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Gazette Syndicale n° 15 – Avril 2011 L LA A G GA AZ Z E ET TT TE E S S Y YN ND DI IC C A AL LE E Numéro 15 Avril 2011 ノditorial Nous voilà en devenir Américains, l’impérialisme des « GE » débarque dans notre « Convert- land », sans que nous n’ayons réellement mots à dire. Comme toujours dans cette société, le temps étant synonyme d’argent, nous ne pouvons que déplorer la rapidité de ce deal et n’être qu’écœurés par l’arrogance de nos dirigeants cherchant à tout prix à nous bâillonner et faire taire nos inquiétudes jusqu'à un juteux closing « monétaire » alors qu’eux s’autorisent à pavoiser allègrement dans des encarts médiatiques, se glosant de leur ascension idyllique. Malaise d’une situation où nous nous sentons n’être que des pions d’un échiquier où les fous du roi tentent de nous faire avaler la pilule « d’amphétamine ». Nous reviendrons aussi sur la mascarade des formations, le bilan 2010 est loin d’être à la hauteur de nos attentes, celui de 2011 s’annonce dans la même lignée…inexistantes. Il y a un mois que des pseudos consultations hebdomadaires avec des élus du CCE ont été déclenchées sous le couvert d’une rédhibitoire confidentialité bien pesante à certains égards car nous mettant dans l’incapacité de partager nos inquiétudes avec vous, tous salariés sur cette jusque là insoupçonnée cession d’activité. Aucun échange possible, et même avec une Direction bien hermétique à nous transmettre documents plans et projets que nous devrions être en droit de pouvoir consulter : « le silence est d’or » et la parole est d’argent quand nous tentons d’avoir des informations sur notre inconnue future pérennité sociale . A les écouter tout sera donc merveilleux noyé dans le géant conglomérat Américain, là ou avant d’après nos élites, nous devions être fiers d’êtres indépendants , capitalisés par des financiers et sûrs de ne pas être dilapidés par un industriel. Dorénavant, il faut s’allier d’urgence à une grande puissance pour sauver notre avenir assombri par des affaires que nous avons acceptées sans avoir les moyens de les réaliser. Et c’est là que le bât blesse, alors qu'à une certaine époque nous avions étés sous évalués financièrement durant la séparation d’avec Alsthom. La deuxième vente et le nouveau montage LBO avaient montré une surestimation du prix de cession, le capital couché sur le papier était fantasmagorique vu la réalité du terrain et de ce que nous valions vraiment en investissement humain et financier. Nous en sommes au même point 3 ans après, nos responsables n’ont été capables que de restrictions budgétaires et de régimes forcés qui ont mis à mal très sérieusement nos capacités de production, d’évolutions techniques et de certifications et surtout une chute de la qualité catastrophique et abyssale . Mais voilà aucun enseignement tiré, le prix de vente 2011 dépasse encore celui de 2008. Ces sommes astronomiques ne représentent pas, loin de là, ce que nous valons réellement, même si notre but est de ne pas sous-évaluer nos capacités personnelles et techniques qui même amoindries sont toujours là. Vous apprécierez vous-mêmes le décalage flagrant entre ce que l’on KETCHUP & MARMELADE « Tris-te » repetita, voilà revenu le temps de la vente : comme nous l’avions toujours dénoncé, la politique du court terme arrive à sa fin, et comme la faim justifie les moyens, ketchup et marmelade vont pimenter notre pain quotidien. Sûrement qu'après un régime minceur Converteam, aurons-nous droit aux régimes compléments alimentaires minceurs ''Weight Watchers''

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Gazette Syndicale n° 15 – Avril 2011

LLAA GGAAZZEETTTTEE SSYYNNDDIICCAALLEE

Numéro 15 Avril 2011

ÉditorialNous voilà en devenir Américains, l’impérialisme des « GE » débarque dans notre « Convert-land », sans que nous n’ayons réellement mots à dire.Comme toujours dans cette société, le temps étant synonyme d’argent, nous ne pouvons quedéplorer la rapidité de ce deal et n’être qu’écœurés par l’arrogance de nos dirigeants cherchant àtout prix à nous bâillonner et faire taire nos inquiétudes jusqu'à un juteux closing « monétaire »alors qu’eux s’autorisent à pavoiser allègrement dans des encarts médiatiques, se glosant de leurascension idyllique. Malaise d’une situation où nous nous sentons n’être que des pions d’unéchiquier où les fous du roi tentent de nous faire avaler la pilule « d’amphétamine ». Nousreviendrons aussi sur la mascarade des formations, le bilan 2010 est loin d’être à la hauteur denos attentes, celui de 2011 s’annonce dans la même lignée…inexistantes.

Il y a un mois que des pseudos consultations hebdomadaires avec des élus du CCE ont étédéclenchées sous le couvert d’une rédhibitoire confidentialité bien pesante à certains égards carnous mettant dans l’incapacité de partager nos inquiétudes avec vous, tous salariés sur cettejusque là insoupçonnée cession d’activité.Aucun échange possible, et même avec une Direction bien hermétique à nous transmettredocuments plans et projets que nous devrions être en droit de pouvoir consulter : « le silence estd’or » et la parole est d’argent quand nous tentons d’avoir des informations sur notre inconnuefuture pérennité sociale .A les écouter tout sera donc merveilleux noyé dans le géant conglomérat Américain, là ou avantd’après nos élites, nous devions être fiers d’êtres indépendants, capitalisés par des financierset sûrs de ne pas être dilapidés par un industriel. Dorénavant, il faut s’allier d’urgence à unegrande puissance pour sauver notre avenir assombri par des affaires que nous avons acceptéessans avoir les moyens de les réaliser. Et c’est là que le bât blesse, alors qu'à une certaine époquenous avions étés sous évalués financièrement durant la séparation d’avec Alsthom. La deuxièmevente et le nouveau montage LBO avaient montré une surestimation du prix de cession, lecapital couché sur le papier était fantasmagorique vu la réalité du terrain et de ce que nousvalions vraiment en investissement humain et financier.Nous en sommes au même point 3 ans après, nos responsables n’ont été capables que derestrictions budgétaires et de régimes forcés qui ont mis à mal très sérieusement nos capacités deproduction, d’évolutions techniques et de certifications et surtout une chute de la qualitécatastrophique et abyssale.Mais voilà aucun enseignement tiré, le prix de vente 2011 dépasse encore celui de 2008. Cessommes astronomiques ne représentent pas, loin de là, ce que nous valons réellement, même sinotre but est de ne pas sous-évaluer nos capacités personnelles et techniques qui mêmeamoindries sont toujours là. Vous apprécierez vous-mêmes le décalage flagrant entre ce que l’on

KETCHUP & MARMELADE« Tris-te » repetita, voilà revenu le temps de la vente : commenous l’avions toujours dénoncé, la politique du court terme arriveà sa fin, et comme la faim justifie les moyens, ketchup etmarmelade vont pimenter notre pain quotidien. Sûrement qu'aprèsun régime minceur Converteam, aurons-nous droit aux régimescompléments alimentaires minceurs ''Weight Watchers''

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gagne et ce que l’on semble leur faire gagner et l’amateurisme composé de " bric et de broc "dans lequel nous sommes en train de plonger.Aucune garantie ne nous est promise sur le long terme au niveau de l’emploi en France, justedes ‘’ promesses ‘’ de progressions phénoménales dans la branche GE Energy pas encore tropchargée en fruits, courbes d’ascensions qui semblent suivre les mêmes travées des financiersd’antan, des allusions au projet de construction d’une grande « Usine » à Drive , mais dansquel coin du globe ? Des embauches à profusion : mais dans quel Etat : immergeant ouémergeant ? Point de réponses. Les négociations avec la direction afin d’obtenir l’avis des éluscoûte que coûte, n’auront permis que 35 embauches dans l’entité SEMEA et le largage d’uneprime d’intéressement élargie, dont nous devons nous réjouir.Les 9 commandements « exigeant » le silence, infligés par notre Direction ne sont queprovocations, il est temps justement d’un vrai dialogue entre nos acheteurs, nos vendeurs etnous. La manipulation des discours ne passent plus, vu la décontraction habituelle quant àl’écoute de nos revendications. Si Messieurs P.Bastid et F.Battistella, cotés respectivement 400et 200 Millions d’€uros à la vente (Source Challenge) veulent encore choyer leur « bébé » toutrose, ne soyons pas dupes, c’est parce qu’on leur a ‘’sûrement demandé gentiment’’ de ne pasquitter leur «Toy» trop vite. Les ‘’ Envoyés Spéciaux de l’Oncle SAM ‘’ sentant bien que lelange du baigneur n’est certainement pas tout propre et leur réserve certainement quelquesnauséabondes surprises. Et puis pour nous personnel, devons-nous être crédules ou plutôt nousraccrocher aux discours narrativisés de notre Président, nous souhaitons amener notre pierre àl’édifice, bien sûr pour respecter la pluralité et votre droit d’information.Nos clients semblent plébiscités notre intégration dans ‘’ Génial Electric ‘’, les quotités serontbonnes pour tous et extraordinaires pour 2 autres, nous en sommes comblés & heureux pournotre avenir qui se veut florissant et espérons pas éphémère ... Les éléphants continuent dans lapositive rositude ! Quitte à briser un peu l’ambiance, le volet social nous semble quelque peuincertain et sachant que 2 sons de cloche sont toujours meilleurs qu’un, qu’un tien vaut mieuxque deux tu l’auras ! Pour que l’information soit totale et transparente, nous vous encourageons àconsulter entre autres, pour le personnel qui serait intéressé quelques informationscomplémentaires non évoquées par notre Direction, peut être un oubli ou un manque depluralité !! Et le Code d’Ethique alors, on l’a négligé ?http://www.cgt.fr/Interview.htmlhttp://www.cgt-gems.fr/Discrimination/Sommaire.html

A lire si consultation des sites ci-dessus – General Electric Medical Systems :Certes nous ne sommes pas dupes que ce type de commodité est usité par tout employeur,puisque opérer un choix et procéder à des arbitrages font partie de leurs prérogatives.Néanmoins, ces prérogatives depuis la loi du 27 mai 2008 sont encadrées et prohibent toutesdiscriminations directes ou indirectes. Si la chasse à l’indésirable est toujours ouverte, si deslistes discriminatoires circulent toujours en sous-main, le tout est de ne pas se faire pincer, et ilsse sont fait pincer !!! Donc pas de surprise, nous sommes prévenus sur les méthodes possiblesemployées et sur le type de dialogue social qui risque d’être appliqué !!

DIRECTION TECHNIQUE UNE MESAVENTURE !!Au pays Converteam et de la démesure, nous ne pouvonsque constater la régression de notre savoir faire. Toutesces belles élocutions ne suffisent pas à nous faire oublierqu’au fil de toutes ces organisations sans lendemain,multiples et variées, elles nous ont renvoyé à l’ère de lapelle et de la pioche.

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A force de faire et de défaire, d’avancer au jour le jour sans réelle et véritable planification avecdeux objectifs opposés, la production coûte que coûte et la qualité déjà mise à mal par les repeatorder de projet pour gagner ce temps précieux. Il faut raccourcir tous les délais et prendre encompte les dates de Mise A Dispositions déjà vouées à l’échec au lancement et cela pour 95%des affaires. Des marges trop courtes à la prise de commande, dossiers bâclés pour tenirl’objectif impossible, chiffrage toujours en dessous de ce que l’on vend et de ce qu’on demande àPCM de fabriquer. Mieux encore, on vend un type de Drive et nous en fabriquons un autre typenon certifié, qu’à cela ne tienne, les experts et professionnels de Converteam ferontl’impossible même si les explosions et pannes sur site se succèdent, les Drives sortent toujours,les pompiers de PCM étant actifs jour et nuit.

La restructuration de la Direction Technique (DT) a donné un nouveau râle de jeunesse à ceservice au centre de toutes les polémiques, mais la réalité des dossiers est toujours la même ouen régression constante, car il ne suffit pas de remplacer Pierre par Paul pour rendre un serviceperformant mais des moyens professionnels de se former, de progresser et de pérenniser lesavoir faire partant sous d’autres cieux plus étoilés.Il n’est pas non plus utile d’imposer, de surveiller, de manipuler, de rapetisser ou debousculer les gens et de tenter de les pousser à la faute pour croire que l’on tire le meilleurd’eux mêmes : quant au ‘’ chef de plan ’’ , au déjà déplorable passif , dont la lubie semble êtrel’épuration des effectifs, interdit à son employé de répondre au téléphone, ou qu’il réponde à saplace, nous sommes plus proches d’un régime liberticide putschiste que dans un environnementoù l’on se sent bien « bosser ». Etre épanoui dans son travail encourage a être plus productif !!!N’est ce pas le début de la fin? A court terme, il ne suffit pas d’installer la méfiance et la peur.Ce type de comportement inacceptable et répréhensible, qui semble se généraliser dans certainsservices ne servira pas à régler les aléas conjoncturels, ni à donner des solutions adaptées à tousces problèmes récurrents. Mais que seront la suite et l’avenir de notre production ?

La technique a été remplacée par l’excellence des outils pour les courbes et les graphes, c’estprobablement une invention incongrue pour augmenter l’inconfort, la fatigue et le stress. Maisqui va répondre techniquement et suivre ces dossiers souvent incomplets, avec toujours lesmêmes erreurs et toujours le même retard. Nous avions soulevé le problème à l’époque, lefossé semble s’être creusé entre la production et la DT, de la même distance qui perdure entrePCM et Patterson, mais qui nous écoute vraiment ?

Les formations ne sont pas à l’ordre du jour. Converteam cherche de très bons technicienscapables d’en faire un maximum pour un salaire minimum, nous ne sommes pas les seuls àrecruter et logiquement les salariés vont là ou les perspectives d’avenir sont plus sûres, moinspénibles et mieux rémunérées. D’autres resteront en espérant des jours meilleurs et des moyensà la hauteur des ambitions affichées par nos Gouvernants. Mais qu’ils le sachent : « Qui peut leplus, peut le moins... surtout quand on ne lui donne moins que rien » !!

Vous ne vous en êtes peut-être pas rendu compte, mais le plan de formation de CONVERTEAMpour l’année 2010 était : « BASÉ SUR LE MAINTIEN DES COMPÉTENCES ».

FORMATION LA GRANDE DESILLUSION !!Nos Inspirateurs ne sont pas à une contradiction près entre lebaratin et/ou la réalité. Encore une fois, nous ne pouvons quedéplorer ces décisions totalement irresponsables et absurdes.Le plan de formation est un outil stratégique pour ledéveloppement de l’entreprise. Il est la traductionopérationnelle de la politique de formation de l’entreprise.Que penser du nôtre?

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Force est de constater que c’est plutôt l’incompétence qui culmine dans le maintien de l’objectif.Alors, que comme toujours les discours alambiqués présentent la formation comme un élémentstratégique dans l’entreprise, nous connaissons des situations fréquentes où celles qui ne sontpas proposées pour permettre la maîtrise du poste de travail ne sont pas effectuées, du fait de lacompression des effectifs.Nous voulons mettre un terme aux formations refusées, voire même pas exprimées, parce quejugées irréalistes du fait des effectifs trop serrés.La CGT ne procède ni par procès d’intention, ni par chèque en blanc, compte tenu du bilanquantitatif et du résultat qualitatif des actions de formation utiles au plus grand nombre.

Nous constatons :

L'absence de lisibilité sur les critères d'acceptation de tel stage plutôt qu'un autre : desmanagers partent en séminaires balnéaires alors que la majorité des ouvriers et certainescastes d’employés n’ont que des consignes internes lapidaires, ou les formations obligatoiresbasées sur des habilitations de sécurités légales.

Les engagements forts non tenus sur les formations qui devaient être promulguées etdifférées, lors des mutations (Ex : automaticiens vers RSE,..). La Direction se cache sur le faitqu’elle voulait bien organiser des sessions, mais que les salariés n’étaient pasdisponibles…alors qu’ils sont mutés souvent pour une sous charge de travail. Une chose estcertaine, comme pour le reste, la disponibilité s’organise aussi ! Effectivement, au vu desmasses critiques dans les services pour réaliser les affaires, ce grand désordre qui a étésciemment orchestré au fil des organisations et désorganisations pour diminuer la massesalariale et augmenter les bénéfices. Il est quand même incroyable qu’au prétexte de cesdésordres imposés, on puisse refuser les formations pour cause d’insuffisance de personnel.Pourtant, il faudra quand même relever les défis de demain ! A quel prix ?

Le maintien des compétences techniques non réalisées : pourtant on pouvait penser, quenotre Direction visionnaire, considérerait que les nouvelles technologies réclameraientbeaucoup plus de formations. Même pas, que nenni !!!!

Aucun retour sur les formations demandées lors de l’entretien annuel (ROAD ). Pourtantnous savons que des stages de langues ou d’informatiques ‘’osent’’ être suggérés par lessalariés à l’heure de cette grande écoute Managériale. La Direction impose de les prendre surson DIFF, et organise les choix. Un comble quand on sait qu’elles ont un but professionnel !!Nous le rappelons, soyons « candides et disciplinés », refusons toutes tâches pour lesquellesnous n’aurions pas étés formés !!

Dans la nébuleuse, il n’apparaît même pas de formation pour des chefs de ligne, etc. Résultat,les prestataires deviennent nos responsables et puis quand du jour au lendemain il quittel’entreprise, alors … La boucle est bouclée, nous sommes démunis et attendons le Messie !!Un comble pour une société qui se veut un éventaire de méthode (EIE, qualité, etc.), uneréférence technologique, un Leader… Malheureusement, trop de service sont dans ce cas…exsangues. Nos compétences et les pouvoirs sont dans les mains de salariés extérieurs…Untriste constat qui ne semble être réalisé que par vos élus et ne semble pas beaucoup émouvoirnotre Direction. Ah ! Cash flow quand tu nous tiens !!!Nous aurions pu nous dire, que tout cela n’est qu’une passade, un oubli, les économiessubstantielles réalisées ont permis une remontée de cash plus rapide (comme annoncé par laCGT dès notre entré dans le LBO).Le budget 2011, est encore en diminution : 2,97% de lamasse salariale en 2010, contre 2% cette année. Que de temps perdu et de maladresse !!!Nous pèserons tout notre poids pour que cette spirale déflationniste s’inverse et espérons, tout demême sceptiquement, qu’un industriel soit capable de comprendre que les petits apprentissagesd’aujourd’hui compteront beaucoup pour les enjeux de demain.