Mise en œuvre et développement du régistre européen de l’enseignement supérieur (ETER)

Contrat No.

934533-2017-AO8-CH

Benedetto Lepori et al.

2020

La présente publication est un rapport technique établi par le Centre commun de recherche (JRC), le service scientifique interne de la

Commission européenne. Elle a pour objectif de présenter des données scientifiques probantes à l’appui du processus d’élaboration des politiques européennes. Les conclusions scientifiques présentées n’impliquent aucune prise de position politique de la part de la Commission européenne. Ni la Commission européenne ni quiconque agissant en son nom n’est responsable de l’usage qui pourrait être

fait de cette publication. Les utilisateurs sont invités à contacter la source indiquée s'ils souhaitent obtenir des informations sur la méthodologie de production et la qualité des données utilisées dans la présente publication et qui ne proviennent ni d'Eurostat ni d’autres services de la Commission. Les désignations employées et la présentation du contenu sur les cartes n’expriment en aucun cas l'avis de

l’Union européenne au sujet du statut juridique de pays, de territoires, de villes ou de zones ou de leurs autorités, ni au sujet de la délimitation de leurs frontières ou de leurs limites.

Informations de contact Nom: Benedetto Lepori Adresse: Università della Svizzera italiana, Lugano, Switzerland

Courriel: blepori@usi.ch Tél.: 0041 58 666 46 14

EU Science Hub https://ec.europa.eu/jrc

JRC119879

PDF ISBN 978-92-76-16222-3 doi:10.2760/76939

Luxembourg: Office des publications de l’Union européenne, 2020

La politique de réutilisation de la Commission européenne est mise en œuvre par la décision 2011/833/UE de la Commission du 12 décembre 2011 relative à la réutilisation des documents de la Commission (JO L 330 du 14.12.2011, p. 39). Sauf indication contraire, la

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Comment citer ce rapport: Benedetto Lepori, Andrea Bonaccorsi, Cinzia Daraio, Alessandro Daraio, Renato Bruni, Giuseppe Catalano, Giorgio Matteucci, Monica Scannapieco, Hebe Gunnes, Elisabeth Hovdhaugen, Michael Ploder, Natalja Todorovic, Daniel Wagner Schuster,

Implémentation et développement du registre européen de l’enseignement supérieur, Luxembourg: Office des publications de l’Union européenne, 2020, ISBN 978-92-76-16222-3, doi:10.2760/76939, JRC119879.

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Contents

Résumé court ........................................................................................................... 3

Résumé analytique ..................................................................................................... 4

ETER en bref ........................................................................................................ 4

ETER comme base de données de référence sur les établissements d'enseignement supérieur ............. 5

Recommandations pour le développement futur d’ETER ........................................................ 6

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Acknowledgments

Ces travaux ont été financés par la Commission européenne dans le cadre du contrat n ° 934533-2017-AO8-CH. Les auteurs remercient Athina Karvounaraki et Tauno Ojala (CCR de la Commission Européenne) et Sumathi Subramaniam (DG EAC).

Authors

Benedetto Lepori, Andrea Bonaccorsi, Cinzia Daraio, Alessandro Daraio, Renato Bruni, Giuseppe Catalano, Giorgio Matteucci, Monica Scannapieco, Hebe Gunnes, Elisabeth Hovdhaugen, Michael Ploder, Natalja Todorovic, Daniel Wagner-Schuster.

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Résumé court

Ce rapport présente l'état actuel du Registre européen de l'enseignement supérieur (ETER), ainsi que des recommandations pour son développement futur. À l'issue de ces travaux, la base de données ETER est désormais consolidée en termes de méthodologie et de contenu des données, mais aussi d'une infrastructure technique, qui permet une gestion efficace des données et permet aux utilisateurs d'accéder aux données par le biais de diverses options (téléchargement per le site Internet du project, téléchargement automatisé, accès API). Comme indiqué dans ce rapport, ETER s'impose comme l'ensemble de données de référence pour les institutions d’enseignement supérieur européennes et est largement utilisé à la fois pour l'analyse des politiques et à des fins scientifiques.

Les recommandations finales de ce rapport visent à consolider et à étendre davantage la base ETER et à mieux l'intégrer dans un paysage plus large de bases de données sur l'enseignement supérieur au niveau international. Le rapport recommande qu'à long terme, ETER soit établi comme une activité durable gérée par la Commission européenne avec le soutien d'EUROSTAT et la participation des États membres. À cette fin, les futures activités ETER devraient se concentrer davantage sur l'établissement de collaborations institutionnelles avec les fournisseurs de données statistiques, les services de la Commission et les utilisateurs, tout en maintenant et en développant les activités de collecte, de communication et de diffusion des données.

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Résumé analytique

Le Registre européen de l'enseignement supérieur (ETER) est la première base de données complète sur les établissements européens d'enseignement supérieur (EES). Elle contient désormais des données pour six années consécutives (2011-2016). Il s'agit d'une source de données publiques construite principalement à partir de données statistiques dans les pays participants (pays membres de l'Union européenne, Royaume-Uni, pays de l'EEE / AELE et pays candidats), qui couvre la plupart des établissements d'enseignement supérieur (EES) qui délivrent des diplômes au niveau baccalauréat, maîtrise ou doctorat.

ETER est un projet qui a été soutenu par des contrats successifs de la Commission européenne. La première phase s'est déroulée de juillet 2013 à juillet 2015 (contrat EAC 2013-0308), tandis que la deuxième phase s'est déroulée d'août 2015 à juillet 2017 (contrat EAC 2015-280) et la troisième phase de janvier 2018 à décembre 2019 (contrat 934533- 2017-AO8-CH).

L'étude est une entreprise conjointe de cinq partenaires: USI - Università della Svizzera Italiana, Lugano; JOANNEUM RESEARCH POLICIES - Institut de recherche économique et d'innovation, Graz; NIFU - Institut nordique d'études en innovation, recherche et éducation, Oslo; Université de Rome La Sapienza, Département d'Ingénierie Informatique, Contrôle et Gestion Antonio Ruberti, Rome; Département de génie électrique, Université de Pise - avec le support d’un réseau d'experts dans les pays concernés. ETER est supervisé par le Centre commun de recherche et par la direction générale de l'éducation, de la jeunesse, des sports et de la culture de la Commission européenne, en coopération avec EUROSTAT.

Ce rapport présente la situation d'ETER à la fin de de l’année 2019, ainsi que les activités entreprises dans le cadre du troisième contrat ETER afin de mettre en œuvre et d'étendre la base de données et de promouvoir son utilisation. De plus, il fournit des recommandations sur le futur développement d’ETER à partir de l'expérience du projet en cours.

ETER en bref

ETER est une base de données des établissements européens d'enseignement supérieur (EES) délivrant des diplômes de niveau tertiaire. Pour chaque établissement, il fournit des informations descriptives, les coordonnées géographiques, des données sur les étudiants et les diplômés, le personnel, les dépenses et les recettes, les activités de recherche, ainsi qu'un ensemble d'indicateurs prédéfinis caractérisant les dimensions pertinentes des activités des EES, comme la spécialisation dans des domaines scientifiques, la mobilité internationale et l'équilibre entre les sexes.

La principale différence avec les statistiques d’éducation délivrées par le service statistique européen EUROSTAT est que l'unité de référence est l'établissement d'enseignement supérieur (EES) plutôt qu'un système national d'enseignement. En outre, ETER fournit des données supplémentaires au niveau institutionnel, y compris, par exemple, les caractéristiques des EES, les données sur le personnel et les finances obtenues principalement auprès des autorités statistiques nationales. Cependant, ETER suit largement les définitions et les pratiques d'EUROSTAT, en particulier pour les étudiants et les diplômés. La plupart des sources de données sont les mêmes que celles collectées pour EUROSTAT par les autorités statistiques nationales, qui les fournissent sous forme désagrégée à ETER.

ETER fournit actuellement des informations sur près de 3000 EES dans 37 pays européens de 2011 (année académique 2011/2012) à 2016 (2016/2017), y compris les pays de l'UE-27, le Royaume-Uni, les pays de l'EEE-AELE (Islande, Liechtenstein, Norvège et Suisse) et les pays candidats (Albanie, Macédoine du Nord, Monténégro, Serbie et Turquie). Cependant, pour certains de ces pays, aucune donnée statistique n’est disponible (partie francophone de la Belgique, Monténégro, Roumanie), voire très peu de données (Albanie, Danemark, Islande, Macédoine du Nord, Turquie). Pour la plupart des pays, la couverture de l'enseignement supérieur au niveau CITE 6 (licence), CITE 7 (master) et CITE 8 (PhD) est supérieure à 90% des étudiants inscrits, tandis que la couverture au niveau CITE 5 (diplômes courts) est plus limitée.

ETER est une ressource publique; les données peuvent être téléchargées à partir du site Web public www.eter-project.com; une petite partie des données est disponible à des fins de recherche uniquement après enregistrement sur le site.

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Avancées majeures dans le troisième contrat ETER

Collecte et qualité des données

— Deux années de données ont été ajoutées, les données sont désormais disponibles pour six années consécutives (2011-2016).

— L'Albanie est désormais incluse dans la collecte des données (les données ont été collectées par le consortium).

— Des informations sur l'emplacement des campus satellites ont été intégrées dans la base de données, ainsi que des informations plus complètes sur la présence des hôpitaux universitaires.

— Des informations sur la mobilité des étudiants et chercheurs Erasmus financés par l'UE ont été ajoutées.

— La qualité des données a été améliorée avec l'introduction de contrôles pluriannuels et certains problèmes structurels ont été résolus pour des grands pays (Allemagne, Italie, Pologne).

— Cet exercice a montré qu'une amélioration de la qualité des données dans ETER, en particulier pour le personnel et les données financières, peut être obtenue grâce à un travail approfondi avec les offices statistiques nationaux sur les statistiques nationales.

— L'infrastructure technique et l'interface Web ont été mises à jour afin de faire face aux futures extensions du système.

Diffusion et utilisation

— Le nombre d'utilisateurs du site Web ETER n'a cessé d'augmenter au fil du temps, dépassant maintenant 800 utilisateurs enregistrés. Un grand nombre de téléchargements de données a également été observé.

— ETER est largement utilisé par les bases de données institutionnelles sur l’enseignement supérieur, les rapports politiques et les publications savantes. La variété des usages témoigne du potentiel de l'ETER en tant que source de référence pour une variété d'études dans l'enseignement supérieur.

— Le bulletin d'information ETER informe régulièrement les utilisateurs sur les données disponibles dans ETER et fournit des analyses préliminaires.

— Une bonne coopération a été établie avec des utilisateurs institutionnels tels que le Centre Commun de Recherche, l'OCDE, EQAR et l'Association Européenne des Universités.

— Quatre rapports analytiques ont été publiés démontrant le potentiel des données ETER pour l'analyse de l'internationalisation du personnel académique, le financement des EES, la structure des systèmes d'enseignement supérieur et la distribution régionale de l'enseignement supérieur.

ETER comme base de données de référence sur les établissements d'enseignement supérieur

ETER est une ressource générique pour l'analyse des systèmes et des établissements d'enseignement supérieur, qui peut être mobilisée de différentes manières et, fréquemment, en combinaison avec d'autres sources de données. L'une des fonctions essentielles d'ETER est de fournir un registre, c'est-à-dire une liste certifiée des établissements d'enseignement supérieur concernés en Europe. Cette fonction de registre est exploitée par le registre européen d'assurance qualité EQAR pour fournir une liste de base des institutions, ainsi que dans une étude réalisée par une entreprise sur l'utilisation des systèmes de gestion de contenu des sites Web dans l'enseignement supérieur européen, dans laquelle la liste ETER définissait le périmètre pour recueillir des informations à partir de sites Web institutionnels.

En outre, ETER fournit pour la première fois des descripteurs sur les caractéristiques des EES, telles que l'année de fondation, et des informations géographiques systématiques, y compris, dans sa version actualisée, des données sur les campus satellites. Comme le montrent le rapport ETER sur la structure régionale de l'enseignement supérieur et une étude de la DG Regio, ces informations ont permis pour la première fois une analyse systématique de la localisation régionale et de l'impact de l'enseignement supérieur dans toute l'Europe.

Ce rapport documente également l'utilisation croissante des données ETER à des fins analytiques: outre les études produites par le consortium, les données ETER ont été utilisées par l'OCDE pour comparer les systèmes d'enseignement supérieur au niveau international, par Eurydice pour analyser le personnel universitaire en Europe et par le Centre de Recherche Commun pour l'étude de la mobilité des étudiants en Europe. L'utilisation

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à des fins de recherche a également augmenté ces dernières années, avec plus de 170 documents dans Google Scholar mentionnant ETER au cours des dix dernières années.

Défis et démarches pour le développement futur d'ETER

Collecte et qualité des données

— La partie francophone de la Belgique et la Roumanie ne fournissent toujours pas de données, tandis que des données limitées ont été collectées par le consortium pour l'Albanie, le Danemark, l'Islande, la Macédoine du Nord, le Monténégro, la Serbie et la Turquie.

— La Roumanie et la partie française de la Belgique ont déclaré leur intention de participer, indiquant que la livraison des données prendrait du temps en raison de problèmes de disponibilité des données.

— La possibilité de collecter deux années de référence ensemble pourrait également être envisagée au cas par cas afin de réduire la charge de collecte des données pour agences statistiques nationales.

— L'exhaustivité des données n’est pas satisfaisante pour les données financières, ainsi que dans une mesure plus limitée pour les données du personnel.

— Un certain nombre d'écarts par rapport aux définitions et de ruptures dans les séries chronologiques détectées par les contrôles de qualité des données ne pourraient être résolus sans une coopération renforcée avec les autorités statistiques nationales.

— ETER manque encore de données sur certaines dimensions essentielles de l’enseignement supérieur telles que l'origine des étudiants et l'employabilité des diplômés.

— La mise en œuvre d'ETER au cours des 4 dernières années a montré la nécessité de renforcer les capacités et les infrastructures de données de l'enseignement supérieur. Cela implique de s'assurer que les données sont collectées et validées au niveau national.

— Pour relever ces défis, un positionnement plus clair et plus stable d'ETER est nécessaire, ainsi qu'une coopération plus durable avec les autorités statistiques nationales.

Diffusion et utilisation

— Une meilleure intégration des utilisateurs potentiels directement dans les activités ETER est nécessaire en établissant des formes de coopération systématiques.

— L'intégration d'ETER avec d'autres initiatives fournissant des données sur l'enseignement supérieur aux niveaux européen et international devrait être encouragée.

— Les rapports analytiques devraient clairement cibler des questions pertinentes d'intérêt politique et, par conséquent, combiner ETER avec des données supplémentaires.

— Pour relever ces défis, il convient de compléter les activités de valorisation d’ETER par des coopérations institutionnelles renforcées avec les principaux utilisateurs et l'intégration d'ETER à d'autres ensembles de données internationaux.

Recommandations pour le développement futur d’ETER

La base de données ETER est désormais consolidée en termes de méthodologie et de contenu des données, mais également en tant qu'infrastructure technique, ce qui permet une gestion efficace des données et permet aux utilisateurs d'accéder aux données à travers une variété d'options. Les recommandations de ce rapport visent à consolider et étendre davantage le système et à mieux l'intégrer dans un paysage plus large aux niveaux européen et international.

Consolidation institutionnelle du système ETER

— À long terme, ETER devrait être établi comme une activité durable gérée par la Commission européenne avec le soutien d'EUROSTAT et la participation des États membres.

— À cet effet, le prochain contrat ETER devrait donner la priorité au renforcement de l’intégration institutionnelle d’ETER par une coopération plus étroite avec EUROSTAT, EURYDICE, les organisations statistiques des États membres et d’autres organisations internationales telles que l’OCDE.

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— ETER devrait également être impliqué dans le processus de consolidation des identifiants institutionnels des établissements d'enseignement supérieur. Dans le même temps, l'utilisation d'identifiants ETER dans d'autres projets financés par l'UE devrait être activement encouragée.

Collecte et qualité des données

— Aucun changement majeur n'est suggéré pour le processus de collecte de données et pour l'infrastructure de gestion des données dans ETER.

— Le principal effort dans la collecte et de qualité des données devrait être consister à aider les agences statistiques nationales à surmonter les problèmes de données et à trouver des solutions pratiques pour résoudre les problèmes de comparabilité.

— La coopération avec EUROSTAT devrait être renforcée, afin d'élaborer de meilleures bases méthodologiques pour le personnel et les données financières, tout en maintenant la compatibilité avec les manuels UOE et Frascati.

Couverture et variables additionnelles

— Pour les pays où une couverture de 95% ou plus par rapport à EUROSTAT n'est pas atteinte, le dialogue devrait être encouragé avec les agences statistiques nationales pour assurer des améliorations dans les futures collectes de données ETER.

— Le périmètre d'ETER pourrait être étendu à l'avenir, sans procéder à de vastes collectes de données statistiques. Ces cas doivent être identifiés avec les agences statistiques nationales en fonction de leur importance pour les systèmes nationaux d'enseignement supérieur.

— La priorité dans l'élargissement des données collectées par ETER devrait être basée sur des données qui sont déjà disponibles à partir de bases de données européennes et / ou internationales et ne pas surcharger les agences statistiques nationales. Les données des résultats de la recherche ne devraient pas faire partie d'ETER, mais être liées à celui-ci.

— Dans la mesure du possible, le champ d'application de ETER devrait être étendu avec des données supplémentaires sur les caractéristiques des étudiants, l'employabilité des diplômés et les caractéristiques du personnel académique.

Dissémination et visibilité d’ETER

— Les efforts futurs de dissémination devraient servir à accroître la visibilité et l'utilisation des données ETER et à consolider son rôle de base de données européenne de référence pour l'enseignement supérieur. La coopération institutionnelle avec des multiplicateurs clés au niveau européen tels que l'EQAR et l'Association des universités européennes et au niveau international par le biais de la coopération avec l'OCDE et d'autres devrait être renforcée.

— Il serait également important de promouvoir le potentiel des données ETER et leur utilisation par le biais d'ateliers et de cours de formation avancée.

— Les rapports analytiques devraient clairement cibler les questions pertinentes d'intérêt politique et, par conséquent, combiner ETER avec des données supplémentaires.

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Dans toute l’Union européenne, des centaines de centres d’information Europe Direct sont à votre disposition. Pour connaître l’adresse du centre le plus proche, visitez la page suivante: https://europa.eu/european-union/contact_fr

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Le service de la Commission européenne

pour la science et le savoir Centre commun de recherche (JRC)

La mission du JRC En tant que service de la Commission européenne pour la science et le savoir, le Centre commun de recherche (Joint Research Centre – JRC) apporte son aide à l'élaboration des politiques de l’Union européenne en fournissant des informations probantes en toute indépendance.

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doi:10.2760/76939

ISBN 978-92-76-16222-3