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MEXIQUE ARGENTINE PIAZZOLLA | REVUELTAS | MONCAYO-GARCÍA | MARQUEZ VENDREDI 8 DECEMBRE 2017 - 20H / LIMOGES SAMEDI 9 DECEMBRE 2017 - 20H30 / GUÉRET DIMANCHE 10 DECEMBRE 2017 - 16H / BRIVE-LA-GAILLARDE L’ORCHESTRE DE L’OPÉRA DE LIMOGES

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MEXIQUE ARGENTINEPIAZZOLLA | REVUELTAS | MONCAYO-GARCÍA | MARQUEZ

VENDREDI 8 DECEMBRE 2017 - 20H / LIMOGES SAMEDI 9 DECEMBRE 2017 - 20H30 / GUÉRET

DIMANCHE 10 DECEMBRE 2017 - 16H / BRIVE-LA-GAILLARDE

L’ORCHESTRE DE L’OPÉRA DE LIMOGES

Ouvrages disponibles à la BFM de Limoges :

CD : • Passatori par Richard Galliano ; I Solisti dell’ orchestra della Toscana. Dreyfus Jazz, 1999 • Solo par Richard Galliano, accordéon ; Astor Piazzolla. Milan music, 2006 • New York tango par Richard Galliano,Bireli Lagrene, Al Foster, George Mraz, Dreyfus, 1996 • Concerts. Michel Portal, Richard Galliano. Dreyfus, 2004• Planete tango / Orchestre d’Osvaldo Pugliese, Orchestre d’Anibal Troilo, Orchestre de José Basso... Contient aussi des morceaux interprétés par Carlos Gardel, le Quintet d’Astor Piazzolla, Richard Galliano & Michel Portal, El Cuarteto Cedron... Déclic, 1998• Concerto pour bandonéon. Astor Piazzolla, Pablo Mainetti. Orquestra de chambre Theatre Lliure. Harmonia mundi, 1996.• Sylvestre Revueltas : Sensemaya. Orchestre Philharmonique de Los Angeles. Esa-Pekka Salonen. Sony, 1999 (Contient « La noche de los Mayas »).• Fiesta. Gustavo Duhamel, dir. Orchestre symphonique des jeunes du Venezuela Simon Bolivar. Deutsche grammophon, 2008. (Contient « Danzon n°2 » d’Arturo Marquez)• Piazzola concertant par Astor Piazzola. Bella musica, 1998• Five tango sensations par Astor Piazzola, Kronos Quartet. Elektra, 1991• Alma de Tango par Juan José Mosalini. Accords croisés, 2015.• Misa Tango par Luis Bacalov, Astor Piazzola. Deutsche Grammophon, 2000.• Maria de Buenos Aires par Astor Piazzola. Bella musica, 1998.• Les 4 saisons de Buenos Aires par Astor Piazzola, Egberto Gismonti. Milan music, 1991.• Tango around the world Putumayo world music, 2007.• Tango para Bach par Gerardo Jerez Le Cam Quartet. Rue Stendhal C, 2010.• Héritages de Arturo Marquez, Granados, Debussy, De Falla par Simon Ghraichy, piano. Deutsche grammophon, 2017.• Amérique Latine. Collect. Musique & cinéma du monde. Mk2 music, 2004.• Mexique : Fêtes de San Miguel Tzinacapan. Ocora, 1996.

DVD :• Brasileirinho de Mika Kaurismaki. Montparnasse edition, 2005.• Salsa de Joyce Sherman Bunuel. MEP vidéo, 2000.• Gotan Project : Best of de Prisca Lobjoy. Barclay, 2011.• Astor Piazzola in Portrait de Mike Dibb. Arte, 2004.• Argentine : Buenos Aires, capitale du tango . Addict Multimedia 2015. LIVRES :• Musiques et rites afro-américains : la marimbat éclot dans les astres Vincent Doucet. Harmattan, 1989.• Genèse des musiques d'Amérique latine : passion, subversion et déraison Carmen Bernand. Fayard, 2013.• Le retour des caravelles : voyage au cœur du baroque d'Amérique latine, Alain Pacquier. Fayard, 2011.• Tango : musique et poésie, Antonio Pau. Pirot, 2006.

ORCHESTRE DE L’OPÉRA DE LIMOGES

IDYLLEWagner | Schumann

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ORCHESTRE DE L’OPÉRA DE LIMOGES

MEXIQUE ARGENTINEPIAZZOLLA | REVUELTAS | MONCAYO-GARCÍA | MARQUEZ

Robert Tuohy, directionLiat Cohen, guitareRichard Galliano, bandonéon

Astor Piazzolla (1921-1992)Tangazo (1969) - 15'

Sylvestre Revueltas (1899-1940)La noche de los Mayas (1939) - 13'

Entracte

Astor PiazzollaDouble concerto pour guitare, bandonéon et orchestre à cordes (1985) - 16'

José Pablo Moncayo-García (1912-1958)Huapango (1941) - 10’

Arturo Márquez (1950)Danzon n°2 (1994) - 10'

Durée : environ 1h30 avec entracte

Le Conservatoire en Prélude : ven. 08/12/2017 à 18h30 au Foyer du public de l’Opéra de Limoges

After électro : soirée Électro Tango : ven. 08/12/2017 à 22h au Foyer du public de l’Opéra de Limoges

Le bar de l’Opéra de Limoges est ouvert et vous propose boissons fraîches, café, bières, vins blanc et rouge ainsi que du champagne. Paiement par CB accepté sans montant minimum.

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REPÈRES

Réalisé par Apolline Parent

Ce programme dresse un portrait croisé de l’Amérique latine et donne l’occasion d’entendre le grand compositeur argentin Astor Piazzolla, ainsi que deux des compositeurs les plus célèbres du Mexique, Silvestre Revueltas et Arturo Márquez, et de découvrir José Pablo Moncayo-García.

Ce voyage musical permet de s’interroger sur la création musicale dans des contextes politiques pour le moins instables. Les relations sont à double sens : si les régimes politiques peuvent utiliser la musique comme vecteur d’identification nationale, les compositeurs peuvent, ou non, s’appuyer sur les détenteurs du pouvoir ou les dénoncer.

Le tango et le champ politiqueIl existe d'étranges liens entre dictature et tango. Juan et Eva Peron, admirateurs de Mussolini, aimaient le tango ; ils ont usé de ses inspirations populaires pour servir leur politique et lui faire courir le risque de devenir art officiel entre 1946 et 1955, âge d'or du tango.

Mais si le tango a été utilisé au service du pouvoir, il n'en a pas moins d'abord et surtout été moyen d'expression des plus déshérités. Considérée par les classes favorisées comme une musique "vulgaire", elle dit la nostalgie des immigrants italiens, espagnols, allemands, français, juifs entassés dans les conventillos, qui avaient eu l'illusion d'une vie meilleure en Amérique, la souffrance de la population locale miséreuse. Le péronisme s'en est servi, parce qu'il se voulait populiste, et la dictature de droite qui

a détrôné Peron l'a interdit et a failli réussir à le faire disparaître. Après le coup d'état de 1955, les artistes s'exilent. De 1955 à 1983, il était impossible d'apprendre à danser le tango en dehors des lieux underground.

Piazzolla, inventeur du Nuevo Tango, compose des années 1940 à 1990. Il traverse au moins trois régimes politiques différents, du péronisme à la démocratie, en passant par la dictature des généraux, sans paraître s’en soucier, préoccupé par le seul devenir de sa musique. On le lui reprochera.Habile aux synthèses des différentes sources musicales, novateur et même "révolutionnaire" par sa musique, il élève le Tango au rang de la musique classique et universelle.

Création musicale et régimes autoritaires : le Mexique post-révolutionnaireLe Mexique post-révolutionnaire, dans la période de 1921 à 1940, se caractérisa par une succession de leaders politiques au sein d’un régime auto-ritaire pseudo-démocratique. Dans un contexte de grande instabilité politique et sociale, ce ré-gime autoritaire trouva dans la création musicale le moyen symbolique de légitimer son pouvoir. Grâce à un système de commandes et subven-tions, la création musicale d’esthétique natio-naliste fut impulsée et diffusée à l’intérieur et à l’extérieur du pays. Aussi, des compositeurs ont souvent produit spontanément des œuvres qui, par leur esthétique ou par leur programme, rejoi-gnaient l’ordre politique en place.

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Des compositeurs mexicains engagésLe processus de construction nationale mis en place par le régime postrévolutionnaire mexicain implique l’élaboration d’un art nationaliste capable de rivaliser avec l’art européen. Les principales catégories esthétiques investies par le régime font référence à l’authenticité et au contenu nationaliste des œuvres – fondés sur les notions de « race » et de « métissage ». Carlos Chávez (1899/1978), compositeur, directeur du Conservatoire de musique de Mexico et fondateur de l’Orchestre symphonique de Mexico joua un rôle central, et devint une figure musicale politique essentielle. La prise de conscience d’une spécificité mexicaine au plan politique et culturel est due en grande partie à ses recherches dans les domaines des cultures, des traditions et des danses indigènes. Il en résulta un élan stimulant et novateur. Il fréquenta les compositeurs mexicains de notre programme et les encouragea dans leur travail.

L’antifascisme de RevueltasLe violoniste et compositeur Silvestre Revueltas est un des principaux acteurs du développement musical du Mexique durant les années 1930. Proche des avant-gardes artistiques mexicaines, la réception de sa musique est marquée par une double appartenance moderniste et nationaliste, au point que certaines de ses œuvres incarnent le modèle de la musique nationale et se trouvent au cœur de la politique symbolique du régime. Revueltas s’engage fin 1935 dans l’antifascisme communiste au sein de la Liga de Escritores y Artistas Revolucionarios, luttant contre l’avancée du fascisme dans le monde – notamment après le début de la Guerre civile espagnole – et soutenant les avancées sociales obtenues par le Front Populaire Mexicain. Les conséquences de l’engagement antifasciste de Revueltas sont considérables, particulièrement dans la thématique de ses œuvres, dans sa vie professionnelle et dans l’utilisation symbolique de sa musique à des fins de légitimation par le régime postrévolutionnaire mexicain.

Les œuvres de Revueltas sont perçues par le public comme profondément mexicaines et certains critiques n’hésitent pas à voir en lui le musicien représentatif du Mexique moderne, alliant tradition et création.

Huapengo de Moncayo et Danzon n°2 de Márquez : tous

deux considérés tour à tour comme « deuxième hymne

national mexicain»

Lorsque Moncayo compose Huapengo, il est chargé par Chávez d’effectuer des recherches sur les musiques provinciales. Il s’agit de l’œuvre la plus célèbre du compositeur, représentant l’identité mexicaine par ses influences puisées dans la musique traditionnelle. Le succès foudroyant de ce morceau en fait le «best seller » de la musique classique mexicaine.

Quant au Danzon, il s’agit d’un genre musical et d’une danse d’origine cubaine. L’œuvre de Márquez marie subtilement certains éléments du folklore latino-américain à une longue tradition symphonique. De quoi assurer à l’œuvre le statut de second hymne national, comme l’avait été 50 ans avant lui la pièce Huapango.

Grâce au travail des compositeurs, qui l’ont doté d’une musique nationale à caractère universel, le Mexique se serait trouvé lui-même, par un processus de différenciation identitaire, dans un patrimoine musical capable de fédérer la Nation.

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ÉLÉMENTS BIOGRAPHIQUES

Richard Galliano, bandonéon

Accordéoniste, bandonéoniste virtuose et compositeur, Richard Galliano s’exprime dans tous les genres musicaux du classique au jazz.Il étudie le piano et l’accordéon dès l’âge de 4 ans, avec son père, accordéoniste et professeur avant d’entrer au Conservatoire de Nice, et obtient un Premier Prix en 1969 en trombone à coulisse.

D’une étroite collaboration avec Claude Nougaro entre 1975 et 1982 naîtra nombre de chansons qui font partie du patrimoine français. Une deuxième rencontre déterminante aura lieu en 1980, avec le compositeur et bandonéoniste argentin Astor Piazzolla, qui l’encourage vivement à créer le “New Musette” français, comme il a lui-même inventé auparavant le “New Tango” argentin.

Au cours de sa carrière, Richard Galliano enregistre plus de 50 albums sous son nom.

Il collabore avec de nombreux artistes, dont : Chet Baker, Eddy Louiss, Ron Carter, WyntonMarsalis pour le jazz ; Serge Reggiani,Barbara, Juliette Greco, Georges Moustaki, Charles Aznavour, Serge Gainsbourg, pour la chanson française ; Nigel Kennedy pour le répertoire classique et un grand nombre d’orchestres.

Il se produit dans les théâtres les plus prestigieux : le Lincoln Center de New York, le Victoria Hall de Genève, l’Accademia Santa Cécilia de Rome, le Théâtre des Champs-Élysées de Paris, Les nouvelles Philharmonies de Hambourg et de Paris…

Richard Galliano est récompensé par plusieurs Victoires de la Musique Jazz (New York Tango en 1997 et Blow Up en 1998, en duo avec Michel Portal). L’album Bach chez Deutsche Grammophon bat les records de ventes classiques en 2010. Il est nommé Commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres en 2011. Il obtient en 2014 la Victoire de la Musique Classique ainsi que le Prix du Meilleur Compositeur de l’Année. En 2016 il enregistre un album dédié à W.A. Mozart et sort un album en quartet New Jazz Musette. Il est promu Officier de l’Ordre National du Mérite.

Liat Cohen, guitare

« La guitare de Liat Cohen est à la musique ce qu’un cœur battant est à la vie. » Le Monde.

« Liat Cohen est une personnalité musicale à retenir tant pour ses choix que pour son jeu » Cahiers de La Guitare et de la Musique.

Premier Prix du Conservatoire de Paris, diplômée de La Schola Cantorum et de l’Ecole Normale de Musique de Paris, Liat Cohen est la première guitariste à avoir reçu le Prix Nadia Boulanger Fondation de France. Distinguée parmi les meilleurs guitaristes mondiaux par Guitare Magazine et Classical Guitar, elle collabore avec de grands chefs (Jacques Mercier, Frédéric Chaslin, Jan Talich, Uri Segal…) et les plus grands orchestres (Orchestre Symphonique de Jérusalem, Orchestre National de Lorraine, Orchestre de Bern, Orchestre Symphonique de Melbourne, Orchestre Symphonique de Haïfa, Orchestre symphonique d’Istanbul...).

Elle se produit sur les cinq continents : Rudolphinum de Prague, Radio-France, Théâtre du Châtelet et Salle Cortot à Paris, Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, Cerclo de Bellas Artes de Madrid, le Palazzo Barberini à Rome, Théâtre National du Costa Rica, Opéra de Montpellier, Skirball Cultural Center de Los Angeles…

Sa transcription des œuvres de J.S. Bach pour la guitare s’écoute sur Liat Cohen joue Bach. L’album Latino-Ladino (2005) est une rencontre entre la musique baroque espagnole et la musique sud-américaine.

Dédicataire de nombreux concertos et œuvres pour guitare soliste de J. Bardanashvili, Y. Braun, N. Bonet, G. Shohat … elle enregistre le disque Concertos en 2009. La même année, elle signe le double album Virtuosi avec le Talich Quartet. Le DVD Une guitare à Prague paru en 2011 reçoit le prix Opus d’Or.

Liat Cohen crée un voyage insolite au cœur de la musique classique brésilienne : Rio-Paris, avec Natalie Dessay, Agnès Jaoui et Helena Noguerra. Le quatuor s’est produit à l’Opéra de Limoges en juin 2014, à l’occasion d’une tournée très plébiscitée dans toute la France.

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Robert Tuohy, direction

Le chef d’orchestre irlando-américain Robert Tuohy est  Directeur musical associé de l’Opéra de Limoges depuis 2013, où il a dirigé Carmen, Der Freischütz, Così fan tutte, Eugène Onéguine  et Pelléas et Mélisande,  ainsi que de nombreux programmes symphoniques. Il a récemment fait ses débuts au Bolshoi Théâtre, à l’Orchestra della Fondazione dell’Arena di Verona et à l’Orchestra del Teatro Lirico di Cagliari, ainsi qu’un début très acclamé à l’Opéra de Marseille avec Lakmé en mai 2017. Lors de la saison 2017/2018 à l’Opéra de Limoges, il dirigera des nouvelles productions de  Butterfly, Les Pêcheurs de perles,  Le Château de Barbe-bleu  en version concert, et le programme symphonique Mexique Argentine.

Parmi ses futurs projets figurent ses débuts au Théâtre des Champs-Élysées, et à l’Opéra de Reims.

Robert Tuohy s’est fait connaître en France comme chef assistant auprès de Lawrence Foster à l’Opéra National de Montpellier. À la tête de l’ONM il a notamment dirigé  des représentations de  Rusalka  et  La Chauve-souris, des productions très acclamées de Lakmé et Manon Lescaut, ainsi que deux Concerts du Nouvel an (2012 et 2013) et un concert à l’Opéra Royal du Château de Versailles.

Après ses études au Cleveland Institute of Music, Robert Tuohy étudie la direction d’orchestre au Royal Academy of Music de Londres auprès de Colin Metters et Sir Colin Davis. Il obtient son diplôme avec mention très bien et reçoit le prix de direction d’orchestre « Ernest Read »,  ainsi que le prix DipRAM. Sélectionné à de nombreuses masterclasses, il a étudié auprès de Sir Colin Davis et Kurt Masur, et a dirigé le London Symphony Orchestra, le BBC Scottish Sympho-ny Orchestra, le Royal Scottish National Orchestra, et le Scottish Chamber Orchestra.

L’ORCHESTRE DEL’OPÉRA DE LIMOGES

Violon solo super soliste : Elina Kuperman

Violons 1 : Albi Binjaku, violon solo co-soliste / Eve-Laure  Benoît / Valérie Brusselle / Alexander Cardenas / Hélèna Lyda-Mondésir / Junko Senzaki / Christiane Soussi.

Violons 2 : Louis Da Silva Rosa, chef d’attaque, soliste  / Jelena Eskin, co-soliste / Mathilde Landais / Sylvie  Mériot / Marijana Sipka / Yves Tison.

Altos : Jean-François Salies, alto solo / Brigitte Bordedebat / Francis Chapeau / Fathia Zelmat

Violoncelles : Julien Lazignac, violoncelle solo, Philippe Deville /Éric Lyda / Antoine Payen

Contrebasses : Mathieu Martin, contrebasse solo / Thierry Barone

Flûtes : Chloé Noblecourt, flûte solo / Jean-Yves Guy-Duché, piccolo solo & flûte / Michel Popoff

Hautbois : Jacques Zannettacci, hautbois solo / Vincent Arnoult

Clarinettes : Filippo Biuso, clarinette solo / Gérard  Tricone / Joséphine Besançon, clarinette Mib

Bassons : Frank Vassallucci, basson solo / Maxime Da Costa

Cors : Pierre-Antoine Delbecque, cor solo / Olivier Barry / Éric Hulin / Arthur Heinz

Trompettes : Javier Rossetto, trompette solo / Grégoire Currit / Pierre Marmeisse

Trombones : Hervé Friedblatt, Trombone solo / Patrick Ivagnes / Sébastien Gontier, trombone basse

Tuba : Andres Arevalo Pena

Percussions : Timbalier solo : Pascal Brouillaud / 1er  percussionniste  : Alain Pelletier / Aurélien Hadyniak / Vincent Mauduit / Guillaume Séré

Piano : Jacqueline Bensimhon

Harpe : Aliénor Mancip

@operalimoges | www.operalimoges.frS’INFORMER, S’ABONNER, ACHETER EN LIGNE SUR OPERALIMOGES.FR

PROCHAINEMENT

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BOURVIL. 100 ANS!SYMPHONIE DE POCHE

Dim. 10/12/2017 – 15h

TANGO, DE CARLOS SAURAProjection film à la BFM centre villeVen. 15/12/2017 à 18h30, entrée libre

MISA TANGOConcert du Chœur de l’Opéra de Limoges

Dim. 24/12/2017 à 12h

EVÈNEMENT TANGOTango for Pina Bausch, projet participatif, 15hE Vento Tango, spectacle chorégraphique, 17h

Bal Tango, 18h30Sam. 06/01/2018