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© Université Lille 3
L1 Psychologie UE 4 Méthodologie disciplinaire année 2011/2012 pp.1
Université Lille 3
Première année de Licence
Année Universitaire 2011-2012
Semestre 2
METHODOLOGIE
Support du cours
Ne pas jeter sur la voie publique.
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1. INTRODUCTION A LA PSYCHOLOGIE EXPERIMENTALE
1.1. La nécessité de disposer d’une méthodologie
1.2. Critiques concernant l’utilisation de la méthode expérimentale en psychologie
1.2.1. Critiques morales
1.2.2. Critiques épistémologiques
1.3. Schéma général de la méthode expérimentale : le plan de recherche.
2. LES HYPOTHESES
2.1. Définition
2.2. Caractéristiquesd’unehypothèse
2.2.1. Etre synthétique.
2.2.2. Etre testable.
2.2.3. Etre réfutable.
2.2.4. Etre utile
2.3. L’origine des hypothèses
2.4. Hypothèses théoriques et opérationnelles
3. LES VARIABLES
3.1. Les différents types de variables 3.1.1. Variables Indépendantes
3.1.2. VD
3.1.3. Les variables parasites
3.2. Opérationnalisation des variables
1er niveau:Opérationnalisation de la situation expérimentale
2ème niveau:Opérationnalisation de la mesure
3ème niveau:Opérationnalisation de l’inférence théorique.
3.3. La validité d’une recherche
3.3.1. Validité opérationnelle
3.3.1.1. La validité des VI.
3.3.1.2. Stabilité inter-expérimentateur.
3.3.1.3. Stabilité test-retest.
3.3.1.4. Stabilité inter-items
3.3.2. Validité expérimentale
3.4. L’effet d’une VI sur la VD
3.4.1. Cas général (mais rare en psycho) : 1 seule VI
3.4.2. Cas de plusieurs VI
3.4.2.1. Effet principal d’une VI
3.4.2.2. Effet simple d’une VI
3.4.2.3. Effet d’interaction entre deux VI
3.4.2.4. Quelques exemples d’effets principaux et d’effets conjoints de deux VI
4. LE CHOIX DES SUJETS
4.1. Echantillonnage
4.2. Contrôle des groupes indépendants
4.2.1. Répartition aléatoire
4.2.2. Utilisation d’un pré-test
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4.2.3. Groupes pairés
4.3. Contrôle des groupes de mesures appariés
4.3.1. Contrebalancement complet
4.3.2. Contrebalancement partiel
4.3.3. Contrebalancement contrôlé par une VI
4.4. Groupe Contrôle
5. LES PLANS D’EXPERIENCE
5.1. Définition
5.2. Les plans d’expériences Factoriels
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1. INTRODUCTION A LA PSYCHOLOGIE EXPERIMENTALE
1.1. La nécessité de disposer d’une méthodologie
La psychologie c’est l’étude du comportement. De manière générale, on considère que toute activité
de l’organisme est un comportement. Il y a des comportements visibles et d’autres qui le sont moins
(ex. calcul mental, le rêve…).
Il y a 3 facteurs qui sont indispensables pour assurer cette standardisation des conditions
d’observation: ces conditions doivent être
- bien précisées
- systématiques
- les conclusions doivent pouvoir être discutées.
La méthodologie, c’est donc un ensemble de techniques utilisées pour récolter des données
comportementales, les plus fiables possibles. Tous les champs de la psychologie utilisent une
méthodologie scientifique. Du psychologue qui étudie la perception, le langage au clinicien qui étudie
la personnalité et ses troubles. Ces différentes disciplines de la psychologie n’ont bien évidemment
pas les mêmes contraintes sur les observations
Si on identifie toutes les circonstances qui conditionnent l’apparition d’un comportement, alors nous
avons expliqué ce comportement. Il devient alors possible de le reproduire ou de prédire les conditions
dans lesquelles il est susceptible de se produire.
1.2. Critiques concernant l’utilisation de la méthode expérimentale en psychologie
1.2.1.Critiques morales
1.2.2. Critiques épistémologiques
- Remise en causedes généralisations des observations obtenues chez le sujet humain.
- aspect analytique des études expérimentales.
- aspect artificiel de l’expérimentation.
1.3. Schéma général de la méthode expérimentale : le plan de recherche.
La méthode expérimentale est constituée d’une série de 4 étapes :
- observation
- formation d'hypothèses
- vérification expérimentale
- traitement des résultats et confrontation avec l'hypothèse.
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Plan de recherche:
Observation Corpusthéorique
Hypothèse théorique
Hypothèse opérationnelle
Discussion théorique
VI VD
Choix des sujets
Plan d'expérience Paradigme expérimental
Confrontation des résultats
avec les hypothèses
Déroulement de l’expérience
Traitement des résultats
2. LES HYPOTHESES
2.1. Définition
L’hypothèse, c’est l’idée principale d’une expérience. Elle prédit une relation entre au moins deux
variables. Elle exprime une relation de cause à effet entre plusieurs classes de faits.
2.2. Caractéristiquesd’unehypothèse
2.2.1.Etre synthétique.
Toute hypothèse doit être formulée sous forme booléenne (SI…ALORS…)
2.2.2.Etre testable.
C’est à dire qu’il doit être possible de manipuler les antécédents expérimentaux et de mesurer le
comportement du sujet mais la vérification peut être directe ou indirecte :
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2.2.3. Etre réfutable.
Si l’effet prédit n’est pas observé, on doit alors pouvoir conclure que l’hypothèse est fausse.Le
pronostic de validation d’une hypothèse s’effectue toujours de façon probabiliste par le biais d’un
calcul statistique du risque d’erreur.
2.2.4. Etre utile
2.3. L’origine des hypothèses
• Le raisonnement par induction= formuler des hypothèses générales à partir de faits particuliers.
• raisonnement, par déduction = partir d’une théorie afin de formuler des prédictions concernant
des cas concrets, plus spécifiques.
Trois niveaux d’explication bien différenciés:
les lois : elles ont un statut très général ; s’appliquent à un ensemble très varié de situations.
les théories : regroupement de connaissances sur un domaine particulier.
les modèles : regroupement de connaissances concernant quelques faits expérimentaux bien
délimités.
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2.4. Hypothèses théoriques et opérationnelles
L'hypothèse théorique prévoit une relation de type abstrait entre deux classes de faits.
L'hypothèse opérationnelle est la traduction de l'hypothèse théorique dans un cas concret
précisL'hypothèse opérationnelle donne lieu à une hypothèse de troisième ordre, l'hypothèse
statistique qui intervient dans le traitement des données et dont la validité conditionne la valeur des
conclusions. C’est la traduction de l’hypothèse opérationnelle en termes numériques.
Exemple d’hypothèse statistique à partir de l’hypothèse concernant le vieillissement.
H0 : moyenne mots rappelés (sujets 20 ans) = moyenne mots rappelés (sujets 70 ans)
H1 : moyenne mots rappelés (sujets 20 ans)> moyenne mots rappelés (sujets 70 ans)
H1 : moyenne mots rappelés (sujets 20 ans) - moyenne mots rappelés (sujets 70 ans)> 0
H0 : moyenne mots rappelés (sujets 20 ans) - moyenne mots rappelés (sujets 70 ans) = 0
3. LES VARIABLES
3.1. Les différents types de variables
3.1.1. Variables Indépendantes
• Les variables indépendantes sont les variables que l'expérimentateur manipule pour étudier leur
influence sur le comportement du sujet.
- les variables individuelles (ou de personnalité):
- les variables de type environnemental
- les variables situationnelles
VI invoquées (individuelles ou de personnalité) et les VI provoquées (environnementales ou
situationnelles).
3.1.2. VD
La variable dépendante est la mesure de la réponse du sujet.
Certains comportements ne sont pas directement observables on procède alors par inférence.
0
200
400
600
800
situation A situation B
temps en ms
0
2
4
6
8
10
situation A situation B
temps en sec.
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A gauche (temps en ms) : données réelles, à droite(temps en sec.) : erreur d’échelle = effet plancher.
type de mot
ancien nouveau
réponse du
sujet
ancien AC FA
nouveau O RC
AC = acceptation correcte - FA = fausse alarme - O = Omission - RC = rejet correct
3.1.3. Les variables parasites
C’est une variable non directement testée par l’expérience et qui peut avoir une action sur le
comportement observé, soit de façon directe, soit en entrant en interaction avec les variables
manipulées (les VI).
3.2. Opérationnalisation des variables
1er niveau:Opérationnalisation de la situation expérimentale
2ème niveau:Opérationnalisation de la mesure
3ème niveau:Opérationnalisation de l’inférence théorique.
3.3. La validité d’une recherche
3.3.1. Validité opérationnelle
Le but est d’obtenir des définitions stables des différentes variables.
3.3.1.1. La validité des VI.
3.3.1.2. Stabilité inter-expérimentateur.
3.3.1.3. Stabilité test-retest.
3.3.1.4. Stabilité inter-items
3.3.2. Validité expérimentale
Concerne laconception globale de l’expérience.
- La validité interne c’est une estimation du degré de confiance que l’on peut attribuer à la
relation causale observée entre la situation expérimentale et le comportement du sujet.
- La validité externe c’est une estimation du degré de généralisation d’un résultat
expérimental.
3.4. L’effet d’une VI sur la VD
3.4.1. Cas général (mais rare en psycho) : 1 seule VI
L’effet d’une VI c’est la transcription en termes mathématiques de l’influence qu’elle exerce sur la VD.
On le mesure en comparant les résultats obtenus dans les différentes situations expérimentales.
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3.4.2. Cas de plusieurs VI
Effet principal méthode
Fav Defav moderne 112
Moderne 120 104 112 traditionnelle 105
Traditionnelle 108 102 105 EFFET 7
114 103
Effet principal milieu
Fav Defav EFFET
114 103 11
3.4.2.1. Effet principal d’une VI
C’est la relation d’une VI avec la VD mais représentée indépendamment des autres VIE
3.4.2.2. Effet simple d’une VI
C’est la liaison VI-VD que l’on représente cette fois en tenant compte des autres VI.
0
20
40
60
80
100
Garçons filles
% d
e m
ots
ra
pp
elé
s
Sexe
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favorisé défavorisé
moderne 120 104
traditionnelle 108 102
moyenne 114 103
effet = 11
favorisé défavorisé
moderne 120 104 16 effet simple du milieu pour la méthode moderne
traditionnelle 108 102 6 effet simple du milieu pour la méthode traditionnelle
moyenne 114 103
Données modifiées :
favorisé défavorisé
moderne 120 114 6
traditionnelle 108 102 6
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3.4.2.3. Effet d’interaction entre deux VI
On dit qu'il y a interaction entre deux VI lorsque tout changement de degrés de l'une d'elles modifie
l'influence de l'autre sur la VD.
3.4.2.4. Quelques exemples d’effets principaux et d’effets conjoints de deux VI
VD
0
5
10
15
20
a b
1
2
facteur A
VD
05
1015202530
a b
1
2
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facteur A
VD
0
10
20
30
40
a b
1
2
facteur A
VD
0
10
20
30
a b
1
2
facteur A
VD
0
5
10
15
20
25
30
a b
1
2
facteur A
VD
0
5
10
15
20
25
30
a b c
1
2
4. LE CHOIX DES SUJETS
4.1. Echantillonnage
.
population parente
Kevin
Dylan
Madison
Cunégonde
Brandon
population parente
échantillon 1
échantillon 2
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Jenyfer
Groupes à mesures répétées Groupes de mesures indépendants
Situations Situations
A B
A B
Kevin -> Kevin Kevin Cunégonde
Dylan -> Dylan Dylan Brandon
Madison -> Madison
Madison
Jenyfer
Cunégonde -> Cunégonde
Brandon -> Brandon
Jenyfer -> Jenyfer
4.2. Contrôle des groupes indépendants
4.2.1. Répartition aléatoire
4.2.2. Utilisation d’un pré-test
4.2.3. Groupes pairés
Exemple: On a obtenu les résultats suivant à un pré-test:
4 * la note 10 Ce qui donne la répartition suivante
1 * la note 11 A B C
3 * la note 12 10 10 10
2 * la note 13 12 12 12
Sur les 13 sujets, 4 ont été éliminés. On obtient ainsi 3 groupes de mesure. Pour utiliser des groupes
pairés, il faut donc un nombre de sujets important.
4.3. Contrôle des groupes de mesures appariés
3 sources principales d’erreurs:
- les effets d’ordre.
- les effets de fatigue
- les effets d’entraînement
4.3.1. Contrebalancement complet
Imaginons une expérience à 3 conditions A, B, C (codage de lettres, symboles, chiffres). Si les sujets doivent
passer les 3 conditions, on s’attend à un transfert possible.
Si l’épreuve A est toujours réalisée en début, on aura, systématiquement associé à cette modalité, un effet
d’échauffement, de mise en route. Les épreuves B et C peuvent être mieux réalisées simplement parce que le
sujet a plus l’habitude, sans que se soit un effet de la VI étudiée.
Pour éviter cela, on peut faire un contrebalancement.
ABC,BCA,CAB,BAC,CBA,ACB
On a donc 6 ordres possibles dans lesquels chaque tâche est réalisée dans des positions différentes. La tâche
A est réalisée 2 fois au début, 2 fois au milieu et 2 fois en dernier.
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4.3.2. Contrebalancement partiel
Par exemple, liste de 4 mots. On s’attend à un effet de primauté pour le début de la liste et un effet
de récence pour la fin.
position effet par mot (+=primauté/récence)
1 2 3 4 m1 m2 m3 m4
m1 m2 m3 m4 + - - +
m2 m3 m4 m1 + + - -
m3 m4 m1 m2 - + + -
m4 m1 m2 m3 - - + +
4.3.3. Contrebalancement contrôlé par une VI
4.4. Groupe Contrôle
5. LES PLANS D’EXPERIENCE
5.1. Définition
VI1 = L: 2 degrés A,B
VI2 = N: 2 degrés 1,2
A B
1 GM1 GM2
2 GM3 GM4
5.2. Les plans d’expériences Factoriels
Par exemple Plan factoriel:
2x2, i.e. 2 facteurs ou VI à 2 degrés chacun = 4 GM ;
2x2x2, i.e. 3 facteurs ou VI à 2 degrés chacun = 8 GM ;
2x4x3, i.e. 3 VI une avec 2 degrés, une avec 4 et une avec 3 = 24 GM…
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Partie 2 : Introduction à l’entretien clinique Enseignants : Catherine Dupuis, Fabrice Leroy
I / Introduction
II / Entretien clinique et entretien diagnostique
1 : Le terme « entretien »
2 : Spécificités de ces deux types d’entretien
III / La posture du psychologue
IV / La demande
1 : origine, nature, trajet
2 : demande explicite et demande implicite
3 : réticences conscientes et inconscientes
V / Le cadre
VI / La technique
VII/ Notions de transfert et de contre-transfert
Bibliographie
Bénony H., Chahraoui K., L’entretien clinique, Paris, collection Les topos, Dunod, 1999
Chiland C., L’entretien clinique, Paris, PUF, 1983
Cyssau C., L’entretien en clinique, Paris, In press, 1988.
Poussin G., La pratique de l’entretien clinique, Paris, Dunod, 2003
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Partie 3 : Introduction à la méthode des tests Enseignant : Jean-Marie Gallina
I- Introduction : un test, pourquoi faire ?
Décrire et mesurer les différences individuelles
L’usage des tests aujourd’hui
Le code de déontologie et les tests
II- Qu’est-ce qu’un test ?
Définitions
La méthode des tests
III- Caractéristiques fondamentales
Objectivité de l’évaluation et standardisation
Classement normatif et étalonnage
Qualités métrologiques
IV- Evaluer : quoi ? comment ?
Evaluer la personnalité
Evaluer l’efficience
V- Conclusion
Bibliographie
Bernaud, J.L. (1998) : Les méthodes d’évaluation de la personnalité, Dunod, Paris.
Bernaud, J.L. (2000) : Les théories et tests d’intelligence, Dunod, Paris.
Huteau M. et Lautrey J. (1997) : Les tests d’intelligence, La découverte, Paris.
Huteau M. et Lautrey J. (1999) :Evaluer l’intelligence, Psychométrie cognitive, PUF, Paris.
Leveault D. et Grégoire J. (1997) : Introduction aux théories des tests en sciences humaines, De Boeck
Université, Bruxelles.
Pichot P. (nouvelle édition 1997) : Les tests mentaux, PUF, Paris.
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UE 4 - L1 - Méthodologie disciplinaire et PPE
Année 2010/2011 - Session 1
Consignes pour répondre aux questions
a- Vous devez vous identifier correctement sur la feuille de réponses qui, seule, sera
rendue à la fin de l’épreuve. Ecrivez vos nom et prénom en majuscules,en prenant
soin debien former vos lettres.
b- Pour chaque question, vous devez cocher la (ou les) case(s) qui vous semble(nt)
correcte(s). Pour cocher, faites une croix ou noircissez la case choisie, comme cela
est indiqué sur la feuille de réponses. N’inscrivez jamais de signes tels que des
points dans les cases. N’utilisez surtout pas de Tipp-Ex.
c- Cochez la case A pour la réponse A ou la case B pour la réponse B, etc. Si vous
hésitez ou ne connaissez pas la (ou les) réponse(s) à une question,vous avez la
possibilité de ne pas répondre. Dans ce cas, ne cochez aucune des cases. Attention,
les réponses inexactes participeront à la cotation sous la forme de points négatifs.
Q1 - Dans une expérience, les conditions d’apparition d’un comportement sont créées grâce a une :
a- relation causale
b- hypothèse théorique
c- situation expérimentale
Q2 - La critique épistémologique qui consiste à remettre en cause la généralisation des observations obtenues
chez le sujet humain repose sur une perspective théorique :
a- Clinique
b- Naturaliste
c- Réductionniste
d- Statistique
Q3 - Selon le schéma général de la méthode expérimentale - le plan de recherche - le paradigme expérimental
dépend directement :
a- De la sélection des participants
b- De la VD
c- Du plan d’expérience
d- De l’hypothèse théorique
Q4 - Parmi les différents niveaux d'explications scientifiques, le plus concret est :
a- la théorie
b- la loi
c- le modèle
Q5 - On considère qu’une hypothèse ne peut pas être totalement vérifiée. C’est pourquoi, on la confirme de
façon :
a- Booléenne
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b- Déterministe
c- Probabiliste
Q6 - Quel type d’hypothèse permet de créer les différentes variables qui seront utilisées dans une expérience :
a- l’hypothèse statistique
b- l’hypothèse théorique
c- l’hypothèse opérationnelle
Q7 - Les VI provoquées peuvent être des variables de type :
a- Environnementales
b- Situationnelles
c- Personnelles
d- Opérationnelles
Q8 - On considère que les différentes modalités d’une VI doivent être homogènes, cela signifie :
a- qu'entre les 2 modalités d'une VI, une seule dimension de l'environnement doit être manipulée
b- que les sujets affectés aux différentes situations doivent être identiques
c- qu'il faut au moins 2 modalités
Q9 - Lorsqu’une VD n’est pas assez discriminante dans sa partie inférieure cela signifie :
a- que l’échelle choisie n’est pas adaptée au comportement sélectionné
b- que l’on obtiendra un effet plancher
c- que l’on obtiendra un effet plafond
Q10 - L'entretien clinique se caractérise par (une seule réponse correcte):
a- L'utilisation systématique de tests
b- Le remplissage d'un questionnaire
c- Un dialogue entre un patient et un soignant
Q11 - L'entretien clinique à pour objectif principal (une seule réponse correcte):
a- L'étude des signes de la maladie
b- La compréhension du fonctionnement psychique du patient
c- La passation d'examens para cliniques
Q12 - L'entretien diagnostique est fondé sur (une seule réponse correcte):
a- Une recherche d'objectivation de la maladie
b- Une approche subjective du patient
c- Une analyse intuitive des troubles
Q13 - La relation entre un psychologue et un patient se caractérise par (une seule réponse correcte):
a- Une symétrie relationnelle
b- Une asymétrie relationnelle
c- Une opposition fondamentale des points de vue
Q14 - A propos des tests d'intelligence :
a- Les tests d’intelligence fournissent une mesure directe de l’intelligence
b- Les tests d’intelligence sont une manière de mesurer le niveau intellectuel des sujets
c- Les tests d’intelligence reposent exclusivement sur des capacités de raisonnement analogique
d- Il existe trois approches possibles dans la manière de mesurer l'intelligence
Q15 - A propos de la « figure complexe de Rey » :
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a- La figure de Rey permet d’évaluer les capacités de mémorisation du sujet à travers la reproduction
graphique qu’il réalise d’une figure complexe dont il a au préalable exécuté une copie
b- La figure de Rey sollicite de la part du sujet le traitement d’une information spatiale
c- La figure de Rey est destinée à une population de personnes âgées dont on souhaite connaître les
difficultés mnésiques
d- La figure de Rey constitue un exemple typique des tests objectifs de personnalité
Q16 - A propos des tests :
a- Les tests sont des instruments d’observation des conduites et possèdent des caractéristiques
spécifiques qui en font des outils d'évaluation utiles aux psychologues, quel que soit le champ
d'application envisagé
b- Les tests sont des épreuves standardisées et donnent toujours des résultats sous forme numérique
c- Les tests peuvent être distingués en deux grandes catégories selon qu'ils évaluent des aspects cognitifs
ou conatifs du fonctionnement psychologique
d- Les tests permettent de classer des individus les uns par rapport aux autres eus égard à une dimension
psychologique
Q17 - A propos des tests de personnalité :
a- Les tests projectifs concernent l’évaluation d’une dimension de la personnalité définie a priori et
susceptible de se modifier avec le temps
b- L’approche empirique dans la construction des tests de personnalité consiste à mesurer une dimension
de la personnalité en s’appuyant sur une typologie issue des modèles psychanalytiques
c- Le D5D est un test récent que l'on peut classer dans les épreuves élaborées à partir d'un modèle en
plusieurs dimensions
d- La dépendance-indépendance à l'égard du champ est une dimension de la personnalité qui peut être
évaluée à l'aide d'un test de performance
Q18 - A propos des tests d'efficience:
a- Zazzo a conçu une épreuve (le test dit des « deux barrages ») destinée à évaluer un processus cognitif
spécifique, dont l’efficience est appréhendée à l’aide de deux critères : vitesse et précision des
réponses
b- Les tests mesurant des processus cognitifs spécifiques élémentaires sont utilisés dans le domaine
scolaire pour évaluer avec objectivité les difficultés rencontrées par certains élèves dans
l’apprentissage des matières fondamentales
c- Les tests d’efficience peuvent être des tests de connaissance (au sens académique du terme)
d- Les tests d'efficience mesurent tous des performances réalisées par des sujets qui fournissent des
réponses verbales
Q19 - A propos des tests de personnalité:
a- L’IPH est une épreuve qui vise à évaluer 6 dimensions de la personnalité, définies selon une typologie
relative aux centre d'intérêt des individus; on trouve notamment un profil dit « social » et un autre
dit « réaliste »
b- Le MMPI est un bon exemple de test de personnalité à visée pragmatique et a-théorique.
c- Le D5D s’appuie sur une approche factorialiste de la personnalité
d- Le GEFT permet d'évaluer une dimension de la personnalité et situe les individus sur une échelle
bipolaire
PARTIE TD
Certaines informations destinées aux voyageurs ne sont pas accessibles aux personnes sourdes et
malentendantes dans les transports car elles sont délivrées dans une modalité auditive par haut-parleurs, c'est
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le cas dans les gares de la SNCF par exemple. Une solution consisterait a diffuser ces messages de façon
visuelle, grâce à des graphiques. La question qui se pose alors consiste à déterminer quel serait le meilleur
format à adopter ? En effet, la population sourde est très hétérogène : elle va des sourds profonds de
naissance aux personnes âgées devenues sourdes. Se pose donc la question du format graphique à privilégier
pour traduire les événements de perturbation du trafic. Les images statiques sont-elles adaptées pour traduire
les messages qui nous intéressent ou faut-il leur donner un caractère plus dynamique en les animant ? Des
images normalisées ont donc été élaborées à partir de graphismes ou pictogrammes issus de la signalétique
routière (panneau danger, train à vapeur, avions...Voir figure 1) pour signifier 10 types de messages différents
(changement de condition de départ, comme un changement de voie par exemple, retard d’un train ou d’un
avion, annulation du moyen de transport prévu...). Pour chacun de ces messages, 2 formes différentes ont été
préparées : une forme statique (tous les éléments composant l'image sont présentés en même temps) et une
forme dynamique (les éléments apparaissent les uns à la suite des autres de façon liée, comme dans un dessin
animé).
Figure 1 : exemple de message utilisé pour signifier un retard de 15 minutes d’un TER à cause des conditions
climatiques (format statique).
Les expérimentateurs ont ensuite sélectionné 2 groupes de sujets différents ; un groupe de sujets sourds de
naissance (âge moyen : 35 ans) et un groupes de personnes devenues sourdes (âge moyen : 67 ans). Les
différentes images ont été présentées sur un écran d'ordinateur à chacun des membres de ces groupes et la
tâche du participant consistait à proposer oralement une signification pour chacun de ces messages, on calcule
ensuite le pourcentage de réponses correctes, c'est-à-dire, le pourcentage de messages dont le sens a été
correctement identifié par les participants. Pour chaque groupe, la moitié des messages est de type statique, et
l'autre moitié, de type dynamique. On obtient les résultats suivants (données modifiées mais tirées d’une
expérience réelle).
Statique Dynamique moyenne
Sourds de naissance 60 90 75
Devenus sourds 40 30 35
moyenne 50 60
Tableau 1 : % de messages correctement identifiés par les 2 groupes de sujets suivant leur mode de
présentation (statique, dynamique).
Q20 - Quelles sont les variables indépendantes de cette expérience :
a- Type de sourds (de naissance, devenus sourds)
b- Format de présentation (statique, dynamique)
c- Type de perturbation signalée (retard, changement des conditions de départ, annulation)
d- Effet du message (identifié, non identifié)
e- Modalité de présentation du message (auditive, visuelle)
Q21 - Quelle est la variable dépendante utilisée pour traiter les résultats de cette expérience :
a- Age des sujets (en année)
b- Le nombre de messages correctement identifié
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c- Le pourcentage de messages correctement identifiés
d- La performance obtenue par les 2 groupes de sujets suivant le mode de présentation (statique,
dynamique)
Q22 – Les chercheurs considèrent que présenter des messages à caractère informatif de façon visuelle serait
mieux adapté pour les personnes sourdes, mais comment formalisent-ils cette hypothèse ?
a- En analysant comment sont interprétés des messages présentés visuellement ou auditivement
b- en comparant la réception de messages chez les personnes sourdes
c- en évaluant la façon dont sont interprétés des messages présentés visuellement mais soit de façon
statique (images fixes) soit de façon dynamique (sous forme de mini dessins animés)
d- En comparant globalement la compréhension des messages
Q23 - Le critère de sélection des sujets pour cette expérience a été :
a- l’âge
b- la profondeur de la surdité (légère, profonde)
c- le moment où est survenue la surdité (naissance, à l’âge adulte)
d- La fréquence d’utilisation des transports
Q24 – Les auteurs se posent la question suivante : « les images statiques sont-elles adaptées pour traduire les
messages qui nous intéressent ou faut-il leur donner un caractère plus dynamique en les animant ». De quel
type d’hypothèse s’agit-il ?
a- D’une hypothèse théorique
b- D’une hypothèse opérationnelle
c- D’une hypothèse de travail
d- D’une hypothèse statistique
Q25 – Pour être vérifiée, cette hypothèse nécessite de traiter quel type d’effet ?
a- L’effet principal de la variable « type de présentation »
b- L’effet simple de la variable « type de présentation »
c- L’effet principal de la variable « type de sujets »
d- L’effet d’interaction entre les 2 variables précédentes
Tableau A Statique Dynamique
moyenne 50 60
Tableau B moyenne
Sourds de naissance 75
Devenus sourds 35
Q26 – Afin de vérifier l’hypothèse des auteurs, quel tableau convient ?
a- Tableau A
b- Tableau B
Q27 – Comment conclure par rapport à cette hypothèse ?
a- L’hypothèse est confirmée car le % de messages correctement rappelés est supérieur pour les images
dynamiques par rapport aux images statiques
b- L’hypothèse n’est pas confirmée car il n’y a pas de différence entre les 2 formats, statique et
dynamique
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c- L’hypothèse est confirmée car les sourds de naissance identifient mieux les messages présentés
visuellement
Q28 – Quel graphique correspond aux données du tableau 1 ?
a- Tableau A (tableau de gauche)
b- Tableau B (tableau de droite)
Q29 – En analysant plus finement les données, on constate que :
a- La compréhension de messages présentés sous format dynamique est plus efficace par rapport à une
présentation statique mais uniquement pour les sourds de naissance
b- Le format de présentation n’a pas d’influence sur la performance des sujets devenus sourds
c- Le format de présentation n’a pas d’effet sur les performances globales
d- Les sujets sourds de naissance ont une moins bonne performance que les sujets devenus sourds
Q30 – Les données semblent montrer, et sous réserve de vérification statistique, qu’il y aurait :
a- une interaction entre les variables « type de sourds » et « format de présentation »
b- un effet d’additivité entre les variables « type de sourds » et « format de présentation »
c- uniquement un effet principal de la variable « type de sourds »
d- uniquement un effet principal de la variable « format de présentation »
Q31 - Une analyse attentive des données montre que la performance du groupe de personnes devenues
sourdes est très mauvaise lorsque l’affichage est dynamique. A votre avis, pour quelle raison ?
a- Le nombre d’éléments d’informations présents sur les images est trop important pour être retenu
correctement
b- Les personnes sourdes sont aussi les plus âgées, l’affichage dynamique est peut-être trop rapide pour
que les informations soient traitées efficacement
c- Le mode de présentation des messages, sur un écran d’ordinateur, est trop éloigné de l’environnement
réel d’une gare.
On constitue 2 groupes de 36 sujets chacun dont la moyenne d’âge est de 22 ans pour le premier et 65 ans
pour le second. On demande aux participants de rappeler les 6 derniers items de 2 listes comprenant 6 items
pour la première et 12 items pour la seconde (les listes sont composées de suites de consonnes). Les auteurs
pensent que les effets de l’âge seront plus marqués dans les situations où la mémoire de travail est surchargée
(par exemple, lorsque les listes présentées sont plus longues). Néanmoins, les sujets âgés ayant gardé une
activité quotidienne (jeux de cartes etc.) devraient présenter un déficit mnésique moins important. Par
Tableau A Tableau B
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conséquent, à l’aide d’un pré-test, il a été décidé de ne sélectionner que des sujets ayant des activités
quotidiennes sans rapport avec la mémoire (pour se mettre dans la situation la plus défavorable).
Les résultats (pourcentage de rappels corrects) sont présentés dans le tableau suivant :
Longueur de la liste
6 12 différence
Adultes jeunes 63 48 15
Adultes âgés 51 25 26
différence 12 23
Q32 - Les variables utilisées sont :
a- Longueur de la liste (6,12), âge (jeune, âgé), et rappel correct
b- Type d’activité quotidienne (mnésiques, non mnésiques), Age (jeunes, âgés), longueur de la liste (6,12)
et pourcentage de rappel correct
c- Longueur de la liste (6,12), âge (jeune, âgé), et pourcentage de rappel correct
Q33 - Le plan d’expérience est le suivant :
a- 2x2 avec 4 groupes de mesure et 2 groupes de sujets
b- 2x2 avec 2 groupes de mesure et 4 groupes de sujets
c- 2x2 avec 4 groupes de mesure et 4 groupes de sujets
d- 2x2 avec 4 groupes de mesure et 1 groupe de sujets
Q34 - Parmi les variables parasites potentielles, indiquez celle(s) qui n’a (n’ont) pas été(s) contrôlée(s) et qui
peut (peuvent) avoir une influence sur les résultats :
a- L’âge
b- Le type d’activité quotidienne
c- L’empan mnésique à court terme
d- La fréquence des mots utilisés dans la liste
Q35 - Quel graphique correspond au tableau de données :
a- Le graphique 1
b- Le graphique 2
c- Les 2 graphiques
d- Aucun des deux
% d
e r
ap
pe
l
Longueur de la liste
graphique 1
Adultes
jeunes
Adultes âgés
Longueur de la liste
graphique 2
Adultes
jeunes
Adultes âgés
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Q36 - Les effets simples de la variable « longueur de la liste » sont
a- 15 et 26
b- 12 et 23
c- 63 et 48
d- 51 et 25
Q37 - L’hypothèse des auteurs est confirmée car :
a- Les adultes jeunes ont une meilleure performance
b- La longueur de la liste a plus d’effets chez les sujets âgés que jeune
c- L’hypothèse n’est pas confirmée car la longueur de la liste a un effet chez les sujets jeunes et âgés
d- L’hypothèse n’est pas confirmée car quelle que soit la liste, les sujets âgés ont toujours de moins
bonnes performances.
On mène une expérience destinée à comparer l’efficacité de deux méthodes pédagogiques pour
l’enseignement d’une partie d’un cursus de mathématiques : méthode 1 (M1) et méthode 2 (M2). On constitue
donc deux groupes de sujets qui apprennent le programme selon une et une seule de ces deux méthodes.
Chaque groupe de sujets comporte un nombre égal de sujets plutôt « forts en math » et de sujets plutôt «
faibles en math ». L’expérience se déroule avec des sujets d’environ 16 ans, d’un même niveau scolaire mais
provenant de collèges différents. A la fin de l’expérience, qui dure un mois, à raison de 3 heures par semaine,
les élèves sont évalués sur un ensemble de 30 problèmes de factorisation et on calcule pour chaque sujet le
nombre de problèmes résolus.
Q38 - Les variables indépendantes sont :
a- Type de méthode et niveau en math
b- Type de méthode et âge des sujets
c- le nombre de problèmes résolus et le type de méthode
Q39 - La (ou les) variable(s) dépendante(s) est (sont) :
a- la durée de l’apprentissage
b- le nombre de problèmes résolus
c- le niveau en math
Q40 - Quelles sont les variables non contrôlées :
a- le sexe des sujets
b- le niveau scolaire
c- le programme étudié en classe pendant la durée de l’expérience
PARTIE PPE
Q41 – La méthodologie utilisée dans le cadre du PPE est basée sur :
a- la méthode expérimentale
b- l’introspection
c- la collecte d’informations verbales
Q42 – Quel est l’intérêt d’utiliser une telle méthode ?
a- parce que c’est une méthode qui permet d’organiser les informations
b- Parce que c’est une démarche qui est valable indépendamment du thème choisi et qui permet de
prendre en compte les changements d’opinions
Q43 – Quel risque prend-on lorsqu’on spécifie trop rapidement le projet ?
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a- On risque de choisir une filière dont la réalité ne correspond pas aux représentations que l’on peut en
avoir
b- On risque d’être submergé par l’information récoltée
c- On risque d’obtenir des renseignements qui ne correspondent pas à son propre projet
Q44 – Quelles sont les étapes à suivre avant de prendre une décision ?
a- Récolter l’information, puis la classer et enfin, l’étudier
b- L’exploration, la cristallisation, la spécification, la réalisation
c- L’entretien, la recherche documentation, la réalisation du projet
Q45 – Quel méthode d’entretien est-il nécessaire d’utiliser ?
a- Entretien clinique
b- Entretien directif
c- Entretien semi-directif
d- Entretien non directif
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UE 4 - L1 Psychologie - Méthodologie disciplinaire et PPE Année 2010/2011 - Session 2
Consignes pour répondre aux questions
d- Vous devez vous identifier correctement sur la feuille de réponses qui, seule, sera rendue à la fin de l’épreuve. Ecrivez vos nom et prénom en majuscules,en prenant soin debien former vos lettres.
e- Pour chaque question, vous devez cocher la (ou les) case(s) qui vous semble(nt) correcte(s). Pour cocher, faites une croix ou noircissez la case choisie, comme cela est indiqué sur la feuille de réponses. N’inscrivez jamais de signes tels que des points dans les cases. N’utilisez surtout pas de Tipp-Ex.
f- Cochez la case A pour la réponse A ou la case B pour la réponse B, etc. Si vous hésitez ou ne connaissez pas la (ou les) réponse(s) à une question,vous avez la possibilité de ne pas répondre. Dans ce cas, ne cochez aucune des cases. Attention, les réponses inexactes participeront à la cotation sous la forme de points négatifs.
PARTIE COURS
Q1 : Une des critiques épistémologique de la méthode expérimentale est :
a- la nature artificielle de l’expérimentation
b- l’absence de déontologie dans certains laboratoires
c- le manque de contrôle des variables intermédiaires
Q2 : La méthode hypothético-déductive est basée sur :
a- un raisonnement par induction
b- un raisonnement par déduction
c- un raisonnement objectif et vérifiable par tout le monde
Q3 : Quand on dit qu’une hypothèse doit être présentée sous forme booléenne, cela signifie :
a- qu’elle doit être falsifiable
b- qu’elle doit être testable
c- qu’elle doit être synthétique
Q4 : Les groupes contrôles sont utilisés afin de :
a- contrôler l’efficacité de la consigne donnée aux sujets
b- estimer le niveau de base des sujets
c- estimer l’homogénéité des groupes de mesure
Q5 : Une variable individuelle est une variable :
a- invoquée
b- qui concerne toujours l’âge des sujets
c- dont on ne peut pas choisir les modalités
Q6 : Deux groupes de mesures sont considérés comme indépendants lorsque :
a- on n’observe pas d’effet de transfert entre ces groupes
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b- des sujets différents y sont affectés
c- ils correspondent à des degrés différents d’une VI
Q7 : La validité opérationnelle concerne:
a- la validité des VI
b- la validité des VD
c- la validité externe
Q8 : Quand on parle de groupes à mesures répétées, cela signifie :
a- que l’on reproduit plusieurs fois une même épreuve pour être sûr des résultats
b- que plusieurs variables dépendantes sont utilisées conjointement
c- que les mêmes sujets passent dans toutes les situations expérimentales
Q9 : Pour entièrement contrôler l’erreur progressive, il est préférable d’utiliser :
a- un contrebalancement complet
b- un contrebalancement partiel
c- un contrebalancement partiel aléatoire
Q10 : L’estimation du degré de généralisation d’un résultat expérimental s’appelle :
a- validité interne
b- validité externe
c- validité opérationnelle
Q11 : L'empathie est définie comme (une seule réponse correcte):
a- La capacité à percevoir le cadre de référence de l'autre
b- L'indifférence à l'égard de l'autre
c- La froideur affective
Q12 : L'attention flottante est définie comme (une seule réponse correcte):
a- L'indifférence à l'égard du patient
b- Le travail d'interprétation
c- Un type d'écoute ne privilégiant aucun élément à priori
Q13 : La demande implicite du patient (une seule réponse correcte) :
a- Est de nature largement inconsciente
b- Est généralement explicite
c- Caractérise la posture du clinicien
Q14 : Dans la perspective psychanalytique la notion de transfert définit (une seule réponse correcte):
a- L'ensemble des réactions inconscientes de l'analyste
b- L'ensemble des réactions inconscientes du patient
c- Les caractéristiques du cadre de l'entretien
Q15 : A propos des tests d'intelligence:
a- Les tests d’intelligence fournissent tous une mesure de l’intelligence sous forme de QI.
b- Les tests d’intelligence sont une manière relativement objective de mesurer le niveau intellectuel des
sujets.
c- Les tests d’intelligence reposent exclusivement sur des capacités de raisonnement inductif.
d- Il existe plusieurs approches possibles dans la manière de mesurer l'intelligence, mais aucune ne relève
d’une analyse factorielle.
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Q16 : A propos du « test des deux barrages »:
a- Il est dû à René Zazzo.
b- Il est l’œuvre d’André Rey.
c- Il s’adresse aussi bien aux enfants qu’aux adultes.
d- Il constitue un exemple typique des tests objectifs de personnalité.
Q17 : A propos des tests en général:
a- Les tests sont des instruments d’observation systématique des conduites.
b- Les tests sont des épreuves standardisées et doivent répondre aux mêmes qualités métrologiques,
quelle que soit la dimension psychologique envisagée.
c- Les tests peuvent être distingués en trois grandes catégories selon qu'ils évaluent des aspects cognitifs,
conatifs ou cliniques du fonctionnement psychologique.
d- Les tests sont des instruments de mesure de la variabilité interindividuelle.
Q18 : A propos des tests de personnalité :
a- Les tests projectifs reposent sur une conception psychodynamique de la personnalité.
b- L’approche empirique dans la construction des tests de personnalité consiste à mesurer une dimension
de la personnalité en s’appuyant sur un modèle théorique bien défini.
c- Le D5D s’appuie sur la théorie dite des « big five ».
d- La dépendance-indépendance à l'égard du champ est une dimension de la personnalité qui peut être
évaluée à l'aide du GEFT.
Q19 : A propos des tests d'efficience:
a- Les tests de connaissance portent sur des compétences scolaires.
b- Les tests mesurant des processus cognitifs spécifiques élémentaires sont utilisés notamment pour
évaluer avec objectivité les difficultés rencontrées par certains élèves dont l’intelligence, par ailleurs,
est considérée comme « normale ».
c- Les tests d’efficience peuvent être parfois non verbaux.
d- Les tests d'efficience mesurent tous des performances réalisées par des sujets qui fournissent des
réponses à des questions orales.
Q20 : A propos des tests de personnalité:
a- L’IPH est une épreuve qui vise à évaluer 6 dimensions de la personnalité, définies selon une typologie
relative aux centre d'intérêt des individus; on trouve notamment un profil dit « intellectuel » et
un autre dit « altruiste ».
b- Le MMPI est un bon exemple de test de personnalité à visée pragmatique et a-théorique.
c- Le test de Rorschach est le plus ancien des tests projectifs.
d- Le GEFT permet d'évaluer une dimension de la personnalité et situe les individus sur une échelle
bipolaire qui va de l’introversion à l’extraversion.
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PARTIE TD
Dans une expérience, on enregistre le rythme cardiaque (ECG, exprimé en battements par minute) de sujets
après leur avoir demandé de réaliser différentes tâches. Dans la première, les sujets sont assis et au repos.
Dans la deuxième situation, on demande aux sujets de lire un article de journal décrivant un fait divers
particulièrement violent. Enfin, dans la troisième, les sujets sont debout et doivent courir sur place Dans
chaque situation, l’ECG est mesuré pendant 15 secondes mais la valeur ainsi obtenue est multipliée par 4. Les
résultats sont présentés dans le tableau 1
ECG
(bat/min)
repos physique assis 75
lecture 90
activité physique courir 110
Tableau 1 : ECG (en bat/min) enregistré dans les différentes conditions expérimentales
Q21 : la variable dépendante est :
a- Le nombre de battements par minute
b- Le nombre de battements pendant 15 secondes
c- l’ECG
Q22 : Le facteur manipulé dans cette expérience est :
a- l’état physique (repos, activité)
b- le type de tâche (aucune, lecture, courir)
c- le rythme cardiaque
Un expérimentateur pense qu’un niveau élevé d’anxiété peut perturber la mémorisation. A l’aide d’un test
d’anxiété, il sélectionne deux groupes de sujets : un groupe de sujets anxieux et un groupe de sujets non
anxieux. L’expérimentateur demande aux sujets de mémoriser une liste de mots qui peuvent se regrouper en
catégories (« pomme », « orange » dans la catégorie « fruits » par exemple). Les catégories sont présentées au
moment de l’apprentissage, mais les sujets n’ont pas pour tâche de les mémoriser. Au moment du rappel,
immédiatement après l’apprentissage, deux conditions sont créées : dans la première, la liste des catégories
est présentée au sujet ; dans la seconde, la liste n’est pas présentée.
Q23 : les facteurs manipulés sont :
a- le niveau d’anxiété (fort, faible) et le type de fruits (pomme, orange)
b- le niveau d’anxiété (fort, faible) et le type de rappel (libre, avec indice)
c- le niveau d’anxiété (fort, faible) et la mémorisation des listes
Q24 : le plan d’expérience est un plan :
a- 2x2 = 4 GM et 1 groupe de sujets
b- 2x2 = 4 GM et 2 groupes de sujets
c- 2x2 = 4 GM et 4 groupes de sujets
Un échantillon de sujets âgés est divisé en deux groupes égaux. On propose une tâche de rappel libre au
premier groupe (groupe 1) et une tâche de rappel indicé au deuxième (groupe 2). Ces deux tâches sont aussi
présentées à un échantillon de sujets jeunes (groupe 3 pour le rappel libre et groupe 4 pour le rappel indicé).
Les résultats sont présentés dans le tableau suivant :
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groupe 1 Groupe 2 groupe 3 groupe 4
12 34 30 35
Tableau 2 : Pourcentage de mots rappelés pour les 4 groupes de sujets.
Q25 : Les facteurs manipulés sont :
a- type de tâche (indicé, libre) car tous les sujets participent à ces deux tâches
b- type de tâche (indicé, libre) et groupe de sujets (jeunes, âgés)
c- groupes (1, 2, 3, 4)
Des chercheurs se posent les 2 questions suivantes : « le vieillissement peut-il occasionner une diminution des
capacités mnésiques » et « on doit trouver des différences en fonction du mode de vie des individus et plus
particulièrement chez la personne âgée». En effet, ils ont observé que, chez les personnes âgées, cette
diminution des capacités mnésiques affectait principalement les personnes ayant très peu d’activités
journalières. Si une certaine activité était maintenue, surtout si celle-ci est en rapport avec la mémoire, alors
les performances de ces personnes semblent moins dégradées. Pour vérifier ces hypothèses, les auteurs
décident donc de manipuler 2 facteurs : le vieillissement et l’activité quotidienne des sujets.
Q26 : le facteur vieillissement peut être opérationnalisé de la façon suivante :
a- âge (20 ans, 75 ans)
b- groupe de sujets (jeunes, âgés)
c- catégorie professionnelle (en activité, retraité)
Q27 : les modes de vie des individus dont parlent les auteurs peuvent être du type :
a- sportives : golf, vélo
b- jeux de société : scrabble, jeux de cartes
c- participation à des associations : aide scolaire aux jeunes en difficultés
Q28 : Les chercheurs posent les 2 hypothèses suivantes : « le vieillissement occasionne une diminution des
capacités mnésiques » et « les différences constatées en fonction du mode de vie des individus doivent être
plus importantes chez les personnes âgées ». Quel graphique correspond à cette hypothèse :
a- graphique 1
b- graphique 2
c- graphique 3
Graphique 1 : Graphique 2 :
Graphique 3 :
0
20
40
60
80
100
actifs non actifs
% d
e ra
pp
el
mode de vie
jeunes
agés
0
20
40
60
80
100
actifs non actifs
% d
e ra
pp
el
mode de vie
jeunes
agés
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Q29 : Cette expérience sera difficile à réaliser pour une des raisons suivantes :
a- il est difficile de trouver des personnes âgées ayant des activités
b- il est difficile de trouver des personnes jeunes n’ayant pas d’activités
c- les types d’activités possibles sont trop variés
Dans une expérience sur le comportement alimentaire, on demande à deux groupes de sujets (jeunes hommes,
jeunes femmes) de consommer des biscuits en présence d’un partenaire (complice de l’expérimentateur) qui
peut soit être du même sexe que le sujet, soit de sexe différent. Les auteurs pensent que la population
féminine consommera moins de biscuits si leur partenaire est masculin plutôt que féminin. Les résultats sont
présentés dans le tableau suivant :
Sexe du sujet
homme femme
sexe du homme 12 7
partenaire femme 11 12
Tableau 3 : Nombre de biscuits consommés par des sujets masculin et féminin en fonction du sexe du
partenaire.
Q30 : la (ou les) variable(s) indépendante(s) sont : (une seule réponse possible)
a- sexe du sujet et du partenaire (identique, différent)
b- sexe du sujet (homme, femme) et sexe du partenaire (homme, femme)
Q31 : A quel moment est-il préférable de réaliser cette expérience :
a- le matin, quand les sujets sont à jeun
b- juste avant le repas du midi
c- en milieu d’après midi
Q32 : Numériquement, l’effet permettant de tester l’hypothèse, en valeur absolue, est égal à :
a- 5
b- 1
Q33 : Comment ce type d’effet est-il appelé :
a- effet principal
b- effet simple
c- il n’y a pas de nom particulier, c’est juste une valeur
0
20
40
60
80
100
actifs non actifs
% d
e ra
pp
el
mode de vie
jeunes
agés
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Dans une recherche en thérapie cognitivo-comportementale de l’obésité, on veut tester l’efficacité de plusieurs
techniques : l’auto-observation (AO) et la relaxation (R). Pour chaque technique, il y aura un groupe
expérimental (la thérapie est appliquée) et un groupe contrôle (pas de thérapie). On veut également évaluer
l’interaction entre ces différentes thérapies. On mesure la perte de poids en kilogrammes chez des sujets dont
l’âge et le sexe sont maintenus constants dans les différents groupes. Les auteurs supposent que chaque
thérapie a un effet positif et que les 2 thérapies auront des effets qui se potentialisent.
Avec AO sans AO
avec R 14 5 sans R 6 1
Tableau 4 : perte de poids (en kilogrammes) en fonction des différentes thérapies.
Q34 : Les facteurs manipulés par l’expérimentateur sont :
a- auto-observation (avec, sans) et relaxation (avec, sans)
b- thérapies (auto-observation, relaxation) et perte de poids (en kilogrammes)
c- thérapies (auto-observation, relaxation) et groupe (contrôle, expérimental)
Q35 : Quel problème pose le choix de la variable dépendante :
a- on ne tient pas compte de l’âge des sujets
b- on ne compare pas la perte de poids avec le poids initial
c- on ne tient pas compte du sexe des sujets
Q36 : L’hypothèse des auteurs est :
a- validée car toutes les thérapies sont efficaces
b- validée car il y a une interaction entre les thérapies
c- non validée car certains sujets ne perdent pas assez de poids
Selon certains chercheurs, il existe une croyance selon laquelle les policiers constitueraient un groupe socio-
professionnel à part, dans le sens où ils seraient perçus comme plus autoritaires que les autres personnes. Les
auteurs ont donc constitué 2 groupes de sujets (un groupe d’étudiants et un groupe de policiers). L’âge moyen
des sujets est de 24 ans pour les étudiants et de 35 ans pour les policiers.
Puis, tous les sujets ont, à deux reprises, complété une échelle standard d’autoritarisme : une fois pour estimer
leur niveau personnel d’autoritarisme et l’autre fois en imaginant comment répondrait un membre typique de
l’autre groupe. Les résultats sont présentés dans le tableau suivant :
étudiants policiers
Niveau personnel 87 95 Niveau d’autrui 119 88
Tableau 5 : Score d’autoritarisme chez des étudiants et des policiers (plus le score est élevé, plus la personne
est autoritaire).
Q37 : Les variables manipulées par l’expérimentateur sont :
a- 2 VI : groupes (étudiants, policier) et estimation (personnelle, par autrui)
b- 1 VI groupes (étudiants, policier)
Q38 : La variable dépendante de cette expérience est :
a- Le score obtenu à l’échelle d’autoritarisme
b- L’âge moyen des sujets
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Q39: Le plan d’expérience est de type :
a- 2x2 = 4 GM et 1 groupe de sujets
b- 2x2 = 4 GM et 2 groupes de sujets
c- 2x2 = 4 GM et 4 groupes de sujets
Q40 : Comment résumer de façon concise et précise cette expérience :
a- les étudiants sont moins autoritaires que les policiers
b- les policiers sont considérés comme plus autoritaires par les étudiants
c- les policiers ont une image des étudiants proche de la réalité alors que les étudiants considèrent les
policiers comme plus sévères
Partie PPE
Q41 – La méthodologie utilisée dans le cadre du PPE est basée sur :
d- l’entretien clinique
e- la méthodologie documentaire
f- la méthode expérimentale
Q42 – Quel est l’intérêt d’utiliser une telle méthode ?
c- C’est une démarche utilisable quelque soit le thème choisi et qui permet donc de prendre en compte
les changements d’opinions
d- C’est une méthode qui permet de rencontrer des professionnels
Q43 – Quel risque prend-on lorsqu’on spécifie trop rapidement le projet ?
a- On risque de choisir une filière qui, en réalité, est très différente de ce qu’on espérait
b- On risque d’être submergé par des données contradictoires
c- On risque d’obtenir des renseignements qui ne sont plus d’actualité
Q44 – Quelles sont les étapes à suivre avant de prendre une décision ?
d- L’interview de professionnels puis la constitution d’un dossier
e- L’exploration, la cristallisation, la spécification, la réalisation
f- L’entretien puis la recherche documentaire
Q45 – Quel méthode d’entretien est-il nécessaire d’utiliser ?
e- Entretien clinique
f- Entretien dynamique
g- Entretien semi-directif
h- Entretien non directif