DESSINS DE MORRISSCÉNARIO DE X. FAUCHE ET J. LÉTURGIE

Mise en couleurs: STUDIO LEONARDO

LOCK? PRODUCTIONSGENEVE

© LUCKY PRODUCTION S.A. 1994

Tous droits de traduction, de reproductionet d’adaptation ou autres strictement

réservés pour tous pays.

Dépôt légal: septembre 1994I. S. B. N.2-94001 2-50-4

Imprimé en Belgique en août 1994

Photogravure Studio LeonardoImprimerie Proost Fleurus

DESSINS DE MORRIS SCÉNARIO DE X FAUCHE ET J. LÉTURGIE

f NT-LOUIS/SAINT"- LOUIS /

lEEMtMU’S'TourJÆ/HOND^ •D&SC&NC).

>

' ilukoisTown/tt-i-i NOlSTiOWN /

IfelZfAIHUS' TfcsurLe. MQKi>e

U # 1© ®

En 1868, les voyageurs voulant

traverser les Etats-Unis d’Ouest en Est, ou

d'Est en Ouest, se heurtaient à un obstacle

considérable: le Mississipi.

Pour le franchir, ils ne disposaient que de bacs transbordeurs... ...dont les horaires capricieux avaient pour

seul but de remplir les bais et les hôtels...

vlANAIS x^vaucæLb "jeune fouLfeTUl ILEKTélSftYDANSÔA POS.E TAJ

V UAjSblN:.. >

PUS JeUNls&&ST f*3FfaSSlôLe-

tt'&ST 15®/

...où les clients se voyaient systématiquement rackettés.

Bacs, hôtels, restaurants et saloons étaient en fait la propriété des frères Cayman...

laiWTtfHOTEL—Cavman Bros, i Bat L Dick

* -

Cayman~

Caymart

SAIGON1= TRANSP

CAYMANCAYMAN»

S

BARBER SHOPlRESTAURANT

...dont l’ainé, Bat, avait réussi le tour de force de se faire

élire à la fois maire de Saint-Louis et d’IUinoistown.

Homme d’affaire avisé, Bat Cayman contrôlai, personnellement tous les flux financière qui animaient les différents commerces.

Yaei ptwe vos Y seulement?ŒUVRES, MONS/EU&

](L PjAUPEA VOIR.

1&- AtAifes ... y A sermonner.v , .

yos fidèles.'

VOTfëE (SOUMISSIONMONSIEUR LE

MAtfc(3... /T<

Vc5ïfcE ARGENT AUMOIIR, MONSIEURuehwb*-. >

\ SEULEMENT 2/

IL- FAUDRA vcxrI à/ FAVORiÇfeti laVERTE "DES MODÈLE

GHÈNE G£m-v TilRES AfeLüY^

tandis que Dick, son frère, veillait à ce que les citoyens respectent leur maire. Bref, Bat Cayman avait quelques raisons de croire en sa bonne étoile.

A "TlTRE EXCEPTIONNEL ETPOUR VOUS SEUL, MCNSiEdlR.©AYMAN, JAI ON PLA©EMENT

À 2S%— >

|VOtrMONSlEUIR LEMAIRE-' ' SEULEMENT ?FAUDRA VOIR-

à

FAI12E UN EFFORTSI VOUS VOULEZ-

. Fidéliser maV ©LIENT^LE'

à l’horizon...

'(Somme VOUS L‘ imaginez. YMonsieur le Président,

Voyageurs et marshanoises^<3>A£nei2ont lin Temps Peéeieax.

,

<S-RACE A VOTRE OUVRAGE, MONSIEUR.&APS, LES ÉTATS1

-UNIS MÉRITERoKrVfEetTAôL&MENT LEUR NOM-J INAUGURERAI VOTice PONT- / .

UE 4 JUILLET IBTf (MeK®|/

Mais, hélas pour lui, un nuage de taille se profilait

-PLUS 2ôS ftoüR./... LE SEIG-KEUE. ^'DERaSSEMERT / f^SSÉOAIT UÉfOWOEPLI TEMPE T>E / ;À CONDITION QüS VOUSSTATIONNEMENT. I UfeSéJlEZ TOUS VOSw BlENSÀ L’ÉfcUSE..

fPOMCJriONSüReai.NBSSABWITUPES

UJK.E

HOTEL-' fCayman Bros.Cayman

SAIGON ITRAIÎSP

NlLAYMAKCAYM-»S

Et c’est à Saint-Louis que nous retrouvons, quelques mois plus tard, nos sympathiques héros solitaires...

©

Peu après, dansla cabane de Eads AU, mou penr remontant.

AMSeei.MAHM.IA..- \—rBT DEPZitS DeUX AUS, A PAer LES

PlL£S,PJeN N'AYANTS . Dès Çiie 1ASTT2UGTuZB rteND FtiEfoË, IL y A UN ihqidcht/

mais me voas êtes pemis A rimer?

HOU.' <2'BSr ùi<sm FfcüR AieUNE ÆONTÊHANÇE..

r A195 lé. EADS, VOUS TVOUS l&TfeS EKÇO'EtbMPÉ DE &HAUSSETTC5S

IL ISSr^VlDENr QUE CE?aW VAÀ L'EN(*GNTT2E.

I

DË Î.IEK DES IHTtèRferS,ÊT NOTAMMENT DE CEUXTES FRèPËS <2AmAV.

MON LU<30/ m*W, LE Sé-W, Pa£ MA VOIX,NOUS DëMAKDED'AIDER. MONSIEUR. EADS ,ET UE HfeNfe MON YEJZEe ./

*?1?M>

VA PE'SOMMEOül S'APPELLELaeKv lule iei ?

.. er RE-meTtri* <en prison tesPALffoN G>U\ VIEWMEKT DE S'ÉVADER,

®

©

IL VAURA DEUX?fi£GAC&æ,&H PLU<3.

SN AVANT.YoüTBf m.

ow v vaJOLLV

.

?Ô*SQU& TU ES <31

/(AALIM, VASWDÔKeÀLA na<sp ha- +<a'wa:

E>EAU 'DéâA&E/MENT-/Mekc-l vieux Fiîeize.'

‘A E^AEtie DP PeVAK€HF

attendant le eatEau, vous ne vfefceez- Ras usTEMPS fi4SÉER.fbup- DUE SOMME MODIQUE, NOS tfYL^USSE-iVENTS VOUS /xPPoPb^feNT LES MEILLEURES X>ISrt3A«TlOHS--

PO^R. LABRtüVOie.CfeSr S0> CENTS'..

ATTENDS-MOI U/(QuANC>lLPRENTiJe k'em ai ras

\£Ei?AHÀ,efesr

fbUR. LON&tfeWS. \ QUE ÇA VA».— (êWAUFPtsfc !

MAIS...Je nXi £en\ LM quart d’he<u(2e,

<?OMMAND£ .'... J \J2 CENQiiWEUE/MEKr ESTlll | g | F ""rV' 1JA ~

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QUE. ÇA FAIT 5$

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Bohnh nouvelle Fbufe-Toi, <2010-60/J£

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f'Al -VROUHé. UH &AT=Aü/ÉMS/d?ÇjEMENr

5 $ et une tournée générale plus tard... I ^——;

—

-y- Ifil AURAl<S WÎ ME LE

LAISSEE, BAT/ JE T'EN AüfSAtÇ FAiriiNE Pie/ même ça mère

NE fïAüRAir P4<3 £J£<3qnnü.'

fiAEflE. <s'asrAtOUElE ON PEilfia heue—

SETiSS Qu S^JKStDE ? tld INSONNÜNOMMÉ UlOViV UiNfe A PélZt Tm<5 1^3FLQVS1 TUMULTUEUX DU MlSSlSStPt ENT&NTANr te TteAv&esE-fc.m fléuvefAe S&ç PBoPRES MOV*N<S SN ï>£_Ptr de-s «jonsbiué PBzidéh&eP*ODI&iKÉ« PAÊ HûTfeE 0ON AvkirZffL

/MONSIEUR &M-<2Aywv>M „

l& MAïue-uReux '

Il AaRAtr mieuxFAir T>& mAi&eiî

lève mon veeeetVlP€ '.. A UN -HOMME.Ç>UI üA PAS HÉSITÉ?A SE MOUlLL&fZ. „HIPS'

kÉLLO WCRV Lu(4É Vivant.' ( HiPS'

SENATEUR, N/OüSn'ftes pas VAtiSVtfïKP ÉTAT NORMAL.

SI. WPG' PAGE & UH teln

V&Lir, LA JÜSTlÇEXoïr ^Tfô=PROMPTE A CSONDAMN1SR., NON ?

E-N TANT £>JE Jü6E ASSERMf-UTÉ.JE Vé-dlA^B PON0. L'AüDIERêE OUVEJSrE

UAC«LÜ6E AVANT RECONNU leswtç, Tombe sous le coup des

3>ISPosmOMS t>E CALlKéA 27 t>E LALOI, HIPS.' HBM MODIFIÉE. IL DOIT”ÎOK©. EXrtCLTER.‘De<3 jBWTA^eS

v X>lMT|tEÊT WAT.ONAUJ/O, "

JE CONDAMNE /.E PRÉVENU àseMETtra- SM<S PELAI À JA PtSPtSinoKpe monsieur e&ps Pour, laider. àÉDIFIER-A SAINT JjC>UlS__LEr PONTSUR. LE Mississtpl, ^KhiPS' y

<2. EST MASûüILLEETGOMPASHIE ,

-fôiir ($A / ,

Jljsti®=fa ër^Rgubue.iLu’vAf?P3 UEO. PE FAIPE APPEL eliêitaTîons/Bien joué, / Pien qu* u loi

_ UJKE -' «sénateur/ M^æioüte a loi

U +iiPS. s&eecss

Plus tard.»[

*

P* r<u n’es ç>u'un iMBéeiLE.

ëT «POMMENT JE fouVAlS^VOIR QU'IL ÉTAIT AUSSI

OeOLPE-Tol PU fbNTTJF MP ÊHARfc-E PERSONNEL-LE MEfJT PE LÜGFV LUKE !

04415) UE®4P«x44Me DP o'fcAlSy

^LLe',

^T4lrifeLLEMEMT PlKG^<3u& de ui> Dews Pe idA^ewr. N) MOWBHr «SB LA PAY^...

* troncs d'arbres flottants sur le Mississipi, très

dangereux pour la navigation.

fÏNQâieTB t^VS, MOJGAZÇOH. JE LE REN-FLOUERAI A' LA %

. Pf2£X£HA<Mj=DE«Rue du A3

v MiSffrSSiPl.jSjfe.

rZiNE FOIS JE JAI VAJ

^£>ESCENDRE SI RAP IDE

-

AiENrom uss poissons£ONf RESTAS UN MOMENTEN UAlfc AVANT t)E RE-TOMBER -SE FRA<SASSgRLe ©2àne sur le urDESSéené du fleuve. >

ÜNlfeoK® d'aP&PE A COüLè >E BATEAU .

JE NV <SOMP05NDS PJEN.t>'HABITUDEIL N'Y A DE S.NASS QU'EN. ©AS DE CRUE

t>U /VM^SISSIPI— -

VRAi,ÇA_.EaH

CAŸMAJi 1

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5«A6«o*r

VOUS YOüS Méf’PPNez A A*5N QOMPTlsAAIS JE TlBKS' À c?ue fous /NOUS SéPA&oN'S SONS AMIS1 >/

JAI EÉüSSI A VOUS OSTeniK. LINEfLA&ë SUIS IA LIGNE JMâôÜLlÈEB DSHû6 BATEAUX . VOLS SEEEz. À

ILUNÛISTOWW ^ÊSCETAPf^S-^lDI^

LA *2lRTf= T>ENIEHT X J'àüRAIS Dü\^ÊISeéE.ATt^kOS- ) APPORTER- |

MOI f©i# tJOLUV. y/nOH LIVRE... ^

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ESSAYEZ. Ntott

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MONSIEUR BAT aCaî>if C?<L1E yoüç étiezÜH SilJETÀ BI^ÜE—

e e^T lui.

IL «SENT LEFbR^OU' ta>

•PIS AUX FI2ÈIÎES 0a,YA"AN Q4E Jë* NSSLUS fAC SNCOT2E A“ L’ HORIZONTALE

/

Exeu-ssz. auA\ou\ieMe-NrD’HUtoEüR.

J'ai l!habitude, d'unemamèîse ou d'une auttzeles clients EludentfOUJOUKS CE âENRSDE <SûNNEie.«AriON—

DITES, feNTiZe UES ALll<?AToPS fer vous(® t= K'EST RAS L' ENTENTE <20[2DiaU&~.

vîtes-r Le. fbPMQL. TousUES

-

PEFTlLES Œlîoeo-piUIENS ONT HORKfeÜfZ.

t>F cette odeur .

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ÀER^né MUW&FAL, Ü&NTTJÉEr c>I=

LA Salle t>e Jri est \ht&w>\t& am(?ONpAMN^<3 î>55 PIZOïr ZOKAVJH. SO&&Z

U LOI (Pbsr tA LOI

/û.rmND&E -NOÜS7>&HOf2<S, UIW*

TOELLéS d& L'EAU,LA raourpiue t>EFOIZMDL &ÇT VID? erNOUS N'/,VON€ PUISf^PUOI fi*VE=TÎ- [£S

A PeéSteNTTour va

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JE NS ©SMPR£NDSf

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a <=. je n'ayais OÜEt>E BONS ^ENSEIGNE

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LA £HAN<B& A ^-fouewE. uje^yLüKt2 NEMÉRiTtePlüÇ So*J NOM...

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Moi,«i>i confiante..

tAnr qu'il ns ®hante

f>5, IL NA BATDirSSN DERNIER. MOT.

)ÜS Bois AJ fto«r

J QUI NS VBEfcA'Jamais' us-joaeGàZ LP MlSSISSlPI

IL JOCIAIT TELLEMENTMAL QUE JE N'AI MÊME

Pas EJ BESOIN -,

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JS N V Sais f&ufc Rien /

QUAND ON dt?ÜE, (U fAUrSAVOIE Perdis - -

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DEFABTIMMÉDIAT*

DÉRaet,

immédiat/

LA<SAYA\AN ©OmRaNP

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(QüAnd ©!&sr b earEowPi-er-, œ.'est-

COMPl^f, GOMPRiS?

r e’esr insspjér*de fte pensaisfA< Q/JbK S’pfNti^BARKASSB^ir

. ÜNJOAie/ J

Wawm_Ffelg£)E<?

E/lu lAgt?üfc/M E.Kir

•SoMpLerr^"

Les amarres sont promptement larguées.

ENFIN VOYONS/Scandal&loc

lL NV A Oü'UNPASSAGER.A' Bord/

Av&e u>eüv iuüs nos sabVONT PPVSNIfc. DS PLUS PN F

(OtLE?^, BT S*IL<Ï f2EP&£H&MrTizeu&'S, te Pour sera

HOU4? NAVONS PUS1

I-e ®Moix, il fautQooPérsR-'

OeoopeiseR

AWS T2J SS FoU,S*T'Tu UBUy LES A!-

DStf. À NOüS RUINER/

(SÜMMB AU?U<3K NA PAS

-Tout p&rdd, ou psurSN<Pûes IfcuT SABN&It.

Et, le lendemain... I A .

J saps/J

:

HtsLLO >

L&S Fzèfces<SaYA\an

_W DE VOUS PS’tOlR.,

(U^MOHSIBUR. LUWa-'?A£ T>B ÇA EHTKe NOUS/ON A_eUEl2CHê À nous ptvisefè.^k/VAtS1

U’iHG-^NIEUtt BTWO]

»7lY) St/A«es De LA MÊN^RAeS,*>VJh <*&ÜJ~ DES BAflSSEVlPS/

LB DOÜSLE ELU C?ÜE JE SiilS EST <5QN-vaw<9ü œ ffcnr c2ûntrj8li&2aAü RA?Ptaoc5«B/new.r pe r—-, ^^ES t>EràK^<r^\H I -L5S

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JAI ©SSBPviÉ ATl'feKTW&MERT"voîfë& MAHcsuvr^e:. au pyhimb «où

VOilS 2EPÊGU&Z LBS ftoüTTKELLSS,Gu'BSr l>E.C.lèCB-PBT/r FlLSPüfE£SIDEKr«SnSAKr Qi|l IRAL1- >

cSTüeisrRû. (£HANriBra.—

-

— Àü^si, BN TANT QViEAA\1Z&, BT DANS ÜN

£Oil£l DteFFIŒA&tTÉPBK/rtErrBZ-MOi PB

VOüS OFP(ElI2. <SÆ BOISfOUP- voTrsg= y

É-OIFISB— S

Allons, uji<^, N& vousplaignez pas qüb la

BSr-rfcp BELLE.'

ZJN TEL PEVlPBM&Nr

A compter de ce jour mémorable,les travaux avancent à grandesenjambées....

... les ouvriers, pour travailler plus commodément, mettent à profit les caprices du grand fleuve... ce qui n'est pas sans danger...

OZJAIP.' JA FAIT"APPJEL À IA

cavalerie, AWbRour ÉTSHiôarA fA\f 'flSPMOLlIUB, Pl3krEeE?AlSqu'bue soir "DEJA A Pied D'Œuveea/

- A\Al£ JAI l!cElL GtlR US NIVEAU .

^

AVW2. le Aue«i«siPi, <£A P&ar aou»R.A LA •S&ŒONDB PpèS— >

... (SA ME RAPPBUB LA RXS Qa L'SAü ESrDBStîBNDÜE BT /MOKTBe SI VITE QUE AlÊAiS

/ADI JB MB MB SUIÇ RENNJ «JOMPTE VS RlEK!

gH SIEN, UltdE, (Î&SSE2 CB BRoYER.PÜ NOIR. LES TRAVAUX AVANCENT/

Au même moment, non loin de là...[

QUAND ON H'bST FA«3

LE PLUS pflpr, IL FAiir

ÊTRE ÜE PLUS AVALlN

JB H'V COMPRENDS RIEN: ON AVAIT PfictSSI

A Les pEcourabe-r£TTU LEUR FOURNIS />,._ P[ioDU MATERIEL/ / ^

/ VOTRE AID5, '

' MORGI&m <5Ay/HAU, NOUS,441(2|OR« l&u VU MAI A'T^iawiNEJ» Le fewr

. AVANT LARCIUÉE Pii\ PRESIDENT- <S42ANr. J

/ C-teST ça, N-•FAviNei?. il Me vous \ *~-

(2£ST^ CpilB pu joui»]

fbuP- Peaufiner mon yt>lStour?S P'iNAfKSüBATÎON ./ >.

vJE' Tiens À êrpy= / <?üel Thème n

V BfctUAHTV <Souhaitie2-voU<SpeVÊLOPREB.

y 7/ V MONSIEUR, Leÿlfe. If ^ENATEüti? >

QlX eSr- CE Çü'iLS FEUVENfAuûNSJ-UWS, UE SfcY£2- PASENCORE MMlGAHSSBR? L>^^^^BAT-do|E/^s.XA^irpilB LE Ffcur^ '

EERA ffcS |U,AU&!J(2E.

J.e NE PORWRAl Rtf«= X/Y1

*l]W \J ïft^pL. tt^NÇüiUE.' A

Yl °1A XYXv

NOUS AVONS MIS LESf(2è^6S savaantanS notreP<oewe, Les awraeî?s sont

P/YES, le Pont esr•fEl^MiN^/ ALORS y

C>&#Afi>//////..7)

Ul££YUiiie'

Tiens Tiens(S'est le maiKe bi-

son PRèPe/^aefaites'-vous iei ?

£31 \ O

r RJM <1&.—JEVOULAIS JUSTE

k ’l&üf ALLAIT

^ SIEN— >

M

t£N TAurcPüE- I>OL!8lE \ peux ? AUIS/Mf2E, JE v6ü« OFFEE=

]PoüEOlioiP

Peux Bouteilles de

ÜNE INAUGURATIONSANS ©KAMBAéflEN'ESTfASLlNSF

|NAUÔÜ RaTiON—

CELLE OUI &ST PLEINE€£RYIEA A L! INAUGU-RATION Le 4 Juillet:(•ELLE OUI EST VIDEEST f

TlfiON

(UN (CONSEIL : FAITES \fc5Tf2E

RÉPÉTITION GÉNÉRALE £*NSTapdé(2. (Somme f&üEl lesPendaisons, Pien n'est?lu« Ridicule Qu'uveQdRde trop CûüRTISou TtoP LONSUC*.—

Quelques instants plus tard.

AO

-four GAW&U&& . IL NVaPUIS QO'À Dé&A&e&G-ME® PoüfEeilES. >

...AVANT HOüS AVIONS L& T^MPS MAISPAS LS NAnéfelEL. A P^É-SENr nous

avons Le matériel mais puj<s le temps-'V/HIÇKV, BûSS?

volontiers, tawner.ÇA MADONN lé SOIF.'

Allons, shds, pessAisissEz-v©üS.«E N'©ST PAS JÆr MÛMEUT t>AVOI 12- DESEnArs dAmsï / en Haïr joues ssr «wrN-uirs on PeurV arrive»/

MONSIEUR LUKE ?

IL NOUS-

MANQUE- DELA MAlN-D'CEüVfctE/

Activons, jAi T0ouvt= du renfort mi Gomme seuil de leurs baté^x

<?A AU /MOINS, «S'eST w (SOSTAüO/ 9*& GOMMELE» BOIS DE ODKSTRU ®riON TES FISèlZES ŒATMAN.

'...il est donc bien prouvé que ce pont est

dangereux. En tant que double maire, je

me refuse d'exposer mes administrés aux

caprices et à la cupidité d'un ingénieur "•

; N HA HA.' ÇA fifesr

„/ lA.rt&sr \ phvoy^, koH? y

^1;VST /! !

V Skss PEMEE-©1&Z frÇ.lbüTiJSŸIAIGUZ. ÊfAtr J

fbüE. /MOI... /

AAtAAêMft

je H'v Sü<<5 ?our.&»h/NOUS SOMA1E.S tousCoNST&fZNtirS: fllp la

NOUVELLE:

SE1ÎE2 DOK<P OBfcT>tNBMB«T heu-reux. D'en (SAI2de(a ü« F&rtr souvenir..,

A compter de ce jour, l'ampleur dusinistre contraignit les frères Cavmanà ne s'occuper que de leurs affaires...

f>SSB-iko/ ÜH<é$AYOH CpdEUE(5HIFF£p- (OS

tiens

...dont les actifs s'effritaient à vue d'oeil...—

oureu!

Désormais à l'abri de toute attaque, et bénéficiant d'une maind'oeuvre abondante, les travaux avancent rapidement...

Et le 4 juillet 1874, les équipes

ayant travaillé jour et nuit, le président

Grant peut inaugurer le pont reliant Saint-

Louis à Illinoistown.

MonsieurAOMSi&itR. M» DOUBLA ,MAlfct2.

sdamiss, At&^siearas.

.7 />#UMPOMPO/HZ/M.fl 4J7 J* y—nn

Je ssrai beef... SB F£>nt ouyês<dwis èRe NOüveue Poue états"UN® 5T UNE VOIE RoS^J-B /* /YASAfcfciè-Pfe PÛUTÏQU®/ VtVÊ UUMIONQUI FAIT LA FORŒS.'JlS RiéSSP ÀPrésent- 1/, ^EOUE A ...

-GenèSE. Ompitre i . ver-set i_"Lorsque Dieu commença la création duCiel et de la Terre..."

"...la Terre était déserte et vide, et la

ténèbre à la surface de l'abîme..."

IL Nt5 \AÇUAND Mi/MSr ffcs

HûüS LiRElbure LABIBLES/

Plus tard.-et le Seigneur dit à Moïse: Quand

tu atteindras le sommet du mont Sinaï. je

te ferai connaître mes dix commandements...'

fê?KT DOIT V/OÜS'f POUSL^M^NrPU.

/

PLAISIR., (VONÇIPUCM&SSlEül&Ç

f V& PR^^tDPHr. i)kçL&&MA\1Z&‘S. I Ur PtèSUf JfeNAl

35

Beaucoup plus tard..et Job prit la parole et dit:

Accédant à la notoriété grâce au pont sur le Mississipi, James Buchanan Eadsfil bénéficier de son savoir-faire une grande partie du territoire américain...

La levée de Saint Louis en 18&7.Au fond, le fameux pont de Eads.

Sa renommée franchit l'Atlantique, et ses conseils furent sollicités par les esprits les

plus éclairés de l'époque...

LA'.&S&Z SOI/WOKSieüfc &lFF^U,CPûy^2-A\OILF MATERIAU L>F UAVFNtfc.

e'esr l'ae-ifr

.

Capitaine James B. Eads, qui inventa la cloche deplongée permettant de récupérer au fond du

Mississipi les épaves des bateaux à vapeur naufra-

gés. Il réussit à désensabler l’embouchure duMississipi à la Nouvelle-Orléans, mais son principal

accomplissement fut la construction du pont de1895 m sur ce fleuve à Saint-Louis, sujet de raillerie

et considéré comme le projet d’un fou. On raconte

qu’un étranger traversant le Mississipi en ferry-boat

vit les structures d’un pont en construction.

“Combien cela va-t-il coûter ?" demanda-t-il au capi-

taine. Celui-ci, goguenard, de répondre: “Sept mil-

lions de dollars”. “Et combien de temps cela va-t-il

prendre ?” “Oh, sept millions d’années” répondit le

capitaine.

Grand pont de J. B. Eads. Pendant sa construction, à cause des grandes chaleurs, les arches en acier se dilatèrent, empêchantles deux parties de s'ajuster. En entourant de sacs de glace les parties récalcitrantes, Eads les ramena à leur taille normale.

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L'homme qui tire deux fois plus vite que son ombre.

Déjà parus chez LUCKY PRODUCTIONSSERIE LUCKY LUKE

L’AMNESIE DES DALTONCHASSE AUX FANTOMESLES DALTON A LA NOCELE PONT SUR LE MISSISSIPI

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LA FACE CACHEE DE MORRIS LE FUGITIF

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