Dans le Dvar Mal’hout de cettesemaine, le Rabbi Roi Machia’hChlita, nous annonce clairement que: au vu de ce que le Peuple Juif a vécupendant toutes ses pérégrinations aufil des siècles, il est de notre pouvoirde devenirun juste, un Tsaddik. Ilsuffit de le vouloir. Or, l’on ne pou-vait, auparavant, imaginer une telleavancée, en sachant que le plus hautniveau dont parle le Tanya est celuidu Beinoni pour le commun des mor-tels, l’homme intermédiaire (que lagrande majorité espérait atteindre ensuivant pas à pas les directives dulivre de l’Admour Hazaken). Unedéclaration qui ne peut être pronon-cée que par le Roi Machia’h lui-même, être un juste, un Tsaddik !Alors puisque nous pouvons tous êtredes Tsaddikim, et ce qu’un Tsaddikdécrète, Hachem entérine Lui-mêmesa décision… Nous devons tous nousunir et comme un vote général,comme un cri ultime, demander ledévoilement immédiate du RoiMachia’h, afin que nous sortions tousde toute pensée d’exil, du joug desnations du monde, que nous entrionstous dans une ère de paix, de joie,d’unité au sein de notre Peuple,uneère où l’homme et D.ieu ne fontqu’Un !

Et pour cette semaine, voici lesconseils que donne le Dvar Mal’hout:Tout d’abord mettre en évidence quechaque chose dans le monde a étécréée par Aloufo Chel Olam, le Saintbéni soit-Il en utilisant ces objetsLeChem Chamaïm, pour la sainteté.Ensuite, étudier la Torah au niveau deOulpana, la partie révélée de la Torahmais aussi la partie cachée de laTorah à la façon de Rabbi ChimeonBar Yo’haï dont la Hilloula sera célé-brée jeudi prochain pour LagBaOmer. Et enfin, influencer son

entourage par la diffusion duJudaïsme et de la ‘Hassidout.

Nous devons tous en lisant ce DvarMal’hout de la Parachat Emor, déci-der d’être des Tsaddikim et faire pourtout notre entourage et pour nous-mêmes des miracles, des merveilleset des prodiges parce qu’aujourd’huic’est possible. Comment? En écrivant une lettre adressée au Rabbi Roi Machia’h Chlita et en nous l’envoyant par email à viveleroi770@gmail.comet de cefait, ouvrir les yeux et voir que noussommes déjà dans la période de ladélivrance et que D.ieu sauve Son

Peuple de manière individuelle et col-lective en même temps…Et bien sûr se préparer à participer audéfilé de Lag BaOmer, aux festivitésde cette extraordinaire journée danslaquelle nous pouvons demander etbénéficier de tous les miracles et enpriorité le plus grand d’entre eux: Ladélivrance véritable et complète parl’intermédiaire du Rabbi RoiMachia’h Chlita, notre juste. Et par lemérite de ce grand jour, nous deman-dons à ce que tout cela se passe immé-diatement, sans attendre une secondede plus, c’est pourquoi nous nousexclamons tous ensemble: «Vive leRoi Machia’h, Now, Mamach! ».

N°161 - Chabbat Paracha Emor- Hebdomadaire - Contact : 050-7080871 - www.viveleroi770.com - viveleroi770@gmail.com

Bonnes Nouvelles

Jérusalem Har ‘Homa Cours de Tanya femmesdimanche soir 20h45Rav Avi Assouline054-6357709

Beit Machia’h Har ‘HomaCours tous les soirs etFarbrengen le jeudi soircette semaine avec leRav Doron Oren050-4147725 - 34, rue RavIts’hak Nissim Rav Shlomo Yossef TsionActivités le Chabbat à18h30 pour les enfants

Talpiot-Arnona : cours (fr)de Tanya et Dvar Mal’hout ledimanche soir à 20h00Activités pour les jeunes fil-les pendant la semaine (ren-seignements par téléphone)et pour les enfants leChabbat à 17h00 au 19,Rehov Chalom Yehuda050-7080871

Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv054-4866072

Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764

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Photo de la semaine

Pour écrire au Rabbi deLoubavitch Roi Machia’h

par l’intermédiaire des

Igueroth Kodech050-7080871

ou par emailviveleroi770@gmail.com

Editorial

Iyar 5772 : Une grande première !

Alors que nous vivons les premiers jours du mois de Iyar, nous sommes dans le mois qui a vu naîtrele Psak Din, le décret rabbinique selon lequel, le Rabbi de Loubavitch a été élu «le Roi Messie» le 2Iyar 5751-1991. Le Machia’h est l’homme, le Juif que le monde entierattend depuis 5772 ans, depuisla création de l’homme, Adam, qui lui-même devait être ce personnage, le Machia’h, immortel etentièrement bon.

Dans le travail qui consiste à trans-former l’exil (Gola) en délivrance(Guéoula), il y a trois phases: Toutd’abord, le dévoilement de la divi-nité dans le monde et en concor-dance avec ce monde (Aloufo ChelOlam, le Maître du monde). Puis, ledévoilement de divinité qui est au-dessus du monde, tout en possédantun rapport avec le monde, et plusparticulièrement, par le biais de laTorah qui précède le monde(Oulpana). Et enfin, il existe undévoilement de divinité qui est sansaucune commune mesure avec lemonde, d’un niveau transcendant, etplus précisément, par les«Merveilles de la Torah (2)» (quireprésentent les commentaires de laKabbala et de la Hassidout, Ndt),qui se dévoileront lors de la déli-vrance véritable et complète.

Et donc, la première étape (3), s’ex-prime dans le mouvement de dévoi-lement dans tous les domaines de lavie physique (la Galout, l’exil), leAlef d’Aloufo Chel Olam. Dévoilerla façon dont le Saint béni soit-Il estle Maître et le Propriétaire dumonde et dans le monde: «Olam»,le monde, vient du langage de«Elem, le voile, le cache (4)», et cemonde a été créé afin de voiler et decacher la divinité, la parole de D.ieuqui créée continuellement, vivifie etlui donne son existence (5).

Et le travail des enfants d’Israël estde révéler dans le monde la manièrequ’utilise le Saint béni soit-Il pourdiriger Son univers et être le Maîtredu monde - que ce soit dans lemonde en général ou dans les pluspetits détails en particulier: «Car jeverrai le ciel, œuvre de Tes doigts,la lune et les étoiles que Tu as pré-paré (6)», et de même pour toutesles créatures, le dévoilement deCelui «qui active», chez celui «quiest activé».

La merveilleEn plus du travail d’étude de laHassidout pendant l’exil, qui agit entant que révélateur du Alef dans laGola (Guéoula), ce qui est l’inten-tion suprême de la descente en exil,comme il est écrit: « Et tu diras ence jour : Je Te remercie Eternel,d’avoir fait éclater sur moi Ta colère(7) ». Car a priori, sur quoi porte ceremerciement que Tu as «fait écla-ter sur moi Ta colère» ? Et il estimpossible de dire que c’est à causede la suite du verset: «Car Tacolère s’apaise et Tu me consoles».Bien au contraire, il s’agit bien làd’un remerciement sur le fait«d’avoir fait éclater sur moi Tacolère», c’est à dire que puisquenous sommes descendus en exil, ceque l’on peut exprimer par «Tacolère», vient par la suite la déli-vrance, la Guéoula, la délivranceavec toute l’élévation qui s’yexprime, et principalement l’intro-duction du Alef (anagramme de«Pélé, une merveille») dans «Gola»,comme dans le verset: «Je veuxexalter et louer Ton Nom, car Tu asaccompli une merveille (8)».

Le Machia’h en exempleEt puisque la Guéoula véritable etcomplète arrive par l’intermédiairedu Machia’h, notre juste, il est clairque chez le Machia’h existent aussiles trois niveaux du Alef de laGuéoula.

Et pour que chaque Juif puisse per-cevoir le dévoilement du Machia’h,il doit, lui aussi, posséder un ersatzdes niveaux du Alef mentionnésplus haut car il est connu que le Juifpossède une étincelle de Machia’h(9), ainsi, chacun de nous peutarguer : « Ce verset se réaliserachez chacun de nous comme il estécrit, ‘Et se posera sur lui l’esprit deD.ieu etc. (10)’». Ces niveaux qui sont: LaMal’hout, la royauté, les Midot, lessentiments, l’intellect qui est reliéaux sentiments, et l’intellect en soi.

L’étincelle divineEt puisque chez chaque Juif il y aune parcelle de divinité d’En-Haut,véritablement (11), et plus encore,:« Une parcelle d’Avayé, de D.ieu,est en lui (12)», et lorsque l’on sai-

sit une parcelle, c’est comme si onle saisissait en entier (13). Ainsi,sont comprises en lui les quatre let-tres du Nom «Elo-ah » (D.ieu,dans l’aspect de Aloufo Chel Olam,Maître du monde), et «Avayé » (ladivinité lorsqu’elle est au-dessus dumonde).

Notre travail est de faire ressortirces quatre niveau chez nous,jusqu’au niveau de «au-delà de laligne de conduite», « la voie ‘has-sidique (14)», les merveilles (dansla Torah).

La perfection de la royautéPar le fait qu’il possède ces quatreniveaux de manière dévoilée, laroyauté atteint, à ce moment-là, laperfection, celle du trône de royautéqui possède quatre pieds, «EtSalomon s’assit sur le trône del’Eternel (15) », et c’est ce que l’onretrouvera chez chaque Juif, car lesJuifs sont des «fils de rois (16)»,et plus encore, «des rois (17)»jusqu’à ce qu’il atteigne le niveaude « Me’houbad, honoré», ce quilui vient de l’honneur du Saint bénisoit-Il. [De plus, lorsque l’on voitun roi non-Juif, on dit la bénédic-tion : « Qui a donné de Son hon-neur aux êtres de chair et de sang(18)»].

Et à plus forte raison par leur appar-tenance à la Torah (chaque Juif pos-sède une lettre personnelle dans laTorah, et sa parcelle de Torah), «Tous tes enfants seront des disciplesde l’Eternel (19)», «Qui sont lesrois ? Les Rabbanim (20)», grâce àcela, de la sagesse se rajoutera dansla royauté (le niveau de Salomon),jusqu’à la plénitude de la royautéqui contiennent les quatre niveauxmentionnés (21): «Sage, fort,riche, respecté».

La joie de Rabbi ChimeonNous nous trouvons dans les joursqui suivent Lag Baomer, le jour dela Hilloula et le jour de joie deRachbi (Rabbi Chimeon BarYo’haï). Grâce à Rachbi, il y eut ledévoilement de l’intériorité de laTorah (les merveilles de la Torah),et la majorité de ce dévoilement eutlieu le jour de son départ, l’âme de

w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o mL’Edit Royal - Dvar Mal’hout

Résumé du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h ChlitaChabbat Parachat Emor- 20 Iyar 5751-1991

Le Carnet : Refoua Chéléma, Bonne santépour Ben Chalom Reuven Ben Daniéla Adina ainsi que pour RaphaëlOuriel Ben Drora, Mina Guila Bat ‘Hanna, Adiel Ben Bra’ha et Bryan Aharon Ben Léa. Leilouï Nichmat de NorbertAvraham Ben Pnina Beckouche, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia et Rachel Pessa'h,‘Haya Sim’ha Bat Avraham Haddad, Haya Clara Bat Chmouel, Chimon Ben Avraham et Yonathan Raphaël Sandler,Arié Alexandre et Gabriel Issa’harSandleret Myriam ‘Hanna Monsonégoqu’ils reviennent tous immédiatementavec le Machia’h

Alef dans Gola = Guéoula

La lettr e Alef se rajoute dans le mot «Gola, exil », pour donner le mot « Guéoula, délivrance ». Or, il existeplusieurs sens à cela : 1/ Alef est de la même racine que le mot Alouf (Maîtr e), Aloufo Chel Olam, Maître du monde2/ Alef est aussi de la même racine que le mot «Oulpana » qui veut dire « étudier », comme dans le verset:« Je t’enseignerai la sagesse, Je t’enseignerai l’intelligence (1)». 3/ Alef est aussi l’anagramme du mot «Pélé, une merveille».

w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o mHistoirel’âme de la Torah (l’intériorité des secrets qu’il a

dévoilé pendant toute sa vie (22), dans lequel il estexpliqué que c’est le jour de son départ, que Rachbi adonné des commentaires d’une grande puissance et quiont donné un nouvel éclairage sur tout son enseigne-ment - Ndt), et grâce à la rédaction de ces commentai-res-là (dans le livre du Zohar), ce sont dévoilés par lasuite à tout Israël, jusqu’à ce qu’ils en fassent «leursubsistance (23)» par leur compréhension, dévoile-ment des merveilles de la Torah dans la Sagesse(Ho’hma), Intelligence (Bina) et Compréhension(Daat). C’est le départ et un exemple du dévoilementde l’intériorité de la Torah dans le monde futur.

Comment agir maintenantLa directive que l’on peut tirer de cet enseignement, ence qui concerne les actions des enfants d’Israël qu’ilsdoivent mener pour rapprocher encore plus la Guéoula:En plus de toutes nos activités dans le monde, dans lemonde entier, il nous faut dévoiler que le Saint bénisoit-Il est le Maître du monde, Aloufo Chel Olam dansle monde et dans chaque chose du monde. Toutd’abord, grâce au fait que nous utilisons tout les objetsdu monde «LeChem Chamaïm, pour le spirituel», etpour « Daéhou, Le connaître», ainsi, le monde, lui-même dévoilera l’honneur du Saint béni soit-Il.

Ainsi, nous rajouteront aussi dans «Oulpana, l’étude»de la Torah, et plus particulièrement dans l’intérioritéde la Torah, comme elle se dévoile dans la ‘Hassidout,dans la compréhension et conception, dans la Ho’hma(Sagesse), Bina (Intelligence) et Daat (Connaissance).Et aussi influencer son entourage par le fait de répan-dre la Torah et le Judaïsme et de répandre les sources.

Instantanément MamachEt que soit Sa volonté, que grâce à son travail, de ter-miner de faire entrer et de dévoiler le Alef dans la«Gola», ceci amènera immédiatement la Guéoula demanière instantanée Mamach (véritablement). Tels quesont les enfants d’Israël dans leurs situation actuelle etmatérielle (Mamach), dans leurs vêtements, même sice sont des «habits sales (24)» car la Guéoula, ladélivrance arrive d’un niveau où « Il ne les retiendrapas, même le temps d’un clin d’œil (25)». Et immé-diatement, après la Guéoula, «Et il lui dit… ôtez luices vêtements (26)», et à plus forte raison, lorsquel’on parle de «Ton peuple est composé uniquementde justes».

Et tous les enfants d’Israël, «avec nos jeunes et nosvieux… nos fils et nos filles», vont ensemble, avectout ce qu’ils ont, «avec leur argent et leur or (27)»,et à plus forte raison, avec toutes les synagogues etmaisons d’étude (28), et les Sifrei Torah qui y habi-tent, ainsi que le Sefer Torah que l’on a terminé cettesemaine, grâce aux activités des femmes et jeunes fil-les d’Israël, avec la conclusion et la A’hnassat SeferTorah, dans la joie, accompagnée de danses etc., etgrâce à leurajout dans la Tseddaka qui rapprochela délivrance (29). En Terre Sainte, à Jérusalem,ville sainte, sur le mont saint, dans le troisièmeTemple «Le Temple que Tu as préparé de Tesmains (30)».

Notes1 - Job 33.33 - 2 - Voir les notes du Tsema’h Tseddek sur les Tehilim,Yahel Or, p.461 - 3 - Introduction au Imrei Bina - 4 - Voir LikouteiTorah Chela’h 37.4, Maamarim du Admour Haemtsahi Dvarim, part.1p.63, part.3, Likoutei Si’hot part.34 p.112, note 63 - 5 - ChaarHayi’houd Ve’haémouna Ch.1 - 6 - Ps. 8.4 - 7 - Isaïe 12.1 - 8 - Isaïe25.1 - 9 - Maor Enaïm fin Par. Pin’has - 10 - Isaïe 11.2 - 11 - Tanyadébut Ch.2 - 12 - Paracha Aazinou 32.9 - 13 - Keter Chem Tov - 14 -Baba Kama 30.a - 15 - Chr.I, 29.23 - 16 - Chabbat 67.1 - 17 - TikouneiZohar Int.a - 18 - Brakhot 58a - 19 - Isaïe 54.13 - 20 - Guittin 62a -21 - Avot 4.1 - 22 - Voir Maamar «Gal Enaï » part.5 (5737) - 23 -Tikounei Zohar 15 - 24 - Zacharie 3.3 - 25 - Me’hilta - 26 - Zacharie3 - 27 - Isaïe 60.9 - 28 - Meguila 29a - 29 - Baba Batra 10a - 30 -Bechala’h 15.17

Sauvés parles Igueroth Kodech

La dir ective du Rabbi Roi Machia’h Chlita de publier les miracles, prend cesderniers temps une ampleurtoute nouvelle grâce au développement de la tech-nologie et des moyens informatiques. Chacun peut diffuser personnellement lesmiracles sur le net de la manière la plus rapide et la plus large qui soit.Dansle blog d’Edith Bitton, celle-ci raconteun miracle du Rabbi MHM qui, selon sesdires, « nous a sauvé du pire grâce auxIgueroth Kodech! ».Elle raconte: « Depuis quelques temps, jevoulais vraiment partir en voyage enTurquie, mais mon mari s’y opposait à cha-que reprise. Son principal argument était:«Je ne voyage pas dans un pays musulman».Je n’ai pas baissé les bras jusqu’à obtenirson accord et à la fin nous avons acheté lesbillets. Pourtant, deux jours avant notre départ, jefus prise d’une appréhension qui ne me quit-tait plus à cause de ce voyage, mais je n’endisais mot à mon mari. Un couple d’amisme conseilla d’écrire au Rabbi MHM dansles Igueroth Kodech. La réponse fut ensubstance: «Vous n’aurez pas à voyageret mériterez de nombreuses bénédic-tions»… Mon mari rentra du travail et remarqua toutde suite mon état d’esprit inhabituel. Il medemanda tout de même si je voulais fairequelques courses ou du moins commencer àfaire les valises. A chaque reprise, je luirépondais autre chose et trouvais toutes sor-tes d’excuses pour ne rien en faire et surtoutne rien dire de tout ce qui me taraudait.Même si nous étions deux jours avant notredépart et rien d’autre n’était prêt que les bil-lets d’avion.Le lendemain soir, veille du voyage, jedévoilais à mon mari le fond de ma pensée,ceci après qu’il m’ai vue pleurant sans inter-ruption. Je lui racontais alors que j’avaisécrit au Rabbi de Loubavitch Roi Machia’hdans les Igueroth Kodech. Mais mon marine voulait rien savoir et me dit que de toutesmanières, il était trop tard pour annulernotre départ.Toute cette nuit-là, je pleurais et gémissaissans discontinuer sur mon sort. Le lende-main matin, je pris contact avec le RavBoro’hov de Re’hovot et lui fit le récit demon histoire, la réponse que j’avais reçudans les Igueroth Kodech.Dans un premier temps, il tenta de me dis-suader de voyager pour toutes sortes de rai-sons : « Vos enfants vont rester seuls, il n’ya peut-être pas de manger Cacher là-bas,etc. ». Quand il vit que je répondais par desarguments imparables, et qu’a priori jen’avais pas de motif valable pour annuler cevoyage, il consulta la lettre qui m’était des-tinée dans les Igueroth Kodech et me dit,tranchant: « C’est clair, il est écrit ici de nepas voyager! ». Je lui répondis alors:«Mais que vais-je dire à mon mari? il vame dire, «je te l’avais bien dit, maintenantc’est ton problème, et comment va t-on se

faire rembourser des billets?». Le Ravrépondit : « Le Rabbi Roi Machia’h Chlitavous promet dans la réponse des IguerothKodech de nombreuses bénédictions, c’estpour cela que vous n’avez pas à vousinquiéter pour le remboursement».Après cet épisode, mon mari m’appela pouren savoir plus, je lui répétais les paroles duRav, et une nouvelle fois la lettre du RabbiMHM. Je ne sais comment, mais je réussis àle convaincre d’annuler complètement levoyage.Il ne nous restait plus qu’une demi journéeet une nuit avant le voyage, et les billetsétaient toujours à l’agence de voyage. Monmari me dit : « Va donc toi-même te fairerembourses des billets, comme tu en as reçul’assurance…».Mais en fin de comptes, il décida de partirlui-même à l’agence pour sauver la situa-tion. Il demanda sur place à la secrétaire, surquelle compagnie le vol était prévu? Ellerépondit : « En Charter, évidemment».Mon mari lui répondit: « Mais il n’en estpas question, je ne voyage que par la com-pagnie El Al ». Puis il changea d’avis etdécida de donner la véritable raison: « Jene vais pas y aller par quatre chemins…»,et il lui fit le récit de la réponse du RabbiRoi Machia’h et tout ce qui en suivit. Elles’enthousiasma pour cette histoire et immé-diatement, elle réagit et remboursa toute lasomme des billets, y compris celle du chè-que qui avait déjà été encaissé. Notre joiedéborda pour ce comportement surnaturel,mais l’histoire ne s’arrête pas là…En Turquie, nous devions loger dans unhôtel qui nous avait été conseillé. Sauf quece soir-là, aux informations, il fut annoncéque cet hôtel dans lequel nous devions dor-mir était en train de brûler totalement!

Traduit de la Si’hat HaGuéoula

Cesouvrages, ainsi que les milliers de DVD vidéoréactualisent ses allocutions et les réunions ‘hassi-diques, les Itvaadouyot du Rabbi, grâce à toute cettematière, on peut se faire une image exacte de l’opi-nion du Rabbi sur tout les sujets existants. Ilscontiennent par exemple, des directives très préci-ses et individuelles sur l’évolution des Juifs et deleurs dirigeants en Israël. Il s’agit de toute manièred’une voie incontournable permettant de s’informersur la manière de gérer la vie quotidienne, privée etpublique, en correspondance avec l’enseignementdu Rabbi.Ainsi, celui qui se retrouve face au doutelorsqu’il doit pr endre une décision cruciale quile touche directement, sa famille, ses affair es ouses contraintes sociales, il est de coutume dansces cas-là, de se tournervers le Rabbi et de lequestionner. Pour cela, il doit être informé qu’au-jourd’hui aussi, cette voie existe, il est possible derecevoir des réponses claires et des directivesdétaillées! Des centaines de milliers de gens auquatre coins du monde, ont été aidé de cettemanière, en connaissant une extraordinaire réussite.

Comment faire? Une personne écrit au Rabbi unelettre dans laquelle il évoque le problème qui néces-site une solution, elle demandera au Rabbi unconseil et le chemin à suivre. Avant d’écrire, il serapréférable de se purifier. Cette purification devraêtre spirituelle et matérielle de concert: une déci-sion concernant de bonnes actions, un don à la cha-rité (Tseddaka), s’orienter vers une pensée positive,s’attacher au Saint béni soit-Il par un renforcementdans la Torah et les Commandements divins d’unepart, et s’immerger dans un Mikvé (bain rituel)d’autre part. Puis, l’on choisira un volume de lasérie des «Igueroth Kodech (les correspondancessaintes)» qui contient des milliers de lettres que leRabbi a écrit au cours des années à différentes per-sonnes, et ensuite, on y fera entrer sa lettre surlaquelle apparaît sa demande.Après cela, on ouvre le livre à l’endroit où a étédéposée la lettre et on peut lire la réponse. En règlegénéral, on sera surpris de découvrir une situationqui ressemble de manière précise à la sienne dans laréponse. Parfois les circonstances ne sont pas seu-lement ressemblantes, mais mêmes des détailscomme l’âge, le nom, l’endroit, la date ou lapériode etc. jusque dans les petits détails. Dansd’autres cas, la «coïncidence» sera moins fla-grante, mais la situation sera tout de même analo-gue de manière générale. Lorsqu’on lit les directi-ves qu’a donné le Rabbi à une personne il y a decela 50 ou 60 ans de cela, il sera aisé de déduire lesdirectives que le Rabbi donne au demandeur actuel,et d’accomplir les ordonnances du message danscette situation bien précise.Quelquefois, il arrive qu’aucune lettre ne lui corres-ponde et le demandeur n’arrive pas à comprendre le

lien avec sa situation. La signification en est que leRabbi ne fournit tout simplement aucune réponse àcette question. Et ceci arrivait parfois même àl’époque, le Rabbi ne répondait pas à toutes lesquestions. Pourquoi le Rabbi préfère ne pas répon-dre à certaines questions? Il y a à cela plusieursexplications. Peut-être doit-on se tourner vers un‘hassid expérimenté et lui poser la question, com-ment explique t-il ce silence? A d’autres moments,la non-réponse du Rabbi peut elle-même être uneréponse… Par exemple, le Rabbi veut prévenir ledemandeur avant de s’associer en affaires avec tellepersonne car au même moment, il ne se comportepas comme le demande la Ala’ha, la loi Juive. Toutceci pour la simple raison que le Rabbi n’a pas cou-tume de rabaisser les gens, ainsi, le demandeurdevra réellement réfléchir à deux fois avant de selancer dans une telle association. Ou, peut-êtremême que le Rabbi lui déconseille par cela de s’as-socier avec cette personne-là. Ou alors, devra t-iléviter d’agir à cet instant précis et repousser sadécision à un moment ultérieur. Les empêchementspeuvent apparaître comme illogiques ou même ris-qués, pourtant, le Rabbi connaît certains faits qu’iln’est pas en mesure de dévoiler au demandeur. Etdonc, par l’absence de réponse, le Rabbi entraînerale demandeur à patienter, que cela lui plaise ou non,c’est pour cela que la réponse est entravée. Il sepeut que les raisons du Rabbi peuvent être compli-quées. Qui sommes-nous pour nous targuer decomprendre une infime partie de ce que le Rabbiprévoit et prophétise?Des milliers d’histoires extraordinaires existentsur les questions et les conseils que le Rabbi adonné à ceux qui l’interrogent par l’intermé -diair e des «Igueroth Kodech». Ces réponses ontplacé de nombreuses personnes en situation opti-male et les ont aidé dans la réalisation de nombreuxprojets positifs, l’amélioration de la vie de famille,la réussite dans la vie. Tout ceci prouve de manièreprobante plus que toute théorie, le fait que le Rabbiest bien vivant, se trouve parmi nous et nous conduitvers la rédemption finale qui se trouve bien plusproche de nous que ce que l’on peut imaginer. Toutcela prouve que le Rabbi est le Roi Machia’h qui vaincessamment se dévoiler à l’humanité entière.

Comme source d’énergie : la joieIl est vrai qu’objectivement, cela fait plus de vingtans que nous ne voyons plus le Rabbi et n’enten-dons plus sa voix en direct. Pourtant, tous ceux quivont au «770 », sont témoins que rien n’a changé.Des milliers de Juifs s’y rendent tous les jours del’année et plus particulièrement pendant les fêtes,les congrès internationaux des émissaires et desfemmes-émissaires; les réunions ‘hassidiques, les« Itvaadouyot» se poursuivent comme à l’accou-tumée, et à la place centrale, nul ne se tient hormisle Rabbi. Les lettres contenant des demandes debénédictions continuent à s’acheminer vers le«770». Le grand bâtiment rouge est toujours lepoint central et le quartier de Crown Heights pour-suit son développement par de nombreuses institu-tions éducatives florissantes. Les émissairesenflammés de la sainteté et de la joie pure du«Seven Seventy»continuent à en sortir pourconquérir le monde et l’élever spirituellement. Desjeunes étudiants et des enfants poursuivent leursétudes et apprennent l’enseignement du Rabbimême si ce n’est qu’à travers les livres et les vidéos.Mais surtout, ils conduisent leur vie avec attache-ment et dévouement à toutes ses directives. Lorsquel’on entre dans la maison d’étude du Rabbi et quel’on attend le début de la prière, il se passe un faitinattendu: un « chemin » se fait dans la merhumaine, comme si le Rabbi entrait véritable-ment séance tenante dans la maison d’étude.Ce n’est pas seulement au sein de la communautéLoubavitch elle-même, mais aussi dans tout lemonde Juif, le Rabbi continue d’être un intervenantincontournable. Des Juifs en proportions bien plusgrandes que par le passé sont attirés par la person-nalité du Rabbi, et pour certains, il s’agit bien de laporte d’entrée vers le Judaïsme. On peut trouverune quantité impressionnante d’institutions ‘Habadaux quatre coins du monde, pourtant, le large éven-tail des styles n’affaiblit aucunement le fait établi:Chaque ‘hassid, chaque émissaire nous fait ressen-tir la même sensation… Le Rabbi est bien présentet il l’accompagne. Et l’on peut se rendre compted’un phénomène actuel et surprenant, les ‘hassidimlanguissent et attendent le Rabbi, comme on a pu leconstater lors de l’attaque cardiaque qu’a subit leRabbi en 5738 (automne 1977), et dans leur opti-que, il s’agit d’une courte période d’attente, jusqu’àce que le Rabbi sorte à nouveau de son bureau.Il serait trop superficiel de penser que cette conti-nuité dérive de l’habitude. Aujourd’hui, le simplefait de fonder une famille est considéré comme unebien lourde tâche, cependant, les ‘hassidim duRabbi, comme par enchantement, mènent une vieharmonieuse de Torah et de Mitsvot; non pas ens’enfermant dans un ghetto ou en s’isolant, maisdans un élan de défi et de vocation, avec l’ambitiond’atteindre de nouveaux sommets spirituels, et tou-jours, toujours, «dans la joie et l’enthousiasme».Il est évident pour l’observateur qui médite à toutcela, que nous sommes ici, en présence d’unesource intarissable d’énergie vitale. Le visagerayonnant et le célèbre mouvement circulaire dubras, encourageant la foule à plus de joie et plusde passion nous transmet à tous l’intuition que«voici, il arrive».

Professeur Y. Branover

Allumage des Bougies Chabbat Parachat Emor

Jérusalem Entrée : 18h46Sortie : 20h01

Allumage des Bougies Chabbat Parachat Emor

Jérusalem Entrée : 18h46Sortie : 20h01

Act

uel

w w w . v i v e l e r o i 7 7 0 . c o mIgueroth Kodech : Un phénomène de société

Un ‘hassid ou toute personne qui s’est habitué à s’en remettre à la sagesse du Rabbi et à son pourvoirprophétique, dequelle façon procèdera t-il pour surmonter les épreuves et les défis parfois compliqués que lui impose la vie? Des cen-taines de volumes des enseignements du Rabbi qui traitent de tous les sujets possibles et imaginables ont été impriméset diffusés largement.