Séquence

214

Séquence 2Raconter son histoire

1 Retours sur le passé

Pour se construire et devenir un adulte sûr de soi face aux autres, il peut être utilede se remémorer certains événements de son passé, heureux ou douloureux…

2. DES PAROLES D’EXILÉSKhalid« Je suis tel un arbre dont lesracines se trouvent de l’autrecôté de la Méditerranéeet dont les feuilles poussentchaque jour ici. Le tempsn’efface pas ce besoin fortd’aller marcher sur les tracesde son enfance. »-------Cher pays de mon enfance.Paroles de déracinés. Coll. Librio© E.J.L., 2005 / Éditions sonoresRadio France

Amin« Je n’aime pas le mot raci-ne et l’image encore moins.Les arbres doivent se rési-gner ; ils ont besoin de leursracines, les hommes pas.Nous respirons la lumière,nous convoitons le ciel, etquand nous nous enfonçonsdans la terre, c’est pourpourrir. Pour nous, seulesimportent les routes. » -------Amin Maalouf, Origines, © Grasset, 2004

3. Pourquoi le « retour » sur le passé peut-il être particulièrementnécessaire pour des exilés ?

4. Khalid et Amin défendent-ils la même opinion ? Expliquezles exemples qu’ils donnent.

Nazare, Portugal, 1956 – Edouard Boubat

Voir, lire et dire

1. Quels éléments de la photo invitent à l’évocationde souvenirs ?

2. Quels événements du passé, pour l’homme et la petitefille, suggère cette image ?

1. UNE PHOTO SOUVENIR

215

Séquence 2Raconter son histoire

3. LE RÉCIT D’ISABEL

Isabel est née en 1958 à Benavente près de Lisbonneau Portugal. Son père Antonio, ouvrier agricole, est partien France, chassé de son pays par le dictateur Salazar (1)et par la misère. Elle raconte un de ses souvenirs d’enfance.

Ce fut par un matin d’hiver, froid et humide, qu’un regards’inscrivit à jamais en moi. Je fréquentais la « segunda classe ».Pauvrement habillée, mais propre, les bottes noires en caout-chouc aux pieds, les cheveux et le corps trempé par la pluie,transie de froid, je me rendais seule à l’école. Presque arrivée,un garçon me dévisagea avec mépris. Tirant sur le manteau de sa mère pour qu’elle me regarde à son tour, il cria avecdégoût : « Regarde la Gitane ! » J’ai vu dans ce regard dense,presque palpable (2), une répulsion pour la petite fille pauvreque j’étais, une envie de destruction de cette chose trempéejusqu’aux os. Ses yeux et son corps m’excluaient de son espace.Une solitude et une tristesse infinies m’ont habitée pendantdes mois, voire toute ma vie. Maintenir le regard, ne pas pleu-rer. Ne pas crier le froid de ce regard qui m’écrasait de toutema pauvreté. Serrer les dents. Lui sourire d’une force volon-taire et défier son mépris de toute la volonté et l’énergieacquises au combat de la rue. Ne pas lui montrer ma peine.(…) Je crois que je suis devenue adulte ce matin-là. J’avaishuit ans. Mon père était parti, depuis peu de temps, loin, enFrance. (…) Et ce matin-là, avec ce regard, j’ai pris l’engage-ment de ne plus permettre à qui que ce soit de me regardercomme ça ou de regarder ainsi les gens que j’aimais. J’ai prisl’engagement de devenir « quelqu’un » et de donner un nom à mes parents.« Saudade » Cher pays de mon enfance . Paroles de déracinés. Coll. Librio ©E.J.L.,

2005 / Éditions sonores Radio France1. Dirigeant politique portugais de 1933 à 1968. 2. Qu’on peut toucher.

5. Quel souvenir raconte Isabel ?Est-il heureux ou malheureux ?

6. Pourquoi ce qu’elle a vécu l’a-t-elle aidée à « se construire »et à s’affirmer ? Citez uneexpression significative.

Pour conclureEt vous, êtes-vous plutôt « racine » ouplutôt « route » ? Expliquez votre choix.

à l’oral Le récit d’un souveniru Racontez un souvenir d’enfancequi vous a particulièrement touché(e).Présentez chronologiquement les faitspuis dites ce que cet événement vousa appris. (Durée de la prise de parole : 5 min au maximum.)

u Enregistrez plusieurs prestationset observez-les. Soyez particulièrementattentif au regard, aux gestes (utiles ouinutiles), au volume de la voix (suffisam-ment audible), à la clarté de l’élocution,au débit, au niveau de langue, etc.Puis exprimez vos réactions.

Comment raconter

un souvenir ?

J’habite à Villejuif, une petite ville de la banlieue parisienne […]Lorsque j’étais môme, nous nous sommes installés pas loin de laplace de la République (1). Mes copains étaient Portugais,Espagnols, Yougoslaves, Italiens… et Français.Au printemps, on allait traîner au bord du canal Saint-Martin (2)pour chercher des écrevisses. Lorsqu’une péniche passait, on lasuivait jusqu’à ce que le canal s’enfouisse sous terre. […] Alors,on passait par-dessus les grilles, on s’égratignait tout le corpsen franchissant les haies, et là on saluait les péniches avec des criset de grands gestes !Je pense aujourd’hui que ces bateaux nous faisaient rêver. Pournous ils voulaient dire voyage, aventure, ailleurs. Je me demandaiss’ils allaient jusqu’à la mer. Par-delà les mers. Peut-être chez moi,au paradis…

Frédérico« La vie de bohème » In Cher pays de mon enfance Coll. Librio

© E.J.L., 2005 / Éditions sonores Radio France

1. et 2. À Paris.

Contenu et plan

Caractérisez le souvenir raconté : heureux oumalheureux. S’agit-il : d’une rencontre, d’unfait, d’émotions ? Justifiez vos choix.

Je me souviens… J’avais quatre ans à peine. Je res-tais la matinée entière auprès des femmes. Je nevoulais ni jouer ni courir et sauter dehors sous lesoleil. Juste écouter, oubliée, posée silencieuse dansun coin d’ombre. La faim d’histoires. Paroles ressas-sées, murmurées. Silences empesés de tristesse etregrets. Je comprenais peu de choses mais les motsque j’attrapais m’enchantaient toujours.

Gisèle Pineau, in Une enfance outremer, © Éditions du Seuil, 2001

1 Rétablissez l’ordre chronologique des faits puisréécrivez le texte en trois paragraphes.

Mais quand, deux ans plus tard, ma sœur aînée me pro-posa de venir habiter avec elle et me trouva une placedans un atelier de couture, je m’épanouis. Ouvrière,c’était une promotion. En 1920, je quittai mon villagede Lorraine pour être placée à Gentilly près de Paris.Je dormais sous les combles, dans une chambre où iln’y avait pas de serrure, mais surtout, je me languis-sais de ma mère. Je n’étais qu’une petite fille encore.Je n’aurais plus jamais envie de retourner dans monvillage de Lorraine. J’avais définitivement adoptéle sud de la France.

2

1. L’auteur raconte-t-il un momentheureux ou malheureux de son passé ?Quel est ce souvenir ?

2. Ce récit mêle-t-il deux époques ?Oui ? Non ? Quelle en est la raison ?

3. Combien de paragraphes composentle texte ? Justifiez leur répartition.

Séquence 2 Raconter son histoire

2 Pratique de la langue

Exercices

216

u Dans le récit d’un souvenir, onraconte des moments importantsdu passé, heureux ou malheureux :rencontre, faits, émotions.

u On mêle souvent deux époques :- celle du souvenir,- celle de l’écriture quand on juge

ce qui s’est passé.

u Le récit est construit en deuxou trois paragraphes :- l’introduction du souvenir, - son déroulement chronologique, - son commentaire.

217

Ecriture

1. Le souvenir raconté est-il heureux ou malheureux ? Pourquoi ?2. À quelle personne s’exprime le narrateur ? Citez tous les mots qui le désignent.3. Identifiez, dans chaque paragraphe, les temps verbaux et justifiez leur emploi.4. Relevez des expressions qui traduisent les sensations et les sentiments du narrateur.

Exercices

Conjuguez les verbes aux temps proposés enrespectant leur sujet. Modifiez le vocabulairepour que ce souvenir devienne heureux.

En une longue file, nous (pénétrer : passé compo-sé) dans le grand hall de l’aéroport et le temps (sefiger : passé composé) entre les murs de verre. Lafourmilière triste (s’agiter : imparfait) lentementautour des valises qui (porter : imparfait) sonpassé, son présent, son futur. Puis cela (être :passé composé) notre tour. Le bruit rond desmoteurs, l’eau fraîche, le sommeil…« Eric, ma préhistoire » in Cher pays de mon enfance. Parolesde déracinés. Coll. Librio © E.J.L., 2005 / Éditions sonoresRadio France

Racontez en quelques phrases le souvenirextraordinaire que suggère l’image.

4

3

Séquence 2Raconter son histoire

u Pour montrer que le souvenirest personnel, on s’exprime à la 1ère personne (singulier/pluriel) ou parfois avec le pronom « on ».

u Pour dater et situer les faits, ondonne des indices de temps et delieu.

u Pour raconter les faits passés,on conjugue les verbes :– à l’imparfait et au passé composéou– à l’imparfait et au passé simple.

u Pour faire un commentaire, onemploie le présent, le passé composéet/ou l’imparfait.

u Pour écrire ce que l’on ressent,on choisit des mots qui suggèrentdes sensations et des sentiments.

On devait être au printemps ce jour-là parce qu’il faisait bon, il yavait de la lumière qui inondait la cuisine et les platanes avaientleurs feuilles vertes.Mon père, en fumant sa cigarette, continuait à regarder au loin,au-dessus de moi, quand soudain il a laissé échapper une phrasedans un souffle de fumée. Il parlait de leur vie qui était restée là-bas et des amis qu’ils avaient perdus. Une drôle d’expression flot-tait sur son visage à travers les volutes de la cigarette. Il semblaitregarder quelque chose que je ne pouvais voir. Ma mère a débar-rassé la table pendant que la radio diffusait des publicités. Moi,jene disais rien. Un abîme s’ouvrait soudain devant moi. Mesparents avaient vécu toute une vie avant moi, et cette vie, ils laregrettaient. (…)J’ai compris ce jour-là que j’avais une préhistoire et que le mondeavait commencé sans moi. Il y a tant de choses que j’ignore. J’aicompris aussi qu’avec mon père et ma mère, on n’était pas sur lesmêmes continents et que lentement, ils continuaient leurs dérives.

Eric« Eric, ma préhistoire » in Cher pays de mon enfance. Paroles de déracinés. © E.J.L.,2005 / Éditions sonores Radio France

Plongeur face à un sphynx en 1995. Fouilles menées à Alexandrie.

218

Créer un

album-souvenirs

Votre sujetIl est plaisant de feuilleter les pages d’un album qui rappelle des moments du passé commeci-dessous… À votre tour, créez votre album-souvenirs. Chacun(e) apportera une photoqui lui tient à cœur et racontera en une quinzaine de lignes le souvenir qu’elle lui suggère.Toutes vos productions seront ensuite éventuellement rassemblées dans un cahier avec un titre que vous choisirez.

3 Projet d’écriture

Séquence 2 Raconter son histoire

Les grandes vacances de Robert Doisneau et Daniel PennacVictor et les cousinesallaient se faire bronzer à la plage. […] Elles« biki naient », les cousines,c’était devenu des cousinesdeux-pièces avec des petitsvolants aux balconnets, un effet terrible ! […] Etpuis, un soir, on nous avaitramené Victor de la plage,ouvert du nombril àl’épaule. Pour épater lescousines, il s’amusait àplonger du plus haut pos-sible à travers une de cesénormes bouées que paparamenait des chantiersEDF, une vieille chambreà air de camion géant… Il avait oublié d’entourerla valve de chatterton.L’été suivant, il n’avait plus besoin de la valvepour éblouir les cousines :la cicatrice suffisait.

In Robert Doisneau et DanielPennac, Les grandes vacances,© Éditions Hoëbeke, 1991. Pramousquier, août 1959, Robert Doisneau

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Votre fiche guide

uQu’est-ce qu’un album souvenirs ? À quoi sert ce genre d’ouvrage ?uDe quels éléments doit se composer votre devoir ?uQuel est le thème de votre écrit ? Combien de lignes comportera-t-il ?

Pour comprendre le sujet

Pour trouver des idées

uQui figure sur votre photo ? Par qui a-t-elle été prise ? Quand ? Où ? Que se passe-t-il ?uQuelles autres informations voulez-vous donner à votre lecteur : sur le photographe ? sur les

personnes ? sur l’époque ? sur le lieu ? sur le ou les événements ?uQuels sentiments, quelles réflexions vous suggère encore maintenant cette photo ?

Pour préparer votre brouillon. Un exemple

Je me souviens. C’était au mois……en … à … Ilfaisait très beau. L’endroit était…

Nous étions… Nous nous retrouvions pour… etnous…

Aujourd ’hui encore, je repense à ce moment quiétait si… En effet, cet instant a représenté pour moi…

Pour corriger et recopier votre récit

uRelisez votre brouillon en portant particulièrement votre attention sur : - les majuscules et la ponctuation : Je soufflais les bougies de mes 15 ans !- les accords grammaticaux : La table, très grande, était merveilleusement décorée.- les conjugaisons des verbes (présent, imparfait, passé composé) : Je n’ai jamais oublié ce moment.Il vit toujours en moi…

u Corrigez les erreurs repérées en vous aidant des Fiches ressources (pages 142 à 159).uRecopiez lisiblement votre texte corrigé ou saisissez-le en distinguant les paragraphes.

Paragraphe 1 : l’introduction

1ère personne

l’imparfait

le présent

Mot qui introduit la justification

Séquence 2Raconter son histoire

Paragraphe 2 : le récit

Paragraphe 3 : le commentaire

220

Des récits sur soi

Les marques de la 1ère personne

u Des pronoms personnels : je (ou j’devant une voyelle), me (m’), nous.

u Des pronoms possessifs : le/lesmien(s), la/les mienne(s), le/la/lesnôtre(s).

u Des déterminants possessifs : mon,ma, mes, notre, nos.

Attention ! Ne confondez pas :Mon/m’ont ; ma/m’a ; mes/mais

Fiches ressources

Homophones Grammaticaux p.152et 153

HG

Le récit de vie ci-dessous mêle les marques des 1e et 3e

personnes. Corrigez-le en employant uniquement lapremière personne.

J’ai commencé à travailler quand j’avais dix-huit ans. Il avaitréussi son CAP de menuisier et il n’avait pas eu trop de mal àtrouver un travail. Mais quand il est arrivé dans l’atelier, il aété très surpris de voir que j’étais le plus jeune. Ses collèguesavaient tous plus de quarante ans et ils l’appelaient « le jeu-not » ! Au début, il a été très vexé mais ensuite je me suishabitué. Encore aujourd’hui, il garde un très bon souvenir de ma première expérience professionnelle.

Choisissez entre mon/m’ont, ma/m’a et mes/mais puiscomplétez les phrases.

1. Elle a emporté … affaires. 2. Ils … tout pris. 3. … ami estparti. 4. Il ne … pas vu … pourtant j’étais là. 5. Cela …beaucoup surpris.

1

2

Le passé composé

Ex. Mes parents ont quitté leur paystrès jeunes et ils n’y sont jamais revenus.

u Le passé composé est utilisé pour rap-porter des événements, des sentiments,des pensées du passé.

u Il est construit avec l’auxiliaire avoir ouêtre conjugués au présent de l’indicatif +le participe passé du verbe.

u L’accord du participe passé varie selonl’auxiliaire, être ou avoir.

Fiches ressources

Conjugaisons de l’Indicatif p.148

Accords des Participes Passésp.144

APP

CI

Conjuguez au passé composé ou à l’imparfait les verbesà l’infinitif. Attention aux accords des participes passés !

Cette année, pour les vacances, je (partir) chez ma grand-mère à la campagne mais elle (tomber) gravement maladeet mes parents m’(envoyer) en colonie au bord de la mer.Cela (être) les plus belles vacances de ma vie. Le matin, on(faire) de la voile ; l’après-midi, nous (partir) en randonnéeet le soir, on (organiser) des soirées. La belle vie !

Accordez, comme il se doit, les participes passés.

Pour mon anniversaire, j’ai organis… une fête et j’ai toutprépar… J’ai téléphon… à mon ami pour les achats maisil était déjà sort…. J’ai voul… alors appeler ma sœur maiselle était aussi part…. Je ne savais plus quoi faire.Heureusement ma mère, comme toujours, m’a tir… de cemauvais pas et nous somme all… , toutes les deux, faireles courses.

4

3

4 Améliorer et réécrire

Séquence 2 Raconter son histoire

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Ex. Mes parents quittèrent leur pays très jeunes et ils n’y revinrent jamais.

uOn emploie aussi le passé simple pourraconter le passé mais il crée un effetplus littéraire.

u En alternance avec l’imparfait, il meten relief des faits importants.

Fiche ressource

Conjugaisons de l’Indicatif p.148CI

u De bien-être : heureux(se), joyeux(se),épanoui(e), comblé(e), serein(e),content(e), satisfait(e).

u De mal-être : malheureux(se), triste,angoissé(e), mélancolique, souffrant(e),nostalgique, déprimé(e).

Identifiez le temps des verbes (passé composé ou passésimple) puis conjuguez-les au temps qui n’est pas utilisé.

1. Ils sont partis à l’âge de dix ans. 2. Quand ils ont vula capitale, ils l’ont trouvée magnifique. 3. Ils arrivèrentde nuit. 4. Ils travaillèrent beaucoup.

Corrigez les verbes mal conjugués. Justifiez.

Ma mère quittat son pays à cause de la guerre. Mais quandelle arrivat à Paris, elle se senti heureuse. Elle étais commechez elle. Elle pris des cours de français et elle parlat vite lalangue. Elle eu vite beaucoup d’amis qui l’aidère à s’installerdéfinitivement.

6

5

Choisissez l’adjectif convient.

1. J’ai subi une forte dépression. J’étais …2. Je me sens à la fois heureuse et calme. Je suis …3. Ils regrettent le passé. Ils sont …4. Elles sont pleinement satisfaites. Elles sont …5. Il se sent malade. Il est …6. Elle manifeste une joie profonde. Elle est …

7

Séquence 2Raconter son histoire

Le passé simple

Des adjectifs pour les sentiments

En lien avec le socle communPour valider l’attestation de maîtrise des connaissances et compétences

du socle commun au palier 3, reportez-vous prioritairement aux séances citées ci-dessous.

COMPÉTENCES 1. LA MAÎTRISE DE LA LANGUE FRANÇAISE

CapacitésLire • Lire à haute voix, de façon expressive, un texte en prose. p. 15, 16

• Analyser les éléments grammaticaux d’une phrase afin d’en éclairer le sens. p. 17, 18• Manifester sa compréhension de textes variés. p. 14-18

Écrire • Rédiger un récit. p. 18, 19

S’exprimer à l’oral • Reformuler un texte lu. p. 15

4. LA MAÎTRISE DES TECHNIQUES USUELLES DE L’INFORMATIONET DE LA COMMUNICATION (B2I)

Créer, produire • Traiter une image. p. 18, 19