magazine planète ekologie - numéro 3

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Pays Basque-Béarn-Sud des Landes Numéro 3 Gratuit Planète www.planete-ekologie.fr www.planete-ekologie.fr l t Planète Planète Serge Blanco Serge Blanco Interview Interview exclusive exclusive Vos trucs et astuces Vos recettes bios Vos jeux Partenaire Surfrider Planète Société Planète Société L’environnement L’environnement fait son cinéma fait son cinéma Bilan du sommet Copenhague Copenhague Planète News Planète News Le Le maquillage bio maquillage bio Conseils beauté Planète Beauté Planète Beauté La La pollution pollution des des spams spams Planète Web Planète Web Construction Construction et rénovation et rénovation écologique Planète Habitat Planète Habitat Alimentation Alimentation bio bio Planète Santé Planète Santé revue03.indd 1 01/03/10 08:39

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Magazine gratuit traitant de l'écologie et de l'environnement. Distribué dans le Pays Basque, le Béar, le Sud des Landes

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Page 1: Magazine Planète EKOLOGIE - Numéro 3

Pays Basque-Béarn-Sud des Landes Numéro 3 Gratuit

Planètewww.planete-ekologie.frwww.planete-ekologie.frl t

PlanètePlanète

Serge BlancoSerge Blanco

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Vos trucs et astucesVos recettes bios

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Page 2: Magazine Planète EKOLOGIE - Numéro 3

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Vous avez un projet de Vous avez un projet de maison neuve ou en rénovation ?

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Édito

Vers quel futur allons-nous ? Telle est la question essentielle et incon-

tournable que nous devons nous poser régulièrement pour apporter des

réponses écologiques à notre vie. Copenhague laisse un goût amer à

tous ceux qui croyaient qu’enfi n la politique, l’économie et l’écologie

pouvaient ne faire qu’un pour que nous puissions tous lutter contre le

réchauffement climatique. Ce sommet a démontré que la situation est

bien plus diffi cile que nous le croyons et, que malgré les meilleures

intentions, la pratique reste ardue. Peut-être que nous espérons trop trop

vite et que nous devons nous faire à l’idée que les véritables change-

ments viennent petit à petit. Nous ne pouvons qu’espérer un dénoue-

ment meilleur pour les prochaines rencontres annuelles. En attendant

que les politiques trouvent un terrain d’entente, restons dans la même

dynamique écologique quotidienne. Peut-être n’est ce qu’une goutte

d’eau dans la mer mais les plus grandes causes ont commencés par de

petits pas.

Ce numéro 3 de Planète EKOLOGIE reste toujours aussi motivé pour

vous informer sur l’actualité environnementale ainsi que sur les acteurs

locaux qui font de l’écologie leur principale activité. Retrouver en fi n

de magazine la liste de tous nos annonceurs avec leurs coordonnées

complètes pour vous faciliter encore plus la tâche dans vos nouvelles

résolutions vertes.

Bonne lecture !

Planète Ekologie

Planète EkologieDistribué dans plus de 300 dépôtsPays Basque, Béarn, Sud des Landes

Planète Ekologie est réalisé par la SARL BAB’S Éditions

21, quartier Amotz64310 Saint-Pée -sur-Nivelle

[email protected]

05 59 23 25 92

Directeur de Publication et Rédacteur en Chef

Christopher George

Rédacteur Adjoint et MarketingSuzanne George

Maquette et InfographisteCompo-Méca - 64990 Mouguerre

Directrice ArtistiqueMaryse Mignard

Nous [email protected]

Publicité[email protected]

ISSN 2103-9194Planète EKOLOGIE est une marque déposée,

tous droits réservés

Planète EkologieDistribué dans plus de 300 dépôtsPays Basque, Béarn, Sud des Landes

Planète Ekologie est réalisé par la SARL BAB’S Éditions

g

21, quartier Amotz64310 Saint-Pée -sur-Nivelle

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Directeur de Publication et Rédacteur en Chef

Christopher George

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Maquette et InfographisteCompo-Méca - 64990 Mouguerre

Directrice ArtistiqueMaryse Mignard

Nous [email protected]

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ISSN 2103-9194Planète EKOLOGIE est une marque déposée,

tous droits réservés

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Ce magazine est réalisé avec du papier aux normes PEFC

Imprimé en CEE

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Page 4: Magazine Planète EKOLOGIE - Numéro 3

Sommaire

Carnet de bord

12 PUBLI REPORTAGE SWEETAIR

15 PUBLI REPORTAGE WANDERS

38 VOS TRUCS & ASTUCES

42 JEUX

44 RÉPONSE JEUX

45 LISTE DES ANNONCEURS

46 LISTE DES SALONS

12 PUBLI REPORTAGE UBLI SWEETAIR

1515 PUBLI REPORTAGE RE WANDERS

38 VOS TRUCS & ASTUCES

42 JEUX

44 RÉPONSE JEUX

45 LISTE DES ANNONCEURS

46 LISTE DES SALONS

Planète Habitat 6 Construire écologique

8 Récupération de l’eau de pluie

9 La maison passive

13 Rénover écologique

Planète News 16 Les leviers d’action

pour réduire l’impact carbone

23 Bilan du sommet de Copenhague

Interview 19 Serge Blanco

Planète Société 25 L’environnement fait son cinéma

Planète Web 27 Les spams

Planète Bien-être et santé 28 Alimentation bio ou manger bio

Planète Beauté 33 Le maquilage bio

Planète Gastronomie 35 Les recettes

33 Le maquillage bio

28Alimentation bio

6 Construire écologiqueRêve ou réalité

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Une maison écologique c’est l’art de combiner des maté-riaux, naturels ou non, pour en retirer les meilleures qua-lités environnementales. Les matériaux les plus sains ne sont pas nécessairement composés de produits naturels, bien qu’il existe aujourd’hui un grand nombre de maté-riaux à base de produits naturels très effi caces.

Dans un document rendu public en 2001, l’association HQE (Haute qualité environnementale) mettait les points sur les « i » : « Pour aider les concepteurs à améliorer la qualité environnementale des projets de construction ou d’adaptation des bâtiments, des listes de produits de construction ont été produites (listes noires d’interdictions et listes grises de préférences). On parle maintenant de listes de produits “HQE”. Ces dernières n’existent pas et il serait logique qu’il n’y en ait jamais », explique l’associa-tion. En effet, selon elle, tous les produits de construction ont (ou non) des caractéristiques environnementales et sanitaires qui leurs sont propres, comme le sont leurs ca-ractéristiques techniques et économiques. Ainsi, le béton est un bon conducteur de chaleur, ce qui permet de mieux la répartir dans l’habitation. Des planchers en béton sont utilisés pour répartir la chaleur captée par des appareils solaires thermiques. Autre exemple, les isolants de tous types, ou les fenêtres à double vitrage, contribuent égale-ment à la réduction de la consommation d’énergie et donc participent à la démarche HQE.

Habitat

Rêveou réalité ?

Construire écologique

Une réalité pour un nombre croissant de propriétaires qui placent l’écologie, les éco-nomies d’énergie et le respect de l’envi-ronnement au centre de leur mode de vie.

Le logement « vert » existe sous plusieurs facettes, à travers des démarches et quelques applications concrètes. Panorama des différentes possibilités exis-tantes.

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Bien sûr, les matériaux traditionnels utilisés dans la construction ne sont pas exempts de défauts, no-tamment du point de vue sanitaire, qu’il ne faut ni négliger ni oublier. Selon l’association Terre Vivante, les isolants en polyuréthanne ou po-lystyrène peuvent provoquer des allergies. Les laines de verre et de roche peuvent en-traîner des maladies des voies respiratoires et les produits de traitement de bois des intoxications. Enfi n, la plupart de ces ma-tériaux consomment beaucoup d’énergie et sont diffi cilement recyclables.Pour en évaluer la qualité sur l’environne-ment, il existe la norme NF P01-010, desti-née à établir un référentiel sur les qualités environnementales possibles des produits de construction. De même, pour l’équipe-ment électroménager type lave-vaisselle, existe une classifi cation européenne qui permet d’évaluer leur effi cacité en consom-mation énergétique et en ressource naturelle. Attention toutefois, il ne s’agit pas d’un brevet de qualité environnementale pour autant. Une maison sera « écologique » selon le contexte (cli-mat, situation...) et les matériaux utilisés qui peuvent très bien être certifi és NF sans suivre l’approche HQE et inversement.

Reste qu’il existe des matériaux dits naturels qui trouvent leur utilité dans la construction, du gros œuvre à la fi nition en passant par l’isolation. Le bois est le plus évident. Une fois débité, il retient le gaz carbonique stocké dans ses fi bres. C’est un excellent conducteur de chaleur et peut servir dans de nombreuses applications : (charpente, os-satures, menuiseries, terrasses), en toitures et pour les pa-rois où plusieurs formes existent, panneaux et même des parpaings.Parmi les autres matériaux non-polluants et recyclables existent également la terre cuite, la brique isolante, le chanvre. Ce dernier est utilisable pour le gros œuvre mais aussi pour l’isolation, tout comme le lin, le liège, la laine de mouton et les produits à base de cellulose, comme la boue papetière.

Par ailleurs, la végétalisation des toitures participe égale-ment à l’isolation thermique et phonique de manière éco-logique. Enfi n, pour compléter le tableau par les fi nitions, il existe des peintures sans solvants chimiques.Tous ces produits doivent faire ou ont fait l’objet de tests et de certifi cation par le Centre scientifi que et technique du Bâtiment (CSTB), qui mesure leur impact sur la santé no-tamment. Il s’agit d’une simple précaution car un matériau naturel n’est pas nécessairement sain. Un exemple parlant : l’amiante est un produit naturel mais il est cancérogène et donc loin d’être un produit sain pour son utilisateur.

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Le prix de l’eau ne cesse de croître, notre consommation également. Les ressources, par contre, subissent plutôt nos modes de vie et diminuent comme une peau de chagrin. La récupération de l’eau de pluie est par conséquent une alter-native économique et écologique à notre hyperconsomma-tion, car il apparaît anormal de laver sa voiture ou d’arroser son jardin avec de l’eau potable. De plus, l’eau de pluie est meilleure que celle du robinet pour vos plantations et non calcaire. Elle n’attaque donc pas les appareils électroména-gers. Le principe ? L’eau est récoltée de votre toiture via des gouttières, elles-mêmes reliées à des cuves de stockage. Vous pourrez ensuite disposer de votre ressource le plus aisément du monde grâce à de simples robinets. Une cuve plastique que vous installerez au pied de votre descente constitue un équipement minimal et peu onéreux. Pour le côté pratique, pensez à installer cette cuve dans un endroit facilement accessible et pouvant accueillir un peu de ver-dure pour cacher éventuellement le côté peu esthétique de l’équipement. Vous en voulez encore plus ? Plus d’écologie, plus d’économie ? Passons aux cuves enterrées.

Second circuitPour un système plus perfectionné, il faut vous intéresser aux cuves enterrées en béton. Si les premières solutions évoquées vous procurent une réserve d’eau pour jardiner ou éventuellement laver voitures et extérieurs, ces instal-lations souterraines permettent d’alimenter vos sanitaires (toilettes, machine à laver...) qui ne nécessitent pas d’eau potable, et ce grâce à une pompe électrique. Pour éviter que des parasites polluent votre eau, un fi ltre est disposé sur le réservoir. Le béton armé constituant ces cuves dis-pose d’ailleurs d’un grand avantage, il neutralise l’éventuelle acidité de l’eau de pluie. L’installation doit se faire par des professionnels. Récupérer l’eau de pluie, une manière utile écologiquement pour que vous économisiez sur vos fac-tures. La planète, pendant ce temps, économise aussi ses (faibles) ressources.

Habitat

Récupération

Principe

Un milliard d’habitants sur Terre – la planète bleue – n’a pas accès à l’eau, 25 000 êtres humains en meurent chaque jour. La prise de conscience générale sur l’environnement, et plus particulièrement sur la rareté de l’eau, commence à faire son chemin.

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de l’eau de pluie

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Habitat

Une maison passive est un habitat qui consomme très peu d’énergie au m², ou bien dont la consommation est entièrement assumée par le stockage de l’énergie solaire combinée à une excellente isolation. Pour être considérée comme passive, les dépenses en énergie primaires de la maison ne doivent pas dépasser les 42Wh/m²/an. Une per-formance exemplaire quand on sait que la majeure partie des résidences neuves utilisent entre 80 et 100 kWh/m²/an uniquement pour les besoins en chauffage.

Une orientation bien penséeUn des principes essentiels de la maison passive repose sur l’utilisation de l’énergie solaire. L’orientation de la maison est donc un point clé à prendre en compte au tout début du projet de construction. Dès l’achat du terrain, il faudra donc vérifi er que celui-ci bénéfi cie d’une bonne exposition au sud pour profi ter de la chaleur du soleil en hiver. Cette démarche d’intégration du bâtiment en fonction de son environne-ment est dite « bioclimatique ». Attention toutefois, l’habitat bioclimatique ne doit pas être confondu avec l’habitat passif qui contrairement aux maisons bioclimatiques (nécessitant

des équipements de chauffage) va plus loin en se chauffant et se refroidissant de façon autonome. À savoir également : les constructions passives peuvent être adaptées à des cli-mats très différents. La localisation géographique ne devra donc pas être un frein pour le projet.

La maison passiveexemple modèle de construction écologique

Malgré son nom, la maison passive agit sur bien des plans afi n de limiter la consommation énergé-tique nécessaire à ses habitants. Pour atteindre à l’idéal de cet habitat autonome, la construction doit allier une implantation idéale avec une isolation et un équipement adéquat. Explications.

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Une température agréable quelle que soit la saisonProfi ter au maximum du soleil en hiver cela se conçoit, mais que faire lors des grosses chaleurs en été ? La véritable performance de la maison passive est d’arriver à garder une température agréable quelle que soit la saison. Pour cela, la première astuce consiste en l’installation de protections au sud tels que des auvents, casquettes, stores ou débord de toiture. L’angle d’inclinaison de ces débords permettra de laisser passer la lumière en hiver et de stopper les rayons durant les périodes chaudes. Toujours dans l’approche bio-climatique, penser l’orientation en fonction de la végétation environnante (un grand arbre par exemple) qui apportera de l’ombre en été et protégera des vents en hiver, est aussi une solution envisageable.

Priorité absolue à l’isolationFaire entrer la chaleur ou garder la fraîcheur est essentiel, mais cela s’avérerait impossible sans une isolation optimale. C’est le principe de base de la maison passive, avec comme éléments sensibles, les fenêtres, responsables on le sait de 10 à 15 % des pertes d’énergie d’une maison. Exit donc le double vitrage réservé aux maisons « basse consomma-tion » et priorité au triple vitrage. Seul inconvénient de ces nouvelles fenêtres : le châssis. La maison passive favorisera donc les grandes aux petites ouvertures.

Au niveau des isolants, ceux employés dans les maisons passives sont trois fois plus épais que dans une construction traditionnelle. Le système d’isolation est réalisé par l’extérieur pour englober la construction, et éviter ainsi les ponts thermiques.

Une ventilation performanteConséquence logique de la très forte étanchéité du bâti, la maison devra être ventilée avec soin, notamment pour permettre de garder une température intérieure agréable en évitant que le stockage de la chaleur devienne incommo-dant. La ventilation permettra aussi de conserver une bonne qualité d’air dans la maison tout en empêchant l’humidité de s’installer. L’équipement privilégié pour ce type de tâche est la ventilation mécanique contrôlée (VMC) à double fl ux qui a comme double fonction de souffl er de l’air neuf et d’extraire l’air vicié de l’habitat. Pour rafraîchir au maximum, la maison passive pourra également être équipée d’un puits provençal (ou canadien) qui achemine de l’air frais du fond du jardin jusque dans la maison. Ce type de système est à privilégier dans les régions très chaudes où la ventilation et l’isolation ne suffi sent pas à maintenir la fraîcheur en été et sa construction devra être envisagée dès le début des travaux.

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Maison passive : Rentabilité et économie sur le long termeL’équipement d’une maison passive mise sur les énergies re-nouvelables. L’électricité est assurée par des panneaux pho-tovoltaïques, l’alimentation en eau chaude par un chauffe-eau solaire et les appareils ménagers sont économes. Si on peut chiffrer qu’une maison passive coûte environ 20 % de plus qu’une construction traditionnelle, sa consommation d’énergie ne représente que 25 % de celle d’une maison « classique ». Le modèle passif permet donc de réaliser des économies d’énergie non négligeables sur le long terme. Pour les particuliers qui ont fait ce choix c’est aussi une fa-çon de s’engager pour l’environnement.

Un projet à envisager avec les bons professionnelsQue ce soit pour alléger ses factures énergétiques ou pos-séder une maison plus écologique, construire une maison passive est dans tous les cas un projet prenant, en témoigne l’importante communauté de blogs de particuliers relatant leur expérience de construction. Chose primordiale à savoir si l’aventure vous tente : ce type de projet ne doit se concré-tiser qu’accompagné de professionnels compétents. Entou-rez-vous d’architectes versés dans l’approche bioclimatique, d’entreprises du bâtiment ou d’artisans spécialisés dans les méthodes de construction « basse consommation ».En France peu de maisons passives ont été bâties pour l’instant, mais l’impulsion des réglementations thermiques à venir avec pour objectif de construire tous les bâtiments neuf dans le respect de la norme « Basse Consommation » d’ici 2012 et de réduire de 40 % les émissions de gaz d’ici 2020, poussent de plus en plus de particuliers à s’intéresser à cette méthode de construction intelligente et écologique.à cette méthode de construction intelliggggente et écologggiqque.

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Samedi 20 décembre 2009 entre 16 h 20 et 17 h 40, le Nephelios a effectué son premier vol d’essai.L’appareil s’est bien comporté, l’équipage a parfaitement exé-cuté les manœuvres et le pilote a pu commencer à tester les possibilités de l’appareil. En dépit de conditions extrêmement diffi cile, il faisait – 6 °C à Melun et le moteur devait être ré-chauffé au décapeur thermique avant de pouvoir démarrer, le bilan de cet essai est très positif. Nous maintenons donc notre objectif d’un vol inaugural au début de l’année suivi d’une tentative de traversée de la Manche à partir de mai 2010.

L’actualité de Sol’R• Nous avons obtenu le soutien de personnalités : Claudie Hai-gneré, Gérard Feldzer, Yann Arthus-Bertrand, Jean-Marc Brûlé, Jean-Louis Etienne, Nicolas Vanier, Allain Bougrain-Dubourg et Valérie Pécresse. En attendant d’autres lettres de soutien !

• Nous gardons la Manche en ligne de mire. Notre priorité actuelle est de réaliser notre vol inaugural, où seront présents

les membres du Projet Sol’R, les médias, les sponsors et des personnes qui de près ou de loin ont participé au Projet Sol’R. Avec pour mot d’ordre, la validation de notre concept technique. Nous pouvons par ailleurs estimer que la traversée de la Manche se fera probablement lors du prochain printemps.

• Des réunions internes ont vocation d’être régulières et de réunir un maximum de membres du projet. Elles permet-tront aux différentes équipes de se rencontrer et de mieux se connaître afi n d’optimiser la communication au sein du projet.

• À noter notre présence dans la presse à Direct Matin et notre future exposition dans le Mag2 Lyon ainsi que dans l’Etudiant.

• Il est primordial de rappeler que nous effectuons actuelle-ment les essais en vol de notre machine et préparons l’homo-logation de notre record en tant que « premier appareil ca-pable d’effectuer un vol complet à l’énergie solaire ».

Site : www.projetsolr.com – Blog : www.projetsolr.info

Publi-reportage

a effectué son premier vol

Le Projet Sol’RNéphélios

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Page 13: Magazine Planète EKOLOGIE - Numéro 3

Habitat

Rénoverécologique

La première chose à faire avant de se lancer dans une réno-vation est de faire un diagnostic précis de l’état de l’existant et du type de construction dont il s’agit. En effet, selon que le bâtiment à rénover est une construction conventionnelle ou une construction traditionnelle, les techniques qui vont pouvoir être utilisées seront différentes et parfois incompa-tibles.

La rénovation écologique est une dénomination globale pour une manière de rénover qui résulte de trois objectifs différents :

1. rénover effi caceRénover effi cace cherche à diminuer au maximum les dépenses d’énergies nécessaires pour amener l’intérieur d’un habitat aux températures idéales de confort pour ses occupants. Cette effi cacité sera atteinte en utilisant la chaleur du soleil, en isolant la maison des aléas exté-rieurs, ou en utilisant des appareils de chauffage ayant de bons rendements.

2. rénover sainLà il est question de rénover un logement de manière à ce que l’environnement intérieur soit dépourvu de substance nocive à la santé de ses occupants. Le premier travail consiste à choisir des matériaux et/ou composants qui ne sont pas nocifs et qui ne dégagent pas pendant leur utilisation de substances nocives, mais cette démarche peut prendre en compte également l’impact de l’environne-ment géomagnétique du terrain, ainsi que celui de la végétation.

3. rénover non-polluantL’objectif est que la maison rénovée ne nuise pas à l’éco-système dans lequel elle se trouve, et par extension, qu’elle ne nuise pas à l’écosphère entière. Les matériaux utilisés seront donc soit renouvelables soit recyclables. Il sera privi-légié ceux qui ont consommé le moins d’énergie pour leur fabrication, ainsi que les productions locales.Une rénovation écologique est le résultat d’une démarche al-liant ces trois objectifs en même temps. En effet, s’ils peuvent paraître de prime abord associés, ce n’est pas forcément le cas.

On peut rénover une maison extrêmement performante d’un point de vue thermique, mais uniquement composé de matériaux toxiques, non renouvelables, et non recy-clables. Une maison saine n’a pas forcément de bonnes performances thermiques et peut elle aussi être rénovée avec des matériaux inoffensifs, mais non renouvelables. En-fi n, une habitation non polluante peut être rénovée avec des matériaux naturels, mais nocifs, et peut elle aussi n’avoir que de piètres performances énergétiques.

Source : http://fr.ekopedia.org, www.travaux.com, www.ideesmaison.com

Au lieu de construire son habitat il est possible de partir d’un élément exis-tant et de chercher à le rénover en autonomie, en bio-construction et/ou avec des méthodes faciles à mettre en œuvre et bon marché.

Première étape :faire un diagnostic précisdiagnostic précis de l’état de la maison

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Isolation de la toiture, des murs, pose de double vitrage, remplacement de fenêtres, installation d’un système de chauffage utilisant une source d’éner-gie renouvelable,… grâce à l’éco-prêt à taux zéro

(éco-PTZ), vous pouvez équiper intelligemment votre habitation dans le but de réduire drastiquement votre facture énergétique et d’agir en faveur du climat (le secteur du bâtiment est responsable de 43 % de la consommation d’énergie en France et de 27 % des émissions nationales de CO2).D’un montant maximal de 30 000 euros et remboursable sur 10 ans (sans intérêt), il est accordé sans condition de ressources aux propriétaires (occupants ou bailleurs) de logements achevés avant le 1er janvier 1990 (il doit s’agir de la résidence principale). Il est par ailleurs cumulable avec le crédit d’impôt sur les travaux d’économie d’énergie, ainsi que les aides de l’Anah (Agence nationale de l’habitat) et des collectivités territoriales. Pour en bénéfi cier, un devis détaillé réalisé auprès d’un professionnel doit être présenté auprès de votre banque.

Pour tout savoir sur l’éco-prêt à taux zéro et obtenir un for-mulaire, allez sur le site du ministère du Développement durable, www.developpement-durable.gouv.fr.

Egalement, Jusqu’au 31 décembre 2012, vous pouvez déduire de votre impôt sur le revenu 15 %, 25 %, 40 % ou 50 % du prix des équipements acquis pour diminuer la consommation d’énergie de votre logement ou rendre son système de chauffage plus écologique.

C’est une aide mise en place par le Grenelle de l’Environ-nement pour favoriser l’habitat durable. Le montant de ces dépenses est limité à 8 000 € pour une personne seule, et 16 000 € pour un couple. Cette somme est majorée de 400 € par enfant à charge. Attention, ce plafond de dépenses est apprécié sur 5 années consécutives.

En outre, Le crédit d’impôt sur les intérêts d’emprunt rela-tifs à l’acquisition d’une résidence principale a été mis en place par la Loi TEPA du 21 août 2007. Lors du vote de la loi des fi nances 2010, le gouvernement a revu sa copie et ajouté des conditions visant à favoriser l’acquisition de loge-ment BBC. Ainsi le crédit d’impôt qui était au préalable fi xé à 40 % pour tous les logements reste à ce taux privilégié pour les acquéreurs d’un logement Basse Consommation durant la première année et est ramené à 20 % pour les années suivantes.Source : www.developpementdurable.com, www. avostravaux.blogspot.com,

www.travaux.com

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Bon à savoirRénovation écologique

Pensez auprêt à taux zéro

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Publi-reportagePubli-reportage

Partager votre flammeWanders

La foorêt prooduit uunee soourcce dde chhalleuur, respectueuse de l’environnement, durable et neutre sur le plan du CO2. Chauffer au bois est toutefois encore considéré comme une tâche pénible et astreignante. Ce temps est révolu! En ef-fet, avec l’essor qu’ont connu les chauffages à granulés de bois au cours de ces dernières années, il est désormais possible de chauffer dans le respect de l’environnement tout en conservant un confort maximal grâce aux poêles à granulés de bois.

Les petits granulés de boisLes petits granulés de bois,, cylindriques, de 10 à 30 milli-mètres de long, sont obtenus à partir de sciure et de copeaux issus de l’in-dustrie de transformation du bois. Ils sont séchés, pressés sous haute pres-sion à travers un tamis, puis découpés dans la longueur désirée. Grâce aux propriétés liantes de la lignine, un composé naturel du bois, aucun liant ou colle n’est nécessaire. Les granulés présentent également l’avantage de ne rejeter au moment de la combustion que le CO2 absorbé lors de la pousse.

La combustion des granulés ne dégage aucune fumée uniquement des gaz. Le taux de cendres est inférieur à 1 %. Le pouvoir calorifi que est d’en-viron 5 kWh par kg. Les rendements énergétiques sont très bons.Les granulés sont livrés soit en vrac, soit en sac de 1 tonne ou par palette de 1 tonne rangée par sacs de 15 kg.

L’équipe de Professionnels WANDERS se tient à votre disposition

pour vous conseiller sur nos produits et leur installation.

• 2 kiloos de grannulés rrempplaceent 11 litrre dde mmazzouut ; un mètre cube de granulés en vrac présente alors le même pouvoir calo-rifi que que 320 litres de mazout et ne prend que deux fois plus de place pour le stockage.

• Une tonne de granulés de bois représente environ 1,5 m3. • Un mètre cube de granulés de bois pèse environ 650 kg.

Le pellet restitue 6 fois plus d’énergie qu’il n’en consomme pour sa produc-tion, tandis que le fi oul en restitue à peine autant, et l’électricité 3 fois moins.

Le prrincipal avvantagge dees ggrannuléés est qu’ils permet-tent un approvisionnement automatique du poêle, plus la peine de remettre du bois toutes les heures.C’est pour cela que de plus en plus de particuliers mais aussi des collectivités et des copropriétés se mettent à utiliser cette source d’énergie.

Les actuels propriétaires de maison intègrent l’environnement à leurs ré-fl exions et sont, de ce fait, légèrement en avance sur leur temps. Ils po-sent des exigences techniques élevées et veulent économiser au niveau de la place disponible et non pas sur le confort. De plus, leur temps est précieux. Une solution toute rêvée s’offre désormais à eux : un nouveau combustible sous la forme de granulés de bois !

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À l’occasion du sommet de Co-penhague sur le climat, le WWF

et le cabinet Vigeo ont souhaité mobiliser tous les acteurs et no-

tamment les acteurs économiques en publiant une étude sur les pistes

d’action dont disposent les entreprises

pour réduire leur impact carbone. « À l’heure où les gou-vernements de la planète négocient un accord sur les ré-ductions des gaz à effet de serre, il est essentiel de penser l’“Après- Copenhague“ pour préparer l’action des différents acteurs qui devront transformer l’activité économique vers une société plus sobre en émissions de carbone », peut-on lire dans le rapport.

Une sphère d’influence très largePour convaincre et surtout démontrer de l’importance du

rôle des entreprises, le cabinet Vigeo a réalisé une es-timation des émissions de gaz à effet de serre impu-

tables à différents secteurs d’activité : pétrole et gaz, électricité, automobile, aviation, chimie, matériaux

de construction ou encore banques et grande distribution. Intérêt de l’étude : le cabinet ne s’est pas contenté de rappeler les émissions directes des activités, mais il a calculé l’en-semble des émissions imputables au secteur. Grâce à une approche « cycle de vie », l’étude identifi e trois périmètres de mesures : les émissions directes (usine, chauffage des bâ-timents, fl otte de véhicules…), les émissions indirectes liées à l’électricité et à la chaleur

achetée et les autres émissions indirectes (émissions liées aux fournisseurs, aux produits

ou aux services vendus, aux transports des em-ployés…).

News

Les leviers d’action

Une étude réalisée conjointement par WWF et le cabinet Vigeo démontre que les entreprises ne sont pas démunies pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Les leviers d’actions ne manquent pas surtout en amont et en aval de leurs activités.

pour réduire l’impact carbone

des activités des entreprises

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Résultats, certains secteurs comme celui de l’électricité, des mines ou du transport aérien ont un impact carbone princi-palement dû à leur premier périmètre (émissions directes) tandis que pour les banques et assurances ou encore l’au-tomobile, près de 100 % de leurs émissions sont indirectes. À travers ces chiffres, WWF et Vigeo cherchent à démontrer que « la sphère d’infl uence des entreprises peut être plus large que le champ d’actions qu’elles choisissent tradition-nellement pour désigner leur politique de lutte contre le changement climatique ». Selon le rapport, lorsque le plus gros volume d’émissions de carbone se trouve en amont ou en aval des activités de l’entreprise, une prise en compte de ces émissions « indirectes » peut s’avérer effi cace afi n d’inciter fournisseurs, sous-traitants ou clients à les réduire.

Identification des pistes d’actionsÀ partir de cette approche « cycle de vie », Vigeo iden-tifi e le périmètre sur lequel doit agir l’entreprise pour réellement limiter son impact carbone. « Les postes d’émissions les plus élevés dans la somme des émis-sions rendent compte des principaux défi s sectoriels, c’est-à-dire de l’endroit où placer le curseur dans les ef-forts de réduction », explique le cabinet. Ainsi pour le sec-teur de la chimie, l’étude calcule que les émissions ont pour origines la phase de fabrication (39 %), l’utilisation des produits (27 %) mais également l’énergie achetée pour la fabrication (25 %). Vigeo conseille par consé-quent à ce secteur de modifi er son mix énergétique au profi t de sources moins polluantes comme le gaz naturel ou la biomasse aux dépends du pétrole et du charbon. Les secteurs de l’agro-alimentaire et de la grande distribu-tion doivent quant à eux, agir en priorité auprès de leurs fournisseurs. En effet, l’agriculture et l’élevage y représen-tent respectivement 30 % et 29 % des émissions tandis que le secteur des banques et assurances doit surtout

réduire les émissions induites par les projets qu’il fi nance.Pour Serge Orru Directeur Général du WWF, il est donc évident que « les acteurs économiques sont de puissants leviers de changement pour réduire les impacts environ-nementaux de leurs activités, mais aussi pour orienter les consommateurs vers des modes de consommation plus responsables à travers l’offre de produits ou de ser-vices ».Encore faut-il que les entreprises en soient conscientes. Vigeo et WWF remarquent que les entreprises des sec-teurs étudiés n’ont qu’un faible niveau de reporting sur les émissions indirectes générées par leurs activités et préco-nisent une homogénéisation des méthodes de reporting. Les deux partenaires prévoient déjà d’approfondir leurs ré-fl exions en 2010 en étudiant plus en détail le cas des en-treprises françaises.

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Nouveau

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Selon une étude Observer, la production d’énergie renou-velable à partir de biomasse solide poursuit son développe-ment au sein de l’Union européenne. Le bois et ses déchets, les matières végétales et animales ont en effet permis la production en 2008 de 68,7 Mtep, soit 2,3 % de plus qu’en 2007. Depuis 1995, la contribution de la biomasse solide a ainsi augmenté de plus de 22 Mtep dans les 27 pays de l’UE. « Si le rythme de croissance de la fi lière biomasse solide peut paraître faible comparé à d’autres fi lières éner-gies renouvelables, elle reste sur le plan de la production d’énergie primaire une des principales fi lières contributrices en énergie », note l’étude.

Le marché du granulé bois connaît un fort développementL’étude constate une « montée en puissance du granulé de bois ». L’Europe comptait en 2008 environ 440 usines de production de granulés de bois, soit une production de 7,5 millions de tonnes. « Ce chiffre pourrait être mul-tiplié par 10 d’ici à 2020, soit 75 millions de tonnes, car il est possible de fabriquer des granulés avec de nom-breux combustibles biomasse (déchets de bois, plaquettes forestières, etc.) », analyse le rapport.

Les granulés sont principalement utilisés dans des centrales électriques en Belgique et aux Pays-Bas. En Suède ou au Danemark, ils sont surtout employés dans les grandes et moyennes centrales de cogénération. Dans les autres pays, ils servent au chauffage des bâtiments résidentiels et tertiaires.Les marchés italiens, allemands et français du chauffage au granulé ont, par exemple, connu un essor particulier. En Italie, la consommation de ce combustible est passée de 150 000 tonnes en 2001 à 800 000 tonnes en 2008. En Allemagne, la production de granulés a atteint 1,4 Mt en 2008, contre 1,1 Mt en 2007.

La production d’électricité à partir de biomasse toujours à la hausseLa croissance de la production d’électricité issue de la bio-masse solide est restée soutenue en 2008 (+ 10,8 %), portant la production totale des pays de l’Union à 57,8 TWh, soit le triple de la production de 2001. L’Allemagne, la Suède et la Finlande ont produit 51,2 % de l’électricité à partir de biomasse solide en 2008. La production européenne pro-vient pour 62,6 % des centrales de cogénération.

La France : la biomasse au service du chauff age des ménagesLa France, Tom inclus, a produit près de 9 Mtep à partir de biomasse solide en 2008, soit une augmentation de 4,9 % par rapport à 2007. La plus grande partie de cette produc-tion est destinée au chauffage des ménages (6,4 Mtep en 2008). La production d’électricité est moins développée que dans les autres grands pays producteurs de biomasse solide (1,7 TWh en 2008, soit le 13e rang de l’Union). Cette tendance s’explique avant tout par des choix poli-tiques. Si la production d’électricité à partir de biomasse est peu soutenue (tarif d’achat à 4,9 c€/kWh), de nombreux dispositifs fi nanciers (crédits d’impôt…) ont encouragé les ménages à s’équiper de systèmes de chauffage bois.

Source : www.actu-environnement.com

UE : la biomasse solide poursuit son développement

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Êtes-vous sensible à l’écologie et de-puis quand ? D’aussi loin que je me souvienne, tout simplement en habi-tant une région comme la nôtre où l’océan côtoie la mon-tagne. Avec de telles richesses naturelles, il suffi t de poser le regard où que l’on soit et on ne peut que se sentir concerné par la préservation de ces merveilles ici et ailleurs.

Quels gestes écologiques faites-vous au quotidien ? Comme la plupart d’entre nous, rien que de très banal, à titre personnel, tri des ordures ménagères, utilisation de l’eau et de l’électricité le plus parcimonieusement

possible. Pour résumer tout simplement, éviter le gas-pillage de manière générale et si possible éviter l’achat de produits avec emballage. En ce qui concerne la tha-lasso c’est un peu la même chose mais à l’échelle d’une entreprise.

Le grenelle de la mer vous a-t-il in-téressé et qu’en avez-vous retenu ? Qu’il ne s’agit plus d’un enjeu politique mais d’un enjeu humain incontournable. Je suis sensible aux actions menées pour protéger l’environnement surtout lorsque cet environnement m’est proche, comme l’océan. Mais l’écologie demeure une préoccupation de tout un cha-cun et tout le monde peut y aller de sa bonne action quotidienne.

Interview

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Concernant la Thalassothérapie, Serge Blanco, nous croyons savoir que vous avez mis en place un certain nombre de choses d’un point de vue écolo-gique ?Avant tout et pour la 3e année consécutive nous soute-nons l’association surf rider fondation car nous considé-rons qu’il s’agit d’un acteur essentiel pour la préservation du milieu marin au niveau mondial et l’association est née au Pays Basque. De plus s’agissant de notre outil de travail, puisque notre métier passe par l’utilisation de l’eau de mer, cette idée est vite apparue tout simplement « naturelle ». En dehors de cela, l’institut de beauté propose des soins sans paraben et nous appliquons un certain nombre de mesures du type économiseur d’eau dans les sanitaires, choix des pro-duits d’entretien et bien d’autres que j’ai sans doute oubliés.

Vous essayez donc d’associer l’éco-logie à votre vie professionnelle tant à votre vie personnelle ?Oui, et je dois dire que réussir à concilier la préservation de l’environnement avec l’effi cacité et le bien-être des soins de la Thalassothérapie Serge Blanco était quelque chose qui me tenait à cœur. Comme je le disais, une entreprise peut, avec de petits gestes simples, améliorer et préserver notre belle région. Ce que l’on fait chez soi, au quotidien on peut également le transposer dans sa vie professionnelle sans trop de mal, je pense.

Si vous pouviez faire un seul vœu écologique, quel serait-il ?

Comme tout un chacun laisser à nos enfants une planète qui ne soit pas dévastée. Une

planète qui demeure saine, avec des habitants qui se doivent de la res-pecter et de réaliser la chance qu’ils ont de vivre dans une nature aussi belle et riche.

Pensez-vous que les gens sont sen-sibles à l’écologie de manière géné-rale et n’assiste-t-on pas de temps en temps, à un phénomène de mode ?Effectivement, l’écologie est depuis quelques années, un sujet qui est sur toutes les lèvres. Je pense qu’il est de bon ton de faire de l’écologie mais que, pour une grande majo-rité, c’est devenu une vraie préoccupation en France de faire un maximum de choses en faveur de l’environnement. On assiste de plus en plus à l’essor de campagnes de sensibili-sation qui nous poussent à réfl échir sur nos actes.

Quelle est votre actualité 2010 ? Le centre de thalasso proposera des nouveautés toute l’an-née pour la clientèle locale, en accès externe sans héberge-ment, à retrouver sur thalassoblanco.com Ce site permettra de tenir au courant une population locale sur les promotions régulières de la Thalassothérapie. À consulter souvent donc !

Que pensez-vous du positionnement de notre magazine Planète ÉKOLOGIE ?Un gratuit apolitique, engagé dans l’écologie et l’envi-ronnement ; cela manquait au niveau local. De plus, la ligne éditoriale est vaste, on sort des sentiers battus habituels qui sont souvent la loi du genre : c’est appré-

ciable pour le lecteur. ciciabablele p pouou

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Un grain de sable dans le projet d’extension du port de Bilbao 15-02-2010 par Aude Briaux

En Espagne, un collectif d’usagers de la plage la Arena à Muskiz monte au créneau face au projet d’extraction de sable initié par l’autorité portuaire du port de Bilbao pour renforcer son activité sur le littoral.Le collectif dénonce les manquements graves qui régissent l’étude d’impact élaborée en amont du projet en 2005. L’autorisation d’extraire 10 millions de mètres cubes de sable a en effet été accordée à l’issue de la publication de cette étude. Or, selon les usagers, la qualité du sédiment n’aurait pas été analysée ce qui pose un problème environnemental conséquent au vu de la quantité de sable en cours d’extraction.Autre lacune soulevée, l’étude n’aborde pas la dynamique de la plage où se déroule le chantier, cette mé-connaissance est un non sens pour un projet de cette envergure qui pourrait bien entraîner des dommages irrémédiables à l’environnement.Nos préoccupations communes sur ce projet ont été relayées par le gouvernement basque espagnol qui a également souligné l’intérêt d’une meilleure analyse environnementale du site.Il a appelé à la réalisation d’une étude alternative plus poussée et plus précise de l’impact d’un tel chantier sur la faune et particulièrement sur l’algue Gelidium présente dans la zone.Enfi n, le gouvernement basque, contrairement à celui de Bilbao, a demandé la création d’un programme de surveillance environnemental et l’annonce de mesures compensatoires.Les travaux d’extraction ont commencé il y a trois mois, deux millions de mètres cubes ont déjà été prélevés sur la plage La Arena. Surfrider s’associe aux appels du collectif en réclamant l’arrêt du chantier en cours dans l’attente de la réalisation d’une étude complémentaire qui prend mieux en compte les impacts environne-mentaux du projet.

Un partenariat qui a du souffl e 12-02-2010 par Aude Briaux

La Fédération nautique de pêche sportive en apnée s’est associée à Surfrider Foundation Europe dans le souci de poursuivre ses engagements en faveur de la préservation des mers et océans. Ce partenariat est un atout pour notre ONG puisque dans sa pratique le pêcheur sous-marin reste un observateur privilégié des atteintes qui peuvent être portées au littoral.La FNPSA qui regroupe 50 clubs a ainsi sollicité ses 2 562 licenciés afi n qu’il participent à nos initiatives et qu’ils rejoignent nos actions en faveur de la protection de l’environnement. Depuis de nombreuses années, la Fédération de pêche sensibilise ses adhérents au maintien de l’environnement de la pratique. Leurs actions engagées visent à signaler les anomalies affectant le milieu marin, à faire passer des messages via le biais d’actions éducatives et enfi n à privilégier la transparence dans l’action de prédation.En outre, elle veille à l’application de la nouvelle directive sur la taille des prises de pêche professionnelle et de loisir.Ce partenariat donne un écho important aux actions entreprises par les associations soucieuses de mettre en œuvre un développement durable des pratiques nautiques.

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Bilan du Sommet de Copenhague

Le texte de l’accordIl comprend cinq points principaux.– La limitation de la hausse des températures à 2 °C d’ici à

2050, par rapport au niveau de la période préindustrielle.– La réduction des émissions des gaz à effet de serre en

fonction du choix fait par chacun des pays industrialisés dans un engagement écrit à fournir avant la fi n janvier 2010.

– L’aide à l’adaptation des pays en développement aux im-pacts du changement climatique en deux volets. Le pre-mier concerne les trois années jusqu’à 2012, pour les-quelles l’Union européenne, le Japon et les États-Unis se sont engagés, globalement pour 10, 11 et 3,6 milliards de $. Pour la suite, il est envisagé, d’ici 2020, d’apporter une aide de 100 milliards par an et de trouver dans ce but des fi nancements innovants.

– L’absence de contrainte légale pour les engagements pris et de vérifi cation par une organisation mondiale, dont la création n’est pas à l’ordre du jour. Les pays devront faire une déclaration aux Nations unies concernant leur situa-tion tous les deux ans.

– La reconnaissance de l’importance de la réduction des émissions dues à la déforestation. Des mesures incitatives sont prévues pour fi nancer la protection des forêts par des fonds venant des pays développés.

Le déroulement de la négociationDès les premiers jours, des tensions, des suspicions de manipulations se sont exprimées. Les travaux des négocia-teurs ont piétiné et la rencontre des ministres de l’environ-nement, le dimanche 13 décembre, n’a pas abouti. Avec l’arrivée des ministres, les ONG ont été brutalement mises à l’écart. Et l’on a attendu l’arrivée des chefs d’État, qui, loin d’être les sauveurs attendus, ont renforcé le fossé entre les pays développés et les pays du Sud, et ont élaboré le texte fi nal.

Ce sommet marque un tournant majeur un tournant majeur dans un processus entamé il y a plus de quinze ansquinze ans

Après deux semaines de négociations, la Conférence des Parties « a pris note » du texte d’un accord pré-paré par un groupe de 26 pays, mené par les États-Unis, l’Inde, la Chine, le Brésil et l’Afrique du Sud.cheries de la Côtinière livrent dans toute la France leurs poissons et fruits de mer.

News

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La déception est générale à l’issue du Sommet

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La logique onusienne est désignée comme largement res-ponsable des diffi cultés rencontrées durant tout ce sommet. L’unanimité, qui est son mode de fonctionnement, n’est, de fait, pas adaptée à un sujet aussi complexe que le chan-gement climatique et ne favorise pas une bonne prise en compte de l’expression de chacun des États.Le fossé qui s’est agrandi entre les pays développés et le reste du monde suscite des inquiétudes pour l’avenir. Là où l’on espérait le renforcement d’une solidarité active fondée sur l’interdépendance, on a assisté à un recul et à un repli venant essentiellement des pays développés.

Un nouvel équilibre entre les acteursL’entrée de la Chine et des États-Unis dans la négociation a été réellement le fait majeur de ce sommet. L’arrivée des deux premières puissances mondiales dans le processus a bouleversé les équilibres antérieurs. Elles sont ensemble responsables de plus de la moitié des émissions de gaz à effet de serre dans le monde ; elles sont concurrentes et interdépendantes. Elles ont cependant affi rmé l’une comme l’autre la nécessité de lutter contre le changement clima-tique et leur engagement à le faire, mais dans un cadre défi ni par chacune d’elle. Les États-Unis ne voulaient pas, pour des raisons de politique intérieure, s’engager sur des réductions importantes des gaz à effet de serre. Pour les Chinois, toute possibilité de vérifi cation par une organisa-tion étrangère était exclue, considérée comme une atteinte à leur souveraineté. Les États-Unis et la Chine ont très net-tement fait reculer ce que le Protocole de Kyoto et le GIEC avaient commencés à mettre en place, une coordination et un partage des efforts au niveau mondial.Face à ces deux supers puissances, l’Union européenne n’a pas su défendre une position réellement unifi ée, claire et forte. Le reste du monde regroupe institutionnellement la majorité des États, représentés notamment par le G 7 et l’Alliance des petits États insulaires. Ceux-ci ont fait entendre leurs revendications pour une juste place ; leur déception

et leur colère devant l’indifférence face à des situations bien réelles où les effets de réchauffement climatique se manifestent déjà.Les ONG ont d’abord été bien accueillies, très utiles de l’aveu même des négociateurs, pour leurs compétences tout autant que pour leur force de communication, puis elles ont été mises à l’écart.Le Sommet a reçu également des représentants de villes et de régions du monde entier, fédérées dans diverses asso-ciations pour un développement durable. Celles-ci ont déjà à leur compte des réalisations, souvent mises en œuvre en concertation avec les populations concernées. Ce mou-vement, encore marginal, témoigne d’un nouveau type de démarche de la société civile, pragmatique et fécond.

Pour la suite, l’eff et de réalitéIl ne faut pas oublier que cette conférence s’inscrit dans un calendrier de rencontres annuelles : la prochaine confé-rence est prévue dans un an à Mexico et une rencontre intermédiaire aura lieu à Bonn en juin 2010. D’ici là, courant janvier prochain, chaque pays fera connaître ses engage-ments.Ce sommet, du fait même de son échec, marque un tournant majeur dans un processus entamé il y a plus de quinze ans. Tout le monde semble maintenant s’accorder sur des initiatives à prendre pour limiter le réchauffement, mais le défi de la mise en œuvre reste entier.De fait, les changements à venir concernent l’organisation de la vie quotidienne de chacun, les façons d’habiter, de manger, de circuler, de travailler. Ils ne pourront être que progressifs. Pour les États, outre que les changements à ini-tier sont diffi ciles et coûteux, ils demandent du temps et relèvent d’échéances qui dépassent de beaucoup les hori-zons de la vie politique, les experts estimant par exemple qu’il faut plus de cinq ans pour amorcer un changement sensible dans le système énergétique d’un pays. Dans ce contexte, les initiatives venues de la société civile peuvent avoir un fort pouvoir d’impulsion.

SOURCE : www.larousse.fr

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Société

Depuis Une vérité qui dérange d’Al Gore paru en 2006, acteurs et réalisateurs se piquent de développement durable. Avec son fi lm La 11e heure, Leonardo Dicaprio tient le haut de l’affi che des acteurs engagés. À ses côtés, une fl o-pée d’acteurs, de Brad Pitt et ses constructions écologiques à la Nouvelle Orléans, à Julia Roberts qui a investi 20 mil-lions de dollars dans une maison 100 % solaire et bien d’autres, en passant par Daryl Hannah ou Marion Cotillard.Si le cinéma se saisit de la cause, il est loin d’être une industrie modèle. En Californie, une étude de l’université UCLA de Los Angeles montre que le cinéma et la télévision sont à eux deux le second secteur le plus pollueur de l’État. Juste derrière l’industrie pétrochimique.Quelques tournages se distinguent toutefois par des efforts largement médiatisés, comme celui de Hulk, sorti en 2008,

premier fi lm à gros budget hollywoodien (125 millions de dollars) à bénéfi cier d’une éco-certifi cation attribuée par l’En-vironmental Media Association organisme indépendant créé en 1989 à Los Angeles par des producteurs de la Warner pour pousser l’industrie américaine du cinéma vers le vert. Plus récemment, la série 24 heures chrono s’est distinguée en réduisant de 43 % les émissions de carbone de la sai-

son 7 et en compensant l’incompressible. Il a fallu rem-placer les ampoules classiques par des ampoules

CFL (Compact Fluorescent Lighting) qui consomment moins d’énergie et faire

fonctionner groupes électrogènes et véhicules de production aux biocarbu-rants. Ces ajustements ont entraîné un surcoût de 10 %, un investisse-ment conséquent mais que ces gros studios sont capables d’assumer.

L’environnementfait son cinéma

On ne peut pas dire que les festivités cannoises, qui mettent la Croisette sens dessus dessous, soient un modèle de sobriété. Pourtant, l’industrie du cinéma commence, en studio, à se préoccuper de son impact environnemental.

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À ce jour, tous les grands studios américains ont leur charte verte, certains avec des objectifs ambitieux. News Corporation, le groupe de Rupert Murdoch qui détient la Fox, vise un bilan carbone neutre pour l’année 2010. En France, une initiative vient de voir le jour, issue d’un parte-nariat entre TF1, France 5, Audiens (protection sociale de la fi lière audiovisuelle), la Commission du fi lm d’Ile-de-France et l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie). Ecoprod va d’abord chercher à sensibiliser la fi lière. « Nous avons listé les principaux postes d’émission : le transport, l’éclairage, la restauration, les décors, et nous allons travailler avec les professionnels et les fournisseurs pour leur proposer des solutions », souligne Yann Marchet, à la Commission du Film d’Ile-de-France. « L’idée est de vrai-ment s’adapter aux exigences du secteur, en tenant compte des priorités artistiques ». Sans trop alourdir les budgets, ni remettre en cause les priorités, Ecoprod veut entraîner une démarche collective qui fasse participer syndicats, four-nisseurs, producteurs... Le premier fi lm français issu d’un tournage respectueux de l’environnement, Lady Blood, qui sortira en juillet prochain utilise notamment « de l’hémoglobine recyclable », souligne Yann Marchet. Comme c’est un fi lm d’horreur qui en fait grand usage, cela tombe bien. Néanmoins, cette expérience modèle relève encore de l’anecdote.

« Actuellement, la priorité sur un tournage, c’est la qualité du résultat, en intégrant le facteur risque et en respectant la sécurité », souligne Monica Fossati, consul-tante en environnement pour Ecoprod. « Il s’agit forcé-ment d’une démarche de progrès, car on ne peut pas du jour au lendemain changer tous les équipements et les modes d’organisation, puisque la profession agit en fl ux tendu. Néanmoins, le passage à la HD par exemple, est l’occasion de revoir également les éclairages ». Dans des conditions de tournages exigeantes, on raisonne à court terme en s’en tenant à un matériel d’abord fi able avant d’être écologique.

Mais certains tournages sont déjà contraints à de bonnes pratiques. « Les petites productions, qui ont recours au sys-tème D, sont déjà assez vertueuses parce qu’elles cherchent à faire des économies. Elles font du covoiturage, réutilisent les décors, privilégient des LED, moins consommatrices d’électricité... ». Reste à élargir cette culture aux grosses pro-ductions et faire rentrer l’économie de moyens dans les mœurs. « C’est une question d’habitudes et de culture, qui doivent évoluer avec leur temps », souligne Monica Fossati. À ce propos, Ecoprod ira, entre deux fêtes, prêcher la bonne parole à Cannes.

Sources : www.eco-life.fr

La priorité sur un tournageC’est la qualitéla qualité www.www.aquitaineTV.fr

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La télévisionde votre régionsur le web

culture

société & environnement

patrimoine

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Évaluation du coût énergétique des spamsSelon un rapport publié par McAfee, société bien connue dans le milieu de la sécurité informatique, pas moins de 62 milliards de courriers indésirables ont été envoyés durant l’année 2008. Ces spams sont une véritable plaie pour nos boîtes mail, obligeant à un tri incessant entre les publicités pour les petites pilules bleues, les casinos en ligne ou l’achat de diplômes divers et variés.

Malgré des fi ltres de plus en plus performants, ces pourriels arrivent souvent à se frayer un passage jusqu’à nos boîtes de réception obligeant l’internaute à faire une vérifi cation manuelle de la nature de ses mails.

Au cours de sa vie, depuis sa création jusqu’à sa mort dans la corbeille en passant par son expédition et son stockage, le spam serait un gouffre à énergie. En effet, McAfee affi rme que ces milliards de courriers ont totalisé une consomma-tion de 33 milliards de kWh pour l’année 2008. Cela représente l’énergie engloutie par 2,4 millions de foyers américains en un an.

Si l’envoi de spams a des répercussions sur la consomma-tion d’électricité, il a également des conséquences sur l’en-vironnement. La production d’énergie nécessaire à l’ache-minement de ces 62 milliards de courriers indésirables rejetterait un volume de gaz à effet de serre équivalent à celui émis par plus de 3 millions de voitures.

Le spam serait donc un pollueur notoire, infectant aussi bien les boîtes mail que l’environnement. Voilà une énième raison de s’insurger contre l’enfer des spams !

Source : www.degroupnews.com,

de la pollution numérique à la pollution atmosphérique

Le spam serait un gouffre à énergiegouffre à énergie et un pollueur notoirepollueur notoire

Les courriers indésirables, qui n’ont déjà pas les faveurs de nos boîtes mails, vont s’attirer la colère des écologistes. En effet, une étude de McAfee vient de faire le bilan des conséquences du spam sur l’envi-ronnement.

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Les spams

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Outre le fait d’une amélioration évidente du goût et des qua-lités nutritionnelles, l’alimentation « bio » revêt aux yeux des industriels les qualités d’un sujet mobilisateur, en fait un véri-table phénomène de société, conciliant l’idéal écologiste (pas d’engrais ou de pesticides de synthèse, fertilisation par recy-clage des matières organiques naturelles, pas de croisement entre espèces) et l’effi cacité d’une technique de pointe.De plus l’alimentation biologique est porteuse, aux yeux du grand public d’une véritable éthique :

• L’activité de l’agriculteur biologique est très contrôlée : il doit déclarer son activité auprès de la Direction dépar-tementale de l’Agriculture et de la Forêt, et obtenir sa

certifi cation auprès d’un organisme agréé (ECOCERT, QUALITÉ FRANCE et ASCERT en France).

• L’agriculture « bio » doit communiquer chaque année le pro-gramme de ses cultures ainsi que la comptabilité des matières premières qu’elle achète et des produits qu’elle vend.

• Ainsi, le logo de l’organisme certifi cateur est obligatoire sur tous les produits issus de l’agriculture biologique, gage de sécurité et de qualité sur le marché de l’alimentation générale.

Les magasins bio spécialisés permettent d’acheter tous les produits bio, naturels et écologiques dans un même lieu : alimentaire, cosmétique, entretien... Idées et solutions pour faire ses courses.

Alimentation bio ou manger bio un geste simple pour protéger l’Homme et son environnement

Depuis quelques années semble se présenter une alternative de plus en plus suivie : l’alimentation biolo-gique. Ce type de consommation augmente de 15 % par an, 19 % des français achètent plusieurs fois par semaine des produits issus de l’agriculture biologique, et 48 % en consomment épisodiquement.

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Bien-être & Santé

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Les atouts des magasins spécialisés par rapport à la grande distributionLes magasins bio spécialisés représentent 40 % du marché, à égalité avec la grande distribution. Par rapport à cette der-nière, ils présentent plusieurs avantages :

• Tous les produits sont regroupés dans un même point de vente (alimentation bio, produits d’entretien écologiques, cosmétique naturelle, compléments alimentaires...). Le client peut donc effectuer toutes ses courses bio dans un même magasin.

• Les produits proposés sont souvent originaux ou peu connus : on y découvre des céréales anciennes, des légumes oubliés, des condiments asiatiques, de mul-tiples variétés d’huiles végétales...

• Tout y est bio, ou presque : le client n’a pas à faire la « chasse au logo AB », ni à arpenter des kilomètres de rayons pour trouver le produit bio qu’il recherche.

• Les magasins proposent très souvent des produits d’épicerie en vrac (céréales, légumineuses, fruits secs, sucre...) : le client achète la quantité qui lui convient, à un prix attractif, et l’absence d’emballage inutile réduit le volume de déchets.

• Le conseil et l’information sont un atout majeur. Le personnel des magasins est souvent formé, voire passionné, et sa connaissance des produits lui permet de renseigner le client indécis.

• L’ambiance qui règne dans ces magasins est bien différente de celle des grandes surfaces : déco-ration nature, calme, personnel aimable et clients sereins...

La viande biologique (bœuf, poulet, porc, agneau) est meilleure au goût, pour la santé, l’environnement et le bien-être des animaux. De bonnes rai-sons d’abandonner la viande produite

en élevage intensif !

La viande bio est meilleure au goûtLa viande bio, bien que plus chère que la viande « conven-tionnelle », est meilleure au goût : c’est ce que montre une étude IFOP réalisée en avril 2005. Plus ferme, plus goûteuse, moins grasse, elle contient aussi moins d’eau (on a tous connu l’expérience malheureuse de l’escalope de veau qui se transforme en fl aque d’eau dans la poêle…), et donc, en proportion, plus de protéines.

Meilleure pour la santéLorsque l’on achète de la viande bio, on est sûr qu’elle est exempte de résidus de produits chimiques ou nocifs. En effet, en élevage bio, l’usage d’hormones, d’antibiotiques (sauf exception), de médicaments chimiques, de farines ani-males et d’OGM sont interdits.Les animaux sont soignés par des médecines alternatives (phytothérapie, homéopathie, etc.) et nourris exclusivement avec des produits naturels (alimentation bio à 90 %, pro-duite autant que possible sur l’exploitation : grains, fourrages, herbes…). Quant aux jeunes (veaux et agneaux), ils sont nourris exclusivement au lait, puis reçoivent un complément sous forme de céréales, de foin…

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Meilleure pour le bien-être de l’animalLes animaux bénéfi cient de conditions de vie bien meilleures à celles des animaux des élevages intensifs. Les cages ou l’attache sont interdites, et les animaux, libres de leurs mouvements, ont accès au plein air. Ils sont moins stressés, moins malades, et on les laisse vivre et grandir à leur rythme.

Meilleure aussi pour l’environnementL’environnement bénéfi cie lui aussi de l’élevage bio. Selon le cahier des charges de l’agriculture biologique, l’éleveur doit en effet gérer les déjections de ses animaux sans pol-luer ni le sol, ni les eaux.Les déjections des animaux (lisier), riches en azote, sont de très bons engrais, à condition d’appor-ter à la plante uniquement ce dont elle a besoin.Voici ce qui se passe dans les élevages intensifs. Si l’on répand trop de lisier dans un champ, celui-ci est lessivé par les eaux de pluie. On le retrouve alors dans les nappes phréatiques, sous forme de nitrates (comme c’est le cas en Bretagne, à cause des élevages intensifs de porc). Or, en élevage intensif, il n’y a pas de cultures associées : se débarrasser du lisier est un réel problème.En bio, les élevages sont de taille raisonnable, il y a donc moins de déjections. Et comme une partie de l’alimentation des animaux doit être produite sur l’exploitation, l’éleveur dispose de suffi samment de champs (céréales, fourrage) à fertiliser avec les déjections compostées.La boucle est bouclée : au lieu de polluer l’eau en déversant d’énormes quantités de lisier sur des surfaces limitées, on fertilise de façon optimale les cultures qui servent à nourrir les animaux.

Meilleure pour l’économie localeConsommer de la viande bio est enfi n meilleur pour l’économie et l’emploi local (à condition que le producteur soit de votre région !). Au lieu d’engraisser les grands groupes agroalimentaires, détenteurs d’énormes élevages industriels situés à des cen-taines de kilomètres (voire à l’autre bout du monde, comme par exemple l’agneau néo-zélandais), acheter bio encourage les petits éleveurs bio de nos régions.

Sources : www.intelligenceverte.org,

www.chacunsonbio.fr

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Les produits de maquillage bio prennent soin de l’épi-derme et sont moins allergisants ou irritants que les produits classiques, notamment pour le maquillage des yeux (la paupière et le contour de l’œil sont des zones très fragiles). Ils n’empoisonnent pas insidieusement votre organisme et leurs procédés de fabrication respectent l’environnement.Enfi n, ils permettent un maquillage « nude », avec un rendu naturel et plus discret, qui respecte la carnation de chacune.Le maquillage bio devient le meilleur allié des femmes même pour les peaux les plus sensibles.

Si la cosmétique bio a le vent en poupe, concevoir du maquillage biologique est plus ardu que des produits d’hygiène et de soins bios. Les cahiers des charges d’Ecocert ou du BDIH sont très restrictifs en ce qui concerne les ingrédients, mais dans le cas du maquillage bio, il bannit les ingrédients essentiels comme certains colorants ou conservateurs chimiques que l’on trouve dans les marques traditionnelles et qui n’ont très peu d’alternative pour les substituer en cosmétique biologique. Néanmoins, les progrès faits dans la cosmétique biologique permettent de proposer un maquillage naturel et biologique de très grande qualité que ce soit sur le produit ou son packaging.

Aujourd’hui, les matières premières naturelles utilisées dans le maquillage bio tels que le beurre de karité, les cires de calendula et de carnauba (issues des arbres tropicaux), ou encore l’huile de jojoba, d’amandes douces, sont toujours associées à de la vitamine A, C et E, aux vertus anti-oxydantes et naturellement conserva-trices (Le Paraben étant banni).

Les couleurs naturelles sont obtenues avec des pigments minéraux et végétaux donnant naissance à une très large palette de couleurs

fraîches et lumineuses. Le maquillage naturel est autant adapté à un maquillage quotidien léger et naturel qu’à un maquillage sophistiqué.

Les packaging sont de plus en plus séduisants et toujours respectueux de l’environnement, ces nouvelles lignes de maquillage bio sauront séduire et convaincre.Plusieurs marques se sont lancées dans ce marché depuis plus ou moins longtemps. Les marques allemandes ont été précurseur dans ce domaine. Labellisé par BDIH, les gammes de maquillage Logona ou Santé naturkosmetik existent depuis une dizaine d’année et profi tent d’une expérience refl étée par la qualité de ces gammes utilisant des huiles végétales biologiques ainsi que par la générosité de leur offre.Plus récemment, une marque française s’est fait une place de choix dans le petit monde (qui deviendra grand) du maquillage bio. Depuis son lancement en 2003, la marque Couleur Caramel est devenue une référence en matière de maquillage naturel et bio. Couleur Caramel propose une ligne de maquillage soin innovante et originale alliant les compositions naturelles et les technologies de pointe dans le respect de l´environnement.

Beauté

Le maquillage bioun maquillage de qualité

et de bien-être

Aujourd’hui les matières premières naturelles utilisées dans le maquillage bio tel que le beurre de karité, la cire d’abeille, les cires de calendula et de carnauba (issues des arbres tropicaux), l’huile de jojoba ou d’amandes douces ou la camomille bio aux propriétés calmantes font que le maquillage bio nourrit, protège et hydrate la peau.

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Au vu de la quantité de maquillage utilisé dans notre société, des nouvelles orientations du maquillage traditionnel (le maquillage minéral) et face aux progrès du maquillage naturel, il semble évident que ce secteur prend un virage qu’il sera diffi cile d’éviter au risque de disparaître !Pour sublimer votre teint, vous pouvez désormais utiliser un anti cernes, un fond de teint et une poudre compact, le tout bio, bien évidemment…

Fond de teint bio : lequel choisir ?Vous avez sûrement dû vous rendre compte qu’il peut s’avérer diffi cile de trouver le fond de teint idéal pour sa peau ; tellement de types et de teintes existent. Vous avez le plus souvent en effet le choix entre un fond de teint compact et un fond de teint fl uide. Il faut savoir que le fond de teint compact est en fait un fond de teint qui res-semble à une poudre compacte mais qui fond sur la peau. Quant au fond de teint fl uide, il s’adapte à toutes les peaux.Concernant la teinte à adopter, il faut donc bien évidem-ment choisir le fond de teint bio dont la couleur est la plus proche de votre carnation (pour ainsi éviter le fameux effet masque). Lavera et Santé proposent des fonds de teint bio sans paraffi ne et qui contiennent des huiles végétales (aloé vera, huile de jojoba).

Anti cernes bio pour un regard lumineuxUn anti cernes bio vous permettra d’obtenir un regard lumi-neux en dissimulant les cernes. Par exemple, le crayon cor-recteur Santé est idéal pour cacher les cernes mais aussi les imperfections de la peau (comme les rougeurs ou taches de pigmentation).

Poudre compact bio pour sublimer le teintLa touche fi nale pour un teint bio parfait reste la poudre compacte bio. Elle est essentielle puisqu’elle permet de fi xer le fond de teint mais aussi de le rendre velouté : cela vous évitera de retoucher votre maquillage trop fréquemment.

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Quelques conseils pour obtenir un teint bio Si vous avez des imperfections, des rou-geurs ou un teint terne, vous utilisez peut-être un fond de teint. Voici quelques conseils pour obtenir un teint parfait avec du maquillage bio.

• Nettoyez bien votre peau avec une crème bio

• Appliquez le fond de teint bio (le fond de teint doit être de la couleur la plus proche de votre carnation)

• Ensuite, appliquez l’anti cernes bio (il doit être légèrement plus clair que votre carnation de peau)

• Enfi n, pour que le maquillage tienne plus longtemps, il est conseillé d’appliquer de la poudre compact bio.

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Si vous avez des imperfections, des rou-avezgeurs ou un teint terne, vous utilisez peut-ge teêtre un fond de teint. Voici quelques conseils pour obtenir un teint parfait avec du maquillage bio.

• Nettoyez bien votre peau avec une crème bio

• Appliquez le fond de teint bio (le fond de teint doit être de la couleur la plus proche de votre carnation)

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des chips d’aubergine Ingrédients• 2 grosses aubergines

• sel

• huile de friture

• 2 grosses auberginesrosse

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1. Peler les aubergines.

2. Les couper en fi nes lamelles de 2 mm d’épaisseur maximum.

3. Dans une passoire, intercaler les lamelles d’aubergine avec du sel pour les faire dégor-ger (1/2 heure).

4. Les rincer abondamment et les essuyer avec du papier absorbant. Fariner les aubergines.

5. Les faire frire dans une poêle avec de l’huile bien chaude.

Ajoutez un peu de sel une fois cuit, régalez-vous !

Préparation

Pour l’apéro…

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Ingrédients

• 160 ml de riz sec cuit préalablement

• 1 citron bio (son zest et son jus)

• 1 gousse d’ail écrasée

• huile d’olive

• 125 de tofu nature

• 2 grosses poignées généreuses du mélange trois poivrons

• Épices : un peu de cumin et de paprika, sel

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• • 1 citron bio (son zest et son jus)on bio

• 1 gousse d’ail écrasée

• huile d’olive

• 125 de tofu nature

• 2 grosses poignées généreuses du mélange trois poivrons

• Épices : un peu de cumin et de paprika, sel

Dans une large poêle, faire revenir le tofu coupé en petits dés avec un large fi let d’huile d’olive. Rajouter l’ail écrasé. Rajouter ensuite le zest de votre citron, le cumin et le pa-prika. (Avoir la main légère pour les épices, c’est vraiment juste pour relever les saveurs, pas pour étouffer le goût). Laisser revenir le tout en remuant souvent. Finir en rajou-tant votre riz. Mélanger. Si trop sec, rajouter un fi let d’huile d’olive sur la préparation. Servir chaud !

Le citron apporte la parfaite petite touche d’acidité pour rendre cette poêlée...simplement délicieuse et pleine d’originalité !

Poêlée de légumes, tofu et citron

Préparation

Pour changer un peu des classiques tartelettes ou de la polenta classique.

Tartelettes de polenta aux épinards & faisselle de chèvre

Ingrédients pour 8 tartelettes taille muffins• 125 gr de polenta fi ne

• ½ litre d‘eau

• ½ c à c de sel

• 200 gr d’épinards hachés surgelés

• 15 gr de pecorino râpé ou parmesan

• 1 pot de faisselle de chèvre (100 gr non égouttée)

• 1 œuf

• Tomates cerises

• Tranches de bûche de chèvre

• 125 gr de polenta fi ne

• ½ litre d‘eau

• ½ c à c de sel

• 200 gr d’épinards hachés surgelés

• 15 gr de pecorino râpé ou parmesan

• 1 pot de faisselle de chèvre (100 gr non égouttée)

• 1 œuf

• Tomates cerises

• Tranches de bûche de chèvre

1. Décongeler les épinards. Mettre la faisselle à égoutter dans une petite passoire.

2. Dans une casserole, faire chauffer l‘eau avec le sel. Lorsque l’eau bout, ajouter la polenta en pluie et cuire le temps indi-qué sur le paquet sans cesser de tourner. Retirer du feu puis ajouter le pecorino. Mélanger et laisser tiédir. Pas trop sinon la polenta devient cassante et il sera diffi cile de mettre en forme les tartelettes.

3. Huiler à l’aide de papier absorbant, les moules à tartelettes. Déposer un peu de polenta et, avec les doigts mouillés, fa-çonner les tartelettes.

4. Préchauffer le four T6 (180 °C) Mélanger les épinards avec la faisselle de chèvre. Goûter et rectifi er l’assaisonnement. Ajouter l’œuf. Bien mélanger et verser dans les tartelettes, au ¾ de leur hauteur. Enfoncer au centre soit une ½ rondelle de fromage de chèvre un peu épaisse (verticalement) soit une tomate cerise. Inciser le haut des tomates cerise en croix. Enfourner et cuire 20 minutes.

Préparation

Pour les quantités de liquide et le temps de cuisson de la polenta, se référer aux indications du fabricant. Les proportions indiquées sont celles inscrites sur le paquet.

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Ingrédients

• 40 cl de lait

• 100 gr de poudre d’amandes

• 30 gr de fécule de maïs ou Arrow root

• 50 gr de sucre roux

• En option : quelques gouttes d’extrait d’amande amère

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• 30 gr de fécule de maïs ou Arrow root

• 50 gr de sucre roux

• En option : quelques gouttes d’extrait d’amande amère

1. Torréfi er quelques minutes la poudre d’amandes au four ou à la poêle. Faire chauffer le lait et mélanger avec la poudre d’amandes. Laisser infuser et refroidir.

2. Mettre le mélange dans le bol d’un robot mixer, ajouter le sucre et la fécule. Mixer fi nement. Ajouter, si vous souhaitez renforcer un peu le goût, 2 ou 3 gouttes d’extrait d’amande amère.

3. Faire cuire au bain marie une quinzaine de minutes, jusqu’à ce que le mélange épaississe.

Sans beurre et sans œuf mais elle se substitue parfaitement à la crème d’amandes traditionnelle ou à la frangipane.

Crème d’amandes légère

Préparation

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Tout d’abord, utilisez comme récipient les anciens bidons et vaporisateurs de vos produits d’entretien. Il est inutile d’acheter encore des récipients en plastique, nous en avons suffi samment chez nous ! De même ne jetons pas systématiquement les objets, ils peuvent avoir une vie plus longue que les industriels avaient prévu.

Vos produits d’entretien écolo

Lessive Préparez vous-même votre lessive écolo-gique. Pour 3 litres, râpez 150 g de savon de Marseille (ou vous l’achetez directement en copeaux) mélangez avec 3 litres d’eau bouillante ; vous pouvez ajouter des huiles essentielles (bio évidemment) : arbre à thé (antiseptique, fongicide), citron (antiseptique, antibactérienne). Laissez refroidir et versez le mélange dans un ancien bidon de lessive. La dose est un verre (type verre à moutarde) à chaque lavage.

À chaque utilisation il faut secouer la lessive. Elle est d’as-pect gluant mais on s’y habitue et surtout c’est une lessive effi cace !

Nettoyant multi-usages Pour un bidon de 2 litres : mettez 2 cuillères à soupe de bicarbonate de soude dans 2 l d’eau chaude, secouez et laissez tiédir. Mé-langez à côté dans un bol une cuillère à soupe de vinaigre blanc et 7 à 10 gouttes de 3 huiles essentielles (ne pas utiliser plus de 3 huiles essentielles à la fois) par exemple : citron, pin sylvestre, arbre à thé (tea tree), menthe poi-vrée…

Désodorisant tissus (canapés, coussins, plaids, tapis). Pour un vaporisateur d’un litre, ajoutez simplement à un litre d’eau 10 à 15 gouttes d’H.E. de citron, lavande, man-darine rouge ou encore pamplemousse et secouez.

Liquide vaisselle Pour un bidon de 500 ml. Versez (dans l’ordre) une cuillère à café de bicarbonate de soude, une cuillère à soupe de cristaux de soude, vous remplissez d’eau et vous ajoutez 15 à 20 g d’H.E.

Pour la vaisselle, la plus utilisée est celle de citron.

Lavage des sols Le savon noir est votre meilleure solution s’il s’agit de carrelage ou de linos. Atten-tion il est très concentré, utilisez un bouchon pour 5 litres d’eau. C’est un produit décapant, antiseptique et égale-ment insecticide.

petit récap’

Trucs & Astuces

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Trucs & Astuces

Les Labels de vos emballages

Souvent on retrouve des logos sur nos emballages, mais on ne sait pas toujours exactement ce qu’ils signifi ent. Attention, tous les logos ne veulent pas dire que l’emballage est recyclable, ils nous en disent parfois bien plus sur la nature du produit que l’on voudrait le croire !

Logo Nom Ce que cela signifi e

POINT VERT

Le logo POINT VERT souvent retrouvé sur les produits signifi e que l’entreprise qui met le produit sur le marché contribue au fi nancement de tout le système de col-lecte sélective et le recyclage. Il n’est donc pas une instruction de tri et ne veut pas dire qu’il est composé de matière recyclée. Très souvent les gens en France confon-dent ce logo qui se retrouve désormais sur une majorité de produits.

RUBAN DE MÖBIUS

Dans la majorité des cas le RUBAN DE MÖBIUS veut dire que le produit est recyclable. Cependant il peut également dire que le produit contient des matériaux recyclés. Dans ce dernier cas, le symbole est accompagné du mot « recyclé ». Ce logo n’est pas non plus une instruction de tri.

BONHOMME À LA POUBELLE

Le BONHOMME À LA POUBELLE est seulement là pour vous inviter à déposer vos déchets dans la poubelle et non pas par terre. Il est, en quelque sorte, un outil de conscientisation du consommateur.

LABEL ÉCOLOGIQUE EUROPÉEN

Le LABEL ÉCOLOGIQUE EUROPÉEN désigne les produits respectueux de l’environ-nement, tout au long de leur cycle de vie au sein de l’Union Européenne. Il se veut un incitatif à l’achat de produits écologiques.

NF ENVIRONNEMENT

Créé sous l’impulsion des pouvoirs publics, NF-Environnement est la marque de reconnaissance offi cielle de la qualité écologique des produits. Elle garantit que les produits qui la portent réduisent leurs impacts environnementaux tout au long de leur cycle de vie, tout en conservant leur qualité d’usage.

RECYCLAGE PLASTIQUE

Le recyclage du plastique est plus compliqué : les emballages plastiques sont traités selon deux processus, en fonction des contraintes économiques et environ-nementales. Le recyclage de la matière première pour les bouteilles et fl acons et la valorisation énergétique pour le reste. Le problème de l’incinération des plastiques, produits à base d’hydrocarbures fossiles, est l’émission de CO2 et de fumées pol-luantes qui doivent à leur tour faire l’objet d’un retraitement. En ce qui concerne le recyclage, il y a deux types de plastique : les PET, pour Polyéthylène Téréphtalate, c’est-à-dire les plastiques transparents et les PEHD, pour Polyéthylène Haute Den-sité, généralement opaques.

L e symbole relatif à l’élimination des piles : Ce symbole indique au consomma-teur qu’il ne doit pas jeter le produit usagé dans une poubelle mais le rapporter au commerçant ou le déposer dans une borne de collecte spécifi que.

ENERGY STAR

Le programme Energy Star a été mis en place par l’agence gouvernementale américaine de protection de l’environnement (EPA). Ce logo est notamment attri-bué aux produits (ordinateurs, imprimantes, copieurs, …) dont la consommation électrique est la plus faible.

Source : www.futura-sciences.com, www.ecoemballages.fr, www.economiesolidaire.com, www.consodurable.fr

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Trucs & Astuces

Déchets et emballage

Vos déchets jetés dans la nature ont encore une longue vie devant eux avant de disparaître ! Voici quelques exemples de durée de vie des déchets :

Un mouchoir en papier se dégradera en trois mois, un journal entre trois mois et un an, un fi ltre de cigarette mettra de 1 à deux ans !

Pour une simple pelure de fruits jetée innocemment, 3 à 6 mois seront nécessaires pour son élimination.

Un chewing-gum égaré vivra encore 5 ans, un sac en plastique de 100 à 1 000 ans !

Le polystyrène mettra lui aussi 1 000 ans pour disparaître de la nature.

Pire, le verre ainsi jeté s’éliminera en 4 000 ans !

Enfi n, cela prendra entre 10 et 100 ans à une cannette pour disparaître !

Empêchez-leur une longue vie dans la nature, jetez vos déchets à la poubelle !

Source : www.linternaute.com, www.ecolo-trucs.com

Le saviez-vous ?• Ce n’est pas parce que l’emballage est très

joli et étoff é que le produit est parfait !

Partant de ce principe, veillez à choisir les produits en fonction de leur emballage, et évitez les produits emballés et sur-em-ballés, dont l’enveloppe parfois pèse plus lourd que le produit lui-même !

Choisissez toujours le produit le moins lourd, et le moins volumineux, à qualité égale, pour réduire les emballages et sur-emballages parfois inutiles !

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Partant de ce principe, veillez à choisir les deproduits en fonction de leur emballage, et évitez les produits emballés et sur-em-ballés, dont l’enveloppe parfois pèse plus lourd que le produit lui-même !

Choisissez toujours le produit le moins lourd, et le moins volumineux, à qualité égale, pour réduire les emballages et sur-emballages parfois inutiles !

ennemis de l’écologie

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Trucs & Astuces

Les cheveuxComment prendre soin

de sa chevelure tout en utilisant des produits naturels

Brillance des cheveux Ajoutez 5 gouttes d’Huile essentielle bio de Lemongrass à votre shampooing habituel.

Cheveux gras Préparez 1 litre d’eau de rinçage : mélangez 2 gouttes d’H.E. de romarin avec une cuillère à soupe. de vinaigre de cidre (bio), versez ensuite ce mélange dans un litre d’eau. Vous utiliserez cette eau comme dernier rinçage.

Cheveux frisés et secs Huile d’olive et œufs ! Mélangez uniquement le jaune avec l’huile d’olive (2 cuillères à soupe d’huile pour chaque jaune d’œuf, la quan-tité de jaune d’œuf dépend de la longueur de vos cheveux).Laissez poser 20 minutes sous un fi lm plastique ou toute la nuit. Rincez, shampouinez et vos boucles seront superbes et douces !

Cheveux secs Masque réparateur : 50 ml d’Huile végétale de Noyau d’abricot (ou germe de blé) + 20 gouttes d’H.E. de géranium rosat. Appliquez raie par raie et laissez agir 1 heure puis faites votre shampooing.

Masque ultra-nourrissant Battez un jaune d’œuf avec une cuillère à soupe d’huile de germe de blé et une cuillère à soupe d’huile d’avocat. Faites fondre au bain-marie cette préparation avec 2 cuillères à soupe de beurre de karité. Dès que le mélange est homogène, vous le retirez du feu et ajoutez 10 gouttes d’H.E. de géranium rosat et 10 gouttes d’H.E. de vétiver. Vous appliquerez ce masque, tiède, raie par raie, sur la totalité de votre chevelure en commençant par les racines. Laissez poser une heure et faites ensuite un shampooing doux.

Pellicules Pour lutter contre les pellicules vous avez le choix entre plusieurs huiles essentielles : cajeput, bay Saint-Thomas, sauge sclarée, patchouli ou encore cèdre de l’Atlantique. Ensuite le traitement est le même : 5 gouttes au maximum dans votre shampooing et en lotion de rinçage.

L’utilisation d’huiles essentielles est déconseillée aux femmes enceintes ou allaitant.

Source : www.ecotruc.com

Les huiles végétales à utiliser plus particulièrement pour les cheveux sont les suivantes : huile de germe de blé, huile de noisette, huile de sésame, huile d’argan, huile de noyau d’abricot, huile d’avocat.

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Grille Horizontalement3. Moteur actionné par l’énergie du vent. Pompe à eau fonctionnant grâce à

une roue mise en mouvement par le vent.5. Traitement des maladies par les huiles essentielles des végétaux.10. Science de la vie, subdivisée en différents niveaux: molécule, cellule, orga-

nisme, et population.11. Milieu où vivent une ou plusieurs espèces.

Verticalement1. Température et autres conditions atmosphériques propres à une région.2. Milieu complexe, tant artifi ciel que naturel, où l’homme vit4. Chacune des quatre parties de l’année.6. Forme allotropique de l’oxygène, comprenant trois atomes dans chaque

molécule, et dont la formule est O3.7. Infection qui frappe la terre, l’ai et l’eau et qui est combattue par l’écologie et

la protection de l’environnement.8. Terme désignant l’ensemble des éléments vivants et non vivants qui consti-

tuent un milieu naturel et interagissent les uns avec les autres.9. En physique, capacité que possède un corps ou un système de corps de

fournir un travail, d’élever une température, de produire une action ou une réaction.

Sudoku

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Vous devez retrouver les 31 mots cachés dans la grille ci-dessus. Les mots vont de droite à gauche, de gauche à droite, de bas en haut ou de haut en bas.

Mots à trouver : 1) PLANETE EKOLOGIE 2) CARTDRIGE WORLD 3) EGOKI FORMATION 4) THALASSOBLANCO 5) BABS EDITIONS 6) PANPIDUHALDE 7) AQUITAINETV 8) GEOCLIMATIC 9) BIOTIFOULE 10) NATURHOUSE 11) NATURLAINE 12) SPAKEMANA 13) SURFRIDER 14) BIOBEARN15) BIOETIKA16) JOLILOLA 17) LE HAMMAM 18) MATECOLO 19) SWEETAIR 20) DERAULT 21) ISOSAIN 22) LA PINTA 23) NATEXEA 24) NEPVEUX 25) WANDERS 26) ECOSYS27) PACTHD 28) SUNONE 29) FAGOA 30) HONDA31) CANA

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Tous nos annonceurs, leurs coordonnées, la page de leur publicité

HabitatNATEXEA • Constructions, Rénovations, Matériaux écologiques • 9, av. de la Division-Leclerc – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 45 68 24 ..........2GEOCLIMATIC • Étude, réalisation, SAV de solutions solaires géothermie, aérothermie31, rue Chapelet – ZAC Négresse – 64200 Biarritz • Tél. : 05 59 54 86 74.....................................................................................................................................2ECOSYS • Récupération/valorisation d’eau pluviale • 60, av. Duvergier-de-Hauranne – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 44 14 09 ..............8THIERRY DERAULT : Charpente en Bois – Hatché — 40700 Morgan – Tél. : 05 58 79 05 57 .............................................................................10NATURLAINE • Isolation Écologique • 67, rue de la République – 81200 Mazamet • Tél. : 05 63 98 51 14 ..................................................14MATÉCOLO • Matériaux de construction écologiques • 300, route de la Fontaine – 40400 Tartas • Tél. : 05 58 73 35 60 .........................7SWEETAIR • Vente installation de panneaux solaires photovoltaïques particuliers & professionnels ZAC du Golf – 64200 Bassussarry • Tél. : 05 59 55 70 64 ....................................................................................................................................................12SUNONE • Installation panneaux photovoltaïques • Quartier Hilaire – 64800 Montaut • Tél. : 0 800 007 021 .................................................5WANDERS • Poêle à bois, poêle scandinave. Poêle granulés Insert à bois à granuléZAC du Golf – 64200 Bassussarry • Tél. : 05 59 29 61 88 ...........................................................................................................................................48ISOSAIN • Isolation Ouate de Cellulose • ZAC des 2 Pins – 40130 Capbreton • Tél. : 05 58 47 65 16 ................................................................9PANPI DUHALDE • Charpente, Menuiserie, Maison Ossature Bois • Voie de Contournement – 64240 Hasparren • Tél. : 05 59 26 61 05 ............6

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Bien-être et santéBIO BÉARN • Alimentation Bio – 41, av. Fouchet • 64000 PAU • Tél. : 05 59 13 81 81 ................................................................................3 et 29BIO ETIKA • Alimentation Bio • 7, av. du Maréchal-Juin – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 55 00 82 ....................................................................31THALASSO BLANCO • Thalassothérapie • 125, Bd de la Mer – 64700 Hendaye • Tél. : 0 825 00 00 015 ....................................................30SPA KEMANA • Soins, Massage, Fitness Coatching • 3, carrefour de l’Hélianthe – 64200 Biarritz • Tél. : 05 59 22 13 12 ........................32CANA • Collège Alternatif de Naturopathie et d’Aromathérapie • 9, rue Etxalde – 64500 St-Jean-de-Luz • Tél. : 06 84 83 46 58 ..........32NATURHOUSE • Produits diététiques et naturels • 34, rue Bourgneuf – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 46 16 98 .......................................28FRÉDÉRIQUE NEPVEUX • Réfl exologue, Hypnose, Reiki Usui • Tél. : 06 87 52 82 61 .............................................................................................32BIOTIFOULE • Esthétique et Cosmétique • 8, place Beaurivage – 64200 Biarritz • Tél. : 05 59 23 24 58 ..........................................................4

BeautéLE HAMMAM • 9, bis rue Luis-Mariano – Docks de la Négresse – 64200 Biarritz • Tél. : 05 59 24 96 56 .....................................................34

GastronomieFAGOA • Boulangerie Bio • 3, rue du Bois-Belin – 64600 Anglet • Tél. : 05 59 03 47 67........................................................................................37LA PINTA • Restaurant • 121, bd de la Mer – Place Sokoburu – 64700 Hendaye • Tél. : 05 59 48 12 12 ......................................................35

DiversEGOKI FORMATION • Chemin de Sempau – 64210 Bidart • Tél. : 06 99 90 65 28 ................................................................................................17HONDA • Concessionnaire - Garage Franco-Américain • 44, av. de Bayonne – 64600 Anglet • Tél. : 05 59 43 51 51 ...............................25JOLILOLA • Puériculture naturel, vêtements Bio • 10, rue du Sergent-Bernes-Cambot – 64000 PAUBd du BAB, rue Jean-Mouton – 64600 Anglet • Tél. : 09 50 38 52 09 – 05 59 63 79 14......................................................................................47PACT • Service Public du Conseil sur l’énergie • 9, rue Jacques-Lafi tte – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 46 31 60 ........................................47SURFRIDER • Association, Protection de l’Océan et du Littoral • R 120, av. Verdun – 64200 BIARRITZ • Tél. : 05 59 23 54 99 ...........22

Listes des annonceurs

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Salon du PrintempsDu 26 au 28 mars 2010 • Saint-Palais (64)Le Salon de Printemps de Saint-Palais est une vitrine des der-nières tendances en matière d’habitat et décoration. Ce salon est devenu au fi l des années un rendez-vous incontournable. C’est avant tout le carrefour des savoir-faire et des activités régionales. Un lieu où chacun pourra réaliser de bonnes affaires dans un cadre agréable.Contact : Mairie de Saint-Palais Tél. : 05 59 65 48 62 – Fax : 05 59 65 79 40 – www.pixkor.fr

Salon Éco-citoyen 201010 et 11 avril 2010 à Hélette (64)Pour la troisième année consécutive, la Communauté de Communes du Pays de Hasparren (en partenariat avec le Centre d’Appui aux entreprises ALDATU, l’association Eihartzea, le Syndicat Mixte Garbiki et les Mairies de Hélette et Hasparren) organise un salon éco-citoyen qui se tiendra le week-end du 10 et 11 avril 2010 à Hélette. Ce salon Eco-citoyen aura pour thème « L’éco-consommation ».Contact :Tél. : 05 59 29 16 47 – www.hazparnekolurraldea.com

Salon VivreExpo Du 23 au 25 avril 2010 30, avenue Armand-Toulet, le capitole Halle d’Iraty, Biarritz (64)Un salon de l’habitat, organisé cette année sous le thème du développement durable. De nombreux expo-sants proposent des solutions pour consommer mieux tout en respectant l’environnement : matériaux de construction écologiques, cosmétiques & alimentation bio, économies d’énergie. Contact : Tél. : 05 59 31 11 66 ou www.expomedia.fr

Salon ÉcosystèmesDu 1er mai 2010 au 2 mai 2010 à Pau (64)Le salon de l’éco-habitat, des énergies renouvelables et de la médecine de l’environnement.L’objectif de ce salon est de donner plus d’importance à l’éco-habitat et à la construction écologique, autant qu’aux énergies renouvelables, dont les thèmes seront largement représentés par les professionnels des régions Midi-Pyrénées et Aquitaine.Contact : www.ecosystemes.fr.cc

Salon de l’Environnement et du Développement durable (SEDD)Du 8 au 17 mai 2010 – Foire Internationale de Bordeaux Parc des Expositions Bordeaux Lac (33)Événement à part entière au cœur de la Foire Internationale, le SEDD regroupe une centaine d’exposants sur 6 000 m² d’exposition.Organisé en partenariat avec l’ADEME, il bénéfi cie d’une mise en scène spécifi que et d’une communication particulière. Une plateforme éco rencontres, implantée au cœur du salon permet aux exposants d’organiser débats, rencontres, conférences Contact : Congrès et Expositions de BordeauxBP 55 – rue Jean Samazeuilh – 33030 Bordeaux Cedex [email protected] Tél. : 05 56 11 99 00 – www.bordeaux-expo.com

Salon BIOTERRADu 4 au 6 juin à Irun (Espagne) FICOBA – Parc des Expositions du GipuzkoaSalon de Produits Biologiques, Écoconstruction, Énergies Renouvelables et Consommation Responsable.Cette année, pour leur 7e édition, les énergies renouvelables et l’éco-construction auront leur propre zone d’exposition : l’espace Geobat.Contact : Tél. : (0034) 943 66 77 88 – Fax : (0034) 943 61 61 64 fi coba@fi coba.org - www.fi coba.org

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