ne sous-estimez plus le risque lié à la perte de vos données

Sauvegarde en ligne : enjeux et atouts

Livre Blanc


2

Sommaire

1 : Sauvegarde des données : quel modèle pour quels usages ? ................................. 06

a. La sauvegarde sur bande ................................................................................................... 08b. La sauvegarde locale sur disque ........................................................................................ 09c. La sauvegarde en ligne....................................................................................................... 09

2 : Sauvegarde en ligne : comment s’y prendre ? .......................................................... 10

a. Comment ça marche : les grands principes de fonctionnement ....................................... 10 Témoignage : Mercedes-Benz France .............................................................................................. 11

b. Principe de précaution : externaliser les données ............................................................ 12c. Les points de vigilance ...................................................................................................... 12 Témoignage : Groupe GR ................................................................................................................. 15

3 : Les multiples avantages de la sauvegarde en ligne .................................................. 16

a. Les différentes étapes du flux de la sauvegarde en ligne ................................................. 16b. Les avantages économiques .............................................................................................. 17c. L’atout Green It .................................................................................................................. 18 Témoignage : GTA ............................................................................................................................. 21


3

Édito

Ne sous-estimez plus le risque lié à la perte de vos donnéesAu bureau comme à la maison, les données

informatiques envahissent notre quotidien.

Sauvegarde, partage, archivage… qu’il s’agisse

de photos personnelles ou de documents straté-

giques, leur valeur est (in)estimable. En parallèle

à l’augmentation du volume de ces données, un

risque évolue de façon exponentielle : leur perte !

Qu’elles soient privées ou professionnelles, nous

mesurons mal l’impact que peut avoir leur perte

sur nos vies et il faut bien reconnaître qu’un

nombre encore trop élevé d’entre nous ne s’est

tout simplement pas préparé à un tel risque.

Le raisonnement vaut pour les individus. Il le vaut

tout autant pour les entreprises. Combien d’entre

elles, quelle que soit leur taille, ont une procé-

dure de sauvegarde vraiment efficace ? Encore

trop peu ! En tant qu’éditeur de logiciels de

sauvegarde, nous sommes régulièrement

confrontés, par le biais de nos partenaires comme

Owentis, à des situations navrantes d’entreprises au

bord du gouffre pour avoir trop longtemps négligé

cet aspect essentiel de leur stratégie informatique.

Aujourd’hui, l’approche qui gagne du terrain à

grande vitesse est la sauvegarde en ligne, qui

réunit à elle seule quasiment tous les bénéfices

d’une solution enfin efficace : une localisation

des sauvegardes à l’extérieur de l’entreprise, une

duplication des données le cas échéant sur plusieurs

sites, une confidentialité garantie grâce à un encryp-

tage des données, une sauvegarde quotidienne

programmée, sans initiative de l’utilisateur, une

sauvegarde incrémentielle pour préserver la bande

passante et, surtout, une capacité à dimensionner

facilement et rapidement les espaces de stockage

grâce aux technologies cloud. Besoin d’un argument

supplémentaire pour vous convaincre ? Le voici :

la sauvegarde en ligne permet d’intégrer sans

difficulté les salariés nomades dans le dispositif…

Les directions informatiques des grands groupes,

comme les patrons de PME ou de TPE, ne s’y sont

pas trompés. Chez Iaso, nous les voyons adopter

l’un après l’autre cette solution qui combine facilité,

sécurité et pérennité, pour un coût maîtrisé et sans

investissements directs. Sans doute la raison pour

laquelle nous voyons aujourd’hui une croissance

de notre activité de 8 % par mois. Une croissance

plus que dynamique, qui met en exergue un besoin

de sécurité de plus en plus pressant de la part des

entreprises.

Johan JongsmaCTO et cofondateur de Iaso


4

En 2011, près de 2 Zettaoctets (Zo)1 de données

numériques ont été produites dans le monde !

Une croissance annuelle d’environ 67 % pour les

grandes entreprises et de 178 % pour les PME.

La même année, 70 % des entreprises françaises

ont été victimes de pertes de données2. Pourtant,

seules 42 % des données, en moyenne3, sont

dupliquées. La sauvegarde et la protection des

informations s’imposent plus que tout comme

une priorité absolue pour chaque entreprise.

Quel que soit le mode de sauvegarde retenu,

certaines questions s’imposent en amont

pour effectuer le choix le plus adapté aux

besoins réels.

Les points suivants doivent donc être abordés

précisément avant d’arrêter sa décision sur un

modèle ou une solution :

• Quel est le volume d’informations à copier ?

• Quel est le débit Internet disponible ?

• Quelles sont la robustesse du support et sa

résistance au temps ?

• Quels sont les différents types de sauvegarde

supportés ?

• À quelle fréquence est-il possible d’effectuer

des sauvegardes ?

• Le processus est-il simple à appliquer ?

• Combien de temps prend la restauration des

données ?

• Quels sont les coûts associés en cas d’externa-

lisation des données ?

Sauvegarde des données : quel modèle pour quels usages ?

Les types de sauvegarde74 % des entreprises françaises interrogées par le Ponemon Institute dans son enquête affirment que leurs collaborateurs sont peu ou pas du tout sensibilisés aux risques relatifs à la sécurité des données. Conséquence : environ 40 % des données perdues résultent d’erreurs humaines. Pourtant, une solution de sauvegarde permet de pallier ces lacunes. Il en existe trois types différents :• La sauvegarde complète : dite full backup, elle copie les données à un instant précis sans

tenir compte des sauvegardes déjà réalisées.• La sauvegarde différentielle : elle ne copie que les informations modifiées ou créées depuis

la dernière sauvegarde complète.• La sauvegarde incrémentielle : elle ne copie que les fichiers modifiés ou créés depuis

la dernière sauvegarde, quelle qu’elle soit.

1 Selon l’étude Digital Universe d’IDC, 2011.2 Source : Rapport Comprendre la complexité de la sécurité dans les environnements informatiques du 21e siècle, Ponemon Institute, 2011.3 Étude Symantec State of Information Survey, 2012.


5

49 %Perte de clients

39 %Augmentati on des dépenses

20 %Chute du cours

de l’acti on4


Conséquences directes de la

perte de données

Dégradati on de la réputati on et de l’image de marque (47 %), perte de

chiff re d’aff aires (41 %).

Les données numériques coûtent 1 100 milliards de dollars chaque année.

En 2012, les coûts liés à la perte de données ont crû de 16 % pour les

entreprises, soit 2,55 M€ par incident5.

4 Étude Symantec State of Informati on Survey, 2012.5 Selon l’étude Cost of a Data Breach, Ponemon Insti tute – Symantec, mars 2012. 5


6

Ses atoutsLa sauvegarde sur bande est aujourd’hui parfaitement maîtrisée et autorise les sauvegardes incrémentielles et diff érenti elles. De même, les bandes peuvent être stockées en dehors de l’entreprise pour plus de sécurité, permett ant ainsi d’éviter les risques de dégradati on en cas d’incident sur site.

Ses contraintesFragilité du support, incapacité à prendre en charge des postes nomades, absence de rétrocompati bilité entre les diff érentes bandes… autant de points qui rendent diffi ciles la relecture et la restaurati on des données. De même, l’automati sati on des tâches s’avère compliquée, ce qui accroît le temps nécessaire à chaque manipulati on.

a. La sauvegarde sur bande L’usage des bandes représente la sauvegarde historique au sein des

entreprises. Qu’il s’agisse de bandes DAT, LTO, DLT, SDLT, elles consti -

tuent aujourd’hui encore une part non négligeable du marché de

la sauvegarde de données. L’étude Digital Universe d’IDC confi rme

l’explosion du volume de données : multi plié par neuf entre 2005

et 2010, il sera sept fois plus élevé en 2015. Dans ce contexte, les

bandes se montrent rapidement limitées et coûteuses.

La sauvegarde en ligne incrémenti elle avec déduplicati on permet de réduire la volumétrie des données de plus de 85 %, en diminuant en conséquence les besoins en bande passante.Matt hieu Dotti n, Directeur technique d’Owenti s

“

”

Les pertes de données en entreprise en 2011

Informati ons clients

Source : Ponemon Insti tute, 2011

Propriétéintellectuelle

Renseignements sur les salariés

Plans de développement de l’entreprise

51 % 41 % 25 % 20 %


7

b. La sauvegarde locale sur disque Disque dur (interne ou externe), clé USB, CD, DVD…

la sauvegarde locale se décline sur une multi tude de

supports en foncti on du volume à copier. Le cabinet

IDC confi rme l’intérêt croissant des entreprises pour

la sauvegarde sur disques dédupliqués, au détriment

de la sauvegarde sur bande. Les entreprises ont ainsi

investi en 2011 2,8 milliards de dollars dans ces

soluti ons, soit une croissance de 64,7 %.

c. La sauvegarde en ligne Grâce à l’accès facilité au haut débit, la sauvegarde

en ligne permet de coupler les avantages des

sauvegardes sur bandes et sur disques, sans en

subir les contraintes. Coûts d’immobilisati on et

d’exploitati on, gesti on des équipes nomades ou

distantes, récupérati on criti que après sinistre…

autant de raisons qui poussent les entreprises à

confi er leurs données à un expert.

Ses atoutsSystème très performant, grande disponibilité des fi chiers, restaurati on des données garanti e à 99,9 %, sauvegarde automati que quoti dienne, grande capacité de stockage, restaurati on rapide, données accessibles 24h/24 et 7j/7, copie des fi chiers des postes nomades ou distants… les avantages ne manquent pas, surtout pour une entreprise en plein développement.

Ses atoutsAccès aux données 24h/24 et 7j/7, relecture et restaurati on rapides, fi abilité des disques, sécurité renforcée grâce à l’externalisati on des fi chiers, réplicati on fréquente sur plusieurs sites, aucun coût télécom associé... Simplicité, rapi-dité et facilité d’accès, voilà comment résumer les bénéfi ces du modèle online.

Ses contraintesNéanmoins, le risque de panne existe et les don-nées ne sont pas automati quement dupliquées. En cas d’externalisati on, il faut donc investi r dans de lourdes et très coûteuses infrastructures télécoms. Dans le cas d’un important volume de données, la sauvegarde sur disque se révèle rapidement onéreuse pour l’entreprise.

Ses contraintesLa bande passante demeure la contrainte majeure. C’est le goulet d’étranglement de la sauvegarde : il faut s’assurer d’un débit suffi sant pour ne pas bloquer les collaborateurs. Le client doit disposer d’une bande passante minimum de 512 Kb/s. Dans l’idéal, celle-ci devrait att eindre au moins 1 Mb/s.


88

Automne 2013, l’ARCEP6 validera probable-

ment l’usage de la technologie VDSL2 sur le

territoire Français7. Une évolution qui favo-

rise l’accès au plus grand nombre, même aux

structures les plus petites, à la sauvegarde en

ligne sans aucun problème de connexion.

a. Comment ça marche : les grands principes de foncti onnement“La caractéristi que principale de la sauvegarde en

ligne, confi rme Matt hieu Dotti n, c’est sa simplicité.

Il s’agit de sauvegarder les données clients par un

simple lien Internet ou un lien dédié, comme pour le

cloud computi ng.” Les données transitent via une liai-

son Internet – connexion web ou lien FTP – depuis les

ordinateurs vers les baies de stockage d’un datacenter

externe, de manière transparente pour les uti lisateurs.

Seule la première sauvegarde globale de l’ensemble

des données peut être collectée sur site sur un média

amovible, de type SSD. Celui-ci est ensuite “intégré” au

datacenter. Cela évite de transférer une masse très

volumineuse d’informati ons en ligne. La bande

passante ne risque ainsi pas de se trouver saturée.

Le prestataire extérieur prend alors le relais pour la

maintenance, la sécurité et la duplicati on des données.

Deux points clés sont à prendre en compte :Le type de fi chier à sauvegarder : base de données,

serveur de messagerie… Chaque type de fi chier

possède ses propres caractéristi ques. L’outi l doit

donc être paramétré pour la sauvegarde envisagée.

Le débit d’accès Internet : en foncti on de la

volumétrie et du type de sauvegarde, il ne sera pas

nécessaire de disposer de la même connexion ni de

la même bande passante. Ainsi, une connexion de

10 Mb/s suffi t pour assurer dans des conditi ons

convenables une sauvegarde d’un serveur de

fi chiers de 1 Tb. Le volume de données modifi ées

quoti diennement sera dédupliqué, comprimé et

transmis en moins de 4 heures.

Sauvegarde en ligne : comment s’y prendre ?

Avis d’expertEn règle générale, la sauvegarde en ligne est régie par quatre étapes : le premier fl ux consiste en une sauvegarde complète des données concernées ; ensuite, il s’agit de sauvegardes différentielles ou incrémentielles, pour ne copier que les informations modifiées ou ajoutées ; les fichiers sont donc transférés via Internet ; enfin, la restaurati on peut s’eff ectuer 24h/24 et 7j/7, sur n’importe quel jeu de sauvegardes, et ce de manière complètement autonome pour le client. Matt hieu Dotti n, Directeur technique d’Owenti s

6 ARCEP : Autorité de Régulati on des Communicati ons Électroniques et des Postes

7 La VDSL2 autorise des échanges entrant et sortant de 100 Mb/s, soit cinq à cent fois plus que l’ADSL (en règle générale : 20 Mb/s en récepti on, 1 Mb/s en émission).


9

Mercedes-Benz France s’appuie sur Owentis pour externaliser ses ressources critiques

Hébergé au siège de la société, le système

d’information de Mercedes-Benz France est

utilisé par l’ensemble des filiales, des distributeurs

et réparateurs agréés. Ils y accèdent à distance

via un réseau privé. Afin d’assurer la continuité

de services en toutes circonstances, la société a

fait appel à Owentis pour mettre en place un site

secondaire et un réseau privé redondant.

Quatre marques en France, un réseau de distribu-

tion de près de deux cents cinquante distributeurs

(voitures, utilitaires et camions), plus de cent

réparateurs agréés, deux importants centres

logistiques de pièces détachées et un système

d’information regroupant une centaine d’appli-

cations métiers : “La moindre défaillance de

notre réseau ou de nos serveurs impacte toutes

nos activités en France, explique Éric Lutton, chef

du département Process & Application Consul-

ting de la DSI. Raison pour laquelle, nous avons

cherché une solution pour assurer la continuité

de services en cas de défaillance de nos installa-

tions.” En 2008, le constructeur automobile fait

appel à Owentis pour répliquer son infrastructure

sur un site secondaire et élaborer une solution

de réseau palliative. L’idée est de dupliquer en

datacentre toutes les applications critiques en cas

d’indisponibilité de la salle informatique en interne.

Un principe de précaution qui renforce la sécurité et

l’accès aux données en toutes circonstances.

Un incident qui aurait pu coûter des millions

Six mois après le déploiement de la solution, un

incendie lié aux transformateurs électriques

d’EDF ont rendu les groupes électrogènes indis-

ponibles pendant une bonne semaine, rendant

impossible l’accès au système d’information et

même aux bureaux. Les installations d’Owentis

ont alors pris le relais. “Globalement, les

distributeurs, les réparateurs et les filiales n’ont rien

vu, le dispositif a parfaitement fonctionné. Nous

risquions de perdre une semaine d’activités, soit

plusieurs millions de pertes. Ce n’est pas toujours

facile de sensibiliser sa direction générale à la néces-

sité d’avoir des installations redondantes, mais après

cet incident, la question ne se posait clairement plus !”

Témoignage

www.mercedes-benz.fr

EnjeuDisposer d’une solution redondante pour garantir la continuité de services à l’ensemble ses filiales et concessionnaires en France.

Bénéfices

• Mutualisation

• Dispositif de bascule automatique, transparent et efficace

• Synchronisation en temps réel des données

• Continuité de services

• Pas de rupture d’activité


10

La connexion : le nerf de la guerre L’hyper-connectivité du datacentre est un atout

clé pour toute entreprise qui souhaite y placer ses

données. “Véritables carrefours télécoms du secteur

informatique, comme le rappelle Matthieu Diouron,

Sales Manager chez Global Switch, les datacentres

constituent ‘le maillon le plus fort’ de la chaîne de

sauvegarde. Le datacentre apporte une valeur en

termes de sécurité et par la diversité des opéra-

teurs disponibles sur son site.” Si le débit montant

(de mon entreprise vers le datacenter) reste une

limite, en revanche, le flux descendant se révèle

potentiellement illimité. En effet, le centre de don-

nées doit demeurer neutre vis-à-vis des opérateurs.

Ils sont donc nombreux à proposer leurs services,

souvent à un niveau de qualité bien supérieur à la

moyenne. Il n’est ainsi pas rare de disposer d’une

connexion à 40 ou 100 Gb/s ! Le client bénéficie

alors d’un grand choix d’opérateurs et d’un large

panel d’offres sur mesure et de services associés.

“En général, les institutions financières et les

autres entreprises installent rarement leurs acti-

vités de vente et de management dans les mêmes

bâtiments physiques que le traitement de leurs

données. Ce qui fait de leur réseau un chaînon

obligatoire dans le processus de sauvegarde en

ligne, confirme Matthieu Diouron. Dans des empla-

cements indépendants de tout opérateur télécom,

de telles organisations sont libres de choisir des

services auprès d’un opérateur ‘A’ pour le maillon

de leur réseau central et d’opter pour un opérateur

‘B’ pour leur service de sauvegarde. Par exemple,

chez Global Switch à Paris, nous avons de nombreux

opérateurs / fournisseurs réseau de Tier 1 (interna-

tionaux) et Tier 2 (locaux), qui peuvent facilement et

rapidement offrir des services à tout client.”

b. Principe de précaution : externaliser les donnéesLa sauvegarde sur site pose d’importants problèmes

de sécurité : en cas de sinistre majeur, il est souvent

difficile, voire impossible, de récupérer les données.

Plus de 90 % des entreprises qui perdent totalement

leurs données mettent la clé sous la porte dans les

cinq années qui suivent le sinistre. 80 % d’entre

elles disparaissent dans les deux ans et 60 % dans

les six mois7. Protéger le patrimoine numérique de

l’entreprise constitue une priorité absolue. Confier

ses données les plus sensibles à un tiers extérieur

impose donc de vérifier le niveau de sécurité proposé.

Avis d’expert“Nous proposons un double système de cryptage. Les données sont envoyées cryptées via le protocole HTTPS et sont stockées sur l’infrastructure selon trois types de cryptages très pointus, au choix du client : AES 128 bits, AES 256 bits, Blowfish. Le client est l’unique possesseur de sa clé de stockage et en est responsable. Sans celle-ci, impossible de décrypter les données en cas de restauration.” Un double cryptage qui offre une sécurité optimale à l’entreprise. Mathieu Dottin, Directeur technique d’Owentis

7 Source : PC Expert, n°177


11

c. Les points critiquesQuelles questions se poser avant d’envisager la sauvegarde en ligne ?

Quels sont les principaux points de vigilance ? Que faut-il savoir

avant de choisir le bon prestataire ? Ramzi Charif, Directeur tech-

nique Paris, Global Switch , prestataire de solutions d’hébergement,

livre quelques conseils et bonnes pratiques pour bien appréhender

sa sauvegarde en ligne et contourner les “freins” potentiels.

Juridique Localisation géographique “Il ne faut pas faire l’amalgame entre cloud computing et sauve-

garde en ligne. Dans la sauvegarde, nous savons clairement où

sont situées les données : dans un datacentre localisé précisément.

Le client peut avoir l’adresse et le visiter. Tout est écrit noir sur blanc

dans le contrat.” L’entreprise sait donc exactement où sont ses

informations et à quelles lois elles sont soumises – par exemple,

le Patriot Act pour les entreprises américaines basées en Europe.

La localisation d’un centre de données s’avère particulièrement

stratégique : les assurances imposent des règles strictes, qui

constituent une garantie supplémentaire pour le client.

FiabilitéLes équipements“Indépendamment de la stratégie de stockage du client, il est cru-

cial d’avoir confiance dans des solutions qui peuvent être mises à

disposition rapidement et efficacement, également gérées dans

des emplacements sécurisés. Global Switch se félicite de dépasser

99,999 % de temps de bon fonctionnement en termes de disponibi-

lité de service au sein d’un environnement sécurisé à faible risque..”

Les certificationsGages de la qualité et de la sûreté du service fourni, un

datacentre est concerné par quatre principaux types de

À Paris, les datacentres doivent être protégés contre une possible crue de la Seine. Notre centre à Clichy est donc protégé par une enceinte et des fondations en cuvelage à double coque : l’eau ne pénètre pas. Ramzi Charif, Directeur technique Paris, Global Switch

“

”


12

certifications : ISO 14001 pour les normes environne-

mentales ; ISO 27001 pour la sécurité de l’information ;

ISO 9001 pour la qualité des services ; et ISO 18001

pour la santé et la sécurité des personnes.

SécuritéAudit physique“Un datacenter est la cible d’audits fréquents,

en moyenne cinq par mois chez Global Switch,

provenant de tout type de client et de prospect.”

En effet, chaque client peut auditer son parte-

naire hébergeur en faisant appel à un spécialiste,

qui s’engage par contrat à la confidentialité la plus

stricte. Il est également possible de procéder à un

audit interne dans le cadre de processus qualité.

Identification d’un tiers externe pour procéder à des tests d’intrusionLe client ou prospect peut, à tout moment, faire

appel à un prestataire extérieur pour procéder à

des tests d’intrusion et s’assurer ainsi de la sécu-

rité du centre de données. “Nos clients, sans nous

prévenir, testent fréquemment notre sécurité. Ils

font appel à un cabinet d’experts, qui réalise ces

tentatives et leur envoient un rapport précis et

confidentiel sur nos conditions de sécurité.”

QualitéLes processusChaque activité et chaque manipulation corres-

pondent à un processus conformité qualité :

toutes les opérations sont soumises à des

procédures éprouvées. “Nous avons un responsable

qualité en interne, qui travaille sur l’amélioration

des processus. Tout est enregistré dans un outil de

gestion pour tracer l’ensemble des échanges clients

et des actions menées. Nous suivons un mode

opératoire précis pour chaque réponse apportée”,

confirme Mathieu Dottin.

Niveau de service“Le niveau de service doit être clairement indiqué

dans les Service Level Agreements (SLA),

spécifiés dans le contrat. Nous nous engageons

par exemple sur la non-interruption du courant

ou la stabilité de la température, sinon nous

devons verser des pénalités à nos clients. Nous

avons un engagement avec obligation de résul-

tats.” Ces SLA portent à la fois sur la sécurité, la

température – comprise entre 18 et 22-24° en

règle générale – et le courant électrique. Le client

reçoit un rapport mensuel pour vérifier l’ensemble

de ces points. Dans toutes les salles sont installés

des capteurs de chaleur et d’hygrométrie.

Avis d’expert“Dans les services de sauvegarde en ligne, le client doit identifier la stratégie de risque adaptée à son secteur d’activité – c’est ce qui conduit sa stratégie de sauvegarde et de stockage. Au sein du secteur informatique, une confusion demeure entre le cloud computing et la sauvegarde en ligne. Selon Global Switch, il s’agit d’un élément fondamental de décision: le cloud computing et la sauvegarde de données sont disponibles sous de nombreuses formes, allant d’internet (Protocole IP,) à la base du marché, à des services cloud dédiés, par exemple G-Cloud (dédié au gouvernement, avec les plus hauts niveaux de chiffrage), qui représentent le haut de gamme sur le marché. Selon que l’on recherche des services cloud ou une sauvegarde dédiée, l’équipement doit être hébergé dans des environnements adaptés tels que Global Switch.”Ramzi Charif, Directeur technique chez Global Switch à Paris


13

Le Groupe GR confie la sauvegarde de ses données à Owentis

Plutôt que d’investir dans des infrastructures

internes coûteuses, le Groupe GR a favorisé

l’externalisation de la sauvegarde de ses données

afin de garantir leur sécurité. Le choix de cet expert

en recrutement de cadres s’est porté sur Owentis,

rassuré par les nombreuses garanties apportées.

“Dès le départ, j’ai souhaité avoir deux prestataires,

un pour la gestion de notre système d’information

et un pour la sauvegarde, afin de ne pas être pris

en otage en cas de problème”, explique Bruno

Navarre, président du Groupe GR. Un choix dont

la société s’est récemment félicitée : après des

incidents rencontrés lors de restaurations de don-

nées, la société, suite à une consultation, arrête

son choix sur Owentis, en partie pour son rapport

qualité / prix.

Le stockage en ligne pour la sécurité

“La taille de notre entreprise et de notre informa-

tique ne justifie pas le déploiement de dispositifs de

restauration en interne. Néanmoins, notre système

d’information est essentiel à notre bon fonction-

nement. Or, il peut arriver des milliers de choses,

tels un incendie, une inondation ou simplement un

dysfonctionnement. L’externalisation m’est apparue

comme la solution la plus raisonnable et la plus éco-

nomique pour sécuriser nos données.”

Un prestataire de qualité et proactif

En mars 2012, le Groupe GR cherche un nouveau

prestataire. Priorité est mise sur les garanties de

qualité : infrastructures dédiées au stockage, salles

miroirs pour la redondance... Owentis travaille en

relation directe avec leur infogérant afin de déter-

miner les routines à mettre en place. Celui-ci reçoit

chaque jour un rapport sur l’état des sauvegardes

de la veille ; un test de restauration est également

planifié pour tester la validité du montage. En cas

d’incident, la restauration peut se faire sur une

période de soixante jours. “Depuis cette migra-

tion, nous n’avons jamais rencontré de problème.

Nous avons gagné un partenaire de qualité et très

proactif, qui nous alerte quand nous dépassons la

volumétrie prévue dans notre forfait, par exemple,

afin de trouver ensemble la meilleure solution.”

Témoignage

Enjeu

Disposer d’une solution alternative et sécurisée de stockage des données d’exploitation.

Volumétrie

Forfait pour 300 Go de données.

Bénéfices

• Hébergement redondant

• Transparence des procédures de sauvegarde

• Procédures automatisées

• Sécurité des données

• Prestataire à taille humaine, disponible et proactif

www.groupe-gr.com/fr


14

Redondance, sécurité, accès aux données

facilité, prise en charge des postes nomades,

services associés, réduction des coûts et de

l’impact écologique... Pour bénéficier au mieux

de l’ensemble de ces avantages, il importe de

bien comprendre les différentes étapes de la

sauvegarde en ligne.

a. Les différentes étapes du flux de la sauvegarde en ligneLes services en ligne ne s’adressent plus aux seuls DSI

et touchent une cible beaucoup plus large intégrant

les responsables opérationnels – services marketing,

communication, financier… – de plus en plus concernés

par la sauvegarde de leurs propres données.

étape : un “agent”, c’est-à-dire un

petit morceau de logiciel, est installé

sur chaque poste ou serveur à sauvegarder,

sous environnement Linux, Windows ou Mac.

Une mesure qui correspond parfaitement aux

contraintes imposées par le Bring Your Own

Device (BYOD) et le nomadisme, de plus en plus

courants en entreprise. De la même manière,

l’agent est placé sur les équipements personnels

des collaborateurs.

étape : une première sauvegarde complète

est effectuée, soit en ligne – mais attention

à la bande passante – soit offline, localement sur

un serveur du prestataire, et la baie est ensuite

installée en datacenter pour répliquer les don-

nées.

étape : l’utilisateur paramètre sa sau-

vegarde : il indique sa clé de cryptage ;

il définit la périodicité (heure, fréquence…) ; il

précise son identifiant et son mot de passe ;

il désigne le ou les répertoires à sauvegarder.

Chaque sauvegarde, en cas d’interruption,

reprend là où elle s’est arrêtée dès que l’ordinateur

est rallumé, ou se lance automatiquement si le

PC est éteint pendant plusieurs jours (en cas de

sauvegarde quotidienne).

étape : en cas d’incident, la restauration des

données s’effectue de la même manière, soit

par un simple clic, soit directement depuis le disque

qu’il suffit de réinstaller. Le client recherche un ou

plusieurs fichiers précis et peut choisir la version

souhaitée. Les sauvegardes s’effectuent automati-

quement à la fréquence et à l’heure renseignées.

étape : l’utilisateur reçoit régulièrement

un rapport de sauvegarde, agrémenté

par un code couleur selon la bonne conduite

de l’opération : vert, orange, rouge. Il consulte

ce reporting intégré quand il le souhaite.

Les multiples avantages de la sauvegarde en ligne

1re

2e

3e

4e

5e


15

“Notre soluti on TeraBackup repose sur la sauvegarde incrémen-

ti elle par blocs avec déduplicati on à la source, rappelle Philippe

Rèbre, ce qui limite la bande passante uti lisée. Nous proposons

soixante jeux de sauvegarde, mais le client a également la

possibilité d’archiver ses données sur site. Il peut alors retrouver

ses informati ons plus anciennes, classées par mois.”

b. Les avantages économiquesLa récente étude TNS Sofres / Ipsos, Priorités pour l’opti misati on

des coûts du budget SI pour l’année à venir, révèle que 48 %

des DSI interrogés jugent prioritaire l’augmentation de l’exter-

nalisation8 en réponse à leur besoin de diminuer leurs coûts.

Une réponse logique, tant la sauvegarde en ligne permet de

réaliser des économies substantielles, comme en témoigne

Philippe Rèbre : “Le système de sauvegarde est dimensionné

en fonction du besoin de chaque client : aujourd’hui, je

sauvegarde 20 To, mais demain, je pourrai sauvegarder le

double sans avoir à acheter de matériel supplémentaire. De

la même manière, en cas de ‘’décroissance’’ du volume de

données à copier, cela n’a aucun impact sur mon investi ssement.

Sur les mêmes principes que le cloud, la sauvegarde en ligne

est un mode de travail élastique et la facturation s’effectue à

la consommation. L’entreprise n’a ni coûts d’investissement ni

coûts de maintenance : le partenaire s’occupe des mises à jour

logicielles, de l’entreti en matériel… La sauvegarde en ligne peut

alors s’avérer dix fois moins chère pour une entreprise.”

En moyenne 0,1 % des données globales sont modifi ées. Seuls les blocs modifi és sont copiés, ce qui rend le processusplus rapide et moins lourd. Philippe Rèbre, Directeur général d’Owenti s

”

8 Source : 01 Business & Technologies, n°2148, 1er novembre 2012

“


16

c. L’atout Green ItÀ l’image de la certification ISO 14001 de certains

datacenters, les considérations environnementales

figurent aujourd’hui parmi les priorités des héber-

geurs. La 4e génération, la plus performante, tend à

limiter au maximum la pollution émise. Les centres

de données peuvent alors s’intégrer au mieux au

sein de leur environnement direct, surtout dans le

cas d’implantations urbaines. Il existe une synergie

naturelle entre économie et écologie : un centre éco-

logique est économique car la consommation en est

réduite. Ce qui favorise ainsi les évolutions et moder-

nisations : le progrès est rapide, l’intérêt financier

est réel.

La consommation électrique Elle constitue la seule pollution effective du

datacenter, sauf dans le cas d’une électri-

cité verte. Cependant, la mutualisation de la

charge informatique optimise la consommation.

Les centres de données, bien que voraces en

énergie, s’avèrent bien moins gourmands que

le cumul des salles machines en interne :

les entreprises rechignent souvent à investir

dans des systèmes de power and cooling

performants, ce qui augmente les dépenses

énergétiques. “De plus, les déchets sont égale-

ment réduits car les bandes ne sont plus utilisées :

la sauvegarde sur disque améliore le bilan

carbone”, explique Philippe Rèbre.

Un datacentre favorise également l’optimisa-

tion de la gestion du parc informatique, car il

utilise les machines à leur puissance nominale,

rarement en-dessous de 80 % de leur capacité.

La mesure de l’efficacité d’un datacentre, PUE

(Power Usage Effectiveness - Efficacité de l‘utilisa-

tion de la puissance) est une pratique dorénavant

établie dans les datacentres. “La mesure PUE

(efficacité ou performance de la consommation

électrique) adoptée par le secteur peut, dans

de vieux centres, dépasser une valeur de trois -

c’est à dire deux unités d’énergie pour prendre en

charge une unité informatique. Aujourd’hui un

datacentre de haute performance présente un

PUE inférieur à 1,5 soit une demi-unité d’énergie

pour prendre en charge une unité de charge infor-

matique”, précise Ramzi Charif.

Les services associés à la sauvegarde des données en ligne À l’image du cloud computing, la sauvegarde en ligne repose en partie sur la qualité et le nombre de services associés. Parmi lesquels : • Support technique par téléphone, e-mail et interface web.• Formation à l’utilisation du logiciel et document de support.• Redondance aux niveaux accès web et stockage sur plusieurs sites, sur disques RAID et SPARE. • Contrôle accès sécurité.• Sécurité incendie.• Exploitation quotidienne et contrôle qualité : analyse statistique, tests.


17

HORS INFORMATIQUE ET RÉSEAU, LES CLIMATISEURS REPRÉSENTENT 80 % DE LA CONSOMMATION D’UN DATACENTER

PLUS LE PUE9 TEND VERS 1, PLUS LE DATACENTER EST EFFICACE

PUE = Puissance totale du site / Puissance consommée par l’informati que

LE FREE COOLING PERMET DES ÉCONOMIES D’ÉNERGIES SUBSTAN-TIELLES, DE L’ORDRE DE 15 À 35 %, SI LA TEM-PÉRATURE EXTÉRIEURE N’EXCÈDE PAS LES 20°C PENDANT 80 % DU TEMPS.

Source : e-media, le blog Econom, juin 2011

9 PUE : Power Usage Eff ecti veness - Effi cacité de l‘uti lisati on de la puissance17


18

Le dégagement de chaleurComment la récupérer, la recycler, la réutiliser ?

Si, à la campagne, les usages ne manquent pas, en

ville, il faut discuter avec les réseaux de distribution

d’eau chaude par exemple pour réemployer cette

chaleur et la mettre au service de l’environnement

urbain. “Non seulement Global Switch s’attache

à atteindre le PUE le plus bas possible dans tout

emplacement spécifique, mais nous travail-

lons également avec des agences locales pour

qu’elles puissent récupérer l’énergie produite

par un campus donné. A Paris, Global Switch

travaille avec la ville de Clichy pour fournir un

plan de chauffage de la zone qui révolutionne

les besoins hivernaux en chauffage domestique

et des entreprises”, confirme Ramzi Charif.

La climatisationEn été, les climatiseurs tournent, mais en hiver,

il y a mieux à faire ! Dès que la température descend

sous les 15°C dehors, le système de free cooling se

met en marche. Les climatiseurs s’arrêtent auto-

matiquement et les calories nécessaires sont

alors récupérées à l’extérieur pour refroidir

les machines.

“De nombreuses organisations ont une grande

responsabilité d’attention à l’environnement vis-

à-vis de leurs actionnaires et du public au sens

large, explique Ramzi Charif. Les utilisateurs

d’informatique les plus avertis sélectionnent leurs

fournisseurs de datacentre (en partie) en fonction

de la consommation et de l’efficacité énergétique.

Si l’on comprend que les datacentres doivent

consommer de l’électricité – plus la consom-

mation électrique baisse par transaction W/Mbit

(watts /mégabits : un million de bits) – meilleure

est l’efficacité énergétique du datacentre. Le tout

impose une responsabilité significative à l’opéra-

teur de datacentre pour construire des sites dont

la conception et l’exploitation sont pilotées en

fonction de l’énergie.”


19

GTA sauvegarde ses données critiques en ligne en toute sécurité

Près de 6 Tb de données, des clients aussi presti-

gieux que Le Louvre ou la Tour Eiffel, mais aussi

les ministères, les régions, les communes et com-

munautés de communes.… La sauvegarde des

données s’avère très sensible pour le cabinet GTA

– Géomètres experts et Topographes Associés.

Leur sécurité constitue un enjeu stratégique.

Lorsque qu’en juillet 2012, GTA décide de regrouper

ses activités sur un seul site, l’externalisation de la sau-

vegarde de ses données devient prioritaire. D’autant

que pour certains de ses clients, comme les notaires,

il doit répondre à une obligation légale de conser-

ver les dossiers pendant trente ans. Suite à un appel

d’offres, Owentis est retenu parmi quatre concur-

rents. “Non seulement nous avons un grand volume

d’informations à sauvegarder, mais nos besoins en

confidentialité impliquaient une solution hautement

sécurisée. Le système de clé de cryptage proposé et la

réplication des données dans deux datacenters nous

ont entièrement convaincus”, explique Olivier Heur-

teur, responsable informatique de GTA.

Une sauvegarde quotidienne en moins de 4h

Gilles Messiez-Pôche, PDG du cabinet GTA et

géomètre expert, présente ce choix comme un

pas supplémentaire dans la démarche d’inno-

vation du cabinet. Innovant dans son activité –

développement de l’activité de désamiantage –

dans ses modes de fonctionnement – utilisation

de la 3D, d’images de synthèse – et donc dans les

technologies utilisées. “L’externalisation de la sau-

vegarde nous apporte un niveau de confidentialité

et de fiabilité que nous n’aurions pas eu en interne.

Owentis a su gagner notre confiance en nous pro-

posant un test de la solution en décembre. Dès

janvier 2013, nous l’avons mise en place”, poursuit

le responsable informatique.

Désormais, les données reparties sur trois serveurs,

soit 1,6 Go d’emails et 160 Go de données modi-

fiées, sont sauvegardées chaque nuit. “J’effectue

des tests de restauration au moins une fois par

semaine sur l’ensemble de nos serveurs. Même sur

les fichiers les plus lourds, la restauration s’effectue

très rapidement.” Prochaine étape envisagée :

l’externalisation de la messagerie.

Témoignage

Enjeu

Bénéficier d’une sécurité optimale pour des

données hautement confidentielles.

Volumétrie

6 Tb

Bénéfices

• Réplication dans deux datacentres

• Tests de restauration hebdomadaires

• Sauvegarde de fichiers volumineux

• Sécurité optimale

http://www.cabinet-gta.fr


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à propos d’OwentisOwentis est une société de services infor-

matiques, créée en 1996, réputée pour

ses prestations cloud - IAAS, SAAS - et ses

prestations d’expertise en architecture

réseau. Owentis a intégré le groupe Ozitem

en 2011, devenant une filiale à 100 % et l’un

de ses moteurs de croissance. Son expérience des

services managés, le haut niveau d’expertise de

ses collaborateurs ainsi que ses partenariats

avec des acteurs référents en font un prestataire

de confiance et lui permettent de proposer des

solutions de haute qualité dans des contextes

budgétaires restreints.

Bâti ment Energy 8132-190 bd de Verdun92413 Courbevoie cedexTél. : 01 41 99 11 44Fax : 01 44 70 60 08htt p://cloud.owenti s.com

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