iai ; ce laps dm temps écoulé,

ooiqu* «dopi*, viendra inlerr

U pananne qui a demandé la epTW*a usa dauu^nn fait sur

mpre Uque si

Chaque moi», de raSma que cala le pratlqae pour vérifiw i domicile la Crttommllioiu gaz, un contrôleur du service dai télepho-nés mndra via« réclamer auUai de 15 cen-times qu'il y aura dans le IBOIS de périodede trois misai» employées en convsrsalioitéléphonique L'aboBaBauntannueleuiélépho.oe ne coulerait plus que 49 francs et làdes appareils iastalUa i domicile, 120 fn•nTiron, poorraii Sire pajé en trois annids 60,40 et 20 francs i ajouier an prisl'abonnement " la consommation indiquée paile compteur serait enfin payable par m<unf que cous avons indiqué plus haut.

,A.xx Transvaal

Ua télégramme de Modder Riveen date du 25 janvier est arrivé cmalin au War Office.

Il dit en substance que les Boôrsont attaqué l'extrême droite de l'ar-mée Britannique et qu'ils ont été re-pousses,

Le unes donne une dépêche deKîmberiey portant la même data «tdisant que le bombardement a con-tinué, mais a\ec moins d'Intensitéque les jours précédents.

UN VOL AUDACIEUXOn télégraphie do Nîmes ,"

it, Philippe Ri'oi, qui habiifi seul le châteaudeSab.lier, pies Quissac ; aprii avoir

lion dans la chambre i coucher du proprié-taire et, après l'avoir malmené, lui ont lié 1rs

i tmr remettre !es clefs de son coffre fort,

M. Rivet dut s'eii-^tor les malfaiteurs»'emparorect d'une somwd de '21,000 franc»en or ot en billets dal^nque; leur vol ao-c*mpli, les bundiis Uistùront leur victimeattachée d*ns son lit, lui jetant une cou ver-tur« sur la tSte, puis mangèrent et burent

se retirer, ces hardis voleurs piorairent 1 M..Rivet de revenir quand ils auraient besoind'argent.

Le propriétaire n'a été délivré que le len-demain matin par le fermier de son herbage,qui venait, seion son habitude, voir son trou-peau,

de S5.000 francs en or niait déji été commissu préjudice de M. Rivet, da&s les mêmes

Par une curieuse coïncidence 1 un des au-teurs do ce premier vol, qm avait élé arrêté•f.ir la gendarmerie de Lésiguau, a été trans-féré hier à Nimps pour comparaître prochai-nement do.an: les assises du Gard.

Le parquet du Yigan s'est transporté auchâteau de Sabatier, pour procéder a uneenquîte.

LA REVUE DE LA PRESSELe Rappel :Olivier Bascou dît que le scrutin

de dimanche montre clairement quele pays veut que chacun reste dansson rôie. I! renvoya de nombreuxmilitaires candidats s'exercer au mé-tier de reprendre l'Alsace.

L'Autorité :Paul de Cassagnac dit que les

élections sénatoriales ne changerontrien à la politique courarite,mais il seréjouit de échecs de Ranc et de Thé-venet ennemis du cléricalisme et dunationalisme.

L'Echo de Paris •Jules Lomaître se réjouît du vote

spontané de la Haute-Savoie ou il arecueilli 71 voix, Drumont 69, et !egénéral Morcier 101. Il attribue cettemanifestation à l'excellence des idéesdelà Ligue dota Pairie Française.Le mouvement commence, il triom-phera.

Le Radical •.Sigtarnood Lacroix dît que le ca-

ractère véritable qu'on peut attribueraux élections sénatoriales est le sui-vant : Médiocrité des élus, non parmodérantïsme, mais par faiblessede la volonté du pays qui est fatigué.

L''Aurore :Urbain Gohier protesta contre tes j

arrestations de Dôgalvês et Giosser.Le premier traita d'infâmes les com-plices d'Esterhazy et Glosser blaguaîrrévérenscieuaemant St Joseph. Evi-demment ce soit là des crimes quine méritent nullo pitié.

HOTEL DES PINS

NOS ECHOSA TRAVERS CANNBù

Le marquis de Loys Cnandieu, arri-vé tuer par le rapide de i heure, «cdescendu à la Tilla Saint-Prîest, à" laCalifornie.

La comtesse de Gérard, descenduehier a notre gare par l'ejcprcss de

pour Grasse ou elle s'est installée dansune villa de cette ville.

Mr, Mrs et Miss Cccil Paget, arrivéshier par ie rapide de i h. 15 de l'après-midi, se soot installés à la villa Biend,oute de Pégomas, près du château Ga-ibondy.

Le docteur de Valcourt, arrivé hierpar le rapide de i h. 16 de l'après-midi,:st descendu en sa villa Haute-Rive,rue de Kréjus..

M.Maurîs,directeur de l'exploitationde la Cie P.-L.-M. et M, Sylvestre, ins-pecteur principal de la même Compa-gnie a Marseille, ont passé la journée

ans notre ville, 'Ils étaient descendus à l'hôVl Gon-

_9t et de la Reine et sont repartis dansia soirée.

Le baron et la baronne de Furslen-_;rg, se sont installés a l'hôtel de iaPlage.

Sont descendus :A l'hôtel des Pins : M. et Mme Al-

phonse Hclbronner— M.Michel Ilei-bronner.

Au Splendid-Hôtch M. et Mme Hu-pon — M. et Mme Ganbaldi — M. et

Duprè — M. et Mme Renû-Ri-gaud — M, de KruiÛ — M.André Pai-

int Comtesse dt: Wodzïka et suite.A l'hôtel Beau-Rivage • L'abbe Bour-

rât M. Lamé Edouard — M. etMme Mouchy.

Au Grnnd-H6ic! - The Right Hon.\V, E. H Locky, membre du Parle-ment Anglaii — Mr , Mrs et Miss Ro-bert Rusbnell — M. et Mlle O. de Su-

— M.et Mme Girod — Mme Ra-vorin.

A l'hôtel de la Plage : M, et MmeWescher.

Au Splendid-Hôlel : M. Dupré — MrKing Gérard — M, André Plaisant —M- et Mme André Ripaud.

A l'hôtel Neva : M. Victor Martin.A l'hôtel Alsace-Lorraine - M. Mme

et Mlle de Crouzas — Mrs et Miss Hall— Mrs Bradbent et famille.

A l'hôtel Richumom et de la Terras-j Mrs et Mis Fawcett — Miss Watt

— Miss Burnett.A la Pension de Jo Tour Mrs et Miss

Haslam Beng.A l'hôtel Suisse; M. et Mme Camille

A l'hôtel International. Miss Dodge-A l'hôtel Prince de Galles: M. John

Adair.

M. Danel,président du Conseil d'Ad-ntmistratioa des Mines de Lens, com-mandeur de la Légion d'honneur.notrehôte de l'hôtel du Parc, a remis a M.c mai'*: i5o fr. pour le Sureau de3ienfaisance et 50 fr. pour les petitesiceurs des pauvres,

Merci pour les malheureux.

Hier soir, a 5 heures, a eu lieu al'Hôtel-de-Ville, le mariage civil deM.le baron Elpoege Baude avec Aille"eaone Serraïllier.

Les témoins de la mariée étaient leomte de Dampierre, son beau-frùre et\ Autran, son cousin.Ceux du marié,;9 barons François et Bernard Baude,es frères.M Hibert, maire de Cannes.quirem-

.lissaitles fonctions d'Officier de l'Etat-;ivil, a adressé aux jeunes époux unellociition de circonstance, qui a étérès appréciée.La bénédiction nuptiale a été donnée

ce matin à l'Eglise Notre-Dame deBon-Voyage par Mgr Chapon, èvèque

Apres la cérémonie, Mme Serraillîer1 reçu dans sa viila du boulevard de fa>oiseue. un grand nombre d'amis(enus pour la féliciter et présentereurs vœux de bonheur aux jeunes

" A tons ces vo;ux, nous joignons bieniincorement les mitres.

M Ruel. conseiller municipal de Pa-is, propriétaire du Bazar de l'Hôtelle Ville et de nombreux immeubles nCannes, est décédé ce matin, vers 8leures en sa villii des Enfants, proma-lade de la Croisette-Nous adressons a sa famille, nos sin-

cères comptimeats de condoléances. |

SUR LU LUI ORALCe matin, à 11 heures, a ctè célébré,

à Antîbes, le mariage de Mlle LucieCaries, fille de M. Ferdinand Caries,ancien greffier du tribunal de Commer-ce deCannes, avec M. Louis Talent.

La bénédiction nuptiale a été donnéeaux jeunes époux à la paroisse d'An-tibes.

Un grand nombre d'amis assistaientà cette cérémonie

Nos vœux de bonheur aux jeunesépoux. ^

A Monte-Carlo ;Voici le résultat du tir de la presse

du 28 janvier. —• Tir aux pigeons " jerM= Gillard, du « Paris-Courses » ; je,M. Simond, du « Radical » ; 3e, M,Laurent!, d' « Auteuil-Longchamps ».

Tir au Sanglier- 1er, M.Laurcnlz;ae, M, Carie des Pernères; -JC. comtede Mirabai, du * Monde Illustré >.

Nous lisons dans ta Littoral-

L'établissement du chemin de ferde Marseille à Nice, qui date, si j'aîbonne mémoire, de 1863, a profon-dément modifié le mode et les condi-tions de viabilité de uotra région.

Jadis les berlines de voyage, lesmessageries Laffitte ot Gaillard etles en ai sos de posto, amenant lesvoyageurs du centre de la Franco àla frontière, a pria uu relai plus oumoins long à Fréjus, s'engageaientsur ta route accideulée, vrai calvairepour les chevaux, qui de raidillonsen raidillons conduit au point cul-minant de l'Eàtêrel, connu sous tadésignation d'Auberge des Adrets oude la Gendarmerie. Puis, de ce point,les lourdes pnlaçhos déambulaientà travers îes gorges des Maures jus-qu'au tournant du Pont Saint Jean,célèbre dans lea annales par iesexploits du bandit Cauvin et autresvoleurs de grand chemin, pour dé-boucher dans la plaine ce Laval etatteindro Cannes, non sans fatiguepour les chevaux ot sana émotionspour les voyageurs

En définitive, il fallait en moyennevingt heures pour se rendre do Mar-seille à Cauups. La traversée del'Estérel demandait à elle seule unebonne demi-journée.

Les trains rapides, aujourd'hui,vont de Saint Raphnûl à (Jaunes enquarante minutes. R1311 détonnant,dès lors que l'aneiaii^e, rojle aaiionale soit complètement délaissée.Aussi, depuis plus de trente aus nereiicbutie-t on sur la route de Fré-jus à Cannes .jadis si fréquentée, quoquelques charratles chargées depoutres ou do bois de chauffagetirés des gorges de l'Eslérel. Plusde claquement de fouets, plus desons joyeux do grelots des anti-ques diligences ou des chaisesde poste d'antan. Partout règne unailei'ca de mort. Le touriste égarédans ces parages se croirait trans-porté dans le domaine de la belle aubois dormant, si de lumps à autre,la cri d'une pie voleuse, le chant harmonieux d'un rossignol ou d'uue mé-sange ou encoifamélique corboau, a la rechercheda la quotidienne pâture, ne lui rap-pelait à temps que dans cette im-mense solitude ta nature n'a pas re-noncé à ses droits.

Pourtant, depuis quelques an-nées, Pautomobilismo a redonné unpeu de vie el d'animation a cette con-trée. N'ayant point d'autre roule àleur disposition, les fervents du tou-risme sont bien forcésd'empruuter laroute nationale pour pe rendre doFréjus à Cannes. Mais que do diffi-cultés à surmouter; au prix de quelsmécomptes, de quels ennuis, les fer-vents de la pédale, du teuf teufet dela voiture aulumobile, traversent ilsle massif des Maures qui sépare Can-nes de Samt-Ruphaôl et Fréjus !

Après une étude approfondie desincoiivénieuts que je viens do signa-ler plus haut, le Touring-Club doFrance a pris une résolution héroï-que. Il s'est dît que là où est passéle chemin de fer, les automobiles de-vaient passer à leur tour et, dédai-gnant l'ancienne route nationale, dé-sormais iuutile, il a décidé de créorde toutes p;t!ces une nouvelle artèrequi partant de Saiii-Raphaël longe-ra la voie ferrée dans presque touteson étendue et viendra rejoindre.à LaNapoule, le chemin de grande com-munication qui la reliera a ia roulenationale au quarlior dit de Minolle.

Le Touring-Olub qui oe comptepas moins de 400,000 adhérents enFrance, est une Société puissante,ayant à sa tête un président prodi-gieusement acnt.,

U. Baîiiy, ainsi sa nomme cet ho-norable préstdeat,s'eet aussitôt mis àl'œuvre. Par les soins de l'administra-tion des Ponts-ei-Chausaées. il a faitdresser les plans et devis de la nou-velle route qui doit trav«rwr la par-tie des Maures, que notre excellentconfrère, A. J. Coulangheon, dansune brochure des plus suggestives asï heureusement appelée la Corniched'Or. ^

On ne pouvait mieux désigner, eneffet, ces sites ravissants, ces ansesgracieuses, ces promontoires atti-rants, égrenés sur les bords de la Mé-diterranée,deCannesaSaiat-Raphaèl.

Donc, les plans et devis de la rou-te de la Corniche d'Or, sont d'ores etdéjà établis.

Le coût en est do 214 000 francs.Un beau denier, comme on peut enjuger.

Pour parfaire cette somme il aété fait appel à tous les concours.

Le Touring-Club do France s'estinscrit pour une somme importan-te. 42 000 francs. L'Etat internentdans la dépense pour la sommede 86 000 francs L

Je dirai demain, comment et parquel moyen on peut, disons mieax,on doit se procurer cette somme.

H. G. Bon.

CHRONIQUE LOCALErtnd

« n i navljrKtearf.— Li-s miol Jcs ports de la région ï Marsei

lues depuis hierjusqu'au 10 férnor, dan» labtttteris du Cap Brun haut.

Les but; se déplaceront oo Tue da U ditebauerîe i des distances pouram aller jusqu'lhunblomèitBs (1 milles marias] de U cilta-

Cap Brun, CapSépet « Cap Brun ; l'omui ieCjrque:raaoe.

Le* bo i t e» d ' a l l u m e t t e s i n o o m -plfeC6H°— Depuis très lougiemps, le public

boites le nombre d'ailameiies qu'elles doivent

L'Agence Ha intére la ré-

i l'fffrt da roebarchar s'il n'y auiaît pis d'a-méliorations 1 introduira dans le mode de

manufactures de l'Elût.

Celte ooquêle, poussée actiTemant, abou-tirai des résultats très désirés par l'adtni-

A m fcounrrlta d e In c l a u s e 1SO«v e r s é * d a n s lea s e r v i c e * auxi l ta i l -rt-n.—Los jaunes gons do )a classe 1898,ver-

dernior Coosci! do révision, fusant partie dsla subiUmon d'Aniihcs, pouïeni se présen-ter à la BrQriarmcno de leur domicile, pourV retirer lour livrci individuel.

L B ( e m p é r a t a r o — La Icaipârafura aCannes el daas U région est 1res agréable.

Une pointe Je miitrat, qui a un peu aéréctB irois derniers jours, a balayettes nuagesqui nous menaçaient du U pluie. Le soleil estchaud et lu temps Jélizteui.

e hum r de U mpératDo l'autre cdté de l'E itère! la

aigre o". glacial. A Aubagna. il est tonbé uneépaisse coucha d» neige,

A Paris ta neigo est tombéci abondamment.Ella a empêcK.! les charpontiers, qui ont cc«-sb la gi^vn sur les chantiers do l'Exposition,do reprendre en crand nombre le travjil.

De Bar le-Duo, on apprend qu'une TÎO-lontetempÈtede neîga si sévi sur cette ville

Q '̂go couvre tous li*3 environs d une âpai&->

s^ur de plusieurs centimètre*. L'Ornaia a

débordé et couvre un» putie ds U cimpigae.

La c nlaiio mpne s

Do BajonnB.on télégraphia quo pendant Unuit darnièra le dundee St»nt-T*an~DaptitU,»jr»nl a boed trois hommes d'équipaj^ et leurcapitaine Le Trusdic, n été surpris par latempEtn a dsui milles BU largn par le traiera

kilomètre! mr l'embnuchure de l'Adoar. Lenarns a été jeté a !a c4is » été complètementbrîié sur lei rochers. Les trou hommes d'é-quipage, habita at Concarncau et Quiberon ontpéri, Le capitaine a été trouv* oa matin a Shnî res sur U grère complètement enéoui. Ua'em que légèrement blensé. Le Satnt-fean-Baptîtte éiaït chargé do froment i sa cargai~«on est perdue-

En Angleterre, la mortalité par i'iaûanazxest considérable. Il fut dea fmtdi terrible.Ea Allemagne, en Suisse, en Russie, on n'a-xait pas vu depuia longtemps de semblablw

L i v r e d 'a r . — La quflle fiile au oiaritgadu baron Elpbegs Baude, avec Mile JsaonsSerraiHior, célébré hier k l'Hitel d8 Villp, aproduit la somma de 181 frjncs pour les pau-

Merci pour les malheureux.

P o a r n o i r e p r a e t i k l n e b a t a i l l ed e Oonrn, — Lo Comile des Fêle, a faitdifliribut-r, hier, dans las magasins de la me

i, a fin d'oxposition, les bannières

mbourrécompense, »ui équipages les mieu* déco-rés de la bataille de fleurs qui mra lieuce m aie à l'ordinaire, sur la promeasdo de laCroisotte, le 8 fiïriar proobun, k X h, [fi de

Len « a n f é r e n e e x m l'DAtisI «leVi l le . — Vendredi, 2 «Trier, i 3 h. 1|2 duBoir, dans I» salle des fêtes de la msirie.com-meceera la z£t\e de* conférences anouelleiquo ' Ï Ville do Cannes oflro i ses hotfs

M Brclar Ernesi, Tice président de JaSociété d'Economie politique de Paris (raite~ra le sujfvt auivanl : l'Infâme Concurrence.

!*o* Dépêehe»,— A propos de notre

do ai grands serrions au public, uoua reco-

Cani is, lei

!a ColA

e do dépêches que vous publiez

ie Ànglm.An les dernières nouvelles de la gu

du Hnd de l'Afrique ont âte publiéesvous plusieurs heures avant qu'elles fus

Nos compatriotes ont remarqué égalée

lidelué ci une impactialiié rigoureuses.

Veuillez agréert« Uiv, nanlt Ar.glaiie,

EIÎ pour la Co;ipo de France, en rade da Ctn-nos, doit 3ir« arrivé i Marseille i l'heur9aciuelle.

L Eslèrei fera toolo la caraosgne dea rég«-tes de printemps avec l'équipage qui moule'ra plus lard h nouveau Taobt Quand MAntque M. le duc Deca/s fait construire pour

Coupo de France.La courfie d'Eitênl et de Zaurta aura un

grand attrait pour les yachtsmen, car l'onpourra faiïe d'une aBaée A l'autre, des con3pa~

Lo mômn propnétaire fait également pro-céder à 1'trmcnient ^° s o n autre 20 tx

A l a M a i s o n BL41VC,

d'Antibcs, 30, on trouve, un grand *iDrapariûs DOUTCIICS pour la saison 1£ y

J * q a e t t e a et C o i l a m e i ' 'iD i m c i . — Coupe élég.-vata c< lu* ,gnée. — Prix tiis modéras,

t e » cambrioleur*!. — Hieil'après-midi, dps cambrioleurs ont, oénélrédans rapp&rternent occupa par MoMs .«,87, rue d'Anlibes, et sprôs avoirdessus-dessous, se sont etnpaobj.».

Pliinlo a été porrée i la police h:cr œ̂heure* el une enquête