modélisation d'aquifère par un maillage rectangulaire en
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le modèle MARTHE
modélisation d'aquifère par un maillage rectangulaireen régime transitoire pour le calcul hydrodynamique
des écoulements
BRGM
le modèle MARTHE
modélisation d'aquifère par un maillage rectangulaire
en régime transitoire pour le caicul hydrodynamique
des écoulements
D. Thiery
août 198787 SGN 545 EAU
BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES ET MINIERESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONALDépartement Eau - Environnement
B.P. 6009 - 45060 ORLEANS CEDEX 2 - Tél.: 33.64.34.34
RESUME
Ce rapport présente en détail le modèle hydrodynamique MARTHE du
département Eau et Environnement du BRGM. MARTHE est un modèle permettant la
modélisation en régime transitoire d'aquifères tridimensionnels. Il est adapté aux
problèmes classiques d'hydrodynamique souterraine :
- implantation de champs captants,
- interaction entre forages,
- bilans d'aquifères,
- assèchement de fouilles.
Son caractère tridimensionnel et ses possibilités de maillage rectangulaire
irrégulier le rendent particulièrement adapté aux problèmes miniers ainsi qu'aux
problèmes de dénoyages avec surface libre. MARTHE (Modélisation d'Aquifères par un
maillage Rectangulaire en régime Transitoire pour le calcul Hydrodynamique des
Ecoulements) est un logiciel écrit en FORTRAN 77 qui résoud les équations de
l'hydrodynamique par la méthode des différences finies dans un domaine formé d'un
nombre non limité de couches.
RESUME
Ce rapport présente en détail le modèle hydrodynamique MARTHE du
département Eau et Environnement du BRGM. MARTHE est un modèle permettant la
modélisation en régime transitoire d'aquifères tridimensionnels. Il est adapté aux
problèmes classiques d'hydrodynamique souterraine :
- implantation de champs captants,
- interaction entre forages,
- bilans d'aquifères,
- assèchement de fouilles.
Son caractère tridimensionnel et ses possibilités de maillage rectangulaire
irrégulier le rendent particulièrement adapté aux problèmes miniers ainsi qu'aux
problèmes de dénoyages avec surface libre. MARTHE (Modélisation d'Aquifères par un
maillage Rectangulaire en régime Transitoire pour le calcul Hydrodynamique des
Ecoulements) est un logiciel écrit en FORTRAN 77 qui résoud les équations de
l'hydrodynamique par la méthode des différences finies dans un domaine formé d'un
nombre non limité de couches.
SOMMAIRE
Pages
INTRODUCTION 1
Première partie - DESCRIPTION DU MODELE 3
1 - DOMAINE D'APPLICATION DU MODELE MARTHE 5
2 - DESCRIPTION DE L'AGENCEMENT DES COUCHES DU MODELE
MARTHE 6
3 - DESCRIPTION DU MAILLAGE DU MODELE 8
4 - LIMITES DE L'AQUIFERE 12
5 - LIMITE SUPERIEURE (toit ou cote de débordement) 14
6 - LIMITE INFERIEURE (SUBSTRATUM) 15
7 - DEFINITION DES CHARGES 16
8 - DEFINITION DE LA PERMEABILITE 17
9 - LIAISONS ETANCHES 18
10 - DEFINITION DES COEFFICIENTS D'EMMAGASINEMENT 19
11 - DEFINITIONS DES ZONES 20
12 - DEFINITION DES DEBITS 22
13 - DEFINITION DE LA PLUIE EFFICACE 23
14 - DEFINITION DU TEMPS 24
15 - PRINCIPE DE RESOLUTION 25
16 - UTILISATION DU MODELE 27
Deuxième partie - MISE EN FORME DES DONNEES 29
1 - LES FICHIERS DE DONNEES 31
2 - LE FICHIER PARAMETRE 32
2.1 - Description des 30 lignes de généralité 35
2.2 - Définition des épaisseurs verticales de couches 38
2.3 - Lignes d'attribution de valeurs par zones 38
2.4 - Définition des pas de mesures 41
3 - DEFINITION DES DONNEES DES MAILLES (SEMIS) 46
4 - DEFINITION DES LIAISONS ETANCHES 48
5 - EXECUTION DU MODELE MARTHE 50
SOMMAIRE
Pages
INTRODUCTION 1
Première partie - DESCRIPTION DU MODELE 3
1 - DOMAINE D'APPLICATION DU MODELE MARTHE 5
2 - DESCRIPTION DE L'AGENCEMENT DES COUCHES DU MODELE
MARTHE 6
3 - DESCRIPTION DU MAILLAGE DU MODELE 8
4 - LIMITES DE L'AQUIFERE 12
5 - LIMITE SUPERIEURE (toit ou cote de débordement) 14
6 - LIMITE INFERIEURE (SUBSTRATUM) 15
7 - DEFINITION DES CHARGES 16
8 - DEFINITION DE LA PERMEABILITE 17
9 - LIAISONS ETANCHES 18
10 - DEFINITION DES COEFFICIENTS D'EMMAGASINEMENT 19
11 - DEFINITIONS DES ZONES 20
12 - DEFINITION DES DEBITS 22
13 - DEFINITION DE LA PLUIE EFFICACE 23
14 - DEFINITION DU TEMPS 24
15 - PRINCIPE DE RESOLUTION 25
16 - UTILISATION DU MODELE 27
Deuxième partie - MISE EN FORME DES DONNEES 29
1 - LES FICHIERS DE DONNEES 31
2 - LE FICHIER PARAMETRE 32
2.1 - Description des 30 lignes de généralité 35
2.2 - Définition des épaisseurs verticales de couches 38
2.3 - Lignes d'attribution de valeurs par zones 38
2.4 - Définition des pas de mesures 41
3 - DEFINITION DES DONNEES DES MAILLES (SEMIS) 46
4 - DEFINITION DES LIAISONS ETANCHES 48
5 - EXECUTION DU MODELE MARTHE 50
Pages
6 - LES FICHIERS GENERES PAR LE LOGICIEL 51
6.1 - Le fichier BILANDEBI . LST 51
6.2 - Le fichier HISTORIQ . LST 56
6.3 - Le fichier XYCHASIM . DAT . 56
6.4 - Le fichier MARTHE . OUT 57
7 - VALIDATION DU MODELE MARTHE 58
7.1 - Modèle anisotrope en régime transitoire 58
7.2 - Modèle tridimensionnel avec surface libre 58
7.3 - Modèle coupe avec fortes hétérogénéïtés 60
8 - CALCULS DE LIGNES DE COURANT OU DE TRAJECTOIRE 61
Annexe 1 - Coefficients d'échange dans le modèle MARTHE 65
Annexe 2 - Description de la chaîne SEMIS 69
Index 77
Liste des figures
1 - Vue en coupe d'un maillage tridimensionnel avec substratum 7
2 - Vue en coupe d'un schéma monocouche avec toit (ou cote de
débordement) et substratum 7
3 - Perspective cavalière d'un maillage tridimensionnel à
couches horizontales 10
4 - Découpage des mailles : vue de dessus et vue de côté 10
5 - Quatre exemples de maillages du modèle MARTHE 11
6 - Définition des limites du modèle 12
7 - Génération automatique des limites par le logiciel LIMIMART 13
8 - Liaisons étanches entre 2 mailles 18
9 - Exemple de fichiers d'entrée du modèle MARTHE 31
10 - Bordereau n^l pour le fichier paramètres du modèle MARTHE 33
11 - Exemple de fichier de paramètres (modèle MARTHE version 2.0) 34
12 - Bordereau n''2 pour le fichier paramètres du modèle MARTHE 40
13 - Bordereau n'*3 du modèle MARTHE 45
Pages
6 - LES FICHIERS GENERES PAR LE LOGICIEL 51
6.1 - Le fichier BILANDEBI . LST 51
6.2 - Le fichier HISTORIQ . LST 56
6.3 - Le fichier XYCHASIM . DAT . 56
6.4 - Le fichier MARTHE . OUT 57
7 - VALIDATION DU MODELE MARTHE 58
7.1 - Modèle anisotrope en régime transitoire 58
7.2 - Modèle tridimensionnel avec surface libre 58
7.3 - Modèle coupe avec fortes hétérogénéïtés 60
8 - CALCULS DE LIGNES DE COURANT OU DE TRAJECTOIRE 61
Annexe 1 - Coefficients d'échange dans le modèle MARTHE 65
Annexe 2 - Description de la chaîne SEMIS 69
Index 77
Liste des figures
1 - Vue en coupe d'un maillage tridimensionnel avec substratum 7
2 - Vue en coupe d'un schéma monocouche avec toit (ou cote de
débordement) et substratum 7
3 - Perspective cavalière d'un maillage tridimensionnel à
couches horizontales 10
4 - Découpage des mailles : vue de dessus et vue de côté 10
5 - Quatre exemples de maillages du modèle MARTHE 11
6 - Définition des limites du modèle 12
7 - Génération automatique des limites par le logiciel LIMIMART 13
8 - Liaisons étanches entre 2 mailles 18
9 - Exemple de fichiers d'entrée du modèle MARTHE 31
10 - Bordereau n^l pour le fichier paramètres du modèle MARTHE 33
11 - Exemple de fichier de paramètres (modèle MARTHE version 2.0) 34
12 - Bordereau n''2 pour le fichier paramètres du modèle MARTHE 40
13 - Bordereau n'*3 du modèle MARTHE 45
Pages
14 - Exemple de fichier de liaisons étanches 48
15 - Les fichiers de résultats produits par le logiciel MARTHE 51
16 - Exemple de fichier BILANDEBI.LST résultant du modèle MARTHE :
pas de mesures n°0 et n^l 54
17 - Exemple de fichier BILANDEBI.LST résultant du modèle MARTHE :
pas de mesure n°2 55
18 - Exemple d'historiques de charge au pas de temps mensuel du fichier
HISTORIQ.LST 56
19 - Validation du modèle MARTHE : 3 exemples 59
20 - Visualisation du champ des vitesses avec le logiciel VIKING 62
21 - Calcul des lignes de courant avec le logiciel VIKING 63
AII.l - Exemple de semis de données de 13 lignes et 12 colonnes sous
forme de 2 panneaux 73
Pages
14 - Exemple de fichier de liaisons étanches 48
15 - Les fichiers de résultats produits par le logiciel MARTHE 51
16 - Exemple de fichier BILANDEBI.LST résultant du modèle MARTHE :
pas de mesures n°0 et n^l 54
17 - Exemple de fichier BILANDEBI.LST résultant du modèle MARTHE :
pas de mesure n°2 55
18 - Exemple d'historiques de charge au pas de temps mensuel du fichier
HISTORIQ.LST 56
19 - Validation du modèle MARTHE : 3 exemples 59
20 - Visualisation du champ des vitesses avec le logiciel VIKING 62
21 - Calcul des lignes de courant avec le logiciel VIKING 63
AII.l - Exemple de semis de données de 13 lignes et 12 colonnes sous
forme de 2 panneaux 73
INTRODUCTION
Le modèle MARTHE est un logiciel de modélisation hydrodynamique en régime
transitoire des écoulements dans les milieux poreux TRIDIMENSIONNELS. Le schéma
de résolution utilise les différences finies avec un maillage parallélépipédique (ou
rectangulaire) irrégulier avec possibilité d'une surface libre en n'importe quelle couche
de maille. La souplesse du maillage de ce modèle permet une adaptation fidèle aux
différents problèmes de l'hydrodynamique minière ou de l'hydrodynamique des milieux
fissurés, car il est possible de représenter facilement par de longues mailles des
discontinuités ou des fractures.
Il est également adapté à l'hydrogéologie urbaine ou karstique par sa possibilité de
simuler des drains ou des canaux. Son domaine d'application le plus fréquent est
naturellement les aquifères monocouches qu'il permet de modéliser très facilement en
régime permanent ou en régime transitoire.
Le modèle décrit dans ce rapport est écrit en FORTRAN 77 standard et est
utilisable à la fois sur les gros ordinateurs ou les micro-ordinateurs compatibles
IBM/PC.
Le logiciel MARTHE a été écrit au département EAU sur les fonds propres du
BRGM et amélioré progressivement quand le besoin s'en faisait sentir par financement
sur des études d'applications. La version décrite dans ce rapport est la version 2.0 de
mai 1987.
Cette version 2.0 du logiciel MARTHE nécessite encore l'emploi de bordereaux
pour définir les paramètres généraux du modèle mais l'utilisation du modèle est
conviviale.
En 1988 une version totalement conviviale avec mailleur en conversationnel
graphique sur écran couleur sera élaborée au département Eau et sera décrite dans un
rapport ultérieur fin 1988 ou début 1989.
Le présent rapport est composé de deux parties :
la description des possibilités du modèle,
la description de la mise en forme des données ainsi que la validation du
modèle.
INTRODUCTION
Le modèle MARTHE est un logiciel de modélisation hydrodynamique en régime
transitoire des écoulements dans les milieux poreux TRIDIMENSIONNELS. Le schéma
de résolution utilise les différences finies avec un maillage parallélépipédique (ou
rectangulaire) irrégulier avec possibilité d'une surface libre en n'importe quelle couche
de maille. La souplesse du maillage de ce modèle permet une adaptation fidèle aux
différents problèmes de l'hydrodynamique minière ou de l'hydrodynamique des milieux
fissurés, car il est possible de représenter facilement par de longues mailles des
discontinuités ou des fractures.
Il est également adapté à l'hydrogéologie urbaine ou karstique par sa possibilité de
simuler des drains ou des canaux. Son domaine d'application le plus fréquent est
naturellement les aquifères monocouches qu'il permet de modéliser très facilement en
régime permanent ou en régime transitoire.
Le modèle décrit dans ce rapport est écrit en FORTRAN 77 standard et est
utilisable à la fois sur les gros ordinateurs ou les micro-ordinateurs compatibles
IBM/PC.
Le logiciel MARTHE a été écrit au département EAU sur les fonds propres du
BRGM et amélioré progressivement quand le besoin s'en faisait sentir par financement
sur des études d'applications. La version décrite dans ce rapport est la version 2.0 de
mai 1987.
Cette version 2.0 du logiciel MARTHE nécessite encore l'emploi de bordereaux
pour définir les paramètres généraux du modèle mais l'utilisation du modèle est
conviviale.
En 1988 une version totalement conviviale avec mailleur en conversationnel
graphique sur écran couleur sera élaborée au département Eau et sera décrite dans un
rapport ultérieur fin 1988 ou début 1989.
Le présent rapport est composé de deux parties :
la description des possibilités du modèle,
la description de la mise en forme des données ainsi que la validation du
modèle.
Première partie
DESCRIPTION DU MODELE
Première partie
DESCRIPTION DU MODELE
1 - DOMAINE D'APPLICATION DU MODELE MARTHE
Dans sa version actuelle (version 2.0 de mai 1987), le modèle MARTHE présente
les caractéristiques suivantes :
- écoulements tridimensionnels,
- maillage rectangulaire irrégulier, l'extension de chaque couche pouvant être
différente. Sur une verticale les mailles existantes ont cependant les mêmes
dimensions,
- prise en compte de surface libre dans n'importe quelle couche,
- possibilités de simuler finement un dénoyage local de l'aquifère,
- prise en compte de mailles à débordement (cours d'eau, sources, gravière),
- possibilité de simuler une zone équipotentielle à potentiel inconnu ou variable
(lac) ; (voir § 11) ;
- prise en compte optionnelle de parois étanches (palplanches, bâtiments, failles,
etc.),
- présence optionnelle d'un coefficient d'anisotropie des perméabilités selon les 2
directions horizontales,
- présence d'un coefficient d'anisotropie verticale,
- simulation en régime permanent ou transitoire,
- utilisation de données sous forme de "semis de points" à la norme du
Département Eau. Ces "semis" en entrée et en sortie permettent une
compatibilité immédiate avec les logiciels de transformation (TRANSEMIS)
d'interpolation et de visualisation (INGRID, LUCAS), les logiciels de calcul de
lignes de courant (VIKING), de dispersion (SESAME), etc..
- possibilité de faire des modifications ou des affectations de paramètres par
zones et de réaliser des bilans de débits par zone.
1 - DOMAINE D'APPLICATION DU MODELE MARTHE
Dans sa version actuelle (version 2.0 de mai 1987), le modèle MARTHE présente
les caractéristiques suivantes :
- écoulements tridimensionnels,
- maillage rectangulaire irrégulier, l'extension de chaque couche pouvant être
différente. Sur une verticale les mailles existantes ont cependant les mêmes
dimensions,
- prise en compte de surface libre dans n'importe quelle couche,
- possibilités de simuler finement un dénoyage local de l'aquifère,
- prise en compte de mailles à débordement (cours d'eau, sources, gravière),
- possibilité de simuler une zone équipotentielle à potentiel inconnu ou variable
(lac) ; (voir § 11) ;
- prise en compte optionnelle de parois étanches (palplanches, bâtiments, failles,
etc.),
- présence optionnelle d'un coefficient d'anisotropie des perméabilités selon les 2
directions horizontales,
- présence d'un coefficient d'anisotropie verticale,
- simulation en régime permanent ou transitoire,
- utilisation de données sous forme de "semis de points" à la norme du
Département Eau. Ces "semis" en entrée et en sortie permettent une
compatibilité immédiate avec les logiciels de transformation (TRANSEMIS)
d'interpolation et de visualisation (INGRID, LUCAS), les logiciels de calcul de
lignes de courant (VIKING), de dispersion (SESAME), etc..
- possibilité de faire des modifications ou des affectations de paramètres par
zones et de réaliser des bilans de débits par zone.
2 - DESCRIPTION DE L'AGENCEMENT DES COUCHES DU MODELE MARTHE
Le schéma de résolution (par différences finies) fait intervenir des couches (en
nombre non limité) de mailles rectangulaires. Chaque couche a une épaisseur constante
(différente d'une couche à l'autre). La couche supérieure peut être limitée par un "toit"
et avoir ainsi une épaisseur variable.
Toutes les séparations entre couches sont parallèles au substratum de la couche
inférieure. En résumé : seule la couche inférieure à un substratum et seule la couche
supérieure à un toit (s'il n'y a qu'une seule couche, elle peut bien entendu avoir un toit
et un substratum) : voir figures 1 et 2. Sur une verticale toutes les mailles existantes
ont les mêmes longueurs et largeurs.
2 - DESCRIPTION DE L'AGENCEMENT DES COUCHES DU MODELE MARTHE
Le schéma de résolution (par différences finies) fait intervenir des couches (en
nombre non limité) de mailles rectangulaires. Chaque couche a une épaisseur constante
(différente d'une couche à l'autre). La couche supérieure peut être limitée par un "toit"
et avoir ainsi une épaisseur variable.
Toutes les séparations entre couches sont parallèles au substratum de la couche
inférieure. En résumé : seule la couche inférieure à un substratum et seule la couche
supérieure à un toit (s'il n'y a qu'une seule couche, elle peut bien entendu avoir un toit
et un substratum) : voir figures 1 et 2. Sur une verticale toutes les mailles existantes
ont les mêmes longueurs et largeurs.
Toit ou cote de débordement/
J"
Couche 1
Couche 2
Couche 3
J^Couche 4
//T/// / / / Substratum
///// / /
Epaisseur variable couche 1
Epaisseur constante couche 2
Epaisseur constante couche 3
Epaisseur constante couche 4
Figfure 1 - Vue en coupe d'un maUlage tridimensionnel avec substratum
Figure 2 - Vue en coupe d'un schéma monoeouche avec toit(ou cote de débordement) et substratum
Toit ou cote de débordement/
J"
Couche 1
Couche 2
Couche 3
J^Couche 4
//T/// / / / Substratum
///// / /
Epaisseur variable couche 1
Epaisseur constante couche 2
Epaisseur constante couche 3
Epaisseur constante couche 4
Figfure 1 - Vue en coupe d'un maUlage tridimensionnel avec substratum
Figure 2 - Vue en coupe d'un schéma monoeouche avec toit(ou cote de débordement) et substratum
3 - DESCRIPTION DU MAILLAGE DU MODELE
L'aquifère est défini comme un ensemble de NC couches parallèles d'épaisseur
constante, la couche n°l étant la couche supérieure. La longueur maximale de la zone
modélisée est définie par le nombre NKOL de colonnes ; sa largeur maximale est définie
par le nombre NIL de lignes (voir figures 3 et 4).
Les mailles sont des parallélépipèdes dont les dimensions sont définies par :
- les largeurs des NKOL colonnes,
- les longueurs des NIL lignes,
- les épaisseurs des NC couches (la couche supérieure pouvant avoir une épaisseur
variable).
Ces dimensions sont données par :
- les abscisses (absolues) des centres de NKOL colonnes,
- les ordonnées (absolues) des centres des NIL lignes.
L'origine des abscisses et des ordonnées peut être quelconque : par exemple
coordonnées type LAMBERT,
- les épaisseurs des NC couches.
Les coordonnées des centres des colonnes et des lignes sont définies dans une unité
de découpage horizontal précisée par l'utilisateur (mètres, centimètres, pieds...).
Les épaisseurs des couches sont exprimées dans l'unité des charges choisies par
l'utilisateur. (La figure 5 présente 4 exemples de maillage : 1 maillage carré régulier, 1
maillage rectangulaire irrégulier, 1 maillage rectangulaire en coupe verticale et 1
maillage tridimensionnel (vu en perspective).
Remarque 1 : Les abscisses et les ordonnées ne peuvent pas être données "au
hasard" car eUes doivent correspondre à des centres de lignes et de colonnes ; par
exemple les abscisses suivantes (par rapport à l'est de la première maille) sont
impossibles : 100, 300, 350, 375 ; en effet, la 2ème maille s'étend de l'abscisse 200 à 400
et la 3ème maille lui serait incluse (et aurait une largeur de - 100 mètres î). Les
abscisses et les ordonnées sont calculées automatiquement à partir des Isurgeurs des
colonnes et des lignes par des logiciels de mise en forme (chaîne SEMIS) et ne peuvent
être modifiées qu'avec soin.
3 - DESCRIPTION DU MAILLAGE DU MODELE
L'aquifère est défini comme un ensemble de NC couches parallèles d'épaisseur
constante, la couche n°l étant la couche supérieure. La longueur maximale de la zone
modélisée est définie par le nombre NKOL de colonnes ; sa largeur maximale est définie
par le nombre NIL de lignes (voir figures 3 et 4).
Les mailles sont des parallélépipèdes dont les dimensions sont définies par :
- les largeurs des NKOL colonnes,
- les longueurs des NIL lignes,
- les épaisseurs des NC couches (la couche supérieure pouvant avoir une épaisseur
variable).
Ces dimensions sont données par :
- les abscisses (absolues) des centres de NKOL colonnes,
- les ordonnées (absolues) des centres des NIL lignes.
L'origine des abscisses et des ordonnées peut être quelconque : par exemple
coordonnées type LAMBERT,
- les épaisseurs des NC couches.
Les coordonnées des centres des colonnes et des lignes sont définies dans une unité
de découpage horizontal précisée par l'utilisateur (mètres, centimètres, pieds...).
Les épaisseurs des couches sont exprimées dans l'unité des charges choisies par
l'utilisateur. (La figure 5 présente 4 exemples de maillage : 1 maillage carré régulier, 1
maillage rectangulaire irrégulier, 1 maillage rectangulaire en coupe verticale et 1
maillage tridimensionnel (vu en perspective).
Remarque 1 : Les abscisses et les ordonnées ne peuvent pas être données "au
hasard" car eUes doivent correspondre à des centres de lignes et de colonnes ; par
exemple les abscisses suivantes (par rapport à l'est de la première maille) sont
impossibles : 100, 300, 350, 375 ; en effet, la 2ème maille s'étend de l'abscisse 200 à 400
et la 3ème maille lui serait incluse (et aurait une largeur de - 100 mètres î). Les
abscisses et les ordonnées sont calculées automatiquement à partir des Isurgeurs des
colonnes et des lignes par des logiciels de mise en forme (chaîne SEMIS) et ne peuvent
être modifiées qu'avec soin.
Remarque 2 : L'épaisseur des couches définie par le découpage sert également au
calcul du coefficient d'emmagasinement captif intrinsèque et pour la définition
automatique d'une éventuelle hauteur de suintement en cas de dénoyage (pour
permettre les échanges avec les mailles voisines). 11 faudra donc toujours donner - dans
le découpage des couches - l'épaisseur MOYENNE de la couche supérieure (couche n°l)même si elle est variable (car limitée par un toit). (Ceci est rendu nécessaire dans le cas
de nappes localement libres ou l'utilisateur aurait tendance à donner une épaisseur
fictive très grande).
Remarque 2 : L'épaisseur des couches définie par le découpage sert également au
calcul du coefficient d'emmagasinement captif intrinsèque et pour la définition
automatique d'une éventuelle hauteur de suintement en cas de dénoyage (pour
permettre les échanges avec les mailles voisines). 11 faudra donc toujours donner - dans
le découpage des couches - l'épaisseur MOYENNE de la couche supérieure (couche n°l)même si elle est variable (car limitée par un toit). (Ceci est rendu nécessaire dans le cas
de nappes localement libres ou l'utilisateur aurait tendance à donner une épaisseur
fictive très grande).
10
colonne 1colonne NKOL
ligne 1
ligne NIL
couche 1
couche 2
couche NC
/
;l-^^ligne 2 y/7
// /^ /
y // /
/ // /' // /
// / /
/
1
1
//
^
Figure 3 - Perspective (cavalière) d'un maUlage tridimensionnel à couches horizontales
Ligne 1
Lignes
Lignes
Ligne 4
»1
2
^2
4
»4
5
»5
NKOL
"NKOL
Illii IIlli II ' I I
* *
yi
y4
yNiL
Couclie 2
NC «liNG
a) vue de dessus (plan) b) vue de côté (coupe verticale)
origine des coordonnées
Figure 4 - Découpage des maiUes : vue de dessus et vue de côté
10
colonne 1colonne NKOL
ligne 1
ligne NIL
couche 1
couche 2
couche NC
/
;l-^^ligne 2 y/7
// /^ /
y // /
/ // /' // /
// / /
/
1
1
//
^
Figure 3 - Perspective (cavalière) d'un maUlage tridimensionnel à couches horizontales
Ligne 1
Lignes
Lignes
Ligne 4
»1
2
^2
4
»4
5
»5
NKOL
"NKOL
Illii IIlli II ' I I
* *
yi
y4
yNiL
Couclie 2
NC «liNG
a) vue de dessus (plan) b) vue de côté (coupe verticale)
origine des coordonnées
Figure 4 - Découpage des maiUes : vue de dessus et vue de côté
11
f«PPE EXEMPLE WWTnE nniLLES ECntCS t lez ni RCClti rERnflHENT nooeiE mwiHe mitLncc vwihie - cnnncEs ikiti4.es
iBBa iSBB zeaa zc?:'
a) Modèle monocouche maillage carré b) Modèle monoeouche maillage rectangulaire
wmmK/uï7i7iZ\
. Il «t tl : WW»
c) Modèle coupe verticale (3 tunnels sous d) Modèle tridimensionnel (exhaure minière)
la mer)
Figure 5 - Quatre exemples de maillages du modèle MARTHE
11
f«PPE EXEMPLE WWTnE nniLLES ECntCS t lez ni RCClti rERnflHENT nooeiE mwiHe mitLncc vwihie - cnnncEs ikiti4.es
iBBa iSBB zeaa zc?:'
a) Modèle monocouche maillage carré b) Modèle monoeouche maillage rectangulaire
wmmK/uï7i7iZ\
. Il «t tl : WW»
c) Modèle coupe verticale (3 tunnels sous d) Modèle tridimensionnel (exhaure minière)
la mer)
Figure 5 - Quatre exemples de maillages du modèle MARTHE
12
4 - LIMITES DE L'AQUIFERE
Les limites de l'aquifère sont définies par des valeurs du tableau des débits
arbitrairement fixées à 9999. On forme ainsi un contour qui doit être fermé. A
l'intérieur de ce contour, il ne doit pas y avoir de perméabilité nulle. A l'extérieur, il ne
doit pas y avoir de perméabilité positive (ces erreurs seraient détectées par le logiciel).
Sur les mailles limites, la perméabilité peut être :
- égale à 0 : c'est une limite imperméable (étanche) qui ne fait donc pas partie du
modèle ; il n'est pas nécessaire d'en préciser les paramètres (charges,
emmagasinement...) ;
- positive : c'est une maille à charge imposée ; il faut bien entendu préciser la
charge qui est imposée (il n'est pas nécessaire de préciser de coefficient
d'emmagasinement car la charge est constante) (voir figure 6).
Limite du modèle
Charge imposée
9999
k
9999
k
9999
k
9999
0
k
k
k
9999
k
9999
0
k
k
k
9999
0
9999
0
9999
0
9999
0
DébitPerméabilité
Limite imperméable (mailleextérieure au modèle)
Figure 6 - Définition des limites du modèle
Remarque : Les limites latérales peuvent être différentes dans chaque couche et
ne respecter aucune superposition verticale. On vérifiera cependant que l'aquifère est
partout bordé par des mailles "9999".
Les limites peuvent être générées automatiquement par le logiciel LIMIMART à
partir des coordonnées du contour du modèle et des coordonnées de points à charge
imposée (voir figure 7).
Le logiciel VERIMART permet de visualiser graphiquement le maillage de chaque
couche et de vérifier les limites.
12
4 - LIMITES DE L'AQUIFERE
Les limites de l'aquifère sont définies par des valeurs du tableau des débits
arbitrairement fixées à 9999. On forme ainsi un contour qui doit être fermé. A
l'intérieur de ce contour, il ne doit pas y avoir de perméabilité nulle. A l'extérieur, il ne
doit pas y avoir de perméabilité positive (ces erreurs seraient détectées par le logiciel).
Sur les mailles limites, la perméabilité peut être :
- égale à 0 : c'est une limite imperméable (étanche) qui ne fait donc pas partie du
modèle ; il n'est pas nécessaire d'en préciser les paramètres (charges,
emmagasinement...) ;
- positive : c'est une maille à charge imposée ; il faut bien entendu préciser la
charge qui est imposée (il n'est pas nécessaire de préciser de coefficient
d'emmagasinement car la charge est constante) (voir figure 6).
Limite du modèle
Charge imposée
9999
k
9999
k
9999
k
9999
0
k
k
k
9999
k
9999
0
k
k
k
9999
0
9999
0
9999
0
9999
0
DébitPerméabilité
Limite imperméable (mailleextérieure au modèle)
Figure 6 - Définition des limites du modèle
Remarque : Les limites latérales peuvent être différentes dans chaque couche et
ne respecter aucune superposition verticale. On vérifiera cependant que l'aquifère est
partout bordé par des mailles "9999".
Les limites peuvent être générées automatiquement par le logiciel LIMIMART à
partir des coordonnées du contour du modèle et des coordonnées de points à charge
imposée (voir figure 7).
Le logiciel VERIMART permet de visualiser graphiquement le maillage de chaque
couche et de vérifier les limites.
13
Diûnn-isBiiOH OES lihitcs oih wdcle tftnií io=roreNi]EL inrosEí
3300
2800..
2300..
1800 -.
1300..
800
300
nODELE rBITIC LlnlTES CENDIEE5 BUTOnnTIOUEnENT ILInlnBlT)
3300 4 I ^ ,
2800..
2300
1800..
1302..
800..
300
limites généréesautomatiquement
HSSH
200 700 1200 1700 2200 200 700 1200 1703 2200
Figfure 7 - Génération automatique des limites par le logficiel
LIMIMART ^ = potentiel imposé
hv^i = limite imperméable
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Diûnn-isBiiOH OES lihitcs oih wdcle tftnií io=roreNi]EL inrosEí
3300
2800..
2300..
1800 -.
1300..
800
300
nODELE rBITIC LlnlTES CENDIEE5 BUTOnnTIOUEnENT ILInlnBlT)
3300 4 I ^ ,
2800..
2300
1800..
1302..
800..
300
limites généréesautomatiquement
HSSH
200 700 1200 1700 2200 200 700 1200 1703 2200
Figfure 7 - Génération automatique des limites par le logficiel
LIMIMART ^ = potentiel imposé
hv^i = limite imperméable
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5 - LIMITE SUPERIEURE (toit ou cote de débordement)
Deux options sont possibles :
- LTOI = 0 : le toit (c'est-à-dire le dessus de la couche n°l) est défininormalement par l'épaisseur de la couche n°l ; il est étanche, c'est-à-dire que
l'aquifère devient en charge quand la charge dépasse la cote du toit ; on ne doit
pas définir de données de toit dans chaque maille ;
- LTOI = 1 : le toit est défini par un tableau d'épaisseurs de la couche supérieure
(n°l) en unités de charges ; ce toit peut être, suivant les mailles, de deux types :
. c'est une limite étanche si l'épaisseur est précédée d'un signe positif,
. c'est une cote de débordement si l'épaisseur est précédée d'un signe négatif ;
une cote de débordement est une cote qui ne peut être dépassée ; si cette
cote est atteinte, un débit appelé "débit de débordement" déborde par cette
maille et quitte définitivement l'aquifère.
Les épaisseurs sont toujours données en unités de charges (choisies par
l'utilisateur).
Remarque : Le terme "toit étanche" implique une éventuelle mise en charge mais
n'empêche pas une alimentation par une infiltration ou une pluie.
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5 - LIMITE SUPERIEURE (toit ou cote de débordement)
Deux options sont possibles :
- LTOI = 0 : le toit (c'est-à-dire le dessus de la couche n°l) est défininormalement par l'épaisseur de la couche n°l ; il est étanche, c'est-à-dire que
l'aquifère devient en charge quand la charge dépasse la cote du toit ; on ne doit
pas définir de données de toit dans chaque maille ;
- LTOI = 1 : le toit est défini par un tableau d'épaisseurs de la couche supérieure
(n°l) en unités de charges ; ce toit peut être, suivant les mailles, de deux types :
. c'est une limite étanche si l'épaisseur est précédée d'un signe positif,
. c'est une cote de débordement si l'épaisseur est précédée d'un signe négatif ;
une cote de débordement est une cote qui ne peut être dépassée ; si cette
cote est atteinte, un débit appelé "débit de débordement" déborde par cette
maille et quitte définitivement l'aquifère.
Les épaisseurs sont toujours données en unités de charges (choisies par
l'utilisateur).
Remarque : Le terme "toit étanche" implique une éventuelle mise en charge mais
n'empêche pas une alimentation par une infiltration ou une pluie.
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6 - LIMITE INFERIEURE (SUBSTRATUM)
Sur option, il est possible d'introduire un semis de cotes du substratum de la
couche inférieure (couche NC).
. Ces cotes du substratum sont en unité de charges (choisies par l'utilisateur. Elles
sont définies par rapport à une cote de référence notée REFSUB :
substratum modèle = substratum lu ^ REFSUB
. Si on ne choisit pas l'option de lire un semis de cotes du substratum on aura en
tout point un substratum horizontal :
substratum modèle = REFSUB
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6 - LIMITE INFERIEURE (SUBSTRATUM)
Sur option, il est possible d'introduire un semis de cotes du substratum de la
couche inférieure (couche NC).
. Ces cotes du substratum sont en unité de charges (choisies par l'utilisateur. Elles
sont définies par rapport à une cote de référence notée REFSUB :
substratum modèle = substratum lu ^ REFSUB
. Si on ne choisit pas l'option de lire un semis de cotes du substratum on aura en
tout point un substratum horizontal :
substratum modèle = REFSUB
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7 - DEFINITION DES CHARGES
Si une maille est en charge (entièrement saturée), la charge est affectée au centre
de la maille, c'est la charge moyenne dans la maille. Dans une maille à surface libre
(partiellement remplie), la charge est affectée à mi-hauteur de l'épaisseur d'eau. Si la
charge (imposée ou calculée) est inférieure à la cote du fond d'une maille, l'aquifère est
localement denoyé (ce dénoyage est indiqué sur les fichiers de résultats par une valeur
égale à REFSUB).
Dans une maille à potentiel imposé (débit = 9999), le calcul de la transmissivité
équivalente implique que la charge est en pratique imposée :
- au centre de la maille si sa perméabilité a même valeur que celles des mailles
voisines,
- quasiment à la périphérie si sa perméabilité est beaucoup plus élevée que celles
des mailles voisines.
Les charges sont définies par rapport à une hauteur de référence HREFER (par
exemple, si toutes les mailles sont à la charge 515, on peut introduire partout une
charge nulle et fixer HREFER = 515, ou bien une charge 5 et HREFER = 510).
charge modèle = charge lue + HREFER
Il est possible par cette hauteur de référence de diminuer toutes les charges pour
augmenter la précision numérique des calculs.
Exemple : charge de 722 à 733 m NGF lues par le modèle. On fixe HREFER =
- 720 ce qui permet, sans changer les semis de données, des calculs plus précis avec des
charges modèles comprises entre 2 et 13. Dans ce cas, il ne faudra pas oublier de faire
la même correction pour les cotes du substratum.
Exemple : si le substratum était constant et fixé à la cote 705 on peut
- soit introduire REFSUB = 705 - 720 = - 15 et ne pas lire de cotes de substratum,
- soit lire des cotes égales à 705 et fixer REFSUB = - 720.
Remarque : Quand une maille est dénoyée, elle est codée à REFSUB dans les
tableaux de résultats.
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7 - DEFINITION DES CHARGES
Si une maille est en charge (entièrement saturée), la charge est affectée au centre
de la maille, c'est la charge moyenne dans la maille. Dans une maille à surface libre
(partiellement remplie), la charge est affectée à mi-hauteur de l'épaisseur d'eau. Si la
charge (imposée ou calculée) est inférieure à la cote du fond d'une maille, l'aquifère est
localement denoyé (ce dénoyage est indiqué sur les fichiers de résultats par une valeur
égale à REFSUB).
Dans une maille à potentiel imposé (débit = 9999), le calcul de la transmissivité
équivalente implique que la charge est en pratique imposée :
- au centre de la maille si sa perméabilité a même valeur que celles des mailles
voisines,
- quasiment à la périphérie si sa perméabilité est beaucoup plus élevée que celles
des mailles voisines.
Les charges sont définies par rapport à une hauteur de référence HREFER (par
exemple, si toutes les mailles sont à la charge 515, on peut introduire partout une
charge nulle et fixer HREFER = 515, ou bien une charge 5 et HREFER = 510).
charge modèle = charge lue + HREFER
Il est possible par cette hauteur de référence de diminuer toutes les charges pour
augmenter la précision numérique des calculs.
Exemple : charge de 722 à 733 m NGF lues par le modèle. On fixe HREFER =
- 720 ce qui permet, sans changer les semis de données, des calculs plus précis avec des
charges modèles comprises entre 2 et 13. Dans ce cas, il ne faudra pas oublier de faire
la même correction pour les cotes du substratum.
Exemple : si le substratum était constant et fixé à la cote 705 on peut
- soit introduire REFSUB = 705 - 720 = - 15 et ne pas lire de cotes de substratum,
- soit lire des cotes égales à 705 et fixer REFSUB = - 720.
Remarque : Quand une maille est dénoyée, elle est codée à REFSUB dans les
tableaux de résultats.
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8 - DEFINITION DE LA PERMEABILITE
C'est la perméabilité à l'eau (ou conductivité hydraulique). C'est bien entendu le
rapport de la transmissivité à l'épaisseur saturée d'aquifère.
Dans le modèle, on introduit la perméabilité horizontale KH. La perméabilité
horizontale peut présenter une anisotropie dans le plan : on définit alors un coefficient
d'anisotropie plane AXY = KX/KY. La perméabilité KX dans la direction OX (Est-Ouest)
et la perméabilité KY dans la direction OY (Nord-Sud) s'en déduisent alors par :
KX =
KH
On peut également introduire une anisotropie verticale ANIS. La perméabilité
verticale KV s'écrit alors :
KV = AN1S.KH
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8 - DEFINITION DE LA PERMEABILITE
C'est la perméabilité à l'eau (ou conductivité hydraulique). C'est bien entendu le
rapport de la transmissivité à l'épaisseur saturée d'aquifère.
Dans le modèle, on introduit la perméabilité horizontale KH. La perméabilité
horizontale peut présenter une anisotropie dans le plan : on définit alors un coefficient
d'anisotropie plane AXY = KX/KY. La perméabilité KX dans la direction OX (Est-Ouest)
et la perméabilité KY dans la direction OY (Nord-Sud) s'en déduisent alors par :
KX =
KH
On peut également introduire une anisotropie verticale ANIS. La perméabilité
verticale KV s'écrit alors :
KV = AN1S.KH
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9 - LIAISONS ETANCHES
Il est possible de supprimer les échanges entre 2 mailles juxtaposées ou entre 2
mailles superposées par l'introduction sur option de liaisons étanches. Ces liaisons -
généralement un petit nombre - sont introduites seulement pour les mailles concernées.
Il est inutile d'en introduire sur les contours du modèle ou entre mailles à potentiel
imposé. Pour isoler une maille G (à gauche) d'une maille D (à droite) il suffit d'introduire
une liaison à l'est de la maille G ou à l'ouest de la maille D. Le logiciel génère de lui-
même les liaisons synthétiques (figure 8).
I N 1^ II
Figure 8 - Liaisons étanches entre 2 maiUes : U suffit d'introduire
une seule liaison entre la maîUe G (gauche) et la maUle D
(droite) ; la liaison symétrique est générée automatiquement
Remarque : Dans tous les cas les limites du modèle doivent être décrites (par des
débits égaux à 9999). Elles ne peuvent être remplacées par des liaisons étanches. Le rôle
des liaisons étanches est en effet uniquement d'isoler des mailles situées à l'intérieur de
la zone modélisée.
18
9 - LIAISONS ETANCHES
Il est possible de supprimer les échanges entre 2 mailles juxtaposées ou entre 2
mailles superposées par l'introduction sur option de liaisons étanches. Ces liaisons -
généralement un petit nombre - sont introduites seulement pour les mailles concernées.
Il est inutile d'en introduire sur les contours du modèle ou entre mailles à potentiel
imposé. Pour isoler une maille G (à gauche) d'une maille D (à droite) il suffit d'introduire
une liaison à l'est de la maille G ou à l'ouest de la maille D. Le logiciel génère de lui-
même les liaisons synthétiques (figure 8).
I N 1^ II
Figure 8 - Liaisons étanches entre 2 maiUes : U suffit d'introduire
une seule liaison entre la maîUe G (gauche) et la maUle D
(droite) ; la liaison symétrique est générée automatiquement
Remarque : Dans tous les cas les limites du modèle doivent être décrites (par des
débits égaux à 9999). Elles ne peuvent être remplacées par des liaisons étanches. Le rôle
des liaisons étanches est en effet uniquement d'isoler des mailles situées à l'intérieur de
la zone modélisée.
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10 - DEFINITION DES COEFFICIENTS D'EMMAGASINEMENT
Pour chaque maille, il faut définir deux coefficients d'emmagasiment :
- le coefficient d'emmagasinement à surface libre : c'est en quelque sorte une
porosité efficace ; il est utilisé quand une maille (quelle que soit la couche) n'est
pas entièrement saturée (ce coefficient est celui qui serait déduit d'un pompage
d'essai dans une partie ou la nappe est libre) ;
- le coefficient d'emmagasinement captif : on introduit dans le modèle le
coefficient d'emmagasinement captif correspondant à l'épaisseur totale de
l'aquifère (c'est celui qui serait déduit d'un pompage d'essai) ; le modèle en
déduit (dans chaque maille) le coefficient d'emmagasinement intrinsèque en
divisant le coefficient d'emmagasinement captif par l'épaisseur totale de
l'aquifère. Le coefficient d'emmagasinement captif utilisé dans les calculs sera
alors le coefficient d'emmagasinement intrinsèque d'une maille multiplié par
l'épaisseur de la maille. (Pour la couche supérieure, c'est l'épaisseur moyenne de
la couche - définie dans le découpage - qui sera utilisée).
Remarque 1 : Si on veut effectuer un calcul en régime permanent, il suffit de
mettre une valeur nulle comme définition de l'unité du coefficient d'emmagasinement
libre et captif. Il ne faut alors pas introduire de tableaux de coefficients
d'emmagasinement. Le calcul sera alors effectué sur un seul pas de temps correspondant
au régime permanent. Cependant, la pluie efficace (voir plus loin) à introduire pour ce
calcul doit être la hauteur de pluie efficace correspondant au temps (arbitrairement)
fixé. Par exemple, si la pluie efficace est de 360 mm/an, on peut fixer un pas de temps
de 1 mois, et une pluie efficace de 30 mm. Une maille peut avoir un coefficient
d'emmagasinement nul, mais pas négatif.
Remarque 2 : Si on envisage de faire un calcul en régime permanent (pour partir
d'une piézométrie équilibrée) suivi d'un calcul en régime transitoire, il peut être plus
pratique, au lieu de fixer une valeur nulle pour les unités des coefficients
d'emmagasinement, de procéder comme suit :
- mettre - pour simuler le régime permanent - des unités de coefficients
d'emmagasinement très faibles (par exemple 10"20),
- et faire le calcul en transitoire.
On obtient ainsi un calcul plus progressif et on peut contrôler qu'on atteint bien
une solution d'équilibre.
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10 - DEFINITION DES COEFFICIENTS D'EMMAGASINEMENT
Pour chaque maille, il faut définir deux coefficients d'emmagasiment :
- le coefficient d'emmagasinement à surface libre : c'est en quelque sorte une
porosité efficace ; il est utilisé quand une maille (quelle que soit la couche) n'est
pas entièrement saturée (ce coefficient est celui qui serait déduit d'un pompage
d'essai dans une partie ou la nappe est libre) ;
- le coefficient d'emmagasinement captif : on introduit dans le modèle le
coefficient d'emmagasinement captif correspondant à l'épaisseur totale de
l'aquifère (c'est celui qui serait déduit d'un pompage d'essai) ; le modèle en
déduit (dans chaque maille) le coefficient d'emmagasinement intrinsèque en
divisant le coefficient d'emmagasinement captif par l'épaisseur totale de
l'aquifère. Le coefficient d'emmagasinement captif utilisé dans les calculs sera
alors le coefficient d'emmagasinement intrinsèque d'une maille multiplié par
l'épaisseur de la maille. (Pour la couche supérieure, c'est l'épaisseur moyenne de
la couche - définie dans le découpage - qui sera utilisée).
Remarque 1 : Si on veut effectuer un calcul en régime permanent, il suffit de
mettre une valeur nulle comme définition de l'unité du coefficient d'emmagasinement
libre et captif. Il ne faut alors pas introduire de tableaux de coefficients
d'emmagasinement. Le calcul sera alors effectué sur un seul pas de temps correspondant
au régime permanent. Cependant, la pluie efficace (voir plus loin) à introduire pour ce
calcul doit être la hauteur de pluie efficace correspondant au temps (arbitrairement)
fixé. Par exemple, si la pluie efficace est de 360 mm/an, on peut fixer un pas de temps
de 1 mois, et une pluie efficace de 30 mm. Une maille peut avoir un coefficient
d'emmagasinement nul, mais pas négatif.
Remarque 2 : Si on envisage de faire un calcul en régime permanent (pour partir
d'une piézométrie équilibrée) suivi d'un calcul en régime transitoire, il peut être plus
pratique, au lieu de fixer une valeur nulle pour les unités des coefficients
d'emmagasinement, de procéder comme suit :
- mettre - pour simuler le régime permanent - des unités de coefficients
d'emmagasinement très faibles (par exemple 10"20),
- et faire le calcul en transitoire.
On obtient ainsi un calcul plus progressif et on peut contrôler qu'on atteint bien
une solution d'équilibre.
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11 - DEFINITIONS DES ZONES
Il est possible d'introduire (ou de modifier) des paramètres sur toute une zone du
modèle. On peut également introduire une pluie (efficace) par zone. A chaque maille de
l'aquifère est donc affecté un numéro de zone.
- Une pluie efficace (infiltration) est introduite dans chaque maille de la couche
SUPERIEURE si son numéro de zone est compris entre 1 et 9. Les zones n°8 et
9 ont cependant un rôle très particulier décrit plus loin.
- Une zone doit avoir un numéro entier compris entre 0 et 9999 (pas négatif). Les
zones de numéros supérieurs à 9 permettent d'introduire des données
géométriques mais ne reçoivent pas de pluie.
- Il ne doit pas y avoir plus de 49 zones différentes.
- U est possible, après lecture des données par mailles et au cours de n'importe
quel pas de temps, de donner à un paramètre une valeur égale dans toutes les
mailles d'une zone ; exemple : on peut affecter dans toutes les mailles de la
zone 99 : débit = 9999, charge = 33, perméabilité, emmagasinements et
épaisseurs = inchangés ; il est ainsi facile de modifier rapidement (avec une
seule valeur) les données relatives à toute une zone ; on peut ainsi par exemple
simuler facilement les variations au cours du temps du creusement d'une mine
ou le remblaiement d'une gravière.
- Cas particulier des zones n°8 et n°9 :
- la zone n°8 définit une zone à débit uniforme par unité de volume ; la somme
des débits affectés à cette zone est redistribuée proportionnellement au
volume de chaque maille de la zone 8 ; il n'y a pas d'échange entre deux
mailles contigiies affectées à la zone 8 ; cette zone permet de simuler un
débit prélevé (ou injecté) dans une fissure ou une cavité à flux uniforme ;
- la zone n'*9 définit une zone équipotentielle (isocharge) mais à charge non
imposée ; toutes les mailles de la zone n°9 auront à tout moment la même
charge et on considère que la somme de tous les débits affectés à ces mailles
est affectée globalement à la zone n°9 ; cette zone permet de simuler une
fissure ou une cavité de très forte perméabilité équivalente dans laquelle on
effectue éventueUement un pompage ou une injection ; elle permet également
de représenter un lac horizontal ou une gravière ; l'avantage de cette zone est
qu'elle évite - pour obtenir une zone équipotentielle - d'introduire des mailles
contigiies à très forte perméabilité donc génératrices d'instabilités et de
difficultés de calcuL
20
11 - DEFINITIONS DES ZONES
Il est possible d'introduire (ou de modifier) des paramètres sur toute une zone du
modèle. On peut également introduire une pluie (efficace) par zone. A chaque maille de
l'aquifère est donc affecté un numéro de zone.
- Une pluie efficace (infiltration) est introduite dans chaque maille de la couche
SUPERIEURE si son numéro de zone est compris entre 1 et 9. Les zones n°8 et
9 ont cependant un rôle très particulier décrit plus loin.
- Une zone doit avoir un numéro entier compris entre 0 et 9999 (pas négatif). Les
zones de numéros supérieurs à 9 permettent d'introduire des données
géométriques mais ne reçoivent pas de pluie.
- Il ne doit pas y avoir plus de 49 zones différentes.
- U est possible, après lecture des données par mailles et au cours de n'importe
quel pas de temps, de donner à un paramètre une valeur égale dans toutes les
mailles d'une zone ; exemple : on peut affecter dans toutes les mailles de la
zone 99 : débit = 9999, charge = 33, perméabilité, emmagasinements et
épaisseurs = inchangés ; il est ainsi facile de modifier rapidement (avec une
seule valeur) les données relatives à toute une zone ; on peut ainsi par exemple
simuler facilement les variations au cours du temps du creusement d'une mine
ou le remblaiement d'une gravière.
- Cas particulier des zones n°8 et n°9 :
- la zone n°8 définit une zone à débit uniforme par unité de volume ; la somme
des débits affectés à cette zone est redistribuée proportionnellement au
volume de chaque maille de la zone 8 ; il n'y a pas d'échange entre deux
mailles contigiies affectées à la zone 8 ; cette zone permet de simuler un
débit prélevé (ou injecté) dans une fissure ou une cavité à flux uniforme ;
- la zone n'*9 définit une zone équipotentielle (isocharge) mais à charge non
imposée ; toutes les mailles de la zone n°9 auront à tout moment la même
charge et on considère que la somme de tous les débits affectés à ces mailles
est affectée globalement à la zone n°9 ; cette zone permet de simuler une
fissure ou une cavité de très forte perméabilité équivalente dans laquelle on
effectue éventueUement un pompage ou une injection ; elle permet également
de représenter un lac horizontal ou une gravière ; l'avantage de cette zone est
qu'elle évite - pour obtenir une zone équipotentielle - d'introduire des mailles
contigiies à très forte perméabilité donc génératrices d'instabilités et de
difficultés de calcuL
21
Remarques :
- U ne faut pas employer SIMULTANEMENT des mailles avec zone 8 et des
mailles avec zone 9.
- Si une maille de la zone 8 ou 9 a une charge imposée (Q = 9999), elle n'est pas
prise en compte dans le traitement particulier des zones (il y aurait une
contradiction interne).
21
Remarques :
- U ne faut pas employer SIMULTANEMENT des mailles avec zone 8 et des
mailles avec zone 9.
- Si une maille de la zone 8 ou 9 a une charge imposée (Q = 9999), elle n'est pas
prise en compte dans le traitement particulier des zones (il y aurait une
contradiction interne).
22
12 - DEFINITION DES DEBITS
Les débits sont définis dans chaque maille avec la convention suivante :
- débit positif = débit injecté (entrant),
- débit négatif = débit prélevé (sortant),
- débit = 9999 : valeur code indiquant une limite de maillage (si on voulait
justement introduire un débit entrant égal à 9999, il suffirait par exemple de le
fixer à 9998...).
22
12 - DEFINITION DES DEBITS
Les débits sont définis dans chaque maille avec la convention suivante :
- débit positif = débit injecté (entrant),
- débit négatif = débit prélevé (sortant),
- débit = 9999 : valeur code indiquant une limite de maillage (si on voulait
justement introduire un débit entrant égal à 9999, il suffirait par exemple de le
fixer à 9998...).
23
13 - DEFINITION DE LA PLUIE EFFICACE (ou plus précisément de la recharge)
La pluie efficace arrive dans la couche supérieure (n°l), que cette couche ait un
toit "étanche" ou à "cote de débordement". La pluie efficace arrive toujours dans la
couche supérieure, même si cette couche est dénoyée. La pluie efficace est affectée à
chaque pas de temps pour chacune des zones 1 à 9. Cette pluie efficace est la
HAUTEUR de pluie efficace tombée entre le début et la fin du pas de temps (depuis le
début pour le premier pas de temps). Dans le modèle MARTHE version 2.0, ce n'est pas
un FLUX, mais une HAUTEUR, ce qui implique par exemple une hauteur différente,
même si la pluie efficace est uniforme, si les pas de temps (de mesures) sont de
longueurs différentes. L'unité de référence est le mUlimètre.
Remarque 1 : Le terme "pluie" peut représenter en fait une irrigation (il suffira de
se souvenir que 1 1/ha = 10"4 mm).
Remarque 2 : On peut introduire une pluie efficace négative pour représenter une
évapotranspiration ; mais si la couche supérieure est asséchée, il n'y aura plus de
reprise.
Remarque 3 : Sur les zones à charge imposée (débit = 9999), le modèle calcule le
débit résultant des charges des mailles voisines mais ne fait pas arriver de pluie
efficace.
Remarque 4 : Pour un calcul en régime permanent, la hauteur de pluie efficace est
celle qui correspond à la durée du pas de mesure, cette durée étant fixée arbitrairement
par l'utilisateur.
23
13 - DEFINITION DE LA PLUIE EFFICACE (ou plus précisément de la recharge)
La pluie efficace arrive dans la couche supérieure (n°l), que cette couche ait un
toit "étanche" ou à "cote de débordement". La pluie efficace arrive toujours dans la
couche supérieure, même si cette couche est dénoyée. La pluie efficace est affectée à
chaque pas de temps pour chacune des zones 1 à 9. Cette pluie efficace est la
HAUTEUR de pluie efficace tombée entre le début et la fin du pas de temps (depuis le
début pour le premier pas de temps). Dans le modèle MARTHE version 2.0, ce n'est pas
un FLUX, mais une HAUTEUR, ce qui implique par exemple une hauteur différente,
même si la pluie efficace est uniforme, si les pas de temps (de mesures) sont de
longueurs différentes. L'unité de référence est le mUlimètre.
Remarque 1 : Le terme "pluie" peut représenter en fait une irrigation (il suffira de
se souvenir que 1 1/ha = 10"4 mm).
Remarque 2 : On peut introduire une pluie efficace négative pour représenter une
évapotranspiration ; mais si la couche supérieure est asséchée, il n'y aura plus de
reprise.
Remarque 3 : Sur les zones à charge imposée (débit = 9999), le modèle calcule le
débit résultant des charges des mailles voisines mais ne fait pas arriver de pluie
efficace.
Remarque 4 : Pour un calcul en régime permanent, la hauteur de pluie efficace est
celle qui correspond à la durée du pas de mesure, cette durée étant fixée arbitrairement
par l'utilisateur.
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14 - DEFINITION DU TEMPS (en régime transitoire)
Le calcul est effectué pour un certain nombre de pas - appelés pas de mesures -
dont le nombre MAXIMAL est précisé en début de programme.
Pour chaque "pas de mesure", on définit la date de la fin du pas de mesure qui doit
être strictement supérieure à celle du pas de mesure précédent, sinon le programme
s'arrête (on ne peut pas remonter le temps).
Les pas de mesures sont définis suivant n'importe quel espacement au gré de
l'utilisateur.
A chaque pas de temps, on définit :
- la date de la fin du pas de mesures,
- les hauteurs de pluies efficaces tombées au cours du pas de mesure dans les
zones 1 à 9,
- les éventuelles modifications de : charge, débit, perméabilité, épaisseur de la
couche supérieure (débordement), zone, cote du substratum,
- les éditions souhaitées (cartes, tableaux...).
Si on effectue un calcul en régime permanent, la hauteur de pluie efficace à
introduire dans le modèle sera la hauteur de pluie efficace pendant la durée du pas de
mesure, cette durée étant arbitraire et choisie par l'utilisateur.
A chaque "pas de mesures", les charges et les débits calculés d'un certain nombre
de mailles choisies par l'utilisateur peuvent être mis en mémoire et constituent les
"historiques" au cours du temps.
Pour effectuer les calculs, chaque pas de mesure peut être découpé en un nombre
constant de pas de calcul de durées variables (la durée des pas de calcul augmente
linéairement jusqu'à la moitié du pas de mesure, puis reste constante pendant la seconde
moitié). Il est possible et conseillé de n'avoir qu'un pas de calcul par pas de mesure
puisqu'il est possible, en régime transitoire, de choisir des pas de mesure de durées
quelconques et donc de les resserrer après des modifications brutales (de débit, de pluie
ou de niveau imposé). Les historiques sont alors mémorisés à chaque pas de calcul ainsi
que les bilans qui permettent de contrôler la convergence des résultats.
24
14 - DEFINITION DU TEMPS (en régime transitoire)
Le calcul est effectué pour un certain nombre de pas - appelés pas de mesures -
dont le nombre MAXIMAL est précisé en début de programme.
Pour chaque "pas de mesure", on définit la date de la fin du pas de mesure qui doit
être strictement supérieure à celle du pas de mesure précédent, sinon le programme
s'arrête (on ne peut pas remonter le temps).
Les pas de mesures sont définis suivant n'importe quel espacement au gré de
l'utilisateur.
A chaque pas de temps, on définit :
- la date de la fin du pas de mesures,
- les hauteurs de pluies efficaces tombées au cours du pas de mesure dans les
zones 1 à 9,
- les éventuelles modifications de : charge, débit, perméabilité, épaisseur de la
couche supérieure (débordement), zone, cote du substratum,
- les éditions souhaitées (cartes, tableaux...).
Si on effectue un calcul en régime permanent, la hauteur de pluie efficace à
introduire dans le modèle sera la hauteur de pluie efficace pendant la durée du pas de
mesure, cette durée étant arbitraire et choisie par l'utilisateur.
A chaque "pas de mesures", les charges et les débits calculés d'un certain nombre
de mailles choisies par l'utilisateur peuvent être mis en mémoire et constituent les
"historiques" au cours du temps.
Pour effectuer les calculs, chaque pas de mesure peut être découpé en un nombre
constant de pas de calcul de durées variables (la durée des pas de calcul augmente
linéairement jusqu'à la moitié du pas de mesure, puis reste constante pendant la seconde
moitié). Il est possible et conseillé de n'avoir qu'un pas de calcul par pas de mesure
puisqu'il est possible, en régime transitoire, de choisir des pas de mesure de durées
quelconques et donc de les resserrer après des modifications brutales (de débit, de pluie
ou de niveau imposé). Les historiques sont alors mémorisés à chaque pas de calcul ainsi
que les bilans qui permettent de contrôler la convergence des résultats.
25
15 - PRINCIPE DE RESOLUTION
La résolution se fait par différences finies avec une méthode implicite pure, en
établissant l'équation d'équilibre entre la maille de calcul (C) et les six mailles voisines
(Nord, Sud, Est, Ouest, Haut et Bas). La solution est obtenue par un calcul itératif.
Cette équation s'écrit globalement :
A H PLUIE . SURF H(t) - H(t - dt)> T. (H. - H(t)) -\-q+ = S . SURF^ 11
i = 1
débit d'échange des
mailles voisines
dt
débit
pluie
dt
variation de stockage
avec les notations :
Tj coefficient d'échange global ("transmissivité") entre la maille de calcul
et une maille voisine i.
Hi charge d'une maille voisine à la date t,
H(t) charge de la maille de calcul à la date t,
Q débit prélevé ou injecté,
H PLUIE hauteur de pluie efficace pendant la durée dt,
SURF surface horizontale de la maille = DX.DY,
S coefficient d'emmagasinement libre si la maille n'est pas pleine ou bien
S captif = Ss . dz, si la maille est pleine,
avec : Ss = coefficient d'emmagasinement captif spécifique,
et : dz = épaisseur de la maille.
La charge au centre de la maille de calcul est donc obtenue par itérations suivant
la relation :
H(t) =
^ H PLUIE . SURF S . SURF H (t - dt)X T. . H. -f Q -f : +
i = 1dt dt
ÍT.+ S. SURF
dt
La résolution se fait de manière itérative avec cependant un coefficient de sur-
relaxation ou de sous-relaxation (suivant le cas) selon l'équation :
25
15 - PRINCIPE DE RESOLUTION
La résolution se fait par différences finies avec une méthode implicite pure, en
établissant l'équation d'équilibre entre la maille de calcul (C) et les six mailles voisines
(Nord, Sud, Est, Ouest, Haut et Bas). La solution est obtenue par un calcul itératif.
Cette équation s'écrit globalement :
A H PLUIE . SURF H(t) - H(t - dt)> T. (H. - H(t)) -\-q+ = S . SURF^ 11
i = 1
débit d'échange des
mailles voisines
dt
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variation de stockage
avec les notations :
Tj coefficient d'échange global ("transmissivité") entre la maille de calcul
et une maille voisine i.
Hi charge d'une maille voisine à la date t,
H(t) charge de la maille de calcul à la date t,
Q débit prélevé ou injecté,
H PLUIE hauteur de pluie efficace pendant la durée dt,
SURF surface horizontale de la maille = DX.DY,
S coefficient d'emmagasinement libre si la maille n'est pas pleine ou bien
S captif = Ss . dz, si la maille est pleine,
avec : Ss = coefficient d'emmagasinement captif spécifique,
et : dz = épaisseur de la maille.
La charge au centre de la maille de calcul est donc obtenue par itérations suivant
la relation :
H(t) =
^ H PLUIE . SURF S . SURF H (t - dt)X T. . H. -f Q -f : +
i = 1dt dt
ÍT.+ S. SURF
dt
La résolution se fait de manière itérative avec cependant un coefficient de sur-
relaxation ou de sous-relaxation (suivant le cas) selon l'équation :
26
Hk = Hk - 1 + RELAX . (H - Hk - l)
avec
H charge calculée par résolution de l'équation d'équilibre,
Hk - 1 charge à l'itération k - 1,
Hk charge affectée à l'itération k,
RELAX coefficient de relaxation (1 par défaut).
Si la convergence est délicate à cause de débordements ou d'assèchements par
exemple, ou présente des oscillations, il peut être nécessaire d'utiliser pour RELAX une
valeur inférieure à 1 (0.7 par exemple). C'est alors un coefficient de sous-relaxation.
Par contre, si la convergence est régulière (mais lente) il peut être intéressant d'utiliser
un coefficient de sur-relaxation (ex : RELAX = 1,3 à 1,5).
26
Hk = Hk - 1 + RELAX . (H - Hk - l)
avec
H charge calculée par résolution de l'équation d'équilibre,
Hk - 1 charge à l'itération k - 1,
Hk charge affectée à l'itération k,
RELAX coefficient de relaxation (1 par défaut).
Si la convergence est délicate à cause de débordements ou d'assèchements par
exemple, ou présente des oscillations, il peut être nécessaire d'utiliser pour RELAX une
valeur inférieure à 1 (0.7 par exemple). C'est alors un coefficient de sous-relaxation.
Par contre, si la convergence est régulière (mais lente) il peut être intéressant d'utiliser
un coefficient de sur-relaxation (ex : RELAX = 1,3 à 1,5).
27
16 - UTILISATION DU MODELE
Le logiciel est appelé MARTHE. Il est opérationnel sur plusieurs ordinateurs en
particulier sur VAX 780/85 sur lequel il peut traiter au moins 8000 mailles et sur micro-
ordinateurs compatible IBM/PC sur lesquels il permet en version standard de traiter au
moins 7000 mailles (sans que la limite de l'ordinateur n'ait été atteinte).
27
16 - UTILISATION DU MODELE
Le logiciel est appelé MARTHE. Il est opérationnel sur plusieurs ordinateurs en
particulier sur VAX 780/85 sur lequel il peut traiter au moins 8000 mailles et sur micro-
ordinateurs compatible IBM/PC sur lesquels il permet en version standard de traiter au
moins 7000 mailles (sans que la limite de l'ordinateur n'ait été atteinte).
29
Deuxième partie
MISE EN FORME DES DONNEES
29
Deuxième partie
MISE EN FORME DES DONNEES
31
1 - LES FICHIERS DE DONNEES
Les fichiers de données nécessaires pour utiliser le modèle MARTHE version 2.0
sont au nombre de deux (ou trois) (voir figure 9).
a) Un fichier paramètre qui définit les unités des données, le nombre d'itérations,
etc.. ainsi que les pas de temps et les conditions aux limites pour le régime
transitoire.
b) Un fichier contenant les données des mailles sous forme de semis de points.
Pour chaque couche toutes ces données sont présentées paramètre par
paramètre.
c) Eventuellement un fichier de liaisons étanches (données ponctuellement).
La cohérence de ces fichiers peut être vérifiée par le logiciel VERIMART qui
permet également une visualisation graphique du maillage couche par couche.
Fichier paramètre
MARTHE . PAR
Fichier des mailles
MARTHE . DAT
ModèleMARTHE
Fichier des liaisonsimperméables
MARTHE . LIA
facultatif
Figure 9 - Exemple de fichiers d'entrée du modèle MARTHE
(Les noms de fichiers sont choisis par l'utUisateur)
31
1 - LES FICHIERS DE DONNEES
Les fichiers de données nécessaires pour utiliser le modèle MARTHE version 2.0
sont au nombre de deux (ou trois) (voir figure 9).
a) Un fichier paramètre qui définit les unités des données, le nombre d'itérations,
etc.. ainsi que les pas de temps et les conditions aux limites pour le régime
transitoire.
b) Un fichier contenant les données des mailles sous forme de semis de points.
Pour chaque couche toutes ces données sont présentées paramètre par
paramètre.
c) Eventuellement un fichier de liaisons étanches (données ponctuellement).
La cohérence de ces fichiers peut être vérifiée par le logiciel VERIMART qui
permet également une visualisation graphique du maillage couche par couche.
Fichier paramètre
MARTHE . PAR
Fichier des mailles
MARTHE . DAT
ModèleMARTHE
Fichier des liaisonsimperméables
MARTHE . LIA
facultatif
Figure 9 - Exemple de fichiers d'entrée du modèle MARTHE
(Les noms de fichiers sont choisis par l'utUisateur)
32
2 - LE FICHIER PARAMETRE (voir figures 10 et 17)
Le fichier paramètre se compose de :
- 30 lignes de généralités définissant les unités, le nombre de pas de mesures, le
nombre maximal d'itérations, etc, les mailles à historiques : bordereau 1,
- des lignes (en nombre variable) définissant les épaisseurs des couches : on utilise
juste le nombre de lignes nécessaires (ni plus, ni moins) : bordereau 2,
- des lignes définissant éventuellement des valeurs à affecter par zones après
lecture des données des mailles,
- des lignes définissant à chaque pas de temps de mesures (en régime transitoire) :
- la date de la fin du pas de temps,
- les hauteurs de pluie efficace des zones de pluie,
- les éditions demandées,
- les modifications par zones (si demandées),
- les modifications par mailles (si demandées),
N.B. : en régime permanent il ne faut définir qu'un seul pas de temps de mesures.
32
2 - LE FICHIER PARAMETRE (voir figures 10 et 17)
Le fichier paramètre se compose de :
- 30 lignes de généralités définissant les unités, le nombre de pas de mesures, le
nombre maximal d'itérations, etc, les mailles à historiques : bordereau 1,
- des lignes (en nombre variable) définissant les épaisseurs des couches : on utilise
juste le nombre de lignes nécessaires (ni plus, ni moins) : bordereau 2,
- des lignes définissant éventuellement des valeurs à affecter par zones après
lecture des données des mailles,
- des lignes définissant à chaque pas de temps de mesures (en régime transitoire) :
- la date de la fin du pas de temps,
- les hauteurs de pluie efficace des zones de pluie,
- les éditions demandées,
- les modifications par zones (si demandées),
- les modifications par mailles (si demandées),
N.B. : en régime permanent il ne faut définir qu'un seul pas de temps de mesures.
MODELE MARTHE - Bordereau 1
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Figure 10 - Bordereau n'l pour le fichier paramètres du modèle MARTHE (version 2.0)
MODELE MARTHE - Bordereau 1
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Figure 10 - Bordereau n'l pour le fichier paramètres du modèle MARTHE (version 2.0)
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ETUDE : POLLUTION NOUMEAITERATIONS PAR PAS DENOMBRE MAXI DE PAS DE
CALCUL =MESURE =
MODELE = MARTHE NB COLONNES:= 12NB DE LIGNES=30VARIATI0N MAXIMA, EN UNITES
20N0MBRE DE PASNOMBRE DE COUC= IREF. CHARGESPERMEABILITESDEBITSCHARGESEMMAGASINEMENT CAPTIFEMMAGASINEMENT LIBREZONES DE DONNEESINFILTRATIONTEMPSDECOUPAGE
en:en:en:en:en:
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DE CALCUL PAR 1
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10-
en: HETRESEPAISSEURS COUCHE TOIT '
COTE SUBSTRATUM BAS. O.=C0TE ABSOLUE DU
ISOCHARGES MINI= . 400, .MAXI-ISOECARTS MINI= -20,0MAXI=CHARGES C 3L SP ICCHARGES C BL 3P ICCHARGES G ' L . P . C
CHARGES' C L P CCHARGES C L P C
CHARGES CL P C
DEBITS C SL 3P ICDEBITS CL P C
DEBITS C L P C
DEBITS C L PCDEBITS C LP C
DEBITS C L P C
EPAISSEURS COUCHES =
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LECTURELECTURE
. S'IL EXISTE :
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CLPC L PCLPCLPCLPCLP
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CL PC LPCL P0. UNITES
00
cCHAR= DEBI' S CA = S LI = TOIT= 8888SUBS= 8888
C definition du pas 0 (reâime permanent) 3
PAS 0 FIN= O.OOITAB CHA= 2CAR CHA= ODEBIT = ITAB ECA= OCAR ECA= 0 E
PAS 0 HODH OMODQ IMODP OMODZ OMODT OPLUIES '0. ZlZONE= 1PERM= 8888CHAR= B888DEEI= 888BS CA=1E-15S LI=1E-15T0IT= 8888SUBS= 8B88ZONE= -1PERM= .. CHAR= DEBI= S CA= S LI= TOIT= 8888SUBS= 8888DEBITS C. 8L 3P 1V=0.00
Z definition du pas 12 . '
PAS 1 FIN= ' O.IOTAB CHA= 2CAR CHA= ODEBIT = ITAB ECA= OCAR ECA= 0 E
PAS 1 MODH OMODQ IMODP OMODZ OMODT OPLUIES 0. ZlZONE= 1PERM= 8S8BCHAR= 888SDEBI= 8888S CA=1.000S LI=1 .OO0T0IT= 8888SUBS= 8888ZONE= -1PERH=DEBITS C 8L 3P
CHAR =1V=-150
DEBI = S CA = S LI = TOIT= 8888SUBS= 8S88
definition du pas 23
PAS 2 FIN= 0.20TAB CHA= 2CAR CHA= ODEBITPAS 2 MODH OMODQ OMODP OMODZ OMODT OPLUIES
C definition du pas 33
PAS 3 FIN= 0.30TAB CHA= 2CAR CHA= ODEBITPAS 3 MODH OMODQ OMODP OMODZ OMODT OPLUIES
ITAB ECA= OCAR ECA= 00.
ITAB ECA= OCAR ECA= 00.
C definition du pas 133
PAS13 FIN= 20,OOTAB CHA= 2CAR CHA= ODEBIT = ITAB ECA= OCAR ECA= 0PAS13 MODH OMODQ OMODP OMODZ OMODT OPLUIES 0.
C Fin de la siiiiulation3
FIN SIMUL
Figure 11 - Exemple de fichier de paramètres (modèle MARTHE version 2.0)
CCCC567S9 123456789 12345é789 123456789 123456789 123456789 123456789 123456789CCCC56789 1234567 2 .3, 4.. -5. -6 7. 8
ETUDE : POLLUTION NOUMEAITERATIONS PAR PAS DENOMBRE MAXI DE PAS DE
CALCUL =MESURE =
MODELE = MARTHE NB COLONNES:= 12NB DE LIGNES=30VARIATI0N MAXIMA, EN UNITES
20N0MBRE DE PASNOMBRE DE COUC= IREF. CHARGESPERMEABILITESDEBITSCHARGESEMMAGASINEMENT CAPTIFEMMAGASINEMENT LIBREZONES DE DONNEESINFILTRATIONTEMPSDECOUPAGE
en:en:en:en:en:
en:.en:
9,E
DE CALCUL PAR 1
PAR MAILLE= lE-PAS DE HESURE=
OCOEF ANISOTR. =1.E00C0EF RELAXAT. =1.5.10-3 M/S10-fO M3/H10-
10-
en: HETRESEPAISSEURS COUCHE TOIT '
COTE SUBSTRATUM BAS. O.=C0TE ABSOLUE DU
ISOCHARGES MINI= . 400, .MAXI-ISOECARTS MINI= -20,0MAXI=CHARGES C 3L SP ICCHARGES C BL 3P ICCHARGES G ' L . P . C
CHARGES' C L P CCHARGES C L P C
CHARGES CL P C
DEBITS C SL 3P ICDEBITS CL P C
DEBITS C L P C
DEBITS C L PCDEBITS C LP C
DEBITS C L P C
EPAISSEURS COUCHES =
4L4L
LLL
'LLLL-LLL
2<
2 METRE
2 MM
JOUR
FOND (OU REF= 1300.ESPA== 2000.ESPA=
5P4P .
P
PPP
PPP
P
PP
ÎOO,
ICIC
C
CC
C
C
CC
C
C
C
5LSL
L' L
L .
LLLLLLL
0
. SUBSTR100.*
0.1*4P IC5P- IC
P C
P CP CP . C
PCP CP C
P . C
P C
P C,
"9.000E-03M/S=2.778E-04M3/S=1. E-02M=1. E-02UNITES=25; E-02UNITES
=1, E-02MM=8.64 E+04S=1 .OOOE+OOH ANISOTR
LECTURELECTURE
. S'IL EXISTE :
6L 4P IC6L 5P IC (
L . P C
L F' CL P C
L P C
LP C
L P CL P C
L P C
LP C
LP C
0. 0
7LSL
LLLLLLLLLL
,
SUB=
3P3P
P
PP
P
PPP
P
P
P
EDITIONEDITIONEDITIONEDITIONEDITIONEDITION
1308
500
000000
;. KX/KY=1.000=1EDITI0N=
; =1EDITI0N=SUB LU-fREF
IC LPIC LP
CLPC L PCLPCLPCLPCLP
' C L P
CL PC LPCL P0. UNITES
00
cCHAR= DEBI' S CA = S LI = TOIT= 8888SUBS= 8888
C definition du pas 0 (reâime permanent) 3
PAS 0 FIN= O.OOITAB CHA= 2CAR CHA= ODEBIT = ITAB ECA= OCAR ECA= 0 E
PAS 0 HODH OMODQ IMODP OMODZ OMODT OPLUIES '0. ZlZONE= 1PERM= 8888CHAR= B888DEEI= 888BS CA=1E-15S LI=1E-15T0IT= 8888SUBS= 8B88ZONE= -1PERM= .. CHAR= DEBI= S CA= S LI= TOIT= 8888SUBS= 8888DEBITS C. 8L 3P 1V=0.00
Z definition du pas 12 . '
PAS 1 FIN= ' O.IOTAB CHA= 2CAR CHA= ODEBIT = ITAB ECA= OCAR ECA= 0 E
PAS 1 MODH OMODQ IMODP OMODZ OMODT OPLUIES 0. ZlZONE= 1PERM= 8S8BCHAR= 888SDEBI= 8888S CA=1.000S LI=1 .OO0T0IT= 8888SUBS= 8888ZONE= -1PERH=DEBITS C 8L 3P
CHAR =1V=-150
DEBI = S CA = S LI = TOIT= 8888SUBS= 8S88
definition du pas 23
PAS 2 FIN= 0.20TAB CHA= 2CAR CHA= ODEBITPAS 2 MODH OMODQ OMODP OMODZ OMODT OPLUIES
C definition du pas 33
PAS 3 FIN= 0.30TAB CHA= 2CAR CHA= ODEBITPAS 3 MODH OMODQ OMODP OMODZ OMODT OPLUIES
ITAB ECA= OCAR ECA= 00.
ITAB ECA= OCAR ECA= 00.
C definition du pas 133
PAS13 FIN= 20,OOTAB CHA= 2CAR CHA= ODEBIT = ITAB ECA= OCAR ECA= 0PAS13 MODH OMODQ OMODP OMODZ OMODT OPLUIES 0.
C Fin de la siiiiulation3
FIN SIMUL
Figure 11 - Exemple de fichier de paramètres (modèle MARTHE version 2.0)
35
2.1 - DESCRIPTION DES 30 LIGNES DE GENERALITE (voir bordereau 1 figure 10 et 11)
Nom de lavariable*
LIGNE 1
TITRE
NKOL
NIL
LIGNE 2ITER
ERR
LIGNE 3MESUR
NCAL
LIGNE 4NCOU
HREFER
ANISOT
RELAX
LIGNE 5NPER
UPER
EPER
LIGNE 6NDEB
UDEB
EDEB
Signiñcation
Titre de l'étude
Nombre de colonnes dumaillage
Nombre de lignes dumaillage
Nombre maximald'itérations par pas de
calcul
Variation moyenne entre2 itérations en unité de
charge par maille
Nombre maximal de pasde mesures
Nombre de pas de calculpar pas de mesure
Nombre de couches
Référence de chargesdans le modèle ; la chargeest : H = Hiu -1- HREFER
Coefficient d'anisotropieverticale
Coefficient de sur ou sousrelaxation
Nom des unités deperméabilité
Unité des perméabilités
Edition des perméabilitéslues
Nom des unités de débit
Unité des débits
Edition des débits lus
Colonnes
8-31
61-63
77-80
31-35
75-80
31-34
78-80
16-20
36-40
56-60
76-80
26-48
50-58
80
26-48
50-58
80
Type**
T
E
E
E
R
E
E
E
R
R
R
T
R
E
T
R
T
Valeurpar défaut
0
10-8
1
1
1
0
1
1
l(m/s)
0
1 (m3/s)
0
Remarque
Si ITER = 0, pas d'itérations, maiscalcul de débits
Quand la variation moyenne estinférieure à ERR le calcul itératif
s'arrête
Les calculs s'arrêtent après ce nombremaximal de pas ou bien avant si le
programme rencontre une date nulleou inférieure à la date précédente
Il est conseillé de n'utiliser qu'un pasde calcul par pas de mesure
K vertical = ANISOT x K horizontallu
Perméabilité en m/s = UPER xperméabilité lue
Edition si EPER = 1
Débit en m3/s = UDEB x débit lu
* Ce nom n'est pas forcément celui qui apparaît dans le listing FORTRAN** E = Entier ; T = Tous caractères ; R = Réel
35
2.1 - DESCRIPTION DES 30 LIGNES DE GENERALITE (voir bordereau 1 figure 10 et 11)
Nom de lavariable*
LIGNE 1
TITRE
NKOL
NIL
LIGNE 2ITER
ERR
LIGNE 3MESUR
NCAL
LIGNE 4NCOU
HREFER
ANISOT
RELAX
LIGNE 5NPER
UPER
EPER
LIGNE 6NDEB
UDEB
EDEB
Signiñcation
Titre de l'étude
Nombre de colonnes dumaillage
Nombre de lignes dumaillage
Nombre maximald'itérations par pas de
calcul
Variation moyenne entre2 itérations en unité de
charge par maille
Nombre maximal de pasde mesures
Nombre de pas de calculpar pas de mesure
Nombre de couches
Référence de chargesdans le modèle ; la chargeest : H = Hiu -1- HREFER
Coefficient d'anisotropieverticale
Coefficient de sur ou sousrelaxation
Nom des unités deperméabilité
Unité des perméabilités
Edition des perméabilitéslues
Nom des unités de débit
Unité des débits
Edition des débits lus
Colonnes
8-31
61-63
77-80
31-35
75-80
31-34
78-80
16-20
36-40
56-60
76-80
26-48
50-58
80
26-48
50-58
80
Type**
T
E
E
E
R
E
E
E
R
R
R
T
R
E
T
R
T
Valeurpar défaut
0
10-8
1
1
1
0
1
1
l(m/s)
0
1 (m3/s)
0
Remarque
Si ITER = 0, pas d'itérations, maiscalcul de débits
Quand la variation moyenne estinférieure à ERR le calcul itératif
s'arrête
Les calculs s'arrêtent après ce nombremaximal de pas ou bien avant si le
programme rencontre une date nulleou inférieure à la date précédente
Il est conseillé de n'utiliser qu'un pasde calcul par pas de mesure
K vertical = ANISOT x K horizontallu
Perméabilité en m/s = UPER xperméabilité lue
Edition si EPER = 1
Débit en m3/s = UDEB x débit lu
* Ce nom n'est pas forcément celui qui apparaît dans le listing FORTRAN** E = Entier ; T = Tous caractères ; R = Réel
36
Nom de lavariable*
LIGNE 7NCHA
UCHA
ECHA
LIGNE 8NEMC
UEMC
EEMC
LIGNE 9NEML
UEML
EEML
LIGNE 10EZON
LIGNE 11NINF
LIGNE 12NTEM
UTEM
LIGNE 13NDEC
UDEC
AXY
Signification
Nom des unités decharges
Unité des charges
Edition des charges lues
Nom des unités decoefficient
d'emmagasinement captif
Unité des coefficientsd'emmagasinement captif
Edition des coefficientsd'emmagasinement captif
Nom des unités decoefficient
d'emmagasinement libre
Unité des coefficientsd'emmagasinement libre
Edition des coefficientsd'emmagasinement libre
Edition des numéros dezones de pluie et de
géométrie
Nom des unitésd'infiltration ou de pluie
efficace
Nom des unités de temps
Unité de temps
Nom des unités dedécoupage horizontal des
mailles
Unité de longueur dedécoupage des mailles
Coefficient d'anisotropieplane
Colonnes
26-48
50-58
80
26-48
50-58
80
26-48
50-58
80
80
50-58
26-48
50-58
26-48
50-58
76-80
Type**
T
R
E
T
R
E
T
R
E
E
R
T
R
T
R
R
Valeurpar défaut
Km)
0
0
0
0
0
0
1 (mm)
Ks)
Km)
Remarque
Charges en m = UCHA x charge lue
Si UEMC = 0 et UEML = 0, le calculsera effectué en régime permanent.
II ne faudra pas lire de donnéesd'emmagasinement
Si UEML = 0 et UEMC = 0, le calculsera effectué en régime permanent.
II ne faudra pas lire de donnéesd'emmagasinement
Infiltration en mm = UINF xinfiltration lue
temps (s) = temps lu x UTEM
KX = VÂKY". KHKY = VXxy". KH
avec KH = perméabilité horizontale
Ce nom n'est pas forcément celui qui apparaît dans le listing FORTRANE = Entier ; T = Tous caractères ; R = Réel
36
Nom de lavariable*
LIGNE 7NCHA
UCHA
ECHA
LIGNE 8NEMC
UEMC
EEMC
LIGNE 9NEML
UEML
EEML
LIGNE 10EZON
LIGNE 11NINF
LIGNE 12NTEM
UTEM
LIGNE 13NDEC
UDEC
AXY
Signification
Nom des unités decharges
Unité des charges
Edition des charges lues
Nom des unités decoefficient
d'emmagasinement captif
Unité des coefficientsd'emmagasinement captif
Edition des coefficientsd'emmagasinement captif
Nom des unités decoefficient
d'emmagasinement libre
Unité des coefficientsd'emmagasinement libre
Edition des coefficientsd'emmagasinement libre
Edition des numéros dezones de pluie et de
géométrie
Nom des unitésd'infiltration ou de pluie
efficace
Nom des unités de temps
Unité de temps
Nom des unités dedécoupage horizontal des
mailles
Unité de longueur dedécoupage des mailles
Coefficient d'anisotropieplane
Colonnes
26-48
50-58
80
26-48
50-58
80
26-48
50-58
80
80
50-58
26-48
50-58
26-48
50-58
76-80
Type**
T
R
E
T
R
E
T
R
E
E
R
T
R
T
R
R
Valeurpar défaut
Km)
0
0
0
0
0
0
1 (mm)
Ks)
Km)
Remarque
Charges en m = UCHA x charge lue
Si UEMC = 0 et UEML = 0, le calculsera effectué en régime permanent.
II ne faudra pas lire de donnéesd'emmagasinement
Si UEML = 0 et UEMC = 0, le calculsera effectué en régime permanent.
II ne faudra pas lire de donnéesd'emmagasinement
Infiltration en mm = UINF xinfiltration lue
temps (s) = temps lu x UTEM
KX = VÂKY". KHKY = VXxy". KH
avec KH = perméabilité horizontale
Ce nom n'est pas forcément celui qui apparaît dans le listing FORTRANE = Entier ; T = Tous caractères ; R = Réel
37
Nom de lavariable*
LIGNE 14LTOI
ETOI
LIGNE 15LSUB
ESUB
LIGNE 16REFSUB
LIGNE 17
CMIN
CMAX
ESPC
LIGNE 18
EMIN
EMAX
ESPE
Signification
Lecture d'un tableaud'épaisseur de la couche
Toit
Edition du tableau desépaisseurs de la couche
Toit
Lecture d'un tableau decotes du substratum (pour
la couche la plus basse)
Edition du tableau descotes du substratum
Référence de la cote dusubstratum
Définition des graphiquesalphanumériques
d'isovaleurs de charges(sur listing)
Charge minimale
Charge maximale
Espacement des courbesisocharges
Définition des graphiquesd'écart par rapport à
l'état initialEcart minimal
Ecart maximal
Espacement des courbesiso-écart
Colonnes
70
80
70
80
1-10
17-22
28-33
39-44
17-22
28-33
39-44
Type**
E
E
E
E
R
R
R
R
R
R
R
Valeurpar défaut
0
0
0
0
0
0
0
0
0
0
0
Remarque
0 = pas de lecture. L'épaisseurutilisée sera l'épaisseur de la couchen°l définie par le découpage.
1 = lecture d'un tableau d'épaisseurde la couche supérieure (voirexplications dans le texte)
Edition seulement s'il y a eu lecture
* Si on ne lit pas de cotes dusubstratum : la valeur REFSUB sera
affectée à toutes les mailles
* Si on lit un tableau on aura :
SUBSmodlèle = SUBSiu -1- REFSUB
A chaque pas de mesure il sera précisé
si on désire un graphique ou non ( ces
valeurs sont en unités utilisateurs)
unité de charge
utilisateur
-
**Ce nom n'est pas forcément celui qui apparaît dans le listing FORTRANE = Entier ; T = Tous caractères ; R = Réel
37
Nom de lavariable*
LIGNE 14LTOI
ETOI
LIGNE 15LSUB
ESUB
LIGNE 16REFSUB
LIGNE 17
CMIN
CMAX
ESPC
LIGNE 18
EMIN
EMAX
ESPE
Signification
Lecture d'un tableaud'épaisseur de la couche
Toit
Edition du tableau desépaisseurs de la couche
Toit
Lecture d'un tableau decotes du substratum (pour
la couche la plus basse)
Edition du tableau descotes du substratum
Référence de la cote dusubstratum
Définition des graphiquesalphanumériques
d'isovaleurs de charges(sur listing)
Charge minimale
Charge maximale
Espacement des courbesisocharges
Définition des graphiquesd'écart par rapport à
l'état initialEcart minimal
Ecart maximal
Espacement des courbesiso-écart
Colonnes
70
80
70
80
1-10
17-22
28-33
39-44
17-22
28-33
39-44
Type**
E
E
E
E
R
R
R
R
R
R
R
Valeurpar défaut
0
0
0
0
0
0
0
0
0
0
0
Remarque
0 = pas de lecture. L'épaisseurutilisée sera l'épaisseur de la couchen°l définie par le découpage.
1 = lecture d'un tableau d'épaisseurde la couche supérieure (voirexplications dans le texte)
Edition seulement s'il y a eu lecture
* Si on ne lit pas de cotes dusubstratum : la valeur REFSUB sera
affectée à toutes les mailles
* Si on lit un tableau on aura :
SUBSmodlèle = SUBSiu -1- REFSUB
A chaque pas de mesure il sera précisé
si on désire un graphique ou non ( ces
valeurs sont en unités utilisateurs)
unité de charge
utilisateur
-
**Ce nom n'est pas forcément celui qui apparaît dans le listing FORTRANE = Entier ; T = Tous caractères ; R = Réel
38
LIGNE 19 à 24 (6 Ugnes obligatoires)
définissant les coordonnées des mailles pour lesquelles on désire mémoriser les historiques de charge.
Ces 6 lignes doivent figurer même si on ne désire aucun historique.
Les coordonnées des mailles sont données par leur numéro, dans l'ordre colonne (C), ligne (L), couche
(P pour plan) avec 6 mailles par ligne :
Cl
C2
C3
C4
C5
C6
Colonnes
10-12
22-24
34-36
46-48
58-60
70-72
Ll
L2
L3
L4
L5
L6
Colonnes
14-16
26-28
38-40
50-52
62-64
74-76
PI
P2
P3
P4
P5
P6
Colonnes
18-20
30-32
42-44
54-56
66-68
78-80
LIGNES 25 à 30 (6 lignes obligatoh-es)
définissant les coordonnées des mailles pour lesquelles on désire mémoriser les historiques de débit.
Même format et spécffication que pour les historiques de charge.
Remarque 1 : Les coordonnées des mailles sont définies par leur NUMERO de
colonnes (C), lignes (L), couches (P).
Remarque 2 : Si on définit un numéro P de couche égal à 0, le logiciel calculera la
moyenne de la charge sur toute la verticale (à n'utiliser que pour les charges).
2.2 - DEFINITION DES EPAISSEURS VERTICALES DE COUCHES
Le bordereau 2 (figure 12) permet de définir ces lignes qui doivent être en nombre
juste suffisant. Ces données sont exprimées dans l'unité de charge définies dans la ligne
n°7 des généralités.
2.3 - LIGNES D'ATTRIBUTION DE VALEURS PAR ZONES (avant calcul)
Le bordereau 2 (figure 12) permet également de définir ces lignes appelées lignes
de type D.
38
LIGNE 19 à 24 (6 Ugnes obligatoires)
définissant les coordonnées des mailles pour lesquelles on désire mémoriser les historiques de charge.
Ces 6 lignes doivent figurer même si on ne désire aucun historique.
Les coordonnées des mailles sont données par leur numéro, dans l'ordre colonne (C), ligne (L), couche
(P pour plan) avec 6 mailles par ligne :
Cl
C2
C3
C4
C5
C6
Colonnes
10-12
22-24
34-36
46-48
58-60
70-72
Ll
L2
L3
L4
L5
L6
Colonnes
14-16
26-28
38-40
50-52
62-64
74-76
PI
P2
P3
P4
P5
P6
Colonnes
18-20
30-32
42-44
54-56
66-68
78-80
LIGNES 25 à 30 (6 lignes obligatoh-es)
définissant les coordonnées des mailles pour lesquelles on désire mémoriser les historiques de débit.
Même format et spécffication que pour les historiques de charge.
Remarque 1 : Les coordonnées des mailles sont définies par leur NUMERO de
colonnes (C), lignes (L), couches (P).
Remarque 2 : Si on définit un numéro P de couche égal à 0, le logiciel calculera la
moyenne de la charge sur toute la verticale (à n'utiliser que pour les charges).
2.2 - DEFINITION DES EPAISSEURS VERTICALES DE COUCHES
Le bordereau 2 (figure 12) permet de définir ces lignes qui doivent être en nombre
juste suffisant. Ces données sont exprimées dans l'unité de charge définies dans la ligne
n°7 des généralités.
2.3 - LIGNES D'ATTRIBUTION DE VALEURS PAR ZONES (avant calcul)
Le bordereau 2 (figure 12) permet également de définir ces lignes appelées lignes
de type D.
39
Ces lignes permettent, après lecture des données des mailles, d'affecter
globalement une même valeur pour un paramètre à toutes les mailles d'une même zone.
Cette valeur remplace donc la valeur lue précédemment. Par exemple, on peut mettre
une charge égale à - 10 sur toutes les mailles de la zone 3, et un débit égal à 9999 sur
toutes les mailles de la zone 9. 11 est ainsi facile de modifier d'une seule valeur un grand
nombre de mailles pour essayer différentes valeurs de calage du modèle.
Il convient de remarquer qu'une zone ne représente pas forcément un ensemble de
mailles homogènes pour tous les paramètres. Par exemple, on pourra imposer que toutes
les mailles de la zone 99 auront un débit 9999, mais leurs charges seront différentes et
égales à la valeur lue. Pour ne pas modifier un paramètre, on lui fixera une valeur code
égale à 8888. 11 conviendra de ne pas "oublier" de définir une telle valeur. Si on ne le
faisait pas, c'est la valeur 0 qui serait imposée. On mettra juste le nombre de lignes
nécessaire et suffisant, et on terminera par une ligne portant le numéro de code égal à
- 1 pour indiquer la fin de ces lignes de type D (on ne précisera aucune autre valeur sur
cette ligne).
Les lignes sont définies comme suit :
Nom
ZONE
PERM
CHAR
DEBI
SCA
SLI
TOIT
SUBS
Signification
Numéro de la zoneconcernée
Valeur de la perméabilitéà affecter
Valeur de la charge àaffecter
Valeur du débit à affecter
Valeur du coefficientd'emmagasinement captif
a affecter
Valeur du coefficientd'emmagasinement libre
a affecter
Valeur de l'épaisseur dela couche 1
Valeur de la cote dusubstratum à affecter
Colonnes
7-10
16-20
26-30
36-40
46-50
56-60
66-70
76-80
Type
E
R
R
R
R
R
R
R
Remarques
Ce numéro doit se référerà une zone précédemmentdéfinis ; mettre - 1 pour
terminer
Unité utilisateur :
8888 pour ne pas modifierla valeur lue
précédemment
Remarque importante : S'il y a aucune affectation par zone, il faut mettre une
seule ligne avec un numéro de zone égal à - 1.
39
Ces lignes permettent, après lecture des données des mailles, d'affecter
globalement une même valeur pour un paramètre à toutes les mailles d'une même zone.
Cette valeur remplace donc la valeur lue précédemment. Par exemple, on peut mettre
une charge égale à - 10 sur toutes les mailles de la zone 3, et un débit égal à 9999 sur
toutes les mailles de la zone 9. 11 est ainsi facile de modifier d'une seule valeur un grand
nombre de mailles pour essayer différentes valeurs de calage du modèle.
Il convient de remarquer qu'une zone ne représente pas forcément un ensemble de
mailles homogènes pour tous les paramètres. Par exemple, on pourra imposer que toutes
les mailles de la zone 99 auront un débit 9999, mais leurs charges seront différentes et
égales à la valeur lue. Pour ne pas modifier un paramètre, on lui fixera une valeur code
égale à 8888. 11 conviendra de ne pas "oublier" de définir une telle valeur. Si on ne le
faisait pas, c'est la valeur 0 qui serait imposée. On mettra juste le nombre de lignes
nécessaire et suffisant, et on terminera par une ligne portant le numéro de code égal à
- 1 pour indiquer la fin de ces lignes de type D (on ne précisera aucune autre valeur sur
cette ligne).
Les lignes sont définies comme suit :
Nom
ZONE
PERM
CHAR
DEBI
SCA
SLI
TOIT
SUBS
Signification
Numéro de la zoneconcernée
Valeur de la perméabilitéà affecter
Valeur de la charge àaffecter
Valeur du débit à affecter
Valeur du coefficientd'emmagasinement captif
a affecter
Valeur du coefficientd'emmagasinement libre
a affecter
Valeur de l'épaisseur dela couche 1
Valeur de la cote dusubstratum à affecter
Colonnes
7-10
16-20
26-30
36-40
46-50
56-60
66-70
76-80
Type
E
R
R
R
R
R
R
R
Remarques
Ce numéro doit se référerà une zone précédemmentdéfinis ; mettre - 1 pour
terminer
Unité utilisateur :
8888 pour ne pas modifierla valeur lue
précédemment
Remarque importante : S'il y a aucune affectation par zone, il faut mettre une
seule ligne avec un numéro de zone égal à - 1.
GXf\Ái'^S
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liPiAi-iii;?,rl^lil->sSiP.ft.í.SiíiPiAiii.'.-[J.Piftil^r
5^M/g=^0,Bc
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Figure 12 - Bordereau n''2 pour le fichier paramètres du modèle MARTHE (version 2.0)
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:
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Lignes C
Lignes D
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Lignes E
Lignes F
Figure 12 - Bordereau n''2 pour le fichier paramètres du modèle MARTHE (version 2.0)
41
2.4 - DEFINITION DES PAS DE MESURES (en régime transitoû-e)
Chaque pas de mesures est décrit par 2 lignes (ligne E et ligne F du bordereau 2)
qui définissent :
Ligne E : La date de la fin du pas de mesure (depuis la fin du pas précédent) et
les éditions souhaitées.
Ligne F : Le nombre des éventuelles modifications maille par maille, la présence
éventuelle de modifications par zones, les pluies efficaces des zones 1
à 9.
Si des modifications par zones sont demandées, elles sont décrites par des lignes
de type D.
Si des modifications maille par maille sont demandées, elles sont décrites par des
lignes de type G.
2.4.1 - UGNE DE TYPE E définissant la date à la fin du pas de temps et les
éditions souhaitées. Cette ligne est obligatoire.
Nom
NUMPAS
FINPAS
TABCHA
CARCHA
TABDEB
TABECA
CARECA
Signification
Numéro du pas de temps
Date de la fin du pas detemps
Edition du tableau descharges calculées
Tableau sur listing descharges calculées
Tableau des débits calculés
Tableau des écarts entre lavaleur calculée et la valeur
mitiale (lue)
Carte sur listing des écarts
Colonnes
4-6
11-20
29-30
39-40
49-50
59-60
69-70
Type
T
R
E
E
E
E
E
Valeurpar défaut
4-6
0
0
0
0
0
0
Remarques
Ce numéro n'estqu'un repère pour1 utilisateur. Il n'estpas lu par leprogramme
Cette date doit êtresupérieure à la dateprécédente, sinon leprogramme s arrête.En régimepermanent, il fautfixer une date,arbitraire (voirtexte).
0 = non1 = oui -h édition X,Y. H sur fichierXYCHASIM . DAT2 = oui + édition dusemis dçs chargessur fichierXYCHASIM . DAT
0 = non1 = oui
0 = non1 = oui2 = oui 4- édition dusem.is des débits surSÊmSeBCAL . DAT
0 = non1 = oui
0 = non1 = oui
41
2.4 - DEFINITION DES PAS DE MESURES (en régime transitoû-e)
Chaque pas de mesures est décrit par 2 lignes (ligne E et ligne F du bordereau 2)
qui définissent :
Ligne E : La date de la fin du pas de mesure (depuis la fin du pas précédent) et
les éditions souhaitées.
Ligne F : Le nombre des éventuelles modifications maille par maille, la présence
éventuelle de modifications par zones, les pluies efficaces des zones 1
à 9.
Si des modifications par zones sont demandées, elles sont décrites par des lignes
de type D.
Si des modifications maille par maille sont demandées, elles sont décrites par des
lignes de type G.
2.4.1 - UGNE DE TYPE E définissant la date à la fin du pas de temps et les
éditions souhaitées. Cette ligne est obligatoire.
Nom
NUMPAS
FINPAS
TABCHA
CARCHA
TABDEB
TABECA
CARECA
Signification
Numéro du pas de temps
Date de la fin du pas detemps
Edition du tableau descharges calculées
Tableau sur listing descharges calculées
Tableau des débits calculés
Tableau des écarts entre lavaleur calculée et la valeur
mitiale (lue)
Carte sur listing des écarts
Colonnes
4-6
11-20
29-30
39-40
49-50
59-60
69-70
Type
T
R
E
E
E
E
E
Valeurpar défaut
4-6
0
0
0
0
0
0
Remarques
Ce numéro n'estqu'un repère pour1 utilisateur. Il n'estpas lu par leprogramme
Cette date doit êtresupérieure à la dateprécédente, sinon leprogramme s arrête.En régimepermanent, il fautfixer une date,arbitraire (voirtexte).
0 = non1 = oui -h édition X,Y. H sur fichierXYCHASIM . DAT2 = oui + édition dusemis dçs chargessur fichierXYCHASIM . DAT
0 = non1 = oui
0 = non1 = oui2 = oui 4- édition dusem.is des débits surSÊmSeBCAL . DAT
0 = non1 = oui
0 = non1 = oui
42
2.4.2 - LIGNE DE TYPE F définissant le nombre de modifications maille par
maille et la pluie efficace. Ces modifications sont effectuées au DEBUT de pas de
temps.
Nom
NUMPAS
MODH
MODQ
MODP
MODZ
MODT
PLUIE
IZONE
Signification
Numéro du pas de temps
charge
débitNombre demodifica- perméabilitétions de :
zone
toit
Pluies efficaces des 9 zonesde pluie (1 à 9)
Zone 1
Zone 2Zone 3
Zone 4Zone 5
Zone 6Zone 7
Zone 8*Zone 9*
Indice de modification dedonnées par zones
Colonnes
4-6
11-12
17-18
23-24
29-30
35-36
43-4647-5051-5455-5859-6263-6667-7071-7475-78
80
Type
T
E
R
E
Valeurpar
défaut
0
0
0
Remarques
Ce numéro n'estqu'un repère pourl'utilisateur. 11 n'estpas lu par leprogramme
Le nombre maximalde modifications(pour chaqueparamètre) estlimité à 99.
Ces pluies efficaces,en unité utilisateur.sont desHAUTEURSprécipitées pendantla durée du pas detemps. En régime.permanent, mettrela hauteurcorrespondant à ladurée choisiearbitrairement dupas de temps. Onpeut égalementconsidérer cespluies comme desirrigations (voirtexte).
Modifications dedonnées par zones :
0 = non ; 1 = oui
* On n'oubliera pas que ces zones sont particulières (voir texte)
42
2.4.2 - LIGNE DE TYPE F définissant le nombre de modifications maille par
maille et la pluie efficace. Ces modifications sont effectuées au DEBUT de pas de
temps.
Nom
NUMPAS
MODH
MODQ
MODP
MODZ
MODT
PLUIE
IZONE
Signification
Numéro du pas de temps
charge
débitNombre demodifica- perméabilitétions de :
zone
toit
Pluies efficaces des 9 zonesde pluie (1 à 9)
Zone 1
Zone 2Zone 3
Zone 4Zone 5
Zone 6Zone 7
Zone 8*Zone 9*
Indice de modification dedonnées par zones
Colonnes
4-6
11-12
17-18
23-24
29-30
35-36
43-4647-5051-5455-5859-6263-6667-7071-7475-78
80
Type
T
E
R
E
Valeurpar
défaut
0
0
0
Remarques
Ce numéro n'estqu'un repère pourl'utilisateur. 11 n'estpas lu par leprogramme
Le nombre maximalde modifications(pour chaqueparamètre) estlimité à 99.
Ces pluies efficaces,en unité utilisateur.sont desHAUTEURSprécipitées pendantla durée du pas detemps. En régime.permanent, mettrela hauteurcorrespondant à ladurée choisiearbitrairement dupas de temps. Onpeut égalementconsidérer cespluies comme desirrigations (voirtexte).
Modifications dedonnées par zones :
0 = non ; 1 = oui
* On n'oubliera pas que ces zones sont particulières (voir texte)
43
2.4.3 - UGNES DE MODIFICATIONS DE VALEURS PAR ZONES, EN DEBUT
DE PAS DE TEMPS
Ces lignes ne figurent que si IZONE = 1 sur la ligne F ; elles sont en nombre juste
nécessaire et suffisant. Ce sont des lignes de type D décrites précédemment au § 2.3
(bordereau 2). Pour terminer, on mettra une ligne avec un numéro de zone égal à - 1.
Remarque 1 : S'il n'y a pas de modifications par zone, on a mis IZONE = 0 sur la
carte F. Il ne faut alors pas mettre une ligne avelc un numéro de zone égal à - 1 (le
logiciel sait qu'il n'y a rien à lire).
Remarque 2 : Lés modifications par zone de géométrie sont effectuées AVANT les
modifications maille par maille. Si on change (maille par maille) l'extension d'une zone
(ou si l'on en crée une nouvelle) au cours d'un pas de mesure, les affectations de
paramètres par zone pour ces zones ne seront modifiées que lors du pas suivant ; par
contre ces nouvelles zones seront prises en compte immédiatement pour l'affectation
des pluies efficaces.
2.4.4 - UGNES DE TYPE G DE MODIFICATIONS DE VALEURS MAILLE PAR
MAILLE (bordereau 3, figure 13)
Ces lignes ne sont nécessaires que dans la mesure où certaines valeurs de MODH,
MODQ, MODP, MODZ ou MODT définies sur la ligne F sont non nulles.
Ces lignes sont en nombre juste, nécessaire et suffisant. Si MODH = MODQ =
MODP = MODZ = MODT = 0, il n'y aura aucune ligne G. Ces lignes sont lues dans
l'ordre : MODH (charge), MODQ (débit), MODP (perméabUité), MODZ (zone), MODT
(toit). On peut définir jusqu'à 4 mailles par ligne. Pour chaque type de modification, on
recommence en début de ligne ; par exemple, si MODH = 0, MODQ = 9, MODP = 0,
MODZ = 2, MODT = 0, il y aura 4 lignes : 3 pour les 9 valeurs de MODQ et 1 pour les 2
valeurs de MODZ.
Par l'intermédiaire des lignes de modifications (par zones ou par mailles), il est
possible en particulier :
- de modifier des valeurs de charge imposée (variation du niveau d'un cours d'eau,
d'un lac, de la mer...),
- de modifier une cote de débordement (modification d'une émergence de source,
de la position d'un drain).
43
2.4.3 - UGNES DE MODIFICATIONS DE VALEURS PAR ZONES, EN DEBUT
DE PAS DE TEMPS
Ces lignes ne figurent que si IZONE = 1 sur la ligne F ; elles sont en nombre juste
nécessaire et suffisant. Ce sont des lignes de type D décrites précédemment au § 2.3
(bordereau 2). Pour terminer, on mettra une ligne avec un numéro de zone égal à - 1.
Remarque 1 : S'il n'y a pas de modifications par zone, on a mis IZONE = 0 sur la
carte F. Il ne faut alors pas mettre une ligne avelc un numéro de zone égal à - 1 (le
logiciel sait qu'il n'y a rien à lire).
Remarque 2 : Lés modifications par zone de géométrie sont effectuées AVANT les
modifications maille par maille. Si on change (maille par maille) l'extension d'une zone
(ou si l'on en crée une nouvelle) au cours d'un pas de mesure, les affectations de
paramètres par zone pour ces zones ne seront modifiées que lors du pas suivant ; par
contre ces nouvelles zones seront prises en compte immédiatement pour l'affectation
des pluies efficaces.
2.4.4 - UGNES DE TYPE G DE MODIFICATIONS DE VALEURS MAILLE PAR
MAILLE (bordereau 3, figure 13)
Ces lignes ne sont nécessaires que dans la mesure où certaines valeurs de MODH,
MODQ, MODP, MODZ ou MODT définies sur la ligne F sont non nulles.
Ces lignes sont en nombre juste, nécessaire et suffisant. Si MODH = MODQ =
MODP = MODZ = MODT = 0, il n'y aura aucune ligne G. Ces lignes sont lues dans
l'ordre : MODH (charge), MODQ (débit), MODP (perméabUité), MODZ (zone), MODT
(toit). On peut définir jusqu'à 4 mailles par ligne. Pour chaque type de modification, on
recommence en début de ligne ; par exemple, si MODH = 0, MODQ = 9, MODP = 0,
MODZ = 2, MODT = 0, il y aura 4 lignes : 3 pour les 9 valeurs de MODQ et 1 pour les 2
valeurs de MODZ.
Par l'intermédiaire des lignes de modifications (par zones ou par mailles), il est
possible en particulier :
- de modifier des valeurs de charge imposée (variation du niveau d'un cours d'eau,
d'un lac, de la mer...),
- de modifier une cote de débordement (modification d'une émergence de source,
de la position d'un drain).
44
Nom
TYPE
C
L
P
V
Signification
Type de modificationsmaille par maille
Colonnes des mailles
Lignes des mailles
Couche des mailles
Valeur attribuée
Colonnes
1-7
10-1228-3046-4864-66
14-1632-3450-5268-70
18-2036-3854-5672-74
23-2641-4459-6277-80
Type
T
E
E
E
R
Valeur pardéfaut
0
0
0
0
Remarques
Ce type n'est qu'unrepère pourl'utilisateur. Il n'estpas lu par leprogramme qui litles valeurs dansl'ordre défini plushaut,indépendammentde cette indication.Les valeurs deTYPE peuventêtre : CHARGES,DEBITS,PERMEAB,ZONES, TOIT.
Unité utilisateur
de modifier des débits captés (ou injectés) pour simuler une croissance des
besoins,
de modifier le maillage en changeant la position des débits codes égaux à 9999,
et des perméabilités nulles (il conviendra d'être prudent et d'éviter les erreurs
de maillage qui seraient cependant détectées par le logiciel),de changer l'extension d'éventuelles fissures ou singularités par modification de
l'extension de la zone 8 ou 9.
Après le dernier pas de calcul, pour indiquer qu'on ne désire pas de calculs
supplémentaires, on place une ligne avec uniquement les mots : FIN SIMUL, en colonnes
1 à 9 (le logiciel lit alors une date nulle et s'arrête).
44
Nom
TYPE
C
L
P
V
Signification
Type de modificationsmaille par maille
Colonnes des mailles
Lignes des mailles
Couche des mailles
Valeur attribuée
Colonnes
1-7
10-1228-3046-4864-66
14-1632-3450-5268-70
18-2036-3854-5672-74
23-2641-4459-6277-80
Type
T
E
E
E
R
Valeur pardéfaut
0
0
0
0
Remarques
Ce type n'est qu'unrepère pourl'utilisateur. Il n'estpas lu par leprogramme qui litles valeurs dansl'ordre défini plushaut,indépendammentde cette indication.Les valeurs deTYPE peuventêtre : CHARGES,DEBITS,PERMEAB,ZONES, TOIT.
Unité utilisateur
de modifier des débits captés (ou injectés) pour simuler une croissance des
besoins,
de modifier le maillage en changeant la position des débits codes égaux à 9999,
et des perméabilités nulles (il conviendra d'être prudent et d'éviter les erreurs
de maillage qui seraient cependant détectées par le logiciel),de changer l'extension d'éventuelles fissures ou singularités par modification de
l'extension de la zone 8 ou 9.
Après le dernier pas de calcul, pour indiquer qu'on ne désire pas de calculs
supplémentaires, on place une ligne avec uniquement les mots : FIN SIMUL, en colonnes
1 à 9 (le logiciel lit alors une date nulle et s'arrête).
MODELE MARTHE - Bo r dereo u 3
I
3
3
4
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6
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Figure 13 - Bordereau 3 du modèle MARTHE (version 2.0)
MODELE MARTHE - Bo r dereo u 3
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Figure 13 - Bordereau 3 du modèle MARTHE (version 2.0)
46
3 - DEFINITION DES DONNEES DES MAILLES (SEMIS)
Les données des mailles sont lues par le logiciel selon la norme "semis" du
département EAU du BRGM.
Les semis de données sont lus dans l'ordre suivant :
1 - EPAISSEURS de la couche 1 (TOIT) sur option, c'est-à-dire si LTOI = 1 sur la
ligne 14 du fichier paramètres
2 - puis pour chaque couche
a) PERMEABILITES
b) DEBITS INITIAUX
c) CHARGES INITIALES
d) EMMAGASINEMENTS CAPTIFS l seulement si au moins un des 2
e) EMMAGASINEMENTS LIBRES ) coefficients d'unité UEML ou UEMC
/ (carte 9) n'est pas nul
f) ZONES '
Ces 6 tableaux sont lus pour la couche 1, puis pour la couche 2, etc.. c'est-à-dire :
perméabilité 1, débit 1, charge 1, emmagasinement captif 1, emmagasinement libre 1,
zone 1, perméabilité 2, débit 2, charge 2, etc..
3) Cotes du substratum de la dernière couche (inférieure) sur option, c'est-à-dire si
LSUB = 1 sur la ligne 15
Ces semis de données peuvent être crées par les logiciels suivants appartenant à la
chaîne SEMIS (voir Annexe 2).
INGRID (interpolation)
TRANSEMIS (opérations sur semis et entre plusieurs semis)
CODEMAIL (génération de semis homogènes)
La séquence des semis de données d'un modèle tridimensionnel est la suivante :
46
3 - DEFINITION DES DONNEES DES MAILLES (SEMIS)
Les données des mailles sont lues par le logiciel selon la norme "semis" du
département EAU du BRGM.
Les semis de données sont lus dans l'ordre suivant :
1 - EPAISSEURS de la couche 1 (TOIT) sur option, c'est-à-dire si LTOI = 1 sur la
ligne 14 du fichier paramètres
2 - puis pour chaque couche
a) PERMEABILITES
b) DEBITS INITIAUX
c) CHARGES INITIALES
d) EMMAGASINEMENTS CAPTIFS l seulement si au moins un des 2
e) EMMAGASINEMENTS LIBRES ) coefficients d'unité UEML ou UEMC
/ (carte 9) n'est pas nul
f) ZONES '
Ces 6 tableaux sont lus pour la couche 1, puis pour la couche 2, etc.. c'est-à-dire :
perméabilité 1, débit 1, charge 1, emmagasinement captif 1, emmagasinement libre 1,
zone 1, perméabilité 2, débit 2, charge 2, etc..
3) Cotes du substratum de la dernière couche (inférieure) sur option, c'est-à-dire si
LSUB = 1 sur la ligne 15
Ces semis de données peuvent être crées par les logiciels suivants appartenant à la
chaîne SEMIS (voir Annexe 2).
INGRID (interpolation)
TRANSEMIS (opérations sur semis et entre plusieurs semis)
CODEMAIL (génération de semis homogènes)
La séquence des semis de données d'un modèle tridimensionnel est la suivante :
47
Toit 1 (facultatif)
PERMEAB 1
DEBIT 1
CHARGE 1
EMM CAPTIF 1
EMM LIBRE 1
ZONES 1
PERMEAB 2DEBIT 2CHARGE 2EMM CAPTIF 2
EMM LIBRE 2ZONES 2
PERMEAB NCDEBIT NCCHARGE NCEMM CAPTIF NCEMM LIBRE NCZONES NC
SUBSTRATUM NC(facultatif)
47
Toit 1 (facultatif)
PERMEAB 1
DEBIT 1
CHARGE 1
EMM CAPTIF 1
EMM LIBRE 1
ZONES 1
PERMEAB 2DEBIT 2CHARGE 2EMM CAPTIF 2
EMM LIBRE 2ZONES 2
PERMEAB NCDEBIT NCCHARGE NCEMM CAPTIF NCEMM LIBRE NCZONES NC
SUBSTRATUM NC(facultatif)
48
4 - DEFINITION DES LIAISONS ETANCHES
Les liaisons étanches (facultatives) sont décrites (ponctuellement) dans un fichier
séparé dont un exemple est donné sur la figure 14 ci-dessous :
123456789 1234567 :
123456789 123456789
COL. 5
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(fHBNESU LIAISONS EXEMPLEL 0001L 0001L 0001L 0001L 0001
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Figure 14 - Modèle MARTHE Version 2.0
Exemple de fichier liaisons étanches
(Ordre N-E-S-W = aiguUles d'une montre)
Ce fichier est constitué d'une ligne titre puis pour chacune des mailles pour
lesquelles on veut définir une liaison étanche :
48
4 - DEFINITION DES LIAISONS ETANCHES
Les liaisons étanches (facultatives) sont décrites (ponctuellement) dans un fichier
séparé dont un exemple est donné sur la figure 14 ci-dessous :
123456789 1234567 :
123456789 123456789
COL. 5
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212121212121 :
2 3.
232 .1,
21
(fHBNESU LIAISONS EXEMPLEL 0001L 0001L 0001L 0001L 0001
0001L 0011L 001L 001L 001
001l 001
001t. 001
001001
Í 00 3
00 J.
00 3
Figure 14 - Modèle MARTHE Version 2.0
Exemple de fichier liaisons étanches
(Ordre N-E-S-W = aiguUles d'une montre)
Ce fichier est constitué d'une ligne titre puis pour chacune des mailles pour
lesquelles on veut définir une liaison étanche :
49
Etanche
Numéro de la colonne
Numéro de la ligne
Numéro de la couche
Liaison étanche directionHaut
BasNord
EstSud
Ouest
Colonnes
là4
2à8
9 à 12
1415
16171819
Une liaison étanche est indiquée par un 1.
Toutes les données peuvent être vérifiées par le logiciel VERIMART qui permet
également de visualiser le maillage sur console ou table traçante.
49
Etanche
Numéro de la colonne
Numéro de la ligne
Numéro de la couche
Liaison étanche directionHaut
BasNord
EstSud
Ouest
Colonnes
là4
2à8
9 à 12
1415
16171819
Une liaison étanche est indiquée par un 1.
Toutes les données peuvent être vérifiées par le logiciel VERIMART qui permet
également de visualiser le maillage sur console ou table traçante.
50
5 - EXECUTION DU MODELE MARTHE
Le lancement du modèle MARTHE est assuré par la commande "MARTHE".
Le logiciel demande alors :
- un titre pour décrire la simulation à réaliser,
- le nom du fichier des paramètres,
- le nom du fichier des données de mailles,
- le nom de l'éventuel fichier des liaisons étanches
puis il affiche le message suivant :
"Frappez < Return > cvg"
En utilisation normale il faut frapper < Return > ; dans des cas très particulier où
on désire analyser le bilan détaillé (ou la convergence) dans une maille donnée on peut
frapper "OUI" et répondre à quelques questions permettant de définir cette maille de
contrôle.
Le déroulement du programme s'effectue alors avec contrôle sur l'écran des titres
des différents panneaux des semis des données lues, description des opérations réalisées
et affichage de la progression des calculs toutes les iO itérations de calcul. En find'exécution le logiciel récapitule les noms de tous les fichiers de résultats générés soit
automatiquement, soit à la demande de l'utilisateur.
50
5 - EXECUTION DU MODELE MARTHE
Le lancement du modèle MARTHE est assuré par la commande "MARTHE".
Le logiciel demande alors :
- un titre pour décrire la simulation à réaliser,
- le nom du fichier des paramètres,
- le nom du fichier des données de mailles,
- le nom de l'éventuel fichier des liaisons étanches
puis il affiche le message suivant :
"Frappez < Return > cvg"
En utilisation normale il faut frapper < Return > ; dans des cas très particulier où
on désire analyser le bilan détaillé (ou la convergence) dans une maille donnée on peut
frapper "OUI" et répondre à quelques questions permettant de définir cette maille de
contrôle.
Le déroulement du programme s'effectue alors avec contrôle sur l'écran des titres
des différents panneaux des semis des données lues, description des opérations réalisées
et affichage de la progression des calculs toutes les iO itérations de calcul. En find'exécution le logiciel récapitule les noms de tous les fichiers de résultats générés soit
automatiquement, soit à la demande de l'utilisateur.
51
6 - LES FICHIERS GENERES PAR LE LOGICIEL (voir figure 15)
Le logiciel MARTHE génère automatiquement 4 fichiers :
MARTHE . LST
BILANDEBI . LST
HISTORIQU . LST
MARTHE . OUT
= listing de contrôle
= bilan des débits couche par couche (contrôle de la
résolution)
= Historique de charges et de débits demandés
= Données des mailles dans l'état de fin du calcul
ainsi que 2 fichiers sur option
XYCHASIM.DAT
SEMDEBCAL.DAT
= Liste des charges calculées
ou
semis des charges calculées
= Semis des débits calculés
Listinggénéral
ModèleMARTHE
Bilans des débitscouche par
couche (contrôlede la résolution)
Historiquesde charges et
de débitsdemandés.
Ceshistoriques
peuvent êtredessinés par
le logicielGRECO
Semis descharges
calculées (suroption), ces
semis peuventêtre visualisés
sous formed'isovaleurs par
le logicielINGRID
Semis des débitscalculés (sur
option)
Données desmailles dumodèle. Ce
fichier est prêtà être réutiliséen entrée du
modèle(MARTHE .
DAT)
Figure 15 - Les fichiers de résultats produits par le logiciel MARTHE
6.1 - LE FICHIER BILANDEBI . LST
Ce fichier permet d'une part de suivre la convergence iterative des calculs, et
d'autre part d'établir (et de contrôler) le bilan des débits dans l'aquifère. Un exemple de
51
6 - LES FICHIERS GENERES PAR LE LOGICIEL (voir figure 15)
Le logiciel MARTHE génère automatiquement 4 fichiers :
MARTHE . LST
BILANDEBI . LST
HISTORIQU . LST
MARTHE . OUT
= listing de contrôle
= bilan des débits couche par couche (contrôle de la
résolution)
= Historique de charges et de débits demandés
= Données des mailles dans l'état de fin du calcul
ainsi que 2 fichiers sur option
XYCHASIM.DAT
SEMDEBCAL.DAT
= Liste des charges calculées
ou
semis des charges calculées
= Semis des débits calculés
Listinggénéral
ModèleMARTHE
Bilans des débitscouche par
couche (contrôlede la résolution)
Historiquesde charges et
de débitsdemandés.
Ceshistoriques
peuvent êtredessinés par
le logicielGRECO
Semis descharges
calculées (suroption), ces
semis peuventêtre visualisés
sous formed'isovaleurs par
le logicielINGRID
Semis des débitscalculés (sur
option)
Données desmailles dumodèle. Ce
fichier est prêtà être réutiliséen entrée du
modèle(MARTHE .
DAT)
Figure 15 - Les fichiers de résultats produits par le logiciel MARTHE
6.1 - LE FICHIER BILANDEBI . LST
Ce fichier permet d'une part de suivre la convergence iterative des calculs, et
d'autre part d'établir (et de contrôler) le bilan des débits dans l'aquifère. Un exemple de
52
fichier BILANDEBI . LST est donné figures 16 et 17. On voit d'abord apparaître le bilan
de l'aquifère AVANT calcul (pas de mesure 0) puis, pour chaque pas de calcul :
- le suivi de la convergence toutes les 10 itérations (pour chacun des éventuels
sous pas de calcul) avec en particulier la maille qui a présenté la plus forte
variation de charge entre 2 itérations sucessives,
le bilan des débits pour chacune des couches avec la terminologie suivante :
Débit entrant ou sortant par les limites
Débits entrant ou sortant des mailles
Débordement
Stockage (en régime transitoire)
Débit de transit
Bilan de contrôle
Débit résiduel d'erreur
débits calculés dans les mailles à
potentiel imposé
débits calculés dans les mailles inter¬
nes du modèle. Ces débits doivent être
très proches des débits "affichés par
l'utilisateur"
débit sortant par les mailles à débor¬
dement ; ce débit quitte l'aquifère
débit moyen correspondant à la
variation de stock pendant le pas de
temps de calcul
en tridimensionnel : débit transitant à
travers des mailles à sec et se repor¬
tant vers la couche du dessous
Somme algébrique de tous les débits :
doit être très faible, à la précision de
l'ordinateur près, même si les calculs
n'ont pas encore convergé
somme (des valeurs absolues) desdébits
résiduels calculés dans chacune des
mailles. Le débit résiduel est la
différence entre le débit éventuel
imposé et le debit calculé d'après les
mailles voisines. C'est LE critère de
CONVERGENCE. Le bilan est équilibré
quand le débit résiduel ne dépasse pas
quelques pourcents du chiffre d'affaire
de la nappe c'est-à-dire par exemple de
la somme des débits entrants (positifs)
ou de la somme des débits sortants
(négatifs)
52
fichier BILANDEBI . LST est donné figures 16 et 17. On voit d'abord apparaître le bilan
de l'aquifère AVANT calcul (pas de mesure 0) puis, pour chaque pas de calcul :
- le suivi de la convergence toutes les 10 itérations (pour chacun des éventuels
sous pas de calcul) avec en particulier la maille qui a présenté la plus forte
variation de charge entre 2 itérations sucessives,
le bilan des débits pour chacune des couches avec la terminologie suivante :
Débit entrant ou sortant par les limites
Débits entrant ou sortant des mailles
Débordement
Stockage (en régime transitoire)
Débit de transit
Bilan de contrôle
Débit résiduel d'erreur
débits calculés dans les mailles à
potentiel imposé
débits calculés dans les mailles inter¬
nes du modèle. Ces débits doivent être
très proches des débits "affichés par
l'utilisateur"
débit sortant par les mailles à débor¬
dement ; ce débit quitte l'aquifère
débit moyen correspondant à la
variation de stock pendant le pas de
temps de calcul
en tridimensionnel : débit transitant à
travers des mailles à sec et se repor¬
tant vers la couche du dessous
Somme algébrique de tous les débits :
doit être très faible, à la précision de
l'ordinateur près, même si les calculs
n'ont pas encore convergé
somme (des valeurs absolues) desdébits
résiduels calculés dans chacune des
mailles. Le débit résiduel est la
différence entre le débit éventuel
imposé et le debit calculé d'après les
mailles voisines. C'est LE critère de
CONVERGENCE. Le bilan est équilibré
quand le débit résiduel ne dépasse pas
quelques pourcents du chiffre d'affaire
de la nappe c'est-à-dire par exemple de
la somme des débits entrants (positifs)
ou de la somme des débits sortants
(négatifs)
53
Dans une maille donnée le débit résiduel
est transformé en écart de charge (ou
hauteur résiduelle). C'est la correction de
charge qu'il faudrait appliquer pour
équilibrer les débits. C'est également un
critère de convergence important à
examiner.
la somme des débits (calculés) par zone,
(pour un aquifère tridimensionnel) : le bilan global de toute les couches,
le résumé des échanges de couche à couche.
53
Dans une maille donnée le débit résiduel
est transformé en écart de charge (ou
hauteur résiduelle). C'est la correction de
charge qu'il faudrait appliquer pour
équilibrer les débits. C'est également un
critère de convergence important à
examiner.
la somme des débits (calculés) par zone,
(pour un aquifère tridimensionnel) : le bilan global de toute les couches,
le résumé des échanges de couche à couche.
54
SOLUTION NAPPE EXEMPLE TRANSITOIRE 18/5/87 K-CONSTRASTE .:
PAS DE MESURE O ** AVANT ITERATIONS »* Cbllan' «vînt c»lcul»3.
- BILAN EH UNITES DE DEBIT COUCHE 1
DEBITS ENTRANT PAR LES LIMITEE « 2.436E+03DEBITS SORTANT PAR LES LIMITES 'DEBITS ENTRANT DANS LES MAILLES» .8i701E+03DEBITS SORTANT DES MAILLESDEBIT HE PLUIE ' O.OOOE+00
STOCKAGEBILAN DE CONTROLE
DEBIT RESIDUEL D ERREUR
« O.OOOE+OO- 1.S70E-01= li783E+04
-2.006E+03 .'< O.OOOE-fOO AFFICHE PAR L UTILISATEUR
-9.131E+03 ( -8.000E-)'02 AFFICHE PAR L' UTILISATEUR
DEB RESID HAXi: l.ló7E'f03 LIG: 13 r COL: .4
SOIT UN ECART DE CHARGE DE : 1.124E-01 UNITES
26 HAILLE<S) DENOYEE(S) dans la 'CGUc:he
PAS DE MESURE CRedine permanente
DEBUTFINDUREE
SOUS-PASNUMERO
O.OOOE+OO UNITES» O.OOOE+OO SECONDES»l.OOOE-03 UNITES» 2.630E+03 SECONDES»l.OOOE-03 UNITES» 2.A30E+03 SECONDES»
.0.00 JOUR(S)0.03 JOUR(S)0.03 JOUR<S)
NOHBRE VARIATION DUREEITERATIONS MOYENNE PAS DE
PAR MAILLE DE CALCUL(UNITES CHAR)
10 1.331E-02 2.922E+0220 8.696E-03 2.922E+0230 6,76tE-03 2.922E+02
DUREECUMULEE
VARIATIONMAXIMALE
LIG COL COU
2.922E+02 -7.935E-02 12 72.922E+02 -2.35áE-02 10 A
2.922E+02 -1.550E-02 17 17
1020
Ó070
2.211E-031.807E-03
S.844E'f025.844E'I'02
8.747E+02 -¿.714E-038.767E+02 -S.737E-03
1.173E-04 8.767E+02 2.630E+039.307E-05 8.767E+02 2 . 630E+03
-7.324E-0'(-4.883E-04
lé17
12l'î
1616
1313
BILAN EN UNITES DE DEBIT COUCHE'
DEBITS ENTRANT PAR LES LIMITES » 2.J191E+03DEBITS SORTANT PAR LES LIMITES » -1.683E+03DEBITS ENTRANT DANS LES MAILLES» 1.324E+00 (DEBITS SORTANT DES MAILLES » -8.089E+02 <
DEBIT DE PLUIE - O.OOOE+OO
STOCKAGEBILAN DE CONTROLE
DEBIT RESIDUEL D ERREUR
-2.029E-195.615E-031.031E+01
O.OOOE+OO AFFICHE PAR L UTILISATEUR-8.000E+02 AFFICHE PAR L UTILISATEUR
DEB RESID HAXi: 7.980E+00SOIT UN ECART DE CHARGE DE
LIG: 12 . col: 17 .
! -5,771E+00 UNITES
HAUTEUR RESIDUELLE D ERREUR MAXIMALE = -5.771E+00 LIGNE: 12 . COLONNE: 17
24 HAILLE(S) DENOYEE(S) dans la Couche 1 '
DEBITS CALCULES CUMULES des 6 20NE(S)zone: 0 0» O.OOOE+OO zone: i q» 354. ZONE: 2 0= 426.ZONE: 3 Q» -694. ZONE: 4 Q» -800. ZONE: 5 Q» 715.
LIMITES
PLUIEIV
O.OOOE+OOIV
8.075E+02 > » -2.029E-19 » > -8.000E+02 DEBIT IMPOSE COU 1
Figure 16 - Exemple de fichier BILANDEBI.LST résultant du modèle MARTHE
pas de mesures n^O et n°l. A la fin du pas de mesure n^l le débit
résiduel est de 10 unités pour un "chiffre d'affaires" de 2491 unités soit
0.4%
54
SOLUTION NAPPE EXEMPLE TRANSITOIRE 18/5/87 K-CONSTRASTE .:
PAS DE MESURE O ** AVANT ITERATIONS »* Cbllan' «vînt c»lcul»3.
- BILAN EH UNITES DE DEBIT COUCHE 1
DEBITS ENTRANT PAR LES LIMITEE « 2.436E+03DEBITS SORTANT PAR LES LIMITES 'DEBITS ENTRANT DANS LES MAILLES» .8i701E+03DEBITS SORTANT DES MAILLESDEBIT HE PLUIE ' O.OOOE+00
STOCKAGEBILAN DE CONTROLE
DEBIT RESIDUEL D ERREUR
« O.OOOE+OO- 1.S70E-01= li783E+04
-2.006E+03 .'< O.OOOE-fOO AFFICHE PAR L UTILISATEUR
-9.131E+03 ( -8.000E-)'02 AFFICHE PAR L' UTILISATEUR
DEB RESID HAXi: l.ló7E'f03 LIG: 13 r COL: .4
SOIT UN ECART DE CHARGE DE : 1.124E-01 UNITES
26 HAILLE<S) DENOYEE(S) dans la 'CGUc:he
PAS DE MESURE CRedine permanente
DEBUTFINDUREE
SOUS-PASNUMERO
O.OOOE+OO UNITES» O.OOOE+OO SECONDES»l.OOOE-03 UNITES» 2.630E+03 SECONDES»l.OOOE-03 UNITES» 2.A30E+03 SECONDES»
.0.00 JOUR(S)0.03 JOUR(S)0.03 JOUR<S)
NOHBRE VARIATION DUREEITERATIONS MOYENNE PAS DE
PAR MAILLE DE CALCUL(UNITES CHAR)
10 1.331E-02 2.922E+0220 8.696E-03 2.922E+0230 6,76tE-03 2.922E+02
DUREECUMULEE
VARIATIONMAXIMALE
LIG COL COU
2.922E+02 -7.935E-02 12 72.922E+02 -2.35áE-02 10 A
2.922E+02 -1.550E-02 17 17
1020
Ó070
2.211E-031.807E-03
S.844E'f025.844E'I'02
8.747E+02 -¿.714E-038.767E+02 -S.737E-03
1.173E-04 8.767E+02 2.630E+039.307E-05 8.767E+02 2 . 630E+03
-7.324E-0'(-4.883E-04
lé17
12l'î
1616
1313
BILAN EN UNITES DE DEBIT COUCHE'
DEBITS ENTRANT PAR LES LIMITES » 2.J191E+03DEBITS SORTANT PAR LES LIMITES » -1.683E+03DEBITS ENTRANT DANS LES MAILLES» 1.324E+00 (DEBITS SORTANT DES MAILLES » -8.089E+02 <
DEBIT DE PLUIE - O.OOOE+OO
STOCKAGEBILAN DE CONTROLE
DEBIT RESIDUEL D ERREUR
-2.029E-195.615E-031.031E+01
O.OOOE+OO AFFICHE PAR L UTILISATEUR-8.000E+02 AFFICHE PAR L UTILISATEUR
DEB RESID HAXi: 7.980E+00SOIT UN ECART DE CHARGE DE
LIG: 12 . col: 17 .
! -5,771E+00 UNITES
HAUTEUR RESIDUELLE D ERREUR MAXIMALE = -5.771E+00 LIGNE: 12 . COLONNE: 17
24 HAILLE(S) DENOYEE(S) dans la Couche 1 '
DEBITS CALCULES CUMULES des 6 20NE(S)zone: 0 0» O.OOOE+OO zone: i q» 354. ZONE: 2 0= 426.ZONE: 3 Q» -694. ZONE: 4 Q» -800. ZONE: 5 Q» 715.
LIMITES
PLUIEIV
O.OOOE+OOIV
8.075E+02 > » -2.029E-19 » > -8.000E+02 DEBIT IMPOSE COU 1
Figure 16 - Exemple de fichier BILANDEBI.LST résultant du modèle MARTHE
pas de mesures n^O et n°l. A la fin du pas de mesure n^l le débit
résiduel est de 10 unités pour un "chiffre d'affaires" de 2491 unités soit
0.4%
55
PAS DE MESURE Cpremier pas du reâine IransitoireD
DEBUTFINDUREE
SOUS-PASNUMERO
l.OOOE-03 UNITES»l.OOOE+00 UNITES»9.990E-01 UNITES»
2.630E+03 SECONDES»2.é30E+06 SECONDES'2,627E+06 SECONDES»
0.03 JOUR(S>30.44 JOUR(S)30.41 JOUR<S)
NOMBREITERATIONS
10
VARIATION DUREE DUREE VARIATIONMOYENNE PAS DE CUMULEE MAXIMALE
PAR MAILLE DE CALCUL(UNITES CHAR)
5.908E-02 2.919E+05 2.919E+05 3.&73E-01
LIG COL COU
6070
3.S37E-043.004E-04
8..7S8E+0S 2.627E+06 1.221E-038.758E+05 2.627E+06 1.099E-03
28
1517
1.417
- BILAN EN UNITES DE DEBIT COUCHE
DEBITS ENTRANT PAR LES LIMITES »DEBITS SORTANT PAR LES LIMITES »DEBITS ENTRANT DANS LES MAILLES»DEBITS SORTANT DES MAILLES «DEBIT DE PLUIE »
2.741E+03
7.601E-01-2.159E+03
< O.OOOE+OO AFFICHE PAR L UTILISATEUR-6.13éE+02 ( -&.0O0E+O2 AFFICHE PAR L UTILISATEUR
3.148E+01
STOCKAGEBILAN DE CONTROLE
DEBIT RESIDUEL D ERREUR
2.925E-012,975E-011.442E+01
14 MAILLE(S) DENOYEE(S) dans la Couche
ZONE:zone:
LIMITES
DEBITS CALCULES CUMULES des 6 ZONE(S)0 Q» O.OOOE+OO ZONE: 1 0» 342.3 n» -894. zone: a q» -éoo.
PLUIEIV
3.148E+01IV
-> t 2.925E-01 »
DEB RESID HAXi; e.655E+00SOIT UN ECART DE CHARGE DE
Lie: 12 > col: i7! -5.720E+00 UNITES
zone:zone:
2 Q» -121.5 0» 1.242E+03
5.S20E+02 -6.000E+02 DEBIT IMPOSE COU
Figure 17 - Exemple de fichier BILANDEBI.LST résultant du modèle
MARTHE : pas de mesiure n''2
55
PAS DE MESURE Cpremier pas du reâine IransitoireD
DEBUTFINDUREE
SOUS-PASNUMERO
l.OOOE-03 UNITES»l.OOOE+00 UNITES»9.990E-01 UNITES»
2.630E+03 SECONDES»2.é30E+06 SECONDES'2,627E+06 SECONDES»
0.03 JOUR(S>30.44 JOUR(S)30.41 JOUR<S)
NOMBREITERATIONS
10
VARIATION DUREE DUREE VARIATIONMOYENNE PAS DE CUMULEE MAXIMALE
PAR MAILLE DE CALCUL(UNITES CHAR)
5.908E-02 2.919E+05 2.919E+05 3.&73E-01
LIG COL COU
6070
3.S37E-043.004E-04
8..7S8E+0S 2.627E+06 1.221E-038.758E+05 2.627E+06 1.099E-03
28
1517
1.417
- BILAN EN UNITES DE DEBIT COUCHE
DEBITS ENTRANT PAR LES LIMITES »DEBITS SORTANT PAR LES LIMITES »DEBITS ENTRANT DANS LES MAILLES»DEBITS SORTANT DES MAILLES «DEBIT DE PLUIE »
2.741E+03
7.601E-01-2.159E+03
< O.OOOE+OO AFFICHE PAR L UTILISATEUR-6.13éE+02 ( -&.0O0E+O2 AFFICHE PAR L UTILISATEUR
3.148E+01
STOCKAGEBILAN DE CONTROLE
DEBIT RESIDUEL D ERREUR
2.925E-012,975E-011.442E+01
14 MAILLE(S) DENOYEE(S) dans la Couche
ZONE:zone:
LIMITES
DEBITS CALCULES CUMULES des 6 ZONE(S)0 Q» O.OOOE+OO ZONE: 1 0» 342.3 n» -894. zone: a q» -éoo.
PLUIEIV
3.148E+01IV
-> t 2.925E-01 »
DEB RESID HAXi; e.655E+00SOIT UN ECART DE CHARGE DE
Lie: 12 > col: i7! -5.720E+00 UNITES
zone:zone:
2 Q» -121.5 0» 1.242E+03
5.S20E+02 -6.000E+02 DEBIT IMPOSE COU
Figure 17 - Exemple de fichier BILANDEBI.LST résultant du modèle
MARTHE : pas de mesiure n''2
56
6.2 - LE FICHIER HISTORIQ.LST
Ce fichier contient les historiques de charge ou de débit au cours des pas de temps
de mesure pour chacune des maiUes sélectionnées y compris le pas numéro zéro à la
date zéro. Ces historiques sont écrits en clair sous forme (date, valeur) en unités
utilisateurs. Ils peuvent être dessinés immédiatement par le logiciel GRECO du BRGM
par exemple. (Il suffit simplement de préciser le format (2 F 10.0) ; 2 valeurs par ligne
et lecture simultanée de X et Y). La figure 18 donne un exemple d'historiques tracés par
le logiciel GRECO.
1677
1 2 3
NRPPE EXEMPLE HISTORIQUES EN i MRILLES PENORNT 5 MOIS
temps 5 mois
Figure 18 - Exemple d'historiques de charge au pas de temps mensuel
du fichier HISTORIQ.LST (et tracés directement par le logiciel
GRECO)
6.3 - LE FICHIER XYCHASIM.DAT
Ce fichier contient en clair les valeurs de charges calculées. Elles sont données
couche par couche pour chacun des pas de temps (de mesures) pour lesquels on l'a
demandé.
Deux formes sont possibles pour ces charges calculées :
sous forme de "semis de charges" : (option = 2) c'est la forme recommandée car
elle est la plus compacte, elle peut être examinée directement et êtrevisualisée immédiatement par isovaleurs - sans interpolation - par le logiciel
INGRID,
sous forme de fichier séquenciel (X, Y, charge) une maiUe par ligne (option = 1).
56
6.2 - LE FICHIER HISTORIQ.LST
Ce fichier contient les historiques de charge ou de débit au cours des pas de temps
de mesure pour chacune des maiUes sélectionnées y compris le pas numéro zéro à la
date zéro. Ces historiques sont écrits en clair sous forme (date, valeur) en unités
utilisateurs. Ils peuvent être dessinés immédiatement par le logiciel GRECO du BRGM
par exemple. (Il suffit simplement de préciser le format (2 F 10.0) ; 2 valeurs par ligne
et lecture simultanée de X et Y). La figure 18 donne un exemple d'historiques tracés par
le logiciel GRECO.
1677
1 2 3
NRPPE EXEMPLE HISTORIQUES EN i MRILLES PENORNT 5 MOIS
temps 5 mois
Figure 18 - Exemple d'historiques de charge au pas de temps mensuel
du fichier HISTORIQ.LST (et tracés directement par le logiciel
GRECO)
6.3 - LE FICHIER XYCHASIM.DAT
Ce fichier contient en clair les valeurs de charges calculées. Elles sont données
couche par couche pour chacun des pas de temps (de mesures) pour lesquels on l'a
demandé.
Deux formes sont possibles pour ces charges calculées :
sous forme de "semis de charges" : (option = 2) c'est la forme recommandée car
elle est la plus compacte, elle peut être examinée directement et êtrevisualisée immédiatement par isovaleurs - sans interpolation - par le logiciel
INGRID,
sous forme de fichier séquenciel (X, Y, charge) une maiUe par ligne (option = 1).
57
6.4 - LE FICHIER MARTHE.OUT
Ce fichier contient en clair toutes les données des mailles du modèle à la fin du
dernier pas de calcul (y compris les charges calculées) ; toutes les modifications de
geometries, affectations par zone, etc.. ayant été prises en compte. Ce fichier peut
directement être réutilisé (de préférence après l'avoir renommé) :
- pour un complément de calage,
- pour une prolongation du régime transitoire.
Le format d'édition optimisé sur 7 caractères par valeur permet de conserver le
maximum de précision. Cette possibilité permet d'effectuer un calcul en régime
permanent en plusieurs parties, par exemple en 3 fois 400 itérations (après contrôle)
plutôt qu'en 1 seule fois 1200 itérations avec un risque d'erreur sur un paramètre ou une
donnée. Pour la même raison il peut être intéressant en régime transitoire de dissocier
en plusieurs fois un calcul sur un grand nombre de pas de temps.
57
6.4 - LE FICHIER MARTHE.OUT
Ce fichier contient en clair toutes les données des mailles du modèle à la fin du
dernier pas de calcul (y compris les charges calculées) ; toutes les modifications de
geometries, affectations par zone, etc.. ayant été prises en compte. Ce fichier peut
directement être réutilisé (de préférence après l'avoir renommé) :
- pour un complément de calage,
- pour une prolongation du régime transitoire.
Le format d'édition optimisé sur 7 caractères par valeur permet de conserver le
maximum de précision. Cette possibilité permet d'effectuer un calcul en régime
permanent en plusieurs parties, par exemple en 3 fois 400 itérations (après contrôle)
plutôt qu'en 1 seule fois 1200 itérations avec un risque d'erreur sur un paramètre ou une
donnée. Pour la même raison il peut être intéressant en régime transitoire de dissocier
en plusieurs fois un calcul sur un grand nombre de pas de temps.
58
7 - VALIDATION DU MODELE MARTHE
Le modèle MARTHE a été utilisé pour un grand nombre d'études (plus de 50 nappes
différentes) tant en régime permanent qu'en régime transitoire, en monocouche et en
tridimensionnel. Il est cependant important de prouver sa validité par rapport à des
solutions connues :
3 validations sont présentées figure 19 :
1 - modèle monocouche anisotrope en régime transitoire : Papodopoulos
2 - modèle tridimensionnel homogène avec surface libre en régime permanent :
Barrage
3 - modèle coupe avec fortes hétérogénéïtés : tunnels sous la mer.
7.1 - MODELE ANISOTROPE EN REGIME TRANSITOIRE
On a simulé l'exemple donné par PAPADOPOULOS 1965 : "Nonsteady flow to a
v/ell in an infinite aquifer. Hydrologie des roches fissurées - colloque de Dubrovnik -
octobre 1965".
Les caractéristiques sont les suivantes :
Txx = 37 cm2/s
Tyy = 11 cm2/s
S = 0.048
Q = 6.67 1/s
Les calculs ont été réalisés pendant 10 pas de mesures de 104 secondes et l'étataprès 105 secondes a été comparé avec la solution analytique. La figure 19-a montre le
maillage choisi ainsi les charges calculées par le modèle et par la solution exacte.
L'accord est très bon et l'écart est inférieur à 0.05 cm à l'extrémité de la zone
influencée (pour un rabattement de 100 cm à une distance de 20 mètres du puits).
7.2 - MODELE TRIDIMENSIONNEL AVEC SURFACE LIBRE
On a simulé un massif filtrant de 19.1 mètres de largeur et de 4.20 mètres de
haut. La perméabilité est égale à 10"6 m/s. La charge amont est imposée à 4.10 mètres
et la charge aval à 0.10 mètres. Une coupe du massif a été représentée avec 21 couches
de 0.2 mètres d'épaisseur et 20 mailles dans chaque couche. La figure 19-b montre le
58
7 - VALIDATION DU MODELE MARTHE
Le modèle MARTHE a été utilisé pour un grand nombre d'études (plus de 50 nappes
différentes) tant en régime permanent qu'en régime transitoire, en monocouche et en
tridimensionnel. Il est cependant important de prouver sa validité par rapport à des
solutions connues :
3 validations sont présentées figure 19 :
1 - modèle monocouche anisotrope en régime transitoire : Papodopoulos
2 - modèle tridimensionnel homogène avec surface libre en régime permanent :
Barrage
3 - modèle coupe avec fortes hétérogénéïtés : tunnels sous la mer.
7.1 - MODELE ANISOTROPE EN REGIME TRANSITOIRE
On a simulé l'exemple donné par PAPADOPOULOS 1965 : "Nonsteady flow to a
v/ell in an infinite aquifer. Hydrologie des roches fissurées - colloque de Dubrovnik -
octobre 1965".
Les caractéristiques sont les suivantes :
Txx = 37 cm2/s
Tyy = 11 cm2/s
S = 0.048
Q = 6.67 1/s
Les calculs ont été réalisés pendant 10 pas de mesures de 104 secondes et l'étataprès 105 secondes a été comparé avec la solution analytique. La figure 19-a montre le
maillage choisi ainsi les charges calculées par le modèle et par la solution exacte.
L'accord est très bon et l'écart est inférieur à 0.05 cm à l'extrémité de la zone
influencée (pour un rabattement de 100 cm à une distance de 20 mètres du puits).
7.2 - MODELE TRIDIMENSIONNEL AVEC SURFACE LIBRE
On a simulé un massif filtrant de 19.1 mètres de largeur et de 4.20 mètres de
haut. La perméabilité est égale à 10"6 m/s. La charge amont est imposée à 4.10 mètres
et la charge aval à 0.10 mètres. Une coupe du massif a été représentée avec 21 couches
de 0.2 mètres d'épaisseur et 20 mailles dans chaque couche. La figure 19-b montre le
59
MSOinO^II ï/T nota M»|l>£ iur*>.t Mtr«ooro«,os - »**.Iln - - noLU
253 , , 1 j_
L.;. .:. ;. /
.&-f\i ill ñ,iÍ\ y\\ Y-}'i'" mètres
a) Régime transitoire en mUieu anisotrope
rabattement après 100 000 secondes
= solution exacte = modèle MARTHE
solutionsurface
E.
cx*E nassiF bvec suwuce lie.".
analytique.ibre
MilIC t :i : 3 * :
1 *
-
y-
. 'OCELE ttMÎK.
model
t^^^-^
rïUIl [':: : J :
T. sSOLUÎIÎH nNSLTTICJE
s MARTHE
<\t: g :* 1 ++ w
*tf »
1 *
-T'IÎ
- ï -: ! l: E :t
^
+
+
i*
b) Modèle coupe avec surface libre (massif fUtrant)
craie
'altérée
craie saine
craie bleue
argile deGault
sable
c) Coupe verticale avec fortes hétérogénéïtés
(3 tunnels sous la mer : champ des pressions)
Figure 19 - Validation du modèle MARTHE : 3 exemples
59
MSOinO^II ï/T nota M»|l>£ iur*>.t Mtr«ooro«,os - »**.Iln - - noLU
253 , , 1 j_
L.;. .:. ;. /
.&-f\i ill ñ,iÍ\ y\\ Y-}'i'" mètres
a) Régime transitoire en mUieu anisotrope
rabattement après 100 000 secondes
= solution exacte = modèle MARTHE
solutionsurface
E.
cx*E nassiF bvec suwuce lie.".
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MilIC t :i : 3 * :
1 *
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model
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T. sSOLUÎIÎH nNSLTTICJE
s MARTHE
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1 *
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^
+
+
i*
b) Modèle coupe avec surface libre (massif fUtrant)
craie
'altérée
craie saine
craie bleue
argile deGault
sable
c) Coupe verticale avec fortes hétérogénéïtés
(3 tunnels sous la mer : champ des pressions)
Figure 19 - Validation du modèle MARTHE : 3 exemples
60
maillage choisi, les charges et la surface libre calculées comparées avec la surface libre
calculée par une formule analytique (simplifiée) supposant des vitesses horizontales
(hypothèse de DUPUITS). On voit que les résultats sont très bons. Le débit calculé est
de 4.19 10~7 m3/s par mètre de largeur du massif, le débit donné par la solution
analytique (simplifiée) est de 4.39 10-7 m3/s.
7.3 - MODELE COUPE AVEC FORTES HETEROGENEITES
La zone étudiée est une coupe verticale dans un ensemble de 5 couches très
hétérogènes de 70 mètres d'épaisseur totale dont la couche centrale est traversée par 3
tunnels à pression atmosphérique. Les perméabilités sont respectivement de haut en bas
de 5 10-5 m/s, 2 10-6, 5 io-7, 1 io-9 et 1.10-4 goit dans un rapport de 1 à 100 000 entre
la plus grande et la plus faible. Les calculs de charges d'où on a déduit les pressions (en
ajoutant la profondeur) (figure 19-c) ont été comparés à un modèle par éléments finis.
Les pressions calculées sont quasiment identiques avec les 2 modèles.
60
maillage choisi, les charges et la surface libre calculées comparées avec la surface libre
calculée par une formule analytique (simplifiée) supposant des vitesses horizontales
(hypothèse de DUPUITS). On voit que les résultats sont très bons. Le débit calculé est
de 4.19 10~7 m3/s par mètre de largeur du massif, le débit donné par la solution
analytique (simplifiée) est de 4.39 10-7 m3/s.
7.3 - MODELE COUPE AVEC FORTES HETEROGENEITES
La zone étudiée est une coupe verticale dans un ensemble de 5 couches très
hétérogènes de 70 mètres d'épaisseur totale dont la couche centrale est traversée par 3
tunnels à pression atmosphérique. Les perméabilités sont respectivement de haut en bas
de 5 10-5 m/s, 2 10-6, 5 io-7, 1 io-9 et 1.10-4 goit dans un rapport de 1 à 100 000 entre
la plus grande et la plus faible. Les calculs de charges d'où on a déduit les pressions (en
ajoutant la profondeur) (figure 19-c) ont été comparés à un modèle par éléments finis.
Les pressions calculées sont quasiment identiques avec les 2 modèles.
61
8 - CALCULS DE LIGNES DE COURANT OU DE TRAJECTOIRE
Après un calcul hydrodynamique, il est très souvent intéressant de calculer les
lignes de courant (ou trajectoire en régime transitoire) ou de visualiser le champ de
vitesses. Cette opération est immédiate avec le logiciel VIKING du BRGM à partir du
fichier de données des mailles et des charges calculées sous forme de semis (fichier
XYCHASIM.DAT). Les figures 20 et 21 présentent deux exemples de visualisation des
vitesses et de tracé des lignes de courant (tous ces tracés peuvent être réalisés très
facilement à l'aide du logiciel INGRID du BRGM).
61
8 - CALCULS DE LIGNES DE COURANT OU DE TRAJECTOIRE
Après un calcul hydrodynamique, il est très souvent intéressant de calculer les
lignes de courant (ou trajectoire en régime transitoire) ou de visualiser le champ de
vitesses. Cette opération est immédiate avec le logiciel VIKING du BRGM à partir du
fichier de données des mailles et des charges calculées sous forme de semis (fichier
XYCHASIM.DAT). Les figures 20 et 21 présentent deux exemples de visualisation des
vitesses et de tracé des lignes de courant (tous ces tracés peuvent être réalisés très
facilement à l'aide du logiciel INGRID du BRGM).
NfiPPE EXEMPLE - MODELE MARTHE - LIAISONS ETRICHES - VITESSES LOGICIEL VIKIHC
3500 J 1 1 , 1
3me
2500
2000
1500..
1000
500
, ^¿ ////// ////v/ <
I I I t/t// yyyy-y^.- \|-^.|J1IJ 1 /!// / .^ ^\^
1 I i liiiTTr/v.. ^V V^> \ 1 1 1 1 1 u {//V. / Í, , i
<
V^^
> î<!i,
//HS-J--
^"?a-.-:"V-r J7fa_.
f "y '7J0J
'^,, équipoteniiel le
"HVitesse
/ /.^
\ I I ll I ni I I /////// -/
\ \ Ullllll I iiii/i 1///..
ro
équipotentielle
500 1500 2000 m 2SZ3
a) Aquifère monocouche b) Modèle coupe : tunnels sous la mer
Figure 20 - Visualisation du champ des vitesses avec le logiciel VIKING
NfiPPE EXEMPLE - MODELE MARTHE - LIAISONS ETRICHES - VITESSES LOGICIEL VIKIHC
3500 J 1 1 , 1
3me
2500
2000
1500..
1000
500
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équipotentielle
500 1500 2000 m 2SZ3
a) Aquifère monocouche b) Modèle coupe : tunnels sous la mer
Figure 20 - Visualisation du champ des vitesses avec le logiciel VIKING
NfiPPE EXEMPLE - MODELE MfifiTHE - LIAISONS ETRNCHES - LIGNES COURfiNTS VIKIHC
3500
3000
2500
2000
1500
1000
500
500 1000 1500
a) Aquifère monocouche
2000 m 25f;:;
ligne de courant
équipotentielle
b) Modèle coupe ; tunnels sous la mer
oOJ
Figure 21 - Calcul des lignes de courant avec le logiciel VIKING
NfiPPE EXEMPLE - MODELE MfifiTHE - LIAISONS ETRNCHES - LIGNES COURfiNTS VIKIHC
3500
3000
2500
2000
1500
1000
500
500 1000 1500
a) Aquifère monocouche
2000 m 25f;:;
ligne de courant
équipotentielle
b) Modèle coupe ; tunnels sous la mer
oOJ
Figure 21 - Calcul des lignes de courant avec le logiciel VIKING
65
Annexe 1
COEFFICIENTS D'ECHANGE DANS LE MODELE MARTHE
65
Annexe 1
COEFFICIENTS D'ECHANGE DANS LE MODELE MARTHE
67
1 - ECHANGES LATERAUX
Les coefficients d'échanges ("transmissivités") latéraux (TN, TS, TE, TO) (Nord,
Sud, Est, Ouest) sont donnés par la relation :
TN = 1 / -fK.DZ.DX KN . DZN . DX
DY/2 DYN/2
pour les échanges avec le Nord, soit en développant :
2 DX . K . DZ . KN . DZNTN = ' ' ' . VKXY
K . DZ . DYN -I- KN . DZN . DY
avec : K, KN perméabilité
DX longueur de la maille (direction Ox)
DY, DYN largeur des mailles (direction Oy)
DZ, DZN épaisseur en eau des mailles (direction Oz)
KXY anisotropie plane des perméabilités
Pour les échanges avec le Sud, l'équation est identique en remplaçant la lettre N
(Nord) par la lettre S (Sud).
Pour l'Est, obtient :
2 DY . K . DZ . KE . DZETE =
K . DZ . DXE -I- KE . DZE . DX ' VKXY
Pour les échanges avec l'Ouest, l'équation est identique en remplaçant la lettre E
(Est) par la lettre O (Ouest).
2 - ECHANGES AVEC LE HAUT ET LE BAS
Les coefficients d'échange avec le haut (H) et le bas (B) sont donnés par les
relations :
TH = 1/ -ha. K. DX.DY a. KH. DX.DY
DZ/2 DZH/2
67
1 - ECHANGES LATERAUX
Les coefficients d'échanges ("transmissivités") latéraux (TN, TS, TE, TO) (Nord,
Sud, Est, Ouest) sont donnés par la relation :
TN = 1 / -fK.DZ.DX KN . DZN . DX
DY/2 DYN/2
pour les échanges avec le Nord, soit en développant :
2 DX . K . DZ . KN . DZNTN = ' ' ' . VKXY
K . DZ . DYN -I- KN . DZN . DY
avec : K, KN perméabilité
DX longueur de la maille (direction Ox)
DY, DYN largeur des mailles (direction Oy)
DZ, DZN épaisseur en eau des mailles (direction Oz)
KXY anisotropie plane des perméabilités
Pour les échanges avec le Sud, l'équation est identique en remplaçant la lettre N
(Nord) par la lettre S (Sud).
Pour l'Est, obtient :
2 DY . K . DZ . KE . DZETE =
K . DZ . DXE -I- KE . DZE . DX ' VKXY
Pour les échanges avec l'Ouest, l'équation est identique en remplaçant la lettre E
(Est) par la lettre O (Ouest).
2 - ECHANGES AVEC LE HAUT ET LE BAS
Les coefficients d'échange avec le haut (H) et le bas (B) sont donnés par les
relations :
TH = 1/ -ha. K. DX.DY a. KH. DX.DY
DZ/2 DZH/2
68
soit en développant :
2 DX . DY . a . K . KHTH=
K . DZH -f KH . DZ
avec en plus des notations précédentes : a anisotropie verticale = rapport de la
perméabilité verticale sur la perméabilité horizontale.
Pour les échanges avec le bas, on écrit de la même manière :
2 DX.DY. a. K. KBTH=
K . DZB -f KB . DZ
68
soit en développant :
2 DX . DY . a . K . KHTH=
K . DZH -f KH . DZ
avec en plus des notations précédentes : a anisotropie verticale = rapport de la
perméabilité verticale sur la perméabilité horizontale.
Pour les échanges avec le bas, on écrit de la même manière :
2 DX.DY. a. K. KBTH=
K . DZB -f KB . DZ
69
Annexe 2
DESCRIPTION DE LA CHAINE SEMIS
(Extrait de la Note technique BRGM :
"Description succinte de la chaîne ' SEMIS ' pour la
maniipulation de données maiUées" NT 87/10 juin 1987)
69
Annexe 2
DESCRIPTION DE LA CHAINE SEMIS
(Extrait de la Note technique BRGM :
"Description succinte de la chaîne ' SEMIS ' pour la
maniipulation de données maiUées" NT 87/10 juin 1987)
71
Qu'est-ce qu'un semis ?
C'est une norme de fichiers auto-documentés pour un champ de valeurs dans un
semis de points réguliers, c'est-à-dire aux noeuds ou aux centres d'un maillage
rectangulaire.
Les rectangles sont définis par des lignes et des colonnes de largeur et de hauteur
variables. Les fichiers sont auto-documentés puisque les abscisses absolues des colonnes
et les ordonnées absolues des centres des lignes apparaissent en clair sur le fichier. Ces
coordonnées peuvent, en particulier, être les coordonnées Lambert (généralisées) en
France ou tout autre système orthonormé.
Les fichiers sont "en clair" et peuvent être consultés et visualisés directement
(voir figure AIl-1). Les valeurs du champ sont à leur place et le fichier découpé en
"panneaux" de 10 colonnes de large. Ce système est compact puisque seules les abscisses
des colonnes et les ordonnées des lignies apparaissent sur un panneau. Par exemple, sur
un panneau de 30 lignes de 10 colonnes apparaissent 30 ordonnées et 10 abscisses, soit
40 valeurs (au lieu de 300 abscisses et 300 ordonnées, soit 600 valeurs pour un fichier
séquentiel).
Intérêt d'un semis
- C'est une véritable banque de données. Les valeurs d'un champ peuvent être
conservées et être utilisées plus tard sans aucun problème de localisation. On verra
qu'on peut très facilement compléter, fusionner cette banque de données et changer de
maillage.
- Il est très facile de calculer la valeur du champ en un point quelconque d'un
semis (en dehors des noeuds) par interpolation double (avec le logiciel INGRID - Rapport
BRGM 86 SGN 059 EAU par exemple).
Les semis peuvent être constitués :
- soit directement :
par saisie à l'éditeur de texte,
. avec les modules LIMIMART ou CODEMAIL,
71
Qu'est-ce qu'un semis ?
C'est une norme de fichiers auto-documentés pour un champ de valeurs dans un
semis de points réguliers, c'est-à-dire aux noeuds ou aux centres d'un maillage
rectangulaire.
Les rectangles sont définis par des lignes et des colonnes de largeur et de hauteur
variables. Les fichiers sont auto-documentés puisque les abscisses absolues des colonnes
et les ordonnées absolues des centres des lignes apparaissent en clair sur le fichier. Ces
coordonnées peuvent, en particulier, être les coordonnées Lambert (généralisées) en
France ou tout autre système orthonormé.
Les fichiers sont "en clair" et peuvent être consultés et visualisés directement
(voir figure AIl-1). Les valeurs du champ sont à leur place et le fichier découpé en
"panneaux" de 10 colonnes de large. Ce système est compact puisque seules les abscisses
des colonnes et les ordonnées des lignies apparaissent sur un panneau. Par exemple, sur
un panneau de 30 lignes de 10 colonnes apparaissent 30 ordonnées et 10 abscisses, soit
40 valeurs (au lieu de 300 abscisses et 300 ordonnées, soit 600 valeurs pour un fichier
séquentiel).
Intérêt d'un semis
- C'est une véritable banque de données. Les valeurs d'un champ peuvent être
conservées et être utilisées plus tard sans aucun problème de localisation. On verra
qu'on peut très facilement compléter, fusionner cette banque de données et changer de
maillage.
- Il est très facile de calculer la valeur du champ en un point quelconque d'un
semis (en dehors des noeuds) par interpolation double (avec le logiciel INGRID - Rapport
BRGM 86 SGN 059 EAU par exemple).
Les semis peuvent être constitués :
- soit directement :
par saisie à l'éditeur de texte,
. avec les modules LIMIMART ou CODEMAIL,
72
- soit avec le logiciel INGRID :
. après saisie d'isovaleur à la table à digitaliser,
. à partir de valeurs en un certain nombre de points épars,
. à partir d'autres semis.
- Les semis sont acceptés en entrée et générés en sortie par un certain nombre de
logiciels du département EAU du BRGM : INGRID, TRANSEMIS, CODEMAIL,
LIMIMART, MARTHE, VIKING, SESAME, SEMISVTD, SEMISMAIV, SEMISMASQ,
LUCAS.
72
- soit avec le logiciel INGRID :
. après saisie d'isovaleur à la table à digitaliser,
. à partir de valeurs en un certain nombre de points épars,
. à partir d'autres semis.
- Les semis sont acceptés en entrée et générés en sortie par un certain nombre de
logiciels du département EAU du BRGM : INGRID, TRANSEMIS, CODEMAIL,
LIMIMART, MARTHE, VIKING, SESAME, SEMISVTD, SEMISMAIV, SEMISMASQ,
LUCAS.
73
Numéro dupanneau
PANNEAU25
EXEMPLE000
750740725710650590550525500
0PANNEAU
525EXEMPLE
970990.131020,21050,810S4.11117.5
1150000000
\no 1
75NOUMEA
00
760762,56759,51750,39734,52
703.7669.74640,67616,49594,49
. 580no 2
575NOUMEA
010101050lOSO11201160
0000000
Nombre totalde panneaux
2 d'un SEMIS de125 175 22Î
coordonnées dupoint de référence :
coin en bas à gauche
13 LIGNES Psr275 325
12 col; X0=375 42
00
765780,62784 .63781 ,57772.18755,69735,78715,33694 ,02669,39
640/ 2 d'
795799.63809.64816. 12817,94815,04807.62796783766740,62
690i.jn SEMI
,93.71.65
0SIO
827.91841 ,3
851,25857,64860.44859,86856,41850,37841 ,15826,41
800S de .
830842.85
859.6875,28888.68899,35907,17912,22914,86915,53914 ,94914,63
92013 LIGN
850870.72891 ,17910,24927,3694 2,19954.54
964,4972,02977.92983.34990.14
1000ESfp.3r
870897,74
922,8945,71
966.7985.651002.31016.31027.91037,31046,31057,7
108012 COL
890925,98955,08981 ,481006.31029,51050,31068, 1
1083.21094,21103.51110,8
1120X0 =
CQUCHE=
abscisses descentres descolonnes
ordonnées descentres deslignes
575525475425375325275225175125
7525
0
1
625575525475425375325275225175125
75
Figure AH-l - Exemple de semis de données de 13 lignes et 12 colonnes
sous forme de 2 panneaux
73
Numéro dupanneau
PANNEAU25
EXEMPLE000
750740725710650590550525500
0PANNEAU
525EXEMPLE
970990.131020,21050,810S4.11117.5
1150000000
\no 1
75NOUMEA
00
760762,56759,51750,39734,52
703.7669.74640,67616,49594,49
. 580no 2
575NOUMEA
010101050lOSO11201160
0000000
Nombre totalde panneaux
2 d'un SEMIS de125 175 22Î
coordonnées dupoint de référence :
coin en bas à gauche
13 LIGNES Psr275 325
12 col; X0=375 42
00
765780,62784 .63781 ,57772.18755,69735,78715,33694 ,02669,39
640/ 2 d'
795799.63809.64816. 12817,94815,04807.62796783766740,62
690i.jn SEMI
,93.71.65
0SIO
827.91841 ,3
851,25857,64860.44859,86856,41850,37841 ,15826,41
800S de .
830842.85
859.6875,28888.68899,35907,17912,22914,86915,53914 ,94914,63
92013 LIGN
850870.72891 ,17910,24927,3694 2,19954.54
964,4972,02977.92983.34990.14
1000ESfp.3r
870897,74
922,8945,71
966.7985.651002.31016.31027.91037,31046,31057,7
108012 COL
890925,98955,08981 ,481006.31029,51050,31068, 1
1083.21094,21103.51110,8
1120X0 =
CQUCHE=
abscisses descentres descolonnes
ordonnées descentres deslignes
575525475425375325275225175125
7525
0
1
625575525475425375325275225175125
75
Figure AH-l - Exemple de semis de données de 13 lignes et 12 colonnes
sous forme de 2 panneaux
74
CHAINE SEMIS
Description des différents modules
Ces modules sont accessibles sur le VAX VI du BRGM en frappant MENU... (du
département EAU) puis SEMIS
Nom du logiciel Nom de la
commande pour
l'activer
Description
CODISOVAL CODISOVAL Mise en forme (identification)
d'isovaleurs saisies à table à
digitaliser pour un dessin ou pour une
interpolation afin de générer un
semis (INGRID).
INGRID INGRID Interpolation et dessin : permet de
constituer des semis à partir de
points épars et de calculer et
dessiner (ou conserver) des
isovaleurs.
CODEMAIL CODE Génère un semis uniforme de points
(avec coordonnées et identification)
ou bien lit et code des panneaux de
10 colonnes de 7 caractères pour les
transformer en semis.
CARRESEMI CARSEM Transformation en semis des
panneaux de 20 colonnes des modèles
MARTHE antérieurs à 1986 (version
1.5).
GENERMAIL (hors menu) Génère le dessin d'un maillage semis
(pour habillages de dessins).
74
CHAINE SEMIS
Description des différents modules
Ces modules sont accessibles sur le VAX VI du BRGM en frappant MENU... (du
département EAU) puis SEMIS
Nom du logiciel Nom de la
commande pour
l'activer
Description
CODISOVAL CODISOVAL Mise en forme (identification)
d'isovaleurs saisies à table à
digitaliser pour un dessin ou pour une
interpolation afin de générer un
semis (INGRID).
INGRID INGRID Interpolation et dessin : permet de
constituer des semis à partir de
points épars et de calculer et
dessiner (ou conserver) des
isovaleurs.
CODEMAIL CODE Génère un semis uniforme de points
(avec coordonnées et identification)
ou bien lit et code des panneaux de
10 colonnes de 7 caractères pour les
transformer en semis.
CARRESEMI CARSEM Transformation en semis des
panneaux de 20 colonnes des modèles
MARTHE antérieurs à 1986 (version
1.5).
GENERMAIL (hors menu) Génère le dessin d'un maillage semis
(pour habillages de dessins).
75
Nom du logiciel Nom de la
commande pour
l'activer
Description
MINMAXSEM BORNES Trouve les valeurs minimales et
maximales d'un semis (pour dessins,
isovaleurs).
LIMISEMIS CONTOUR Calcule le contour des centres des
mailles limites d'un semis LIMITE
(limites à potentiel imposé codées
9999 ; limites imperméables codées
- 1) : génération du CONTOUR x, y
des limites. Etape dans la création
d'un masque.
SEMISMASQ MASQUE Définit le masque extérieur d'un
semis de données. Il faut définir au
préalable le contour des limites par
la commande CONTOUR (et
rarement le rectifier en cas
d'ambiguité). Définit - sur option -
les semis de débits limites et de
perméabilité d'un modèle MARTHE.
TRANSEMIS OPERATIONS Réalise des opérations sur 1 semis ou
entre plusieurs semis : ax -i- b,
somme, différence, multiplication,
division, fenêtre, application d'un
masque, valeur absolue, complétage
des valeurs absentes d'un semis par
les valeurs correspondantes d'un
autre semis, inf de 2 semis, sup de 2
semis, etc..
SEMISCOUP COUPE Réalise des "coupes" suivant ox ou
oy dans uns semis (pour dessins).
75
Nom du logiciel Nom de la
commande pour
l'activer
Description
MINMAXSEM BORNES Trouve les valeurs minimales et
maximales d'un semis (pour dessins,
isovaleurs).
LIMISEMIS CONTOUR Calcule le contour des centres des
mailles limites d'un semis LIMITE
(limites à potentiel imposé codées
9999 ; limites imperméables codées
- 1) : génération du CONTOUR x, y
des limites. Etape dans la création
d'un masque.
SEMISMASQ MASQUE Définit le masque extérieur d'un
semis de données. Il faut définir au
préalable le contour des limites par
la commande CONTOUR (et
rarement le rectifier en cas
d'ambiguité). Définit - sur option -
les semis de débits limites et de
perméabilité d'un modèle MARTHE.
TRANSEMIS OPERATIONS Réalise des opérations sur 1 semis ou
entre plusieurs semis : ax -i- b,
somme, différence, multiplication,
division, fenêtre, application d'un
masque, valeur absolue, complétage
des valeurs absentes d'un semis par
les valeurs correspondantes d'un
autre semis, inf de 2 semis, sup de 2
semis, etc..
SEMISCOUP COUPE Réalise des "coupes" suivant ox ou
oy dans uns semis (pour dessins).
76
Nom du logiciel Nom de la
commande pour
l'activer
Description
SEMISMAIV MAIL VTD Réalise un maillage VTDN à partir
d'un fichier "CONTOUR" centre des
mailles limites (généré par la
commande "CONTOUR"), d'un semis
LIMITE (limites à potentiel imposé
codées 9999 ; limites imperméables
codées-1).
SEMISVTD MODELEVTD Remplissage des données des mailles
d'un modèle VTDN à partir de semis
de données (charges, toit,
substratum...) et d'un MAILLAGE
VTD (généré par la commande
MAIL VTD par exemple).
VTDGE07 VTDGEO Raccorder les couches d'un modèle
VTDN,
LIMIMART LIMIMART Constitution automatique du
maillage d'un modèle à partir du
fichier digitalisé du contour
extérieur du domaine (et
éventuellement d'un fichier
digitalisé de coordonnées de points à
potentiel imposé).
76
Nom du logiciel Nom de la
commande pour
l'activer
Description
SEMISMAIV MAIL VTD Réalise un maillage VTDN à partir
d'un fichier "CONTOUR" centre des
mailles limites (généré par la
commande "CONTOUR"), d'un semis
LIMITE (limites à potentiel imposé
codées 9999 ; limites imperméables
codées-1).
SEMISVTD MODELEVTD Remplissage des données des mailles
d'un modèle VTDN à partir de semis
de données (charges, toit,
substratum...) et d'un MAILLAGE
VTD (généré par la commande
MAIL VTD par exemple).
VTDGE07 VTDGEO Raccorder les couches d'un modèle
VTDN,
LIMIMART LIMIMART Constitution automatique du
maillage d'un modèle à partir du
fichier digitalisé du contour
extérieur du domaine (et
éventuellement d'un fichier
digitalisé de coordonnées de points à
potentiel imposé).
77
INDEX
Pages
Agencement des couches 6, 8, 9, 38
Anisotropie 17
Bilan des débits 51 à 55
Bordereaux de données 33, 40, 45
Coefficient d'emmagasinement 19, 9
Convergence 25, 35, 51 à 53
Cote de débordement 14, 7
Débit de débordement 52
Débit résiduel 52
Débit de transit 52
Domaine d'application 5
Exemples de maillage 8 à 11
Fichiers de données en entrée 31, 46
Fichiers de résultats 51 à 57
Gravière 52
Hauteur résiduelle 53
Historiques 56
Initialisation 57
Irrigation 23
Itérations 25, 35
Liaisons étanches 18, 48
Lignes de courant 61 à 63
Limites géométriques 8, 12 à 15, 22
Modèle coupe 6, 7, 60
Nombre de mailles 27
Ordinateurs 27
Pas de temps 24, 41, 23
Pluie efficace 23, 42
Référence des charges 16, 37
Référence du substratum 15, 35
Régime transitoire 24, 57
Schéma de résolution 25, 26
Semis de données 46, 69
Substratum 15, 7
Surface libre 58
77
INDEX
Pages
Agencement des couches 6, 8, 9, 38
Anisotropie 17
Bilan des débits 51 à 55
Bordereaux de données 33, 40, 45
Coefficient d'emmagasinement 19, 9
Convergence 25, 35, 51 à 53
Cote de débordement 14, 7
Débit de débordement 52
Débit résiduel 52
Débit de transit 52
Domaine d'application 5
Exemples de maillage 8 à 11
Fichiers de données en entrée 31, 46
Fichiers de résultats 51 à 57
Gravière 52
Hauteur résiduelle 53
Historiques 56
Initialisation 57
Irrigation 23
Itérations 25, 35
Liaisons étanches 18, 48
Lignes de courant 61 à 63
Limites géométriques 8, 12 à 15, 22
Modèle coupe 6, 7, 60
Nombre de mailles 27
Ordinateurs 27
Pas de temps 24, 41, 23
Pluie efficace 23, 42
Référence des charges 16, 37
Référence du substratum 15, 35
Régime transitoire 24, 57
Schéma de résolution 25, 26
Semis de données 46, 69
Substratum 15, 7
Surface libre 58
78
Pages
Toit 14
Unités 35, 36, 23
Vérification des données 31
Vitesses 61
Visualisation des isovaleurs 57
Visualisation du maillage 31,12
Zones 30,38,43
Zone équipotentielle 20
78
Pages
Toit 14
Unités 35, 36, 23
Vérification des données 31
Vitesses 61
Visualisation des isovaleurs 57
Visualisation du maillage 31,12
Zones 30,38,43
Zone équipotentielle 20
réalisation
service
reprographie
du BRGM
réalisation
service
reprographie
du BRGM
87 SGN 545 EAU87 SGN 545 EAU