my school # 10 mai 2013

28
#10 - Mai 2013 le mag de la vie scolaire Devenez la personne que vous rêvez d être EXAMENS SCOLAIRES Tenez-vous prêts! La littérature africaine Internet mobile 2G, 3G, 4G, ça vous dit?

Upload: my-school-mag

Post on 05-Dec-2014

487 views

Category:

Education


3 download

DESCRIPTION

Dans ce numéro de My School: Devenez la personne que vous rêvez d'être . Notre mission est d'inspirer les jeunes dans la réalisation de leurs rêves. Modifier Infos de base Fondation 4 octobre 2010 Modifier Coordonnées Site web http://www.myschoolmag.com/

TRANSCRIPT

Page 1: My school # 10 Mai 2013

#10 - Mai 2013

le mag de la vie scolaire

Devenez la personne que vous rêvez d’être

EXAMENS SCOLAIRES Tenez-vous prêts!

La littérature africaine

Internet mobile 2G, 3G, 4G, ça vous dit?

Page 2: My school # 10 Mai 2013

2 My School #10 / MAI 2013

DANS CE NUMERO DE

My School

Success Road Devenez la personne que vous rêvez d’être

3 EDITORIAL 6 SCHOOL LIFE Examen: Tenez-vous prêts! 8 SUCCESS ROAD 6 points-clé indispensables à la réussite 14 BON A SAVOIR 23 avril, Journée du livre et de l’auteur 16 La littérature africaine 22 METIER Le journaliste sportif 24 NOUVELLES TECHNOLOGIES Internet mobile: 2G, 3G, 4G, etc.

Page 3: My school # 10 Mai 2013

My School #10 — MAI 2013 3

Éditorial Numéro 10- Mai 2013

N’abandonnez Jamais vos Re ves

L a vie est une belle aventure. A tout moment, nous sommes tous de potentiels

« victimes » d’idées de génie. Tout le monde pense, rêve, es-père réaliser quelque chose de grand, un jour. Tout part toujours d’une idée. Mais il faut savoir que toute idée a besoin d’action pour se réaliser. Agir, faire ce qui est nécessaire afin que l’idée prenne forme. Une mission à la portée de tous mais pas très souvent exécutée par tous. Dans l’exécution d’un projet, il y a des obstacles qui se dressent sur votre chemin. Imaginez-vous, marchant vers la réalisa-tion de votre rêve. Vous tenez votre idée, la semence à porter en terre. Et sur votre chemin se dresse un mur. Si grand que vous ne pouvez le contourner. Que feriez-vous ?

Dans ce numéro de My School, nous vous proposons un extrait de La Technique du succès d’André Muller afin de vous ex-horter à ne jamais céder au dé-couragement. N’abandonnez jamais vos rêves. Ils ont besoin de vous. Faites tout pour que vos rêves ne baignent pas dans du formol, comme le dit MC So-laar (Perfect).

Découvrez également des con-seils indispensables à la réus-site, afin de vous permettre de devenir la personne que vous rêvez d’être.

Mikeylange Archange

Page 4: My school # 10 Mai 2013

4 My School #10 / MAI 2013

NOTRE ÉQUIPE

My School ● Mai 2013 ● #10

Edité par La Classe des Premiers

Directeur de Publication: Michel DJE Bi

Secrétaire de Rédaction: Yao Eve Bénédicte

Ont participé à la rédaction: Carine Leka, Heinand Amoi,

Yao Eve-Bénédicte, Hans-Elisabeth, Mikeylange

Documentation:

Carine Leka (Maroc), Claude Emmanuelle Yapo (Québec)

Conception graphique:

MS

Révision: Alfred Vanié

Promotion en ligne: Jean-Rodrigue Kassi (Québec),

Jean-Cyrille Allou (Côte d’Ivoire)

Site web: www.myschoolmag.com Administration web: Alldeny

Diffusion: gratuite Dépôt légal: en cours

My School est partenaire des Éditions Epicure et des magazines Epicure Vivre au Collège &

Épicure Vivre au Lycée – Téléchargeable sur www.editions-epicure.com -

Actualités à retrouver sur www.keek.fr.

Page 5: My school # 10 Mai 2013

My School #10 — MAI 2013 5

Page 6: My school # 10 Mai 2013

6 My School #10 / MAI 2013

Développer votre concentration La capacité de concentration varie suivant l’humeur, le sujet suivi. Elle dépend égale-ment des individus. Ainsi, il faut en moyenne dix (10) minutes avant d’atteindre un niveau de concentration profond et efficace (phase productive). Pour mieux vous concentrer et maintenir cet état le plus longtemps possible, entrai-nez-vous à : Déterminer votre habitude et votre temps de concentration. En effet, l’état de concentration où l’on est productif dure environ vingt (20) mi-nutes, puis l’envie d’interrompre est de dix (10) minutes. Cette envie d’interrup-tion se manifeste généralement par le besoin de passer un coup de fil, bavarder avec quelqu’un, prendre un café ….

L’exercice consistera à mesurer et noter ces vingt (20) minutes de concentration profonde avant que l’envie d’interrompre ne survienne. Faites-le à plusieurs reprises afin d’avoir une moyenne. Ajouter des minutes supplémentaires a votre période productive Une fois que le besoin d’interrompre se

fait sentir, concentrez-vous 1, 2, voir 3

minutes de plus. Augmentez volontaire-

ment et progressivement la durée.

Au bout de quelques temps, vous consta-

terez une nette amélioration, vous vous

sentirez moins fatigué et serez plus pro-

ductif.

Yao-Eve Bénédicte

EXAMENS Tenez-vous prêts !

SCHOOL LIFE

C’est bientôt les examens et l’on est

sous le poids du stress engendré par ces

préparations! A quelques mois des exa-

mens l’on a envie de tout apprendre et

tout mémoriser pour être prêt le jour- J. Distrait en classe ? Des difficultés pour mémoriser

vos leçons ? Voici des astuces qui vous aiderons à aborder de façon zen cette phase de

préparation.

Page 7: My school # 10 Mai 2013

My School #10 — MAI 2013 7

conseils pour mieux mémoriser

1- Il faut vouloir se souvenir et faire confiance à sa mémoire

2- Plus la concentration dans l’étude ne sera grande, mieux

vous vous souviendrez. Développez donc votre aptitude à vous

concentrer

3- Après chaque leçon réfléchissez, cherchez à la répéter et à

la résumer

4- Une fois le chapitre terminé, mettez en relation les résumés

de chaque leçon effectué auparavant, constatez leur interdé-

pendance et faites un schéma général

5- Utilisez tous vos sens : l’ouïe, la vue, le toucher

6- Cherchez des exemples et des comparaisons, expliquez ce que

vous avez appris à quelqu’un, discutez en avec lui, exercez

vous

7- Utilisez le temps qui précède ou qui suit le temps de sommeil

pour apprendre vos leçons

8- Après plusieurs lectures, essayez de réciter

9- Faites des révisions des jours plus tard

10- Que cet apprentissage vous paraisse utile, soit nécessaire,

ait un but et un idéal, celui de l’excellence et de la satisfaction

personnelle

10

Page 8: My school # 10 Mai 2013

8 My School #10 / MAI 2013

SUCCESS ROAD

6 points-clé indispensables à la réussite

Tout le monde souhaite réussir. Cependant, il est important de remarquer que le chemin qui mène à la réussite a ses règles et ses principes fondamentaux. Dans cet article, vous trouverez 6 principes essentiels qui vous aideront à bien mener vos activités afin d’obte-nir des résultats satisfaisants.

Page 9: My school # 10 Mai 2013

My School #10 — MAI 2013 9

Fixez vos objectifs

Gagnez en estime de vous

Voyez long terme 1

Il est hyper important de faire des choses pour le long terme. Voir court terme c’est privilégier les récompenses immédiates et ne pas construire son avenir. Si vous voyez long terme, vous allez justement faire des choix qui vont privilégier la réussite à long terme. Vous de-vez savoir ce que vous voulez à long terme, pour que vos objectifs, vos attitudes en découlent.

3

2

L’estime de soi, c’est un pilier de base de la réussite. C’est ce qui fait que vous vous aimez, que vous vous appréciez. Avec plus d’es-time, vous aurez plus de confiance, et vous oserez plus. Vous serez plus entreprenant (au travail, en soirée), et vous réussirez plus faci-lement ce que vous entreprenez (que ce soit relationnel, comme personnel, comme professionnel). C’est prouvé, les gens qui ont une haute estime d’eux-mêmes réalisent plus facilement leurs ob-jectifs (et sont plus résilients).

Les objectifs, c’est un principe de base. C’est ce qui vous permet de savoir où vous voulez aller. Vous avez des rêves ? Des désirs ? Faites en découler des objectifs. Fixez en chaque année, revoyez-les sou-vent. Impregnez-vous de vos objectifs, et avancez chaque jour un pe-tit peu vers votre objectif principal.

Page 10: My school # 10 Mai 2013

10 My School #10 / MAI 2013

5

4

Prenez soin de vous

Soyez enthousiaste

L’enthousiasme, c’est de l’énergie en barre ! Que ce soit pour vos projets ou ceux des autres, être enthousiaste vous rendra beaucoup plus appréciable ! Et vous réaliserez plus facilement vos objectifs si vous les prenez avec enthousiasme ! C’est un moteur d’énergie qui vous rendra aussi beaucoup plus optimiste, beaucoup plus positif. Les projets que vous aurez seront plus facilement réalisables, et le fait de se penser capable de réaliser un objectif, c’est l’avoir réalisé à moitié.

Votre santé est ultra importante. Vous n’avez qu’un seul corps. Votre corps c’est votre moyen de transport, mais on ne le change pas. On reste dedans toute sa vie. Il est important d’en prendre soin. Evitez le stress, la malbouffe, faites du sport, évitez la pollution, faites attention aux ondes, ressourcez-vous, et reposez-vous.

Page 11: My school # 10 Mai 2013

My School #10 — MAI 2013 11

Source: www.vie-explosive.fr

6

Échouez, recommencez

La base de toute réussite est fondée sur l’échec. De nombreuses per-sonnes connues pour leur succès ont échoué de nombreuses fois. Mais ce qui a fait qu’elles ont réussi, c’est qu’elles n’ont rien lâché. Elles ont persévéré, elles ont continué, changé leur approche. Et elles ont fini par atteindre leur objectif à force de persévérance. Vous échouez à partir du moment où vous abandonnez. Mais avant cela ce n’est qu’une chute, et vous pouvez vous relever. Si vous échouez votre projet d’entreprise, remontez-en un autre ! Encore et encore. Apprenez de vos échecs, mais surtout relevez-vous !

Page 12: My school # 10 Mai 2013

12 My School #10 / MAI 2013

L e découragement guette tous ceux qui agissent. Or, mener à bien une action

quelle qu’elle soit, c’est essen-tiellement ne jamais céder au découragement. Il y a d’abord un « décou-ragement anticipé » qui intervient avant l’action et guette celui qui ne fait pas suivre immédiatement un projet de son exécution ou d’un commen-cement d’exécution (« À quoi bon », « Ça n’ira pas », etc.). Un récif me menace cependant avant d’arriver à bon port. C’est cinq minutes avant d’arriver à terme que l’entreprise court à nouveau les plus grands risques

de n’être pas achevée. Pour-quoi ? Tout se passe comme si l’idée relâchait sa poussée trop tôt, juste avant l’achèvement. Autre-ment dit, une fois le but en vue, on se tiendrait ce langage : « Voilà. Nous y sommes. Inutile de forcer davantage. » Et, très sou-vent, celle ou celui qui n’y prend garde se démobilise. Tout se passe comme si la pensée que l’action va être terminée, l’œuvre achevée, lui enlevait l’enthousiasme !

NE CÉDEZ PAS

AU DÉCOURAGEMENT

SUCCESS ROAD

Page 13: My school # 10 Mai 2013

My School #10 — MAI 2013 13

C’est absurde, paradoxal, mais très vrai. C’est souvent tout près du succès que se tapit le décou-ragement, le vrai, le plus impla-cable. Ce découragement menace de surgir alors qu’il ne reste presque rien à faire et alors même qu’on sait qu’il ne reste presque rien à faire. On croyait y être, et voilà sou-dain que l’enthousiasme se meurt. Voilà soudain que l’on se met à douter de soi, que l’on ne voit plus que les mauvais côtés de l’action entreprise. On aban-donne par découragement. Ou, au contraire, voilà que l’œuvre, presque finie, donne satisfaction à l’amour-propre. On se décerne un satisfecit. On est content d’être arrivé jusque-là. La pres-sion se relâche. On trouve que

c’est suffisant ainsi. Et l’on se dispense du supplément d’effort qui garantirait le succès. On s’abstient de faire le « quelque chose de plus que les autres » qui permettrait d’aborder la compétition sans risques. En résumé, c’est quand le but est en vue, quand on a presque achevé qu’il faut savoir prendre un nouveau départ. « Il m’assure un parfait achèvement », voilà ce qu’il faut se dire quand ce moment crucial est arrivé.

Extrait du chapitre XI de La technique

du succès d’André Muller.

Page 14: My school # 10 Mai 2013

14 My School #10 / MAI 2013

BON A SAVOIR

Depuis le Moyen Âge, le 23 avril, on célèbre en Espagne la fête de la Saint-Georges, « la Sant Jordi », le patron des Catalans.

Page 15: My school # 10 Mai 2013

My School #10 — MAI 2013 15

U ne légende veut que le chevalier Jordi ait délivré une princesse des griffes d'un dragon. Il trancha la

tête de l'animal et une pluie de roses s'en écoula. Quelques siècles plus tard, en 1926, un éditeur de Barcelone décida de créer une fête en hommage à Cervantes, le célèbre auteur de Don Quichotte. Il choisit le 23 avril, jour de la mort de l'écrivain, pour commémorer l'événement. De l'associa-tion de ces deux fêtes naquit la Journée du livre et de la rose. A cet actif, nous pouvons ajouter le jour anniversaire de la disparition, de Shakespeare et de l'Inca Garcilaso de la Vega, la même année (1616), et aussi de la naissance ou de la mort d'autres éminents écrivains comme Maurice Druon, K.Laxness, Vladimir Nabo-kov, Josep Pla ou Manuel Mejía Vallejo. Le 23 avril, date symbolique pour la litté-rature universelle, a été choisi par la Con-férence générale de l'UNESCO afin de rendre un hommage mondial au livre et à l'auteur; et d'encourager chacun et en particulier les plus jeunes, à découvrir le plaisir de la lecture et à respecter l'irrem-plaçable contribution des créateurs au progrès social et culturel. Le succès de cette initiative dépend es-sentiellement du soutien que peuvent lui apporter les milieux intéressés (auteurs, éditeurs, libraires, éducateurs et biblio-thécaires, institutions publiques et pri-vées, organisations non gouvernemen-tales et médias) qui sont mobilisés dans chaque pays par l'intermédiaire des Com-

missions nationales pour l'UNESCO, les Associations, Centres et Clubs. » L’Afrique ne reste pas en marge de cet évènement. Ainsi pour cette occasion il serait intéressant de présenter la littéra-ture africaine qui bien que mal connu de certains continents regorge de beaucoup d’œuvre.

Yao Eve-Bénédicte

Page 16: My school # 10 Mai 2013

16 My School #10 / MAI 2013

>>>

L a littérature africaine se scinde en quatre (4) groupes que sont :

Littérature africaine écrite par les occi-dentaux en langues occidentales Ecrite par des auteurs qui ont vécu ou passé un séjour en terre africaine. Ils pré-sentent l’Afrique telle qu’ils la perçoivent, laquelle perception peut être péjorative ou élogieuse tout dépend de ce qui re-tient leur attention. L’on peut citer Bernard Lugan, né le 10 mai 1946 à Meknès- Maroc, spécialiste de l’Afrique il est l’auteur de plusieurs œuvres telles : Décolonisez l’Afrique !, L’histoire des ber-

bères, des origines à nos jours – Un com-

bat identitaire pluri- millénaire…, et son

tout dernier Mythes et Manipulations de

l’histoire africaine, mensonges et repen-

tance.

Littérature africaine écrite par les afri-cains eux même en langue occidentales Les écrivains de cette catégorie sont ceux

qui ont reçu une éducation africaine à la

base puis occidentale. Le développement

de la littérature africaine est issu de

l’Eveil africain au lendemain des indépen-

dances qui fut une période où les afri-

cains commencèrent à comprendre le

système dans lequel il leur était imposé

de vivre.

Cette littérature à été influencé par plu-

sieurs auteurs tels que Léopold Sedar

Senghor (Sénégal), Aimé Césaire

(Martinique), Léon Gontran Damas

(Guyane) avec le courant « négritudien ».

La littérature africaine

BON A SAVOIR

Page 17: My school # 10 Mai 2013

My School #10 — MAI 2013 17

A ceux-ci l’on peut citer Bernard Binlin

Dadié avec des œuvres comme « Climbié,

un nègre à paris », Sembene Ousmane

« Les bouts de bois de Dieu ». Agostino

Neto (Premier président de l’Angola),

Baltasar Lopes du Cap Vert (littérature en

portugais)… En ce qui concerne la littéra-

ture africaine en anglais nous avons

comme auteurs l’émérite père de la litté-

rature africaine moderne Chinua Achebe

« Things fall appart », Cyprian Ekwensi,

Flora Nwapa…

Littérature africaines écrite en langue africaine Nous pouvons citer ces auteurs comme Thomas Mopoku Mfolo « moeti oa bo-chabela – l’homme qui marchait vers le soleil levant (traduction)», Mazisi Ku-neme , Cheick Anta Diop lesquels auteurs ont longtemps encouragé la littérature africaine en langues africaines. De cette initiative l’on a des textes en wôlôf, swa-hili, zulu, hausa, kikuyu… Les traditions orales Avant l’ère coloniale, le canon littéraire

africain était oral. Cette littérature se

composait de chants, poésies, contes

folkloriques qui généralement s’utilisaient

afin de transmettre des histoires par les

générations sous forme de légende et

mythes. Aujourd’hui cette forme d’ora-

ture se conserve dans les cultures dites

mandingue au travers des griots.

Yao Eve-Bénédicte

>>>

>>>

Page 18: My school # 10 Mai 2013

18 My School #10 / MAI 2013

« CELUI QUI A CRU

DOIT POUVOIR AGIR »

SUCCESS ROAD

Page 19: My school # 10 Mai 2013

My School #10 — MAI 2013 19

>>>

>>>

Page 20: My school # 10 Mai 2013

20 My School #10 / MAI 2013

E st il possible à une étudiante du secondaire, médiocre en chimie, de suivre les cours les

plus compliqués de chimie orga-nique à l’université ? Est il possible à un étudiant dont le niveau d’étude des parents est soit le pri-maire ou le secondaire d’atteindre le grade de Docteur en Sciences Economique ? Est il possible à un étudiant ou une étudiante de choi-sir une orientation différente de celle de ces parents et s’épanouir? Nombreux sont ceux qui répon-draient non à cette question sur-tout s’ils ont l’habitude de penser de façon négative. Mais je connais des personnes qui ont accompli des miracles et je sais comment, elles y sont arrivées. Heinand Amoi

SUCCESS ROAD

Devenez la personne que vous rêvez d’être

Leçon de la vie « Les leçons que je retiens sont qu’avant tout, rien n’est jamais acquis dans la vie. Lorsqu’on veut quelque chose, le parcours pour l’obtenir est souvent se-mé d’embuches. Il faut certes un don, du talent, de la chance mais surtout se don-ner les moyens pour atteindre le maxi-mum. Il faut souvent beaucoup d’abné-gation et toujours croire en soi pour réussir. C’est cette idée qui doit habiter tous les jeunes qui souhaitent réaliser leurs rêves ». Quand on veut on peut !

Page 21: My school # 10 Mai 2013

My School #10 — MAI 2013 21

Le rêve de Mark Zuckerberg « Mark Elliot Zuckerberg est né à Dobbs Ferry à coté de New York, le 14 mai 1984. D’un père dentiste et d’une mère psychiatre, le jeune homme a choisi une toute autre voie en se spécialisant dans l’informatique pour laquelle il manifeste un intérêt pronon-cé dès l’âge de douze ans. A l’université, il choisit bien sûr l’informatique, mais égale-ment la psychologie. L’association de ces deux notions explique d’ailleurs son succès plus tard. Son histoire commence à l’univer-sité de Harvard. Comme tout élève en infor-matique, il essaie de s’introduire dans le réseau de l’administration de son université. Mais Mark Zuckerberg réussit là où ou la plupart des étudiants connaissent souvent un échec. Il pirate ainsi le réseau informa-tique de Harvard et collecte les photos des étudiants ainsi que les informations person-nelles qui les concernent. Puis il les partage de manière à former un réseau d’amis au sein même de l’Université. Il concocte le

développement de ce réseau dans sa chambre d’étudiant et le nomme « Facebook ». En 2004, la première version de Facebook voit le jour pour mettre en re-lation les étudiants de Harvard, une idée qu’il a en tête depuis le lycée. Le réseau connait un grand succès sur le campus. D’autres universités sont intéressées et n’hésitent pas à utiliser le système. Le test de Mark Zuckerberg s’avère plus qu’une réussite et après deux ans passés à Harvard, il aspire à une plus grande ambition et quitte le campus pour aller en Californie, à Palo Alto. La suite on la connait. Des années plus tard, le jeune étudiant est devenu PDG de « Facebook »

dont le chiffre d’affaire s’élève à plus de 150

millions de dollars ».

Source : Google

Page 22: My school # 10 Mai 2013

22 My School #10 / MAI 2013

>>>

Métier d’Avenir

L e journaliste sportif joue le rôle de

spectateur actif des événements

sportifs qu’il doit commenter en di-

rect (à la radio ou à la télévision) ou analy-

ser dans la presse écrite. Le journaliste

sportif doit être une fin connaisseuse du

milieu sportif, et des règlements de

chaque discipline. Il doit également tout

savoir, ou presque, sur les athlètes, entraî-

neurs, arbitres…bref, sur tous les acteurs

d’un monde très diversifié. En effet, il

s’adresse à un public de passionnés, qui

ne supporteraient pas les imprécisions ou

les informations erronées.

Quelque soit le media pour lequel il tra-

vaille, (agence de presse, presse écrite, tv,

radio, site internet), il doit fréquemment

gérer l’urgence : les auditeurs et les télés-

pectateurs attendent les commentaires à

chaud, la rencontre à peine terminée. De

leur côté, les journaux de la presse écrite

bouclent sans attendre.

Comme tout professionnel de la presse

audio-visuelle et écrite, le journaliste spor-

tif sait aller chercher l’information, l’analy-

ser, la contrôler. Il dispose d’un savoir-

faire et d’une culture approfondis. Plus

que dans d’autres spécialités, il développe

sur le tas une aisance orale et un sens de

l’improvisation

Le journaliste sportif Comme tout les journalistes, la mission essentielle du journaliste sportif

consiste à transmettre une information sur n'importe quels sujet et support

sportive, en la rendant compréhensible et accessible à divers publics

(lecteurs, auditeurs, téléspectateurs, internautes...).

Page 23: My school # 10 Mai 2013

My School #10 — MAI 2013 23

Bien qu'aucune formation ne soit obliga-toire, il est recommandé de suivre un en-seignement supérieur en communication:

enseignement supérieur de type court : bachelier en communication

enseignement supérieur de type long : master en communication appli-quée – section Presse et Information enseignement universitaire : master en Information et communication

>>>

Baromètre ■ Niveau d’études BAC + 3 à BAC + 5 ■ Qualités réquises - Impartialité - Dynamisme - Curiosité - Ouverture d’esprit

Compétences & actions

Maîtrise des règles d’écriture journalistique

Capacités rédactionnelles

Capacités oratoires (pour le journalisme radio ou télé) pour faire vivre l’évènement

Maîtrise de la déontologie journalistique

Orthographe, grammaire et syntaxe irréprochables

Vaste culture générale

Vocabulaire riche

Connaissances informatiques

La connaissance d’une ou plusieurs langues étrangères peut s’avérer être un atout indéniable

Page 24: My school # 10 Mai 2013

24 My School #10 / MAI 2013

Nouvelles Technologies

2G, 3G et encore ! Des concepts très en vogue n’est-ce pas ?

Si tous au moins une fois nous en avons entendu parler, cette

kyrielle d’acronymes dédiée aux réseaux téléphoniques cause

bien de confusion dans nos esprits. Publicité ou innovation ?

Découvrons succinctement quelques mystères contenus dans

ces sigles en plein essor, afin de mieux nous y familiariser.

Prêts pour une petite excursion technologique ?

Internet mobile 2G, 3G, 4G, ça vous dit?

Page 25: My school # 10 Mai 2013

My School #10 — MAI 2013 25

G comme Génération Cette vulgarisation facilite la compréhen-

sion du public dans cette liste d’acronymes

souvent complexes. A chaque génération

de réseaux mobile (2G, 3G …) correspond

une nouvelle technologie (GSM, GPRS,

EDGE, UMTS, HSPDA, HSPA et LTE)

Pour simplifier, notons que la différence

entre ces standards se situe essentielle-

ment au niveau du débit et du type de ser-

vice offert.

Le Débit Le débit ou encore la vitesse de transmis-sion varie d’une technologie à une autre. Plus le débit est important plus la qualité

de service s’améliore.

Aussi, deux réseaux mobiles de type 2G et

3G n’auront pas les mêmes débits et donc

ne supporterons pas les mêmes services.

Les Applications et Services Des mobiles 2G appelés GSM, qui n’offraient que des services ba-siques (appels et SMS), nous avons pré-sentement des Smartphones mobiles de 3ème génération et plus, qui offrent des services évolués tels que l’internet mobile, la visiophonie… Toutefois, pour bénéficier de ces services certaines conditions sont requises : Il faut disposer d’équipements compatibles S’assurer que l’opérateur implémente la

technologie et que notre forfait nous le

permet.

Génération de Réseaux

Technologie Débit Théorique Débit Pratique

2 G

2 G GSM 9.6 kbps 9.6 kbps

2.5 G GPRS 50 kbps 40 kbps

2.75 G EDGE 250 kbps 150 kbps

3 G

3 G UMTS 384 kbps 360 kbps

3 G+ HSPDA 7.2 Mbps 3 Mbps

H HSPA 42 Mbps 5 Mbps

4 G LTE 150 Mbps 30 Mbps

Tableau récapitulatif des débits

Page 26: My school # 10 Mai 2013

26 My School #10 / MAI 2013

En attendant la 5G qui s’annonce déjà, ce boum de standards technologiques n’est pas fait pour ne déplaire. Cependant, il serait judicieux que les nombreux opérateurs mobiles se conforment aux spécifications en évitant de leurrer les consommateurs.

Hans-Elisabeth

Générations Services et Applications

2G Appels, SMS, MMS

2G+ (2.5G et 2.75G) Appels, SMS, MMS, internet à faible débit

3G

Appels, SMS, MMS, Internet à débit moyen, télé-

chargement d’un fichier audio de 50 Mo en 19

mn 30s

3G+

Appels, SMS, MMS,I nternet haut débit, Visiopho-

nie, téléchargement d’un fichier audio de 50 Mo

en 1mn 15s

H

Appels, SMS, MMS, Visiophonie, navigation à très

haut débit

téléchargement d’un fichier audio de 50 Mo en

30s

4G

Appels, SMS, MMS, Internet, Visiophonie, Télévi-

sion, navigation à très haut débit

téléchargement d’un fichier audio de 50 Mo en

1s !

Page 27: My school # 10 Mai 2013

My School #10 — MAI 2013 27

Lexique

GSM (Global System for Mobile communications) : norme télé-phonique de seconde génération. Ici, les communications fonc-tionnent selon un mode entièrement numérique. GPRS (General Packet Radio Service): norme pour la téléphonie mobile dérivée du GSM et qui permet un débit de données plus élevé. EDGE (Enhanced Data Ratesfor GPRS Evolution) : une évolution du GPRS. UMTS (Universal Mobile Telecommunications System) : norme téléphonique de 3e génération, le téléchargement de données est plus performant que celui sur le réseau EDGE. HSPDA (High-Speed Downlink Packet Access) et HSPA(High-Speed Packet Access +) : respectivement les évolutions de la 3G et de la 3G+. LTE (Long Term Evolution) : norme téléphonique sur laquelle re-

pose la 4G.

Page 28: My school # 10 Mai 2013

28 My School #10 / MAI 2013