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jazz en

Comminges 4>>>8MAI 2016

Saint-GaudensH A U T E - G A R O N N E

www.jazzencomminges.com

Dossierde

presse

PETITE HISTOIREDU FESTIVALDepuis des années, le Comminges est une terre de jazz.Terre de naissance de Guy Lafitte, saxophoniste de renommée internationale, né à Saint-Gaudens. Terre de clubs et de caves comme la Rotonde à Bagnères-de-Luchon où l’on recevait les plus grands musiciens de jazz, à l’époque du Hot Club. C’est pour continuer cette histoire que Pierre Jammes et Bernard Cadène créent en 2003 les « Rencontres du saxophone » devenues le festival « Jazz en Comminges ».Devenu mature, « Jazz en Comminges » a trouvé sa place dans le monde du jazz et compte aujourd’hui parmi les événements culturels majeurs de la région Midi-Pyrénées. Très attendu du public, il offre une programmation éclectique riche et internationale pour la partie IN. Quant au festival OFF, il invite à la découverte de nouveaux talents, propose des stages, des masters class, des projections de films… pour que le jazz vive au quotidien.« Jazz en Comminges » doit sa réussite aux artistes présents mais aussi à l’implication croissante de partenaires publics et privés désireux de participer à la diffusion de la culture jazz et soucieux de véhiculer l’image du Comminges au-delà de son territoire et d’aider à son développement touristique.Car aider à faire vivre ce festival, c’est aussi faire vivre une région et participer au rayonnement du Comminges.

Pierre Jammes

Contact presse : Céline Verdalou 06 82 12 39 37 / [email protected]çoise Comet 06 86 40 70 29 / [email protected]


Association CLAP16, rue de l’Indépendance

31800 Saint-Gaudens

Tél. 06 08 49 37 [email protected]

4/8 mai 2016

21 heuresParc des expositions de Saint-GaudensPremière partie

mercredi 4 mai 2016




31800 Saint-Gaudens


inRichard GALLIANO,Philip CATHERINE,Didier LOCKWOOD

Retrouvailles au sommet pour un trio d’exception. Pour notre plus grand bonheur, ces trois géants se réunissent autour d’un projet acoustique inédit.

Richard GALLIANOMusicien polyvalent, Richard Galliano s’exprime dans tous les genres musicaux, du classique au jazz en passant par la chanson. Il est le seul accordéoniste concertiste à enregistrer pour Deutsche Grammophon.Influencé par son père accordéoniste, Richard Galliano commence à jouer de l’accordéon à l’âge de quatre ans, prend des cours avec Claude Noël, et parallèlement à son apprentissage, suit une formation au conservatoire de Nice, étudiant l’harmonie, le contrepoint et le trombone (il reçoit le premier prix en 1969). Il découvre le jazz par le trompettiste Clifford Brown et s’intéresse, par la suite, aux accordéonistes spécialistes du jazz. Premier accordéoniste français qui abolit les frontières entre le jazz et le répertoire standard de l’accordéon, il n’aura de cesse de mélanger les genres. En 1973, il rencontre Claude Nougaro, avec lequel il collaborera comme arrangeur, chef d’orchestre et même compositeur. Il collabore avec de nombreux autres artistes, notamment Brigitte Fontaine, Al Foster, Juliette Gréco, Charles Aznavour, Chet Baker, Martial Solal, Miroslav Vitouš, Trilok Gurtu, Jan Garbarek, Michel Petrucciani, André Manoukian, Michel Portal, Bruno Letort, le violoncelliste Jean-Charles Capon et Bobby McFerrin. Il s’intéresse également à la musique de film. En 2010, il signe

un contrat d’exclusivité discographique avec Deutsche Grammophon, enregistre dans la foulée un album consacré à la musique de Jean-Sébastien Bach. En avril 2013 parait son album « Vivaldi », album consacré aux Quatre Saisons. Philip CATHERINE Depuis les années 60 Philip Catherine est une figure importante de la scène du jazz européen. Sa collaboration avec des grands artistes comme Charles Mingus, Chet Baker, Stéphane Grappelli, Dexter, Gordon, Larry Coryell, Tom Harrell, NHOP, pour n’en nommer que quelques-uns, son style et sonorité uniques, son engagement musical, sont importants et d’une influence incontestable sur le jazz contemporain européen. Guitariste de jazz belge né en1942. Il découvre à l’âge de 13 ans Georges Brassens et Django Reinhardt, s’achète une guitare et se met à écouter les grands musiciens de jazz de l’époque. Dans les années 1960, il accompagne de nombreux musiciens de jazz de passage à Bruxelles, puis à travers l’Europe : Lou Bennett, Dexter Gordon ou Stéphane Grappelli. En 1971, le violoniste français Jean-Luc Ponty l’engage au sein de son quintet. Au cours des années 1970, il enregistre ses premiers disques et tourne avec ses propres formations tout en continuant à accompagner des géants du jazz tels que Charlie Mingus, Benny Goodman, Toots Thielemans,

Charlie Mariano, Chet Baker, Larry Coryell et bien d’autres. Il s’est produit dans les plus grandes salles de concert. Ses compositions sont d’un lyrisme naturel, où le swing reste l’ingrédient essentiel.

Didier LOCKWOODNé à Calais en 1956, fils d’un professeur de violon et imprégné très jeune dans un univers musical, il devient vite un virtuose. Attiré par le jazz plutôt que par la musique classique, il s’initie au jazz rock et au violon électrique. A 17 ans il rejoint le groupe Magma et commence une carrière de rencontres et de recherche musicale. Stephane Grappelli devient son mentor, qu’il accompagne à travers le monde. Il rejoint le pianiste Dave Brubeck et multiplie ensuite tournées et enregistrements avec le gratin du jazz international. C’est en 1979 qu’il publie son premier travail solo avec New World.Précurseur des effets électroniques, il fait littéralement parler son violon. En 1985 il reçoit l’hommage de ses pairs et du public à travers une Victoire de la Musique. Il crée, en 2001, le Centre des Musiques Didier Lockwood consacré à l’apprentissage de l’improvisation. Très touché par le décès de Stephane Grappelli en 2007, il lui consacre l’album For Stephane qui sort le 27 mars 2008. Cet émouvant hommage rencontre l’adhésion du public. Le talent et la sensibilité restent des critères justement appréciés des mélomanes.

21 heuresParc des expositions de Saint-GaudensDeuxième partie

mercredi 4 mai 2016

David Sanborn, né le 30 juillet 1945 à Tampa aux Etats Unis est un saxophoniste, compositeur, arrangeur associé au smooth jazz, pionnier de la musique contemporaine et du croisement avec d’autres styles comme le jazz, le blues, le rythm’n’blues, et plus généralement le jazz fusion. Son jeu est reconnaissable par le ton passionné et les mélodies émotionnelles .Il a publié 24 albums, remporté six Grammy Awards, et a eu huit albums d’or et un album de platine. Il a inspiré d’innombrables autres musiciens.

Atteint de poliomyélite à l’âge de trois ans, il commence à jouer du saxophone sur les conseils d’un médecin pour renforcer ses muscles de la poitrine. Le saxophoniste alto Hank Crawford, a une influence précoce et durable sur lui. En 1959, il fait ses débuts professionnels à l’âge de 14 ans en jouant du blues avec Little Milton et Albert King. Il continue à jouer du blues quand il rejoint le Blues band Butterfield en 1965 avec qui il se produit à Woodstock. Avec Michael Brecker, il est, très vite, le saxophoniste de studio le plus demandé, tout en restant artiste de scène. Il sort son premier album solo en 1975 et commence, alors, une longue association avec Gil Evans tout en jouant et enregistrant, aussi, avec Stevie Wonder, les Rolling Stones, Sting et David Bowie. Il participe à la bande son de plusieurs films, dont la saga de « L’Arme fatale » aux côtés d’Eric Clapton et Michael Kamen. C’est véritablement avec l’album Hideaway qu’il affirme son talent, tant stylistique que créatif. Il s’en suit une longue collaboration avec Marcus Miller. En 1996, il accompagne le Phil Collins Big Band à Montreux (Suisse).Depuis 1960, il a joué ou enregistré avec grand nombre de musiciens :Jack DeJohnette, Bill Frisell, Charlie Hayden, Wallace Roney, Kenny Barron, Christian McBride, James Brown, Bryan Ferry, Michael Stanley,Bobby Charles, Cat Stevens, Roger Daltrey, Jaco Pastorius, les Brecker Brothers, Michael Franks, Kenny Loggins, Casiopea, Association des joueurs, Bruce Springsteen, Little Feat, Tommy Bolin, Bob James, James Taylor, Al Jarreau, Pure Prairie League, Kenny G , George Benson, Joe Beck, Donny Hathaway, Elton John, Guru, Linda Ronstadt, Billy Joel, Kenny Garrett, Roger Waters, Steely Dan, Ween, les Eagles, The Grateful Dead...Homme de télévision et radio, il a de 1988-1989 co-organisé Night Music, sur NBC, présentant des films sur des légendes du jazz( Thelonious Monk, Dave Brubeck et Billie Holiday) ou participant à des jams mémorables avec Sonny Rollins, Miles Davis, Joe Sample, Jean Luc Ponty, Pharoah Sanders, et beaucoup d’autres…De 1980 à 1990, il a il anime l’ émission de radio intitulée, Le Jazz Show avec David Sanborn. Musicien très actif, il compte déjà plus de 150 tournées en 2010, jouant régulièrement au Blue Note de Nagoya, Osaka et Tokyo au Japon. En 2010, il tourne principalement en trio avec l’organiste Joey DeFrancesco et Steve Gadd ,puis retrouve Marcus Miller l’année suivante. En 2013, il fait équipe avec Bob James et co-dirige en 2014 un quartet avec Joe De Francesco, Bobby Hutcherson et Billy Hart. Dans son ensemble, David Sanborn est un artiste qui repousse les limites et continue à faire une musique qui défie l’esprit et va droit au cœur.

LINE UP : David Sanborn (saxophones), Ricky Peterson (clavier et Hammond B3), Nicky Moroch (guitare), André Berry (basse), Billy Kilson (batterie), Karl Vanden Bossche (percussions).


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David SANBORN sextet




jeudi 5 mai 2016

Né le 7 mars 1983 à Montpellier, Rémi Panossian débute le piano en 1990.Trois ans plus tard il découvre l’univers du jazz en assistant à un concert de Michel Petrucciani. En 1998, il intègre le JAM à Montpellier pour y suivre des cours d’harmonie, d’improvisation et d’histoire du jazz. En juillet 2000, il se produit au festival Off de Jazz à Vienne. Après avoir obtenu son Diplôme d’Etudes Musicales de jazz et de musiques improvisées et un DEUG de Musicologie à Toulouse, il enseigne le piano jazz au stage « Les enfants du jazz » ainsi qu’aux Rencontres internationales de Capbreton pendant 4 ans .De 2005 à 2008, il se produit en duo avec le contrebassiste Julien Duthu et sort deux albums. Le duo reçoit le Trophée « Nouveaux talents » en 2008 au Festival Jazz à Montauban, et bénéficie du programme Jazz Primeur en 2009, programme de diffusion à l’étranger proposé par Cultures France. Rémi Panossian se produit sur de grandes scènes: festival de Taipei (Taiwan), d’Almaty (Kazakhstan), de Bishkek (Kirghizstan), de Tel Aviv (Israël), le B flat jazz club (Porto), Jazz in Marciac, Rhino jazz festival, Jazz sur son 31, Jazz à Montauban, le Divan Orange (Montréal/Canada), la Halle aux Grains (Toulouse), le Sunside, le Duc des Lombards…Né en 1976 à Johannesbourg, Maxime Delporte arrive à Marseille en 1985, pour y étudier le piano.Il pratique plusieurs instruments avant de choisir la contrebasse. Après avoir dirigé un big band amateur, il s’installe à Toulouse et rencontre les musiciens avec qui il collabore (Abdu Salim, Christian Tonton Salut, Pierre Dayraud, Jean-Marc Padovani…) et joue dans plusieurs festivals français (Nancy Jazz Pulsations, Jazz in Marciac, Jazz sur son 31, Millau en Jazz…) et internationaux (Espagne, Italie, Tunisie, Algérie, Maroc.). Egalement compositeur, il sort en avril 2009 le 1er album de son groupe « Stabat Akish ».Né le 6 février 1981 à Nice, Frédéric Petitprez débute la batterie à l’âge de 16 ans.En 2002 il obtient son DEM de jazz au conservatoire de Toulouse, étudie au sein de l’école de jazz Music’halle et entre dans l’orchestre national des écoles fneij(voies mêlées) dirigé par Eric Lareine et François Merville. En parallèle il travaille avec le batteur léon Parke , ce qui l’amènera à étudier pendant 4 mois à New York. Il joue depuis 2009 dans le trio du pianiste Rémi Panossian, tout en jouant et composant dans le « Artichaut Orkestra » dont le premier opus « T for Térésa » sort en 2011. Il a eu l’occasion de collaborer avec des musiciens tels que Jérome Barde, Pierrick Pedron, Ricky Ford,Damon Brown, Nicolas Gardel …

Remi Panossian, Maxime Delporte et Frédéric Petitprez débutent en trio fin 2009. Un premier album « Add Fiction » sort début 2011, très bien accueilli par la presse et le public. Leur unité est une grande force pour leur musique qui mélange énergie rock et lyrisme mélodique. Elu « Révélation de l’année 2011 par la radio « TSF Jazz » il a été invité à se produire à L’Olympia pour la soirée « You and the night and the music ». L’album suivant « BBANG », sorti en 2013, reçoit un très bel accueil de la presse et du public.

En 4 ans le trio a effectué prés de 250 concerts dans plus de 25 pays, France, Canada, Allemagne, Brésil, Portugal, Algérie, Norvège, Vénézuela… et surtout en Asie avec 6 tournées et plus de 100 concerts. Ils se sont produits sur des scènes prestigieuses telles que Tokyo jazz festival (Japon), Jarasum jazz festival (Corée du Sud), Guangzhou Opera hall (Chine), Taichung jazz festival (Taiwan) New Morning (Paris) Montréal jazz Festival , Enjoy Jazz (Allemagne)… Le dernier album RP3 est sorti début 2015.


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Découverte JAZZ sur son 31,notre partenaire.

Rémi PANOSSIANTrio RP3




jeudi 5 mai 2016

Les barrières dûment établies du jazz, Chucho Valdés les a franchies depuis tout petit, jouant à saute-moutons avec les styles, bop, pop, son, mambo, classique, contemporain et ainsi de suite… Tout n’est finalement que matière à créer de la musique.

Voilà pourquoi la loi des sacro-saintes catégories, les histoires de chapelles et les oeillères des gardiens du temple, il s’en est affranchi avec style, le sien : une main de fer et un doigté de soie, qui peut caresser ou fracasser le clavier, tourner autour d’une simple ligne mélodique, décoller sur une dense rythmique ou partir dans des vertiges harmoniques. Impossible de cerner l’art de Chucho Valdés. Et à bien l’écouter, sa musique raconte autrement une version du monde, ouvert par nature à l’autre et brisant les murs des identités segmentées.Avant de nous revenir tel qu’en lui-même, afro-cuban messenger devant l’éternel, fidèle à une esthétique dont il a lui-même posé de profonds jalons, Chucho Valdés aura creusé de nombreux sillons. Des chemins buissonniers quelque part entre Monk et Ravel ; des sentiers lumineux éclairés par Ernesto Lecuona et Bill Evans. Autant de pistes de réflexion, fondatrices et fondamentales, pour ce musicien qui cherche et trouve dans les notes, noires et blanches, la matière à faire jaillir un univers de toutes les couleurs. Irakere est entré depuis belle lurette au panthéon des musiques cubaines. Tous au service de son maître d’oeuvre, une vision polymorphe où le jazz entre en transe, où le funk se joue en version latine, où le bon vieux swing se conjugue avec la clave si typique. Emblématique de toute sa démarche, Irakere n’est malgré tout qu’une partie de sa vaste carrière. Il y eut un avant, et puis un après.Avant ce fut les leçons de piano au conservatoire, les premières années à se faire la main, à parfaire une science du contrepoint et un sens de la mélodie ajustée auprès de son père, Bebo, haute autorité de la musique cubaine. En 1959, le jeune homme débute d’ailleurs, sous sa direction, dans Sabor de Cuba, avant que ce dernier n’émigre au Mexique. Agé de 19 ans, Chucho Valdés demeure à La Havane, avant de s’exiler en Europe. Il développe, alors, ses propres projets : Chucho Valdés et son combo, en 1960, puis l’Orquesta Cubana De Musica Moderna, un septet plus orienté jazz, et enfin Irakere, qui s’impose dès son premier disque en 1974 avec « Bacalao Con Pane », un classique de groove bariolé !Dès lors, il va enchaîner les succès, engranger cinq Grammys et trois latin Grammys, renouvelant constamment cette formation et cette formule durant plus d’un quart de siècle. Et après l’an 2000, ayant rejoint l’écurie Blue Note, il signe sous son seul nom des disques qui font la synthèse de soixante ans de musiques, où il se projette vers de nouveaux territoires : New Conceptions, puis Chucho’s Steps, saluent ainsi les géants de l’histoire du jazz.

LINE UP: Chucho Valdés (piano), Yarodly Abreu Robles (percussions, chœurs) Reinaldo Melian (trumpet), Dreiser Durruthy Bombalé (bátas, vocals), Rodney Barreto (batterie, vocals), Gastón Joya(double bass, vocals), Manuel Machado (trumpet), Ariel Bringuez (tenor sax), Rafael Aguila (alto sax), Carlos Sarduy (trumpet, vocals)Association CLAP

16, rue de l’Indépendance31800 Saint-Gaudens


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Chucho VALDÉS «Tribute to Irakere»




vendredi 6 mai 2016

Christian Scott est un génie, mais il n’en a cure. Le jeune trompettiste de La Nouvelle Orléans est devenu en quelques années la figure d’une génération de jazzmen capables grâce à leur talent de bousculer les conventions du genre pour l’ouvrir à de nouveaux horizons et à un nouveau public.

C’est tout le sens de ce «Stretch Music» publié l’automne dernier qui revendique par son titre cette vision du jazz réjouissante que développe le trompettiste depuis des années en piochant dans toute la pallette des sons... et qui va même sur cet disque jusqu’à inventer de nouveaux instruments pour parfaire son oeuvre d’exploration et de métissage.Auparavant, il avait pubilé le sublime «Yesterday You Said Tomorrow» en 2010, participé au collectif Ninety Miles, et sorti son cinquième album «Christian aTunde Adjuah», euvre ambitieuse et majestueuse qui prend ses racines autant dans la tradition des «Black Indians» de la Nouvelle-Orléans que dans le rock, le hip hop, le funk ou la musique africaine.Né en 1983, il étudie la trompette avec son oncle le saxophoniste Donald Harrison Jr. Plus tard il rentre au Berklee College of Music et en ressort diplômé seulement trois ans après (au lieu de cinq). Après un premier album autoproduit et sorti en 2002, il est enrôlé par le label Concord qui produit son deuxième disque Rewind That en 2006. Nominé aux Grammy Awards, le trompettiste prodige est rapidement considéré comme l’un des talents les plus en vue du jazz contemporain. Ses thèmes inspirés du rap, de la soul et du rock font dire à certains critiques qu’il crée un nouveau genre.Son style, sa sonorité chuintée et son instrument adapté sur mesure se retrouvent dans l’opus suivant Anthem (2007), consacré aux ravages de l’ouragan Katrina qui a secoué sa ville natale. Christian Scott collabore à l’album Planet Earth de Prince. L’année suivante, sa performance enregistrée au festival de Newport fait l’objet d’une sortie en CD et DVD.L’artiste politiquement engagé a déjà collaboré avec les plus grands : Prince, Marcus Miller, Mos Def...Sa maîtrise technique et sa grande connaissance de la tradition jazz lui permettent de s’aventurer sur des terres musicales inconnues. Aux ballades lentes ou lyriques succèdent les rythmiques et les improvisations furieuses, grooves, hypnotiques; son jeu se fait suave, délicat puis explose. Sa musique peut être, trépidante, tendre, romantique puis rageuse et sombre. Il est l’un des grands artisans de l’évolution du jazz actuel.

LINE UP :Christian Scott (trumpet, reverse flugel, sirenette),Braxton Cook (straight alto, alto),Lawrence Fields (piano, keys),Kris Funn (bass),Corey Fonville (drums),Dominic Minix (guitar),Elena Pinderhughes (flute & additional vocals).


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Christian Scotta Tunde Adjuah Presents Strech Music




vendredi 6 mai 2016

Dee Dee Bridgewater, née le 27 mai 1950 à Memphis, débute dans l’orchestre de son père, le trompettiste Matthew Garrett, avec lequel elle part en tournée dans le Michigan en 1960. Durant sa scolarité, elle a l’occasion de partir en Union Soviétique avec l’orchestre de son université en 1969. Elle y rencontre Cecil Bridgewater, trompettiste d’Horace Silver, qu’elle épouse en 1970.

L’année suivante, installée à New York, elle est engagée dans le Big Band de Mel Lewis et Thad Jones, dont elle deviendra, jusqu’en 1974, l’une des solistes principales. C’est au sein de cette formation qu’au festival de Châteauvallon en 1973, elle se révèle au public français. Durant cette période, elle chante avec de prestigieux musiciens : Max Roach avec Freedom Now Suite , Dizzy Gillespie, Dexter Gordon, Sonny Rollins ou Roland Kirk. Elle intègre ensuite les ensembles de Stanley Clarke et de Norman Connors. Parallèlement, elle enregistre son premier album, Afro Blue (1974). Elle joue dans la comédie musicale de Broadway The Wiz, et obtient un Tony Award pour son rôle en 1975. L’année suivante, elle travaille avec Sir Roland Hanna, puis part travailler en Californie comme chanteuse pop.En 1984, sa participation à la revue Sophisticated Lady, tirée de l’oeuvre de Duke Ellington, lui permet de faire une tournée en Europe et un séjour à Paris. Elle revient deux années plus tard avec la pièce Lady Day, dans laquelle elle interprète le rôle de Billy Holiday. Elle fait la conquête de Paris, triomphe au théâtre de Boulogne-Billancourt en 1986, et sort un Live in Paris (1987). De retour aux Etats-Unis (1987), Dee Dee Bridgewater chante dans un All Stars dans lequel figurent Clark Terry, James Moody, Jimmy Mc Griff. Revenue à Paris en 1990, elle chante dans les clubs de la capitale, et notamment au New Morning avec son quartet composé du bassiste Tony Bonfils, du batteur André Ceccarelli et du pianiste Hervé Sellin, les standards de jazz, du gospel mais également « Les amants d’un jour » , qui firent la gloire d’Edith Piaf.En 1989, son duo avec Ray Charles lui permet d’accéder au statut de star internationale, avant de chanter une version originale de l’opéra Carmen en 1993. Aujourd’hui à la tête d’une discographie impressionnante, la chanteuse américaine s’est spécialisée dans les hommages, de Horace Silver avec Love and Peace (1995) à Ella Fitzgerald avec Dear Ella (1997), avant un concert enregistré au Japon, Live at Yoshi’s (2000), nommé comme meilleur album vocal lors des Grammy Awards de 2001. Avec J’ai deux amours (2005), c’est à la France qu’elle rend hommage tandis que l’album suivant, Red Earth (2007), enregistré à Bamako au Mali, fait se rejoindre jazz et musique africaine.Chanteuse au swing puissant, Dee Dee Bridgewater dégage dans son expression vocale une tonicité et une énergie unique dans tous les registres musicaux, qui vont du blues à la chanson contemporaine. En 2010, Dee Dee Bridgewater rend hommage à sa grande inspiratrice Billie Holiday, à travers une sélection de douze classiques dans Eleanora Fagan (1917-1959) : to Billie with Love from Dee Dee. Cinq ans plus tard, la grande dame du swing revient en compagnie du trompettiste Irvin Mayfield et de la quinzaine de musiciens du New Orleans Jazz Orchestra (NOJO) pour l’album de reprises et de compositions originales Dee Dee’s Feathers.

LINE UP : Dee Dee Bridgewater (vocalist), Irvin Mayfield (band laeder /trumpet), Michael Watson (trombone), Ricardo Pascal (saxes), Adonis Rose (drums), Victor Atkins (piano), Jason Weaver (bass).Association CLAP

16, rue de l’Indépendance31800 Saint-Gaudens


inDee Dee BRIDGEWATERIrvin MAYFIELD with The New Orleans 7




samedi 7 mai 2016


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Joe LOVANO Classic QuartetJoe Lovano a été exposé à la musique très jeune. Son père, son premier professeur, lui offre son premier saxophone, un alto, à l’âge de cinq ans et l’emmène au concert l’introduisant dans les jam sessions. Formé à l’école du be-bop, il élargit ses horizons musicaux à la Berklee School de Boston (1971-72) où il a pour professeurs Gary Burton et John LaPorta et comme condisciples Kenny Werner, Steve Slagle, John Scofield et Bill Frisell lesquels seront, à l’avenir, de fidèles partenaires. Deux concerts le révèlent à cette époque : l’un du groupe de Miles Davis, l’autre du quartet de Keith Jarrett.

Après des débuts dans des clubs des quartiers de la communauté noire, il se fixe à New York. De 1976 à 1979, il fait partie du Big band de Woody Herman, avec un fameux concert anniversaire à Carnegie Hall auquel participent plusieurs « anciens » de la formation : Stan Getz, Zoot Sims, Al Cohn et Jimmy Giuffre. Par la suite, il intègre les rangs du Jazz Orchestra de Mel Lewis, qui joue au Village Vanguard. Ily restera plus de dix ans. En 1981, il fait la connaissance de Paul Motian. Le batteur le choisit pour faire partie du quartet qu’il forme avec le guitariste Bill Frisell. Au cours d’une tournée européenne, Lovano, Frisell et Motian expérimentent le jeu en trio et y trouvent une liberté telle que le batteur décide peu après de se consacrer à ce format. Ce trio, qui occupe une place déterminante dans le paysage du jazz contemporain, connaît une longévité exceptionnelle et une discographie abondante qui oscille entre un répertoire très personnel et des relectures de standards ou thèmes du jazz moderne. La singularité du jeu de Joe Lovano attire l’attention sur ses talents expressifs, notamment en Europe où il présente son Wind Ensemble (dominé par les instruments à vent) et collaborant avec Henri Texier au sein du Transatlantik Quartet (1988). Aux Etats-Unis, Carla Bley, Elvin Jones ou Charlie Haden font appel à lui, appréciant la polyvalence du saxophoniste. Il devient une référence pour nombre de saxophonistes plus jeunes, tels Chris Potter ou Joshua Redman. Etroitement associé au guitariste John Scofield et au trompettiste Tom Harrell, Joe Lovano entame au début des années 1990 une collaboration avec le label Blue Note qui coïncide avec l’affirmation de sa carrière en leader. En deux décennies, il déploie un éventail de projets phonographiques qui révèle une profusion créative et une diversité d’inspiration rare. S’y concrétisent notamment son goût pour les expérimentations formelles, et le travail sur les timbres. Par la suite, l’inclusion de la voix de Judi Silvano (son épouse à la ville), et l’intégration d’instruments à vent témoignent du désir de créer une œuvre ambitieuse, qui aille bien au-delà des seuls canons du jazz. Son aisance de poly-instrumentiste, va dans le même sens. L’autre volet de sa production présente un visage plus traditionnel, quoique audacieux, dans l’expression individuelle, qui souligne son attachement profond à ses premières amours, avec des enregistrements en quartet avec le pianiste Mulgrew Miller, ceux qu’il réalise à la tête de son Nonet, ou encore avec le pianiste Hank Jones sur un florilège de standards.De Paul Motian à Elvin Jones en passant par Aldo Romano, Bill Stewart, Idris Muhammad, Lewis Nash ou encore Ed Blackwell , Lovano révèle une véritable entente avec des batteurs aux jeux très divers, et une indépendance en matière de pensée rythmique qu’il doit à sa pratique de la batterie, dont il joue depuis l’adolescence, comme David Liebman ou Chick Corea.

Auteur d’une œuvre qui impressionne par sa diversité, il s’impose surtout comme l’un des saxophonistes-clés de la fin du XXe siècle, au même titre que, David Liebman et Michael Brecker avec lesquels il forma le Saxophone Summit, de 1996 à 2007. Combinant une véritable souplesse rythmique avec une grande aisance harmonique et une sonorité très distinctive, qui passe par une maîtrise de l’instrument, notamment des harmoniques, il incarne au-delà d’’une synthèse de l’histoire du ténor, une sorte de mémoire vive embrassant, tradition et avant-garde, sans jamais se défaire d’un lyrisme et d’un goût du chant.

LINE UP : Joe Lovano (saxes), Lawrence Fields (piano), Peter Slavov (double bass), Lami Estrefi (drums).




samedi 7 mai 2016

Di Meola est né en 1954 à Jersey City, New Jersey. Jouant du tambour à cinq ans, il passe à la guitare deux ans plus tard et rejoint l’orchestre de l’école peu de temps après. Adolescent, il aime écouter de la musique country - notamment le guitariste Doc Watson.

C’est en découvrant Larry Coryell à l’âge de 16 ans qu’il se tourne vers le jazz. De collaborations en projets solos, Al Di Meola aura vécu 1 000 vies en une : Return to Forever avec Chick Corea et Stanley Clarke, tournées avec Jaco Pastorius, formation du Super Guitar Trio avec John McLaughlin et Paco de Lucia… Avec plus d’une trentaine d’albums à son actif, amoureux de la world music, il fait preuve d’une technicité époustouflante et raffinement mélodique.C’est après des études au Berklee College of Music de Boston, qu’il rejoint Chick Corea en 1974 qui dirige avec Stanley Clarke, Return to Forever. Il reste près de trois ans avec le groupe et enregistre trois albums en leur compagnie, dont Romantic Warrior. Il se fait rapidement remarquer par sa maitrise technique et pour ses compositions jazz rock complexesDès lors, à partir de 1976, il collectionne les récompenses, les tournées et les albums se multiplient avec les plus grands musiciens de jazz-rock : Jan Hammer, Steve Gadd, Jaco Pastorius... Ses instruments de prédilection sont la Gibson Les Paul, la Gibson ES 175, la Paul Reed Smith et bien sûr la Gibson ‘’Al Di Meola Signature series Les Paul ‘’. Il se produit avec les grandes stars de la guitare : le doyen Les Paul, mais aussi John McLaughlin et Paco De Lucia avec qui il forme, au début des années 1980, le Super Guitar Trio, connu pour son enregistrement en live de l’album, vendu en deux millions d’exemplaires, de Friday Night in San Francisco.C’est à partir de 1980 qu’il commence à explorer de nouveaux genres musicaux. En 1988, il fait sa première visite au Festival International de Jazz de Montréal et devient rapidement un habitué y revenant trois années consécutives, avec Llarry Coryell, en 1989 et Chick Corea, l’année suivante. Al di Meola est l’instigateur de plusieurs formations comme le Al Di Meola Project en 1985, le Rite of Strings, trio formé avec Stanley Clarke et Jean-Luc Ponty, où le Al Di Meola World Sinfonia 2000. Ce groupe, qu’il considère comme le meilleur de sa carrière, composé du guitariste Hernan Romero notamment,est largement influencé par le tango argentin d’Astor Piazzolla.Il a remporté quatre fois la distinction de Best Jazz Guitarist (meilleur guitariste de jazz) décernée par les lecteurs de Guitar Player Magazine.

LINE UP : Al Di Meola (guitar), Peo Alfonsi or Kevin Sedikki (2nd guitar), Peter Kaszas (drums, percussions).


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Al Di MEOLA« Elysium & More »

En partenariat avec leFestival du Comminges.




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Programmation OFF

4/8 mai 2016

Mercredi 4 mai 2016Maison du Festival (Halle aux Grains)

« Faut qu’ça swingue ! » Philro Jazz Project14 h 30 >> 16 h 00Philippe Rochet, entouré de ses musiciens, nous convie à un récital de chansons jazzy dont il est l’auteur. Les textes parlent souvent de l’enfance, de choses à la fois intimes et universelles, sur le ton de l’humour et de la légèreté

Big Band Cadet 3117 h 30 >> 19 h 00Créé à l’initiative du Conseil Départemental de la Haute-Garonne, cet orchestre de jazz est formé de 58 musiciens sous la direction de Philipe Léogé. Ces jeunes artistes âgés de 10 à 17 ans, sont tous issus de dix écoles de musique du département.

Toulouse Louisiana Jazz, musique de rue joue la musique des Orchestres de Jazz traditionnel de la ville de la Nouvelle Orléans en Louisiane.

Jeudi 5 mai 2016Maison du Festival (Halle aux Grains)

Manel Cheniti trio invite Esaie Cid au sax alto« Hommage à Dinah Washington »11 h 00 >> 12 h 30La voix envoutante de Manel rend hommage à l’ immense chanteuse Dinah Washington. Ce répertoire dans lequel, swing, blues et gospel s’entrelacent, révèle la maîtrise et le talent du saxophoniste parisien Esaie Cid.

Atelier adultes du conservatoire Guy Lafitte15 h 30 >> 17 h 00Wilfrid Arexis enseigne les techniques d’improvisation pour toutinstrument. S’adresse aux personnes sachant déchiffrer une partitionet ayant minimum 3 ans de pratique instrumentale.

Quartet Mobility18 h 00 >> 19 h 30Laurent Carle : piano, compositions; Pierre Dayraud : batterie; PabloValat : trompette; Laurent Chavoit : contrebasse. Quatre fortes personnalités au service d’un discours collectif, associant un lyrisme parfois sauvage et une puissance rythmique savamment contenue.

Sax For Ever, musique de rueLe quatuor de saxophone Sax 4 Ever quartet a le plaisir de vousprésenter son programme jazz 2016.Du swing du funk du tango du jazz rock... & des musiques du monde.




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Programmation OFF

4/8 mai 2016

Vendredi 6 mai 2016Maison du Festival (Halle aux Grains)

Lady Spancer Quartet11 h 00 >> 12 h 30Lady Spancer Quartet ou la rencontre de quatre copains… Ilspartagent un même plaisir du swing, de la musique de Django et desbelles tablées ! Jazz manouche.LSQ : Arthur Anelli & Bertrand Piquemal, guitare; Jean Clermont : clarinette; Pierre Brice, contrebasse.

CONTREBAND chante BRASSENS15 h 00 >> 16 h 30«CONTREBAND», un sextet des plus enthousiastes, qui pratique lamusique de la Nouvelle Orléans avec cet esprit qui met au dessusde tout la gaieté et la convivialité.Aufaure Gabriel, Dargent Guy, Ratier Jean-Jacques, Patrick Vivien, Francis Guéro.

Sugar Bones18 h 00 >> 19 h 30Le style musical du groupe est à la croisée de la soul, du jazz et de la funk avec quelques sonorités hip-hop et électro. C’est sur scène que Sugar Bones prend toute sa dimension et offre au public un concert détonnant porté par une chanteuse charismatique à la voix sweet and strong !

Dany Street Jazz Band, musique de rueCe sont 4 joyeux lurons en plein délire musical mais avec sérieux qui interprètent un Jazz de la nouvelle Orleans à la sauce Jambalaya.

Samedi 7 mai 2016Maison du Festival (Halle aux Grains)

THIERRY OLLE TRIORG guest NICOLAS GARDEL11 h 00 >> 12 h 30Thierry Ollé et ses complices proposent un concert dédié à l’organisteJimmy Smith, véritable légende du jazz. Un hommage « décoiffant » placé sous le signe du blues et du « groove ».Thierry Ollé : orgue, Cyril Amourette : guitare, Pierre Thuriés : batterie, Nicolas Gardel : trompette.

Orchestre du conservatoire Guy Lafitte15 h 00 >> 16 h 00Wilfrid Arexis nous emmène sur un large répertoire de standards et decompositions originales allant du Swing au Funk. Cet ensemble estouvert aux élèves de fin de 1er cycle instrumental, ainsi qu’à toutmusicien commingeois de bon niveau et d’expérience.




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Programmation OFF

4/8 mai 2016

TREMPLIN - JEUNES TALENTS17 h 00 >> 20 h 00Trois groupes se produiront à la Maison du Festival : ACTUAL GROOVE, DANS LA FOULÉE QUARTET, YOU GET SEXTAPE.

Jazzapipou, musique de rue« Jazz à Pipou » est un quartet de musiciens passionnés par la magiedes rythmes de la Nouvelle-Orleans » et les Biguines des Iles.

Dimanche 8 mai 2016Maison du Festival (Halle aux Grains)

VV4TET11 h 00 >> 12 h 30Autour de la chanteuse sicilienne Valeria Vitrano, George Storey (basse/contrebasse), Vincent Alloui (piano/claviers), Mathias Bayle (batterie).Ils partagent leur complicité dans l’interprétation d’un répertoire fait deblues, de swing, de groove et bien sûr, de standards du jazz italien.

Classe CHAM du collège Didier Daurat,Jazz et Chanson14 h 30 >> 15 h 30Les élèves des classes CHAM (classes à horaires aménagés musique) du collège Didier Daurat bénéficient d’un enseignement musical de 5 heures par semaine, dont 3 heures au CRI (Conservatoire à rayonnement Intercommunal), intégrées dans leur emploi du temps.

Atelier juniors du Conservatoire16 h 00 >> 17 h 00Cet atelier a pu se composer cette année grâce à une heureuseaugmentation des effectifs jeunes dans cette discipline. Dirigée parWilfrid AREXIS, cette formation junior interprète des standards d’unlarge répertoire jazz et musiques du monde.

Olivier Franc Quintet18 h 00 >> 19 h 30Olivier Franc est aujourd’hui reconnu dans le monde entier commeétant le meilleur disciple de Sidney.Tout en restant fidèle au style et àl’esprit de la musique de Sidney Bechet, Olivier Franc propose unemusique nouvelle et personnelle avec des compositions originales.En 1979, il reçoit le Prix Sidney Bechet de l’Académie puis obtient lePrix Musiciens Français du Hot Club de France en 1997.© D.Pallages



JazzmixDe Olivier TaiebJazzMix est un film de 90ʼ qui retrace huit concerts de huit groupes actuels de New York, filmés dans huit différents clubs de Jazz de Manhattan. JazzMix est aussi et surtout une balade dans le New York dʼaujourdʼhui puisque pendant ces huit concerts, le film se promène dans les quartiers des différents clubs de jazz avec une touche de poésie propre à New York, c’est-à-dire métissée, urbaine et résolument vibrante.

Cotton clubDe Francis Ford Coppola1919.La prohibition a engendré une vague de violence qui déferle sur l’Amérique. A New York, au célèbre cabaret «Cotton Club», la pègre, les politiciens et les stars du moment goûtent les plaisirs interdits. Un danseur noir et un trompettiste blanc sont emportés dans une tourmente où l’amour et l’ambition se jouent au rythme des claquettes, du jazz... et des mitraillettes.

Daniel Humair solitaire, solidaireDe Michel DieuzaideDaniel Humair, musicien de jazz, peintre, cuisinier et pédagogue ! La caméra de Michel Dieuzaide accompagne lʼartiste dans lʼatelier de sa maison de Creuse, en concert avec J.F Jenny-Clark, Tony Bergonzy et Joachim Khunn mais aussi en cuisine ou aux cotés dʼun jeune élève auquel il donne une leçon de batterie.[ ... ] Diffusé une seule fois sur Paris Première, ce film presque inédit accompagne désormais les expositions du peintre [ ... ].


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Le festival, c’est aussi...

4/8 mai 2016

RECUP’ART & BOOGIE WOOGIEExposition du mardi 3 au mardi 10 mai 2016le Festival Jazz en Comminges réaffirme son engagement pour ledéveloppement durable avec la nouvelle exposition Récup’Art.Vernissage mardi 3 mai à 18 h au Théâtre Marmignon.

STAGE - MASTERCLASSDu jeudi 5 au samedi 7 mai 2016Jazz en Comminges vous propose un stage de trois jours ouvert auxmalvoyants/non-voyants, animé par Philippe LÉOGÉ avec le soutien desprofesseurs du Conservatoire GUY LAFITTE : du jeudi 5 mai au samedi 7 mai 2016, de 9 h 30 à 12 h 00 et de 14 h 00 à 16 h 30 à l’Auditorium de la Médiathèque.Concert de fin de stage : samedi 7 mai à la Médiathèque de 16 h 00 à 17 h 00 (ouvert au public).Pour tout renseignement : Françoise Comet Tél. 06 86 40 70 29 Email : [email protected]

LES JOURNEES CINEMAPendant 4 jours le Cinéma le RÉGENT vous propose 3 films sur lethème du JAZZ à des horaires différents (consulter la programmationdu cinéma) au prix unique de 5,90 €. http://www.cineregent.fr/



Jazz en Comminges >> Saint-Gaudens


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Le festival, c’est aussi...

4/8 mai 2016

LE PARTENARIAT

Avec JAZZ sur son 31du Conseil Départemental de la Haute-Garonne

Pour le concert de RP3 (Rémi Panossian Trio) le jeudi 5 mai 2016, au Parc des Expositions du Comminges, à 21 h 00.

Avec le FESTIVAL du COMMINGESde Saint-Bertrand de Comminges

Pour le concert de Al Di MEOLA « Elysium & More »le samedi 7 mai 2016, au Parc des Expositions du Comminges, à 22 h 50.

Avec la CHAPELLE SAINT-JACQUES, Centre d’Art Contemporain conventionné

Autour de l’exposition Road Movie Pop Corn avec « La Cellule » (Becquemin & Sagot)Road Movie Pop Corn est un cheminement, un récit, une épopée joyeuse. C’est un show, une revue où la scène se déroule sur des temps de vacances à la plage. Les artistes s’emparent avec humour de symboles d’une société trop souvent soumise à la tyrannie du divertissement.

Mercredi 4 mai, 18 h 30 Apéritif dînatoire en musiqueavec Wilfried Arexis et Eric ShaferA la Chapelle Saint-Jacques, intermède sensoriel entre images et musique, sur la route des vacances. Cette proposition est une création originale des musiciens sur les images de « La Cellule ». Une heure de dépaysement acoustique.

Du 4 au 7 mai, 10 h 00 -12 h 00 / 14 h 00 à 18 h 00Ateliers de pratiques artistiques pour les enfants et/ou les parentsà la Halle aux grains - GRATUITEntre musique et arts plastiques il faut jouer, inventer, créer. Un moment de plaisir partagé.

Le Concours PHOTOAvec pour thème « Le JAZZ »Ouvert à tous les amateurs et professionnels de toutes nationalités. Renseignements et inscriptions : François CARIDEL Tél. 07 68 05 28 40 Email : [email protected]




Le Commingeset sa région...Le Comminges s’étend du sud de Toulouse jusqu’aux Pyrénées, du Couserans ariégeois aux coteaux de Gascogne et frontières du Gers. Des grands espaces naturels des Pyrénées centrales, aux richesses patrimoniales des villages de plaines, c’est une terre de diversité.Les Pyrénées structurent fortement l’image du Comminges, réunissant les plus hauts sommets du massif. Les nombreux vestiges permettent de découvrir en quelques dizaines de kilomètres, l’histoire de l’humanité : Montmaurin, la plus vaste villa gallo-romaine en France, la cathédrale romane et gothique de Saint-Bertrand de Comminges, l’église romane de Valcabrère et la Collégiale de Saint-Gaudens, Aurignac et ses vestiges préhistoriques, les gorges de Lespugue… sans oublier le chemin de Saint-Jacques de Compostelle et la multitude de villages de caractère, abbayes et châteaux. Le tourisme en Comminges est vert, sportif, de montagne, d’hiver et d’été. Il est aussi thermal avec Barbazan, Bagnères de Luchon, Capvern et culturel avec le festival du film à Luchon, le festival du Comminges, les Pronomades, le salon des Arts et du Feu… sans oublier le festival de Jazz en Comminges.

Pour aider à sa découverte, des Offices de tourisme sont en mesure de proposer des « journées festival » à un prix attractif. Un large choix est proposé pour satisfaire tous les goûts et attentes : découverte du patrimoine, visite de sites artisanaux, randonnées nature ou gourmandes, préhistoire et grottes, remise en forme… le tout s’achevant, bien entendu, par une soirée du festival.

INFOS aux Offices de tourisme de :

Saint-Gaudens05 61 94 77 [email protected]

Luchon05 61 79 21 [email protected]

Aspet05 61 94 86 [email protected]

Aurignac05 61 98 70 [email protected]

Martres-Tolosane05 61 98 66 [email protected]

La Barthe de Neste05 62 98 87 [email protected]

Salies du Salat05 61 90 53 93

ToulouseMontpellier

Bordeaux

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Infos pratiquesGestion, organisation :Association [email protected]

Direction, programmation, communication :Pierre Jammes Tél. : 06 08 49 37 81 email : [email protected]

Communication :Françoise Comet Tél : 06 86 40 70 29 email : [email protected]

Transports :Marek Tél : 06 30 10 67 32

Régie technique :Marc Rodriguez Tél : 06 72 60 38 97 email : [email protected]

Stages de jazz : informations et inscriptions (avec ou sans hébergement)Françoise Comet Tél : 06 86 40 70 29 email : [email protected]

Organisation du OFF :Paul Mollard Tél : 06 76 34 65 05 email : [email protected] Estaran Tél : 06 33 87 34 35 email : [email protected]

Réservations : Internet : www.jazzencomminges.com Office du Tourisme du Saint-Gaudinois Tél. : 05 61 94 77 61, email : [email protected] Festik : http//jazzencomminges.festik.net/ Réseau France Billets : FNAC, CARREFOUR, GEANT, HYPER U, INTERMARCHE Tél. : 0 892 683 622 (0,34 €/ min) email : www.fnac.com Réseau Ticketmaster : CULTURA, AUCHAN, LECLERC Tél. : 0 892 390 100 (0,34 €/ min) email : www.ticketmaster.fr Box Office Toulouse Tél: 05 34 31 10 00, email : [email protected] Ofic Torisme de Vielha. Espagne Digitick : www.digitick.com Par correspondance : CLAP, Le Régent - 16 Rue de l’Indépendance - 31800 Saint-Gaudens

Tarifs Normal Réduit* Jeune** Total

Une soirée : 35 € x ... 29 € x ... 18 € x ... ...

Choix de la date .....................................................................................

Pass 2 soirées : 58 € x ... 48 € x ... 32 € x ... ...

Choix des dates .....................................................................................

Pass 3 soirées : 85 € x ... 72 € x ... 42 € x ... ...

Choix des dates .....................................................................................

Abonnement 4 soirs : 105 € x ... 96 € x ... 52 € x ... ... * Tarif réduit avec justificatif (ex : carte sourire) : étudiants, demandeurs d’emploi,groupe de plus de 10 personnes, CE.** Tarif jeune : moins de 18 ans, gratuit pour les moins de 12 ansTarif CE (groupe de 10 personnes ou plus) : Nous consulter au 06 08 49 37 81

Restauration au Parc des Expositions : Réservation : Tél : 06 83 57 43 39 Repas complet : 17 € Place carré VIP avec cocktail dînatoire le 4 mai : 52 € Place carré VIP avec collation à l’entracte : 40 € Hébergement/ Restauration/ Séjour/ Visites (Découverte du Comminges)Renseignements : Office du Tourisme de Saint-Gaudens. Tél. 05 61 94 77 61

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