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MARS 2011 - N°25 SOMMAIRE Le site internet de votre Conseil départemental www.ordre-medecin-doubs.fr ORDRE DES MEDECINS – CONSEIL DEPARTEMENTAL DU DOUBS "Espace Jean-Claude SARREY" 12 A, rue du Professeur Paul Milleret – 25000 BESANCON Tel. : 03.81.81.13.88. – Fax. : 03.81.81.60.71. e-mail. : [email protected] BULLETIN D’INFORMATIONS Nous vous l’avions promis, il est en ligne. Le site internet du Conseil Départemental de l'Ordre des Médecins du Doubs, en gestation depuis plusieurs mois, est désormais fonctionnel à l’adresse suivante : http://www.ordre-medecin-doubs.fr Comme nous nous y étions engagés, l'édition papier perdurera tant qu'un nombre suffisant de confrères désirera conserver cette forme de publication. Nous accueillerons dans un esprit constructif toutes les remarques et suggestions que vous souhaitez faire et nous tiendrons compte, dans la mesure du possible, des critiques qui ne manqueront sans doute pas d’apparaître lors des premières connexions. Le Président Docteur Fabrice FLAMAND

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MARS 2011 - N°25

SOMMAIRE

Le site internet de votre Conseil départemental

www.ordre-medecin-doubs.fr

ORDRE DES MEDECINS – CONSEIL DEPARTEMENTAL DU DOUBS "Espace Jean-Claude SARREY"

12 A, rue du Professeur Paul Milleret – 25000 BESANCON Tel. : 03.81.81.13.88. – Fax. : 03.81.81.60.71.

e-mail. : [email protected]

BULLETIN

D’INFORMATIONS D Nous vous l’avions promis, il est en ligne. Le site internet du Conseil Départemental de

l'Ordre des Médecins du Doubs, en gestation depuis plusieurs mois, est désormais fonctionnel à l’adresse suivante : http://www.ordre-medecin-doubs.fr Comme nous nous y étions engagés, l'édition papier perdurera tant qu'un nombre suffisant de confrères désirera conserver cette forme de publication. Nous accueillerons dans un esprit constructif toutes les remarques et suggestions que vous souhaitez faire et nous tiendrons compte, dans la mesure du possible, des critiques qui ne manqueront sans doute pas d’apparaître lors des premières connexions.

Le Président Docteur Fabrice FLAMAND

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COMPOSITION DU CONSEIL DEPARTEMENTAL DE L’ORDRE DES MEDECINS DU DOUBS Président : Dr Fabrice FLAMAND

Vice-Présidents : Dr Jean-François BOUVERESSE Dr Anne CUCHE Dr Virginio ELLENA

Secrétaire Général : Dr Gérard DESCHAMPS

Secrétaire Général Adjoint : Dr Christian CURLIER

Trésorier : Dr Pierre DE VESVROTTE

Trésorier Adjoint : Dr Bechara SAADE MEMBRES TITULAIRES : Dr Stéphane ATTAL Dr Pascal BERTHOUT Dr Philippe CHAPUIS Dr Jacques DE VREGILLE Dr Bahir-Edouard ELIAS Dr Michel FREDY Dr Jean-Pierre GAUME Dr Michèle GIRARD Dr Sylvie JOLY-VAGNEUX Dr Jean-Marc LABOUREY Dr Philippe POINSARD Dr Gilles ROBERT Dr Christophe RUEDIN MEMBRES SUPPLEANTS : Dr Claude BESANCON Dr Mounir BEYROUTHY Dr Michel CORNET Dr Gilles DREYFUS-SCHMIDT Dr Michel GENEVOIS Dr Avni GUL Dr Paul HEITZ Dr Jean-Pierre JOBARD Dr Norbert KHAYAT Dr Gilles MADELON Dr Jean-Claude MAIRESSE Dr Jacques MARTIN Dr Chaouki MEZHER Dr Maria MORGADO DA EIRA Dr Jacques NAVET Dr Fatima RACHIDI-BERJAMY Dr Bernard STORTZ

EDITO

Autres temps, autres moeurs ? Il y a quelques années un jeune médecin en quête d’installation en médecine générale fit appel à l’Ordre des Médecins du Doubs pour savoir s’il y avait une possibilité d’installation dans ce département. On lui répondit poliment que l’offre était déjà très suffisante et qu’il devait raisonnablement prospecter ailleurs pour garder toute chance de succès à son projet. Nous étions alors en plein dans les effets d’un numérus clausus un peu relâché et la compétition pour l’installation était âpre. Nous étions pressés de nous installer, de voir des patients et si possible de les garder grâce à notre compétence, notre disponibilité, notre dévouement et puis d’entrer au plus vite dans le tableau de gardes, enfin de faire totalement notre métier. Quelques années plus tard, sous l’effet d’un raisonnement, dont je vous laisse juger de la pertinence, on décida que le numérus clausus devait être réduit dans des proportions drastiques selon la théorie qui prévalait :

“moins d’offres de soins, moins de dépenses des soins “. Dans le cerveau complexe d’un haut décideur, il fut même inventé le MICA (notre administration adore les acronymes et je traduis pour les plus jeunes « mesure incitative à la cessation d’activité ») qui, ne riez pas, permettait selon le même principe de diminution de l’offre, de faire des économies en envoyant à la retraite des médecins âgés… de 60 ans, voire 58. Aujourd’hui nous admirons le résultat de cette politique perspicace. Nous sommes devant une situation de pénurie médicale à venir dont on commence tout juste à prendre la mesure. L’Ordre des Médecins, par la connaissance précise qu’il a du terrain, devrait être un acteur incontournable de toutes les politiques de santé pour peu qu’elles existent. Les solutions proposées ne doivent pas reposer sur des schémas de pensées univoques avec la contrainte budgétaire comme seule et unique ligne d’horizon. Evitons les erreurs du passé, les analyses réductrices, les solutions clés en main imposées sans l’avis des acteurs de terrain. Un jeune médecin qui appellerait l’Ordre aujourd’hui, en quête d’une installation et quel qu’en soit la spécialité, aurait tout intérêt à ne pas décliner son identité et à masquer son numéro d’appel car l’oiseau rare serait alors l’objet de sollicitations si nombreuses qu’il en perdrait bien vite son latin,

« O tempora, O mores » ne lui dirait alors plus rien. Le Président

Docteur Fabrice FLAMAND

SOMMAIRE : Communiquons que diable. . . 2 Soignons nos correspondances 3 Il n’y a pas d’âge pour se faire avoir – Arnaques annuaire 4 Contrôle patronal des arrêts de travail 5 Musique d’attente téléphonique 5 Pré-réservation d’une boîte de messagerie 5 Médecins hospitaliers – activité privée 6 Usage du titre de psychothérapeute 7 Prescriptions d’actes d’ostéopathie 8 Trisomie 21 8 Prescription et délivrance de Méthadone 9 Dépistage de l’infection du VIH 10 Campagne diabète enfant et adolescent 11 Forum : Installation et remplacement en médecine générale 12 Maladies à déclaration obligatoire 12 Annonces – Offres d’emplois 13 Tableau 14 Liste des remplaçants 18

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LIBRES PROPOS

Communiquons que diable . . . . Les temps sont à la communication avec un grand C, omniprésente dans les discours, vantée, galvaudée, manipulée, portée à nues, sanctifiée, exécrée. Tout le monde parle de la communication, il en existe même des autoroutes, pourtant jamais les humains n’ont si peu communiqué ! On commande une pizza par téléphone, on fait l’amour par internet, du sport à la Télé, on prend un billet de train ou de cinéma à un distributeur, on demande un thé, un café, une boisson ou un préservatif à une machine, on joue avec son ordinateur, on quémande des sous à un DAB, et enfin on cherche son chemin avec un GPS. Chaque entreprise, de la plus petite à la plus imposante, a son répondeur vocal avec des voix charmantes certes, mais de synthèse. Lorsque par hasard on se parle, c’est par sigles ou onomatopées. Et nous autres, médecins, mes frères, nous ne sommes pas en reste, tant s’en faut : on fait son AVC, suite à une HTA mal jugulée par les BB et cela se termine par un OAP. On maîtrise une PCE par des AINS. On a une CMU quand on touche un RMI et on vous fait une IRM, des TGI, éventuellement un TR si votre PSA est élevé, une NF, un SMAC, un PAF, une UIV. Il y a là de quoi affoler des patients ordinaires qui ne veulent cependant pas passer pour des sots. Sans compter que les HPV, 1 à 2 d’ailleurs, les PV 16 et 32, les HIV, TIT, BW ne sont que des MST, pardon des ITS comme on les qualifie maintenant. Comment ne pas craindre et quelques fois provoquer sciemment l’incompréhension dans ce langage aux antipodes de la communication ? C’est lorsque survient un incident dans le contrat malade - médecin que les choses se compliquent. C’est quand intervient l’erreur médicale, "la bavure" comme disent nos médias, ultra communicants, eux, que les affaires se gâtent. L’opinion publique en général et le malade en particulier, de nos jours, réclament un coupable à la moindre incartade. Le temps des médecins en chapeau pointu, clystère sous le bras et se drapant dans leur dignité offensée dès que quelqu’un émet un doute sur leurs connaissances, est définitivement révolu !

Les patients sont exigeants, informés, internetisés à outrance et savent leurs "droits" ; ils veulent tout savoir, mais cependant dans la plupart des cas ils sont assez compréhensifs au départ, et il suffit de quelques explications simples, voire des excuses, en bridant quelque peu son orgueil, surtout si l’on a pas les deux pieds blancs, pour que tout s’aplanisse sans problème.

Le commun des mortels dans la plupart des cas comprend parfaitement une erreur dès lors qu’elle est involontaire, imprévisible et humblement avouée. De très nombreuses plaintes pourraient être ainsi évitées si le médecin, certes un peu harcelé parfois, ne se réfugiait pas derrière un écran de fumée de technicité et de termes volontairement les plus barbares possibles destinés à annihiler les velléités du requérant qui au contraire n’en deviendra que plus revendicatif. Car les patients ou leur famille veulent "la vérité", leur vérité, non par pour toucher de l’argent comme ils disent, mais savoir ce qui s’est réellement passé. Il ne servira jamais à rien de se réfugier dignement derrière ses compétences et ses diplômes, de refuser le dialogue, de s’offusquer ou s’indigner fièrement, en un mot de ne pas communiquer. Bon nombre d’affaires qui se terminent devant les tribunaux auraient sûrement eu une issue favorable si le médecin incriminé avait simplement consenti à recevoir le ou les plaignants, à leur fournir clairement les éléments de leur requête, en faisant quelques fois fi de son bel amour propre, pour avouer humblement que quelque part il s’est "planté". Je pense que le patient dans la plupart des cas est satisfait d’avoir "soutiré" en quelque sorte des "aveux", et ressent même une certaine sympathie pour son interlocuteur qu’il haïssait auparavant, car : "s’il avait voulu, il aurait pu porter plainte. . . .". Mais il ne l’a pas fait ! Alors, communiquons que diable, nous nous épargnerons ainsi bien des soucis et esquiverons bon nombre de conflits. C’est là un des devoirs déontologiques du médecin de faire face aux problèmes et d’assumer pleinement sa responsabilité en reconnaissant ses éventuels manquements ou erreurs.

Docteur Virginio ELLENA

VICE-PRESIDENT

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INFORMATIONS DEPARTEMENTALES

Soignons nos correspondances La rédaction de nos lettres de correspondance entre confrères pour la prise en charge de nos patients est un acte pluriquotidien qui nécessite une certaine rigueur de la part du rédacteur. En tant que maître de stage, j’ai quelquefois remarqué avec étonnement le côté "laconique" du contenu des courriers que la plupart des stagiaires rédigent à l’intention de confrères spécialistes. On retrouve parfois cette particularité dans les demandes d’examens complémentaires pour des patients sortant de l’hôpital. Ce qui en pratique ressemble à ça : - Identité du malade -Rx pulmonaire - Signature illisible On peut alors concevoir l’air interrogatif et quelquefois dubitatif, voire "en colère" du confrère radiologue qui prend connaissance d’une telle prescription. Quid des antécédents, du motif de cette demande d’examen, etc . . . ? Quid des plus simple formule de civilité : « Cher Confrère…, Je vous confie…, avec tous mes remerciements…, Bien cordialement, Bien confraternellement ». Certains points primordiaux doivent être mentionnés : - L’identité du patient (nom, prénom, date de naissance) ; - L’indication du motif de la consultation, des antécédents complets, des symptômes présentés et de leur évolution dans le temps, des résultats des examens biologiques et para-cliniques pratiqués, du traitement habituel et celui ou ceux déjà ordonnés pour l’affection causale.

- Ne pas oublier bien entendu une petite formule de politesse et de remerciement finale. La généralisation de l’outil informatique doit permettre maintenant la rédaction d’un texte complet et bien documenté en quelques clicks !

A travers la qualité de la formulation du fond et de la forme de nos correspondances, nous exprimons le respect confraternel que nous devons naturellement à notre correspondant . Celui-ci sera psychologiquement plus emprunt à répondre à nos interrogations et peut-être plus enclin à développer ses investigations et ses commentaires. En qualité de médecin généraliste, les comptes-rendus de confrères spécialistes hospitaliers ou libéraux m’ont permis d’acquérir des connaissances complémentaires contribuant à ma formation médicale continue. Parfaire la prise en charge et assurer la continuité des soins du patient passent aussi par l’attention que nous portons à nos correspondances. Nos patients sont les témoins du respect mutuel que nous nous devons d’avoir les uns envers les autres. Ce respect est perçu par nos patients, et c’est un sentiment de respect pour lui-même qu’il ressent. Chers Confrères, soignons aussi notre travail épistolaire. Enseignants de Faculté ou Maîtres de stage, n’oublions pas de transmettre aussi ces règles de bonne pratique.

Docteur Gérard DESCHAMPS SECRETAIRE GENERAL

Certificats : Ne jamais écrire ou délivrer

NE JAMAIS ECRIRE DANS UN CERTIFICAT

NE JAMAIS DELIVRER UN CERTIFICAT

- Autre chose qu’un fait médical, constaté par vous, sur une seule personne

- Sans connaître son objet et sa destination, et sans garder un duplicata.

- Ce que l’on vous dicte, même entre guillemets et au conditionnel.

- Dans la précipitation, "entre 2 portes", et pour rendre service.

- De formulation grotesque ("Bonne santé mentale"), ou d’indigne ("certificat de virginité")

- Sous l’influence d’un tiers, même si c’est le conjoint et surtout si c’est un avocat.

- Une indication qui incrimine ou qualifie un tiers, voisin, conjoint, agresseur possible, employeur, « harceleur ».

- Sans vérifier si vous êtes ou non dans le cadre des dérogations légales.

- Rien qui vous fasse jouer le rôle d’un magistrat… ou d’un justicier.

- Si la demande vous paraît abusive, illicite, ou mentionne un tiers.

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INFORMATIONS DEPARTEMENTALES

Il n’y a pas d’âge pour se faire avoir Histoire vraie

J’ai reçu le jeudi 9 décembre 2010 vers 15h40 à mon cabinet, un commercial d’une Société de télécommunication qui souhaitait dresser un état des lieux de mes consommations et visualiser mes installations téléphoniques en vue de me faire une proposition, son argument étant de proposer mieux que l’actuel leader du marché à un moindre coût. Je pensais qu’il en aurait pour une dizaine de minutes et lui ai alors montré rapidement mon équipement et fait part de mes souhaits. Je l’ai orienté vers mon second bureau de consultation en le priant de faire vite compte tenu de mon emploi du temps, pensant qu’il m’enverrait, après étude, un devis et une proposition écrite. Entre deux consultations, je suis allé voir où il en était. Le commercial accompagné d’une collaboratrice prenaient tout leur temps. Il m’a noté sur papier libre non daté sans en-tête une proposition sur laquelle se trouve ma consommation actuelle en se basant sur les dernières factures et le coût au cas où je travaillerais avec eux. Cette proposition écrite était accompagnée d’un standard téléphonique très technique sans garantie quant à la compatibilité avec mon installation actuelle et leur matériel (un commercial n’est pas un technicien !). Au bout d’une heure et demie d’occupation de mon bureau, sans qu’il se préoccupe du désagrément qu’il m’a

causé (retard dans mes consultations), il avait préparé un contrat pour me le faire signer. Il s’est permis de se servir de mon tampon professionnel et de l’apposer sur le bas des pages des différents documents sans mon autorisation. Il a pris contact avec son agence en vue de me

faxer un bon de demande de cadeau de bienvenue : IPAD, si je signe avant la fin de l’année (sur le bon, l’offre est valable du 27 octobre au 15 novembre). Surpris par la rapidité et l’efficacité avec laquelle il a tout préparé, j’ai refusé de signer sous la pression commerciale exercée à la va-vite et lui ai demandé de me laisser les documents pour prendre le temps de les lire, et de réfléchir. Je l’ai alors remercié en lui demandant de libérer mon bureau. Ces personnes ont quitté mon cabinet en me laissant seulement le schéma de l’installation, la proposition tarifaire, qui ne correspond pas à ma consommation réelle, et la carte de visite, mais pas le contrat. Moralité de l’histoire : Ne croyez pas au miracle !

Docteur Bechara SAADE MEMBRE DU CONSEIL

Arnaques annuaire : encore et toujours

Des sociétés adressent aux médecins, quel que soit leur mode d’exercice, des formulaires proposant de mettre en ligne ou de vérifier l’exactitude de leurs coordonnées professionnelles en vue d’une inscription dans des annuaires tels que European City Guide, DAD, Annuaire Pro, Guide des Médecins et Thérapeutes, AnnuairePro Doubs…. Et le dernier en date sur le département "Annuaire des Médecins" à 1017 ! HT par an (siège social basé à Lisbonne). Ces sociétés, souvent basées à l’étranger, facturent leurs services pour un montant prohibitif. Le contrat proposé manquant intentionnellement de clarté, certains médecins se voient ensuite engagés dans un quasi contrat.

Soyez donc extrêmement vigilants dans la lecture et l’examen de ces propositions d’insertions dans les annuaires professionnels.

En cas de souscription malencontreuse : - Si l’entreprise a son siège en France : Saisir la Direction Départementale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes d’une plainte, et contester le contrat par courrier recommandé auprès de la société ; - Si l’entreprise a son siège hors de France : Saisir le Procureur de la République de votre lieu d’exercice contre la société en cause et contester le contrat par courrier recommandé auprès de la société.

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COMMUNIQUE DU CNOM

Alerte du CNOM sur les risques de la suppression des indemnités journalières après seul contrôle patronal des arrêts de travail

Le Conseil national de l’Ordre des médecins rappelle ses réserves suite à la parution du décret d’application de la loi de financement de la

sécurité sociale le 26 août 2010.

Désormais le service médical de l’assurance maladie peut demander la suspension du versement des indemnités journalières de l’assurance maladie sur la seule base d’un contrôle effectué par un médecin mandaté par l’employeur. L’examen de l’assuré par le médecin-conseil ne serait plus obligatoire, il se bornerait alors à valider l’avis du médecin contrôleur patronal…

Le salarié examiné par le seul médecin contrôleur mandaté par l’employeur, mais qui ne dispose d’aucun dossier médical, perdrait les indemnités journalières complémentaires mais aussi les indemnités journalières de l’assurance maladie sans que le médecin-conseil l’ait nécessairement examiné lui-même.

Les praticiens conseils sauront veiller au respect de l’article 69 du code de déontologie médicale applicable à toutes les

formes d’exercice : L'exercice de la médecine est personnel ; chaque médecin est responsable de ses décisions et de ses actes.

Le CNOM, lors des concertations liminaires, n’a obtenu qu’une seule concession : la nécessité d’un nouvel examen de la situation de l’assuré lorsque le médecin contrôleur patronal a été dans l’impossibilité de procéder à l’examen de l’assuré (absence du domicile par exemple). Dans les autres cas, l’assuré devra saisir dans les 10 jours le service médical qui disposera de 4 jours pour rendre sa décision (décret 2010-957 du 24 aout 2010).

En cas de nouvelle prescription d’arrêt de travail à la suite d’une décision de suspension des indemnités journalières, celle-ci ne prend effet qu’après l’avis du service médical. Le CNOM désapprouve cette disposition singulière, susceptible de porter atteinte à la santé du salarié malade qui devra poursuivre son activité dans l’attente de l’avis du médecin-conseil.

Le CNOM tient à souligner que cette disposition prévue jette une suspicion inacceptable sur la justification médicale de l’arrêt de travail qui est présumé avoir été prescrit par simple complaisance.

INFORMATIONS PRATIQUES

Utilisation de musique d’attente téléphonique L’envoi par la SCPA (Société Civile des Producteurs Associés) d’un bordereau de déclaration annuelle d’utilisation de musique d’attente téléphonique provoque des interrogations et réactions parfois vives de la part des médecins qui en ont été destinataires. Il convient de rappeler que la SCPA assure la gestion collective des droits des producteurs de disques et qu’elle perçoit à ce tire les droits concernant les musiques d’attente téléphonique.

Tout utilisateur est tenu d’en faire la déclaration et d’acquitter la redevance correspondante sous peine de sanction. Les médecins, qu’ils soient directement utilisateurs

ou par l’intermédiaire du service de secrétariat à distance auquel ils recourent, sont donc invités à retourner le bordereau complété, selon leur situation. Il en est de même s’ils ne sont pas utilisateurs, de sorte à ne pas faire l’objet de relance indue.

Pré réservation d’une boîte de messagerie @

Dans la continuité de l’engagement du Conseil National de l’Ordre des Médecins et conformément à ce qui a été déclaré depuis plusieurs mois, une pré réservation d’une boîte de messagerie sécurisée sous le nom de domaine : @medecin.fr, est en ligne sur le site du Conseil national : http://www.conseil-national.medecin.fr Cette messagerie est conforme à la réglementation en vigueur et suivra les évolutions éventuelles de la réglementation.

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INFORMATIONS PRATIQUES

Médecins hospitaliers – activité privée postérieure à l’activité publique La démission des praticiens hospitaliers à temps plein L’article L 6152-5-1 du Code de la Santé Publique, issu de la loi HPST du 21 juillet 2009 dispose : « Dans un délai de deux ans suivant leur démission, il peut être interdit aux praticiens hospitaliers ayant exercé plus de cinq ans à titre permanent dans le même établissement d'ouvrir un cabinet privé ou d'exercer une activité rémunérée dans un établissement de santé privé à but lucratif, un laboratoire privé d'analyses de biologie médicale ou une officine de pharmacie où ils puissent rentrer en concurrence directe avec l'établissement public dont ils sont démissionnaires. Les modalités d’application du présent article sont fixées par voie réglementaire. » Le décret d’application de la loi est paru au Journal Officiel le 30 septembre 2010 (décret 2010 – 1141 du 29 septembre 2010 relatif aux personnels médicaux pharmaceutiques et odontologiques hospitaliers). L’article 9 de ce décret codifié à l’article R 6152-97 du Code de la Santé Publique prévoit : « Les praticiens hospitaliers peuvent présenter leur démission au directeur général du Centre national de gestion, en respectant un délai de préavis de trois mois. Dans un délai de trente jours à compter de la réception de la demande du praticien, le directeur général du Centre national de gestion notifie sa décision au praticien. Il peut demander au praticien démissionnaire d'assurer ses fonctions pendant la durée nécessaire à son remplacement sans que cette durée puisse excéder six mois à compter de la date de réception par le Centre national de gestion de la demande du praticien. Si le directeur général du Centre national de gestion ne s'est pas prononcé dans le délai de trente jours à compter de la réception de la lettre de démission, la démission est réputée acceptée. Lorsque le praticien démissionnaire prévoit d'exercer une activité salariée ou à titre libéral, lui sont applicables les dispositions de l'article 87* de la loi n° 93-122 du 29 janvier 1993 relative à la prévention de la corruption et à la transparence de la vie économique et des procédures publiques et la réglementation prise pour son application ». * Article 87 : Une commission, placée auprès du Premier ministre, est chargée d’apprécier la compatibilité de toute activité lucrative, salariée ou non, dans une entreprise ou un organisme privé ou de toute activité libérale avec les fonctions effectivement exercées au cours des trois années précédant le début de cette activité, par tout agent cessant ses fonctions de façon temporaire ou définitive.

Les modalités de saisine de cette Commission sont indiquées sur : http://www.fonction-publique.gouv.fr - rubrique « être fonctionnaire », onglets « parcours professionnel « et « Commission de déontologie » Ces dispositions sont entrées en application dès le 1er octobre 2010 et la presse s’est fait l’écho d’une première décision par laquelle l’administration a refusé à un praticien démissionnaire la possibilité d’exercer l’activité qu’il avait envisagée. L’avis rendu par la Commission n’a pas été rendu public. La FHF en a publié des extraits d’où il ressort que le médecin envisageait d’intégrer un établissement privé situé dans la même commune que l’hôpital public. La Commission a émis un avis négatif pour une telle activité dans les trois années suivant la démission, au regard des risques que sa demande ferait peser sur le fonctionnement normal du service. Précisons que le demandeur était le seul chirurgien de la spécialité au sein de l’hôpital.. Le Conseil national de l’Ordre des médecins a combattu, pendant la discussion parlementaire, les dispositions de la loi et introduit un recours devant le Conseil d’Etat contre son décret d’application. Ces nouvelles contraintes vont, en effet, à l’encontre du discours des pouvoirs publics sur les coopérations entre le secteur public et le secteur privé, à moins de considérer qu’il s’agit de coopérations à sens unique. Parallèlement à cette interdiction, la réglementation a élargi les possibilités offertes aux médecins libéraux d’avoir une activité à l’hôpital public. Elles créent des contraintes que les médecins ne connaissaient pas lorsqu’ils ont choisi d’exercer à l’hôpital et entrave leur liberté d’entreprendre sur des critères de concurrence sans lien avec l’intérêt des patients. Elles peuvent enfin décourager les médecins d’entreprendre une carrière hospitalière. On ne comprend pas non plus l’articulation entre un préavis de trois mois et la possibilité par l’administration de maintenir le praticien hospitalier à son poste pendant six mois à compter de la réception de la demande ! L’intégralité de cette note est consultable sur le site internet du Conseil National de l’Ordre des Médecins (www.conseil-national.medecin.fr) onglet « toutes les actualités ».

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INFORMATIONS NATIONALES

Usage du titre de Psychothérapeute Le décret n° 2010-534 du 20 mai 2010 relatif à l’usage du titre de psychothérapeute a été publié au Journal Officiel du 22 mai 2010. Ce texte prévoit que toute personne qui souhaite user du titre de psychothérapeute doit, préalablement à tout usage de ce titre, être inscrite sur une liste départementale des psychothérapeutes, établie par le Préfet du département. L’ensemble de ces listes départementales constitue le registre national des psychothérapeutes. En pratique, les médecins non qualifiés en psychiatrie qui souhaitent user du titre de psychothérapeute devront : 1 - accomplir une formation théorique et pratique, dans un établissement de formation agréé par le ministre de la santé, comprenant :

100 heures de formation relatives aux théories se rapportant à la psychopathologie ; 100 heures de formation relatives aux principales approches utilisées en psychothérapie ; 2 mois de stage pratique dans un établissement de santé public ou privé, au sein duquel ils n’exercent pas leur activité de médecin. 2 - adresser un dossier en double exemplaire par lettre recommandée avec accusé de réception au Directeur de l’Agence Régionale de Santé - 3, avenue Louise Michel – 25044 BESANCON CEDEX (à l’intention de Mr Francis DI PIETRO).

FORMULAIRE DE DEMANDE D’INSCRIPTION SUR LA LISTE DEPARTEMENTALE DES

PSYCHOTHERAPEUTES (à adresser à l’ARS)

Je soussigné Docteur (NOM, Prénom) Né le (date de naissance) à (lieu de naissance) Adresse professionnelle : Demande à être inscrit sur la liste départementale des psychothérapeutes en application de l’article 7 du décret n° 2010-534 du 20 mai 2010. A cette fin, je joins au présent : - la copie d’une pièces d’identité ; - une attestation d’obtention d’un diplôme de médecin français ou européen (copie du diplôme de Docteur en Médecine) ; - une attestation de formation en psychopathologie clinique ; - le cas échéant, une attestation d‘inscription au Tableau de l’Ordre des Médecins (document établi sur simple demande auprès secrétariat du Conseil départemental). Fait à (Ville) Le (date)

Signature du demandeur

Le Directeur de l’Agence Régionale de Santé instruit la demande d’inscription et fait part de son avis au Préfet dans un délai de 45 jours. Le silence gardé par le Préfet à

l’expiration d’un délai de 2 mois à compter de la réception du dossier complet vaut rejet de la demande d’inscription sur la liste des psychothérapeutes.

! AFEM

En 2010, l’AFEM (Association d’Entraide aux Femmes et Enfants de Médecins) a pu distribuer à des enfants de familles médicales en détresse 30 secours d’urgence, 83 aides aux études, et pour les étudiants 119 bourses d’un montant annuel de 5400 !, somme maintenue jusqu’à la fin des études. Ce soutien est rendu possible, par les subventions de mécènes, en particulier de certains Conseils Départementaux de l’Ordre des Médecins, dont celui du Doubs, mais également et surtout grâce aux 10000 médecins donateurs à titre individuel.

l’A.F.E.M. 168, rue Grenelle – 75007 PARIS

Tel. : 01.45.51.55.90.. – Fax. : 01.45.51.54.78. E.mail : [email protected] - Site internet : www.afem.net

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INFORMATIONS NATIONALES

Prescriptions d’actes d’Ostéopathie Selon les recommandations du Conseil National de l’Ordre des Médecins, il convient de rappeler un certain nombre de points au sujet des éventuelles demandes de patients pour bénéficier d’actes d’ostéopathie pratiqués par des non-médecins. 1 – Le médecin est seul juge de la pertinence d’une prescription médicale et des examens complémentaires qu’il convient de mettre en œuvre. La prescription d’un examen sollicité par un patient à la demande d’un ostéopathe engage la responsabilité pleine et entière du médecin s’il se « limite à exécuter la demande de son patient » ; 2 – De même, la responsabilité du médecin est engagée dans la remise d’un certificat attestation de l’absence de contre indication à des manipulations : - du crâne, de la face et du rachis chez le nourrisson de moins de 6 mois, - du rachis cervical.

3 – Pour éviter toute confusion dans l’esprit des patients, le Conseil National de l’Ordre des Médecins préconise : - d’interdire le partage des locaux entre médecin et ostéopathe exclusif, - de vérifier dans les pages jaunes de l’annuaire, y compris sa version internet, l’absence d’ostéopathe exclusif dans la rubrique des médecins ostéopathes. 4 – La section santé publique du Conseil National de l’Ordre des Médecins tient à rappeler les dispositions de l’article 3 du décret du 25 mars 2007 relatif aux actes et conditions de l’exercice de l’ostéopathie interdisant aux ostéopathes non-médecins d’effectuer les actes suivants : - les manipulations gynéco-obstétricales, - les touchés pelviens.

Trisomie 21 Recommandations de bonnes pratiques pour le recueil de l’origine géographique de la femme enceinte dans le cadre du

dépistage et du diagnostic périnatals avec utilisation des marqueurs sériques maternels de la trisomie 21. Des publications scientifiques référencées ont montré que des facteurs de correction devaient être utilisés pour pondérer les taux des marqueurs sériques maternels (en particulier de la PAPP-A) dans certaines populations par rapport à la population prise en référence. En ce sens, l’origine géographique de la femme enceinte apparaît comme un élément indispensable au calcul du risque de trisomie 21 pour l’enfant à naître. Les modalités de recueil de cette information spécifique sont précisées ci-après. Le recueil de l’ « origine géographique » doit être retenue et non celui de l’ « origine ethnique ». A cet égard il doit être rappelé que l’article 8 de la loi du 6 janvier 1978 modifiée, relative à l’informatique et aux libertés, interdit, sauf dérogations, la collecte et le traitement de données à caractère personnel faisant apparaître les origines ethniques. Le thésaurus retenu distingue 4 origines géographiques différentes : « Europe et Afrique du nord / Afrique subsaharienne et Antilles / Asie / Autres. La rubrique « autres » inclut les personnes métisses. Il s’agit donc de recueillir l’origine géographique de la femme enceinte par la précision sur son pays d’origine (là où elle est née et, le cas échéant, où elle a vécu avant d’arriver en France métropolitaine) et ce, quelle que soit sa nationalité. Ce thésaurus est cohérent avec celui qui est intégré aux logiciels de calcul de risque et qui permet d’affecter des facteurs de correction scientifiques à certaines origines

géographiques. Il résulte des publications scientifiques référencées précitées. Ce thésaurus apparaît, sous forme de case à cocher, dans les documents types établis par les laboratoires de biochimie autorisés pour le dosage des marqueurs sériques maternels. Le médecin interroge la femme enceinte sur ce point avant de renseigner le formulaire. L’origine géographique de la femme enceinte ne peut être recueillie en se fondant sur son apparence physique ou sur la consonance de son nom. Une information sur l’intérêt de recueillir cette donnée est délivrée à la femme enceinte au cours de la consultation médicale prévue à l’article R.2123-2 du Code de la Santé Publique. Il lui est notamment précisé que cette donnée influence le calcul de risque et que sa non prise en compte peut modifier le risque pour l’enfant à naître d’être atteint de trisomie 21 (le plus souvent en plaçant par excès la femme enceinte dans le groupe à risque). La femme enceinte peut s’opposer à préciser son origine géographique. La note d’information habituellement délivrée à la femme enceinte à la suite de cette consultation médicale individuelle reprend l’information délivrée oralement. Les documents mentionnant cette information sont conservés, quel que soit le support, de manière à garantir strictement leur confidentialité.

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RESEAU 25

Rappel du cadre légal de prescription et de délivrance de la méthadone Le constat de pratiques inadaptées, et de plus en plus répétées, dans l’initiation des traitements de substitution aux opiacés (TSO), et notamment de la Méthadone, nous oblige à rappeler le cadre règlementaire lors de la mise en place de ces thérapeutiques. Il existe, à ce jour, deux médicaments disposant de l’AMM dans la prise en charge de l’opio-dépendance : la Buprénorphine Haut Dosage (Subutex® ou Générique) et la Méthadone sirop et gélule. Concernant la Buprénorphine HD : tout médecin est autorisé à prescrire cette molécule, sur ordonnance sécurisée, et à suivre le patient selon les règles de bonne pratique. Concernant la Méthadone : L’initiation d’un traitement par Méthadone sirop est réservée exclusivement aux médecins des centres de soins spécialisés (CSAPA : Centre de Soin, d’Accompagnement et de Prévention en Addictologie) et aux médecins des services hospitaliers (dans les cas prévus par la circulaire du 30 janvier 2002). La dangerosité de cette molécule, en terme de risque mortel dans la phase d’initialisation - soit environ 15 jours - nécessite une analyse urinaire, un diagnostic de dépendance avérée ainsi qu’une surveillance médicale étroite. Le relais peut ensuite être assuré par le médecin de ville choisi par le ou la patiente, dès lors que la posologie paraît stabilisée. Le Médecin prescripteur ainsi que le Pharmacien dispensateur recevront alors une autorisation de prescription et de délivrance de la part du médecin du centre ou du service hospitalier initiateur du traitement. Chaque changement de prescripteur ou de dispensateur sera l’objet de la même procédure. L’initiation du passage à la forme Méthadone gélule est réservée, de la même façon, à un centre de soins ou à un service hospitalier.

Ce passage est envisageable après au moins une année de traitement par la forme sirop. L’évaluation de la stabilisation du patient et une analyse urinaire ouvrent droit au

passage à la forme gélule. Le relais sera immédiatement assuré par le médecin de ville du patient qui recevra une autorisation illimitée à prescrire la forme gélule, tout comme le pharmacien recevra une autorisation à délivrer. Ce rappel à la réglementation et aux bonnes pratiques n’a nullement pour objectif de restreindre l’accès des patients aux thérapeutiques de substitution ni la prise en charge des mêmes patients en médecine de ville. Il s’inscrit dans le double but de garantir la sécurité des usagers et de sécuriser la prescription des médecins et la délivrance des pharmaciens de ville. Pour mémoire, la posologie létale de la Méthadone, pour un patient naïf d’opiacé, ou faiblement tolérant, est de 1 mg/kg. Enfin, nous rappelons, qu’en cas d’accident lors d’une surdose de Méthadone, le médecin et le pharmacien, non autorisés à prescrire et délivrer, sont passibles de poursuites pénales. Une étroite collaboration entre les centres de soins et les médecins de ville, dans un souci de qualité des prises en charge et d’échanges réciproques et confiants, est une constante de notre pratique et un gage de réussite des traitements.

Jacques SIMONIN Pharmacien, Président de Réseau 25

Docteur Claude MAGNIN Médecin Généraliste, Responsable médical du CSAPA « Solea »

Vice-Président de Réseau 25

RAPPEL DES CENTRES DE SOINS DE LA REGION DE FRANCHE-COMTE : - BESANCON : SOLEA, 2 Place René Payot - 25000 BESANCON - Tel. : 03.81.83.03.32. - PONTARLIER (à partir de 2011) : Centre Hospitalier, 2 Faubourg St Etienne, 25300 PONTARLIER - Tel. :03.81.38.53.64 - VESOUL : L’Escale, 1 rue Paul Petitclerc - 70000 VESOUL - Tel. 03.84.76.62.62. - AIRE URBAINE BELFORT – MONTBELIARD : ALTAU Le Relais, 25 avenue Léon Jouhaux - 70400 HERICOURT - Tel. : 03.84.36.67.07. - DOLE : Centre Briand, 9 avenue Aristide Briand - 39100 DOLE - Tel. : 03.84.82.83.85. - LONS LE SAUNIER : Passerelle 39, 35 Cours Sully - 39000 LONS LE SAUNIER - Tel. : 03.84.24.66.83.

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INFORMATIONS REGIONALES

Dépistage de l’infection par le VIH L’épidémie d’infections par le VIH est toujours active en France, avec un nombre de nouvelles contaminations compris entre 7000 et 8000 par an. Environ 50 000 personnes infectées ignorent leur statut ou ne se font pas suivre et ces mêmes personnes sont à l’origine de deux tiers des nouvelles contaminations. Un tiers des patients sont pris en charge à un stade tardif de l’infection (stade sida ou lymphocytes CD4<200/mm3) et la moitié des patients sont pris en charge à moins de 350 lymphocytes CD4/mm3. En Franche-Comté, en 2009, sur les 665 patients infectés par le VIH suivis médicalement, 30 % avaient été diagnostiqués à moins de 200 lymphocytes CD4/mm3 et 25% au stade sida. Devant la persistance d’un tel retard au diagnostic et en particulier dans certains groupes de personnes qui ne considèrent pas avoir des pratiques à risque, il est

nécessaire d’étendre et de banaliser l’offre de dépistage du VIH. La Haute Autorité de Santé a émis en 2009 de nouvelles recommandations, reproduites

dans l’encadré ci-dessous. Le COREVIH de Franche-Comté vous invite à participer à cette action essentielle de santé publique en mettant en œuvre ces recommandations destinées à promouvoir le dépistage de l’infection VIH en France. Une évaluation de la pertinence de ces stratégies de dépistage est prévue chaque année. Le COREVIH de Franche-Comté se tient à votre disposition pour toute information complémentaire concernant ces recommandations. Professeur Bruno HOEN Docteur Adeline FOLTZER Président Coordinatrice Médicale

INDICATIONS DE DEPISTAGE DE L’INFECTION PAR LE VIH 1 - Proposition de dépistage en population générale : elle s’adresse à l’ensemble de la population générale de 15 à 75 ans indépendamment du risque d’exposition au VIH 2 – Dépistage ciblé et régulier * à toutes personnes ayant des facteurs de risque connus, tous les ans pour : - les hommes multipartenaires ayant des rapports sexuels avec des hommes - les usagers de drogue par voie intraveineuse - les personnes multipartenaires originaires d’Afrique subsaharienne et des Caraïbes - l’ensemble de la population sexuellement active en Guyane * à toute personne dans les circonstances suivantes : - lors du diagnostic d’une IST, d’une hépatite B ou C, d’une tuberculose - pour le couple en cas de projet de grossesse ou lors de la grossesse - en cas de demande d’IVG, de première prescription de contraception et/ou de projet d’arrêt de préservatif, ou encore en cas de viol - en cours d’incarcération - en cas de tableau clinique évocateur d’une primo-infection par le VIH - régulièrement pour les personnes en situation de prostitution et les partenaires de personnes vivant avec le VIH.

Liens utiles : http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/catalogue/pdf/1323.pdf http://www.sante-sports.gouv.fr/IMG/pdf/Rapport 2010 sur la prise en charge medicale des personnes infectees par le VIH sous la direction du Pr- Patrick Yeni.pdf http://www.sante-sports.gouv.fr/IMG/pdf/PLANVIHcomplet BAT BD-2.pdf

Comité de Coordination de lutte contre l’infection par le virus de l’immunodéficience humaine Centre Hospitalier Universitaire – 2, place Saint-Jacques – 25030 BESANCON CEDEX

Tel. Secrétariat : 03.81.21.80.98. – Fax. : 03.81.21.86.29. – Courriel. [email protected] - site internet : www.corevih-fc.fr

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INFORMATIONS RÉGIONALES

Campagne diabète enfant adolescent Le 14 novembre 2010, a été lancée par l’Aide aux Jeunes Diabétiques (AJD), la Campagne Nationale du Diabète de l'Enfant et de l'Adolescent, destinée à informer le public et les professionnels de santé et de l'enfance, sur les signes de début de la maladie afin de prévenir une complication grave, l'acidocétose. Chez l’enfant et l’adolescent, le diabète est le plus souvent dû à la disparition complète d’insuline, responsable de l’apparition rapide d’hyper-glycémie puis d’une cétose. C’est le diabète de type 1, auto immun. Signes de l’hyperglycémie : soif et besoin d’uriner énurésie, perte de poids et fatigue. Signes de la cétose : douleurs abdominales, nausées, vomis-sements, respiration rapide puis somnolence et coma acidocétosique. L’acidocétose est une complication grave du diabète. Au moment du diagnostic de diabète de type 1, les enfants et les adolescents présentent une acidocétose dans plus de 40% des cas, associée à un coma dans près de 15 % des cas, cause d’hospitalisation en unités de soins intensifs et de plusieurs décès chaque année. Plus le début du traitement du diabète est retardé, plus le risque d’acidocétose est élevé. L’évolution vers l’acidocétose est d’autant plus rapide que l’enfant est plus jeune. En France, le nombre de cas de diabète chez l’enfant est en forte augmentation (surtout chez les moins de 5 ans). La fréquence de l’acidocétose au moment du diagnostic peut être diminuée de façon considérable, car les enfants ont dans : - 98% des cas, une polyuro-polydipsie. - 40% des cas une énurésie. Les signes datent de plus de 2 semaines dans 60% des cas.

L’enfant est adressé à l’hôpital par un médecin généraliste dans plus de 55% des cas. Le diagnostic du diabète doit être fait au cabinet : glycosurie (+/- cétonurie) par bandelette urinaire, et/ou hyperglycémie par bandelette sur sang capillaire. Aucun autre examen biologique n’est nécessaire. Quels que soient les symptômes, l’enfant doit être dirigé, le jour même, en urgence vers le centre de pédiatrie ou de diabétologie pédiatrique le plus proche.

(Critères du diabète : glycémie ! 1,26 g/l à jeun ou ! 2 g/l à tout autre moment de la journée.) Nous relayons fortement cette campagne de l’AJD, au niveau de la Franche-Comté, en collab-ration avec l'association des parents d'enfants diabétiques de Franche-Comté DIATONIC, et avec le soutien du CHU et de la ville de BESANÇON. En Franche-Comté, le recen-sement effectué du 14.11.2009 au 1.11.2010 (non exhaustif) a identifié 26 cas de diabète dont 7 enfants en acidocétoses sévères, soit 26.9% (/ 13.9% moyenne nationale), et 9 en acidocétoses modérées soit 34.6% (/39.9% moyenne nationale). Il nous semble donc particulièrement important que les médecins franc-comtois s'associent à cette campagne afin

de permettre un diagnostic plus précoce et une information auprès du grand public par un affichage dans leurs lieux de consultation. (documents imprimables, ou à solliciter auprès de l' Aide aux Jeunes Diabétiques : [email protected] )

Docteur Anne-Marie BERTRAND (PH) et l’équipe de diabétologie pédiatrique du CHU de

BESANCON HOPITAL SAINT-JACQUES

Unité d’endocrinologie – diabétologie pédiatriques Pédiatrie 1

Tel. : 03 81 21 81 34 [email protected]

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INFORMATIONS REGIONALES - MANIFESTATION

INFORMATION DE LA SECTION SANTE PUBLIQUE

Maladies à déclaration obligatoire Dans le cadre du Plan Cancer 2009-12013, l’INVS est chargé de mettre en place la déclaration obligatoire des mésothéliomes. La mise en place de cette déclaration obligatoire se déroule en 2 temps : - Une phase pilote initiée depuis le 1er janvier 2011 dans 6 régions (Aquitaine, Auvergne, Ile de France (94 et 93), Lorraine, Midi-Pyrénées, Provence - Alpes- Côte d’Azur). - A la suite de cette phase de 6 mois, seront publiés des textes réglementaires rendant obligatoire la déclaration des mésothéliomes à tout médecin amené à poser le diagnostic. Pour rappel, il existe 30 maladies à déclaration obligatoire : Botulisme Hépatite aiguë A Poliomyélite

Brucellose Infection aiguë symptomatique par le virus de l’hépatite B

Rage

Charbon Infection par le VIH quel qu’en soit le stade

Rougeole

Chikungunya Infection invasive à méningocoque Saturnisme de l’enfant mineur Choléra Légionellose Suspicion de la maladie de Creutzfeld-

Jakob et autres encéphalopathies sub-aiguës spongiformes transmissibles humaines

Dengue Listériose Tétanos Diphtérie Orthopoxvirose dont la variole Toxi-infection alimentaire collective Fièvre hémorragiques africaines Paludisme autochtone Tuberculose Fièvre jaune Paludisme d’importation dans les DOM Tularémie Fièvre typhoîde et fièvre paratyphoïde Peste Typhus exanthématique

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ANNONCES – OFFRES D’EMPLOI

BETHONCOURT MEDECIN GENERALISTE

Cherche successeur dans une association de 2 médecins Pour le 1er janvier 2012 Cause retraite Cabinet en location ou à vendre en SCI dans maison médicale. Clientèle gratuite C.A.moyen Contact : [email protected]

CENTRE DE REEDUCATION FONCTIONNELLE

DE QUINGEY RECRUTE 1 PRATICIEN HOSPITALIER GERIATRE

à temps partiel : 0,5 ETP Pour une unité de 30 lits USLD et EHPAD Capacité totale des services d’hébergement de 128 lits dont 4 lits d’hébergement temporaire. Construction en cours d’un nouveau bâtiment : ouverture en 2011 avec création de 4 places d’accueil de jour, d’une consultation de gérontologie de proximité et d’une Unité Alzheimer de 36 lits. Contact et envoi CV : Dr Christine EECHOUT (Médecin coordonnateur) USLD-EHPAD Route de Lyon – B.P. 5 - 25440 QUINGEY Tel. : 03.81.54.66.00. e.mail. : [email protected]

CONSEIL GENERAL DU DOUBS RECRUTE 3 MEDECINS DE PMI

Postes à pourvoir sur BESANCON, MONTBELIARD et le HAUT-DOUBS Missions : Participation à la conception et à l’évaluation de la politique de la collectivité en matière de santé publique et à la mise en place d’actions telles que définies dans le règlement départemental d’aide social, en faveur de l’enfant et de sa famille. Activités principales : Consultations et bilans en école maternelle ; Il mène des actions de prévention médico-psychosociale… ; Contrôle, agrément et suivi des modes d’accueil collectifs des jeunes enfants. Contact ou renseignements : Conseil Général du Doubs 7 avenue de la Gare d’Eau – 25000 BESANCON Tel. : 03.81.25.86.31. – e.mail. : [email protected]

CONSEIL GENERAL DU DOUBS RECRUTE 1MEDECIN RESPONSABLE DE POLE

HANDICAP ET DEPENDANCE à BESANCON Responsable d’une équipe intervenant dans le domaine de l’aide aux personnes âgées et adultes handicapés : Allocation personnalisée d’autonomie, Prestation compensation du handicap, Suivi des familles d’accueil, Vulnérabilité, Maltraitance, Management, Fonctionnement logistique Contact ou renseignements : Conseil Général du Doubs 7 avenue de la Gare d’Eau – 25000 BESANCON Tel. : 03.81.25.87.17. – e.mail. : [email protected]

MUTUALITE SOCIALE AGRICOLE

RECRUTE 1 MEDECIN à compter de janvier 2011 En CDI à temps plein Chargé des missions de contrôle médical. Le poste est basé à BESANCON, des déplacements sont à prévoir en Franche-Comté. Pour tout renseignement ou candidature, s’adresser : Dr M.C. GIRARDIN (médecin chef du contrôle médical de F.C.) : Tel. : 06.22.53.50.70. Dr J.J. LAPLANTE (Directeur de la santé) : Tel. : 06.74.80.37.72.

L’ETABLISSEMENT FRANÇAIS DU SANG RECHERCHE pour son site à BESANCON

1 MEDECIN DE PRELEVEMENT (h/f) en CDI tps partiel Missions : - Garant de la sécurité et du bon déroulement de l’activité, vous réalisez les entretiens médicaux des donneurs ainsi que leur suivi ; Promoteur du don, vous participez à des réunions d’information avec des Associations de donneurs de sang bénévoles ; Interlocuteur privilégié des donneurs et des amicales, vous organisez et supervisez la collecte de sang Aptitudes requises : - Réactivité et sens de l’organisation, qualités d’écoute et sens des responsabilités, Esprit d’équipe. Adresser sa candidature (CV, Lettre) à : Nelly BESACIER EFS Bourgogne Franche-Comté - Service DRH 1, Boulevard Fleming - 25020 BESANCON Tél : 03.81.61.56.21 e-mail : [email protected]

MAISON DEPARTEMENTALE DES PERSONNES

HANDICAPÉES RECHERCHE 1 MEDECIN GENERALISTE

Qui procédera à l’évaluation des besoins des personnes handicapées adultes ayant déposé des demandes auprès de la MDPH. Cette évaluation s’effectue sur dossier, en équipe ou en entretien. Le poste est basé à BESANCON ; des déplacements pourront toutefois intervenir à MONTBELIARD. Les courriers (et CV) doivent être adressés à la : MDPH du DOUBS, 6 C boulevard Diderot – 25043 BESANCON CEDEX Tel. : 03.81.52.53.92.

UNIVERSITE DE FRANCHE-COMTE Service universitaire de Médecine Préventive et de Promotion de

la Santé RECRUTE 1 MEDECIN GENERALISTE

pour un poste à temps partiel (50%). Ses missions : visites médicales de prévention des étudiants, participation aux actions collectives de prévention, travail en équipe pluridisciplinaire. Poste basé à BESANCON, à pourvoir en janvier. Renseignements et contact auprès du : Dr Corinne LESUEUR-CHATOT SUMPPS-Campus santé – 45 C avenue de l’Observatoire – B.P. 1535 – 25009 BESANCON CEDEX – Tel. : 03.81.66.61.30. – e-mail. : [email protected]

MAISON D’ACCUEIL SPECIALISEE DE QUINGEY

Etablissement médico-social public situé à 25 kms de BESANCON Accueillant et accompagnant 40 adultes lourdement handicapés physiques

RECHERCHE 1 MEDECIN GENERALISTE faisant fonction de Médecin COORDONNATEUR

Le poste est à pourvoir dès que possible et la répartition hebdomadaire de la quotité de travail est négociable. Pour obtenir plus d’informations, vous pouvez contacter la Direction par téléphone au 03.81.63.79.79. (standard) Vous pouvez également envoyer votre CV à l’adresse suivante : MAS de QUINGEY – Route de Lyon – 25440 QUINGEY ou par mail : [email protected]

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TABLEAU

Nouveaux Inscrits

Bienvenue à nos Confrères qui ont choisi d’exercer dans le Doubs

SEANCE DU 23 AVRIL 2010 Dr Catherine BOURDEAUX Médecine Générale Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Dr Patrick CHERREAU Anesthésie-Réanimation Clinique Saint-Vincent à BESANCON

Dr Caroline LESAINT Médecine Générale Médecin remplaçant

Dr François LORIETTE Médecine du Travail PSA Peugeot Citroën à SOCHAUX

Inscriptions au 3 mai 2010 Dr Aurélie COMTE Pédiatrie Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Dr Alain JUNAT Médecine Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Anne MARTZOLFF PONSONNARD Psychiatrie Centre Jean Messagier à MONTBELIARD Inscription au 21 mai 2010 Dr Adriana NEMET Anesthésie-Réanimation Centre Hospitalier de MONTBELIARD

SEANCE DU 3 JUIN 2010

Dr Héloïse CHASSIER Médecine Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Bruno DEGANO Pneumologie Hôpital Jean Minjoz à BESANCON Dr Lisa BOCCARA WEBER Médecine Générale Médecin remplaçant

Dr Sophie BOURGEOIS HAFFEN Psychiatrie Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Etienne DAGUINDAU Hématologie Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Yves DUFFAIT Médecine Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Gilliane FAIVRE Médecine Générale Centre de Soins des Tilleroyes à BESANCON

Dr Patrick FAY Médecine Générale Maison Médicale de BELLEHERBE

Dr Matthieu HAREL Médecine générale Médecin remplaçant

Dr Anne PANHALEUX MOHN Endocrinologie et Métabolismes Hôpital Jean Minjoz à BESANCON Dr Sandy RITZ JOCHAULT Chirurgie Générale Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Dr Sophie RUBAGOTTI Médecine Générale Médecin remplaçant Dr Clémentine DETOUILLON Médecine Générale Médecin remplaçant SEANCE DU 8 JUILLET 2010 Dr Thierry CHAIX Radiodiagnostic et Imagerie Médicale 18, av. de l’Ile de France à BESANCON

Dr Vincent GRIFFOND Médecine Générale Médecin remplaçant

Dr Adeline PAQUIERS-MARTEL Médecine Générale Médecin remplaçant SEANCE DU 10 SEPTEMBRE 2010

Dr Téodora CHIRIAC Neurologie Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Elise DUROY Médecine générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Hanna EID Médecine générale Centre Jean Messagier à MONTBELIARD

Dr Isabelle LESOURD Médecine générale Médecin remplaçant Dr Mélaine ROSE Médecine générale Médecin remplaçant Dr Geneviève SIBOLD Psychiatrie Centre Jean Messagier à MONTBELIARD

Dr Séverine VALMARY DEGANO Anatomie et Cytologie Pathologique Hôpital Jean Minjoz à BESANCON Inscription au 20 Septembre 2010 Dr Nora Clélia CHAYEP BILLON GRAND Radiodiagnostic et Imagerie Médicale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

SEANCE DU 15 OCTOBRE 2010 Dr Alessandra BIONDI Radiodiagnostic et Imagerie Médicale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON Dr Thomas CAZAENTRE Médecine Nucléaire Sans activité

Dr Roland COURTOT Rééducation et Réadaptation Fonctionnelle Médecin retraité

Dr Piroska KOVACS Psychiatrie Centre Hospitalier de PONTARLIER

Dr Anny PAGAND Pédiatrie Médecin retraité Inscriptions au 2 Novembre 2010 Dr Etienne ALETON Médecine Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON Dr Cyril BARLET Psychiatrie Centre Hospitalier Spécialisé de NOVILLARS

Dr François BELON Anesthésie-Réanimation Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Caroline BIVER-DALLE Dermatologie et Vénéréologie Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Dr Anne Lise BOLOT Médecine Générale Médecin remplaçant Dr Samuel BOUILLET Médecine Générale Médecin remplaçant

Dr Marie BOURDIER DE BEAUREGARD Gastro-Entérologie et Hépatologie Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Malick BRIKI Psychiatrie Hôpital Saint Jacques à BESANCON

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TABLEAU

Dr Marie COLLIN Chirurgie Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Aurélie CURLIER Chirurgie Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Emmanuel DIETSCH Radiodiagnostic et Imagerie Médicale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Benoît DINET Médecine Générale Médecin remplaçant

Dr Sophie DUCHEZEAU Médecine Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Anne-Cécile DURPOIX Oto-rhino-laryngologie Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Romain FEBVRE Ophtalmologie Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Xavier GHISLANDI Chirurgie Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Grégory GODFRIN Neurochirurgie Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Nicolas GUELLE Chirurgie Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Sabrina KEPKA Médecine Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Julien LILLAZ Chirurgie Générale Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Dr Marion MANGIN Gynécologie-Obstétrique Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Dr Elisabeth MARTIN Psychiatrie Hôpital Saint Jacques à BESANCON Dr Emilie MERLE Anesthésie-Réanimation Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Mathilde MOREL Cardiologie et Maladies Vasculaires Hôpital Jean Minjoz à BESANCON Dr François MOUGEL Endocrinologie et Métabolismes Hôpital Jean Minjoz à BESANCON Dr Véronique MOULIN Radiodiagnostic et Imagerie Médicale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Héloïse PERRY Médecine Générale Médecin remplaçant

Dr Hubert PUTOT Psychiatrie Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Dr Audrey REIX Médecine Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON Dr Emilie RODEN Anesthésie Réanimation Hôpital Jean Minjoz à BESANCON Dr Jérémie SAHLER Ophtalmologie Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Benjamin SCHMITT O.R.L. et Chirurgie Cervico-Faciale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Pauline SERGENT Chirurgie Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Jérémie STAGNARA Biologie Médicale EFS à BESANCON

Dr Mehdi TERKI HASSAINE Chirurgie Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Valérian TROSSAT Psychiatrie Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Dr Erika VIEL Oncologie Médicale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Thomas ZAPPATERRA Chirurgie Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON SEANCE DU 19 NOVEMBRE 2010 Dr Clara CREMILLIEUX-CELARD Pédiatrie Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Dr Antoine ADAM Chirurgie Générale Hôpital Saint Jacques à BESANCON Dr Marie-Claude ANTRAIGUE Médecine Générale ARS de Franche Comté à BESANCON

Dr Aurélie CAMELIO Pédiatrie Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Dr Sandrine CUNAT-PEULTIER Dermatologie et Vénéréologie Médecin remplaçant

Dr Barbara HEBRARD NOLLET Néphrologie Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Dr François JOURDA Cardiologie et Maladies Vasculaires Centre Hospitalier de MONTBELIARD

Dr Thibaud LEFORT Radiodiagnostic et Imagerie Médicale Médecin remplaçant

Dr Paul LUPORSI Cardiologie et Maladies Vasculaires Hôpital Jean Minjoz à BESANCON Dr Florent MONTINI Néphrologie Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Emelyne MUZARD Neurologie Hôpital Jean Minjoz à BESANCON Dr Cristina SINGEORZAN Anatomie et Cytologie Pathologiques UFR SMP de l’Université de BESANCON

Inscription au 23 Novembre 2010 Dr Anaïs MAUVAIS Médecine Générale Médecin remplaçant

Inscription au 29 Novembre 2010 Dr Romain MARLIER Médecine Générale Médecin remplaçant

Inscriptions au 2 Décembre 2010 Dr Chloé BONNET Médecine Générale Médecin remplaçant

Dr Gaëlle HUMBERT Médecine Générale Médecin remplaçant

Inscription au 3 Décembre 2010 Dr Laure MAGNIN-FEYSOT Médecine Générale Médecin remplaçant

Inscriptions au 9 Décembre 2010 Dr Julien PATOZ Médecine Générale Médecin remplaçant

Dr Arnaud ZAHND Médecine Générale Médecin remplaçant Dr Muriel MANANT Médecine Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Pauline MOTTE VINCENT Médecine Générale Centre Hospitalier de MONTBELIARD Dr Jean Yves PAUCHARD Pédiatrie Sans activité

Dr Hayat BOUREZANE HAMIDI Médecine Générale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

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TABLEAU SEANCE DU 21 JANVIER 2011 Dr Fernando BAZAN Oncologie Médicale Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Laurent COURTOIS Gynécologie-Obstétrique Hôpital Saint Jacques à BESANCON Dr Bassam JURDI Rééducation et Réadaptation Fonctionnelle Sans activité

Dr Ignace MUGABO Pédiatrie Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Médecins ayant cessé leur activité professionnelle Dr Patrice BELZACQ, le 1er Juillet 2010 Il exerçait en qualité de médecin généraliste en libéral à BAUME LES DAMES

Dr Philippe BERTRAND, le 31 janvier 2011 Il exerçait la médecine manuelle-ostéopathie en libéral à BESANCON

Dr Marie-Noëlle BESANÇON, le 31 décembre 2010 Elle exerçait en qualité de médecin spécialiste en Psychiatrie à BESANCON

Dr Nicole BIZOUARD, le 18 Mars 2010 Elle exerçait en qualité de médecin spécialiste en dermatologie vénéréologie à l’Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Dr Michèle BONNANS, le 19 Septembre 2010 Elle exerçait en qualité de médecin spécialiste en santé publique à l’ADECA à BESANCON

Dr François CACHOT, le 31 Décembre 2010 Il exerçait en qualité de médecin généraliste en libéral à BELLEHERBE

Dr Anne-Marie CHABOD, le 1er Décembre 2010 Elle exerçait en qualité de médecin spécialiste en médecine du travail au sein de l’Entreprise PSA à SOCHAUX

Dr Maryse CHIPEAUX, le 1er Septembre 2010 Elle exerçait en qualité de médecin salarié en santé scolaire

Dr Catherine JACOBS, le 1er Juillet 2010 Elle exerçait en qualité de médecin compétent exclusif en gynécologie médicale en libéral à MONTBELIARD

Dr Michèle DURAND, le 1er Avril 2010 Elle exerçait en qualité de médecin spécialiste en anesthésie réanimation à l’Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Dr Rolande GUYOT-DOUGE, le 1er Août 2010 Elle exerçait en qualité de médecin spécialiste en anesthésie réanimation au Centre Hospitalier de PONTARLIER

Dr Abel HARFOUCHE, le 31 Décembre 2010 Il exerçait en qualité de médecin généraliste en libéral à SOCHAUX Dr Pierre HUFSCHMITT, le 1er Juillet 2010 Il exerçait en qualité de médecin généraliste en libéral à VALDAHON

Dr Guy LAUDE, le 31 Décembre 2010 Il exerçait en qualité de médecin généraliste en libéral à VILLERS-LE-LAC

Dr Guy MANCHET, le 1er Février 2011 Il exerçait en qualité de Médecin Spécialiste en Cardiologie en libéral à BESANCON

Dr Geneviève MARGUET, le 1er Avril 2010 Elle exerçait en qualité de médecin spécialiste en médecine du travail à la DRTEFP de Franche Comté à BESANCON

Dr Jacques NAVET, le 1er Juillet 2010 Il exerçait en qualité de médecin compétent exclusif en obstétrique au Centre Hospitalier de PONTARLIER

Dr Yves NOBILI, le 30 Septembre 2010 Il exerçait en qualité de médecin compétent en médecine du travail au sein de l’Entreprise PSA à SOCHAUX

Dr Dominique PAPELARD, le 31 mars 2011 Elle exerçait en qualité de médecin spécialiste en rééducation et réadaptation fonctionnelle aux Salins de Bregille à BESANCON

Dr Martine PATER, le 31 Décembre 2010 Elle exerçait en qualité de médecin généraliste en libéral à EMAGNY

Dr Geneviève PERRODIN, le 1er Juillet 2010 Elle exerçait en qualité de médecin généraliste en libéral à AUDINCOURT Dr Daniel PORTE, le 1er Décembre 2010 Il exerçait en qualité de médecin qualifié en médecine générale à l’Hôpital Saint Jacques à BESANCON

Dr Elisabeth RANFAING, le 5 Juillet 2010 Elle exerçait en qualité de médecin spécialiste en anatomie et cytologie pathologique au CHU de BESANCON

Dr Pascale ROLLIN, le 30 Juin 2010 Elle exerçait en qualité de diabétologue nutritionniste en libéral à BESANCON

Dr Philippe ROZE, le 31 Décembre 2010 Il exerçait en qualité de médecin généraliste en libéral à MONTLEBON

Dr Elisabeth SERUSCLAT, le 31 Décembre 2010 Elle exerçait en qualité de médecin spécialiste en médecine du travail au sein de l’Entreprise PSA à SOCHAUX

Dr Philippe SERUSCLAT, le 1er Septembre 2010 Il exerçait en qualité de médecin spécialiste en médecine du travail au sein de l’Entreprise PSA à SOCHAUX

Dr Agnès SCHOEFFER REMY-MARTIN, le 1er Mai 2010 Elle exerçait au Laboratoire de Biochimie à l’Hôpital Jean Minjoz à BESANCON

Médecins Radiés à leur demande Pr Jean-Charles HENRY le 3 juin 2010

Dr Nicolas MERCKY le 31 décembre 2010

Dr Bozhidar VOYNIKOV le 31 décembre 2010

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TABLEAU

Médecins Décédés

A nos confrères qui nous ont quittés, Toute notre gratitude et nos remerciements pour le savoir, le savoir-faire et

le dévouement dont ils ont fait preuve tout au long de leur vie professionnelle. Dr Jean-Paul CARTIER, le 24 janvier 2011 Il avait exercé en tant que médecin généraliste en libéral à PONT DE ROIDE

Dr Gilbert CHATELAIN, le 9 septembre 2010 Il avait exercé en tant que médecin généraliste en libéral à MORTEAU

Dr Laurent CHUPIN, le 28 juin 2010 Il avait exercé en qualité de médecin spécialiste en Gynécologie-Obstétrique à la Clinique Lucine d’AUDINCOURT

Dr Gilles COUETDIC, le 12 juin 2010 Il exerçait en qualité de médecin spécialiste en maladies de l’appareil digestif à BESANCON

Dr Patrick GRANDIN, le 24 juin 2010 Il exerçait à la Maison Départementale des Personnes Handicapées à BESANCON

Dr Evelyne TRIMAILLE, le 20 janvier 2011 Elle exerçait comme médecin conseil à la CPAM du DOUBS à BESANCON

Médecins ayant quitté le département du Doubs Dr Catherine BALLIOT ! JURA Dr Olivier BARBOT ! PYRENEES ORIENTALES Dr Martine BARDY BULTOT ! ISERE Dr Blandine BECHETOILLE ! RHONE Dr Sophie BOROT ! HAUTE SAVOIE Dr Philippe BOUNIOL ! TERRITOIRE DE BELFORT Dr Corinne BOVET ZARETTI ! TERRITOIRE DE BELFORT Dr Christophe BRUNEL ! LISTE SPECIALE Dr Abdourahim CHAMOUINE ! MAYOTTE Dr Téodora CHIRIAC ! AVEYRON Dr Pierre CIAVALDINI ! GARD Dr Françoise-Alice CLEMENT WOLF ! VILLE DE PARIS Dr Arnaud COLLIN ! HAUTES PYRENEES Dr Stéphane COSSA ! JURA Dr Laurent COURTOIS ! JURA Dr Arlette DANZON ! VAL DE MARNE Dr Aicha DARCHI BERREKHIS ! MOSELLE Dr Aude DELVA ! HAUTE-SAONE Dr Jérome DI PAOLO ! LOIRE Dr Yves DUFFAIT ! JURA Dr Aurélie ESTIENNEY ! JURA Dr Christian FAVIER ! CORSE Dr Muriel FIOL ANGUENOT ! VAR Dr Stéphanie GALHIE DU RANQUET ! CORREZE Dr Bernard GALLET ! GUADELOUPE Dr Boumédienne GALLEZE ! TERRITOIRE DE BELFORT Dr Hélène GAUDILLIERE STREIT ! TERRITOIRE DE BELFORT Dr Patrick GRANDIN ! ILE DE LA REUNION Dr Sébastien HOSOTTE ! NOUVELLE CALEDONIE Dr Gaëlle HUMBERT ! JURA Dr Cécile HURLIMANN NOBILI ! HAUTE CORSE Dr Nicolas ISTRIA ! BOUCHES DU RHONE Dr Anne JEANNIN ! JURA Dr Jérôme IEHL ! HAUTE SAONE

Dr Aurélie KLEIN FLAMANS ! SEINES MARITIMES Dr Dominique LAMARQUE ! HAUTS DE SEINE Dr Nicolas LE BRUN FREDDI ! ARDECHE Dr Julien LEVANG ! POLYNESIE FRANCAISE Dr Audrey MAITRE ! JURA Dr Valérie MARIN ! ALPES MARITIMES Dr Sandrine MARIOLI ! ALPES MARITIMES Dr Philippe MARSIGNY ! NOUVELLE CALEDONIE Dr Anne MARTZOLFF PONSONNARD ! HAUTE VIENNE Dr Alain MICHEL ! RHONE Dr Liliana MILOS MIRCEA ! SARTHE Dr Marius MOLDOVAN ! TERRITOIRE DE BELFORT Dr Anne MORO ENEMUWE ! LISTE SPECIALE Dr Iulian NEGREANU ! LOIRET Dr Yves NOBILI ! HAUTE CORSE Dr Sorina PACIOIANU FLEISCHER ! HAUT RHIN Dr Joaquim PASCOA ! JURA Dr Gaël PITON ! COTE D’OR Dr Lucia Micadora POP ! AISNE Dr Xavier RACADOT ! TERRITOIRE DE BELFORT Dr Stéphane RENAUD ! HAUTE SAONE Dr Sophie RUBAGOTTI ! HAUTE SAONE Dr Robert SATTLER ! HAUT RHIN Dr Benjamin SEFFERT ! LOIRE Dr Alexandra SOUFI ! RHONE Dr Christophe STADLER ! JURA Dr Ventzislav TOCHEV ! AIN Dr Claire TOQUANT BOSSET ! DROME Dr Laura-Helena TUTELEA ! ARDECHE Dr Romain VALFORT ! AIN Dr Luciana VANCU MORARU ! JURA Dr Pascaline ZAMOR ! ISERE Dr Réka ZSIGMOND ! HAUTE-SAVOIE

Installations en médecine libérale

Dr Lisa BOCCARA WEBER Médecine Générale 30 A, rue du Mont - 25480 PIREY Tel. : 03.81.58.06.90.

Dr Matthieu BARRALI Ophtalmologie Collaborateur Libéral du des Drs Boris CLEMENT et Romain MONTARD 3, rue Rodin – 25000 BESANCON Tel. : 03.81.51.34.70.

Dr Anne Lise BOLOT Médecine Générale Collaboratrice Libérale du Dr PIERANGELO 16 Rue des Combes - 25520 ARC SOUS CICON Tel. : 03.81.69.92.29.

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TABLEAU Dr Samuel BOUILLET Médecine Générale Successeur du Dr Martine PATER 29 Grande Rue - 25170 EMAGNY Tel. : 03.81.55.00.54.

Dr Patrick CHERREAU Spécialiste en Anesthésie Réanimation SELARL “HYPNOS“ 33 Chemin des Tilleroyes 25000 BESANCON Tel : 03.81.47.21.16.

Dr Patrick FAY Médecine Générale Maison Médicale - 25380 BELLEHERBE Tel. : 03.81.43.00.69.

Dr Emmanuelle GILLOT Médecine Générale Successeur du Dr Bernard GALLET 1 Rue des Corvées 25870 CUSSEY SUR L’OGNON Tel : 03.81.57.76.83.

Dr Vincent GRIFFOND Médecine Générale Associé des Drs Martial BOTEBOL et Géraldine GEVREY 15 A, route de Lyon - 25720 BEURE Tel. : 03.81.57.56.50.

Dr Jean-Jacques HELIAS Médecine Générale Successeur du Dr Pierre HUFSCHMITT 15, rue de la Gare - 25800 VALDAHON Tel. : 03.81.56.41.21.

Dr Laurent JEUNET Chirurgie Orthopédique et Traumatologie 1, rue Rodin 25000 BESANCON Tel. : 03.81.54.20.88.

Dr Anne-Sophie KOENIG Médecine Générale 11, rue Frédéric Thourot 25200 MONTBELIARD Tel. : 03.81.32.11.43.

Dr Patricia LACOSTE Cardiologie et Maladies Vasculaires Successeur du Dr Guy MANCHET 3, rue du Lycée - 25000 BESANCON Tel : 03.81.81.14.39.

Dr Julien LOISEAU Médecine Générale SOS MEDECINS - 20 Avenue de l’Ile de France 25000 BESANCON Tel : 03.81.51.51.11.

Dr François PARCELIER Médecine Générale Collaborateur libéral du Dr F. VIERA DA SILVA 3, rue du Clousey - 25720 PUGEY Tel : 03.81.57.22.64. Dr Céline RABBE Médecine Générale Collaboratrice libérale des Drs BOUCARD-COMTE, SUPLISSON et NATTERO 5, rue Pasteur - 25130 VILLERS LE LAC Tel : 03.81.68.37.80. Dr Anne Raphaëlle SCHMIDT-GUERRE Dermatologie et Vénéréologie Associée du Dr Thérèse GASNIER 2 bis, rue de la Piscine - 25800 VALDAHON Tel : 03.81.56.24.30. Dr Hélène VERDOT Médecine Générale SCP des Drs ALLEGRETTI, MULIN, FLESCH et VERDOT 1 bis, rue de la Craie - 25410 SAINT VIT Tel : 03.81.87.71.22.

Liste des remplaçants en Médecine Générale.

Afin de faciliter vos recherches, les praticiens nouvellement enregistrés figurent en fin de liste.

NOM Prénom Licence / Inscription

Téléphone Secteur d’activités ou Adresse mail

ARISKINA Elena Inscription 25 06.84.23.52.31 AUBRY VILLAIN Maud Inscription 25 06.48.71.94.80. AUZAS Olivier Inscription 25 06.74.73.17.78 BEURTHERET Sophie Inscription 25 06.60.87.10.11 BIER Vincent Inscription 25 06.85.01.26.59 BOISSENET NEHLIG Nathalie Inscription 25 06.81.27.75.76 Secteur de Montbéliard BONNET PONCET Chloé Inscription 25 06.61.23.22.78 BRALET Claire Inscription 25 06.22.01.41.21 / 03.81.87.69.48 Besançon et dans un rayon de 30 kms CLEMENT Emilie Inscription 25 06.73.57.03.41 / 03.81.93.48.41

COLOMINA Sylvain Inscription 25 06.77.03.30.57

CORNUT Gilles Inscription 25 06.76.07.66.94 / 03.81.51.25.21

CUCHE Cyril Inscription 25 06.87.23.97.38

D’ANTERROCHES Alexis Inscription 25 06.08.57.55.32

DUBIEZ Marie Inscription 25 06.64.47.89.39

EYGONNET Frédérique Inscription 25 06.76.31.08.14

EVRARD Philippe Inscription 25 03.81.51.19.40

GHARET Nadia Inscription 90 06.88.36.20.98 [email protected]

GARNACHE CREUILLOT Delphine Inscription 25 06.86.03.87.65

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TABLEAU

NOM Prénom Licence/ Inscription

Téléphone Secteur d’activités ou Adresse mail

GIBOUDOT Lorane Licence 25 06.74.11.66.58 GONIN Nadège Inscription 73 06.62.33.91.59 Région Pontarlier GUYON Bastien Licence 69 06.68.22.07.03 HAREL Mathieu Inscription 25 06.64.93.46.12. KLOPPENSTEIN Christian Inscription 25 03.81.95.47.83 KURY Nicolas Inscription 25 03.81.83.20.91 / 06.70.03.26.66 Besançon – Pontarlier et ses environs LELU Virgile Inscription 25 06.78.25.15.04 LEUCI HUBERMANN Viviana Inscription 25 06.99.55.37.98 LEVASSEUR Romain Inscription 25 06.78.43.62.83. MACHEREL Gérald Inscription 25 06.64.03.11.75 Site Montbéliard - Hors vacances scolaires

MARTEL PAQUIERS Adeline Inscription 25 06.07.91.84.85 / 03.81.56.84.45

MAUVAIS Anaïs Inscription 25 06.81.85.41.19

MOUSSATA BELLALI Malika Inscription 25 06.60.22.72.60

MURATI Anne-Cécile Inscription 25 06.07.97.99.10 Besançon et ses environs

NOIROT Laurent Inscription 25 06.30.78.37.51

PARREAU Sandrine Inscription 90 06.73.35.30.89 Secteur Montbéliard uniquement

PATOZ Julien Inscription 25 06.79.98.66.04

PERNOT Corinne Inscription 25 06.33.32.20.08

RAMPONT Michel Inscription 25 03.81.30.97.15 / 06.74.46.67.83

RAVEOJOANA Dira Licence 25 06.85.37.28.63

ROSE Mélaine Inscription 25 06.32.90.56.16 [email protected]

SCHNEITER Alexandre Inscription 25 03.81.50.47.12

TON THAT Aude Inscription 25 06.09.62.35.18

TRAVAILLOT Anne Inscription 25 06.79.01.85.23 Besançon et dans un rayon de 15 kms

TURAN Jacques Inscription 70 06.77.81.39.93

WOLFARTH Jean Inscription 25 06.81.68.08.03

ZARDET Maud Inscription 25 06.62.03.37.30

BEL KAMEL Oualid Licence 25 06.15.66.07.41

MAGNIN FEYSOT Laure Inscription 25 06.86.18.77.54

MOUCHEL Louis Antoine Inscription 25 06.71.11.30.45

VUILLAUME Elodie Inscription 25 06.64.98.18.09

BRIOT ROUSSEL Maud Inscription 25 06.86.95.69.00

LESOURD Isabelle Inscription 25 06.83.47.62.28

ROUSSEL Olivier Inscription 25 06.82.58.84.34

BRUCHON Samuel Licence 25 06.88.70.85.84

CHARDON SUSBIELLES Alexandra Inscription 25 06.67.41.78.51

PETIT Bénédicte Licence 69 06.33.44.33.34

CAIREY REMONNAY Cécile Licence 25 06.89.28.08.63

VIEIRA Fanny Licence 25 06.07.82.72.97

RUBAGOTTI Sophie Inscription 25 06.72.38.78.98 / 03.81.85.07.48

RABUT Olivia Licence 25 06.61.87.70.59

MAITRE Audrey Inscription 25 06.67.18.83.29

AMMARI YOUALA Samira Licence 25 06.27.77.02.05

RABOLIN Elisabeth Inscription 25 06.82.47.46.10

DE VREGILLE Jacques Inscription 25 06.80.23.40.45

THIBAUD Denis Licence 25 06.80.95.60.12

RATTE Cécile Licence 25 06.71.59.59.82 / 03.81.39.12.52

GILLET Guillaume Licence 90 06.62.25.66.63

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TABLEAU

NOM Prénom Licence/ Inscription

Téléphone Secteur d’activités ou Adresse mail

PERRY Héloïse Inscription 25 06.14.05.02.22

CHOPARD dit JEAN Aude Licence 25 06.70.12.46.13

SCHIRLIN Maud Licence 25 06.76.12.58.71

JUNGO Tiffany Licence 25 06.79.62.63.92

MOREL Laetitia Licence 25 06.81.38.34.44

THOMAS Hélène Licence 25 06.68.14.04.25

HOUBERDON Bernard Inscription 90 06.08.85.67.25 [email protected]

VIGNOLA Elodie Licence 25 06.09.81.78.17

BOURGEOIS Laurène Licence 25 06.07.69.01.58

MARECHAL Florence Licence 25 06.76.21.71.77

CHAPELLE Elisabeth Licence 25 06.62.53.40.14

LORDIER Matthias Licence 25 06.61.86.64.51

GEHIN Marie Licence 25 06.82.87.06.35

JEANPETIT Raphaëlle Licence 25 06.77.11.86.58

OUDOT Emilie Licence 25 06.81.68.72.59

TERRIN Amélie Licence 25 06.85.82.58.70

POURCELOT MONTCHANIN Julie Licence 25 06.89.29.91.39

RODRIGUEZ Thomas Licence 25 06.09.71.63.99

BONNET Adeline Licence 25 06.82.21.64.51

MESLI Inès Licence 25 06.18.29.52.98

MARCHETTI Laurianne Licence 25 06.86.79.31.10

COPPI Stéphane Licence 25 06.62.47.20.94

PAGETTI Séverine Licence 25 06.64.97.63.55

GLASSON BENDIFALLAH Pascale Licence 25 06.37.05.13.16 [email protected]

REBIERE PUTOT Séverine Licence 25 06.87.26.73.09 [email protected]

GROFFAL Nicolas Licence 25 06.86.91.56.94

PETIGNY Séverine Licence 25 06.33.21.49.91 Secteur de DOLE uniquement

CROITORU AJOUX Ana-Maria Licence 25 06.99.48.64.92

VILLARD Claire-Sophie Licence 25 06.07.77.24.86

ARDIET Gilles Licence 25 06.81.35.40.57

BRUNET Benjamin Licence 25 06.23.12.07.70

DELVA Aude Inscription 25 06.73.43.86.37

DINET Benoît Inscription 25 06.15.37.43.56.

GAILLAN Elodie Licence 25 06.80.40.58.71

LEGER Romain Licence 25 06.11.43.35.10

WEIBEL CHAUCHET Anne Catherine Licence 25 06.31.22.84.45

DESSOUTER Céline Licence 25 06.28.20.91.68

LACROIX Magali Licence 25 06.83.49.79.91

MORAIN Caroline Licence 25 06.87.07.31.03

LEROY Anne-Sophie Licence 25 06.85.28.23.82

NIXDORF Sarah Licence 25 06.16.33.32.67

TIV Patrick Licence 25 06.65.47.13.47

BOISSELIER Jean-Louis Inscription 70 06.11.11.11.45 03.84.32.21.57

DUBOIS-COMTOIS Dominique Licence 25 06.86.81.49.30

NADO Loïc Licence 25 06.76.97.64.61

HAFFNER MAUVAIS Cécile Licence 25 06.47.42.84.50

PIOTTE Emeline Licence 25 06.18.04.71.60

MAIZIERRE Stéfane Licence 25 06.19.49.56.85

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21

TABLEAU

Liste des remplaçants en Spécialité

NOM Prénom Licence/ Inscription

Téléphone Spécialité

ALILET Arslane Licence 25 06.63.49.40.10 Anesthésie Réanimation

AUBERT Edouard Licence 25 06.79.04.82.54 Anesthésie Réanimation

BARROT Loïc Licence 25 06.89.85.07.92 Anesthésie Réanimation

BELIN Nicolas Licence 25 06.73.57.34.14 Anesthésie Réanimation

BESCH Guillaume Licence 25 06.77.89.70.39 Anesthésie Réanimation

DEVIN Antoine Licence 25 06.47.87.57.69 Anesthésie Réanimation

FLICOTEAUX Guillaume Licence 25 06.76.97.54.95 Anesthésie Réanimation

PAILLOT Jonathan Licence 25 06.50.36.99.59 Anesthésie Réanimation

PLASTARAS Philoktimon Licence 25 06.75.21.93.07 Cardiologie et Maladies Cardio-vasculaires

SOUKEUR Nadia Licence 25 06.18.86.29.59 Cardiologie et Maladies Cardio-vasculaires

SORREL Jérémie Licence 25 06.75.94.21.62 Cardiologie et Maladies Cardio-vasculaires

CONSTANTINU Barbara Licence 25 06.76.84.49.30 Chirurgie Orthopédique et Traumatologie

PAQUETTE Brice Licence 25 06.63.56.93.22 Chirurgie Viscérale

SACCOMANI Clarisse Licence 25 06.31.73.72.02 Dermatologie et Vénéréologie

BOURTEMBOURG Aude Licence 25 06.71.01.06.96 Gynécologie Médicale

GANNARD PECHIN Elsa Licence 25 06.64.46.47.89 Gynécologie Médicale

CURIE Vincent Licence 25 06.86.33.64.30 Gynécologie Obstétrique

MAIROT Julian Licence 25 06.70.06.15.82 Gynécologie Obstétrique

QUEMARD BARRALI Gwenola Licence 25 03.81.51.57.33 Médecine Nucléaire

DUCHENE Céline Licence 25 06.12.28.72.94 Neurologie

ABOUAF Lucie Licence 25 06.20.78.86.20 Ophtalmologie

AMANA Danielle Licence 25 03.81.80.30.89 Ophtalmologie

PRONGUE Aurélien Licence 25 06.24.62.72.96 Ophtalmologie

NOM Prénom Licence/ Inscription

Téléphone Secteur d’activités ou Adresse mail

NAGEL Emilie Licence 25 06.25.55.30.53

JALLEY Virginie Licence 25 06.23.77.72.84

FLAHOU Clément Licence 25 06.30.02.91.11

PIERRON PRUDENT Emilie Licence 25 06.30.92.53.34

BARTIER Raphaël Licence 25 06.83.42.12.35

COLLET Gaëlle Licence 25 06.85.54.74.60

SARRY Amandine Licence 25 06.22.69.41.45

DELANNOY RICHE Amandine Licence 25 06.83.51.76.29 [email protected]

DUBOIS BOUVEROT Marie-Anne Licence 25 06.60.55.06.31

SCHUBEL HASSAN Lucile Licence 25 06.63.67.82.95

ZAHND Arnaud Inscription 25 06.89.72.43.40

BONNET Chloé Inscription 25 06.61.23.22.78

GAPENNE Francis Inscription 25 06.63.39.42.44

MIHALCEA Lucian-Ion Licence 25 06.09.96.05.27

SAILLEY Raphaël Inscription 68 06.46.05.13.48 Disponible à partir du 1er Juillet 2011

ROGNON Marie Licence 25 06.88.06.91.24.

WILLIG Audrey Licence 25 06.64.78.86.10.

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TABLEAU

NOM Prénom Licence/ Inscription

Téléphone Spécialité

BEIGNIER Baptiste Marcel Licence 25 06.71.88.14.55 Oto-rhino Laryngologie et Chirurgie Cervico Faciale

LUTCHMAYA Mathieu Licence 25 06.69.05.59.29 Oto-rhino Laryngologie et Chirurgie Cervico Faciale

REINBOLD Stéphanie Licence 25 06.22.90.45.55 Oto-rhino Laryngologie et Chirurgie Cervico Faciale

BEAUSSANT COHEN Sarah Licence 25 06.13.42.24.08. Pédiatrie

COSSART Annabelle Inscription 13 06.81.63.67.97 Pédiatrie

DANKAR BAIDA Mayssoun Inscription 25 06.88.26.27.55. Pédiatrie

CARBONNEL Thomas Licence 25 [email protected] Psychiatrie

MATEO Yohan Licence 25 06.09.79.02.48 Psychiatrie

SCHMITT Anne Licence 25 06.64.34.84.34 Psychiatrie

CALZOLARI Laura Licence 25 06.20.01.25.70 Radiodiagnostic et Imagerie Médicale

CHAPUIS Sandrine Licence 25 06.24.64.06.30 Radiodiagnostic et Imagerie Médicale

DIETSCH Emmanuel Inscription 25 06.08.42.70.27 Radiodiagnostic et Imagerie Médicale

PERONI Anne Licence 25 06.62.76.31.90 Radiodiagnostic et Imagerie Médicale

Pour les médecins du département du Doubs en quête d’un remplaçant Notre Conseil vous propose de mettre en ligne sur son site internet, une annonce correspondant à votre recherche. Il vous suffit de nous adresser un message électronique indiquant vos coordonnées, la discipline, ainsi que les dates de vos remplacements. ! Destinataire : [email protected] ! Objet. : Annonce remplacement ! Contenu : Docteur (Prénom) (NOM), (discipline), (Ville d’exercice) CHERCHE REMPLACANT Pour la période ou les périodes suivantes : du …. au …. Me contacter au : (coordonnées téléphoniques) ou (adresse de messagerie).

Pour les remplaçants qui souhaitent que leurs coordonnées figurent sur le site internet du Conseil Départemental de l’Ordre des Médecins du Doubs

Il vous suffit de nous adresser un message électronique indiquant vos coordonnées et la discipline. (Vous pourrez à tout moment sur simple demande, solliciter votre retrait de la liste) ! Destinataire : [email protected] ! Objet. : Liste remplaçants ! Contenu : Je souhaite que mes coordonnées figurent sur le site internet du Conseil Départemental de

l’Ordre des Médecins du Doubs (NOM) (Prénom) (discipline) (coordonnées téléphoniques) (adresse de messagerie)

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Déclaration d’incident à remplir, puis à renvoyer, pour chaque incident que vous souhaitez porter à la connaissance de votre conseil départemental de l’Ordre.

Événement survenu le :L M M J V S D _____ /_____ / 200_____ , à ________ heures.

Cachet et signature (à défaut no d’identification ordinal) :

Observatoire pour la sécurité des médecins : recensement national des incidentsLe Conseil national a mis en place l’Observatoire de la sécurité des médecins, afin d’assurerun suivi de l’insécurité à laquelle les médecins sont exposés dans leur exercice professionnel.

Les informations fournies ne feront l’objet d’aucune autre exploitation que celles permettant une meilleure connaissance des problèmes de sécurité liés à l’exercice de la médecine. Conformément à la loi, vous avez un droit d’accès, de rectification et de suppression des données vous concernant que vous pouvez exercer en vous adressant à votre conseil départemental.

IDENTIFICATION DU CONSEIL DÉPARTEMENTAL

Vous êtes médecin spécialiste en __________________________________________(à compléter)

Vous êtes une femme un homme

Qui est la victime de l’incident ?Vous-même

Un collaborateur

Autre (à préciser)__________________________________

Qui est l’agresseur ?Patient

Personne accompagnant le patient

Autre (à préciser)__________________________________

A-t-il utilisé une arme ? (Préciser le type d’arme) _________________________________________________________

Quel est le motif de l’incident ?Un reproche relatif à une prise en charge

Un temps d’attente jugé excessif

Un refus de prescription (médicament, arrêt de travail…)

Le vol

Autre (à préciser)___________________________________________________________________________________

Pas de motif particulier

Atteinte aux biensVol

Objet du vol : _____________________________________

Vol avec effraction

Acte de vandalisme

Autre (à préciser)___________________________________________________________________________________

Atteinte aux personnesInjures ou menaces

Coups et blessures volontaires

Intrusion dans le cabinet

Autre (à préciser)___________________________________________________________________________________

Cet incident a eu lieu…

Au cabinet

Ailleurs (à préciser)___________________________________ _______________________________________________

Établissement public Établissement privé Dans un service d’urgence

Ailleurs (à préciser)__________________________________________________________________________________

À préciser :________________________________________________________________________________________

À la suite de cet incident, vous avez :Déposé une plainte

Déposé une main courante

Cet incident a-t-il occasionné une interruption de travail ?Oui : (indiquer le nombre de jours)________________________________

Non

Disposez-vous d’un secrétariat, d’un accueil ou d’un service de réception ?Oui

Non

L’incident a eu lieu…En milieu rural

En milieu urbain, en centre ville

En milieu urbain, en banlieue

remplie le _____ / _____ / 201 _____

Je désire rencontrer un conseiller départemental