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P H YS I Q U E

NEXUS n°58

septembre-octobre 2008 51

Une boule de billard qui roule, enpercute d’autres, pour en faire tomber une dansun trou, est une chaîne de causes à effets. Maisces boules de billards ne sont rien devenuesde plus que ce qu’elles étaient avant d’êtreentraînées dans cette chaîne de causes à effets.Nous sommes habitués à explorer notre passépour découvrir les causes de nos agissementsprésents. La différence entre une boule de billardet l’être humain réside dans le fait que le devenird’un être humain est plus que la somme de sesantécédents. L’homme, au moyen de la pensée, est influencé par un autre type d’ordre causal :il peut envisager le futur. Envisager seulement ? En réalité, il peut aussi le contrôler, et il s’agitlà d’un processus vital – oublié – sans lequel nous ne pourrions exister.

La confirmation est venue du ciel…Docteur en mécanique des fluides, Jean-Pierre Garnier-Malet1, est l’auteur de la « théorie dudédoublement du temps ». La seule genèse de sa découverte est particulièrement éclairantesur son intérêt. Élaborée en 1988, elle a fait l’objet de publications internationales à partirde 1997. Elle n’attirait pas vraiment l’attention car pour être validée, elle nécessitait d’êtrevérifiée par des observations. Au cours de ces dix dernières années, la survenue dans notresystème solaire de nouveaux planétoïdes a permis cette vérification. Mais ce n’est pas là leseul intérêt de cette théorie : non seulement ces planétoïdes arrivent bel et bien et de plus enplus nombreux, mais des scientifiques de notoriété internationale ont récemment reconnu1

que seule la théorie du dédoublement du temps est en mesure d’expliquer leur présence.Mieux : cette théorie pleinement vérifiée ne contredit pas les lois existantes parfaitementétablies de Kepler, Newton et Einstein… mais les dépasse ! Cette théorie est également laseule qui a permis à son auteur de calculer des constantes cosmologiques nécessaires à lacompréhension de l’univers (vitesse de la lumière, gravitation et antigravitation, constantede structure fine). L’intérêt de la découverte est tel que son auteur a reçu le Best PaperAward pour sa publication dans American Institute of Physic (New York) en 2007. Cependantpour J.-P. Garnier-Malet : « Les équations, c’est bien beau, mais la science doit avant tout servirla vie, sinon cela ne sert à rien ». Quel est donc l’intérêt de cette théorie dans notre vie detous les jours ? Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, en démontrant rien moinsque le fonctionnement de nos pensées, elle nous fait accéder à leur contrôle et par voie deconséquence, à la maîtrise de notre futur. Or, profitant de notre ignorance en ce domaine,ce même futur est en train de maltraiter notre planète.

Des ouvertures temporellesQuel est donc ce mécanisme capable de créer notre futur ? Lorsque vous n’avez pas de réponseà une question soudaine et vitale, vous devez y réfléchir, ce qui prend un certain temps. Sivous pouviez supprimer ce temps, vous auriez instantanément les solutions à vos problèmes

Une science du temps

La physique des particules, nosrêves, nos succès, nos échecs,le système solaire, la bible…la « théorie du dédoublementdu temps » jette des pontsentre des domaines qui,a priori, n’ont rien à voirentre eux… Son auteur a étérécompensé en 2007 pour unepublication scientifique à NewYork. Entièrement vérifiée parles faits, cette re-découverted'une connaissance universelleapparaît ici d'une crucialeactualité.

Par Vincent Crousier

pour changer le futur

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du moment sous forme d’instincts et d’intuitions quivous conduiraient vers de nouvelles interrogations.Imaginez que vous puissiez plonger dans ces« temps morts » pour y accélérer le temps et y fairede longues expériences qui vous permettraient detrouver les réponses à vos questions. Ce voyage dansd’imperceptibles « ouvertures de votre temps » vousmontrerait vos possibilités du moment. Expérimentédans un temps accéléré, ce futur instantané seraitinobservable dans votre temps, mais parfaitementmémorisé. Il vous pousserait alors vers de nouvellespensées, semblant jaillir de nulle part.Tout cela est possible… et même vital, la théoriedu dédoublement le prouve.Nous vivons en actualisantdes futurs inobservables maismémorisables. Nous avons parfoisle sentiment d’un « déjà vu » oud’un « déjà vécu » car chacune denos pensées crée des possibilitésfutures dans les instantsimperceptibles qui séparent lesinstants perceptibles. Commentvoyager dans d’imperceptiblesouvertures temporelles, tout enayant la possibilité d’accélérerle temps ? Nous allons voir qu’ilne s’agit pas d’une utopie, maisd’une réalité physique dont toutle monde dispose.

Corps physique et énergétiqueNous savons que la matière estduale, c’est-à-dire que touteparticule est à la fois ondulatoireet corpusculaire. Au début dusiècle dernier, Einstein avait reçule prix Nobel pour avoir montrépar « l’effet photoélectrique »que la lumière avait cettepropriété universelle. De soncôté, la mécanique quantiquesupposait qu’un assemblagede particules ne pouvaitpas émettre d’informationsondulatoires cohérentes. Eneffet, elle démontrait quechaque particule avait plusieursétats potentiels superposés etque l’observateur déclenchaitun de ces états. L’expérienceconfirmait ce fait. Cela semblaitimpliquer qu’un assemblage departiculesnepouvaitémettreuneinformation cohérente par lui-même : la superposition d’états

différents en un même temps paraissait impossiblepour un même observateur et l’on parlait alorsde « décohérence ». Cependant, des expériencesrécentes2 ont pu démontrer qu’un assemblaged’atomes pouvait émettre des informations propres.Elles permettent surtout de comprendre commentet pourquoi une superposition d’états quantiquesne peut survivre à l’échelle macroscopique desobservateurs que nous sommes. Or, étant nous-mêmes un sac de particules, nous recevons etémettons des informations.Pour simplifier, nous pouvons dire que notre corpsest à la fois corpusculaire et ondulatoire, que nous

avons un corps énergétiquecapable d’aller chercher et deramenerdesinformationsdansdes ouvertures temporellesimperceptibles, de choisir unde nos futurs potentiels (nospropres états quantiques)et de le transmettre à notrecorps physique.

Vitesses super-lumineusesC’est ce corps inobservable,mais parfaitement réel quinous permet d’accélérer letemps. C’est encore le résultatd’une étonnante propriétéphysique, liée à la théorie dela relativité d’Einstein, miseen évidence par le paradoxedes jumeaux de Langevin en1923. Découlant des équationsde la relativité, un voyageur nevieillit pas à la même vitesseque son jumeau immobile.Cette différence est sensiblesi la vitesse de déplacements’approche de la vitessede la lumière : une annéeà 15 km/s en dessous de lavitesse de la lumière (presque300 000 km/s) entraîne unedifférence de vieillissementd’un siècle. Sauf que cettefameuse vitesse de la lumièren’est pas à proprement parlerune « vitesse ». La théorie dudédoublement montre qu’ilexiste trois vitesses d’échanged’informations entre tempsdifférents, la plus faible étantla vitesse de la lumière, la plusélevée étant de 857 milliardsde km/s3. Des expériences

La théorie du dédoublementmontre qu’il existe trois vites-sesd’échanged’informationsentre temps différents, la plusfaible étant la vitesse de lalumière, la plus élevée étantde 857 milliards de km/s.Des expériences récentes ontprouvé la réalité de ces vites-ses super-lumineuses.

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récentes ont prouvé la réalité deces vitesses super-lumineuses.Or, « ces vitesses qui ont le goûtd’une vitesse, l’odeur d’une vitesseet la dimension d’une vitesse dansles équations5, ne sont pas desvitesses », comme aime à ironiserle chercheur.Si vous courez à 10 km/hvers l’avant du train quiroule à 100 km/h, vous savezque votre déplacement est de110 km/h par rapport aupaysage.Inversement, si vous courezvers l’arrière du train à la mêmevitesse, votre déplacement n’estplus que de 90 km/h. C’est la loidesvitesses.Mais lestroisvitessesd’information ne la respectentpas du tout. C’est pourquoiEinstein avait imposé un postulatpour expliquer cette exceptioninexplicable, à savoir : la vitessede la lumière est indépendantede la vitesse de la source et dela vitesse de l’observateur. Celareviendrait à dire que, si vousêtes une lumière courant versl’arrière ou vers l’avant d’un train allant lui-mêmeà la vitesse de la lumière, vous serez toujours à lavitesse de la lumière pour l’observateur immobile.En réalité, la vitesse de la lumière est indépendantedes observateurs vivant dans un même temps. C’est unenécessité pour que tout le monde puisse voir le mêmeétat présent en même temps.On peut ainsi comprendre que nos pensées sontde l’énergie qui disparaît de notre temps avecune vitesse supérieure à la vitesse de la lumière.Elle disparaît donc instantanément dans uneouverture temporelle, pour apparaître sousforme ondulatoire dans un autre temps accéléré.Dans ce temps accéléré, ce qui pour nous est uneaccélération, apparaît comme « vitesse normale »pour les observateurs qui vivent dans ce temps.Elle peut donc être captée et mémorisée par cesderniers qui peuvent alors expérimenter la suitelogique de cette pensée. Cette expérimentation n’apas le temps d’exister dans notre temps.Ses conséquences constituent donc des possibilitésinstantanées. Ce futur potentiel n’est pas personnel.Il peut être actualisé par ceux qui ont les mêmespensées (premier critère) et qui peuvent voyagerdans les mêmes ouvertures temporelles (deuxièmecritère dépendant du mouvement de nos planèteset de la date de notre naissance).

Comment ça marche ?Lemouvementdedédoublementdes temps s’effectue selon uncycle que la théorie permet decalculer. Le passé, le présent etle futur se séparent d’un tempsinitial unique en douze périodesde 2 070 ans, formant un cyclede 24 840 ans. Avec une périodede transition de 1 080 ans (soit9 x 12), le cycle est donc de 25 920ans. Cela correspond au cyclede précession des équinoxes…observé mais jamais expliqué. Ilexiste donc un commencementet une fin du dédoublement destemps, que l’Antiquité appelait« fin des temps ». Elle différenciaitces douze périodes par lepassage de douze constellationsà l’horizon de l’écliptiqueterrestre. M. Garnier-Malet apu montrer grâce à sa théorieque les échanges d’informationinstantanés dans les ouverturestemporelles utilisaient douzecircuitsd’informations,avecunesymétrie dodécaédrique6 (douzefaces pentagonales). Associés

deux par deux, les mouvements des planètes denotre système solaire « ouvrent » ces circuits. Oril se trouve effectivement que l’astrophysiquemoderne7 vient de mettre en évidence une symétriedodécaédrique du rayonnement fossile de ce qu’elleappelle le « big bang ». Il s’agit en fait des échangesd’informations entre le passé, le présent et lefutur, nécessaires à la fin d’un cycle qui terminele dédoublement des observateurs. Le mécanismede ces voyages temporels est donc régi par lesmouvements de nos planètes qui, associées deuxpar deux, forment six espaces doubles.

Accès au futur par le zodiaqueAinsi, les anciens parlaient de douze espaces auservice de la vie (zoi-diakonos ou zodiaque). Ils lesavaient repérés par les constellations (Verseau,Capricorne, etc.) qui défilent dans l’horizon duplan de l’orbite terrestre (elliptique) selon un cyclede 25 920 ans, dit de précession des équinoxes. Ilssavaient que chacun de ces zodiaques apportaitson propre potentiel avec ses qualités et sesdéfauts. Celui qui y avait accès pouvait arranger oudéranger ce futur. Cet accès dépendait de la datede naissance car, pensaient-ils avec justesse, notreincarnation utilisait des ouvertures imperceptiblesd’un autre temps que nos planètes dirigeaient selon

Nos pensées sont del’énergie qui disparaît denotre temps avec une vitessesupérieure à la vitesse dela lumière. Elle disparaîtdonc instantanément dansune ouverture temporelle,pour apparaître sous formeondulatoire dans un autretemps accéléré.

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des tables établies depuis des lustres. D’après la loidu dédoublement, connue par exemple de l’apôtreThomas, nous laissions un double dans un tempsnormal pour vivre sur terre en accéléré le futurcorrespondant à nos questions : « Au temps où vousétiez un, vous avez fait le deux, alors étant deux, queferez-vous ?... Lorsque vous ferez le deux un, que vousferez l’intérieur comme l’extérieur, le haut comme lebas,… Lorsque vous ferez du masculin et du fémininun unique, alors vous entrerez dans le royaume. »(Évangile de Thomas - Loggia 11 et 12). Retrouvédans les années quarante dans le désert égyptien,ce texte n’a sans doute pas été transformé parles copistes du Moyen Âge. Il mentionne bien notredédoublement selon un cycle qui permet notreretour dans un royaume où le temps n’est pasle nôtre.Cet autre nous-mêmes nous attend à la fin du cyclede dédoublement des temps pour refaire notreunion avec le potentiel nouveau, créé et arrangéau cours de notre vie terrestre. Voilà ce que nousavons essayé d’oublier pendant deux mille ans, carau début de notre ère, la théorie du dédoublementétait manifestement connue. Les savants de l’époqueétaient les « docteurs de la loi », capables de voirle futur (prophètes) et d’en chasser les mauvaispotentiels (exorcistes).

Deux mouvements : radial et tangentielLa théorie du dédoublement ne contredit pas les loisphysiques actuelles (Einstein, Kepler, Newton, etc.),mais elle les dépasse, tout en retrouvant ce que l’onappelait autrefois le principe universel de « l’alphaet de l’oméga ».Lorsqu’une particule α rencontre un horizon Ω,elle souhaite s’enrichir d’une expérience nouvelle.Cependant, en le traversant, elle risque d’en sortiramoindrie. Elle est donc tentée de le contourner pourne pas être perturbée, mais peut-elle ignorer unepartie de son univers ? Aucune des deux possibilitésne peut la satisfaire. En revanche, si elle se dédouble,elle peut contourner l’horizon pour retrouverson double qui lui sert d’éclaireur à l’intérieur. Enprenant la « tangente », elle garde la mémoire del’acquis. En traversant de façon « radiale » l’horizon,son double lui donne une connaissance nouvelle. Lemouvement de dédoublement se caractérise doncpar un mouvement tangentiel et un mouvementradial. Lorsque l’alpha sort de l’oméga, c’est la findu cycle de dédoublement, il y a alors possibilitéd’échanges d’informations dans le même temps. Lapremière bifurcation de ce dédoublement de α endeux α utilise une bifurcation en forme de ν (nuen grec). En grec, le « créateur » du dédoublementétait ana (ανα), signifiant le très haut, l’inaccessible.Dans l’Antiquité, il est évident que ce mouvement

Le mouvement hélicoïdal de dédoublement du temps et de l’espaceest un phénomène que l’on observe dans tout l’univers

aussi bien dans l’infiniment grand céleste que dans l’infinimentpetit de nos cellules et de notre ADN.

Il semble que les auteurs des crop circlessoient au fait de la théorie du dédoublement…

Le caducée, symbole de la clairvoyance d'Hermès – et surtout,schéma du mouvement du dédoublement – était surmonté

du miroir de la prudence qui permet d'associer le futur au passé.

α

Ω

Mouvements du dédoublement (JPGM 1998)).

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universel était connu. La représentation du caducéeen est une preuve. Pour les Grecs, c’était le symbolede la voyance d’Hermès que son frère Apollon luiavait enseignée. Il était surmonté du miroir de laprudence permettant de ne pas oublier la questionavant de chercher la réponse dans le futur. Pour les« extraterrestres » (ou « extravagants » pour certains)que les anciens appelaient les « dieux » mortelsou immortels et qui dessinent de curieux « crop-circles » dans les champs de céréales8, cela ne semblepas du tout mystérieux. Pour les Égyptiens, c’était lamétamorphose du scarabée, changement nécessairepour passer les douze portes de l’éternité. Pour leschinois, c’est la représentation du yin et du yang,sans doute apporté en Chine par un peuple grec donton viendrait peut-être de découvrir les momies9. Engrec, la division du temps se disait Ωρα. Son inverse

αρΩ signifiait « grandir dans le futur ». Nos galaxiesnous révèlent, quant à elles, le mouvement universelde dédoublement… au ralenti.

Nous sommes à la fin d'un cycleParfaitement défini par cette théorie, un cycle de25 920 ans permet donc notre présence sur Terreet sa fin entraîne des modifications importantesde notre planète : c’est la dernière publication10

à l’American Institute of Physics à New York qui,grâce à la compréhension de ce cycle, a pu enfindonner l’explication de l’arrivée près de Plutonde nouvelles planètes, appelées planétoïdes parcertains. Or le cycle de dédoublement des tempsde notre système solaire arrive à sa fin et celapeut engendrer des bouleversements planétaires.L’arrivée de ces planétoïdes dans la lointaineceinture de Kuiper11 déclenche à la fois de gravesmodifications de la ceinture des astéroïdes et deviolentes explosions solaires. Nous ne sommes passans ignorer la pluie de météorites qui s’abat surla terre et qui va en s’aggravant. Pour compensercet apport de masse, notre planète réagit par desrejets volcaniques de plus en plus nombreux. Tousces échanges d’informations, de masses et doncd’énergies, bouleversent notre monde dont le climatchange brutalement. En comprenant les échangesd’énergies, donc d’informations entre particulesdans les ouvertures temporelles des trois temps(passé, présent, futur), il serait possible d’améliorerl’équilibre de notre planète, d’autant plus que la finactuelle du cycle de dédoublement rend ces échangespermanents.

Impression de « déjà vécu »Notre dédoublement est donc lié à un cycle solairede 25920 ans qui dédouble notre temps d’un tempsralenti et d’un temps accéléré. Nous vivons dansles ouvertures temporelles de notre double (tempsralenti), lui créant ainsi un futur dans notre présent.Si nous savons l’écouter, nous entendons ses questionsquinousdonnentenviedetrouverlesbonnesréponses.Il est le moteur de notre existence, remplissant notremémoire d’informations qui semblent venir du passé.« Selon la même loi, explique Garnier-Malet, une autreréalité (temps accéléré) fabrique notre futur dans nosouvertures temporelles en répondant à nos questions. Nospensées émises dans le présent s’expérimentent dans le futur.Mais nous pouvons très bien mémoriser cette expériencefuture sans jamais la vivre. Elle deviendra du passé avecle sentiment d’être déjà vécue. Donc, comme disait le poètePaul Eluard : “le passé, est la mémoire du futur”. Un futurqui devient du passé sans jamais avoir été présent. On voitbien que passé, présent, futur sont trois temps simultanésqui permettent de vivre. Nous sommes donc celui qui était,qui est et qui sera. Ce que les grecs appelaient la Triade.

De la bactérie àl'univers, en passantpar une étoile commela nôtre, tout est àl'image de cetterespiration universellequi transforme unhorizon d'informationΩ en petit noyau αd'un nouvel horizonavec un mouvementdouble connude l'Orient sousl'appellation « yinet yang » (Changezvotre futur…, L. et J.-P.Garnier Malet).

Cette même double héliceest à l'origine du scarabée,symbole de métamorphosede l'Égypte antique.y

Ω

α

ρ

Ωρα = oura. Appeléautrefois principe de

l'alpha et de l'oméga,le mouvement de

dédoublement reliel'horizon Ω et la

particule α par le lienρ. Ce n'est pas unhasard si en grec,

Ωρα signifie la divisiondu temps. (Changez

votre futur…, L. et J.-P.Garnier Malet).

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Et si nous n’arrivons pas à mémoriser le futur avant de levivre, nous allons dans l’inconnu, dans le déséquilibre. Ilen va de même si nous créons un mauvais potentiel futur.Exemple : je pense à tuer quelqu’un. Pourquoi ? Parce qu’ilm’énerve. Je sais bien que je ne vais pas le tuer, mais j’aipensé à le tuer. La conséquence est déjà là. Par la suite, àdes milliers de kilomètres de là, quelqu’un pense commemoi, ouvre la porte de ce même potentiel et lui, il tue,réellement, parce que j’ai fabriqué ce potentiel. Je suis donccoresponsable de ce meurtre. Vous voyez que cela va trèsloin. » Ainsi, par ce dédoublement des temps (passé,présent, futur), nous pouvons bénéficier à chaqueinstant dans notre « présent » d’une information du« passé » et d’une information du « futur ».

Un créateur et un double pour chacunInitialement, lors du premier dédoublement racontétout à fait scientifiquement dans la genèse12, cetteloi universelle donnait àtoute créature un créateurdu dédoublement cycliquedans le passé et un doubledans le futur. Un échanged’informations dans lesouvertures temporelles rendaitce créateur unique capabled’informer instantanémentles créatures des dangersrencontrés par le double quicherchaientunesolutionàleursdifférents problèmes. Ainsi,certaines questions pouvaientêtre effacées de leur mémoireavant même qu’elles en aientconscience. La recherche del’immortalité des créatures nécessitait cette rapiditéfoudroyante de l’anticipation grâce aux échangesd’informations dans les trois temps dédoublés (passé,présent, futur). Celles-ci pouvaient donc dire : « Je suisdans le père et le père est en moi. » Elles bénéficiaient dece que les Grecs appelaient la « triade » des immortels.

Comment nous sommes devenus des hors-la-loiAvant un nouveau cycle de 25 920 ans, à la fin dela période de transition de 1080 ans, nous avonsabandonné cet espace créateur en dédoublementet nous sommes devenus des « hors-la-loi ». Notredouble a pris la place de notre créateur et pourbénéficier d’un indispensable futur lors du cycle dedédoublement actuel, nous nous sommes associés avecd’autres créatures dont les doubles remplaçaient ainsile nôtre. De ce fait, en sachant que notre double estmaintenant notre père dans le temps ralenti du passé,nous pouvons dire : « Je suis dans le père et le “bazar” dufutur est en moi ! » Car nous n’avons plus de double dansle futur, nos complices et associés du début d’un cyclede vingt-cinq mille ans sont devenus des inconnus. Sinous ignorons la loi, ce n’est pas le cas de ces derniersqui l’utilisent pour mieux nous parasiter. Quelintérêt trouvent-ils dans ce « parasitage » ? Comme

ils vivent dans ce tempsaccéléré, entretenant notreignorance, ils remplacentles informations salutairesde notre double par desinformations mensongèresqu’ils font passer pour« paroles d’évangile ». Cen’est pas difficile puisqu’ilscréent le futur que noussouhaitons. Nous ne savonspas que nos rêves leurpermettent de modifiernos souhaits (voir encadrépage suivante). Grâce à cesmodifications nocturneset quotidiennes, ils vivent

à leur guise, tout en se cachant dans nos ouverturestemporelles, restant toujours volontairementinobservables. Or nous vivons la fin d’un cycle dedédoublementdestempsquidevraitnouspermettredenous déparasiter avec une extrême facilité, à conditionde connaître le bon mode d’emploi des ouverturestemporelles. Nous pouvons nous « déparasiter » parceque nous vivons la fin d’un cycle. Cependant, le futurfait tout pour que nous l’ignorions afin qu’il puisse

conserver le mode de vie qu’ils nous ontinculqué et qui n’a rien à voir avec

celui que souhaite notre doubleet qui était également le nôtre

avant de nous séparer de

Je pense à tuer quelqu’un parcequ’il m’énerve. Je sais bien queje ne vais pas le tuer, mais j’y aipensé. La conséquence est déjàlà. Par la suite, à des milliers dekilomètres de là, quelqu’un pen-se comme moi, ouvre la porte dece même potentiel et lui, il tue,réellement, parce que j’ai fabri-qué ce potentiel. Je suis donc co-responsable de ce meurtre. Vousvoyez que cela va très loin.

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lui à notre naissance. « Pour le futur, c’est de bonne guerre,plaisante Garnier-Malet, car, par l’utilisation normalede notre dédoublement et la connaissance du mécanismedes ouvertures temporelles nous pouvons retrouverles pensées qui correspondent enfin aux questions denotre double. »

De grand bouleversements planétairesLoin de toute controverse, cette théorie entraînedonc une certitude : nous vivons en ce moment unefin de cycle de dédoublement solaire et galactique quisemble coïncider avec un cycle plus universel13. Cettefin entraîne d’importantes modifications de notreplanète dont nous n’avons pas encore véritablementsaisi l’ampleur.Démontrant l’existence d’un double pour chaqueparticule et, de ce fait, pour chaque être humain,cette théorie montre que nous disposons d’uneénergie colossale de dédoublement par « desouvertures temporelles » imperceptibles, définiespar un mouvement fondamental et universelde dédoublement. Elle nous montre égalementl’existence d’une énergie de répulsion ouantigravitationnelle (66,6 % de l’énergie de l’univers)quipourraitêtrecontrôléedansnotreenvironnementsolaire : cette énergie fut observée pour la premièrefois en 1998 par deux astrophysiciens Saul Perlmutteret Brian Schmidt14. On retrouve ainsi la « constantecosmologique » qu’Einstein15 avait essayé en vain

d’imposer pour finalement satisfaire ses opposants endéclarant que c’était « la plus grosse erreur de sa vie ».Explicable également par le cycle de dédoublement,l’apparition en 2007 d’un vide immense dansl’univers16 (appelé « cold spot ») nous montre enfinnotre importance actuelle dans l’univers en« démontrant » notre lien avec d’autres temps etd’autres mondes. En utilisant en toute connaissancede cause notre propre dédoublement, nouspourrions mieux vivre et surtout, savoir que nouscréons notre futur le jour pour le contrôler la nuit(voir encadré ci-dessus) avant de le vivre car noussommes des machines à créer des potentiels dansla journée. Comment ? Garnier-Malet répond :« Prenons l’exemple du potentiel électrique. Vousfabriquez en France un potentiel de 220 volts quelquepart, vous branchez vos appareils et ils fonctionnent.Très bien. Mais imaginez que vous fabriquiez unpotentiel de 1 000 volts. Quand vous allez vousbrancher, tout va sauter. C’est exactement pareilpour le futur, si vous ne fabriquez pas un potentielqui est fait pour vous. Si vous vous branchez sur cepotentiel, vous risquez d’être foudroyé, électrocuté.Faut-il accuser alors le hasard, la prédestination, undieu, un diable ? Non : vous-mêmes. Vous actualisezce que vous avez fabriqué. Alors évidemment, parfoisvous actualisez un potentiel de quelqu’un d’autre quin’est pas fait pour vous. Dans l’ignorance du principedu dédoublement, nous pouvons dire qu’on vit tous

L’important n’est pas de se souvenir ou pas de ses rêves.Ce qui compte c’est que votre double puisse venir

vous donner des explications pendant la nuit. On saitmaintenant que lorsqu’on réveille quelqu’un par un bruitviolent et soudain, le rêve ne dure que le temps d’émissiondu bruit émis pour réveiller la personne. C’est-à-dire quele rêve a justement été déclenché par le bruit qui a réveilléle dormeur. Pendant le milliardième de seconde du bruit, ila fait une expérience de plusieurs jours et il a l’impressionqu’on l’a sorti d’un bon rêve à cause du bruit, alors quec’est le bruit qui a déclenché le rêve. Pendant le sommeilparadoxal, l’activité intellectuelle est très grande, mais vousne rêvez pas. Pendant le sommeil paradoxal, vous n’êtesplus là, ni dans votre lit, ni dans votre corps. Votre corpsest immobile parce que vous n’êtes plus là. En effet, noussommes un corps qui est fait pour recevoir des informations.Il faut pouvoir aller les chercher avec un corps qu’on peutappeler un corps énergétique. Ce corps revient ensuite dansvotre corps physique pour lui donner les informations qu’ilest allé chercher ailleurs. Ce corps énergétique n’est pasun double : c’est notre corps à nous. Il est en quelque sorteboutonné tel un « pardessus » sur notre corps. Les boutonss’appellent les chakras. Que ce soit vous, votre double ouceux qui fabriquent votre futur, chacun a un corps physiqueévoluant dans son temps et un corps énergétique voyageant

entre les différents temps dans les ouvertures temporelles.L’échange des corps énergétiques pendant la nuit permetà votre double d’arranger votre futur pendant que votrecorps énergétique remplace le sien. Vous prenez ainsiconnaissance de ses questions et de ses souhaits. Pendantce temps, vient se loger dans votre corps physique un corpsénergétique du futur. Ce dernier n’est pas maître de votretemps. C’est la raison pour laquelle votre corps physiquene bouge pas. En revanche, il ne cesse de donner desinformations à votre cerveau dont l’activité intellectuellereste ainsi aussi importante que pendant votre éveil.Pendant ce sommeil qui semble paradoxal, c’est le corpsénergétique de votre double qui va contrôler et arranger lefutur que vos pensées ont créé pendant le jour. Cela exigedonc que vous soyez capables de le faire venir. Quandvous vous réveillez, les informations de votre futur sont envous et, connaissant les souhaits de votre double, voussavez ce que vous devez faire dans la journée. C’est toutbête, c’est tout simple, et tous les enfants le font. On nedevrait jamais prendre une décision sans aller dormir. Sansvotre double, le mécanisme reste le même, mais c’est lefutur qui vous dicte votre conduite à venir en vous imposantdes idées différentes. Dans l’ignorance de la loi dudédoublement, un tel parasitage des pensées est inévitable.Qui, sur terre, connaît cette loi vitale ?

Pourquoi la nuit porte conseil

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en utilisant un potentiel quenous n’avons pas fabriqué,mais qui a été fabriqué parune collectivité et que cettecollectivité ne pense pasforcément à nous faire survivre. Nous seuls sommescapables de survivre par nous-mêmes, à une condition,c’est de faire intervenir celui qui nous dédouble dansle passé et qui est maître de nos questions. C’est luiqui nous donne nos questions, nous lui donnons desréponses, et nos réponses fabriquent un potentielpendant le jour et il faut qu’il vérifie ce potentielpour voir s’il lui convient. Ce rôle-là, il l’a pendantla nuit. Les enfants le font très bien dès la naissance.Mais dès qu’ils vont à l’école, on leur apprend qu’ilne faut pas rêver ». De ce fait, l’enfant s’éloignede son double dont il est très proche pendantles sept premières années de sa vie. Par la suite,personne ne lui enseigne ce qu’il faut faire,donc il se déséquilibre, le plus gros déséquilibrearrivant bien sûr aux alentours de 14 ans.

La fin d'un cycle, pas celle du mondeNos ancêtres lointains parlaient de la fin des temps,sachant pertinemment qu’il ne s’agissait pasd’une fin du monde, mais de la fin (d’un cycle dedédoublement) des temps. Ils avaient des docteursde la loi du dédoublement, une loi (logos) qu’ils

savaient universelle et qu’ilsappelaient aussi « principede l’alpha et de l’oméga ».Avec la théorie scientifiquedu dédoublement, Jean-

Pierre Garnier-Malet le dit lui-même : « Je n’ai fait queretrouver une vérité oubliée, que les civilisations anciennessavaient utiliser dans le quotidien. La voyance dans les“ouvertures temporelles” était leur indispensable alliée pourchanger le futur17. Aujourd’hui, il devient urgent d’utilisercette science universelle pour redonner un équilibre à notreplanète. »Est-il vraiment possible de stopper le désordreplanétaire actuel, obligatoirement lié au cycle de25920 ans selon cette théorie ? Selon Garnier-Malet,chacun des potentiels que nous créons par nos penséesest une énergie perdue si personne ne l’actualisedans sa vie. Il est évident que personne ne souhaitevivre la conséquence de ses pensées violentes ousimplement agressives. Qui n’a jamais songé à tordrele cou à un voisin qui l’insupporte ? Nous sommesplus de six milliards d’individus à avoir des penséeshorribles presque chaque jour, ne serait-ce qu’enregardant la télévision. Seuls, les tout petits enfantsparaissent échapper à ce genre de pensées, bien queleurs cauchemars semblent parfois nous prouver lecontraire. Et les jeux vidéo ne sont pas pour calmerles pensées.

Il devient urgent d’utiliser cettescience universelle pour redonnerun équilibre à notre planète.

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Certes, à l’évidence, nous ne voulons pas qu’un voisinnous torde le cou… mais nous allons voir que c’estindirectement le seul moyen de récupérer l’énergiede notre pensée meurtrière. Car d’une manière oud’une autre, toute cette énergie perdue doit êtrerécupérée en fin de cycle de dédoublement par toutesles particules de notre horizon terrestre. Or noussommes nous-mêmes particules de cet horizon touten étant – c’est la loi du dédoublement – horizon denos propres particules.Pour résoudre ce problème, deux mécanismes derécupération se présentent à nous.

Stopper les météorites ou changer nos penséesLe premier concerne la Terre qui peut absorber de lamasse pour récupérer de l’énergie selon la loi d’Einstein(E = mc2). L’arrivée des planétoïdes à l’horizon plutonienle permet. Actuellement, notre planète reçoit unequantité prodigieuse de météorites. La NASA s’eninquiète car elle n’a pas de solution miracle.Cette boulimie terrestre entraîne un trop plein, dece fait, une anorexie : les volcans crachent du feu, del’énergie et de la masse, aggravant ainsi le déséquilibreplanétaire et les plaques tectoniques se secouent, telle dos d’un dragon en colère, disent les chinois.Le deuxième mécanisme permet de ralentir ou desupprimer le premier. Or il est très simple ! Il suffitde modifier nos pensées pour ne pas créer de futursdangereux ou inutiles. Ainsi, personne ne peut vivredangereusement ou inutilement.La conclusion de Jean-Pierre Garnier Malet paraîtainsi limpide : « Elle rejoint, dit-il, celle d’un juif qui étaitaussi chrétien et palestinien, ce qui serait difficile de nosjours. Cet homme hors normes était capable de dire, selonla loi de l’alpha et de l’oméga18 connue à son époque : "Jesuis dans le père et le père est en moi". Et selon la même loiuniverselle, il proclamait à tous, et plus particulièrementaux scribes et aux pharisiens, savants de son

époque : "Ne pensez pas à faire aux autres ce que vous nevoulez pas qu’autrui pense à vous faire, mais pensez à faireaux autres ce que vous voudriez qu’autrui pense à vousfaire !" ».Deux millénaires auront suffit pour travestir cemessage scientifique, en imposant une idée certeslouable mais parfaitement insuffisante: « Ne fais pas àautrui ce que tu ne voudrais pas qu’autrui te fasse ! »Penser à faire n’est pas faire. Le message de cechercheur hors norme est simple : « Contrôlons nospensées pour changer le futur et trouver notre équilibrepersonnel. Alors la planète se calmera. » ■

Notes

1. www.garnier-malet.comJ.P. Garnier-Malet, 2006, The Doubling Theory Corrects the Ti-tius-Bode Law and Defines the Fine Structure Constant in the SolarSystem. Computing Anticipatory Systems, AIP (American Instituteof Physics) Melville, New-York, Vol 839, pp. 236-249.2. CNRS Info 325, 15 juin 1996.3. C2 = 7C1 = (73/12)105C où C est la vitesse de la lu-mière. D’où C2 = 7C1 = 857 milliards de km/s.4. Alain Aspect 1982, Nicolas Gisin 1998, André Suarez 2001.5. La plus célèbre étant celle d’Einstein : E=mc2.6. L’espace dodécaédrique de Poincaré peut se décrire commel’intérieur d’un dodécaèdre sphérique – sphère composée de12 faces pentagonales – tel que, si l’on « sort » par une facepentagonale, on « rentre » immédiatement par la face opposéeaprès une rotation de 36°. Un tel espace est donc fini, bienque sans frontière ni bord, de sorte que l’on peut y voyagerindéfiniment sans obstacle. Source : observatoire de Paris.7. R. Lehoucq, J.- P. Uzan and J.- P. Luminet: « Limits of crystallo-graphic methods for detecting space topology», Astronomy andAstrophysics (2000), 363, 1.8. On distingue les vrais crop-circles (faits par on ne sait qui)et les faux (faits par les hommes) par le fait est que, dans lesvrais, les céréales continuent de pousser, et l’année suivante, ledessin est encore visible après les semailles, lors du début dela pousse. Cela n’est pas le cas pour les faux.9. Internet : momies chinoises.10. J.P. Garnier-Malet, 2006, The Doubling Theory Correctsthe Titius-Bode Law and Defines the Fine Structure Constant inthe Solar System. Computing Anticipatory Systems, AIP, Mel-ville, New-York, Vol 839, pp. 236-249.11. La ceinture de Kuiper est une zone du système solaire à lalimite de l’orbite de Pluton.12. Ancien testament.13. Prochaine publication scientifique.14. Saul Perlmutter and al. (1998) « Discovery of a SupernovaExplosion at Half the Age of the Universe (the Supernova Cos-mology Project) ». Nature, vol. 391, pp. 51-54.15. Abbot Larry, 1998, « Le Mystère de la Constante Cosmologi-que », Pour la Science, n° 249. Jean-Philippe Uzan, 2004, « Quecache la constante cosmologique ? » Pour La Science n°326.16. Entre autres : http://news.nationalgeographic.com/news/2007/08/070824-hole-sky.html17. Voir les livres : Changez votre futur par les ouverturestemporelles et Le Double, comment ça marche ? aux ÉditionsLe Temps Présent.18. Voir l’Apocalypse de Saint Jean.

À propos de l’auteurVincent Crousier est journaliste scientifique indépendant. Il a collabo-ré à Science et Vie et à L’Express (rubrique Découvertes). Il est l’auteurde l’essai Génétique : entre réalité scientifique et mythe médiatique,aux éditions Manuscrit.

Le nombre d'astéroïdes approchant la Terre connaîtune croissance spectaculaire depuis une vingtained'années. Pour Garnier-Malet, ce phénomènes'explique par la fin du cycle de dédoublement solaireet galactique que nous connaissons.