CENTRE HOSPITALIER HENRI MONDOR50 avenue de la république 15000 Aurillac Tél. 04 71 46 56 56 www.ch-aurillac.fr

NTIDOTEOctObre 2018 - N°86

www.ch-aurillac.fr

Zoom sur... les RENCONTRES Henri MONDOR

quaTRE MilliONS D’EuROS ! P1

6èME jOuRNéE RégiONalE DE pSyCHiaTRiE P2

CaNCER Du SEiN : SavOiR pOuR agiR P3

DR bRuNO MalafOSSE, pSyCHiaTRE

DR jEaN-pHilippE MaRCaHOu, géRiaTREP 4

qualiTé P 5

RENCONTRES HENRi MONDOR P 6-7

lE CENTRE MéDiCOpSyCHOlOgiquE iNTERSECTORiEl P 8-9

SEMaiNE Du gOûTEN ROuTE pOuR lE blOC OpéRaTOiRE

P10

l’uNiTé ObéSiTé au CENTRE HOSpiTaliER P11

auRéliEN iSSERTES, NOuvEl iNgéNiEuR aux SERviCES TECHNiquESTéMOigNagE : M. fORTiN, paTiENT aux gENêTS

P12

MOiS SaNS TabaCCONféRéNCE-SpECTaClE

P13

l’HôpiTal agiT pOuR l’ENviRONNEMENT : lES pROjETS P 14

Le centre Hospitalier Henri Mondor dispose depuis 2011 d’une unitéd’accompagnement pour les patients atteints d’obésité, laquelle faitl’objet d’une présentation dans ce numéro.cette unité, qui a permis de structurer l’activité de chirurgie bariatriquede l’etablissement, est un exemple de prise en charge pluridisciplinaireau bénéfice des patients. en termes de niveau d’activité, la structureAurillacoise est en 2ème position en ex-Auvergne, après le cHU declermont-Ferrand.cette structure développe aussi une activité d’hospitalisation de jourqui vous est présentée dans ce qui suit.Depuis 2017, l’etablissement a également mis en place un accompa-gnement spécifique pour les enfants atteints de surpoids ou d’obé-sité.Ainsi, dans cet accompagnement, le personnel médical et soignantde l’etablissement participe aux trois niveaux de prévention :- Prévention primaire : éviter l’apparition de la maladie- Prévention secondaire : la maladie étant déclarée, éviter l’apparitiond’une incapacité- Prévention tertiaire : l’incapacité étant acquise, éviter l’apparitiond’un handicap.et cela est d’autant plus important en termes de Santé Publique, quele surpoids et l’obésité, à l’image du diabète, constituent « des mauxdu siècle » et sans doute des maladies de civilisation lesquelles, affec-tent prioritairement les moins favorisés d’entre nous.c’est pourquoi ces pathologies font partie des priorités assignées auPôle de Santé Publique et à son Unité transversale d’education thé-rapeutique du Patient (UteP ).et ce, conformément aux priorités en matière de politique qualité dé-finies par le Projet Médical. A savoir, accompagner les patients afinqu’ils se prennent en charge eux-mêmes plutôt que de les prendre encharge, et les conforter dans leur capacité de résilience.

Pascal tArrISSON,Directeur

Édito

Dans ce journal

DIRECTEuR DE PubLICATIONET DE RéDACTION

Pascal TARRISSON

COMITé DE RéDACTIONEquipe de Direction

Sylvie BOUDOUVirginie CALVET

SECRéTARIAT DE RéDACTIONMISE EN PAgE

ET PHOTOgRAPHIESService communication

du Centre HospitalierImprimerie Albédia

Dépôt légalNuméro ISSN 1268-2012

Tirage : 668 exemplaires

Dessins : Mary Brunet

Une médecinehumaine,

de qualité,de proximité accessible en

permanence à tousun collectif de

professionnels etun plateautechnique

performants auservice de votre

santé.

ActualitéquaTRE MilliONS D’EuROS !

1

La Direction du Centre hospitalier a accueilli Jacques MézarD,Ministre de la cohésion des territoires, Jean-Yves GraLL, Direc-teur général de l’agence régionale de santé auvergne rhône-alpes, vendredi 5 octobre, afin de leur présenter les travaux encours du Plateau technique. Le cortège a effectué le parcours actuellement emprunté par lespatientes de la maternité qui bénéficient d’une prise en charge aubloc opératoire. ceci a permis de mieux se rendre compte de sacomplexité et de la vétusté de certains locaux. Le chantier et le pro-jet du Plateau technique ont ensuite été présentés par les archi-tectes et les différents acteurs.ce bâtiment de 4500 m2, sur 3 niveaux qui constituera un traitd’union et un parachèvement des différentes offres de soins

qu’elles soient critiques ou d’hospitalisation, devrait être achevé au premier trimestre 2020. M. le Ministre a tenu, lors de cette visite, à annoncer une trés bonne nouvelle : l’état, par le concours del’ArS, va apporter 4 millions d’euros à ce projet dont le montant total est évalué à 19 150 000 euros ttc.

Le PLATEAU TECHNIQUE,

c’est 3 niveaux accolés au

bâtiment RÉA/URGENCES/LABO.

Les objectifs sont :

- moderniser le bloc opératoire

- optimiser l’usage par rapproche-

ment du Pôle femme enfant

- développer l’activité de la

chirurgie ambulatoire

Actualité

2

6èME jOuRNéE RégiONalE DE pSyCHiaTRiE

Chaque année, nous organisons une journée adres-sée aux professionnels de la santé mentale. En fonc-tion des thèmes abordés, nos journées peuventégalement intéresser le secteur de l’enfance, del’éducation, du médico-so-cial, ou d’autres acteurs duréseau de soins ou encontact avec le réseau desoin (justice, police, gen-darmerie,…). Ceux ci peu-vent participer ousimplement assister auxinterventions, des tempsd’échanges étant prévustout au long de la journée.

cette année, le thème re-

tenu était le psychotrau-

matisme : « Vous avez dit

psychotrauma ? »... bles-

sés psychiques, accueil et

continuité du soin.

Le psychotrauma existe au

delà de la psychiatrie, il

nous est donc paru cohérent

de proposer à des services

du McO et au pôle de santé

publique du centre hospita-

lier d’intervenir et partager

leurs expériences durant la

journée 2018.

Sont intervenus :

Monique PerrIer, Sage-

femme et l’équipe de la ma-

ternité ; le Dr ximena

LLObet, Médecin PASS et

christine DAUDe, Infirmière PASS ; le Dr christophe

SUreAU, Médecin Algologue, rachel cHAMOUx,

Neuro-Psychologue et Marie brUeL, Infirmière réfé-

rente Douleur.

Le Dr Jean Marc PHILIPPe, conseiller Médical auprès

du Directeur général de la Santé pour les Urgences et

la Sécurité Sanitaire, a également répondu présent à

notre invitation. tout comme le Dr georges

brOUSSe, Professeur d’Addictologie et de Psychiatrie

Service d’Addictologie cHU de clermont Ferrand et

Marie rené SAïONI, Psychologue clinicienne. Nous

avons accueillli également l’équipe de la cUMP ren-

forcée de la Vienne, centre Hospitalier Henri Laborit

Poitiers (86) composée du Dr

Jean-Jacques cHAVAgNAt, Mé-

decin coordinateur Dominique

MeSLIer, Infirmier coordinateur,

Marie claire cOttIN, Assistante

Médico Administrative.

cette journée de rencontre a per-

mis de mieux appréhender le

cadre de la prise en charge du

blessé psychique, de comprendre

les cliniques du psychotraumatisme, de profiter de re-

tour d’expérience locale, régionale et national, pour

accompagner au mieux les blessés psychiques

quelque soit notre milieu d’exercice et nos compé-

tences.

V. Loubeyre, Infirmier au Service Claude Bernard et Secrétaire de la Croix Marine aurillac.

OrgANISée PAr L’ASSOcIAtION crOIx MArINe ceNtre HOSPItALIer HeNrI MONDOr D’AUrILLAc

L’association croix marine d'aurillaca pour objet depuis plus de 40 ans lessoins, la prévention, la réhabilitationet l’accompagnement des patientssouffrant de problèmes en santémentale.

Ses actions touchent près de 4500personnes sur tous les services de

psychiatrie dépendants du centre hospitalier : secteurs de psychiatrieadulte, pédopsychiatrie, MaS de Cueilhes.

association de loi 1901, la Croix Marine dispose de subventions nécessairesà son fonctionnement par le biais d’une convention de partenariat avecl’hôpital.Une autre partie de ses fonds découle de la gestion de la cafétéria, de lavente de cartes d’adhérents, de dons.

La gestion des fonds par les soignants permet le libre choix des interven-tions et la diversification des supports de soins : ateliers, bibliothèque,chant, théâtre, repas, séjours thérapeutiques…

Actualité

3

cHAQUe FeMMe A Le DrOIt A UNe INFOrMAtION cLAIre et AcceSSIbLe POUr FAIre UN cHOIx

eN cONNAISSANce De cAUSe

bien avant la concertation citoyenne conduite en 2015 qui a souhaité que les femmes puissent disposer d’uneinformation claire, accessible et documentée pour comprendre les enjeux du dépistage des cancers du sein,le ceNtre HOSPItALIer HeNrI MONDOr avait organisé une consultation spécifique de sénologie.celle-ci réalisée auprès du Dr FONDrINIer, ancien chef de département des centres de Lutte contre lecancer, permet à chaque femme de bénéficier d’une analyse de sa situation, de ses facteurs de risque,des moyens d’y remédier, et des possibilités d’accéder au dépistage sur le Département.

ce n’est que cette information qui permet aux femmes d’exercer pleinement leur libre arbitre.

Quelques chiffres• Le cancer du sein est le plus fréquent et le plus mortel des cancers de la femme.• en France, chaque année, 59 000 nouveaux cas sont détectés et près de 12 000 femmes en décèdent.• 5 ans après le diagnostic et le traitement d’une forme précoce : 99 femmes sur 100 sont toujours. ellesne sont que 26 sur 100 lorsque qu’il est détecté à un stade avancé.• Par ailleurs, chaque année, plus de 10 000 cancers agressifs peuvent être soignés plus tôt grâce au dé-pistage.

Rappel• le dépistage du cancer du sein s’adresse aux femmes de 50 à 74 ans, qui n’ayant pas de sur-risque,peuvent bénéficier gratuitement d’une mammographie, avec une double lecture. comme tout examenmédical, le dépistage présente des bénéfices mais aussi des limites qu’il convient de porter à la connais-sance des femmes afin qu’elles fassent le choix de leur participation en disposant de toutes les informa-tions utiles. L’ensemble de ces points sera abordé lors de la consultation de sénologie.• Si vous avez plus de 50 ans, et n’avez reçu aucune invitation, venez consulter, le médecin vous orien-tera pour que vous puissiez en profiter. • TOuT SigNE doit amener à consulter : rougeur, écoulement, fossette, nodule, etc. • Si vous êtes inquiète d’antécédents personnels & familiaux, il est important que vous veniez en parlerà la consultation de sénologie ; vous pourrez bénéficier si nécessaire d’un suivi spécifique. et d’une consul-tation spécifique de génétique des cancers avec la participation du pr bigNON, qui est le référent régio-nal.

Si vous doutez, consultez !

Le cancer du sein, c’est octobre (rose), mais aussi novembre, décembre, janvier, etc.Venez vous renseigner.

Accès à la consultation de sénologie :•via la maternité : 04 71 46 56 54•via la Fédération : 04 71 46 56 00

CaNCER Du SEiN : SavOiR, pOuR pOuvOiR agiR

quEl ESTvOTRE paRCOuRS ?Je suis natif d’Aurillac, j’ai fait mesétudes au Lycée emile Duclaux etma thèse en Neurochirurgie à l’uni-versité de toulouse. J’ai ensuite étéassistant en cardiologie et en diges-tif pendant 2 ans. en 1991 j’ai fait lechoix de m’installer en tant que mé-decin généraliste à Figeac jusqu’en1998 ; date de mon départ pour les

Antilles où j’ai exercé en tant qu’urgentiste à Saint-barthé-lémy et Saint-Martin. De retour en 2001, je me suis installécomme généraliste à Aurillac puis, en 2016, j’ai été recrutécomme médecin coordonnateur par OrPeA puis par lescités cantaliennes de l’Automne. Depuis le 6 août dernier je suis médecin référent pour lesservices des bruyères, des genêts, de Lurçat et des Fougèresdu centre Jean Vignalou, soit environ 160 patients.

pOuRquOi avEZ-vOuS CHOiSi lE CHHM ?Mon précédent poste de médecin coordonnateur impliquaitbeaucoup de travail administratif. J’ai eu besoin de revenirvers les soins, de travailler en équipe avec des infirmier(e)sdes aides-soignants(e)s. cela fait maintenant deux mois etje suis particulièrement satisfait parce que l’activité est in-tense et intéressante. La prise en charge médicale est plusimportante que ce que j’ai connu sur les eHPAD de ville. Je souhaite souligner aussi le travail formidable réalisé parles équipes et notamment l’excellent accueil que m’ont ré-servé les cadres : mesdames Amélie blachon, edith cournil,Augustine rousset et Delphine rousset. Nous avons mis enplace des rendez-vous : je reçois 2 fois par semaine les fa-milles des résidents afin d’échanger. Progressivement, nousœuvrons à l’optimisation de l’organisation, afin de rédigerdes protocoles visant notamment à permettre plus d’auto-nomie pour les infirmier(e)s. Pour conclure, je précise aussi qu’il est agréablepour moi de travailler au centre Hospitalier HenriMondor car mon épouse, médecin anesthésiste,y propose des consultations et mon fils ainé, mé-decin généraliste, fait des remplacements pourl’Unité d’Hospitalisation de courte Durée.

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DR bRuNO MalafOSSE, pSyCHiaTRE au CHHM DEpuiS lE 1ER juillET 2018

DR jEaN-pHilippE MaRCHaDOugéRiaTRE au CHHM DEpuiS lE 6 aOûT 2018

quEl EST vOTRE paRCOuRS ?J’ai suivi des études de médecineà MONtPeLLIer puis j’ai rejointensuite tOULOUSe pour faire unespécialisation en psychiatrie carj’avais été reçu major de l’internatde la région MIDI-PYreNNee. Pas-

sionné de théâtre et comédien je suis monté à PArIS en 1988pour intégrer l’école de théâtre de Niels Arestrup. Le métierd’artiste étant aléatoire j’ai continué en parallèle de travailleren psychiatrie à l’Hôpital de Ville evrard de 1988 à 1995. Plusprécisément dans le service du Dr DeStAL qui a eu son heurede gloire car il était le Psychiatre de l’émission culte : LOFtStOrY. Durant ces 7 années j’y ai exercé d’abord comme in-terne puis assistant et enfin faisant fonction de PraticienHospitalier. La naissance de nos enfants nous a incités à quit-ter la grisaille parisienne et rejoindre une région au climatplus accueillant. J’ai passé et réussi le concours de PH àtemps partiel sur la région PAcA et obtenu un poste à l’Hô-pital de Pierrefeu du Var et plus précisément à HYereS oùje suis resté jusqu’en 2018. Durant ces 23 ans passés àHYereS j’ai exercé mon métier de Psychiatre dans différentstype de structure d’abord hospitalière en tant que responsa-ble des Urgences Psychiatriques de cHg de HYereS puis entant que co-responsable de la VILLA NOVA structure tempsplein de moyen et long séjour dédié aux Adolescents. J’ai en-suite quitté définitivement l’Hôpital en 2003 pour exercerdurant 10 ans de façon exclusive en tant que psychiatre libé-ral. L’exercice solitaire devenant pesant au fil du temps j’airépondu favorablement à l’ADAPeI-MeDIterrANee qui re-cherchait un psychiatre pour ses structures. Je suis donc de-venu le psychiatre référent de 3 MAS, d’un Foyer de vie etd’un service d’accompagnement médico-social pour adulteshandicapés (SAMSAH), ce qui m’a permis de découvrir le mi-lieu médico-social et de me familiariser au monde du Handi-cap. Durant les 5 années de compagnonnage avecl’ADAPeI-MeDIterrANee j’ai participé activement à une ex-

périence pilote qui a consisté à transférer 40 patients del’Hôpital psychiatrique de PIerreFeU dans une MAS ayantune spécificité pour les handicaps psychiques : la MAS desAcAcIAS. cette opération fut une telle réussite que depuiscette MAS est régulièrement sollicitée par les ArS pour par-tager cette expérience et prendre en charge des cas critiques.

pOuRquOi lE CHHM D’auRillaC ?Mon épouse est originaire du cANtAL et nous avions le désird’y revenir. Nous sommes venus deux fois en vacances etc’est un « coup de cœur » pour une maison qui nous a faitfranchir le pas et changer de vie. J’ai donc cherché un emploiet l’Hôpital d’Aurillac m’a proposé un recrutement. Je suis en poste depuis le 1er juillet dernier, et mon ressentiest excellent. J’ai reçu un très bon accueil de l’ensemble dupersonnel. Je suis ravi de retrouver l’activité du système hos-pitalier et le travail en équipe. J’ai aussi apprécié d’assisterdernièrement, à la sixième journée de la psychiatrie. Personnellement, j’ai exercé durant 10 ans les fonctions deprésident de l’association OrION, qui œuvre dans le repé-rage de la crise suicidaire chez les jeunes. en tant que for-mateur national sur le suicide, je caresse l’idée d’organiserles premières assises Départementale de repérage du sui-cide, un peu sur le même mode de la journée qui vient de sedérouler sur le Psycho-traumatisme.Par le passé, j’ai aussi eu l’occasion de créer une structured’hospitalisation d’adolescents. Accueillir les jeunes de 16 à25 ans en souffrance et leur proposer une prise en chargeme parait un projet intéressant, nous avons donc initié ungroupe de travail, avec le Dr Donnadieu, afin d’explorer lespossibilités de création d’une structure dédiée à cette popu-lation.enfin, je vais repasser le concours de Praticien Hospitalier enFévrier 2019(on perd le titre au bout de 3 ans de non exer-cice à l’Hôpital) ce qui démontre mon souhait de m’impli-quer durablement dans la psychiatrie cantalienne.

Une personne, une fonction

Qualité

ifSi & CH HENRi MONDORuNE COllabORaTiON au SERviCEDE l’ENSEigNEMENT ET DE la qualiTé !

CERTifiCaTiON DES éTabliSSEMENTS DE SaNTé paR la HauTE

auTORiTé DE SaNTé – pROCéDuRE «v2020»

L’élaboration du prochain référentiel est engagée par la HASavec une évolution* des champs d’investigation :- Pilotage qualité/gestion des risques, principes de manage-ment des groupements d’établissements, adaptation auxstructures mixtes sanitaire et médico-sociales ;- Parcours générique du patient (identitovigilance, douleur, in-fectieux, circuit des produits de santé,etc.) ;- 9 activités spécifiques : médecine, chirurgie & intervention-nel (bloc, endoscopie...), maternité & obstétrique, psychiatrieet santé mentale, SSr, ambulatoire (dont CS, télémédecine),HAD, urgences & crises sanitaires & soins non-programmés,soins critiques ;- 6 populations spécifiques (en situation de handicap, géria-trique, atteinte de maladies chroniques, atteinte de cancer,pédiatrique, précarité). - Situations cliniques particulières : AVc, post-partum, chirur-gie bariatrique, insuffisance cardiaque, etc… seront intégréesou développées.A suivre. en parallèle, l’échéance du prochain envoi à la HASrelatif à notre démarche est fixée à Octobre 2019.

au printemps dernier, les étudiants infirmiersde 3ème année ont réalisé une enquête de ter-

rain au sein de l’établissement. Différentes thé-matiques ont été explorées dont une plus

transversale sur le contrôle et la traçabilité duchariot d’urgence dans 21 services.

Merci à l’encadrement et aux équipes pour l’ac-cueil réservé à nos auditeurs en herbe

lors de cet exercice complexe !!

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DéMaRCHES D’aMéliORaTiONquElquES pROjETS :- chariot d’urgence.- Préparation de la certification du don d’organes et de tissuspar la coordination hospitalière du cH.- Actualisation du plan blanc.- Limitation et arrêt de traitements.- gestion du risque suicidaire.- Sécurisation de l’utilisation de l’acide peracétique.- Audits de gestion des médicaments dans les services (1ersem.) et administration des traitements (4ème trim.)- Patient traceur * ville-hôpital Fédération de cancérologie /ArS Occitanie (*méthode d’évaluation d’une Pec). - Patients traceurs dans 6 services (oct.).- PIcc line et MID line.- thérapie à pression négative en HAD.SigNalER lES

évèNEMENTS iNDéSiRablES :chaque professionnel est incité à signaler desévènements susceptibles d’induire des dom-mages aux patients. Pour rappel, une charte si-gnée par la Direction et l’encadrement desservices est diffusée en ce sens. Par ailleurs,certains types d’évènements font l’objet d’uneobligation de déclaration (cf. code de la santépublique).Les évènements peuvent faire l’objet d’uneanalyse au sein du service / pôle, ou à un ni-veau institutionnel s’ils ont été priorisés, etdes actions d’amélioration en sont déduites.L’intérêt d’utiliser des méthodes visant à réali-ser une analyse « systématique » (rMM, crex)est que l’éventuelle erreur humaine ne consti-tue qu’un des éléments d’investigation. Sonten effet pris en compte les facteurs liés au pa-tient, aux tâches à accomplir, liés aux profes-sionnels (f. individuels), liés aufonctionnement de l'équipe, à l'organisationet au management, et au contexte institution-nel. Plus le nombre de signalements sera importantet plus le temps consacré par les profession-nels à ce travail d’analyse sera utile pour laqualité de la prise en charge du patient ; maiségalement pour les professionnels, l’objectifétant d’éviter que les situations ne se reprodui-sent.

DOCuMENTaTiONDERNièRES pROCéDuRES DiffuSéES :- Antisepsie de la peau saine avant un acte inva-sif (V3)- endoscopie – surveillance de la qualité micro-biologique des endoscopes à canaux (V2)- Protocole d’utilisation de la chirocaïne pouranalgésie post-opératoire sur cathéter de péri-durale (V2)- SAUV gestion de la salle d’accueil des urgencesvitales - Manuel de prélèvement et catalogue des exa-mens (V5)

À l’initiative de M. antonELLo, Directeur des soins, les 1ères rencontres interprofessionnelles se sont tenues le 25/9 dernier. Ce ne sont pas moins de 26 équipes qui ont présenté leurs activités. Merci aux services qui ont contribuéà l’organisation de cette journée et bravo pour l’investissement de chacun !

Zoom sur...

l E S R E N C O N T R E S

Anesthésie-blocLa communication hypnotique et les différentes voies veineuses

Médecine internePrise en charge de l’AVC

Prof. d’activités phys. adaptéesFormation détente et exercicesd’échauffement

commission des UsagersInformation

ImagerieLe scanner

Médecine interneRéseaux Neurosepet NeuroAVC

LaboratoireOuverture à la Médecine de ville

Les genêts - LurçatPillier de l’HumanitudeLieu de vie, lieu d’envie !

DermatologiePlaies et cicatrisations

cPOtInfo sur les dons d’organes

environnementUn hôpital éco-responsable

groupe de rééducateursL’autonomie en gériatrie

PsychiatrieSport adapté

Psychiatrie et pédopsychiatrieOutils de médiation

Pôle santé publiquePrésentation du Pôle

Pool de courte duréePrésentation du Pool

À l’initiative de M. antonELLo, Directeur des soins, les 1ères rencontres interprofessionnelles se sont tenues le 25/9 dernier. Ce ne sont pas moins de 26 équipes qui ont présenté leurs activités. Merci aux services qui ont contribuéà l’organisation de cette journée et bravo pour l’investissement de chacun !

Zoom sur...

l E S R E N C O N T R E S H E N R i M O N D O R

commission des UsagersInformation

Service communicationLa Commmunication à l’hôpital,c’est quoi ?

Médecine interneLes troubles de la déglutition

Les genêts - LurçatPillier de l’HumanitudeLieu de vie, lieu d’envie !

Médecine interneNeurologie Laboratoire d’exploration fonctionelle

OrLExplorations fonctionnelles

groupe de rééducateursL’autonomie en gériatrie

Fédération de cancérologie& PharmacieCancer et préparation des chimiothérapies

IFSITravaux des 3èmes années

Pool de courte duréePrésentation du Pool

LaboritIdées usées sur le suicide

UcSAActivités de soins à la Maison d’arrêt

La personne qui se rend au cMP est reçue parla secrétaire qui fait une 1ère évaluation de lademande et peut orienter sur d’autres struc-tures si ce n’est pas une indication de soins psy-chiatriques. Puis un entretien d’accueil est proposé soitdans l’instant soit programmé rapidement (aumaximum quelques jours) si l’infirmier de per-manence est déjà occupé.

Le temps d’accueil est un outil primordial car ilpermet d’instaurer une écoute et un démêlagedes problématiques avec recueil des signes cli-niques et des besoins jusqu’à une ébauchediagnostique. c’est un réceptacle et un espacedépositaire de la souffrance dans une rencon-tre singulière.Puis une réunion d’orientation hebdomadaireavec toute l’équipe a lieu pour discuter de tous

les accueils reçus et élabo-rer des propositions de

soins ajustées pour chaque individu rencontré.

Pour certaines personnes l’accueil suffira etpour d’autres des soins seront proposées :- consultations psychiatriques- Suivis psychologiques (psychothérapie, desoutien, etc…)- Soins infirmiers : visites à domicile, entretiens,suivis de traitement, injections, démarches,- accompagnements, liens avec les institutions

Orientation vers d’autres professionnels :

. de la psychiatrie comme lesrelaxologues, les assistantssociaux, cAttP, etc…. de l’hôpital comme l’addic-tologie, la Permanence d’Ac-cès aux Soins de Santé(PASS), la consultation dou-

leur, le pôle obésité, etc…. dans la cité : . les libéraux (psychologues, psychiatres, mé-decins traitants, ostéopathes, sophrologues,etc…). les structures et associations telles que l’Aideaux victimes, le groupe d’entraide Mutuelle(geM), la Maison des Ados, les centres sociaux,etc…

Le centre Médico Psychologique Intersecto-riel du centre Hospitalier d’Aurillac est enplace depuis le 20 juin 2011. Il occupe deslocaux rénovés (anciens locaux de la DDASS)à l’entrée de l’établissement sur la droite(entrée face à la conciergerie).

Le Centre Médico-Psychologique,c’est quoi ?

c’est une structure d’accueil, de consulta-tions psychologiques, psychiatriques et desoins ambulatoires des secteurs 1 et 2 depsychiatrie adulte, mise à disposition de lapopulation.

Ses missions principales :• Accueil et écoute • Prévention - diagnostic• evaluation, orientation et suivi spécialisésectorisé par une équipe pluridisciplinaire(au cMP et à domicile)• coordination intra et extra hospitalièredans les deux secteurs de psychiatrie adulte• travail en réseau médico-social

Le cMP poursuit en outre un objectif géné-ral de maintien du patient dans son envi-ronnement, de prévention des rechutes etdes hospitalisations.

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lE CENTRE MéDiCO-pSyCHOlOgiquE iNTERSECTORiEl Du CENTRE HOSpiTaliER D’auRillaCLa vie des services

Le suivi des patients à domicile et au CMP- La fréquence varie en fonction de l’état du patient, de la prescription médicale du psychiatreet de l’évaluation faite par l’infirmier.- certains patients peuvent être vus de façon quotidienne, hebdomadaire, mensuelle, trimes-trielle.- La relation avec le patient est basée sur la confiance et l’échange.- Les visites à domicile sont indiquées également en programme de soins.- Il s’agit d’évaluer l’état du patient, les signes de rechute, favoriser l’observance du traitement,faciliter l’expression, la compréhension, l’acceptation des difficultés du patient.

Les soins ambulatoires et le travail de secteur- Actes de soins : Préparation du traitement, injections, prise de constantes, entretiens infir-miers à visée psychothérapeutique. relation d’aide et accompagnement.Secteur :- travail d’accueil, de prévention, de dépistage, de diagnostic, de suivi, maintien à domicile,de réhabilitation en articulation avec les autres structures de soins.- travail d’équipe pluridisciplinaire composée de psychiatres, psychologue, secrétaire, assis-tantes sociales, ergothérapeutes, relaxologues, infirmiers, infirmiers sport adapté.

Les cMP sont intégrés dans le dispositif desoins de la psychiatrie et dans l’idée fonda-trice du service public. La psychiatrie est or-ganisée en secteurs géographiques(circulaire du 14 mars 1990) avec la volontéde pouvoir traiter le plus tôt possible le pa-tient dans son cadre de vie et le maintenirdans le tissu social et la cité. c’est pour-quoi, dans le cantal, nous avons plusieurscMP attenants aux différents hôpitaux.Pour le centre hospitalier Henri Mondor, ily a le cMP de Maurs, celui de Mauriac etcelui d’Aurillac qui englobe 2 secteurs géo-graphiques du bassin de population d’Aurillac.

Comment se déroule l’accueil des personnes au CMP ?

La personne qui se rend au cMP est reçue parla secrétaire qui fait une 1ère évaluation de lademande et peut orienter sur d’autres struc-tures si ce n’est pas une indication de soins psy-chiatriques. Puis un entretien d’accueil est proposé soitdans l’instant soit programmé rapidement (aumaximum quelques jours) si l’infirmier de per-manence est déjà occupé.

Le temps d’accueil est un outil primordial car ilpermet d’instaurer une écoute et un démêlagedes problématiques avec recueil des signes cli-niques et des besoins jusqu’à une ébauchediagnostique. c’est un réceptacle et un espacedépositaire de la souffrance dans une rencon-tre singulière.Puis une réunion d’orientation hebdomadaireavec toute l’équipe a lieu pour discuter de tous

les accueils reçus et élabo-rer des propositions de

soins ajustées pour chaque individu rencontré.

Pour certaines personnes l’accueil suffira etpour d’autres des soins seront proposées :- consultations psychiatriques- Suivis psychologiques (psychothérapie, desoutien, etc…)- Soins infirmiers : visites à domicile, entretiens,suivis de traitement, injections, démarches,- accompagnements, liens avec les institutions

Orientation vers d’autres professionnels :

. de la psychiatrie comme lesrelaxologues, les assistantssociaux, cAttP, etc…. de l’hôpital comme l’addic-tologie, la Permanence d’Ac-cès aux Soins de Santé(PASS), la consultation dou-

leur, le pôle obésité, etc…. dans la cité : . les libéraux (psychologues, psychiatres, mé-decins traitants, ostéopathes, sophrologues,etc…). les structures et associations telles que l’Aideaux victimes, le groupe d’entraide Mutuelle(geM), la Maison des Ados, les centres sociaux,etc…

Nous contacter

Le cMP est situé 50 avenue de la république Ouvert toute l’année du lundi au vendredi Permanence d’accueil et ouverture au public : 9h à 12h30 et de 14h à 17hSecrétariat : 04 71 46 56 56 poste 34600 ou au 04 71 46 47 66 ligne directe Fax : 04 71 46 47 78

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lE CENTRE MéDiCO-pSyCHOlOgiquE iNTERSECTORiEl Du CENTRE HOSpiTaliER D’auRillaC

Le suivi des patients à domicile et au CMP- La fréquence varie en fonction de l’état du patient, de la prescription médicale du psychiatreet de l’évaluation faite par l’infirmier.- certains patients peuvent être vus de façon quotidienne, hebdomadaire, mensuelle, trimes-trielle.- La relation avec le patient est basée sur la confiance et l’échange.- Les visites à domicile sont indiquées également en programme de soins.- Il s’agit d’évaluer l’état du patient, les signes de rechute, favoriser l’observance du traitement,faciliter l’expression, la compréhension, l’acceptation des difficultés du patient.

Les soins ambulatoires et le travail de secteur- Actes de soins : Préparation du traitement, injections, prise de constantes, entretiens infir-miers à visée psychothérapeutique. relation d’aide et accompagnement.Secteur :- travail d’accueil, de prévention, de dépistage, de diagnostic, de suivi, maintien à domicile,de réhabilitation en articulation avec les autres structures de soins.- travail d’équipe pluridisciplinaire composée de psychiatres, psychologue, secrétaire, assis-tantes sociales, ergothérapeutes, relaxologues, infirmiers, infirmiers sport adapté.

Comment se déroule l’accueil des personnes au CMP ?

C’est au volant d’une petite voiture électrique queles enfants hospitalisés en pédiatrie peuvent désormais se rendre au Bloc opératoire.

en effet, cette voiture a été achetée grâce à l’asso-ciation de pédiatrie L’éveil des enfants hospitalisés,créée en 1992. cette association, à laquelle adhèrel’ensemble des personnels du service de pédiatrieest financée par divers dons et contribue à l’amé-lioration du séjour des enfants hospitalisés.

cette dernière acquisition a pour objectif de dédramatiser des situations éventuelles de stresspour les enfants ainsi que pour leurs parents. Il s’agit d’améliorer le séjour de l’enfant, cela s’ins-crit dans la philosophie de ce service de pédiatrie,unique dans le département : introduire la distrac-tion au coeur du soin pour adoucir la prise encharge. D’autres outils sont utilisés : une tablette,des pommades anesthésiantes, le Meopa (gaz mé-dical euphorisant), etc. enfin, certains personnelspratiquent l’hypnose, le massage, pour lesquels ilsont bénéficié de formations. c’est donc avec le sourire aux lèvres que les enfants quittent dorénavant papa et maman pourse rendre au bloc.

bravo aux équipes du service de pédiatrie pour cette belle initiative !

EN ROuTE pOuR lE blOC OpéRaTOiRE!

La vie des services

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Dans le cadre de la Semaine du goût, du 08 au 14 Octobre2018, le service restauration a proposé une animationdans le Hall de l'eMc, le jeudi 11 octobre : une dégusta-tion de truffade/saucisse façon mise en bouche, avec desproduits issus d'Agrilocal.De même, un menu 100% Agrilocal a été proposé aux pa-tients et aux clients du self ce jour-là et la recette de latruffade publiée dans le livret national d'Agrilocal, leur aété distribuée.La veille, 2 cuisiniers du service de restauration sont allésanimer des ateliers pâtisserie en pédopsychiatrie, sur lesite de cueilhes.

Les enfants et adolescents du Pôle de Psychiatrie InfantoJuvénile ont accueilli le Mercredi 10 octobre 2018 deuxcuisiniers du centre Hospitalier d’Aurillac afin de réaliseravec eux des ateliers culinaires. cette rencontre avec des cuisiniers professionnels a per-mis de transmettre aux enfants un savoir-faire et la dé-couverte de nouvelles saveurs. ces moments d’échanges autour d’un outil de médiationthérapeutique par « La cuisine » se sont concrétisés parla réalisation d’un tiramisu au Nutella. ce projet a ravi les papilles des enfants qui ont d’ores etdéjà sollicité les cuisiniers du centre Hospitalier pour par-tager une nouvelle expérience gustative.

Coralie MaUrY Cadre socio-éducatifManon BELUFFI Psychologue

Pôle de Psychiatrie Infanto Juvénile

Les journées obésitéEnviron 105 à 120 patients sont hospitali-sés en hôpital de jour. Deux journées sontproposées dans la semaine : mardi ou jeudi,de 7h30 à 17h30 - 18h. ces journées per-mettent d'avoir un bilan complet et l’accèsà de nombreuses consultations.L’inscription aux journées :pour qui ? Patients de 18 à 75 ans, ayant euun IMc > ou = 35les prescripteurs : médecin traitant ou pro-fessionnels de l’équipe (Médecin responsa-ble de la journée, Médecin généraliste,Diététicien, educateur sportif, Psychologue,Spécialiste du cH …)Où s’adresser ? Au secrétariat de l’Hôpital

de Jour des médecines. Tél. 0471465661Déroulement d’une journée :Il est procédé à une prise de sang et desconsultations sont proposées avec diffé-rents professionnels de santé : diététi-cienne, pneumologue, cardiologue,gastro-entérologue, éducateur sportif, psy-chologue, médecin responsable de la jour-née. En fin d’après-midi est organisée une Réu-nion de Concertation pluri-professionelle(rcP) avec le médecin-endocrinologue,l’éducateur sportif, la psychologue, la diété-ticienne et le chirurgien bariatrique afin deproposer au patient des différentes prisesen charge possibles : - si une chirurgie n’est pas demandée : suivipluridisciplinaire, - en cas de demande de chirurgie : selon lesrecommandations de l’HAS, suivi pluridisci-plinaire par l’équipe du cH pendant aumoins 6 mois, puis une 2ème rcP se réunirapour accorder ou non la chirurgie, possibi-lité de repasser en 3ème rcP si refus lors dela seconde.

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L'ouverture en janvier 2011 de cette unité s'inscrit dans une dynamique nationale, en accord avec cesdifférentes publications, notamment le Plan national nutrition Santé (PnnS) puis le Plan national obé-sité. Le centre Hospitalier est signataire en 2013 d'une Convention pour une Charte de bonnes pratiquesavec le CSo CaLorIS (Centre Spécialisé de l'obésité auvergnat). tous les membres de l'Unité obésitédu Centre Hospitalier Henri Mondor d'aurillac ont également été formés lors d'une "formation initialeCaLorIS ».

Quelques chiffresLa prévalence de l'obésité en Auvergne est proche dela moyenne nationale à 14,4%, la moyenne nationaleétant à 15% (enquête ObePI 2012). Pour la populationtotale, d'après cette même enquête en 2012, près dela moitié de la population totale soit 47,3% est en sur-poids ou obèse. le nombre de personnes obèses enfrance a doublé ces 30 dernières années.Pour le département du cantal qui compte environ 150 000 habitants, on peut estimer la population obèseà environ 21 600 personnes.

Prise en charge de l’obésité pour les enfantsDepuis Avril 2017, une prise en charge du surpoids-obésité pédiatrique a été créée, sur le même modèleque celle des adultes.- Lors de la journée, prise de sang puis consultations :pédiatre / diététicienne / éducateur sportif et psycho-logue- Proposition de suivi pluridisciplinaire sur 2 ans : médical, sportif, psychologue et diététique + ateliersdiététiques en groupe

l’uNiTé ObéSiTéDu CENTRE HOSpiTaliER

La vie des services

EN ROuTE pOuR lE blOC OpéRaTOiRE!

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M. Fortin, résident des Genêts, tientà partager, avec les agents hospita-liers, sa fierté de pouvoir se déplaceravec un scooter électrique.

Il témoigne :« A la suite d’une artériopathie desmembres inférieurs, je suis à l’hôpitald’Aurillac depuis le mois de mars 2017.Je suis allé dans les services de chirur-gie, à Picasso, Les Genêts puis la chi-rurgie et à nouveau les Genêts. J’ai euune première amputation des cinq or-teils droits qui ont mis 1 an à cicatriserpuis, le pied gauche a pris la relève etj’ai été amputé d’un orteil.J’ai eu un fauteuil roulant manuel audébut, puis un fauteuil roulantconfort. Sur proposition de l’ergothé-rapeute, je suis dorénavant proprié-

taire d’un scooter électrique, qui esttrès pratique car les commandes sontmanuelles. Pendant quelques mois j’aipu l’essayer grâce au prêt d’un reven-deur médical, puis je suis passé encommission devant le médecin réédu-cateur. ce scooter m’apporte du bien êtrepour me déplacer. Au début dans lescouloirs et maintenant je sors avec mafille à l’extérieur dans l’enceinte ducentre hospitalier et j’ai également faitune sortie en ville.»

M Georges FortIn

TéMOigNagE : M. fORTiN, paTiENT aux GEnêtS

La vie des servicesauRéliEN iSSERTES, NOuvEl iNgéNiEuR aux SERviCES TECHNiquES

quEl EST vOTRE paRCOuRS ?J’ai une formation initiale dans le do-maine de l’environnement avec no-tamment une formation que j’ai suivi àl’IUt d’Aurillac. J’ai ensuite été recrutépar la communauté d’Agglomérationdu bassin d’Aurillac où j’ai exercé diffé-rentes fonctions. tout d’abord, j’ai tra-vaillé au service du Systèmed’Information géographique où j’étaisen charge de la modélisation informa-tique du réseau d’eau potable de lacAbA. Après un passage à la mairie deriom dans le Puy de Dôme où je m’oc-cupais des projets d’aménagement devoirie sur le territoire de la commu-nauté de commune, j’ai pris la respon-sabilité du bureau d’étude de lacommunauté d’Agglomération du bas-sin d’Aurillac spécialisé dans les com-pétences eau et assainissement. Puisen 2009, j’ai souhaité me rapprocherdu Lot dont je suis originaire et parti-culièrement de Sousceyrac où j’habite.J’ai donc pris la direction des servicestechniques de la ville de Saint-céré. J’aisouhaité aussi intégrer une structure àtaille humaine permettant des déci-sions plus rapides et développer mescompétences sur des domaines plusvariés. en contrepartie, j’avais la charge

de la voirie, des bâtiments, des équi-pements sportifs, des équipementsscolaires, de la production et distribu-tion de l’eau potable, de la collecte etdu traitement des eaux usées maisaussi des espaces verts et des travauxd’investissement dans tous ces do-maines. rapidement, ma fonction aétait intégrée dans la communauté decommunes où j’intervenais en appuitechnique. Dans le cadre de l’évolutiondes territoires suite à la loi Notre, le 1er

janvier 2017 j’ai été recruté par lacommunauté de communes causseset Vallée de la Dordogne comprenant79 communes et 47 000 habitants.Mes responsabilités ont évoluées caren plus de la voirie, des bâtiments, j’aipris en charge la gestion des orduresménagères et du service public d’assai-nissement non collectif mais aussid’un réseau de chaleur tout en portantles projets de développement durable.

pOuRquOi avOiR CHOiSi lE CHHM ?J’ai été recruté au cHHM depuis le 10septembre dernier en tant qu’ingé-nieur travaux. J’ai eu la volonté de re-venir à un métier plus technique,quitter l’aspect politique parfois tropprégnant sur ce type de fonction. etpuis, j’ai eu envie de découvrir le milieuhospitalier, la rigueur et l’exigence né-cessaires dans ce secteur qui corres-pondent parfaitement à ma manièred’appréhender le travail. c’est une mis-sion de la fonction publique différente

de ce que j’ai pu connaître mais quim’intéresse. revenir sur Aurillac estégalement un choix de cœur car j’aimecette ville. cette opportunité m’offreune remise en question profession-nelle. Je suis ingénieur en charge destravaux neufs sur le centre HospitalierHenri Mondor d’Aurillac, mais j’inter-viens aussi en appui technique sur legroupement Hospitalier de territoire.J’ai un adjoint travaux en la personnede gilles Severac qui de par sa connais-sance de l’hôpital m’apporte une aideprécieuse. Nous travaillons en collabo-ration étroite et fine et les dossierssont nombreux : le Plateau technique,la phase e de la restructuration du cen-tre Jean Vignalou, les travaux de l’IFSI,la reprise des désordres sur les cui-sines, etc. Mon implication dans legroupement Hospitalier de territoirem’encourage à voir les choses de ma-nière collective, avec pour seul intérêt,les publics accueillis avec un traite-ment égalitaire pour tous. Mon expé-rience en tant que Directeur deServices techniques communaux ouintercommunaux me permet d’inté-grer dès la conception d’un projet l’as-pect maintenance de l’équipement enassociation avec Nicolas Lacroix, ingé-nieur en charge de la maintenance auxservices techniques, et ses équipes. Je souhaite m’intégrer rapidement ausein des équipes hospitalières pourpartager, collaborer, échanger, planifieret programmer les travaux.

évènements

en bref

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MOiS SaNS TabaC

Dans le cadre du Mois sans tabac, lecentre hospitalier diffuse des docu-ments d’information, auprès des per-sonnels et du public, proposés par leMinistère de la santé et l’assurance ma-ladie.Parce que décider d'arrêter de fumer,c'est déjà très bien, mais s'inscrire à#MoisSanstabac, c'est encore mieux.

cela vous permettra gratuitement : - De profiter de nos outils : le Kit d'aideà l'arrêt et la valise du participant.- De bénéficer d’un accompagnementpar mail pour vous préparer et vousaider tout au long du mois.- De mettre toutes les chances de votrecôté grâce notamment à l'appli e-coa-ching et à la communauté Facebook

Louison BREUIL 03/04/2018 SALIES Stéphanie Assistant Régul. Médicale SAMU

Maïly LE ROI 15/05/2018 MORVAN Emilie Infirmière Urgences

Clément PIENCZYKOWSKI 19/05/2018 PIENCZYKOWSKI Camille Infirmière Réanimation

Thaïs GIBIAT VORS 09/06/2018 VORS Laura Adjoint Adminitratif ORL

Louise THEIS 10/06/2018THEIS Clément

AYRAULT Sandrainfectiologue

PédiatreMédecine interne

Femme enfant

Marius ISOULET 17/06/2018 LACROIX Claire Infirmière Cardiologie

Théa LAROQUE 15/05/2018 ANDRIEU Laura Adjoint Adminitratif Service Economique

Maël FOURCADE 22/06/2018 VERNET Lauriane Infirmière LaboritIvan KOLEV 17/07/2018 Gergana ZHEKOVA-KOLEV Psychiatre Psychiatrie secteur 1

Joris BOILEAU 07/07/2018 BOILEAU Frédéric Ouvrier Principal Services techniques

Eden FOUR 02/07/2018 LAFON Charlotte Agent des Sces Hospitaliers Brancardage

Arya GEORGES 22/07/2018 GEORGES Aurélien Agent Entretien Qualifié Cuisines

Gabin FONTANIE 30/06/2018 FONTANIE Emilie Infirmière Médecine B

Lana MARTIN 31/07/2018 DELPUECH Karine Agent des Sces Hospitaliers Médecine C

Emy TERRAIL 02/08/2018 VIGIER Gaëlle Aide Soignante Réanimation

Nino MAX 25/04/2018 MAX Marion Infirmière Réanimation

Raphaël FILLON 06/07/2018 TOURNIER Camille Infirmière Cardiologie

Annaelle DESPRAT 27/06/2018 BERTRAND Céline Aide Soignante Les Bruyères

Valentine GAILLARD 15/08/2018 FRESCAL Laetitia Infirmière Broussais

Luiz CAPSENROUX 24/03/2018 LAROUSSINIE Caroline Infirmière Chirurgie B

Maxime ABDALLAH 10/09/2018 Wael ABDALLAH Chirurgien Chirurgie digestive

Albane JEAN-BAPTISTE 13/09/2018 VIARS Mélanie Sage-femme Maternité

PIGEON Antonin / 26/08/2017 Infirmier Claude BernardGLEYAL Audrey CANET 10/02/2018 Auxiliaire Puériculture Médecine C

MORLET Vanessa LAVIGNE 02/06/2018 Auxiliaire Puériculture CrècheCLAMAGIRAND Aurore LEFEBVRE 23/06/2018 Infirmière Médecine Interne

OLIVIER Elsa ROCAZEL 07/07/2018 Infirmière Personnel de NuitVIARS Stéphanie PERRET 21/07/2018 Aide Soignante Cardiologie

VEYRIERES Marilyn MAGNE 25/08/2018 Agent des Sces Hospi. Les BruyèresPALHES Louise BONHOURE 25/08/2018 Infirmière Méd. Interne

MaRiagES

NaiSSaNCES

CONféRENCE-SpECTaClEressentir l’amour de la vie, la joie dansnotre existence. Avoir une vision opti-miste, voire drôle de notre vie sur terre.Une façon de dédramatiser nos traver-sées douloureuses de terrien par unautre regard sur la vie. ce spectacle phi-losophique et poétique a été proposé authéâtre le 18/10 dernier.Plus d’infos sur les prochaines dates :http://sandrameunier.com/spectacle-

merci-detre-venue/

ContaCt Centre Hospitalier

addictologie (Tabac-alcool-

drogues)04 71 46 47 87

poste 34666

> lES ESpaCES vERTS

Charte de l’arbre Sa rédaction est en cours.Les objectifs sont de :- valoriser les effets de la végétation sur la santé hu-maine,- comprendre l’intérêt de l’arbre en ville,- démontrer les vertus de l’arbre (biodiversité soclepour la faune et flore, pilier du sol, anti-pollution aé-rien et racinaire, climatiseur naturel).

Meilleure gestion de la tonte :Plutôt que de tondre 100 % d’un espace vert, l’idéeserait plutôt d’en tondre 25 % et de convertir 75% enprairie fauchée ou fleurie,

projets d’aménagements :- au niveau de l’entrée principale du centre Vignalou, - aménagement des espaces verts de l’ IFSI,- réaménagement du jardin à côté du parking de laDirection,- éclairage de l’allée centrale,- création de places de parking.

Réalisé :Plantation de 14 arbres à laMAS de cUeILHeS.

> DéCHETS

installation d’un Déshydrateur de déchetscette solution déjà utilisé par certains hôpitaux pré-sente l’avantage de traiter les déchets en 20 heures.Le déchet devient un fertilisant ou un engrais pourl’entretien d’espace vert par exemple.

Déchets alimentaires :- étude pour éviter le gaspillage. Définir s’il y a une saisonnalité dans les repas pris auself. Définir la quantité de nourriture qui part auxdéchets.: mise en place d’une pesée un jour donnéafin d’évaluer les denrées les plus jetées (saisonna-lité, quantité et coût)

- suppression des barquettes en plastique ;

- réflexion pour la mise en place dedoggy-bag pour la récupération dedenrées alimentaires non consom-mées par l’utilisateur.

- Suite à la mise en place du gâchimètre et d’une enquête au self : valorisation des déchetsde pain (nourriture ani-male) et déplacement desa localisation au self afinque les utilisateurs se ser-vent en pain en fonctiondes plats qu’ils ont pris.

- instaurer un tri des dé-chets au niveau du self

- développer la filière agrilocal

bourse de recyclage en interne création d’une vente au personnel dematériels présentés sur le menu dé-roulant Matrix (revenu reversé auxservices pour financement d’anima-tions patients)

Le saviez

vous...

chaque jour,350 à 400 kgde nourriture sont misen ordure ménagère àl’hôpital.

?

L’hôpital agit pour l’environnementLes projets