliquersur le nom souligné qui correspond à un lien.

Le rapport de base pour l’hôte s’ouvre dans l’onglet Associated Storage. Lepremier rapport sur l’onglet est une répétition des nombres que vous avez vusci-dessus.



2. Faites défiler vers le bas pour afficher la répartition en fonction des baies.

3. Cliquez sur l’onglet Host Devices pour afficher des détails sur la baie, y comprisles noms de LUN.


Afficher les détails de stockage associé par hôte 109

À propos du niveau de service par LUNLes rapports de refacturation en mode bloc utilisent le balisage du niveau de servicepour classer les allocations de capacité.

Les contrats de niveau de service (SLA) permettent de garantir la conformité auxexigences de service et aux besoins du client. Le balisage du niveau de service LUNclasse l’espace de stockage en mode bloc selon les caractéristiques du stockagestipulées dans le contrat SLA, telles que le type de périphérique de stockage, le typede disque, le débit ou les délais de réponse. Un coût par Go est attribué à chaquecontrat SLA.

Pour mettre en œuvre le balisage du niveau de service qui correspond à vos contratsde niveau de service (SLA), utilisez le type de groupe Service Level by LUNs dansGroups Management.

Les noms de niveau de service sont prédéfinis et comportent des noms courammentutilisés, tels que Platinum, Gold et Silver. Vous pouvez également créer des niveaux deservice personnalisés. Les niveaux de service imbriqués ne sont pas autorisés.

Chaque niveau de service est défini par des règles sous-jacentes. Avec lesautorisations appropriées, les administrateurs peuvent personnaliser les règlesexistantes et ajouter de nouvelles règles à un niveau de service. Pour les nouveauxniveaux de service, vous pouvez copier les règles d’un niveau de service existant ou encréer de nouvelles.

Ces règles correspondent à des caractéristiques telles que le type de baie, latechnologie du disque, la taille du disque et la protection RAID. Les LUN découvertesrépondant à des règles d’un niveau de service donné sont identifiées avec ce niveau deservice.

Les règles sont appliquées à chaque LUN dans l’ordre dans lequel elles s’affichentdans la liste. Le premier niveau de service correspondant est celui qui est attribué auLUN. Si vous avez créé une nouvelle règle et que vous ne visualisez pas les LUN àl’emplacement prévu, une règle se trouvant plus haut dans l’ordre des règles luicorrespondait probablement.

Le balisage du niveau de service prend actuellement en charge les technologiessuivantes :

l EMC VMAX

l EMC VNX

l EMC XtremIO

l HDS

l HP 3PAR

l HP P9000 StorageWorks

l IBM XIV

l NetApp Block

Définir le coût de base et les temps de réponse pour les rapports derefacturation en mode bloc

Les rapports de refacturation utilisent un coût par Go configuré sur le niveau deservice. Certains niveaux de service fournissent des temps de réponse minimaux etmaximaux en tant qu’attributs supplémentaires pour la création de rapports.



Procédure

1. Cliquez sur Administration > Centralized Management > GroupsManagement > Service Level by LUNs.

2. Cliquez pour sélectionner un nom de niveau de service, puis cliquez sur Edit.

Remarque

Les noms grisés ne sont pas configurables. Pour afficher les définitions debalisage pour ces noms, cliquez sur View All Rules.

3. Dans la boîte de dialogue Edit, puis dans Cost per GB, saisissez la base decoûts pour ce niveau de service.

Le coût est numérique sans aucune mention de devise spécifique. Saisissez unnombre entier ou une valeur décimale. Si vous saisissez 3, le coût de 100 Go est300. Si vous saisissez .3, le coût de 100 Go est 30.

4. Vous pouvez également définir les valeurs des propriétés Minimum ResponseTime et Maximum Response Time à associer au niveau de service.


Définition d’un nouveau niveau de service LUN et ajout de la colonne à desrapports

Utilisez les fonctions de gestion des groupes pour définir un nouveau contrat de niveaude service (SLA), puis modifiez ensuite les rapports de refacturation en mode blocpour ajouter une colonne correspondant au nom du niveau de service dans lesrapports.

Les capacités et les coûts pour un nouveau contrat de niveau de service ne sont pasaffichés dans les rapports de refacturation, sauf si une colonne correspondante estajoutée. Cette procédure explique comment créer le nouveau niveau de service etajouter ensuite une colonne correspondante à un rapport en copiant et en collant unedéfinition de colonne existante, puis en modifiant le filtre sur la nouvelle colonne.

Procédure

1. Accédez à Administration > Centralized Management > GroupsManagement > Service Level by LUNs.

2. Cliquez sur Create.

3. Dans Service Level, saisissez le nom du nouveau niveau de service.

4. Dans Cost per GB, saisissez la base de coûts de refacturation pour ce niveau deservice.

Utilisez une valeur décimale ou un nombre entier.

5. Dans Minimum Time et Maximum Time, saisissez les limites supérieures etinférieures des temps de réponse qui définissent ce niveau de service.

6. Vous pouvez également créer une ou plusieurs règles pour affiner lescaractéristiques du nouveau niveau de service.

a. Sélectionnez une propriété.

Le menu déroulant des propriétés répertorie les propriétés les plus courantespour les règles de niveau de service LUN. Vous pouvez créer une règle à


Définition d’un nouveau niveau de service LUN et ajout de la colonne à des rapports 111

l’aide de n’importe quelle propriété dans la base de données en cliquant surAdvanced et en utilisant l’assistant.

b. Sélectionnez une opération.

c. Saisissez ou sélectionnez une valeur.

Par exemple :

d. Pour ajouter une autre règle à cet ensemble de règles (opérateur booléenAND), cliquez sur Add rule.

e. Pour créer un autre ensemble de règles (opérateur booléen OR), cliquez surAdd New Rule Set.


Le nouveau niveau de service s’affiche dans la liste, et une liste non exhaustivedes membres s’affiche dans le tableau. Les membres sont des composants quicorrespondent aux règles que vous venez de créer.

8. Pour revenir à l’interface utilisateur :

a. Cliquez sur l’onglet du navigateur portant le nom Modules - Administration.

b. Cliquez sur User Interface dans la bannière.

9. Ouvrez le rapport dans EDIT MODE à l’emplacement où vous souhaitez ajouterla nouvelle colonne du niveau de service :

Étant donné que les rapports sont liés à d’autres nœuds, une partie de lanavigation par arborescence doit être exécutée dans EDIT MODE. Procédez dela façon suivante :

a. Accédez à Operations > Chargeback > catégorie de refacturation.

Par exemple, accédez à Operations > Chargeback > Chargeback by Group.

b. Cliquez sur EDIT MODE.

c. Dans Linked To, cliquez sur le lien.

d. Dans le volet de gauche, développez le nœud sélectionné pour afficher lesquatre rapports de refacturation.



e. Sélectionnez un rapport, tel que Total Used Chargeable.


11. Sélectionnez une colonne à copier en cliquant sur la zone de sélection en regarddu titre de la colonne.

Par exemple, sélectionnez Gold pour copier les attributs de cette colonne.

12. Cliquez sur Copy au bas de la page, puis cliquez sur Paste dans la partiesupérieure de la page.

Vous trouverez la colonne collée au bas de la liste.

13. Cliquez sur la flèche blanche en regard du nouveau nom de colonne pour ouvrirla configuration de la colonne.

14. Configurez la nouvelle colonne en modifiant le nom, la description et le filtreavec le nouveau nom de niveau de service.

a. Pour modifier le filtre, cliquez avec le bouton droit de la souris dans la zonesvclevel, puis sélectionnez Edit expression.

b. Saisissez le nouveau nom de niveau de service exactement comme vousl’avez créé, puis cliquez sur OK.


16. Pour déplacer la nouvelle colonne à un autre emplacement, passez le curseursur la barre bleue de la colonne jusqu’à ce que l’icône de déplacement s’affiche,puis faites glisser la colonne à l’emplacement souhaité.


Définition d’un nouveau niveau de service LUN et ajout de la colonne à des rapports 113


18. Cliquez sur BROWSE MODE en haut de la page.

Vous voyez la nouvelle colonne dans le rapport.

Remarque

Les données n’apparaîtront pas dans la nouvelle colonne tant que la nouvelleconfiguration ne se sera pas propagée dans le système et que la tâche de pré-processeur de refacturation n’aura pas été exécutée.

Ajouter un nouveau niveau de service dans les rapports Associated StorageLes rapports Associated Storage de l’hôte sont basés sur une formule et nécessitentune simple modification de la formule pour créer des rapports sur le nouveau niveau deservice.

Les rapports Associated Storage sont basés sur des modèles. Lorsque vous modifiezun modèle, les modifications sont propagées sur tous les rapports qui utilisent lemodèle.Dans la procédure suivante, nous créons le nouveau metric pour le nouveau niveau deservice dans un nœud de rapport inférieur, puis nous utilisons le metric dans unenouvelle colonne du rapport Associated Storage. La modification est propagée surtous les rapports Associated Storage.

Procédure

1. Accédez à un rapport Associated Storage.

Par exemple, accédez à Explore > Hosts > All Hosts > nom_d’hôte.

2. Cliquez sur l’onglet Capacité.

3. Cliquez sur le titre de rapport Associated Storage de sorte que le rapports’affiche en haut de la page.

4. Cliquez sur EDIT MODE.



5. Cliquez sur le lien de modèle Associated Storage dans le champ Linked to.

6. Dans le volet de gauche, développez le nœud Associated Storagre associé pourafficher les exemples d’utilisation.

7. Sélectionnez un exemple d’utilisation.

8. Dans le volet de droite, cliquez sur l’onglet Formula.

9. Sélectionnez une formule util.Nop à copier.

Ne sélectionnez pas une formule util.Nop4. S’il n’existe aucune formuleutil.Nop, créez une nouvelle formule util.Nop, en copiant le filtre et d’autresinformations à partir de la formule util.Nop4 existante.

Remarque

Ces annotations sont utilisées pour créer les metrics qui sont transmis à lahiérarchie de création de rapports. Nop crée un résultat et Nop4 est unraccourci pour la création de quatre résultats. Si vous ne disposez pas de quatrerésultats, vous ne pouvez pas utiliser une formule Nop4.

10. Cliquez sur Copy.

11. Cliquez sur Paste.

Une nouvelle barre bleue s’affiche.


Ajouter un nouveau niveau de service dans les rapports Associated Storage 115

12. Développez la nouvelle barre.

13. Développez Parameter to Enter.

a. Cliquez sur l’icône Edit en regard du filtre.

Cliquez avec le bouton droit de la souris dans la zone svclevel, puissélectionnez Edit Expression.

b. Dans la boîte de dialogue Edit, modifiez la valeur svclevel par votre niveau deservice personnalisé.

c. Cliquez sur Ok.

14. Développez Result Returned.

a. Dans Name, créez un nom pour le nouveau metric du niveau de service.


16. Dans le volet de gauche, cliquez pour sélectionner le nœud Associate Storage.

17. Dans le volet de droite, cliquez sur l’onglet Report Details: Table.

18. Ajouter une nouvelle colonne :

a. Cliquez pour sélectionner l’une des barres bleues Value: existantes.

b. Cliquez sur Copy.

c. Cliquez sur Paste.

d. Faites défiler pour trouver la barre bleue copiée. (Elle possède un * après lenom).

e. Modifiez le nom de la colonne.

f. Vous pouvez également modifier la Description.

g. Dans Selected Value, cliquez sur la flèche et sélectionnez le nom du metricque vous avez créé précédemment dans la liste déroulante.

h. Dans Use time settings, sélectionnez this column.

19. Faites glisser la barre bleue pour placer la colonne à l’emplacement souhaitédans le rapport.

20. Faites défiler vers le bas, puis cliquez sur Save.

21. Cliquez sur BROWSE MODE.



22. Accédez à n’importe quel rapport Associated Storage d’un hôte pour vérifierl’apparence de la nouvelle colonne.

À propos des groupes de refacturation en mode blocLes rapports de refacturation en mode bloc sont générés pour chaque groupe derefacturation en mode bloc prédéfini et personnalisé.

Un Regroupement de refacturation en mode bloc est un ensemble d’hôtes. Les hôtespeuvent être des machines virtuelles, des hyperviseurs, des hôtes physiques ou deshôtes découverts de façon passive.

Le traitement de la refacturation en mode bloc se produit au niveau de l’hôte. Lescoûts calculés sont basés sur tout le stockage connecté aux périphériques hôtes duregroupement. Lorsque vous créez un regroupement de refacturation en mode blocpersonnalisé, les membres du groupe doivent être des éléments ayant une propriétédevtype correspondant à l’une des options suivantes :

devtype est « Host »oudevtype est « PassiveHost »oudevtype est « VirtualMachine »oudevtype est « Hypervisor »

Vous n’êtes pas obligé de spécifier devtype dans la règle, mais le résultat duprocessus de sélection doit être des éléments ayant une propriété devtypecorrespondant à l’une des valeurs répertoriées ci-dessus


À propos des groupes de refacturation en mode bloc 117

Remarque

L’interface Groups Management est ouverte et vous permet d’utiliser n’importe quellepropriété pour créer des règles d’appartenance à un groupe. Toutefois, le traitementde refacturation ne fonctionnera pas comme prévu pour un regroupement qui inclutdes éléments qui ne sont pas des hôtes. Par exemple, un regroupement derefacturation en mode bloc qui sélectionne des éléments dont la propriété devtype estArray ne génère pas une ligne dans le rapport Block Chargeback.

ExemplesVoici quelques exemples de règles d’appartenance pour des regroupements derefacturation en mode bloc :

l collecte statique de noms de périphérique hôte, hôtes passifs, machines virtuelleset hyperviseur

l collecte dynamique de noms de périphérique hôte à un emplacement donné oudans une division spécifique, en supposant que le balisage de la propriétélocation ou bunit se produit sur les périphériques hôtes

l collecte dynamique de noms de périphérique VM commençant par une chaînespécifique

Des rapports personnalisés complexes sont requis pour afficher les coûts derefacturation de types de périphérique qui ne sont pas des hôtes, des hyperviseurs etdes machines virtuelles. Contactez le support client pour discuter de vos besoins.

Créer un rapport de refacturation de groupes personnalisésDes groupes personnalisés, ainsi que des niveaux de service personnalisés, permettentde classer, d’analyser et de refacturer l’utilisation du stockage en fonction de vosbesoins métiers et des contrats de niveau de service.

Pour capturer les metrics de refacturation pour un client, une application ou une entitéspécifique, définissez un regroupe de refacturation en mode bloc qui contient tous leshôtes de stockage utilisés par ce client, cette application ou cette division. ViPR SRMgénère alors automatiquement des rapports de refacturation pour chaque groupefigurant sur le rapport Chargeback by Group.

Figure 18 Exemple de rapport de refacturation en mode bloc personnalisé



CHAPITRE 8

Refacturation en mode fichier

Les sections suivantes décrivent les rapports de refacturation en mode fichier et lesconcepts associés.

l Fonctions de la refacturation de partage de fichiers......................................... 120l Metrics de refacturation de partage de fichiers................................................ 120l À propos des niveaux de service du partage de fichiers et de la base de coûts.. 121l Définition de la base de coût pour la refacturation en mode fichier .................. 122l À propos des regroupements de la refacturation en mode fichier..................... 122l Affichage des rapports de refacturation de partage de fichiers........................ 123

Refacturation en mode fichier 119

Fonctions de la refacturation de partage de fichiersLes rapports de refacturation de partage de fichiers affichent les capacités et lescoûts du stockage dans les systèmes de fichiers et les partages de fichiers.

L’expression refacturation de partage de fichiers inclut les partages de fichiers avecdes quotas d’arborescence et tous les systèmes de fichiers sans quota. Les plates-formes prises en charge pour la refacturation de partage de fichiers sont lessuivantes :

l VNX classique : Unified VNX et File Only VNX. (Ces fonctions ne s’appliquent pasà des baies VNX en mode bloc).

l Unity et VNXe2 : systèmes de fichiers uniquement. (Ces fonctions ne s’appliquentpas aux quotas ou aux partages de fichiers sur ces systèmes).

l Isilon

l NetApp

Les rapports de refacturation de partage de fichiers couvrent deux exemplesd’utilisation de la refacturation :

l Capacités et coûts du stockage primaire présenté - Le stockage primaire estl’espace réservé pour la copie d’origine des données (non pour les réplications,snapshots ou clones). La capacité présentée représente l’espace de stockagedisponible.

l Capacités et coûts du stockage primaire utilisé - Le stockage primaire est l’espaceréservé pour la copie d’origine des données (non pour les snapshots ou lesréplications). La capacité utilisée représente l’espace de stockage réellementutilisé.

Les metrics de la capacité présentée et utilisée sont affichés dans des rapportsdistincts, ce qui vous permet d’analyser et de facturer les coûts en fonction du type decapacité. Dans chaque exemple d’utilisation, un rapport récapitulatif de refacturationaffiche les metrics par groupe de partages de fichiers. Vous pouvez effectuerprogressivement une recherche verticale dans les détails d’un groupe.

Metrics de refacturation de partage de fichiersLes rapports de refacturation de partage de fichiers fournissent des capacités derefacturation et des coûts selon l’utilisation combinée du système de fichiers et dustockage de partage de fichiers au sein d’un groupe de partages de fichiers.

Les capacités utilisées pour la refacturation sont établies comme suit :

Partages de fichiers avec quotas d’arborescence

Un quota de partage de fichiers offre une capacité de limite stricte sur laconsommation du stockage en fonction de l’espace disque et de la quantité defichiers qui peuvent être créés. Un partage de fichiers avec un quotad’arborescence est représenté dans la base de données à l’aide de la valeur depropriété parttype suivante :

parttype='Quota'

Pour les propriétés parttype Quota :



l Chargeback Presented Capacity représente le metric de capacité de limitestricte du quota d’arborescence.

Remarque

Pour Isilon, si une limite stricte n’est pas définie, le metric ChargebackPresented Capacity a la même valeur que celle de la capacité utilisée duquota d’arborescence.

l Chargeback Used Capacity représente la capacité utilisée du quotad’arborescence.

Systèmes de fichiers ou chemins d’accès sans quotas

Un système de fichiers ou un chemin d’accès aux fichiers avec un quotad’arborescence est représenté dans la base de données à l’aide de la valeur depropriété parttype suivante :

parttype='FileSystem'

Pour les propriétés parttype FileSystem :

l Chargeback Presented Capacity représente la capacité présentée dusystème de fichiers

l Chargeback Used Capacity représente la capacité utilisée du système defichiers

Total de la refacturation de partage de fichiers (somme des metrics des quotas etsystèmes de fichiers)

Les rapports de refacturation de partage de fichiers combinent les metrics dessystèmes de fichiers et des quotas. Une valeur de propriété parttypesupplémentaire, FileShare, fournit les metrics combinés. Tous les rapportsrécapitulatifs Fileshare Chargeback by Group comprennent le composant de filtresuivant afin d’indiquer les metrics combinés des quotas et systèmes de fichiers.

parttype='FileShare'

À propos des niveaux de service du partage de fichiers et dela base de coûts

Tous les partages de fichiers sont balisés avec un niveau de service de partage defichiers. Les coûts de refacturation sont définis en fonction du niveau de service.

Le type de groupe Groups Management nommé Service Level for Fileshare est utilisépour le balisage des systèmes de fichiers avec un niveau de service. Un niveau deservice, nommé NAS, est installé par défaut, et tous les systèmes de fichiers sontmembres de ce niveau de service.

Bien que vous puissiez créer des niveaux de service supplémentaires sous ServiceLevel for Fileshare, les rapports de refacturation du partage de fichiers peuventcalculer les metrics de refacturation uniquement pour le niveau de service NAS.


À propos des niveaux de service du partage de fichiers et de la base de coûts 121

La base de coût permettant de calculer la refacturation du partage de fichiers estassociée au niveau de service NAS.

Définition de la base de coût pour la refacturation en modefichier

Les rapports de refacturation utilisent un coût par Go configuré sur le niveau deservice.

Procédure

1. Cliquez sur Administration > Centralized Management > GroupsManagement > Service Level by File Share.

2. Cliquez pour sélectionner le nom de niveau de service NAS, puis cliquez surEdit.

3. Dans Cost per GB, saisissez la base de coûts pour ce niveau de service.

Le coût est numérique sans aucune mention de devise spécifique. Saisissez unnombre entier ou une valeur décimale. Si vous saisissez 3, le coût de 100 Go est300. Si vous saisissez .3, le coût de 100 Go est 30.


À propos des regroupements de la refacturation en modefichier

Les rapports de refacturation du partage de fichiers affichent les metrics en fonctiondes groupes de refacturation en mode fichier.

Le type de groupe Groups Management nommé File Chargeback Grouping définit lesregroupements de systèmes de fichiers et de partages de fichiers pour la création derapports. Chaque groupe défini est représenté par une ligne dans les rapportsrécapitulatifs de refacturation. L’analyse détaillée de la ligne récapitulative affiche unrapport de refacturation spécifique du groupe.

Les groupes File Chargeback Grouping par défaut suivants sont fournis lors del’installation :

l Tous les systèmes Isilon

l Tous les systèmes NetApp

l Tous les systèmes Unity et VNXe2

l Tous les systèmes VNX

Vous pouvez créer des groupes personnalisés afin d’identifier tous les partages defichiers pour un client spécifique, une entité ou dans un autre objectif. Définissez vosgroupes personnalisés dans une hiérarchie de groupes sous les groupes par défaut, oumélangez les types de système de fichiers dans un groupe de niveau supérieur.

Pour créer un filtre qui inclut les partages de fichiers avec quota d’arborescence ettous les systèmes de fichiers sans quotas, vous pouvez inclure la phrase suivante dansle filtre de groupe :

parttype Is FileShare



Remarque

Pour éviter la duplication d’espace dans les metrics de capacité, n’incluez pas unsystème de fichiers parent et enfant dans le même groupe.

Affichage des rapports de refacturation de partage defichiers

Les rapports de refacturation de partage de fichiers vous aident à analyser le coût réeldu stockage du système de fichiers.

Procédure

1. Accédez à Operations > Chargeback > File Chargeback by Group.

2. Cliquez sur l’onglet de l’exemple d’utilisation que vous souhaitez afficher, àsavoir Used Chargeable ou Presented Chargeable.

Les rapports résument le volume de stockage en mode fichier et les coûtsfacturables pour chaque groupe de refacturation en mode fichier.

3. Cliquez sur une ligne pour afficher les détails par baie pour un groupe.

Les informations apparaissent sous le rapport récapitulatif.

4. Cliquez sur Array Name pour effectuer une recherche verticale dans la baie etafficher les noms de partages de fichiers et de systèmes de fichiers, et larépartition détaillée des coûts.


Affichage des rapports de refacturation de partage de fichiers 123

Voici un autre exemple qui inclut des quotas et des systèmes de fichiers. Notezque le nombre d’éléments dans le rapport FileShare est égal à la somme deséléments figurant dans les rapports File System et Tree Quota. La colonnePresented Capacity du rapport FileShare affiche les capacités présentées pourchaque système de fichiers et la capacité de limite stricte pour chaque quotad’arborescence.




Affichage des rapports de refacturation de partage de fichiers 125

CHAPITRE 9

Refacturation en mode objet

Les sections suivantes décrivent les rapports de refacturation en mode objet et lesconcepts associés.

l Afficher des rapports de refacturation ECS...................................................... 128l Niveaux de service de compartiment................................................................. 131l Modification de la base de coûts du niveau de service de compartiment........... 131l Créer un niveau de service de bucket personnalisé........................................... 132

Refacturation en mode objet 127

Afficher des rapports de refacturation ECSUn ensemble de rapports de refacturation en mode objet affiche l’utilisation dustockage ECS et les coûts calculés pour les niveaux de service au sein des espaces denommage et des buckets.

Remarque

Les informations relatives aux rapports de refacturation s’appliquent uniquementlorsque SolutionPack for EMC ECS dispose d’une licence complète ViPR SRM (licenceVIPRSRM_ECS_TB).

Les rapports de refacturation ECS fournissent des informations nécessaires pourrécupérer les coûts de stockage depuis les propriétaires d’espaces de nommage ou debuckets ECS, et pour analyser les tendances et l’utilisation du stockage. Les rapportsaffichent les metrics d’utilisation en fonction d’un certain nombre d’attributs, décritsci-dessous.

l Chargeback by Namespace affiche :

n La taille totale des objets (Go) dans un espace de nommage, par niveau deservice

n Le nombre total d’objets dans l’espace de nommage

n Le nombre d’objets créés et supprimés au cours de la période de création derapports

n Les données chargées et téléchargées pendant la période de création derapports

n Les coûts de refacturation calculés

l Cliquez sur un espace de nommage dans le tableau pour afficher des informationscomplémentaires, notamment :

n Le nombre d’objets quotidiens et la capacité utilisée de l’espace de nommage

n L’utilisation du réseau et les tendances de l’espace de nommage

n Le rapport de refacturation simple pour l’espace de nommage par niveau deservice

n Le rapport Chargeback by Bucket pour l’espace de nommage

l Chargeback by Bucket affiche :

n Le datacenter virtuel et le nom du groupe de réplication associé à chaquebucket

n Le nombre total d’objets dans le bucket

n Le nombre d’objets créés et supprimés dans le bucket au cours de la période dereporting

n Les données chargées et téléchargées dans le bucket pendant la période decréation des rapports

n Les coûts de refacturation calculés pour le bucket

l Cliquez sur un bucket dans le tableau pour afficher des informationscomplémentaires, notamment :

n Le nombre d’objets quotidiens et la capacité utilisée du bucket



n L’utilisation du réseau et les tendances pour le bucket

n Le rapport de refacturation simple pour le bucket par niveau de service

Procédure

1. Connectez-vous à la console et accédez à Operations > Chargeback > ObjectChargeback.

La colonne Total Cost à l’extrémité droite utilise la valeur du coût par Goattribuée au niveau de service dans Administration > CentralizedManagement > Groups Management > Bucket Service Levels.

2. Cliquez sur un nom d’espace de nommage pour l’explorer plus en détail.

Un ensemble de rapports tabulaires s’affiche pour l’espace de nommage.

3. Cliquez sur Chargeback by Bucket pour afficher la répartition des coûts ausein des buckets.


Afficher des rapports de refacturation ECS 129

4. Cliquez sur Chargeback by Service Level pour un rapport simple du coût parniveau de service au sein du bucket.



Niveaux de service de compartimentSolutionPack for EMC ECS utilise des niveaux de service de compartiment pourclasser le stockage en mode objet dans des espaces de nommage ECS. Vous pouvezcréer des niveaux de service de compartiment personnalisés et modifier ceux quiexistent déjà. Vous pouvez modifier la base de coûts du niveau de service pour lescalculs de refacturation.

Remarque

Les informations relatives aux niveaux de service de compartiment s’appliquentuniquement lorsque SolutionPack for EMC ECS dispose d’une licence complèteViPR SRM (licence VIPRSRM_ECS_TB).

Les niveaux de service de compartiment sont basés sur une règle de réplication. Uncompartiment dont les caractéristiques sont définies par les règles de la définition duniveau de service est attribué à ce niveau de service.

Il existe deux niveaux de service prêts à l’emploi :

l Protection en local : ce niveau de service est attribué aux compartiments qui sontassociés à un seul site, ce qui signifie que les données sont stockées localementuniquement.

l Protection à distance : ce niveau de service est attribué aux compartiments quisont associés à plusieurs sites, ce qui signifie que les données sont copiées horssite.

Modification de la base de coûts du niveau de service decompartiment

Modifiez la base de coûts utilisée pour les calculs de refacturation du compartimentECS.

Procédure

1. Connectez-vous à la console et accédez à Administration > CentralizedManagement > Groups Management > Bucket Service Levels.

2. Dans la liste sous All, cliquez sur un niveau de service pour le sélectionner.



Niveaux de service de compartiment 131

4. Pour modifier la base de coûts, dans le champ Cost per GB, saisissez unenouvelle valeur, puis cliquez sur Save.

Créer un niveau de service de bucket personnaliséCréez des niveaux de service de bucket supplémentaires avec des critères différentsou plus précis que ceux des niveaux prêts à l’emploi.

Supposons que vous souhaitiez créer un niveau de service de bucket pour un espacede nommage spécifique protégé en local et refacturer un taux différent pour cetespace de nommage.

Procédure

1. Connectez-vous à la console et accédez à Administration > CentralizedManagement > Groups Management > Bucket Service Levels.

2. Cliquez sur All pour le sélectionner, puis cliquez sur Create.

Si vous sélectionnez All, le nouveau niveau de service apparaîtra directementdans la section All de la liste.

3. Saisissez le nom du nouveau niveau de service dans le champ Service Level.

4. Dans Cost per GB, saisissez une valeur décimale, par exemple .02, pourreprésenter une unité monétaire.

5. Pour la première règle, dans Select a Property, sélectionnez Component typeet renseignez les deux champs suivants avec Is Bucket.

6. Cliquez sur Add rule.

7. Créez une deuxième règle pour définir la réplication comme localementprotégée.

numsites Is 1

8. Cliquez sur Add rule.

9. Créez une troisième règle pour définir l’espace de nommage.

a. Dans Select a Property, sélectionnez Advanced.

b. Renseignez les deux champs suivants avec ns Is.

Remarque

Le nom de propriété de la base de données pour l’espace de nommage estns.

c. Dans le troisième champ, sélectionnez ou saisissez la valeur de l’espace denommage.

Par exemple, vous pouvez créer une règle ns Is apzatcity.


10. Si vous n’êtes pas sûr du nom de propriété de la base de données, essayez cetteméthode pour le rechercher :

a. Recherchez un rapport qui contient une colonne pour la propriétérecherchée.

b. Cliquez sur EDIT MODE en haut de la page du rapport.



c. Cliquez sur l’onglet Reports Detail:Table.

d. Cliquez sur la barre bleue du nom de colonne.

e. Dans le champ Property, vous voyez le nom de propriété de la base dedonnées utilisé pour cette colonne. Vous pouvez utiliser cette valeur dansvos règles.

11. Accédez au rapport Chargeback by Namespace.

12. Après suffisamment de temps pour de nouvelles collectes, la colonne OtherService Levels commence à afficher les metrics du nouveau niveau de service.

13. Pour créer une colonne spécifique du nouveau niveau de service, modifiez ladéfinition du rapport pour ajouter une nouvelle colonne.


Créer un niveau de service de bucket personnalisé 133

CHAPITRE 10

Refacturation en mode cloud

Les sections suivantes décrivent les rapports de refacturation en mode cloud et lesconcepts associés.

l Refacturation des buckets S3 sur des ressources ECS .................................... 136l Définir la base de coûts de refacturation des buckets S3 .................................136l Créer un regroupement personnalisé de buckets S3......................................... 137

Refacturation en mode cloud 135

Refacturation des buckets S3 sur des ressources ECSLe SolutionPack for Amazon AWS peut générer des rapports de refacturation pour lesbuckets S3 gérés sur des ressources EMC ECS .

Ces rapports ont des conditions préalables pour les rapports de facturation AWS.Consultez les instructions d’installation du SolutionPack for Amazon AWS pourconnaître les paramètres requis dans le compte Amazon AWS.

Les rapports de refacturation pour les buckets S3 apparaissent sous Report Library >Amazon AWS > Operations dans ViPR SRM.

Les rapports affichent les buckets S3 gérés par ECS, qui peuvent aussi être groupésdans des regroupements personnalisés, avec des coûts facturables calculés à l’aide dela base de coûts associée aux noms de groupe. Les groupes sont gérés à l’aide de lafonction Groups Management de ViPR SRM, dans le type de groupe nommé ECSCapacity Rates.

Les coûts de refacturation suivants sont calculés pour chaque regroupement :

l Coût de stockage

l Coût du transfert de données (téléchargements)

l Coût du transfert de données (transferts)

Un regroupement prédéfini de tous les buckets S3 est installé par défaut. Vous pouvezcréer des regroupements personnalisés en sélectionnant des règles dynamiques oustatiques.

Définir la base de coûts de refacturation des buckets S3Les rapports de refacturation S3 utilisent des coûts par Go configurés sur lesgroupements ECS Capacity Rate.

Procédure

1. Cliquez sur Administration > Centralized Management > GroupsManagement > ECS Capacity Rates.

2. Pour modifier les coûts par Go pour le regroupement S3 par défaut,modification qui s’appliquera à tous les buckets S3 :

a. Cliquez pour sélectionner le groupe S3.

b. Cliquez sur Edit.

c. Dans les champs de coût, saisissez le coût de base.

Le coût est numérique. Saisissez un nombre entier ou une valeur décimale. Sivous saisissez 3, le coût de 100 Go est 300. Si vous saisissez .3, le coût de100 Go est 30.


3. Pour créer une base de coûts différente pour un sous-ensemble de buckets S3,créez un nouveau regroupement.



Créer un regroupement personnalisé de buckets S3Vous pouvez créer des regroupements personnalisés de buckets S3 pour la création derapports de refacturation.

Pour identifier les buckets S3 dans un groupe de règles dynamiques, ajoutez lesexpressions suivantes dans le groupe de règles :

prodcode is S3 AND parttype is Bucket

Procédure

1. Accédez à Administration > Centralized Management > GroupsManagement > Service Level by LUNs.

2. Sélectionnez S3 ou un autre groupe existant pour sélectionner l’emplacementdu nouveau groupe dans la hiérarchie des groupes. Puis, cliquez sur Create.

3. Saisissez un nouveau nom de groupe ECS Capacity.

Il s’agit du nom du nouveau regroupement de buckets qui va apparaître dans lesrapports.

4. Pour sélectionner des buckets pour le nouveau groupe à l’aide de règles :

a. Sélectionnez l’onglet Dynamic Members - select using rules.

b. Créez une règle.

Pour identifier les buckets S3 dans un groupe de règles dynamiques, ajoutezles expressions suivantes dans le groupe de règles :

prodcode is S3 AND parttype is Bucket

Cliquez sur Add rule pour appliquer l’opérateur booléen AND aux ensemblesde règles supplémentaires.

Cliquez sur Add new rule set pour appliquer l’opérateur booléen OR auxensembles de règles supplémentaires.


Créer un regroupement personnalisé de buckets S3 137

c. Cliquez sur Show Members pour afficher les résultats des règles.


5. Pour sélectionner manuellement des buckets pour le nouveau groupe dans uneliste des périphériques :

a. Sélectionnez l’onglet Static Members - select from list.

b. Utilisez les champs Type et Source Group pour définir la liste des objets quis’affichent dans le tableau.

c. Sélectionnez des objets dans le tableau, puis cliquez sur Add to group.Répétez jusqu’à ce que le nouveau groupe soit défini.

d. Lorsque le nouveau groupe a été défini, cliquez sur OK.



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