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L'Expressif Lycée Denis-de-Rougemont N˚14- janvier 2018 Dans ce numéro La Vie au Lycée page 4 Un(e) exhibitionniste au lycée ? L'expressif vous dévoile des détails supplémentaires... Askip page 7 Une déesse au DDR, mais où se cache-t- elle ? La Vie au Lycée page 5 Qui est le surprenant professeur qui résous des sudokus très rapidement

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Page 1: Lycée Denis-de-RougemontL'Expressif Lycée Denis-de-Rougemont N˚14- janvier 2018 Dans ce numéro La Vie au Lycée page 4Un(e) exhibitionniste au lycée ? L'expressif vous dévoile

L'ExpressifLycée Denis-de-Rougemont

N˚14- janvier 2018

Dans ce numéro

La Vie au Lycée page 4

Un(e) exhibitionnisteau lycée ? L'expressifv o u s d é v o i l e d e sdétailssupplémentaires...

Askip page 7

Une déesse au DDR,mais où se cache-t-elle ?

La Vie au Lycée page 5

Qui est le surprenantprofesseur qui résousd e s s u d o k u s t r è srapidement

Page 2: Lycée Denis-de-RougemontL'Expressif Lycée Denis-de-Rougemont N˚14- janvier 2018 Dans ce numéro La Vie au Lycée page 4Un(e) exhibitionniste au lycée ? L'expressif vous dévoile
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La Vie au Lycée L'Expressif

Page 2 L'aura du prof Sudoku“Raaah mais non le 5 ne va pas là, il figure déjà dans cette même colonne“ pensais-je lorsque leprofesseur de mathématique (on va le surnommer Pierre afin de préserver sa vie privée et éviter qu’on luidemande des autographes à chaque recoin du lycée) se leva, pour venir contempler les magnifiquesgraphes qui étaient en devoir pour aujourd’hui (évidemment j’avais noté que c’était pour demain). Quandil s’approcha furtivement de ma table, je cachai immédiatement mon livret de sudokus sur lequel jem’escrimais depuis déjà quinze minutes, mais trop tard, il l’avait déjà vu : “Des sudokus niveaux 4 et 5(cela représente le niveau master) ? Tooo much eaaaasy, moi je fais des niveaux 8 et 9, autrement dit desDIABOLIQUES !“ s’écria-t-il. Prise d'une forte envie de le piéger, je le défiai “Si c'est si facile, je vous laissedix minutes afin de terminer la grille d'un sudoku niveau 5“ lui dis-je, sinon vous devez inviter toute laclasse à boire une bière. Notre professeur afficha un rictus goguenard (vous savez, ceux des profs demaths quand ils sont convaincus d’avoir raison) et sur ce il rétorqua, comme si il avait déjà remporté lepari : “CHALLENGE ACCEPTED“. Prêt à retourner le livret en un cinquième de seconde pour attaquer cesudoku master, il attendait impatiemment mon “C'EST PARTI“ que je criai après avoir minutieusementlancé le chronomètre. Il était concentré sur sa grille et sur les chiffres qui y figuraient, ainsi donc lesilence régnait dans la classe (pour une fois j’ai envie de dire). Il nous avait donné une tonne de boulot afind’être sûr de pouvoir se concentrer sur sa grille.

Les minutes s'écoulèrent. Durant les quatre premières minutes, notre génie en mathématique avaitgriffonné quelques chiffres au crayon de papier. La moitié du temps s'était affichée : “Il vous reste cinqminutes Monsieur si jamais“ lui lançais-je sur un ton sarcastique. Il se contenta de me répondre par un“SILENCE, je me concentre !“. Les carrés commençaient à se remplir lorsque soudain, à la sixième minute,il sortit d'un mouvement brusque une gomme de sa mallette : il effaça la moitié de son travail. Toute laclasse sourit en le voyant gommer son sudoku : “rien ne vaut une bonne blonde au 21 !“ s'exclamèrent-ilstous en cœur mais le professeur ne se laissa pas déranger pour autant : “SILENCE ou je vous donne unetonne de devoirs“ dit-il avec autorité. 7 minutes.. 8 minutes.. nos gorges semblaient être de plus en plussèches après chaque seconde : “à nous l'apéro“ pensaient les élèves avec joie et frénésie.Malheureusement, lorsque le chronomètre annonça 9 minutes, 7 secondes et 45 centièmes de seconde, leprofesseur releva la tête et hurla “FINI“ ! Déçus de devoir s'avouer vaincus, nous avons vérifié toutes lescombinaisons : carrés, lignes et colonnes afin de s'assurer qu'il nenous avait pas entourloupés. Honteux et gênés, il nous a fallu avouerque c'était un coup de maître de réussir un sudoku niveau 5 en 9minutes. A titre de comparaison, une fille de notre classe qui vientde Dubai (détrompez-vous ce détail est primordial) a tenté un niveau4. Au lieu de mettre 9 minutes, elle a eu besoin de deux heures etdemie afin de compléter le sudoku (je précise qu'elle est blonde). Jevous assure que notre professeur a bien rigolé lorsqu'il a appris ça etn'hésite pas à la narguer pendant chaque leçon. En sortant de laclasse, le prof nous lança “rendez-vous au 21 à 16h, j'attends matournée“.

Morale de l'histoire : ne défiez JAMAIS votre professeur demathématique, au risque de finir ruiné à force de lui payer desbières. J.P

La Vie au Lycée L'Expressif

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Temps ?

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Alerte : Un(e) exhibitionniste rode dans les couloirs.Elle est peut-être une de vos amies proches, ou peut-être vous n'en avez jamais entendu parler. Ce qui estcertain, c'est qu'à la salle des maîtres, elle fait souvent l'objet de discussions. Son rire et son comportementexubérant en a fait se retourner plus d'un et de nombreux professeurs lèvent les yeux aux ciel lorsqu'elle prendla parole. Cette fois-ci, nous appellerons cette étudiante de 2e année, Louise. Cet étrange spécimen déambulenonchalamment dans les couloirs et il lui arrive parfois de drôles d'histoires. Souvent virée des cours, vouspouvez l'apercevoir faire « coucou » de la main aux fenêtres. Vous ne voyez toujours pas de qui je parle ? Voiciquelques épisodes qui rafraichiront votre mémoire :Connaissez-vous la pudeur ? Hé bien.. Louise pas. Depuis bientôt 2 ans notre classe 2MG13 (classe toujoursfictive donc) devons subir les cours le vendredi après-midi jusqu'à 17h05 (profitons de ce petit article pourglisser un message subliminal afin de faire comprendre à la direction que cet horaire ne nous plait pasénormément). Il faut donc savoir que le DDR, le vendredi à 17h est totalement VIDE. Pas une mouche, pas unétudiant, pas un avion en papier. Par conséquent, nous avions l'habitude de prendre nos aises dans l'école. Unefois, lors d'une halte aux toilettes du 3ème étage, Louise, qui voulait nous raconter son excitante aventure de lanuit précédente, s'est soulagée la porte ouverte. Persuadée que nous étions seules, elle n'a évidemment pasremarqué monsieur le concierge entrer dans les toilettes, tomber nez à nez avec elle et réaliser que l'intimitéde cette jeune insouciante s'était soudainement envolée. La suite, vous la connaissez : Un cri, une porte quiclaque et un faible « ouh pardon...pardon... ». Le deuxième épisode s'est déroulé au camp de ski et Louisedevient écarlate lorsqu'on lui en parle. Il est environ 23h30 quand tous les étudiants rentrent du bar de l'Ourset se rendent dans les dortoirs. Une amie et moi-même traînions dans les couloirs afin de trouver notremoniteur pour qu'il vienne nous dire bonne nuit (oui oui, c'était important pour nous). Manque de chance, c'estsur un professeur que nous sommes tombées. Nous nous sommes plaint à celui-ci que les moniteurs ne venaientjamais nous voir. Il a tourné la tête et a vu Louise dans notre chambre, totalement nue. Elle lançait ses habits unpeu partout sans gêne en remuant tout le bazar de la chambre. La réponse de notre professeur a été très clair :« Hum... Mais vous voyez, c'est un peu gênant... ». Ah notre chère Louise, qui aimerait s'enterrer à chaque foisqu'elle croise ce professeur. Voici la dernière anecdote: Peut-être était-ce la fin de l'année et les beaux jours dejuin qui ont fait que Louise s'est complètement lâchée. Nous étions au tournoi de badminton des joutessportives et vous connaissez bien les salles de sport de la Maladière : Des frigos l'hiver et l'été, tout le monde seliquéfie sous la chaleur. Le fait est que nous avions décidé d’aller se baigner au lac entre deux matchs tellementla chaleur était insupportable. Arrivées aux Jeunes Rives, notre chère Louise s’est rendue compte qu’elle n’avaitpas de maillot de bain et elle ne voulait surtout pas mouiller ses affaires de gym. Vous vous en doutez bien: Ilest 14h, Louise saute dans le lac, nue comme un ver. Tout allait bien jusqu’à ce qu’on remarque un groupe dejeunes s’approcher à gauche et un homme muni d’une paire de jumelle à droite. Bien sûr, telles de vraies amies,nous avons préféré manquer de se noyer tellement nous rions plutôt que de l’aider! Situation: Louiserecroquevillée entre deux rochers qui tente d’attraper ses habits et nous, mortes de rire. Conclusion: Desaffaires de sport complètement trempées, et le titre de nudiste des Jeunes Rives pour Louise ! -AZ

La Vie au Lycée L'Expressif

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Donnez-nous votre avis sur le journal du Lycée et envoyez-le à [email protected] avec “Avis”comme objet. Votre opinion est importante pour nous, merci d'avance !

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Les Articles L'Expressif

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Le grand bleuC’est un petit bar, d’accord, mais c’est surtout le dinosaure du genre, le classique de Neuchâtel, étantdonné qu’il est présent dans le quartier depuis 88 ans ! Et figurez-vous que ce n’est pas un dino comme lesautres, c’est un dino qui aime le cinéma et la musique. Il s’est appelé « ABC », « Pyrénées » et aujourd’huic’est le « Bleu Café » dont j’aimerais parler. Pourquoi Bleu ? C’est l’album « Café Bleu » du groupe anglaisThe Style Council qui en est à l’origine (sorti en 1984), autant dire que l’esprit musical était présent dès lacréation du café, et il l’est encore : il n’y a qu’à voir les affiches, les photographies et autres objets« collectors » qui remplissent la pièce. Ces affiches, Gary Pethoud, le patron, les a ramenées des différentescinémathèques d’Europe qu’il a visitées. Plus précisément, Gary ? « - Celle-ci, par exemple, c’est une affiche pour la version espagnole du film Talons Aiguilles de PedroAlmodóvar, un film que j’aime beaucoup. - Y en a-t-il que vous préférez ?- Bien sûr ! L’autographe de Terry Gilliam, membre des Monty Python, celui de Bertrand Cantat que je gardedans mes affaires… Il y a aussi la peau de la batterie de Pink Floyd qui date des années 1960. - Et si vous pouviez accueillir une seule de toutes ces célébrités, laquelle serait-ce ? - Des musiciens en tous cas, comme The Cure avec Robert Smith, le chanteur du groupe, ou BenjaminBiolay… Mais ce sont tous des artistes qui font la tournée des stades, ils sont de trop grande envergurepour venir ici. A la place, on reçoit des musiciens plus locaux comme Tonton Pierrick, par exemple, ce quiest tout aussi bien !- Est-ce que, parmi tous ces événements que vous avez accueillis, il y en a un qui vous a particulièrementmarqué ?- Il y en a eu tellement… Je dirais quand le fils de l’acteur Gerard Lanvin, Manu Lanvin, qui est bluesman,est venu au salon. Parce que j’aime ce qu’il fait et, peu de temps après sa visite, il est parti en tournée avecJohnny Hallyday pour faire sa première partie, et c’est marrant de se dire qu’il est d’abord passé par cheznous.»Voilà ! Alors, star ou pas encore, pour votre prochaine sortie, pensez à ce bon vieux Bleu ! C’est à deux pasdu lycée et si, en fin de soirée, une furieuse envie de cinéma vous prend, il y a même une offre qui le rendmoins cher (formule « Ciné-Bouffe » : CHF 25 pour un sandwich chaud, une boisson, et une place decinéma).

-R.A

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Cinémaniac' Expressif

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Un ciné plus « true » que nature

A Neuchâtel, il y a l’Appolo, le Rex, les Arcades, sans oublier le Studioet le Bio, bien sûr. Mais connaissez-vous le cinéma du lycée ? Présentdepuis quelques années, il vous offre la possibilité de voir, ou revoir,des films qui ne passent plus de la région en venant nous proposer lefilm de votre choix lors de la prochaine séance, par exemple. Apropos ! Les séances ont lieu le mardi, de 13h30 à 15h30, puis de15h30 à 17h30, généralement en salle 21. N’est-ce pas parfait ? Voirl’excellent Jim Carrey (The Truman Show était le film diffusé le 5décembre dernier) là où des cours, pas toujours intéressants,défilent à longueur de journée, a de quoi égayer une journée. Alorsque ce soit pour faire votre cinéma, à la Nougaro, ou juste pour sechanger les idées, passez donc à la prochaine séance ! Cette fois nousavons décidé de passer le film Drive de Nicolas Winding Refn (c.f.ci-dessous)

DRIVE est un film américain réalisé par Nicolas Winding Refn, sortien salle en 2011. Dans une ambiance sombre où la lumière provientdes leds aux couleurs flashis, on suit ce qu’on pourrait appeler un « chauffeur à gage » joué par RyanGosling, qui se fait payer pour conduire des clients, pas toujours très nets. La journée, il est cascadeurpour le cinéma, et la nuit, il conduit donc des gangsters, qui eux, sont bien réels. Son rôle, qui neconsiste, au début, qu’à garder la main sur le volant va vite dégénérer : il propose son aide au mari desa voisine, qui sort de prison et qui ne veut plus avoir de lien avec la criminalité. Seulement voilà, lesanciens membres du gang de ce dernier ne sont pas de cet avis et il doit accomplir un dernier « coup »qui va mal tourner… Ce film fait partie des films à voir, que ce soit pour son histoire, ses acteurs, ou pour ses couleurs. Jevous le recommande donc vivement ! La prochaine séance est fixée au 23 janvier 2018 (et oui, déjà !).Au plaisir de vous y voir, avec ou sans « driver » …

L'Expressif a besoin de vous !

Tout les élèves et professeurs du lycée sont les bienvenus à la rédaction.Profitez-en pour vous exprimer !

[email protected]

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Askip' L'Expressif

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La déesse du DDR Si depuis quelques temps vous vous sentez davantageen sécurité et plus à l’aise (surtout pourl’exhibitionniste du lycée) au sein de votre cherDenis-de Rougemont c’est que vous êtes sans doutesous la bienveillance de la déesse du DDR. Très peud’élèves ont eu la chance d’être en contacte avec ellecar elle n’aime pas se montrer au grand public, elle estassez pudique. Mais si vous ressentez vraiment lebesoin de la rencontrer, vous la trouverez dans le petitcasier rouge en face de la salle 221. Elle vousaccueillera les bras ouverts ou les jambes ouvertes, etvous offrira une tasse de thé ou une pipe de la paixselon vos préférences. Mais ne lui dites pas qu’elle estune déesse, elle pourrait le prendre mal.

-L.B

Revoilà la rubrique “Askip'” où vous apprenderez pleins d'anecdote sur le lycée.. maisaussi sur les professeurs

Chers lecteurs/lectrices,nous sommes enfin en2018 et je pense qu'unp e t i t h i s t o r i q u e d e s“meme” de l'année quivient de s'achever estnécessaire :

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Détente L'Expressif

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Mais quelle est donc cette chanson ?

C’est bien la première fois,Que j’entends ma voix,

En dehors de moi,Dans la radio

Je ne reconnais pas,Je n’sais pas si j’aime ça mais,

Regarde tout ce qu’on peut faire dans la radio…

Envoie-nous ta réponse à l’adresse du journal : [email protected] prix sera distribué au gagnant à l’issu d’un tirage au sort !

Rédacteur en Chef : Noémie SCHLUESSEL et

Louise BITTERLI

Seconde de rédaction : Jeanne Pilloud

Rédacteurs : Rosa ARRIVE, Louise BITTERLI,

Swarna FAIVRE, Jeanne PILLOUD, Alexia

ZBINDEN

Contact : [email protected]

L'Expressif est soutenu par le groupe de liaison

La mauvaise note... -NaemyChan

Aucun rapport avec le lycée.. manque d'inspiration ? Peut-êtreparce que je croule sous mes devoirs actuellement..